Livret CSQ

ufpi
UFPI / Processus professionnaliser / Sous-processus SAT3 DEVELOPPER

DOSSIER RESSOURCE STAGIAIRE
DRS
Auteur : VERMOREL Amandine ; BELANGER Alexandre Date de création : 01/03/2019
DOSSIER STAGIAIRE
COMPLEMENT SÛRETE QUALITE
Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 67 pages
Date d'applicabilité : 14/10/2022
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Suivi des modifications

Indice en
Auteur Modifications (documents impactés et détail des évolutions)
vigueur
LAVOIGNAT Thomas 06 Mise à jour pour livraison 2022
Historique des versions précédentes :
MENAGER Claire
01 Création
VERMOREL Amandine
VERMOREL Amandine 02 MAJ Seq 3
LAVOIGNAT Thomas 03 Ajout thème « irrégularité »
Permutation séquences 2 et 3
MASAY Mathilde 04 Mise à jour définition de la NQ
Modification de la PGI en PMPI de la DPN.
MASAY Mathilde 05 Traitement écarts documentaires (Janvier 2022)
Libre EDF interne SA Restreinte Confidentielle

Accessibilité : Document public Ne peut être transmise à l’extérieur d’EDF Le rédacteur établit une liste nominative Le rédacteur établit une liste nominative
que par un chef de service des destinataires. Chacun d’eux peut des destinataires. Chacun d’eux reçoit un
étendre la diffusion sous sa responsabilité exemplaire tramé et ne peut étendre la
et dans sa Direction diffusion sans l’accord de l’initiateur.
ufpi – DOSSIER RESSOURCE STAGIAIRE
Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 2/67
EDF - Direction du Parc Nucléaire et Thermique - Division Appui Industriel à la Production

Unité Formation Production Ingénierie – UFPI - Etat-Major - 106 Boulevard Vivier Merle Le VELUM - CS 93411 - 69403 LYON CEDEX 03
www.edf.com
Copyright EDF - 2017. Ce document est la propriété d'EDF. Toute communication, reproduction, publication, même partielle, est interdite sauf autorisation.
PLAN DU STAGE
PLAN DU STAGE ................................................................................................................................................................ 2
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES GENERAUX ........................................................................................................... 2
SEQUENCE 1 – ACCUEIL ET SENS DES REGLES .............................................................................................. 3
SEQUENCE 2 – APPROPRIATION DE L’ACTIVITE PAR L’INTERVENANT POUR LA MAITRISE DE LA
SURETE NUCLEAIRE ................................................................................................................................................ 11
SEQUENCE 3 – MAITRISE DES ARRETS DE TRANCHE .................................................................................. 52
SEQUENCE 4 – REALISATION CHANTIER ECOLE ............................................................................................ 60
SEQUENCE 5 – ROLE DE L’INTERVENANT POUR LA PROGRESSION DE LA SURETE ......................... 64
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES GENERAUX

• Distinguer les principes fondamentaux de la sûreté nucléaire et les exigences
visant à maîtriser les risques d’origine radiologique et non radiologique
• Distinguer le rôle des intervenants pour ce qui est de la maîtrise des arrêts de
tranche et en termes de sûreté nucléaire et de disponibilité,
• Distinguer les actions sous situations ayant un impact sur les enjeux de maintien
de la qualification des Éléments Importants pour la Protection des intérêts vis-à-
vis des risques radiologiques (EIPS),
• Mettre en œuvre, lors d’une mise en situation, les pratiques comportementales
et professionnelles adaptées, en prenant en compte les enjeux de sûreté
nucléaire et de disponibilité.
SEQUENCE 1 – ACCUEIL ET SENS DES REGLES

Objectifs de la séquence :
• Situer le module dans le cursus de professionnalisation,

• Visualiser les objectifs de la formation et les phases d’évaluation,
• Saisir l’importance de donner du sens aux règles, d’avoir une attitude interrogative,
• Comprendre le rôle de l’intervenant dans la démarche de prévention des risques.
NOTES :
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DEFINITION D’UNE IRREGULARITE :
Pour définir ce qu’est une irrégularité, il faut d’abord clarifier le sens du terme « fraude » : « la fraude consiste à
tromper délibérément pour obtenir un bénéfice illégitime, ou pour contourner des obligations légales ou des règles de
l’organisation. Un comportement frauduleux suppose donc un élément factuel et intentionnel ainsi qu’un procédé de
dissimulation de l’agissement non autorisé ».
Les situations de ce type que nous pourrions rencontrer sont qualifiées d’irrégularités tant qu’elles n’ont
pas été qualifiées pénalement de fraude par la justice. En effet, le terme fraude revêt un caractère pénale
que seule la justice peut qualifier. D’une manière générale, le non-respect d’une exigence réglementaire
constitue en l’état un écart au titre de l’arrêté INB et compromet donc la protection des intérêts.
Didier Michelet, chef de service Sûreté Qualité
Trois éléments constitutifs du risque d’irrégularité qui pourrait être qualifié de fraude par un juge sont
représentés par ce que l’on appelle « le triangle de la fraude ».
Supprimer un des trois critères permet de réduire sensiblement le risque.
NOTES :
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SEQUENCE 2 – APPROPRIATION DE L’ACTIVITE PAR L’INTERVENANT POUR LA

MAITRISE DE LA SURETE NUCLEAIRE
• Identifier la réaction de fission de l’uranium 235

• Identifier le principe de protection des intérêts
• Identifier la définition de la sûreté nucléaire
• Identifier la notion d'Elément Important Pour Sûreté pour la Protection des intérêts vis-à-vis du risque
radiologique (EIPS)S
• Identifier la notion d'Activité Importante pour la Protection des intérêts (AIP)
• Citer les 3 barrières de sûreté.
• Citer les 4 fonctions à assurer dans le cadre de la démonstration de Sûreté nucléaire
• Citer les 4 niveaux de défense en profondeur
• Définir la notion de critère de défaillance unique et ses parades
• Définir la notion de défaillance de mode commun et ses parades
• Identifier le lien entre risque FME et sûreté nucléaire
• Identifier le risque sûreté lié à l'utilisation de DMP, MTI, DDC
• Identifier le rôle des 2 types de requalification lors d'une intervention de maintenance
• Identifier les risques de la co-activité sur la sûreté nucléaire
• Distinguer les caractéristiques du contrôle technique
• Citer le rôle du Dossier de Suivi de l'Intervention et des points de notification apposés sur celui-ci
• Identifier l'objectif de l' "Analyse de Risques" et les domaines de performance concernés
• Expliquer le rôle de l'intervenant vis-à-vis de l'ADR
• Identifier l’importance de la phase d’appropriation du dossier d’intervention pour la réussite de
l’activité pour l’intervenant
• Identifier le but de la qualification et les exigences associées à chaque profil
• Identifier le principe de pérennité de la qualification
• Identifier, lors d’une opération sur un matériel qualifié, au moins 3 actions ou situations ayant un
impact sur sa qualification
• Définir la notion de séisme-événement
• Identifier les familles de matériels concernés par la qualification
• Identifier dans les documents d'intervention le risque lié à une intervention sur du matériel qualifié
CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 8

M ait rise de la Suret é Nucléaire
Quelle est la définition de la Sureté nucléaire ?
« La sûreté nucléaire est l’ensemble des dispositions

techniques et des mesures d’organisation* prises en
vue de prévenir les accidents ou d’en limiter les effets. »
Code de l’Environnement
*à toutes les phases du cycle de vie des INB : conception, construction,
fonctionnement, démantèlement et transport de substances radioactives.
UFPI/OP3/ERQ/17-00416. – indice 5
Propriété d'EDF - Toute communication, reproduction, publication, même partielle, est interdite sauf autorisation

Quel est l'objectif de la sureté nucléaire ?
Garantir la protection des intérêts contre l’ensemble des

inconvénients ou des risques (radiologiques ou non) que peuvent
présenter les Installations Nucléaires de Base (INB).
Arrêté INB 2012
La sûreté nucléaire est le moyen de protéger les intérêts
Risques
INB
Inconvénients

" Risques" et " inconvénients"
Risques Inconvénients
En fonctionnement incidentel En fonctionnement normal et
et accidentel dégradé :
→ Impact radiologique prélèvements d’eau et rejets, bruit,
→ Impact non-radiologique. vibrations, …
Risques
INB
Inconvénients

" Protection desintérêts" ou " Intérêtsprotégés"
Intérêts protégés :
→ Sécurité publique
→ Santé et salubrité publiques
→ Protection de la nature et de l’environnement
Risques
INB
Inconvénients

Réaction de fission
Neutronslibérés
NOYAU
D’URANIUM
235
Produitsde
Neutron
f ission
Q Chaleur
(énergie)
Rayonnements , , 

Synthèse :
maîtrise de
R la Réactivité
Fonctions
f ondamentales
R Refroidissement de sûreté
nucléaire
C Confinement
Fonction de
Protection des radioprotection
P personnes
et de l’environnement
du public

Intégrité des3 barrières
1ère barrière
La gaine du combustible
2ème barrière
Le circuit primaire
3ème barrière
L’enceinte de confinement
B
Le nucléaire : une industrie à risques et unique
Elle doit maît riser la réact ivit é en t out es circonst ances,

Evacuer la puissance résiduelle après mise à l’arrêt du
réact eur et ref roidir le combust ible,
Garant ir la robust esse des 3 barrières pour conf iner les
produit s de f ission et prot éger des rayonnement s
ionisant s.
Classement de sûreté
EIPS
Protection desint érêts

Quel est le principe de la " Défense en Profondeur" ?
« Mise en œuvre de niveaux de défense successifs et suffisamment

indépendants»
Arrêté INB
Eviter
INB

Combien de niveaux de défense en profondeur ?
Prévention
1 Évit er les incident s et accident s
2
Dét ection et maîtrise des incidents
Les dét ect er pour évit er de basculer à un accident
Les m ait riser pour m aint enir l’inst allat ion dans un ét at sûr
3 M aîtrise des accidents

M ait riser les accident s n’ayant pu êt re évit és, lim it er leur
aggravat ion, ram ener et m aint enir l’inst allat ion dans un ét at sûr
4 Gestion des accidents graves

Gérer les sit uat ions d’accident grave n’ayant pas pu
êt re m aît risées de façon à lim it er les conséquences
ext ernes à l’INB (personnes et environnement )

Pourquoi est-ce nécessaire de se prémunir contre le CDU ?
Critère de défaillance unique (CDU) :
« Les systèmesqui assurent lesfonctionsde sûreté et

leurssystèmessupportsdoivent assurer leur fonction
en casde défaillance de l’un de leurscomposants».
REDONDANCE
Bâche

Que signifie la " défaillance de mode commun" ?
« Une défaillance est dite de mode commun si elle rend simultanément

indisponibles deux systèmes ou matérielsredondants ayant la même
f onction »
SEPARATIONS PHYSIQUES DIVERSIFICATION
Turbopompe Turbopompe
Bâche
Motopompe
Motopompe

L’intervenant acteur de la sûreté
Moi, intervenant :
La perte de l’une des Les intérêts

Je travaille sur Une fonction de sûreté fonctions de sureté peut protégés
un EIPS peut donc être impactée entraîner la détérioration peuvent être
d’une des 3 barrières impactés
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Exemple d’accident
Prenons l’exemple suivant :

« Rupture guillotine d'une tuyauterie primaire »
(Accident de Perte de Réfrigérant Primaire (APRP))
1. Que se passe-t-il au niveau du réacteur, du circuit primaire ?
2. Que se passe-t-il dans le Bâtiment Réacteur ?

3. A votre avis, de quels paramètres et matériels la conduite a-t-elle besoin
pour contrôler la situation et ramener le réacteur dans un état sûr ?
NOTES :
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Pourquoi qualifier des matériels?
« La qualification a pour but de prouver que les

matériels ou équipements sont aptes à remplir leurs
fonctions sous les sollicitations auxquelles ils sont
supposés être soumis »
(Rapport De Sûret é – 900 MW VD2)
Pouvoir pilot er et ramener le réact eur dans un

ét at sûr
grâce à un nombre minimum mais nécessaire
de mat ériels opérat ionnels

Pourquoi qualifier des matériels?
« La qualification a pour but de prouver que les

matériels ou équipements sont aptes à remplir leurs
fonctions sous les sollicitations auxquelles ils sont
supposés être soumis »
(Rapport De Sûret é – 900 MW VD2)
Comment apport er cet t e preuve ?
Par une démonstration

(essais, calculs, … )

Les profils de qualification des matériels
3 profils de qualification :
K2
K3 K3 K3
K1
K3

Quelssont lesélémentsconcernéspar la qualification ?
La qualification ne concerne pas uniquement le matériel seul, elle concerne
l’ensemble de sa chaîne électromécanique.
Câble d’alimentation Tableaux

Électriques
Traversée enceinte
Liaisons
électriques type Pupitre
« BOA »
Traversée enceinte
Servo
M
Moteur Armoires
Signalisati
de Contrôle on
Commande
Robinet Bouton de
Coffrets de commande
qualifié raccordement
K1 Fins de
course
Intérieur BR Extérieur BR

Famille de matérielsqualifiésaux conditionsaccidentelleset au séisme
EIPS élect riques (Mot eurs, câbles, capt eurs, cart es

élect roniques…)
Qualif iés EIPS mécaniques act if s (Pompes, mot eurs, t urbines,

vent ilat eurs, robinet t erie…)
K1 / K2 / K3
M at ériels et mat ériaux divers (joint s, revêt ement s et
peint ures, graisses et lubrif iant s…)
Qualif iés
par EIPSmécaniques statiques (Réservoirs, t uyaut eries, organes de
robinet t erie de concept ion simple, …)
conception

Comment savoir si j’intervienssur un EIPSqualifié ?
Avec lesdocuments Ordre A nalyse D ocument de Gammes

du ou
de Suivi de
d’ Int ervent ion Procédures
dossier d’intervention Ou de Travail
Risques l’ Int ervent ion d’int ervent ion
et /ou
(OT SDIN) ( AdR ) ( DSI ) d’essai
Avec la signalétique
en local
K1
Tousleséléments qualifiésne sont pas identifiés en local

Quelssont lesphasesde la vie du matériel lesplusà risque pour la
pérennité de la qualification ?
Qualification Fabrication en M ontage Exploitation

( co n duite,
initiale série sur site m ain tenance)
Ét at de
référence du
m atériel Risque de perte de la
qualification
(la t enue du mat ériel n’est plus prouvée ou
démont rable)
Comment garantir la pérennité de la qualification ?

Le mat ériel K1, K2 ou K3 mont é sur site doit
êt re
conf orme en t out point à son ét at de
référence

Que f aut-il faire sur un élément qualifié ?
1. Identifier le matériel qualifié dans les

documents d’intervention
2. Identifier le matériel qualifié sur le chantier
3. Respecter les exigences techniques liées à la
qualification des matériels, intégrées dans les
documents opératoires
4. Tracer toutes les actions effectuées sur le
matériels qualifié
J’ai une attitude interrogative, en casde doute, je m’arrête et

j’informe

Vigilance
Les caractéristiquesdes éléments qualifiés

doivent êt re conservées à t ravers le t emps,
malgré les t ravaux et les interventions.
Il est impossible de réaliser sur les éléments installés

les essais représentatifs des conditions accidentelles

Un doute vis-à-visde la qualification ?
Qualification plus Changement

garantie ? du matériel

Actions ou situationsayant un impact sur la qualification
Ce qui contribue à la
pérennité de la qualification  Ce qui peut remettre
en cause la qualification 
Des int ervenant s Une modif icat ion
sensibilisés aux enjeux du mat ériel
La cult ure de sûret é Un environnement

de chaque int ervenant agressif
NOTES :
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Démarche Séisme événement en exploitation
Toute activité d’exploitation dans l’environnement

d’un matériel EIPS classé et requis au séisme,
en cas de séisme,
est source de risque !
Exemples : Mise en place d’équipements provisoires échafaudages,
protections biologiques temporaires…
Analyse des risques
Parades

Que peut f aire l’intervenant face au risque « Séisme évènement » ?
L’intervenant est acteur de la maitrise du risque

et doit :
S’assurer dans ses activités qu’il n’initie pas un
agresseur
Détecter un constat et savoir le faire remonter
S’approprier la prise en compte du risque séisme
évènement dans l’ADR
S’assurer que le risque séisme évènement n’a
pas évolué et que les parades sont toujours
adaptées

Le séisme-évènement - Exemples
NOTES :
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Exercice Pérennité de la qualification
Travail à réaliser en sous-groupes de 3 stagiaires maximum.
1. A part ir de gammes d’int ervent ion → ident if ier

des exigences liées à la qualif icat ion de mat ériels.
2. A part ir de phot os → ident if ier des sit uat ions en

écart avec des exigences de qualif icat ion sur ou
dans l’environnement de mat ériels qualif iés,
remet t ant ou pouvant remet t re en cause la
qualif icat ion des mat ériels.
NOTES :
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Quelles sont les5 " exigencesdéfinies" pour lesAIP ?
Cont rôle Vérif icat ion Surveillance

technique des int ervenant s
réalisé par sondage
par des personnes de la ext érieurs si l’act ivit é est
réalisé par une sous-t rait ée.
personne dif f érent e de f ilière indépendant e de
celle ayant accompli suret é La surveillance est
l’AIP. réalisée PAR l’exploit ant
Compét ences et qualif icat ions
Document at ion et t raçabilit é

perm et t ant de dém ont rer a priori et de vérif ier a post eriori le respect
des exigences déf inies.

Quelles sont lescaractéristiquesdu Contrôle Technique ?
Pourquoi :
➔ Conf ormit é aux exigences
Comment :
➔ Parade AdR
Qui :
➔ Personne désignée
➔ Habilit ée HN2
➔ Dif f érent e de celle qui réalise le gest e
Quand :
➔ Après le gest e t echnique (sauf except ions)
Comment f aire :
➔ Phase du DSI + procédure de cont rôle
NOTES :
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CSQ - Appropriation de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 67

Le risque
Qu'est -ce qu’un risque ?
Danger Risque Probabilité
Conséquences
VJJMMAA

Risques et parades
Risque
inacceptable
Risque résiduel
Probabilité
Risque
acceptable
Conséquences
Courbe de Farmer

L’Analyse de Risques: Quand ?
Analyse de risque : quand ?
Démarche de questionnement
Avant Pendant Après
Traçabilit é
VJJMMAA

L’Analyse de Risques: Pourquoi ?
Analyse de risques : pour quelles act ivit és ?

Pour chaque act ivit é
Analyse de risques : pour quels domaines ?

Pour t ous les domaines de perf ormance
VJJMMAA

L'Analyse de Risques: Quoi ?
Risques majeurs
Risques spécif iques de l’int ervent ion
Risques pour lesquels l’int ervenant peut

agir
VJJMMAA

Que permet l’analyse de risques?
Décider
AdR Inf ormer
Capit aliser

Culture sûreté / Levier de performance / AdR
At t it ude Démarche rigoureuse Communicat ion

int errogat ive et prudent e ef f icace
Analyse de risques
S’int erroger sur les risques
Applicat ion d’une Com m unicat ion dans l’équipe,
avant d’agir, sur l’ut ilit é et
mét hodologie t raçabilit é et capit alisat ion
l’ef f icacit é des parades
→ L’analyse de risquesest l’un des

principaux leviersde la culture sûreté !
VJJMMAA
NOTES :
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Quel est le risque FM E et sa signalétique ?
La prévention du risque d’introduction de corps ou produits étrangers

est identifiée sur les CNPE par le trigramme :
FME
Exclusion = Exclusion
M at erial = M at ière/M atériau
Foreign = Et ranger
FM E = Exclusion desCorpsou ProduitsÉtrangers

Pourquoi est-ce un enjeu vis-à-vis de la sûreté ?
ATTENTION
De nombreux objets ou fluides peuvent être introduits et laissés dans les circuits suite
à la réalisation de travaux ou par des comportements inadaptés des intervenants.
Des baguettes de soudure, limaille, copeaux…

Des écrous, vis, rondelles, goupilles, joints…
Des lunettes, casques, trousseau de clés, badges…
Outils (clés, tournevis…)
Ruban adhésif, vinyle, chiffons…
Dosimètre passif

Quelssont lesrisques?
Risque vis-à-vis de :
La Sûreté :
dégradat ion d’assemblages combust ibles, rupt ure
t ubes GV, indisponibilit é de mat ériels de sauvegarde
La Radioprotection :
transf ormation de ce corps étranger en corps irradiant dangereux
La Disponibilité :
Détérioration d’un appareil nécessaire à la production (alternateur…)
M ettre en œuvre les parades adaptées au niveau de

risque !

Quelles pratiquesde travail dois-je adopter ?
Identifier le risque (ADR / DSI) et mettre en place les parades

Utiliser l’outillage adapté
Mettre en œuvre les contrôles adaptés
Signaler les zones d’intervention à risques
Capitaliser les interventions

Protection descircuits ouverts
Protéger les circuits ouverts avec des obturateurs

adaptés
Avec dispositif
d’entrée d’air

M oyens standardisésde prévention
▪ Obturateurs FM E
▪ Signalisation FM E
▪ Outillages sécurisés
▪ Servantes
▪ Balisage chantier
Avec dispositif
d’entrée d’air

Quelle doit-être votre réaction face à un corps étranger ?
Tout corps étranger détecté doit être signalé sans délai
Le traitement prioritaire est le retrait
L’opération de retrait est effectuée sous Assurance

Qualité, après analyse avec le donneur d’ordre
NOTES :
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Pourquoi peut-il y avoir un risque lié à une modification temporaire ?
En cas d’oubli de la modification,

l’installation peut fonctionner dans un état ne
garantissant plus sa sûreté !
Danger
Toute modification temporaire doit être analysée, justifiée et

doit répondre à certaines exigences de mise en œuvre.

Il existe deux types de modification :
La " M TI" est une M odification La " DM P" est une Disposition et un
Temporaire de l'Installation M oyen Particulier, de courte durée,
autorisée dans tout état de autorisé dans un état de tranche ou
tranche ou de circuit, sur une d'un circuit déterminé.
durée plus longue, devant être On doit le retirer quand on change
limitée dans le temps et justif iée. d’état
DMP Un DM P introduit
Une M TI génère MTI un risque
un risque
pour la sûreté, la
identique disponibilité, la
quel que soit
sécurité, la
l'état de la radioprotection,
tranche.
l’environnement.

La gestion desDM P / M TI
➢ Une gestion administrative des DMP et MTI
➢ Une gestion physique et une signalisation

en local d’un DMP ou MTI (signalisation
différente entre DMP et MTI)
➢ Une phase de pose et de dépose dans le DSI
➢ Toute modification de DMP/MTI doit faire

l’objet d’une information à EDF

Conditions pour un Dispositif de Chantier
Une modification temporaire peut être considérée

comme un Dispositif De Chantier (DDC)
si elle répond aux 5 conditions suivantes :
1. Activité de maintenance.
2. Sous couvert d’une mise sous régime.
3. Ne reste pas en place après l’activité.
4. Pose et dépose gérées dans le dossier
d’intervention.
5. Une requalification intrinsèque et
fonctionnelle. APPORTS THÉORIQUES

ATTENTION
Les disposit if s pour gérer le risque FME sont

visibles et nécessairement démontés avant
remise en exploit at ion.
➔ Ils ne sont pas considérés comme des

DM P
NOTES :
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Que permet le Document de suivi d’intervention (DSI) ?
Prévoir l’exécution de l’intervention de maintenance, les phases de CT et les

points de notification
Faire le lien entre l’Analyse de Risques (AdR) et les opérations de contrôle
technique prévues dans le DSI.
Assurer la traçabilité
Vérifier la conformité aux exigences de la réalisation de l’intervention
DSI DSI DSI
Préparation des
Réalisation Et at final
t ravaux
Le DSI évolue au fur et à m esure des 3 phases de
l’int ervent ion
NOTES :
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La requalification de matériels
c’est s’assurer par le biais de cont rôles de

crit ères spécif iques, que le mat ériel
Requalifier→ conserve lesperformancesqu’il avait avant
l’int ervent ion de maint enance.
Si le mat ériel est EIPS, la

requalif icat ion est obligat oire.
© EDF – Brandcenter EDF
La requalification de matériels
Requalification Requalification
INTRINSEQUE FONCTIONNELLE
Critères technologiques: Critères fonctionnels :

tensions, intensités, courses…. température, pression, débit
Hors exploitation 1 sous – ensemble fonctionnel

En exploitation
Focussur la requalification intrinsèque desmatériels
Requalification Elle s’applique sur un matériel horsconfiguration

INTRINSEQUE d’exploitation.
L’intervenant f ait f onctionner une pompe en

suivant une procédure et des critèresbien
définis.
Touslescritèressont IM PORTANTScar ils
garantissent l’ensemble des perf ormances
retrouvées suite à l’intervention.
Le Chargé de Travaux s’engage auprès du

service conduite sur la f in de l’activité et la
réussite de la RQi.
ATTENTION A LA DIFFERENCE
Comment garantir la disponibilité et les

performances des fonctions de sûreté des Essais Périodiques
EIPS en situation normale d’exploitation ?
Comment s’assurer que la maintenance

réalisée n’altère pas les performances des
éléments en situation normale
Requalification
d’exploitation ?
Comment garantir la tenue des matériels

qualifiés en cas de séisme ou de conditions
accidentelles ? ?
NOTES :
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SEQUENCE 3 – MAITRISE DES ARRETS DE TRANCHE

• Identifier les grandes étapes techniques d'un arrêt de tranche

• Identifier les 3 rôles des Spécifications Techniques d’Exploitation (STE)
• Citer dans l’organisation d’un arrêt de tranche les 2 principaux interlocuteurs EDF pour un intervenant
• Citer la conduite à tenir en cas de dérive d'une activité sur le chemin critique d’un arrêt de tranche
• Identifier l’importance de la phase d’appropriation du dossier d’intervention pour la réussite de
l’activité pour l’intervenant

M ait rise des Arrêt s de Tranche
Qu'est ce que les Spécif ications Techniques d'Exploitation (STE) ?
Garantir la sûreté → Assurer lesfonctionsde sûreté → Respecter les

STE

Les Spécif ications Techniques d'Exploitation (STE)
RP AN/ GV AN/ RRA

Fixer les limites du
f onctionnement normal
API APR RCD
3 Requérir la disponibilité
des matériels et systèmes
En fonct ion de chaque ét at
rôles dom aine d’exploit at ion
de sûreté
anciennement « i0 »
Déf inir la conduite à tenir
en cas d’indisponibilité On parle d’Evénements
de groupe 1 ou 2
partielle ou totale d’un en fonct ion des syst èm es
matériel ou système im pact és
requis

Comment se prépare un arrêt de tranche ?
Début de vos
int erventions
V a l idat ion du Pr é parat ion

La n cement de la Pl a nification Lancement
p r ogra mme de d es
p r éparat ion l’arrêt
l ’ arrêt int ervent ions
de s activités de l ’arrêt
J0 – 24 S J0 – 17 S J0 – 12 S J0 – 8 S J0 – 4 S J0 J0 + 4 S J0 + 8 S
Préparation Réalisation Bilan de

de l’arrêt de l’arrêt l’ arrêt
Planning simplifié des phases d’un AT

Nota : S = semaine

Planning simplif ié d’un arrêt de tranche
Le retard d'une intervention sur le chemin critique impacte

d'autant la durée d'arrêt de t ranche

Quels éléments prendre compte pour le planning d’AT ?
Autorité de sûreté nucléaire Sécurité Radioprotection
Sûreté
Coûts
Règlementation
Environnement
Main- d’œuvre
Mouvements d’eau
Modifications Technique

Qui prévenir en cas de question ou retard sur le chantier ?
L’intervenant inf orme : Qui en inf orme ensuite :
Le Chargé de Travaux EDF Le Chargé de Surveillance
Le Chef de Chantier Le Chargé d’Affaires

Qu’est -ce que le chemin critique ?
Le chemin crit ique est l’ensemble des

opérationssuccessives qui conditionnent le
délai global d’un Arrêt de Tranche.
Un retard sur une activité du chemin critique occasionnera un

risque de prolongation de la durée de l’arrêt .
Informer immédiatement !

Respect du temps d’intervention
Une dérive du temps de mon intervention

probable ou avéré de 30 minutes ?
Inf ormer immédiatement !
NOTES :
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SEQUENCE 4 – REALISATION CHANTIER ECOLE
• Mettre en œuvre les pratiques de fiabilisation adaptées à la situation

• S'approprier une ADR pour mettre en œuvre les parades identifiées
• Utiliser un DSI pour la réalisation d'une activité
• Expliquer l'importance des 6 pratiques de l'intervenant pour fiabiliser les interventions
CSQ - Réalisat ion - Chant ier école 10
Quelles sont les6 pratiques de fiabilisation ?
Communicat ion
Pré job brief ing M inut e d’arrêt
sécurisée
Aut o cont rôle Cont rôle croisé Débrief ing
Qui ? Pourquoi ? Quand ? Comment ? Et points clés ?
10 Propriété d'EDF - Toute communication, reproduction, publication, même partielle, est interdite sauf autorisation
Pratiquesde fiabilisation
Qui Pourquoi Quand Point s clés
Juste AVANT de
Intervenant(s) commencer Résultat attendu - Risques (dont le pire) – REX
Pré job
+ responsable SE CALER l’intervention. Situations propices aux erreurs - Parades dont pratiques de
briefing désigné f iabilisation : qui f ait quoi ?
En cas d’interruption
Avant toute S’ arrêter devant le matériel

intervention. Observer l’ environnement réel de travail et détecter les
M inute risques potentiels (360°)
Intervenant(s) SE POSER
d’arrêt En cas d’interruption, Vérif ier les points clés (Rep. Fonctionnel, tranche…)
d’imprévus ou d’aléas Sécuriser l’ intervention
Lors de la transmission Émission de l’ ordre, des paramètres

Communi-
d’un ordre d’action, Inf ormation Claire-Complète-Ciblée
cation Intervenant(s) S’ ACCORDER
d’un échange de Répétition du message par le destinataire
sécurisée paramètres à enjeux Conf irmation/accord par l’ émetteur
Acte prof essionnel (donc usage courant)

CI BLER AVANT chaque nouvelle AVANT de réaliser l’ action.
Auto Intervenant(s) le geste, l’action à action SUR l’installation Identif ication à voix haute et en pointant du doigt sur la
contrôle r éaliser + idem contrôle croisé procédure l’ action à réaliser, sur le matériel le RF, simuler
l’ acte.
Quand la réalisation
AVANT de réaliser l’ action – A deux -
d’actions non
L’ exécutant indique par la voix et l’ ébauche du geste son
Contrôle VALIDER appropriées
intention de f aire et les points qui composent l’ action.
Intervenant(s)
croisé l ’action à réaliser peut aboutir à des
Celui qui contrôle vérif ie que l’ intention et le geste sont
conséquences graves
cohérents et donne son accord.
irréversibles
Intervenant(s)
Immédiatement Atteinte des objectif s ? - Écarts – Dif f icultés - Qualité des
+ manager ou PRO GRESSER et
Débriefing après l’intervention avec moyens et outils - Pièges - REX sur la mise en œuvre des
personne pr évenir pratiques – Pistes d’ amélioration…
traçabilité
désignée
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Quel est l'objectif d'un débriefing en fin d'intervention ?
1. Retenir et capitaliser les éléments

d’expérience
• sur l’activité
• et ses conditions de réalisation
2. Identifier et traiter les constats et
problèmes rencontrés
3. Identifier les sources potentielles
d’amélioration
A quoi contribue un compte-rendu ou un rapport de fin d’intervention?
L’Assurance de la Qualité
Au REX
ATTENTION
à leur qualité !
NOTES :
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SEQUENCE 5 – ROLE DE L’INTERVENANT POUR LA PROGRESSION DE LA SURETE
• Identifier l’objectif du REX et le rôle de l’intervenant

• Identifier les modes de partage du REX des intervenants prestataires / EDF
CSQ - CAPITALISATION 5
Pourquoi ?
Enjeu Enjeu Performance
Récurrence Récurrence Temps
Evénement s récurrent s Trait ement individuel Bilans/ Tendances
S’améliorer en continu – Améliorer nos performances – Anticiper les aléas
Qui ?
M ANAGEMENT L’INTERVENANT
EDF
EDF
Intervenant
Organisation du REX ! Avant une intervention :

Valorisation des bonnes pratiques ✓ Prendre connaissance du REX
Prévention des risques et difficultés Après une intervention :
✓ Transmettre les informations clés
Qu’est-ce que le « REX à l’intervenant » ?
« C’est l’ensemble des éléments qui contribuent à

mettre l’intervenant dans les meilleures conditions
pour réussir son intervention
en le rendant acteur de la boucle du REX »
« L’intervenant est le premier et dernier maillon

Intervenant
de la boucle du REX »
Comment ?
1. Collecte des éléments du REX au plus près de l’activité,

via le débriefing
2. Intégration du REX
Produits de sortie :
→ Modification de procédures
→ Fiches REX à l’intervenant
→ Optimisation de la coordination des
activités
→ Ergonomie des chantiers
→ Outillages…
fiches REX à l’intervenant
Finissez la phrase suivante :
« Faire du REX…
… c’est accepter de travailler pour les autres »
NOTES :
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UFPI / Processus professionnaliser / Sous-processus SAT3 DEVELOPPER

Auteur : VERMOREL Amandine ; BELANGER Alexandre Date de création : 01/03/2019

Date d'applicabilité : 14/10/2022

Ce DRS ne remplace pas de documents existant

Suivi des modifications

LAVOIGNAT Thomas 06 Mise à jour pour livraison 2022

Historique des versions précédentes :

VERMOREL Amandine 02 MAJ Seq 3

LAVOIGNAT Thomas 03 Ajout thème « irrégularité »

MASAY Mathilde 05 Traitement écarts documentaires (Janvier 2022)

Libre EDF interne SA Restreinte Confidentielle

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 2/67

EDF - Direction du Parc Nucléaire et Thermique - Division Appui Industriel à la Production

OBJECTIFS PEDAGOGIQUES GENERAUX

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 3/67

SEQUENCE 1 – ACCUEIL ET SENS DES REGLES

• Situer le module dans le cursus de professionnalisation,

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 4/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 5/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 6/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 7/67

DEFINITION D’UNE IRREGULARITE :

Didier Michelet, chef de service Sûreté Qualité

Supprimer un des trois critères permet de réduire sensiblement le risque.

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 8/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 9/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 10/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 11/67

SEQUENCE 2 – APPROPRIATION DE L’ACTIVITE PAR L’INTERVENANT POUR LA

• Identifier la réaction de fission de l’uranium 235

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 12/67

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 8

Quelle est la définition de la Sureté nucléaire ?

« La sûreté nucléaire est l’ensemble des dispositions

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 9

Garantir la protection des intérêts contre l’ensemble des

La sûreté nucléaire est le moyen de protéger les intérêts

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 13/67

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 10

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 11

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 14/67

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 15/67

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 14

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 16

COMPLEMENT SÛRETE QUALITE

Référence : UFPI-OP3-ERQ-18-00003 Indice : 06 Page 16/67

CSQ - Appropriat ion de l'act ivit é par l‘int ervenant pour la 17

Elle doit maît riser la réact ivit é en t out es circonst ances,

Protection desint érêts