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ET
E 111 E LAT1
A T U EGLE
ESURES EGULATI
Q
SO~~A/RE
9
P ~ ~ S S I ~ ~ 43
T 59
ITS 75
111
NIVEAUX 131
ACCESSOIRES 147
161
165
179
195
207
ES )’ 233
b
T
J E
II TI
F
VE
LE CARNET DU RÉGLEUR
esures Régulation
Préface 1...
Prologue 3 ...
Présentation du carnet 4 ...
Préliminaires 9 ...
-.
Un peu de calcul 9
RBgle de trois 10 ...
...
.Fondion lindaire 13 ...
.Construction graphique 15 ...
les unités qu'il faut connaî'tre ... 17
--.Forces
Un peu de phydqu
et moments de forces ... 19
.L'atome et les rayonnements ...21
.Longueurs d'ondes ...22
- Un peu d l ~ l e ~ r i...~23i t ~
. O = R.J
- M ~ ~ fondam e $ mesurage ...27
-Stabilité et fiabilité des mesures 31 ...
- 1 n ~ ~ i...t 33
~e~
...
D ~ b ~ t s75
...
Niveaux 131
.Appareils utilisant des plongeurs
.Utilisaîion des capteurs de pression
.Autres tediniques de mesurage
Accessoires ... 147
. Accessoires d'installation pneumatique
.Convertisseur YP, PA ...153
. Enregistreurs
. Instruments de calculs ...157
ion des capteurs ...161
...
Vannes 165
..
Posidonneur 171 ...
Cavitation 173 ...
.
Autre onneurs ...175
Régulateur 179 ...
.Fonction Proportionnelle ...180
. Fonction DérivBe ...188
ProcédB ... 195
Régulation 207 ...
.Schémas fonctionnels
.Action discontinue
.Action P
.Action P + I
.Adon P.I.D.
.Mise en service d'une r
.R.Q.û
Daniel Dindeleux
Dcctsur &Universi
3
C'était dans les années 50 ; élève de renseignement technique, j'tstais ,pendant les
vacances scolaires , en stage dans 1' usine de produits chimiques où travaillait mon
pers . Nous nous sommes occupés de la puissance "a-t'il dit en parlant de sa
It
génération, " la vôtre fera le système nerveux de tout cela, elle s'occupera de
Vinformation ".
t)
Jean-Marie Valance
ingénieur E N ~ C ~ E N S ~ M
Régleur, animateur de formation,
auteur, tlditeur, ...
3
CONTENU.
proCid4 : FOUR
C t iOnAsUr
consigne
4
5
CO T UTILIS
1/ II est possible de lire le carnet comme un cours (de la page 1 à la page 236) dans
ce cas, prévoir plusieurs semaines : un texte technique n'est pas un roman !
21 L'accès à un sujet précis est facile en utilisant
- la table des matières
- ou l'index page 305
31 Vous pouvez aussi prodder comme bon vous semble ... après tout c'est vous qui
lisez I
5
6
1 PAGE 26
ENCART I 781179
Y0 CART 74/75
6
7
UES
2 $ ~ ~:nous
i ~ reconnaissons
n tous l'importance de la normalisation dans notre
comme dans la vie quotidienne (si la visserie n'&ait pas
~r~fess~onnelie
normalisée 3 Quel cauchemar ! ).
Alors pourquoi ne pas participer à cet effort col1 ctif en modifiant (un peu) nos
habitudes pour cette nkessité ?
ettre au juste !) ne
Un peu de calcul
Centretien des instrdments de mesure et rbgulation n'exige pas des connaissances
math6matiques importantes, par contre il faut savoir effectuer rapidement et sûrement de
nombreux p d t s calculs.
Compte tenu de l'état d'énervement, et, ou de fatigue durant une intervention, il est bon
...
d'acquérir pour ces calculs, un "automatisme infaillible"
IIy a un truc : écrire les unités composées SOUS leur forme réelle.
144 km à l'heure (ou par heure) = 144 km divisés par une heure.
puis changer les unités simples : 144 km = 144 000 m
1 h=36OOs
O
81=- 1 O00 m3 notez Ilutilisation des tt;acticjns, beaucoup plus sûre que
I'kriture avec des O ( 8 I =O, 008 mSr 1 1 d=70001
1s=
II= 1 l 0
m 3
8
--
81 *mm3
impresslonnante fraction ds fractions, mais rappdez vous :
1 s- -
ON NE DIVISE PAS PAR UNE FRACTION, ON MULTIPLIE PAR
3 SOO L'INVERSE,
--
81
1s- x = 28,8 m W
Type de question :
un transmafteur de niveau donne un signal de sofiie variant de 4 à
20 mA quand le niveau varie de O à 10 m. Quel est le niveau si le
signal est de 14 mA ?
Ce genre de question se pose constamment pour toutes les grandeurs
signaux standards (4 à 20 mA, 3 à 15 PSI, 200 à 1000 mbar)
ignaux sont "dbcalrérs" :le zéro de la mesure ne correspond pas
à O mA, O PSI, ou O mbar I
Le truc consiste à utiliser une représentation graphique c'est-à-dire un papier, un
crayon et un croquis ! utiliser directement une calculette est une erreur : le
résultat sera certainement faux. 11 vaut mieux commencer par un croquis.
VOIRREMARQUE R 1 page 7
m
4 mA 20 mA
Pour le signal de sortie les nombres à utiliser dans les calculs ne sont pas les
valeurs du signai :
O 4 mA 8 12 16 20 mA
in (14-4=1ûmA)
10
PRELIMINAIRES 11
En écrivant les unités, on vérifie, en "simplitiant" qu'il reste des m (c'est ce que l'on
cherche)
I o rn 'OmA
=6,25m
16 mA
Vbrification immédiate :en situant sur le croquis le résultat qui vient d'4tre trouvé.
14 mA
6,25 rn appardt en meilleure position que les 7 rn ou 8,75 rn qu'on aurait pu trouver en
oubliant le décalage d'échelle.
Autre exemple : mQmecapteur-transmetteur que ci-dessus. Le niveau est de 8 m,
ambien de mA doit-il y avoir en sortie ?
Om
O mA
16 mA x 8 m
10 m
2
1 On cherche des mA, on commence par I'4chelle en mA
2 On divise par l'autre échelle
la donnée
16 mA x 8 m
= 12,8 mA
10 m
V4rification :
8m
ni
mA
16,8 mA
Sur le croquis :à 8 rn correspond un signal entre 16 et 20 mA, les 12,8 mA ne collent
s,cbst 18 qu'on SG rapp Ife ds + 4 mA, à nouveau l'intérbt du croquis I
Ur de -
pression électronique (4 20 mA) a une
leur normale de ~ ~ ~ ~se s~irsitue naux environs
e ~ n t
utour de cette vaieur rend le ~ p ~ ~ u r - ~ a ~ $ ~ t t ~ u r
r une prasdon de 30
sîà16rnA?
-LE Eï DU R R- 11
12
20 29 30 31 32 bar
4 8 12 16 20 mA
l/ 12LnaA
21 31 bar ( sans calculerte !)
O Oc
a00 1 000mbar
1/ Quelle est la température si le signal est à 820 mbar ?
2i Quel est le signai pour 90°c ?
820 mbar
200 mbar (déc
l/ 100% x 620mbar
800 mbar
= 7 7 3 'C
127,5 Oc
90 *c
21 -
5ooc
800 mbarx 40 *C = 320 mbar
1 O0 O c + 200mbar dk
520 mbar
20 bar 32 bar
100%
12
PAELIMINAiRES 13
Dans c8 cas, le decalage du signal disparait des calculs. L'instrumentiste devra
toutefois retenir que 0% correspond à 4 rnA, 3 PSI, ou 200 mbar. Autrement dit, à 0% le
dgnal de sortis n'est pas nul {le signal de sortie est nul seulement si l'alimentation du
~ ~ e u r - t ~ n s m e t tou
e usa
r liaison est coupée !).
Remarque : l'utilisation de % s'applique aussi bien aux variations de l'entrée du
~pteur-transmetteur(grandeur mesurée) qu'aux variations du signal de sortie (4 à 20
mA, 3 à 15 PSI, 200 à 1000 rnbar) de toutes façons, quand tout va bien, si la mesure
varie de O à 1 OO%, le signai de sortie varie lui aussi de O à 1O P ! I
Mais attention, on ut avoir deux cas :
O 10 2030 40 50 60 70 80 90 100
O 30 50 70 90 100
Lorsqu'on a :
O 10 2030 40 50 60 70 80 90 100
O 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100
On dit : la relatlon entre I'entrde et la sottie est linéaire ou la sortie est une fonction
linéaire de l'entrée "ou le signal de sortie est proportionnel t ) la grandeur mesurée ".
Pourquoi dit-on "Iin4aire" ? :parce que la représentation graphique de la relation entre
I'entrée et la sortie est une ligne droite.
K10
/
90
80
70
60
Si on a :
O 10 2030 40 50 60 70 80 90 100
O 30 50 70 90 100
La ssrtre est une fonction quadratiq au carré de
cas d8s d ~ b jmais
~,
14
La représentation graphique d'une fonction quadratique est une parabole :
U30
90
80
70
60
'10
(km.2)
Trac4 du graphique : se donner des valeurs pour 8
et calculer
=2xo=o
sle=1 -52x1 = 2
sie=2 =2~2=4
=2~3=6
etc ...
Avec les couples (0,O) (1,2) (2,4) (3'6)etc... tracer
des points comme à la bataille navale
Remarque :tous les iques représentant une relation entre deux grandeurs sont
faciles trulre : prendre l'initiative d'inventer des valeurs pour une
et calculer les vaieurs de l'autre avec la relation. Quand il y
1
2 d t P=z(FXF)
se r e n ~ t r e en
r mesure d bit (F)par pression
14
PAELIMINAIREÇ 15
c
10;
15
16
Om 8m
4 mA 20 mA
La relation s'écrit sous la forme :
S=kXû+b
k =2 ~ m )
( 2 = 1 6 m 18
b=4
r-
UNiTES USL LLES EN lNSl WMEI TATION
Anciens
-O (D
Grandeurs SI O Observations
Systèmes E
3
-
mm,m,m mètre m le "micron" (millibme de
2 2 2 2 mm) x = l jim
mm,cm,m 1 O00 O00
mètre carré m
cm3 ("cc") 1 m3 =1000 litres
mètre cube m3
d ,I ... i litre = 1000 cm3
f kilogramme
voir (1 ) a-dessous
" kg '' ( kgf ) newton
kgf / m2 pascal
;ilogramme pal
/ mètre cube (3)
D'autres unités sont indiquées t ins l'annexe UNITES, page 285
(1) le poids d'un corps est une FORCE dûe à "l'attraction universelle" ( loi de
Newton' 1
Le poids est égal au produit de la masse du corps (kilogrammes) par I'accl8lération
de la pesanteur à l'endroit où il se trouve.
L'acdlération de la pesanteur (symbole : g, unité: mlsfs)est variable avec l'altitude
et la latitude ( voir page 254 {'Annexe "g ")
Donc le poids d'un objet (p = m x g, en newtons) est variable, par contre sa masse
est une constante (exprimée en kilogrammes)
Dans la vie courante, on continue à utiliser un vocabulaire imprécis sous prétexte
qu'il n'y a pas de confusion possible, ainsi on parle de POIDS pour une balance
alors qu'il s'agit de ~a~~~~ :elles sont marquées en grammes et kilogrammes I
(2) Le bar (symbole : bar) n'est pas l'unité du SI. C'est un sous-multiple du pascal
(symbole :Pa) à titre transitoire cab sa valeur est proche de l'ancienne unit4
kgfimg ,dont 1 est absolument proscrit on France depuis 1962.
Pour les G A Z , la densité (qu'il vaut mieux ne pas utiliser) est donnée par rapport
POIDS VOLU
1est parfois utilid le poids volumiqueou poids spkifique des corps, c'est le poids
(en newton) d'un rndtre cube du corps, désigné par le symbole IiJ @I) ;IIest lié à la
masse volumique par la relation : uf zs p.g 00 l'on retrouve accélération de la
pesanteur (voir c ~ ~ e $ s u s ~
18
n aidée de quelques souvenirs scolaires fait que tout un chacun a une petite
8la notion de force, mais pour utiliser et calculer des forces (comme nous
à le faire, en mesure de niveaux par exemple), il convient de préciser cette
FI est le poids ( m x g)
F2 est ia force du ressort
.
L'unité de moment de force est le newton-mètre (Nm) Lorsque les forces sont
appliquees par I'intermediaire de bras de levier, 1'9quilibre est obtenu par une égalit6
de moments.
ExempJe :
.
c7
<ci
r
c-,
.
Equilibre si f L = I . F
Dans la plupart des problèmes pratiques, il n'y a que deux catégories de forces, celles
qui feralent tourner l'objet dans un sens, et celles qui le feraient tourner dans l'autre
sens.
Pour l'équilibre, II suffit alors que l'addition des moments des unes, soit
l'addition des moments des autres.
Exemple :
20
PRELlMlNAlRES 21
La matière (bois, eau, air, acier, peau, etc ...) est constituée d'un grand nombre
d'atomes.
L'atome est un petit univers dont le centre ou noyau est composé de particules liées
entre elles par les forces d'attraction nucléaire.
Autour du noyau, gravitent les électrons (un peu comme les satellites mais avec des
trajectoires très variables). Les électrons sont maintenus dans le voisinage du noyau
par l'énergie des protons.
l'atome est donc composé de "grains de matière" et d'énergie. Tous ces composants
sont appelés particules. Si pour une raison quelconque, l'atome libère une de ses
particules, il y a rayonnement. Un rayonnement provient d'une particule en
mouvement.
Par exemple, le rayonnement p provient d'un électron en mouvement en dehors de
l'attraction du noyau.
Une particule d'énergie libérée de l'atome s'appeiie un photon Le rayonnement
associé à un photon est caractérisé par sa longueur d'onde h ( "iambda")
Parmi les rayonnements de photons, Ie plus connu est la lumière
- longueur d'onde h = 0,4 à 0,8 pm (pm = "micro - mètre" = "micron")
D'autres rayonnements (ondes ~ie~romagnétiques)
sont indiqués sur
*l'khelledes longueurs d'ondes" page suivante
J- 21
22
FCHFf 1 F-PESI ONGUFURS D'QîUES
bs ondes : se propagent par vibration de la matière (gaz, liquide ou
solide)
exemples : - ondes sonores : fréquences = 8 Hz à 30 kHz
( voir l'annexe bruit page 241 )
- ultra-sons : fréquences plus élevées
: tous les corps quel que soit leur état émettent de
l'énergie sous forme d'ondes électromagnétiques. Ces ondes sont essentiellement
caractérisées par leur longueur d'onde Â, (lambda) exprimée généralement en
"micron"(1 pm = 1O* m ) quelquefois en angstroem ( 1 A" = 10.10 m )
Le terme onde #ectromgndtique est très général et couvre un domaine trds vaste :
-Rayons cosmiques :Â, plus petit que 104 A"
- Rayons gamma ( y ) :Â, de 0,005 à 0,25 A"
-Rayons X :jusqu'à 0,001 pm
-Les ultra~olets:0,02à 0,4 )un
-tes rayons visiMe :0,4 à 0,8 pm dans l'ordre de l'arc en ciel :violet, indigo,
bleu, vert, jaune, orange, rouge ("VIBUJOR")
-Les infrarouges :0,8 à 300 prn
-Les ondes radio-électriques :du mm à plusieurs dizaines de km.
C
La longueur d'onde ild'un rayonnement est lié à sa fréquence f par la relation :A = 7
c est la vitesse d8 la lumi re = 301) O00 km/s = 3.108 m/s
Exemple :si f = 1 kHz (164 000 @'cyclespar seamde'*)la longueur d'onde est de
300 O00 000
164 O00 resparcyde ondit " h = 1 8 2 9 m M
22
PRELIMINAIRES 23
4
l J a 6 2 5 x ï 0 ~ )ze:o2,5V
t de 4 20 mA,
23
24
ia résistance à utiliser sera :
1 o x 1 O00
20 IJ 500r;l!
Avec ces 625 n la tension varie de 2,5 V à 12,5 V. C'est à dire de 10 V quand le
courant varie de 4 à 20 mA. Il suMt de décaler le zero Rour obtenir :
24
PRELIMINAIRES 27
METHODE DE DEVIATION
1
Lorsque i'aiguille s'arrête, on a : R=g x et x=2xF
1
donc R=z x 2F
soit R=F
qui s'4nonce : i'aiguille s'arrête lorsque le déplacement (ia deviation) donne au
sort une force de rappel égale au poids.
Cornmentair
Cette méthode présente l'avantage de la simplicit6, mais il faut remarquer que
l'énergie nécessaire à la déviation est prise à la grandeur mesurée, ce qui, dans
certains cas, fausse sérieusement le résultat. De plus, toutes les forces parasites
introduisent une erreur (frottements, vibrations par exemple).
2 l METHODE ' OPPOSITIO
La méthode consiste à opposer une grandeur connue à celle que l'on veut
mesurer. On détecte le moment où les grandeurs sont égales. A t'égalité, on lit la
valeur de celle qui est connue. Par exemple, sur une balance, on met des poids
jusqu'à obtenir l'équilibre. Lorsqu'il y a égalité, le poids connu est égal au poids
mesuré.
Sur ce principe, il existe une mesure de tension (volt ou millivolt) très utilisée sur
les enregistreurs électroniques :"mesure potentiométnque"
Un potentiomhtre est une résistance électrique dont on peut faire varier la valeur.
u
Le murant connu I ( i = R )* traversant (entre autres la portion de rdsistance r Cree
une tension conn V (V = r.1) Cette tension V est opposée à la tension à mesurer Vrn.
Le 0a)vano~~tre ecte le murant allant d8 la plus grande des tensions vers la plus
pstite.
Si 10s tensions V et Vrn sont égales, il n'y a plus de courant, le gaivanom4tre "est à
re "est à zéro" c'est que V =: V La valeur de
tension (la ~ ~ d ~ a test
i oen
n Y puisque f est
connu).
* S nécessaire voir la loi d'Ohm, page 23
2%
PRELIMIMIRES 29
Les appareils numeriques (ou digitaux) outre leur facilité d'emploi (lecture facile)
t g4néralement des instruments de grande precision.
ntion : cette précision ne doit pas &re le fait de l'affichage (il est facile d'afficher
quatre chiffres derrière la virgule), elle doit provenir de la technologie
numérique employée.
c'est I'association :
- d'un ghérateur de "rampe" t ensian
sion croissant de façon (VORS)
temps (secondes)
8 ~énéra~ement' les rampes
es constituent une
sion en "dent de scie":
temps
'une " h Q r t o ~ :~ "en fait un
eur ~impulsions,toutes
isscondes par exemple.
s ~ ~ ~ u î $smt
~o~ n sm p t ~ ~ s .
GE - L E UR- 29
30
- d'un aomparateur : compare la
tension il mesurer kr. la tension de
la rampe.
Cette methode de mesure de tension est très précise et ne puise pas son énergie à la
tension mesurée.
Toute les grandeurs électriques qui peuvent être transformées en une tension, peuvent
btre mesurées de cette fagon, mais aussi toutes les grandeurs que l'on peut mettre
sous forme d'une suite d'impulsions, par exemple les rotations.
-4
30
PRELlMlNAlAES 31
6 ou pluîôt, l'instabilité à court terme qui est le problème du bruit' mérite une
particulih. C'est certainement à l'heure actuelle, le principal facteur ds
ons contre lequel il faut agir du fait de la proliftkation des ensembles de
ont &alement dûs soit aux appareils eux-mêmes, soit aux process :
it de constitution
t de la mesure elle-rn4me
par contre sont toujours délicats ci réduire surtout f). il faut étudier
31
32
pendant, si la ~ ~ u r est b telle
~ que
~ ~la mesure
n
sé par exemple), la solution qui constitue modifi
l'industrie. La notion de
tablir des bases de définition, de prévision
32
PRELiMlNAlRES 33
ure", vue par un instrumentiste, est issue d'un appareillage plus ou moins
ajuster ("étalonner") dont l'implantation, toujours délicate, permet d'obtenir
r plus ou qoins représentative de l'état réel de la grandeur mesurée.
r l'exploitant, est correcte si elle indique la valeur souhaitée, elle
les autres cas ...
bcialiste, plus objectif, sait que la valeur indiquée représente ce qui est mesuré
e certaine précision (11% par exemple) mais il reste toujours une certaine
t15 pour que la valeur indiquée soit totalement différente de la valeur vraie (par
si l'appareil reste bloqué sur une indication, 11% ne signifie plus rien)
réclsiont0 et de la probabilité pour que cette précision soit
est une démarche souhaitable pour essayer de chiffrer un
la mesure que toute personne qncernée pourrait accepter.
utilisateurs tiennent à &re "sécurisés" par des chiffres absolus, même si ceux-ci
dictionnaire & consulter quand on n'est pas s0r d'un mot est la norme NF X 07-001
termes les plus frhuemment utilisés sont :
3.M 33
34
FIDELTTE :aptitude à donner des indications concordantes entre elles.
JUSTESSE :aptitude à donner des indications égales à la valeur vraie (après
ajustage).
Exemple : le matériel de laboratoire est juste mais trop fragile pour être
fidele, certains appareils anciens sont fidèles mais trop rustiques pour 6tre
justes.
LlNEARUE :
Valeur vraie
:d é ~ n ~ donnée
~ o n en page 35
CLASSE DE PRECISION :
ce terme est utilis4 pour des appareils de même fonction ayant été
testes dans les m mes conditions définies par l'usage ou par une
norme. La classe donne en % de la deviation maximale, l'erreur
m i m a l e que l'on risque d'obtenir en tous points de l'échelle.
34
PRELIMINAtRES 35
ique :on parie de "precision relative" Si une température est de 50" c f2"c,
Exemple : 82,4 m3 / h f O, 7 m3 / h
+41,9mVh f O12m3/h
124,3m3/h f O19m3îh
produit, quotient, racine
L'erreur relative maximale est ale & la somme des erreurs relatives.
A - 1 5 0 m e s u r ~ à l% prés (A=15Qi:l % )
B = 4 0 0 & 1 %prés
ET DU RKjLaJR - 35
36
er T f 2,5%
Intuitivement on pense qu'il est peu probabie que les erreurs J: s'ajoutent, en effet une
vaieur plus probable de l'erreur possible est obtenue en utilisant une loi qui se rattache
à la thhrle des probabilités ;
:elle consiste à calculer la racine des carrés des "précisions
relatives".
Pour l'exemple ci-dessus ,
= J1 + 1 + 0 , 2 5
l'écart type ou écart moyen quadratique est un indice caractérisant la dispersion des
r6sultats obtenus dans une série de mesurages de la même valeur d'une grandeur.
II est utilisé pour définir la "précision" d'un appareil (constructeurs ou laboratoires
d'essais)
symbole: s
unité : pas d'unité, c'est un indice d'écart
Le calcul statistique indique qu'il y a 95 chances sur 100 pour que la valeur vraie soit
comprise dans un intervalle de f 2
La valeur vraies est quelque part dans la zone hachurée et encore, pas toujours,
seulement dans 95% des cas.
De même, il y a :
d ~ ~ i ~w ~exemple, ~ ~ voir f NF
f sX 10102)
%, par aonvention cet écart type relatif est
36
PRELIMINAIRES 37
// -- - -
__..
+&une "précision relative" de f 1% correspond un kart type relatif de f 0,5% et
II faut remarquer que cette erreur absolue, est la même en tous points de l'échelle.
ou en erreur relative :
erreur absolue - f5 mbar
valeur mesurée - 100 mbar = S%a
J- E - LE 37
30
L'énumération des erreurs est en quelque sorte une énumération des causes. La liste
ci-après pourrait faire l'objet de plusieurs livres.
Ici, il sera laissé libre cours Ci l'imagination de l'instrumentiste pour minimiser les
influences, voire supprimer les causes.
Erreur de principe de méthode
Erreur de lecture
Erreur de mobilité
Erreur d'hystérésis
Erreur de justesse ou d'ajustage
Erreur dur, aux grandeurs d'influences
Température
Pression statique
Variation de l'alimentation
Vibration
Temps de fonctionnement (vielîlissement)
Humidité (pluie, neige)
Bruit :champ magnétique Blectrique, onde électromagnétique
Erreur sur le zéro
Erreur de précision
Température vra
L'erreur relative maxi de la chaîne à pteincs BGheile (précision) est égale & la somme
urs relatives (précidons) de chaque composant.
et = 1%+1% = Ph (*Ph)
L'erreur absdue (calculée sur la pleine &elle puisqu'il s'agit de précision) est de :
La valeur vraie quelque sajit le point de mesure est comprise dans un intervalle de
f 5°C
38
PRELlMINAlRES 39
r relative au point de mesure :
....... ..
Le capteur utilisé est réglable sur une plage de 1 200 à 7 O00 kPa : il est ajusté
- 2 000 kPa. Calculons, à l'aide de la notice de l'appareil, l'erreur globale
sion) dans ces conditions d'emploi.
PRÉCISION :
39
40
INFLUENCEDES VlBRATIelNS
2 O,% % de !a limitesüpllrieurede la gamme par g jusqu'h 200 Ht
dan5 n'importe quel axe.
INFLUENCEDE L'AUMENTATION
Inférieureà 0.005% de l'&tenduedu signal de sortie par volt.
INFLUENCEDE LA CHARGE
Pas d'effet h pari la variation d'alimentation fournie au transmet-
teur.
INFLUENCEDE LA POSKION DE MONTAGE
Décalage du zéro allant juçqu'à 2.5 kPa (25 rnm d'eau) qui peul
ëtre élirninb par étalunnage. Pas d'effet ÇUI la plage. Pas d'effet
dans le plan de la membrane.
er = x 100 = 1'16%
Comme II est Indiqué ailleurs que l'appareil (partie capteur) supporte plus de
10Uoc,on peut fmaginer des conduites de liaison courtes, elles transmettront la chaleur
des conduits vapeur par condudon ; nous supposons une temperature du capteur de
l'ordre de 516%.
La plage ajustés est 2 O00 kPa, prenons un effet total de f 3,15% par 56"c.
40
PRELIMINAIRES 41
2 O00
- 1 200
2,5 x 800 = 0,34 (voir règle de trois page
5 800
a-:
La pression statique est de 12 MPa (120 bar)
41
42
b) ; II suffit d'informer le
constructeur que l'appareil doit fonctionner à 12 O00 kPa de pression statique, ou
l'appareil a été ajusté en pression atatique par le dient..
Prédsion -c f 4,4%
Prédsion = f 1,2%
C'est une bonne précision pour une AP de 1 500 kPa à 12 O00 kPa de pression
statique. Encore faut-il constater que l'appareil travaille trBs en bas de sa gamme, si le
meme transmetteur mais de gamme 300 4 2 O00 kPa avait été choisi, la pr6cision
aurait été atteinte dans tes memes conditions i
:Vdrifier, en reprenant le 24me exemple depuis le debut, que les
performances de précision seraient effectivement meilleures avec une
gamme de 300 4 2 000 kPa.
42
PRESSION 43
donc la pression exercée par la brique sur le sable est plus grande.
~ 8 n ~ o ~ n mainten
oir na^ s u p ~ ~n'augmente
m ~ ~ en rien la hauteur
h ( mais perturbe la veine fluide).
43
44
i000 cm2
F 10 N (poidsdeiamasse 1kg)
La pression à gauche est de :g = cm2
La pression est la mQme à droite (meme horizontale) d'où une
force=PxSEl-x cm2 1 O00 cm* = 10 000 M
L'équilibre s'établit avec une masse de 1 O00 kg (dont le poids z
10 O00 N).
(1 O00 fois la
les liquides)
<
Donc, les forces exercées sur les fonds seront les mêmes (Force = pression x
surface). Pourtant si les volumes sont de 1O I et de 1 m3, if y aura seulement 1O kg
d'eau dans l'un, mais une tonne dans l'autre !
L'intuition s'y perd, c'est pourquoi il a fallu attendre Pasal pour trouver cela, mais
c'est aussi une raison de bien connaître :
P=h.p.g
pression .exercée par une hauteur de fluide (liquide ou gaz) est appeib pression
UL DE PRESSION HYDROSTATIQUE
elle est la pression dans 1' u 10 m de profondeur 7 ,I
m h . 9 . g avech=lOm
(1 000.6) en kgim3
=;
= 1 O00 kglm3
g = 9,80
t- 10 x 1 O 0 0 x 9,8û = 98 O00 Pa (presque 100 kPa, pour un bar il faut 10'2 m).
enir : 10 m da colonne d'eau exercent une pression d'environ 1O0 kPa
m CE = 1 bar soit 10200 mrn CE =z 100 O 0 0 Pa
1 rnmCEê:lOPa(l daPa:1 deCapaScai)
45
46
Lorsqu'm parle de pression, il est indispensable d'indiquer si on a tenu compte ou non
de la pression atmosphérique ( Pamb)
Elies offrent des possibiiiths int ressantes, au besoin elles peuvent être réalisées par
~ n s ~ u m e ~ t i sLe ~ e une hauteur h et appliquer P = h.p.g
t e . ndpe est s i ~ :~m8surer
exemple :1 m d'eau t 1O kPa (exactement :10,13 )
Liquides cciuramment utilis
Huifs de vaseline colorbe m rouge
den 0,851 à2OOc
OQ1:-Xioc
46
Le mercure (Xg) toxique, est maintenant prohibé
densite :13,5458 à 20°c
-
congélation : 38"c
'eau" utilisent en fait de l'huile colorée qui ne
bit pratiquement pas d'évaporation (tension de
&ion des tubes n'a pas d'importance puisqu'on mesure h, un tube en vinyle
sparent Q 4 x 6 convient très bien dans la plupart des cas.
3. R - 47
48
L'unité de pression (il n'y a bien sûr qu'une seule unité de pression dans le Système
International) est le pascal, mais par habitude on utilise beaucoup d'autres
expressions , certaines sont tolèrées à titre provisoire ,la plupart sont illégales.
Les six grandeurs qui sont interdites en France sont indiquées id pour permettre la
compréhension éventuelle de vieilles notices .
48
PRESSION 49
----r--
kp/cml
alm 1 Torr
mmHg
mm CE
t
I O5 10.5 1
1.010 716 0.986 923 O 750 062
'.IO>
1.019 716
.IO'
i N/niml
IMN/m7
,l MPa
1 bar
10fi 1
I
I-
I l0 1°'
10.197 16 9.869 23 0.750 062
.lot
1.019 716
10%
I
1 daWcm'
1 mbar - 1
10'
1
10 '
lot
'
I
1
l 10' 1.019 716 0.986 923 O 750062 1.019 716
' 101
10.197 16
1 kp/cni'
1 9RYf$5 1 98.066 5 0.980 665 0.980 665 1 104
-1-r
14.223 31 0.3937
10 10' 1O'
1 1
---A---
1.013 25
1 1.013 75
10'
1.O3322 7 10.332 2 7
1O'
4.695 950 0.4068
1 1 ~
1
O.' I
1.333 224 1.333 224 1.359 510 1.315789 1 13.595 10 1.933 678 0.5354
.1 10.' 10.3 10.7
I-- I
1 ib/,"'
I
= I6.89,:(57
I
I I
6.894 757 6.894 757 68.947 57 7.030 696 6.804 596 51.714 97
10.' IO-' 10.7 10-7 l1 7.030 696
IO' l I 27*6801
l '' CE 1 ":"O>" 1
I I
2.4909
10
I
1
2.;" 2.4909 2.540
10.'
20;.!3 1.8676 25.4 0.36127
10' 1
49
50
Comme pour tous les instruments de mesurage qui sont présentés dans le CARNET,
l'opération d'ajustage (mise au juste, anaennement "étalonnage") consiste à :
11 : générer la grandeur que l'appareil aura à mesurer dans l'unité de
fabrication (de préférence avec un fluide pratique :de l'air, de l'eau, de
l'huile, ...).
21 M F S U W : la grandeur simulée avec un appareil précis (s'il est fragile, ce n'est
pas grave, ça se passe à l'atelier)
3/ U S T F R : l'instrument pour qu'il fournisse une information correspondant à celle
de l'appareil précis, c'est-à-dire un certain nombre de mbar ou de mA
qu'il aura fallu calculer au préalable.
Simuler avec l'air comprimé de l'atelier jusqu'à 7 bar, au-delà une presse, un groupe
compresseur ou une balance manométrique dite "à poids morts" (page 52)
Mesurer avec un manomètre de précision (on disait "étalon" ou "de vérification" mais
ces deux termes doivent être réservés aux services officiels), superbe appareil
mécanique dont la précision atteint f 0,06%. Les manomètres électroniques, moins
fragiles et de moins en moins chers sont encore plus précis. Un appareil de qualité doit
également litre utilisé pour mesurer la sortie du transmetteur électronique ou
pneumatique que l'on va ajuster.
Ajuster c'est une affaire de tournevis sur les réglages de "zéro", "d'échelle",
éventuellement de "linéarité". Des explications sont données dans les notices des
constructeurs, mêmes pour les manomètres, mais la pratique est indispensable, elle
peut dtre acquise par apprentissage à l'atelier. Quand au calcul des milliampères ou
des millibars à la sortie du transmetteur, le C A R N n DU REGLEUR est fait pour cela
(règle de trois, page 11)
* à l'attention des anciuns du métier : bien sûr, moi aussi j'ai pensé "étalonnage des
mesures de ~ ~ s s mais ~ n faisons
" un effort, le langage évolue ! voir R2 page 7
50
l
Dac. SCANDURA
52
PRESSMN 53
voirpage 5%
E - L E Du UR - 53
54
ia pression par î'intermédlaire d'une membrane déforme une p k e sur laquelle sont
w,des jauges-ds contraintes assodées en pont de Wheatstone
résistancstspour mesuw Pu
ée permet dbbtenir un 8
La menbrane soumise B la pression (par oontact direct ou par I'intermedidre d'une huile
de protection) est une des *pJllques" d'un condensateur (
Les w*atlonsde pressbn entrainent des variations de la du condensateur.
aux surpressions et
pulsations.
... . .
mes ou les appareils qui ont pour tâche d'assurer le fonctionnement d'un
industriel doivent être informés du comportement de cm procédé. G'est-à-dire
mesurer, sinon toutes les grandeurs, au moins quelques grandeurs
tiques de ce procédb ; voir même se contenter de capter les variations de
s que l'on sait mesurer.
mes pourraient peut-être se contenter d'une indication sur place mais les
imposent que l'information soit transmise jusqu'à eux.
sformer une grandeur comme la température ou la pression, en une information
circuler dans des tuyaux, des câbles, des fibres optiques ou par ondes radio
re à réflexions :
$flexions sur les mesures industrielles : pour assurer l'asservissement d'une
grandeur, il faut commencer par la mesurer, elle ou ses effets.
- Réflexion sur "l'aspect théorique" de ces technofogies : comprendre qu'une grandeur
physiquement concrète puisse être traduite en une information quasi immatérielle,
ne relhve pas du simple bon sens, il faut forcer son esprit à effectuer une
.
gymnastique intellectuelle I C'est cela que nous appellerons t'aspect théorique
- Réfiexion sur le futur : l'évolution de la régulation, c'est-à-dire du fonctionnement
automatique des procédés de production industrielle est très li6e à l'évolution des
techniques de mesurage et da transmission.
-
Capfeurs fransmeffeurs :comme il est remarqué page 7 (R3) dans les appareils
esurage II y a généralement une partie capteur et une partie transmetteur. 11 est
vent important de distinguer ces deux parties. L'appellation de ces appareils
-
raient être capteur transmetteur, mais c'est un peu long ;en pratique il est utilisé
un seul de ces termes, étant entendu qu'un capteur qui ne transmet rien n'intéresse
rsonne, pas plus qu'un transmetteur qui ne capte rien I
A rentrée d'un capteur il y a la grandeur à mesurer. La mesure de cette grandeur varie
d'une valeur mini à une valeur maxi. Iî est usuel de parier en pourcentage de variation :
mini est O%, le maxi est 100%. La valeur de ce pourcentage est l'information à
nsmettre. Pour être comprise par les appareils récepteurs, cette information doit être
mise sous forme précise appelée signal et, en l'occurrence : signal de sortie du
transmetteur.
Le signal de sortie peut avoir des formes trhs différentes, entre autres :
11 une pression d'air modulée
mesure 0% I 50% I 100%
8 I
21 un courant électrique
mesure OW
signai 4mA 12mA 20 mA
- -
d'autres standards ont 6té utilisés :1 5 mA, 10 50 rnA,
O - 5 mA, 0 - 2 0 mA, 0 - 50 mA.
31 des signaux en tension :utilisés avec des indicateurs numbriquss, par exemple
O B 2 V pour 2 O00 points.
4/ les signaux numbriques : (on dit aussi sorties digitales) ils sont relativement
nouveaux mais le fait qu'ils soient tres commodes d'emploi les destine ;lii supplanter
toutes les autres formes de transmission.
Cette technologie malsré tout f'attachernent que lui porte un grand nombre
d'instrumentistes et d'utilisateurs est en très nette perte de vitesse pour dlverses
raisons :
l/ les puissants moyens de l'informatique sont directement accessibles aux signaux
électriques, en pneumatiqus une conversion de signal est nécessaire.
t ~ orn~~ures
2/ La c e ~ ~ ~ l i $ ades n entraîne parfois des distances peu compatibles avec
la transmission par air eomprim
3/ D'une faGon génér 8, I'inatrume on pneumatique est forte consommatrice
d'énergie : à l ' u s ~ n a ~des
e pièces aniques constituant l'appareil comme 4
l'utilisation.
eurs p@uventfournir :
capsule, soufflet I- ressort, etc ...
rdon, m ~ m ~ retc ...
~ e ,
60
-Rs 61
ns appareils pour îe
les) et dans d'autres
: la force à exercer
on augmente, est
placement qui est
s du ddplacement,
n'est plus proportionnel à la
n fonction de la
61
62
-
Le systhme buse palette ne peut pas re utilish seul :
a) parce qu'il n'est pas '*Iinbaire"
b) parce que la pression de buse dépend de la pression d'alimentation comme
t'indique la courbe en pointillés correspondant à une alimentation de 1,2 bar.
c) parce que les débits à travers la buse ou la restriction sont trop faibles pour que les
variations de pression se fassent rapidement dans l'enregistreur OU le r
pladi à distance.
(ou à é ~ a n ~ l e m ~ n t )
consommation : 200 à 1O00 q / s (0,5 à 3 m3/h TPN )
Df CLAPET
CE I V 8 n la burer
RECLAGF DE
rewiran DU IRESSORT
' EH A I R
62
Consommath :50 mg/s ( -L 0,l m3/h TPN)
J- - LE n- 63
64
Ce schéma est également utilisé pour des appareils hydrauliques. IIa permis (ilpermat
toujours) fa construction des instruments particulihment robustes et fiables qui
marquèrent la Mesure et la RBgulation industrielle pendant une grande partie du
vingtjeme s28cle.
a! s- 42
1
La pression modulée Pm est une fonction linéaire (k est une constante quand Il et 12
ont été fixées) de la force fournie par I'élément capteur.
La presslon buse n'étant pas nulle lorsque est dégagée, ce dispositif ne peut
pas délivrer un signal à vrai zéro. Un resw d'amener le décalage à 200 mbar.
I I
uilibre :F x 11 = Pm x S x 12 - Fressortx 12
64
TRANSMRTRIRS 436
exemple : Pm= kF
iricrrtie
entres= =k
Dans cet exemple, la fonction de transfert est une oonstante.
LE DE .REACTION
positif amplificateur dont on réinjecte
65
66
1. Chaîne d'action :
1 1
2bme 6qUatiOn s' = 8s ( ~ c o m m "inverse
s du Gain" la suite montre pourquoi,)
As
d'où s = A e - - G
AS
-g-+s=Ae
As + Gs
G =Ae
AG
S\A+G) =A@
AG
"A +G e
Dans les systhrnes asseMs, le gain A de l'amplificateur est grand. Par exemple : 1 O00
si G=5
'
'-1 005
*Oo
e od l'on voit que A + G est p w diffhnt de A
AG
s = r e
66
1/ pour obtenir une fonction de transfert égaie à G, il faut placer une réaction
égale à l / G
2/ si G est une constante (par exemple 2), 1/G est aussi une constante ( 0 5 ) .
Donc pour obtenir "s" proportionnel à "enil faut que la réaction s' soit elle-
même proportionnelle à s mais de grandeur inverse.
il *&- --A
8
E - LE ET W RÊcrEUX - 67
68
112
t t t t
IF] ..-...-...-.........
"...mesure
signai $00
29 bar
1 O00 mbar
1-1 "*iTmesure
gK.#. .-*..-..
200
2 bar
1 ObOmbar
Cette plage de réglage est parfois mentionnée sur la plaque signalétique de l'appareil
par la notation équivoque : échelle 2 20 bar-
Un décalage de l'origine de l'échelle peut être obtenue par adjonction d'un ressort
agissant en précontrainte de l'élément capteur.
Le décalage est utilisé pour les mesures de niveau par AP.
II peut également permettre une régulation precise autour d'un point de
fonctionnement donne.
25 30 bar
1 a00
68
Régioge micrométrlqu~ MjcanismoPivat du f l i o u d*iquilibrogo
de I'itondur d'ichollr F l i a u d'iquiltbmgo
fflets do rboctlon
Tiges d'attelage
des mrrnbranas
Fluida arnortlisour
Vanne à membrane
Réglage do
I*amortisseme~t
69
70
1 3
70
L
Rs 71
I
I I
4mv
n
71
72
ontrole de fonctiqlllliement 1
i'ajustage des transmetteurs électroniques est de plus en plus simple, par contre, il
sera souvent demandé un contrôle du fonctionnement pour confirmer une valeur
indiquée (contr6fe sur site).
Ce contrtlle peut prendre des formes très différentes suivant l'importance de la mesure,
l'implantation de I%nstrument,1'8quipment de contrôle dont on dispose, la qualification
du personnel qui va l'effectuer, la proximité de I'atelier d'instrumentation et bien
d'autres paramètres qui apparaVtront â l'étude de chaque cas.
II serait souhaitable que soit joint à la fiche de l'instrument (lorsqu'elle existe et qu'elle
est utilisée, ce qui n'est pas le cas général) un petit descriptif de la méthode prévue
pour le contr6le de son fonctionnement ;mntr&Ie p riodique ou rendu immaiat par un
doute sur la validite de l'information.
Cette remarque est bien gsir, valable pour tous les instruments de mesurage.
Exemple : pour un contrôle rapide, il serait indiqué les appareils qui, dans le même
secteur, mesurent â peu près la mQme chose, l'emplacement (éventuel) d'un
branchement possible pour un appareil de contrBIe et, dans le cas du remplacement
de l'appareil douteux, la façon de procéder (passage en manuel de tel automatisme,
couper la ligne à tel endroit, ...)
es sous la forme
le transmetteur, cette opération et des simulations de signaux (pour régler les
alarmes ou w~r~fier is f ~ n c ~ o n n ede~ l'assennssemsnt)
~n~ peuvent être fdtes
depuis le anfort de la &le de commande f
72
nurn4riques ou digitales (de l'anglais digit :chiffre) sont récentes, il a
e le dhmloppernent de technologies électroniques fiables et peu
es techniques présentent l'avantage de la "'numérisation du signaIl',c'est-
issdon de l'information ne se fait plus par un signal analogue à la
rCire, mais par une suite d'impulsions qui représente la valeur chiffrée de
a- 73
sauvent nécessaire.
L'entretien de l'appareillage ne pose pas trop de problème, puisqu'il s'agit soit de
transmetteurs classiques (voir page 59), soit d'instruments particuliers qui sont alors
fournis avec des notices détaiiihes. Une présentation du matériel est faite pour la
"culture générale", mais ce chapitre traite surtout de l'aspect théorique, afin que
!'instrumentiste prenne connaissance des probtèmes, et sache que leur trouver une
solution est rarement évident.
3. M V M C E - LE CARNET ûü R&UUR - 75
76
Le déplacement des mol cules de fluide (liquide ou gaz) dans un conduit ou une
conduite peut se faire de façon agitée, turbulente (tourbillons) ou de façon plus calme
& se poser en mesurage de débit est :Quel est le régime
S a donné le moyen de définir 1' ulement par un nombre
(c'est moins poétique que "agite", "plus agité, "plus calme", mais c'est plus pratique &
l'usage !).
Rs= -
VxD
V
V :vitesse du flulde (ds)
D :diamètre de la conduite (m)
v (nu) :viscosité anetmatique (m%) voir page 78
La formule avec la débit Q en m3/s est souvent plus pratique :
Remarquer que le nombre de REYNOLDS (Re) n'a pas d'unité (m3is divisé
st un nombre "sans dimension" mmme la densi
(Vincent
76
En thCaoriel si Re est plus grand que 2 300,ils'agit :
- d'8coulement turbulent : le plus fréquent dans la pratique. L'énergie
dépensée par le fluide pour se déplacer dans la conduite, est proportionnelle
au carré du dçibit.
Si Re est plus petit que 2 300,il s'agit :
- d'écoulement laminaire : se rencontre avec les fluides très visqueux
(goudrons chads, fuels lourds). L'énergie dépensée est proportionnelle au
débit. Certaines méthodes de mesurage ne peuvent pas être utilisées.
En pratique, les repères :Re plus petit que 1 000 = laminaire et Re plus grand
que 10 O00 = turbulent, sont génBraîernent suffisants. Entre ces deux valeurs,
l'koulernent sera instable : ii passera d'un rbgime à l'autre en fonction du
dçibit, de la secîion.de passage ou de la température (qui modifie la viscosité).
Re = 1,273 -Q
D.v
'= 17*
t 000000 m2/s
Re = 1,273 x
J- M CE - LE CARNET ûU-R&EUR -
7a
Grandeur qui caractérise la force à exercer pour déplacer les particules de fluide les unes
par rapport aux autres, la vimsitb intervient dans l'écoulement. On distingue la viscosité
i
dynamique dite aussi 'absdue") et la viscosité cinematique.
7%
1/ Cette "perte 'de charge'' représente l'énergie nécessaire pour faire passer le
fluide du point 1 au point 2 (ii n'y a gaspillage que si les obstacles sont
inutiles).
2/ Si il n'yavait pas de "perte de charge", c'est-àdire si P2 était @ale B P i , on
peut se .demander pourquoi le fluide irait de 1 vers 2 ?
3/On peut dire "une bouteiiiG 4 moitié pielne" et "une bouteiiie à moitié vidd', ce
sont deux façons diffbrentes de dire la m4me chose ;de m4me, on peut dire
"un ibcouiement e une perte de charg& (puisqu'il y a toujours perte
d'énergie) ou 'une perte de charge Cree un écouiemenf' (puisque le fluide se
déplace de la pr~ssionforte vers la pression faible).
Pour une bouteille, la façon dont on le dit ne change pas grand chose, par
contre pour les dObjts c'est important :
Formuledebclse: F = sX v
Quand un fluide (liquide ou gaz) circule dans une conduite, le volurne par unit4 de
temps (m3/s) est égal à la surface de passage (m2) multlpli4e par la vitesse de
circulation (mis)
- ...................Es1
1 me$urw le volume et le temps (compteu v o ~ u m ~ t ~ q u e ~ )
(kgJs) il y a le
80
Les 'compteurs à roues ovales sont utilisés pour tous liquides y compris les gaz
liquéfiés. Ces instruments précis et chers, se trouvent à tous les points de
distribution de carburant, super carburant, GPL, etc...
à pistons rotatifs, le compteur DELTA est utilisé uniquement
1 -Corps
---
2 Hélice
3 Déflecteur et Porte-palier
4 Palier
-
5 Aimant non visible
-
6 Bobine captrice
--
7 Support de bobine
8 Cable de raccordement Blectrique
9 - Taille 6 pans pour montage
m3 I m 3/s
81
a2
p e ~ e ~ i ~ i aà il'4coulement
re ,des élec-
sées captent une tension induite propor-
tionnelle la Vitesse de déplacement du fluide.
02
84
Mesure la vitesse moyenne et les fluctuations de vitesse des gaz, des liquides
turbulents, de produit en vrac (le détecteur de passage GRANUFLOW de E+H est
un radar à micro-ondes (A,Z5.1OQ pm) utilisant l'effet Doppler .
Pratiquement indépendant de la pression et de la température.
Mesure de vitesse de 1 mm/s à 100 m/s
DétecteurdepassageGRANlJnOW
Ce radar à micro-ondes est base sur le prin-
cipe de I'effet Doppler. IItrouve son applica-
tion dans la surveillance de l'écoulement
des produits en vrac y compris en transport
pneumatique. Complément indispensable
aux systèmes d'automatisation modernes.
84
P statique P statjqw
+ P dynam. P statiqutt -PclyWll.
P dYf~~niqU8 en paml
p masse spédfique du fluide kglm3 (pour les
liquides p 1ooO fois kt densite voir page 18 )
SD
Vitesse m/s
Cette formule peut s'&ire :
- P
E -LE R- 85
86
3.3
dolt r a ~ ~ equ'il
l e ~&ag
re est exprimée, après
86
Deux mesures de pression (P1 et P2) sont effectuées de part et d'autre de
I'oriflce.
- (AP :deka P)
-La différence P1 P2 est appelh pression difMrenfie//e
La vitesse en amont de l'orifice a pour valeur :debit en m3/s divis4 par surface en
m? La surface de passage diminua, donc la vitesse augmente, puis le fluide
reprend toute la section de la conduite, et la vitesse reprend la valeur qu'elle avait
On peu?imaginer la schéma da variation
(le wuvenir d'un torrent en montagne permet drn insr la forme de la veine de fluide).
a7
88
t
La pression dynamique pourrait Otre mesurée en plaçant une sonde dans la
veine fluide, mais I'intérét des organes déprimogènes est de remplacer la mesure
de pression dynamique (pas commode) par deux mesures de pressions
statiques qui peuvent 4tre faites sur la circonférence de la conduite. II faut donc
se demander :
de fa ~ e s s j o nstatique de
permis dlmginer les vi du
A
Si le débit augmente, la vitesse aogmen l'amplitude de la courbe augmente :
J- CE LE
90
résiduelle
Pression s t a t .
ava 1
Attention :
Le développement th4orique ci-dessus ne doit pas cacher la relation fondamentale
des organes d é p ~ ~ g ~ :n e s
F=k*
' O:
d:
90
Tuyéra :
-.-
-
Venturi :
VENTURI COURT
VENTURI LONG
Le tube DALL donne pour la m6me AP, une perte de charge residuelle trbs
faible et II est beaucoup plus court qu'un Venturi.
ru3e O A U
3- CE - L E 91
92
le fluide circulant dans un tube vibrant est soumis & des forces du type F =
loi de Newton voir page 17 ) otr y sst 1 'accdl6ration angulaire :
puisqu'~îy a vlbration il y a mouvement, angulaire en l'occurrence, donc
vitesse ~ g u ~ i (r"/se ) et adldraf/on angulaire ( " 4 s ).
~ ~ p ~ i c de a ~ Fo =n m.y aux mouvements angulaires a été faite par
Gaspard Coriolis (1792-1843 ing~njeur m a ~ 6 ~ a t i cfranpisi e ~ ).
92
Tube de mesure vibrant
4
-
A 6 :forces réactives exercées par fe fluide.
Rrslon &suttante.
J-M E -LE 93
DÉBITS 95
S= '
1-= brn 10
~ = d0,00277 m2
=
27,7
ooO m2 = 27,7 a n 2
F=k*
2.2
I .*..
â9jytj~n.:appliquer une première fois la formule pour trouver la constante k
120
120=k k == =3 puis appliquer une deuxième fois
la formule avec la constante trouvée :F =: 3 d p =3 m = 60 m3/h
m:
une tuyère donne une AP de CE00 mm CE pour un débit de 75 tonneslh
1/ quelle est la AP pour 20 tonnes/h ?
21 quel est le débit lorsque la AP est de 4 mm CE 7
nses : 1/ 64 mm CE
21 5Th.
~ ~ ~ afesrerreurs
~ u ~ ~m ~r ~ ~ aqui
n t peuvent
ffs être commises en bas d'échelle :
pour Is tran~me~eur,4 mm CE représente 0,4% de l'échelle, mais 5 T/h
s de 6% du debit I
96
D&nS 97
F = k d F
lOO=k.B0i)
c
k = 1 0 d'oO F = l O w
Puisque nous devons extraire la radne de AP, prenons des carrés parfaits :
AP = 1,4,9,16, 100. ...
On trouve les débits correspondants :q = 1O, 20,30,40, etc ...
\
0%
12 16 2ûmA
F= klr;l?)
: F et AP ne sont pas ici les valeurs réelles, mais les signaux reprdsentant
ces grandeurs.
signal de A13 4 8 12 16 20
1
I 1 1 I
signai F 4 12 153 1735 20
CE'- LE ET DU R R- 97
98
prendre oz1 est le problème, II suffit d'avoir à l'esprit les trois petits dessins ci-
9 2 3
on pose une charge sur le couverds, l'air se comprime :la pression augmente et
le volume diminue. II y a maintenant un volume de 0,5 m3. I ni enlevé, ni
ajouté, de moléwles d'air, donc la quantite d'air est restée la a masse est
toujours de 1,3 kg.
:Aiors 1 m3 et 0,5 m3 designent la meme quantile d'air ?
:Oui, mais les pressions sont différentes I
J- ET DU RlÉf"dBJR - 1O1
102
(1) :
Une quantite de gaz qui occupe un volume VI à la pression P1 et à la temperature Ti
peut aussi occuper un volume V2 à la pression P2 et à la tmpbrature T2, ou un volume
V3 à P3 et T3, etc ... il y aura toujours la relation :
P i .vl P2 .Va P3 .v3
= ... etc
T =T =T
Vi (P1,Tî ) = ?
PN.VN Pi .v1
La relation P.V / T 3 T=T
P i .VI.TN
d'où VN = Ti pN
P i 273
soitVN = fiTpT3
I
VN 5 269,33X
60
-
5
x 293 = 0,275 mrmauxm3
est en normaux mètre cubes par h ,la valeur dun débit de 420 m3h
mesuré sous la pre lus) et la t e ~ ~ ~ a tde
u r70°C
e 7
12
,33 x 420 x = 3 957 normaux m3/h
m = V x p
kg rn3 kglm3
Fm=p x Fv
:Quel est en kg/s le débit d'air d'un compresseur fournissant
200 m3îh sous 7 bar à 20°C ?
m3
x 2 0 0 ~= 1938 ks/h = 0 , s kg/S
~i
(Wg/s)
:Exprimer en d $ b ~ - ~ un ~ d'azote de 100 d / h sou8
s ed6bi
abs, à la temp~r~urer
der 20°C, PN = 1 ,û& kg/m3 .
100 rn3
xm
e des d&& de ~ i l z
DÉSITS 105
1O5
1O 6
Le coefficient K est calculé par le bureau d'btude avec les données de calcul du
diap~ra~me.
itiians de r ~ ~ ~ r sont
~ n les
~ econditions
s nominales
sslon Po et la ternp6raaire To utilisées
callcol du d ~ ~ ~ ~ r a gler n e ,
1Cl6
la valeur n u ~ ~ de ~ ce
u e
s fi employer ne sont pas pr
es d'unités peuvent iftre utzli
en changer mûe le calai
21 de prendre les presdons et les ?emp
ssédant la fond
danscscas:I
~ ~la~pression
r n u l ~ p ~ par on
t si l'une de ces grandeurs ou les deux sont peu variables, il n'es? pas
de leas faire intervenir ! Les dJspo ues, pneumatiques ou
nt les opbrations, doiv té &chelles des
6 mA représentant par exemple 4 bar, n'o le "poids"que 16
~ ~ e: u
~de pression
~ r
TEMPGRATURES 111
111
112
Ternp. OC
5
=g (Temp. OF - 32)
10û°C = 212°F
.
la température à contrôler, on utilise un étalon primaire bon marché (glace
8, eau bouillante), un bain d'étalonnage ou un four. Dans les bains
onnage, on utilise un mélange de neige carbonique et d'acétone entre 80°C et
de I%uile entre 0°C et 3OOOC.
-
Effets électriques :
- couples thermo-électriques ("thermocouples7
- sondes à résistances
- thermistances
Y Energie rayonnée :
mesure sans contact :pyrométrie optique
(Thermuples")
pour qu'il y ait COU le,c'est-à-dire pour qu'Ill se produise un effet thermo-
bledrique, II faut et suffit que deux conducteurs de natures différentes (en
liaison 4Wtrique en eux) soient soumis à deux températures dlfférentes.
-b$ante AC
y acovpfe car il y a :
--IIdeux oondut%my :cuivre et constantan
:AOC
deux t e ~ p é r a ~ r e s tempbrature ambiante (à une extrémité ducouple)
TOC température A mesurer (à i'autre extrémité du couple).
Seule8 comptent les t e m ~ ~ r ~ uaux r e sextrémités :les couples sont indifférents aux
r e sexistent sur la longueur entre l'extrémité soudée et I'e
~ e m p ~ r ~ t uqui
raccordée aux r b ~ p t e u r Ces
~ , extremités sont souvent désignées par les exp
anciennes de chaude" pour T (température à mesurer) et "soudure
pour A (temp ambiante) qui en fait, est la température du born
raccordement.
b
e
A
. .
i-
-
A
. I
mV fournis par
à i'anibiante le couple
115
116
C'est le cas le plus générai mais quelquefois, il faut retrancher. Dans le cas d'une
temperature T inférieure à zéro, le graphique donnerait ceci :
T
La longueur OT s'obti'ent par :1,593 - 0,191 = 1,402 et dans la table ,on lit : 35°C
*
ut à fait illusoire
116
TEMPCRATURES 117
11'9
118
Les couples chemish répondent aux Normes NFC 42321 42322 42323 et plus par- - -
-ticulièrement à la
Avantages : Limites :
- Isolation des fils de couple vis-à-vis de - Le protecteur possède un rayon de cintrage
l'environnement qui est souvent la cause de leur minimal égal 2 fois son diamètre.
rapide détérioration. - La durée de vie des &les de couples chemisés
de diamhtre inférieur ou égal à 0,8 mm, est limité
- Excellente isolation des fils de couple à haute en raison de la croissance des grains de la gaine.
temperature : 1 oO°C m a . (métaux communs) - Réalisation délicate dans le cas de 2 fils dans un
- Quel que soit le diamètre des fils, ils peuvent être diamètre inférieur ou égal à 1.6 mm ;ces modèles
exposés à haute température, en service continu, ne peuvent pas ëtre utilisés dans un
sans risque de détérioration dans la limite environnement industriel.
d'utilisation. - L'isolant minéral compacté est hygroscopique (avi
de û'humiditcd) ,ce qui entraine en cas de @né- -
- Grande souplesse d'utilisation : -tration d'humidité, une diminution sensible de
Le protecteur se met en forme facilement tout en l'isolement du couple thermdlectrique ('1 .
restant rigide. - IIfaut éviter les courbageq et dhurbages répétés
Le protecteur peut être soudé sans perte de en un même endroit (rupture de la gaine et perte
l'isolement électrique. des caractéristiques thermoélectriques du
Les câbles peuvent être réalisés dans un grand couple).
nombre de diamètres et de natures de gaines. - Pour les faibles diamètres. les couples présentent
Ils peuvent être utilisés à hautes temp4ratures ou à une résistance électrique élevb .
hautes pressions, ou bien les deux conjointement. - Pour les métaux communs, la résistance
d'isolement limite leur utilisation à 2 1ooO"c.
? l 1 I I I
I I I l f
I I I 1 l I
O 500 1O00 1500 c
1
i- suivant nature de la gaine
118
TEMPÊ RATURES 119
MEC1
COUPLE CUIVRE-CONSTANTAN
Force alectrornotrice en millivolts Jonction de référence à O "C
T-
-32,O
-- -
+ O 10 20 70
.__
O O, O00 O, 389 O, 787 1,194 1,610 2,035 2,467 2,908
1 O, 038 O, 429 O, 827 1,235 1,652 2,078 2,511 2,953
2 O, 077 O, 468 O, 868 1,277 1,694 2,121 2,555 2,997
3 O, II6 O, 508 O, 908 1,318 b, 737 2,164 2,599 3,042
4 O, 154 O, 547 O, 949 1,360 1,779 2,207 2,643 3,087
5 O, 193 O, 587 O, 990 1,401 1,821 2,250 2,687 3,132
6 O, 232 O, 627 1,030 1.443 1 ,864 2,293 2,731 3,177
7 O, 271 O, 667 1,071 1,435 1,907 2,336 2,775 3,222
8 0,311 O, 707 1,112 1 ,526 1,949 2,380 i 2,820 3,267
9 O, 350 O, 747 1 ,153 1,568 1,992 2,423 2,864 3,312
-- -
-
10 O, 389 CI, 787 1,194 1,610 2,035 2,467 j 2,908 3,357
_I _I_.
I
-- -
par
V IC 38,9
111
39,8 40,7
I__
-
44,9
-- - -
OC
O
100
4,277
110
4,749 5,227
120
7,719
1 4,324 4,796 5,275 5,761 6,254 6,753 7,258 7,770
-2 4,371 4,843 5,323 5,81 O 6,303 6,803 7,309 7,822
3 4,418 4,891 5,372 5,859 6,353 6,853 7,360 7,874
4 4,465 4,939 5,420 5,908 6,403 6,904 7,411 7,926
5 4,512 4,987 5,469 5,957 6,453 6,954 7,462 7,978
6 4,559 5,035 5,518 6,007 6,503 7,004 7,513 8,
7 4,606 5,083 5,566 6,056 6,553 7,055 7,565 8,0410
8 4,654 5,131 5,615 6,105 6,603 7, IO6 7,616 8,132
9 4,701 5,179 5,663 6,155 6,653 7,157 7,667 8,184
-- - -
IO 4,749 5,227 5,712 6,204
I
6,703 , 7,2
1 50,s 1 51,l
I
7,719
-
8,236
-- - -
1'vo C 47,2
par 47,8 4a,5 9,2 I49,9
-
51,7
J- N E -LE 119
120
U88
un milfivoltmr3tre numérique est, bien $Or, l'appareil idéal pour mesurer ia tension
fournie par un couple, mais cette tension n'est pas la température J II faut, en plus, un
thermomètre pour A, une table de converdon et un calcul.
Les indicateurs numériques de tableau, ou portables, sont bquipés d'un ou plusieurs
dispositifs dit de "compensation dre soudure froide" (mesure *de A) et d'un
microprocesseur dculant la ou les conversions mVnemp. lis affichent directement ta
température en OC. Leur emploi est donc îrds simple :il suffit de lire. Cependant, tout ce
qui a hi6 dit sur le calcul des millivolts devra quand r n h e 6tre utilisé quand 11 s'agira
de eontr8ler le fonctionnement de ces appareils.
.
Ils sont intéressants pour les boudes de régulation, mais aussi en mesure seule, car la
transmission en mA est moins sensible aux parasites que la transmission en mV. lis
disposent d'une "compensation de soudure froide"', et sont linéarisés (voir plus bas).
~éné~alement montés en t te de canne, ils sont à deux fils carnme les transmetteurs
Des appareils de conception plus ancienne, peuvent encore atre rencontrés, soit parce
que leurs constructeurs en poursuivent la commercialisation â. côté d'appareils plus
modernes (parce qu'ils sont encore demand rce que de construction très
n ~ ~pas encore
robuste, leur r e m p t a ~ r n'est
C'est le cas des "ponts potentiorndrrlque@.L a la mesure potentiométrique
est ~ x p l i q u ~page
e 26. Les enregistreurs & pont potentiornétriqus sont
~ a $ ~ ~ ~ n n e ~livrés
l e ~ avec
e n t une notice détaillé5e, voir cette notice.
120
TEMPERATURES 121
12 MA ? 20 mA
.-.-.-.
-------
ET DU REGLEUR - 121
122
.
diverses méthodes existent pour contrder les rbcepteurs associés aux couples,
Attention :les habitudes acquises ( avec les tr8s classiques ponts potenriométriques portatifs, par
exernfle ), ne sont pas toujours transposabfes d‘un contrôleur à l’autre mbme s’ils sont ,
par ailleurs, d‘un emploi de plus en plus agrhable. En fait quelque soit l’instrument &
contrôle Nage dont on dispose, l’opération consiste remplacer le couple
par une des millivolts qu’il fournlrait dans les conditions de mesure.
:vérification d’un enregistreur 0°C - 300°C couple fer-constantan
I
~~~~~~~
0°C ? 300°C
122
124
+
va e sista
-
-200 - 1 0 0 O 4 100 + 500
-
O C
- - -
O 18.53 60,20 1M),OO 138.50 175.84 280.93
- 5 16.43 58.17 101.95 140.39 177.68 282.60
- 10 14.36 56,13 103.90 142.26 179.51 284,26
- 15 12.35 59.09 105.85 144,18 181.34 205.91
- 20 107.79 146.06 183.17 287.57
- 25 109.73 147, 185.w) 289.22
- 30 111.67 149.82 290.87
- 35 113,61 151.70 292.51
- 40 115.54 153.57
- 45 1 17.47 155.45 192.27 295.80
-50 1 19,40 157.32 297.43
- 55 121.32 159.16 195.89 299.07 331,15 362,07
- 60 123.24 161.04 197,70 300.70 332.72 363.59
-65 125.16 162.90 199.50 30233 334.29 365,lO
- 70 127.07 164.76 201 30 303.95
- 75 128.98 166.62 203.09 305.58 337.43 368.12
- 80 130, 168.47 204.88 307.20 338.99 369.62
- 85 132.80 170.32 206.88 308.81 340,55 371,12
-90 134.70 172.16 208.46 310.43 342,lO 372,62
- 95 136.60 174, 210.25 31 2.04 343.66 374,12
-1Qo 138.50 175, 21 2.03 31 3.65 35.21 375.61
2:'c O38 0.37 0,36 0.33 0.32 0.30 TS
~ j troues
descente sans ~ i s ~ Q n t j ~par é
12
TEMP~RATURES125
ndes à résistances
-:
tous les conducteurs présentent une variation de résistance électrique en présence de
variations de la température. Le platine est pratiquement le seul conducteur utilisé car
il peut être obtenue avec une grande pureté, sous forme de fils très fins, et ses
variations de résistancgs sont bien connues sur une plage de température étendue.
Le cuivre et le nickel ont été utilisés pour leurs lois de variations pratiquement
linéaires.
résistance dont on mesure les variations pour connaître la température ne peut pas
avoir une valeur de O SL à 0°C. Pour être conforme aux normes (c'est-à-dire
' interchangeable) une sonde platine doit avoir une résistance de 100 Cl à 0°C. La
Ce terme est utilisé aussi bien pour des résistances à coefficient thermique négatif
(C.T.N.) en oxydes métalliques agglomérés, que pour des éléments semi-conducteurs
diffusés. Très utilisées dans les montages Blectrmiques , et dans les appareils "grand
public" (machines à laver, automobiles) elles ne sont pas très prisées industriellement
car leur "interchangeabilité" est loin d'être aussi sûre que celle des sondes platines
normalisées.
127
128
C02,par conûe on est gêné par ce qui est visible à l'oeil nu {furnees, poussibres).
Les lunettes ont en grand nombre sur te marche, car les 6lbrnents
sensibies aUX ) ne sont pas rares chez les fabricants de composants
électroniques.
Les lunettes bichromatiques (à deux couleurs, c'est-à-dire à deux h) permettent
d'6liminer le coefficientd'émissivité, mais seulement si il est le mdme pour les deux
longueurs d'onde.
De nouvelles tschniques sont actuellement en développement. Elles cherchent
abtenir le calcul (microprocesseur) du coefficient d'émissivité sur la longueur d'ond
...
de travail du capteur. A suivre
De toutes façons, quelque soit la longueur d'onde vaii d'une luneîta,
connaissance de 1'~rniss~vit~ du corps est nécessaire, il faut aussi conna
l'absorption de la zone entre le corps &metteuret le réc ne serait-ce que
choidr une longueur d'onde qui n'est pas absorbée dans cette zone.
n'est pas aussi simple
. Far contre, sulv
(attention de ne
e intéressant pour !
te quand même un
128
NIVEAUX 131
des diffhrentes
131
132
es........................................
h.... flotteyrs dont sujt la &ign. par câble ou par transmission magnétique.
132
NIVEAUX 133
ée d'Archimbde est
~ m ~ e r donc
g ~ , pas dei ,a masse
ale à la masse du plongeur
133
134
.-.-.-.-.-.---.-.-
Le volume immergé est le volume du plongeur. Si le volume du plongeur
n'est pas indique, le calculer :
v- n;d2 x H
4 d = diamètre du plongeur
H = longueur du plongeur (ou hauteur maximale
immergée)
L'unité cm est commode pour ce calcul (ni trop grande, ni trop petite, et
1 O00 cm3 = 1 I )
Avec d = 5.08 cm et H = 81,5 an,le volume est de :
1899 g
1-
2-
3-
i
4-
6-
6-
t-
(1-
9-
10
11
--
11 *
cfffîar /
Tub. de torsion
îronimission
Mecanrsma
Bror dm 4
tomlon
135
136
Ihl
Le schéma de principe de la balance de forces page 64 permet d'imaginer le
principe de cet appareil.
- Pour que le niveau soit connu avec préasion, il faut que la densite soit celle prévue.
- L'appareil d mesure est cher mais très utilisé, il bénéficie de la confiance de
nombreux exploitants grâce à sa fiabilité. Parmi les mesures anciennes faites par ce
moyen, beaucoup pourraient être remplacées par une mesure de pression
hydrostatique (voir a-après).
136
NIVEAUX 137
I D 1
kPa)
la hauteur sera :
P = 16 O00
p = 800
16 O00
= 2,Wm
= 800 x 9'81
P = 1,5 x 8 0 0 9'81
~
= I l 772Pa 2: 118mbcv
e n'intervient qu'à l'ajustage
eur, il n'est pas visible pour
I
137
138
1.2
différente de la pression atmosphérique, existe au dessus de la
un capteur de pression différentielle.
t e GBt6 BP est rare (ilse remplit par condensat ou par débordement) donc
es pressions. H' n'a pas d'importance si (et
s & à la même température, des deux côtés.
Pour obtenir l'échelle de pression (AP)du t r ~ s m e ~ eil~faut
r, :
- faireunschéma
- calculer ta pression Côté HP en additionnant toutes les pressions &té HP
- dculsr la pression &té 8P en additionnant toutes les pressions côté 8P
. calculer AP = HP - BP
ma Bt calculs sont à , une première foie: pour le niveau bas (niveau
teur du piquage HP m8 fois pour le niveau haut (niveau à hauteur
du piquage BP)
-
G~néralementla AP (HP BP) est négative dans les deux cas, &est pourquoi le
transmetteur devra avoir de larges possibilitbs de d W a g e de zéro.
:Niveau d'un balton de chaudière
Le pot de condensation permst & Ia
colonne côte BP de se rernplird'eau.
138
NIVEAUX 139
mm
---- -----#A
I
H BP
ul de pression oet4 ii P :
80 bar
+ 500 mm de vapeur, d :0,043 = 213 mm CE
+ H'mmCE
ul de pression cet4 B P :
80 bar
+ 500 mm d'eau, d :1 = 500 rnm CE
+ H'mmCE
t iti
b 2/ Niveau haut --
. Schéma :
*LE A- 139
140
.Calcuf de la pression &té 8P :
80 bar
+ 500 mm CE
+ H'mmCE
.Calcul de la AP :
HP-BP-385mmCE - 500mrnCE = -115mmCE
.montage :même montage que d-avant, mais 115 mm à la CE
2i Mesuraae Dar iinsufflation
l'insufflation est souvent une solution él4gante et sûre pour mesurer la hauteur d' un
liqulde. Elle présente IWonvénient de nécessiter l'entretien d'une ou plusieurs lignes
de "bullage", mais s'impose souvent dans le cas des cuves entenhes, des liquides
agressifs pour le transmetteur (acides, ... ), et plus encore lorsqu'un environnement
dangereux rend difficiles les interventions, m;Pmes les plus simples (industrie
...
nudéaire, ).
II
r- -
-ci
'-0-
P
-a--
- -
-
-_
L
0-
-
-
2 - - La "canne" est alimentée en air (ou un autre
0
c--- - gaz) par un dispositif régulateùr de débit
- 1- -1 0- (appel;&aussi "purge continue"). L'échap-
pement des bulles, visible ou non, indique
que la pression dans la canne est égale à
h.p .g (si elle était infbrieure, l'air ne
s'bchapperait pas et elle ne peut être
superieurs, car à partir de h.p.g, l'air
s'échappe).
Si le d4bi de bullage est faible ("on dûdt pouvoir compter les bulles"), la pression est la mérne
dans toute la canne, on peut donc la mesurer à n'importe quel endroit de la ligne.
Tàutçafols pour des distances importantes, il est preiférables de mesurer en haut de
canne : comme il n'y a pas de débit dans la liaison au ~ansme~eur, il n'y a pas de
e de pression
140
NIVEAUX 141
~ ~ ~ ~ ~ ~ .: "purge
(appelé , ~ continue") ~ ~d' obtenir
. ~ . .permet ~ ] ~ un bullage
quelque soit le niveau, c'est un dispositif simple : pour obtenir un débit
-
à travers un orifice il suffit que la différence P I P2 soit constante,
mesuré par le
100 kPa). La
Soit & mesurer le niveau interface entre de l'eau et un liquide de densité 0,8.
1 4m
Les caiculs sont fait en mm CE
puisque le transmetteur sera
avec une colonne d'eau.
AP=Ip2
= 800 mrn CE
.
HP = 1 . ~ 1+ h'pz
BP = h'p;!
AP=Ipl
=1mCE
nombreuses "astuces" pewent être utilisées pour obtenir des résultats satisfaisants
c la technique d'insufflation. Par exempie, l'insufflation peut se faire dans un liquide
rmediaire (casdes produits cristdlisants).
hnfque d'insufflation peut 6tre utilisde avec profit pour le mesurage de masse
ue d'un liquide : P = h.p.g indique les variations de p si h est constant :
u P = h mrn CE
Dans des l~~ujdesde densité 0,8 ou 1,2
, il suffit de
rnm de CE,
-LE 4
3 51- 143
144
144
NIVEAUX 145
147
148
-
1 Filtre daspiration
2- compresseur
-
3 réfrigérant (avec purgeur automatique ou manuel)
n
4-résmuir ( Il W
" 1
5-&prateur( '' n (1 11
)
N n
6-sMeur ( " W
1
-
1 Filtre d'asplration
II est préférable de placer l'aspiration à un endroit 00 l'atmosphère est la moins
polluée, la moins humide et la moins chaude, cependant, il est nécessaire de
prévoir un filtre dont les caractéristiques seront sélectionnées en fonction de
l'ambiance.
-
2 Compresseur
Pour certains compresseurs, le foncüonnement normal est la marche en continu, le
réservoir (4) pourra tre moins important.
-
3 Réf~gér~t
La vapeur d'eau contmue dans l'air ambiant se retrouve inteSralement dans l'air
comprimé. La temp&ature élevée de l'air à la sortie du compresseur, la maintient à
Mat gazeux. II est nécessaire de se débarrasser de cette vapeur avant qu'elle
ndenser dans les circuits et instruments de mesurage, d'oh l'utilisation
ants (condensation) et plus loin, des séparateurs et sécheurs. La
n est assurée par échangeur (refroidissement par m u ou par air) ou par
C'est un acewoire lndis nsable de l'&y ment d'air comprimé. II équilibre les
la production, nt ainsi" les chutes de pression. En
isseur de pulsations et assure la réserve de marche en
-
5 Séparateur
Dans le circuit, pour affiner encore la qualis de Pair comprime avant son utilisation,
séparateurs, des de s, des filtres d'air. Chacun de ces
Ils sont destinés, quetque soit leur
mique, éliminer les condensations
~ u ~eteà) retenir les particules solides.
6-
un groupe f n g ~ i ~ q dans
~ e , ce cas,il joue le rôle de (3).
148
ACCESSOIRES 149
modèle trbs simple, c'est entre autre, le détendeur des bouteilles de gaz
domestique. Noter que la fuite n4csssaire à l'équilibrage est faite par la
consommation de l'appareil aliment&
mocièis de détendeur d'alimentation 1,4 bar
Je de précision : peut 6tre utilisé en alimentation mais les instnim.
n'en demandent pas tant I
arquer que ces appareils sont des systèmes asservis : la pression de sortie , en
sant sur une membrane ,effectue une réaction qui s'oppose 3 l'action.
Iectrique
alement fiable, le câblage des instruments électroniques pose parfois des
ures d'alimentation, rares heureusement, sont très dangereuses pour le
mais relativement faciles à détecter ; par contre, les défauts plus ou moins
masse, I'origine de certains parasitages, la présence insolite de potentiels
nt trcès d i ~ c i l B~ focaliser
s et à éfiminer.
défauts, le d ~ p a n n ~ gretiave
e du savoir-faire des électriciens et
. Le régieur devra acquérir au moins une petite partie de ce
iliser les schlirnas de câblage, connaître les précautions sf
out- les i ~ t e ~ e n t i o nets autrGs connaissances qui déborden
150
Les transmissions par câble sont soumises à des interférences ayant pour origine des
champs Blectriques (couplages capacltifs) et des champs rnagn6tiques (couplages
laledromagn4tiques). Voir "Bruits dans tes mesures" page 31
Ces interférences et les différences de potentiels entre tes diff6rents points de terre
("potentielsde mode commun") perturbent les mesures si le dblage n'est pas étudié,
içb et entretenu avec soins.
Les blindages (tresses métalliques) atténuent les "bruits" d'0dgin8 éiectrostatique.
Les fils torsades (au pas de 2 à 3 crn) atténuent les "bruits" d'origine
61ectromagnl5tiques.
Les dispositifs d'isolement utilisés avec les relais "reed" (contacts SOUS ampoules de
verre scell4es), les commutateurs statiques {CMOS) ou tes systhmes opto-électroniques
laliminent pratiquement les "courants de circulation" indésirables. Cependant, pour que
ce8 dispositifs conservent leur efficacit8, î ' i n s t r u ~ 8 n ~ t idoit
o ~ çitre câblés suivant des
règles préases et eomptexes qui ne seront plus respsct6es dès la première modification
improvisée ou plus souvent, aprhs démontage et remontage , dès l'apparition d'un
mauvais contact.
( document GEûRGlN )
par remplissage
:~ u r p r e ~ ~ i o n
s ce de pro on ~ ~ s f i deux
n~u~
150
ACCESSOIRES 151
voir page 58
151
ACCESSOIRES 153
.~~~ma.ci.e..Rrir~..~~~.~..~~.~~~i~~.~~~.~.~.J
200 - mA 200 mbar 1 000 mbar
k
4mA 2 0 mA
II s'agit en fait d'un transmetteur électronique dont "/'échelle" est fixes (800.mbar
ajustable éventueltement à 12 PSI). Toutes les technologies vues au Chapitre 4 sont
utilisables (et utilisées).
:balance de forces
200 -
4-20mA
Sortie
"SA exm
CE - LE ET DU R- 153
154
Entrée 4 mA 20 mc\.
Sortie 200 mbar 1 O00 mbar
4
bar
154
ACCESSOIRES 155
iage "de z8ro" est gén4ralernent une vis qui' permet de décaler la &urne, ou la
tringlerie portant la plume, par rapport au mécéanime soufflet + ressort
.-
r comprendre comment app un "defaut de linéarit n appareil à
acement, i f suffit de tracer un &me s~uffte?+ pun angle
droit avec la tringlene portant la plume.
155
156
1.4 br
n
Il
lj
Une balance de force (A,B) compare l'action de la force F ( F = pression x surface du
soufflet ) ort ]la réaction R exerde par le restsort.
La rbaction est proportionnelle au déplacement de la plume, donc le système est
asservi et assure une relation proportionnelle entre la pression reçue et le
dbplacement de la plume, quelles que soient les perturbations dventuelles
(frottements, variations du 1,4 bar d'alimentation, etc ...) ; et bien $Or, il ne peut pas y
avoir de "defautde linéaritc5" .
(4-20mA)
1I l
sont pratiquement abandonnés.
21
on les'trouve en enregistreurs de tableau, mais aussi en "fable fraçanfe"
(diagramme de 250 mm), le principe est présenté page 28. La panne la plus
8 de (38 type d'enregistreurs est un "pompage"autour du pdnt d'bquilibre,
raiement à un mauvais contact entre curseur et fil calibré, Un nettoyage à
era suffisant si le mauvais contact est causé par la présence d'huile
(lubrification du guide du curseur).
Dss pihes dq contact usées ou déformées produisent le m me défaut, mais
...
on sera plus d ~ l ~ ~ t e
3 /~
Nitinol, ruban capadtif, ...
, les t ~ ~ ~ n i q ulese splus diverses ont &te (et sont
encore) utilisées par les ~ n s t r u ~ ~d'enre0~streurs
urs ~ i e ~ o n i q u e sII .n'est pas
nécessaire de connaitre toutes ces techniques pour dépanner le mod
'étude de la notice s s utile fdans le dbpa
ce rendant ~ ~ ~ la lecture $ s de~ ~
156
ACCESSOIRES 157
analogiques ou numériques)
iviser, extraire une racine, sont des opérations
uls sur les signaux standards de l'instrumentation
xiste des appareils pneumatiques, 6lectroniques et
onnement doit iiitre vérifié de temps en temps.
la technologie ( exception faite pour les transmetteurs à sortie numérique
commence à sb répandre ), la difficulté réside dans l'utilisation de signaux
entatifs des grandeurs mesurées : ces signaux ne sont pas des
t des pressions ou des courants proportionnels â la valeur de la
E -LE 157
.e
150
Le slgnal de sortie de l'opérateur doit, lui aussi, &re écrit en "rckihelle normalisée.
+
(ou C)
m3 /h
s i g n a l E2 4mA 20 mA
d'oh :
Cette équation montre que pour obtenir la sortie S souhaitée, il faut multiplier la
mière entrée par K1 = 0,416 et la deuxièmes par K2 = 0,584 avant d'en faire
II n'y a pas de constante à ajouter, donc (si elles sont préivues sur
l'appareil, les mettre à la valeur zéro)
nt en amenant la sortie à
ET DU REGLEUR - 159
Q1 -
:addition ds débits,
-
O
4 ntA
O
25
12
35
50 m3/h
20 mA
70 m3/h
Q? 4 12 20 mA
Q total = Q1 + Q2
Q i = O m3/h
Q2 5 O m3/h
c
Q1 = 50 m3/h
c
Q2 = 70 m3/h
QI = 50 m3/h m3 /h
42 .= 40 m3/h
160
161
Depuis plus d'un siècle, les fabricants de manomètres indiquent à leurs client's
comment utiliser les robinets d'isolement, les siphons, les liquides tampons, les
..
sdparateurs, les amortiss~urs,etc pour obtenir des résultats satisfaisants. Le fait
que ces capteurs de pression soient devenus transmetteurs ne modifie pas grand-
chose à ces conseils. Les catalogu c o ~ ~ t r u c constituent
t ~ u ~ ~ donc une
excellente documentation sur ce sujet. Ils sont larg-ementdiffusés (fodrnent, depuis le
temps 1). L'instrumentiste pourra acquérir un précieux savoir-faire par une lecture
attentive de ces .catalogues.
~TABLISSEMENTSBOURDON.
161
s vannes sont des organes comportant un orifice de dimension variable, elles
ettent le r6glage des débits de fluides,
sont I'actionneur de la plupart des régulations, ce qui leur confère une
rtance Gonsid ble. C'est pourquoi les catalogues des constructeurs de vannes
fort bien faits constituent la meilleure documentation que l'on puisse consulter
C
r-4
Pl P2
-
AP = P I P2 Prs sion différentislis "
1.
1.1
2
3
4
4 .l
4.2
5.
5.1
5.2
5.3
6.1
6.2
7
8
8.1
8.2
166
Vannes 167
US Gallon (1,78 1)
(1 baril = 42 US gal)
minutes
ut varier de différentes
167
168
sont établies dans les conditions d'essais dhites ddessus pour les définitions du Kv
et du Cv, c'est-à-dire à (lbarou 1 PSI)
1O0
90
80
70
60
50
40
30
20
10
O 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100
3 03
O
30
?O
u0
50
40
30
20
10
O 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100
i
a cou
VasiCition de E du débit est, rn tous points de
i (apeuFdS)*
700 X 1,5
= ~ ~ d ~ 3
3
et 9ûohle dajbi passe de 39 à 59
La variation es?de 28 ce qui représente :
Vannes 169
39 =51%de39 'Oo
C'est à dire presque le même pourcentage dans les deux cas. La loi linéaire aurait
donné pour les mêmes variations de courses 5WiG et 12,5% de variations des débits.
D'autres caractdristiques intrinsdques existent. On trouvera dans les catalogues
diverses formes de ctqets et les caractéristiques correspondantes.
.............
"Çgiraçferi$ique
.U. S
)........... ........ipstallée
de 19...*.
vgtprp ..
M...........
w
Débit
+M E -LE 169
1?O
170
Vannes 171
171
.Positionneur
............. à çame
.........
Pest oimm
La came permet d'obtenir des caractéristiques linéair$s ou égal pourcentage ainsi que
la commande linéaire des vannes en cascade (split-range).
Elle peut aussi être taillée par l'utilisateur pour répondre Ci des applications
particulières : linéarisation de la caractéristique installée.
11 .R~~!ane*.de.!l_a~~~
:
réglage de la géométrie du système pour que la relation : Deplacernent du
clapetrrension ressort, soit linéaire
RB!a!age, .de..:!:4c!?e!!e:
faire correspondre les valeurs extrljmes du signal de commande avec la
longueur de course du clapet.
31 .R$sl!age.du..:zPo:
faire correspondre la position "vanne fermée" avec la valeur du signal de
commande correspondant.
En général ces réglages dépendent fortement les uns des autres. Un examen attentif
de l'appareil et de la notice du constructeur, permettront de degager dans chaque cas,
le mode opératoire te plus efficace.
4 pression de v a p o r i s a t i o n
ulles [OU tension de vapeur)
u i dîvpareisaent
ideré à la temperature de
173
174
(notice Masoneilan)
Conditions de service :Fluide :eau chaude 170°C
P1 :pression amont 20 bar absolus
P2 :pression aval 10 bar absdus
M :débit 60 tonnesh
(3 :densite de l'eau à la Tode I'hulement 0,Q
Pression de saturadon à 170°C Pv = 8 bar absolus
utilise une CAMFLEX avec fluide tendant à fermer, Cf = 0'7
me dimension que la tuyauterie 0 = 80 rnm
Chercher les conditions d'bcoulement :
-
AP réslie e: Pl P2 5- -
20 10 = 10 bar
La AP vanne (10 bar) est plus grande que hP critique :ily aura cavitation.
PU
Vannes 175
J- E -LE 175
R~GULATEUR 179
A l'origine ( au début de Père industrielle et avant ), régulateur etait le nom donné B tout
appareil devant assurer la marche -c'est à dire le mouvement r uiirr, régi4 d'un
mécanisme.
-
Les progrès de fa technologie ont fait qu'il est maintenant exigé une marche non
seulment régulière mais à la valeur exacte souhait& par l'exploitant ( comaïgns ).
II est dors difficile de ne pas confondre f ~ u ~ 8etf r'g&fiOn ~ ~ f mais, s'il ne s'agit
pas d'une rdgulation numérique, il est important de bien faire la différence :
iursqu'if est relié Q un transmetteur et à une vanne, te régulateur est en régulation, son
fonctionnement ne peut pas être observé indépendamment du fondonnement de
l'ensemble, pourtant il faut vérifier qu'il fonctionne correctement; pour cela, il est
nkessaire (oornme pour les autres instruments) de I'isoler,d'utiliser un générateur de
valeurs d'entrée, at de vérifier que les valeurs de sortie sont bien celles prévues :
Le comportement normal d'un REGULATEUR monté comme indiqué ci-dessus est l'objet
de ce chapitre i explication des foncüons P, il et D (propordonnelle, int4grals et derivée).
Ces fonctions sont, bien siIr les mêmes quelle que soit la technologie employée pour les
mettre en oeuvre ; c'est pourquoi il est important de les connaître tant qu'elles sont
utifisées I
La sortie (y) est &ale à i'entrbe (x) multipliée par un nombre connu (K)
"y est prapurtiwnel il x"
sont
1 Ces lettres s y ~ ~ o i e s r ~ I '~O r ~ a n ~~~ lnterrktionale
t~on ~ de d
~or~alisatio~.
iao
R~GULATEUR181
coirçiane W
on de j~nve~§eu~
J- E -LE 181
:Quelle valeur va prendre la sortie Y ?
sur un r ~ ~ u ~ isolé
~ e u r
i olanfonction P sont
compte tenu de la remarque 2 d-dessus ies tests de v é ~ ~ ~ tde
urs P + 1 .
182
enir compte du temps, on dit
u temps ..
d'ailleurs, tes
es analogues à celierci-
L'unit6 %.mn peut surprendre, mais quand on multiplie des % par des mn, on n'obtient
pas des m& ou des cm* I
De meme, il est facile de calculer (plus exactement de mesurer)
et n'importe queIl$ autre valeur de l'intégrale de la fonction x. C'est pour cela que nous
choisirons "1i8ch@/onn pour tester les régulateurs. Quand x prend une valeur négative,
la surface prend le signe -
Le p n ~ u m ~ i est
~ udonne
e p.235
184
R~GULATEUR185
E -LE 185
186
~: re = Consigne,
ou inversa au c
Kp q u e f ~ q u e ,
Ti sur la valeur à VB
186
R~GULATEUR187
la valeur de Y, ( c'est Y0 )
une variation sur X ou sur W ;la sortie aura une variation immediate due à
e Y, ( Y1 ), la varfation se parsuit de façon obntinue (si
usqu'au mini ou jusqu'au maxi de l'indicateur ou de
il suffit de faire X = W ( ou W = X)
. ce qu'il faut mesurer, c'est le temps nkesaire pour "répéter" fa variation
immédiate dbe à la #roportionnelle.
187
MANU / AUTO :avm X = W, la cornmmtim MANU --a AUTO ne do&pas produire
de variation de la sortie. Si c'est le cas, Iw remise en 4tat est
indispensable.
AUTO/MANU : la sortie doit prendre jmm~d~atement
la valeur affich6e par la
commande manuelle.
et ,en r ~ $ u s'exprime
~ ~ ~en ,%
188
RÊGULATEUR i89
: tangente au point A ,
fa droite va ds 19% à 41% en 2 mn
& = 4 1 -19=22?40
At=2mn
dx
X=ll%/mn
O
A %=O 7" O.
0 divis4 par quelque chose eest encore 0
B x-:"
dx 9%
a= 00 cornme 0,00001
donne un nombre
trbs grand.
{ 00 est le syrnb~~e
de infini)
c -=
E - LE CARNET DU Rf%LEUR -
190
d'où le graphique :
X
(0%
ar
30
190
RÉGULATEUR 191
Y=Yo+aKpx2 X d t ? KpnTd dx
dt
:-
La dérivée d'une rampe étant une constants, il est commode de génerer une rampe
sur l'entrée mesure
ta fonction int rate est éliminée par Ti plus grand que 50 mn (ou O Rep/mn)
quelconque. Direct au Inverse change seulement le sens de la variation.
rer une rampe, la mç)thode la plus simple consiste à utiliser un
P + 1 int
re$ula~e~r
.le gain K p
.Ti
E -LE 191
192
- afficher le Td à vérifier,
du régulateur Pt-l
-faireTâ=O
- mesurer le .temps que met la sortie pour retrouver la valeur qu'elle
u moment oû on a fait Td = O. Ce temps doit Qtre 4gal au Td
quel que sojt la pente de la rampe, quel que soit le gdn et en
me en Inverse.
192
amalement le terme procédd désigne la mbthads & suivre pour obtenir un résultat
da de fabrtation d'un pralui), mis par andogis avec le terme mgfais procsss"
ens de r@uiation désignent par procMd, la partie d'installation que le r@ulateur a
mission de crrnduke automatiquement, d'oifi notre définition :
$8 trouve e et la
mesurant la
-
ma fonctionnel du four
FOUR
procedé "niveau"
:I'ENTREE
2.
V de
196
198
proc,Nat.Stable
T. /
roc.Nat.Instable
, la r4psnse du premier
el il faut ~ ~ l t i p ~lai e r
r la ~ a ?de ~sortie u ~
, ... . sa
198
: le Rroc&dé est " ilis4". La mesu
(valeurs relevbs sur les indicateurs en
On fait une variation sur la commande manuelle, par exemple, + 5% en
~8SEurtdû 47% & 5Ph. AY = 5%
ta mesure augmente et stabilise après "un certain temps" à la valeur 6Ph.
AX=64% - 58% = 6Vo
constante de temps 8 ('Wi6ta") est le temps mis pour que la variation de X atteigne
63% de sa valeur finale. (explication math. page 253)
pie d-avant, la variation totaie de X est de 6%.
0 sera le temps mis pour que X varie de
63
X 6% 3,6%
I Enclencher le chronomètre au moment de I'bchelon sur Y et le déclencher
quand X passe B la valeur (58% + 3,6%) = 61,6%. Le temps compté est égal
& e.
.
e est le t e ~ p snécs re gt la mesure X pour "stabiliser" à
le temps mis pour dre la valeur finale est infini, mais en
s i qu'après un temps T, la mesure a csss4 d'O
e.."Unû valeur ~ ~ o x i m de ~ 8v sera
e obtenu
iatsment au
200
Sur ponses, 05) fait une tion",c'est-à-dire que I'm di rche des valeurs
de z et de 8 qui donneraient une courbe du premier ordre av c temps mort assez
de ia boslrbe fée~l~.
: z ~ S t ~ ~ S ~lefmarnent
é de i' et le moment OUk~
varier. Ensuite sure du temps c8 que la variation
T
nne je temps de r4 Cwl4par $=g
ion d'une réponse de p , il ne doit pas y avoir
n que ~~~~1~~ AY ( la r 6 AY + Atruc+
Amachin, ne permet pas de calculer ! ). C'est pourquoi la
200
201
PROCÉieÉ
nt conduire le proc 6 en manuel est
. a=
A X (%)
At (mn)
Le coefficient
"av
d'intbgration tient compte de I'ampiitude de i"é&elon car, bien
sGr, la pente eBt plus ou m ' n s forte si I'bchelon est k important.
entre le moment de l
7.
Chercher B ob
fonctionnement les
blir un "maléle"du procMé, c'est-
e f e p r ~ $ e n t ~ t ressemble
iv~ & la
d
In
202
203
consigne u %
istrer ou relever sur l'indicateur
r: E = X -W après stabilisation
8.2
nt.
10 .
P r d 6 :t ~ ~sur un
~ petiî~four r e
gufateur en podtlon MANU.
-- lala vanne est à 47"
mesure est de 52%
.Avec la ~~~~e manuelle, on fait un edielon sur la vanne.
Nouvelle valeur : 53%
.La plume de mesure commence à se déplacer 4 s aprb l'échelon.
Elle &ibliise à nouv 2 mn 30 s.
d'O9 : AY 53% -47% 6%
-E ZJ
-
AX = 5WA 52Oh r~ FA
U
c'
temp~ratureRr2. La
ur obtenir un effet &anticipation :
208
R&M.ATI.ON 209
4nn
21O
RÊGULATW 211
2.4 (continue)
x- w
2/que la fonction intégrale fait varier Y tant que X est diffdrsnte de W
(page 183 :la sortie cesse d'évoluer seulement si X = W).
Donc une régulation P + i stabiliser avec X 2: W : l'action de
l'intégrale est d'obliger la m nsigne.
fait que la sortie du régulateur évolue dans le temps. La vitesse
peut Qtre dosée par le coefficient Ti (en mn), elle doit 6tre
adapthe à la vitesse d'holution du procedé.
Pour un procedé "1er ordre + temps mort" on affichera :
Les pr nature~lerne~t
instables sont eux-rn mes integrateurs. On
poum
2.5
variation de la mesure. EIte
contre elle donne de fortes
211
212
. ~ ..- - -. . . . ----
_Commsnzairss : dans le cas 1/ il est évidsnt que, s'il voit un écart,te régulateur
agira immédiatement.
Quand à U,de nombreux régulateurs actuels sont 4quipés d'un
dispositif qui oblige la commande manuelle à suivre la valeur de la
sortie automatique, ce qui permet un transfert Sans à-coups.
Observation :-
, il faudra la modifier
R du ed
4.21
214
RÉGULATION 215
4.3
Les deux montages de la page 208 sont sous l'aspect théorique, assez
semblables : ils sont constitués d'une boucle à évolution "rapide" pilotée (consigne
externe) par une boude Qvoluantplus lentement.
La boucle interne (la plus"rapide") sera mise en service et testes la première (sur
consigne interne).
Après commutation sur consigne externe, elle sera vue par fa boucle principale
comme faisant partie du procgdé. La boude principale devient une boucle simple.
X
--v
V z mettre en service ne
il ir :
bureau d'éebudéis,
Dans ces trois sitez pas & faire appel & d s cornpetences
~ u p ~ ~ ~(vok
u r pag
es
215
216
-
6 Réaulation numérigya
3 1 I i
I - -\
Ces amélioraîions technologiques sont très appréciables, mais ce ne sont que des
recopies d'appareils basés sur les te s, il y a encore mieux ! ...
comme le montrent ces extraits d'une DINDELEUX :
. .
O. :R&ulat ion Qu&tatrve Ootlq&
*Le développement des technologies et systèmes numériques implique une remise en
cause des cuncepts classiques de régulation liés à l'utilisation des technologies et de
l'instrumentation analogiques.
Depuis que les élecîroniàens, puis automatiaens s'intéressent à l'asservissementou à
la régulation des systèmes, les algorithmes flonctions) de type proportionnel (P),
proportionnel el intégral (P.l), proportionnel + intégrale + dérivée (P.1.D) furent et
demeurent encote les plus utilisés.
SOS1 i ... au
nsid ,ce qui
216
RGGULATION 217
La simplicité et la compréhension physique de ces algorithmes en sont les
avantages principaux, ce qui explique en grahde partie leur succès.
Mais l'avdnement des technoIosies nouvelles (systèmes de conduite à micro-
processeurs et calculateurs rbmériques) nous permet aujourd'hui d'ouvrir
sensiblement le champ des possibilités et nous a m h s ii repenser certains concepts
de la régulation, qui proposent des sulutions plus vastes aux problèmes posés par
la conduite des proddds industriss. Faut-il en ddduire que les algorithmes PI et PID
seront n6s 3 certhemmt pas ... "
s
angemsnt du point de
-LE 217
218
Auteurs cités :
- O. DINLKLEUX :"Technlques de la Régulation Industrielle" - Editions Eyrolles
-- P.P. DE
NASLIN :Technologie et calcul pratique des
LA FUENllE : cours professés B I.A.A.
es asservis" - Ed. Dunod
218
*I 1.4 bar
Direct Inv
-LE 233
234
fonctionnement, par contre il faut avoir une idée claire de ce que l'on cherche B verifier.
Ce schéma (qui sera repris pour les fonctions P+l, PeD, P.I.D.) peut aider le
raisonnement. Ainsi en pneumatique l'exemple traité page 181 pourrait se dessiner :
( 5.43 mbar est la valsur que!ccrnque de Y0 , 80 mbfv = 1O % du signai de mesure )
1"O y0 1543
t
puis X de 80 mbar ,la buse s'ouvre , Y
se rétabli : c la réaction aussi et i'huilibre
ou en direct :
234
PNEUMATiûUE 235
-
La fonction intégrale, c'est-à-dire la prise en compte de la surface de l'écart X W est
à un soufflet de oontre-réaction (il Qxerce une force opposée à ta rêactlon)
la sortie à travers un robinet pointeau. Ce robinet conditionne le temps de
soufflet C.R. c'est aussi une ralson de graduer sa position en mn. En
fonction P seule, le soufflet C.R est utilise pour Yo. En position MANU, ce soufflet est
raccordé à la commande manuelle.
11 est important de remarqu que cette balance ne peut 6tre en &@libre qu'avec
des pressions contre actions = réaction et X W. Nous verrons en rbgulation
E
Remarques :
1) observer que dans les r~g~iateur$ P + 1, Yo est une valeur variable qui
correspond à î'addition ( k ) de, toutes les surfaces qui se sont d6Vebpp68s
ramen~eà une valeur connue en
UTO. Comme il a ét6 dit plus haut :
valeur de la commande manuelle.
X = W sinon Kp(X-W) s'ajoutera
J- -LE 235
236
236
PNEUMATEWE 237
237
Annexes 239
Alphabet grec
Archimaide ( poussée ô'.. )
Bruit
Composants Blectroniques (quelques ...)
( di3 ) ddcibel
Désignation des tubes
Dilatation des metaux
Eau
Eau (suite)
Equation du 2ème degré page 262
Fibre optique
Fonction de transfert du 1er ordre
bl
HumiditQ de Pair "point de ros
Humidité (Mesure d')
log et Io63
Notes personnelles
Masses volumiques et caracthristiques de quelques corps :solides
Ilquides
9=
Moyennes wriihmdtr?ques,géomçitriques, quadratiques .
Notations du calcul opérationnel
Pertia de charge
PH
4WE ( technologie des rdgulateurs pneumatiques ) 239
266 Poussée d'Archimède
267 Pouvoirs calorifiques
268 "Pt 100" table
269 Puissanm st énergie
270 ~ e ~ r ~ s e n t a tconventionnelle
ion
271 Teintes conventionnelles
272 Table de conversion couple N
273 Table de conversion couple N (suite)
274 Tahle de conversion couple C
275 Table de conversion couple K
276 Je de conversion couple J
277 le de conversion couple S
278 Ie de conversion couple X
279 Je de eonversion couple X (suite)
280 le de conversion couple
281
282
283
291
293 hragrnes, tuyhres...) calcul rapide
239
Annexes 241
<:
rl ta viscosité absolue
V nu visoositb cinématique
n Pi 3,1416
fi3 Pi Ne/ m3 , (symbole ch, physique ,CB n’est pas une
poids ~ I u r n j ~ u
Eettre grecque)
rh masse volumique kg / m3
khi ~ ~ e S /~m i ~ u ~
oh
241
242
Archimède
Archimède (sicilien ,287 & 212 av. J.C. ) ayant remarqué (comme tout Ee monde) que Certains
objets fkittalent ,s'est demandé (ià ifn'est pius comme tout ie monde) quelle pouvait bien être
la force qui les maintenait à la surface du liquide 7
II a trouvk, ( 'euréka !" ) qu'un corps envkonnk, d'un fluide (liquide ou gaz) était soumis 4
(une pousde) dgals au poids du fluide ddplac6.
d'Archimède = V x p. g
P*
242
Annexes 243
.
Un objet de volume 1 litre ( 1/1O00 m3 ) plongé dans l'eau ( densité 1 ,
p = 1O00 kglm3 ) reçoit une poussée de :
243
Annexes 245
60
50
245
246
i.
écibel est une unité sans dimension qui exprime le quotient de deux
ura numériques en prenant une échelle logarithmique.
isé pour exprimer un niyeau de puissance électrique ou d'intensité
stique par rapport à des niveaux choisis comme référence, le nombre
écibels est défini par La formule :
'O log
ri?
Puissance mesurée
Puissance de référence
Eau
la pression atmosphèrique :
rature de v
La temp~~ture
d" ébullition de 1' eau (a menla 100 OC ) varie avec la pression.
P :pression en bar,
1 : t e ~ ~ ~ ~en~ OtCu, r e
T
O C OC
5
' 10
50
70
1O0
130
150
170
: point de congélation :
Teneur en glycol
En verre, en silice fondue ou en matières plastiques, les fibres
optiques, d'un diamètre inférieur à 150 pm, sont utilisées en
transmission sous forme de cables optiques (fibres cablées).
252
Annexes 253
-t
, Equation : x = . 1 - e
IT 0 : "thêta"
e : 2,71828
t
. avec
Le temps 0 correspond B
la ligne 100%.
l'intersection de la tangente à l'origine
. 11
Temps de montée" :
I
Annexes 257
257
Annexes 259
259
260
Alcool à 90"
Alcool éthylique Huile minérale
Alcool méthylique Pétrole brut
Essence auto
.
Fuel-oiis (moyennes)
F.O. domestique 20
50
8 40
Il
6
. F.O. léger 20
50
910
lt
29
10
. F.O. lourd n"1 20
50
940
Il
21 5
60
. F.O. lourd n"2 20
50
955
Pl
2 50
Me rc u re O 13 600 1,685
2O0 13 100 1 ,O1
Sodium 200 904 0,45
600 809 0,21
Annexes 261
1,29 - 195
1,78 - 185,7
1,026 - 195,8
2,68 - 0,5
3,21 - 34,6
1,26 - 103,8
1,70 - 187
O, 18 - 268,9
O, O9 - 252,8
3,71 - 152,9
0,90 - 245,9
de de Carbone 1,25 - 190
1,43 - 183
2,14 - 112
2,02 - 44,5
en masse en volume
Azote 75,8% 78%
Oxygène 23,23 21%
Gaz divers 1% 1
(Argon + gaz carbonique + un grand nombre de
gaz rares en quantité infime)
ax2 + bx f c = O
racines x =
-b f Y b 2 -4 ac
2a
. confondues et égales 2i --
2a
sib2-4ac=0
. imaginaires si b2 - 4 ac < O
2
Annexes 263
l+ap+a2pz +. .anpn
système de n
ea
ordre (a, a2,. .., an : constanfes)
Régulateur à action P + I
K : gain réglable
Td, Ti : coefficientsréglables
etc ....
Attention :
263
264
2
266
Pou = v x p .
V volums en m3
p (rh8) massa volumique en kg / m 3
9,81 m / s 2
266
Annexes 267
r rapport à la masse
(J/kg) e t (mth/kg)
es u n i t é s T
oyrilusnc e s t é g a l e 2a l a oiillitherbie p a r
E
Désignation aith/kg
Rois 2 700 (eau 20%)
Charbon de bois 7 200 (eau 7
ifouille grasse 7 400 (cendres 14%, eau 4%)
Anthracite 7 800 (cendres 8%, eau 2%)
Coke d t a l l u r g i q u e 7 100 (cendre9 lOX, eau 1,5%)
OHBUST I BLES LIQUIDES
Désignation mth/kg
__
Alcool érhy l i q u e (dthanol) 6 400 (p.c inférieur)
Alcool métliyl ique 5 300 (p.e inférieur)
Carburant a u t o 1 1 200 (p.c inférieur)
Fuel o i l domestique 10 800 environ
Fuel o i l l é g e r 10 600 environ
Fuel o i l lourd 10 300 environ
Ga8 o i l i l ûcN) environ
Pbtrole brut 9 800 11 450
iuvoirs c a l o r i f i q u e s s u p é r i e u r e
Désignation mth/kg
Hydrogène 33 890
Butane 11 831
Propane 12 033
Liqueur n o i r e $1
40% 11
267
111 - -- -- - -..---
-OC
O
O
__I
l M)*oo
- *C
I
O
--
+ 100
345.2 1 375.61
- 5 98.04 + 5 101$5 140.39 177, 346.76 377.10
- 10 96.07 + 10 103,gQ 142.28 179. 348.30 378.58
- 15 94.10 + 15 10585 144.18 181.34 349.84 330.01
-20
- 25
-30
92.13
90.15
88.1 7
+20
+ 30
-
25
107.79 146.W 1m.11
109.73
111.67
147
14932
351.38 381.55
352.92 3133.03
354'45
- 35 *19 + 35 113.81 151JO 355.198 308.194
-40 84.21 +40 115.54 193.57 190.46 397.51 387.45
- 45 82.23 * 45 11 7,47 165.45
-50 80.25 + 50 1 19.40 157.32 380.55 .38
-55 78.27 7 55 12132 1W.18 195.89 382.07
-60 76.28 + 60 123.24 197.74 383,459
- 65 74.29 -+ 65 i25.16 199,so 36EBs.10
- 70 72,29 -i 70 127,07 m1,m
- 75 70.29 $- 75 12898 l$$.tO2
- 80 68.28 + 8 0 130.89 168.47
- 85 66.27 + 85 I32,80 17032 371.12
-90 2 5 - 9 0 134.70 172.16 372.82
- 95 62.23 + 9 5 174,oo 21035 374.12
-10 60.20 7 100 I38,W 175.84 21 2.03 376.61
-
9PC
- ---
0.80 W C 038 O37 036
_I_. .
1
030
111 -029
* Simulation de - 50 à + 750"C.
* Commutateur a 12 positions calibrées de - 50 à +
700" C.
* Toutes t e m ~ ~ r a t u intermédiaires
r~s par deux
~ o t e n ~ i o m ~1ttour.
r~s
* Chiffres lisibles d'une ha
' 1 W , si un
joule est produit ou absorbé en dix secondes
on dit que la puissance e s t de - = O , l W
10 s
(Dire "un watt multiplié par une heure égale un wattheure" n'est
pas faux, mais ne simplifie rien).
Une énergie (joule) divisée par un temps est une puissance (watt)
Une puissance (watt2 multipliée par un temps est une énergie (joule)
Cette page est dédiée aux chauffagistesqui ne faisant aucune différence entre
le W et le Wh, confondent constamment puissance et énergie !
2
270
Représentation conventionnelle
CODE ALPHABETIOUE
Instrument mont4 local enient A analyse, alarme
C conductivité, régulé
Instrument monté sur tableau
principal D masse volumique, différence
E f .e.m
Instrument monté sur tableau
secondaire F débit, fraction, fermé
H manuel, haut
Instrument monté à l'arrière
du tableau 1 intensité du courant,
indiqué
L --
niveau, -
bas
Transmission électrique
M humidité
Q quantité, intégrateur ou
Vannes automatiques totalisateur
motorisation :
R radioactivité, enregistré
membrane , ou imprimante
piston T temoérature
V viscosité, vanne
électrique W masse, poids ou force
270
Annexes 271
conventionnelles
hu.. ............................................................. vert.
v.pew: dccu.. ..................................................... otr qcnt.
Huilrr mtiéràler. v&ét.ltS et &les, combumtibler liquides.. .......... Bnm.
Ct ............................................................... Ocre hune. -
Acider
_ _ - ~
et .....................................................
~ _ ~ _ _ -
Violet.
Air ................................................................ Bleu &r.
Autres liquides .................................................... Noir.
Teinte d'identification
Nature du fluide (aanuu ou bande)
Vert f o d
Hdium. ...................................................... BNn.
....................................................
.....................................................
dizote .............................................. ad.
Acide8 et bilaCr ...............................................
Teunte d'
c%aud ...........................................
0ql
..
Froid au rehx&...............................................
..................................................
.. ..............................................
- -
~ vrckc..
~ o $ ou u ~
ion .................................................
271
272 MECI
COUPLE NICKEL CHROME-NICKEL ALLfE
Force dlectromotrice en mil fivolh Jonction de r4fCrence b O "C
- lOO+
3.49 0,m 12,21 16,40
-500
20,65
3,s 12,29 16,M 20,73
3,61 O, 16 12,38 16,57 20,82
3,M 0,23 12,445 16,65 20,90
3,72 0,31 12,54 16,74 20,w
3,78 0,39 12,63 16,82 21 ,O7
3,84 O,& 12,n 16,91 21,1b
3,139 0,54 12,79 16,W 21,24
3,95 0,62 12,88 1 7,07 21,32
4,w 0,69 12,96 17,16 21,41
17,24
7
21,50
17,33 21,%
4,16 17,41 21,67
4,22 17,s 21 ,75
4,27 17,58 21,a4
4,32 21,92
4,37 22,01
1,28 17184 22,09
1.36 17,92 22,18
18,Ol 22,26
9,75 1 13,88 1 18,W 22,35
9,83 I 13,96 I 18.17 2243
22,52
22,61
22,459
22,78
22,86
22,95
23,a
23,13
23 ,20
23,29
23,38
23,4
23,5
23,a
23,72
23,80
23,89
23,97
24,M
241.4
24,23
24,31
24,40'
24,49
2457
24,65
24,74
24,83
3,49 1 4,lO 8,13 1 12,21 1 16,80 1 20,65
-
24,91
272
Annexes 273
MEC1
COUPLE ~ 1 C K E L . C H U O M E - ICKEL ALLIE
F Jonction de réf6rence à 0 O C
273.
274 MECI
COUPLE NICKEL C
Force électromotrice en millivolts Jonction de r4férence à O "C
62,17
62,33
62.49 70.23
46,72 I %,74 62;65 70;39
46,88 %,90 62,81 70,54
47,044 55,M 62,96 70,69
47,s 55,22 70, as
47# 37 55,38 63,27 71,00
47,s 55,s 63;43 71,15
47,69 55,69 63,5 71,31
63,74
1
47,85 55,85 71,446
4,Ol 56,Ol 71.61
43,17 56,17 64.05 71.76
48,33 S833 64;21 1 71,92
48,49 56,49 64.36 72,07
48,65 56,65 64;52 ;
72 22
48,81 U,81 64,68 72,37
48.97 56197 64,83 72,53
49;45
49,61 57,450
49,n 57J6
49193 I W892
50.09 58.08
50; 25 58124
50,41
50.57
50; 73 I M871 66,5 1 74,20
50i90 58.87 66.69 74,35
51;06
51,22
51,38
51,54
51.70
I
t
59;03
$9818
59,34
59,50
59166
51 ;86 59;81
52,02 59,97
52,18 60,13
52,34 I 60,29
52'50 60,45
52;66 60; 60
96 877 52,82 6(1,76
t 94 52,98 60,92
1 4,lO 53,14 6i80a
274
f-7
C
C Annexes 275
QT
u
m
r: I
O
a
2
w
gf t
000000000
O 0
wrr
0 0 0 0 O 8 Q0O
HNmt-WhmmOHwm
000
O O SO0 00
275
/
(0
O 10 20 30 1 40 50 60 70 80
-- 200
" - 4,632
7,890 8,096
- 5,426 -- 5,801 - 6,159 -- 3,344 - 4,215
+
100
0
O
0,000
0,000
0
b
5,036
0,501
0,507
0 0,995
1,019
1,481
1,536
1,960
2,058
0
0 6,4913
2,431
2,585
- 6,821
-0
2,892
3,115
7,122
3,649
0 7,402
3,785
4,186
0
7,659
4,725
100 5,268 5,812 6,359 6,907 7,457 8,008 8,5W 9,113 9,667 10,222
200 10,777 11,332 11,887 12,442 12,998 13,553 14,108 14,663 15,217 15,771
300 16,325 16,879 17,432 17,984 18,537 19,089 19,640 20,192 29,74? 21,295
400 21,846 22,397 22,949 23,501 24,054 24,607 25,161 25,716 26,272 26,829
500 27,388 27,949 28,511 29,075 29,642 30,210 30,782 31,356 31 '93:' 32.5 î3
600 33 ,096 33,683 34,273 34,867 35,464 36,066 368 671 37 280 37,393 38,510
700 39,130 39,754 40,382 41,013 41,647 42,283 42,922 43,563 44,207 44,852
aoo 45,498 46 ,144 46,790 47,434 48,076 48,716 49,354 49,989 50,621 51,249
900 51,875 52,496 53,115 53,729 54,341 54,948 55,553 56,155 56.753 57,349
1000 57,942 58,533 59,121 59,708 60,293 60,876 61,459 62,039 62,619 63.199
F1 O0 63,?7? 64,355 64,933 65,510 66,037 66,064 67,240 67 815 68,390 68,964
12GO 69,536
F
t I
P 0x8s 277
1
I
I/ 1
I
O
W
c
(fl
277
278
COUPLE PLATINE RHO IE 3 0 % - P L A T I N f RHODjE 6 %
force électromotrice en millivolts Jonction de r6férence à O "C
O -0 '0,033
2 -0,ooo 0,035
4 -0,001 O, 037
6 -0,001 O, O39
8 -0,002 0,041
18 J-0,002~0,051
44
4
48 I 0,-O01 0;ow
0,001 0,086
0,002 0,w
50 ~0,ocn10,092
52 1 O,MB10,095
278
Cette t a b l e a 6té modifiée par 1'E.I.P.T. 68. Annexes 279
La nouvelle t a b l e porte le repère B
COUPLE PLATINE RHODIL 30Iir,-PLATINE RHODIE 6%
Force dlectromotrice en millivolts Jonction d e rhf6rence b O OC
_- - ___
1 1000 Il100 1 1200 1 140P 1 1500 1 1800
~~~~~
O
4,844 5,e3 6,8OC 7,866 8,979 10,124 11,284 12,453 13,61C
2 4,862 5,813 6,821 7,888 9,002 10,147 11,309 12,476 13,635
4 4,881 5,832 6,842 7,910 9,025 10,170 11,333 12,500 13,662
6 4,899 5,852 6,863 7,932 9,047 10,193 11,356 12,523 13,68t
8 4,918 5,872 6,883 7,954 9,070 10,217 11,379 12,546 13,70E
10 1 4,936 1 5,891 1 6,904 71976 9;093 10;240 11;403 12;570 13;731
12 I 4,954 I 5,911 I 6.925 7,998 9,115 10,263 '11,420 12,593 13,754
8,020
8,042
8,064
8,086 1
8.108 I
I I I I I-
9,138 10,286 11,449 12,616 13,777
9,161 10,309 11,473 12,640 13,801
9,184 10,332 11,496 12,663 13,824
9,206 110,356 111,519 112,686 1 13,847
9.229 110,379 I11,W112.709 I
---
'
24 5,0645 6;030 7;051 ail30 9;252 loi402 11;566 12;733
26 5,085 6,OsO 7,072 8,152 9,275 10,425 11,589 12,756
28 5,103 6,070 7,093
7;114
8,174
8;196 1
9,297 10,448 11,613 12,779
9;320 1 101471 111,636 1 12;803 1 -
7,135 8,218 I 9,343 110,495 I 11.659 I 12,826 I -
-
6,170
-
6,190
6,210
66j1500 7,156
7,177
7,199
7,220
7,241
8;24
8,262
8,285
8,307 1
8,329 I
I
9;366 l0;518 11;683 12;849
9,389 10,541 11,706 12,872
9,412 10,564 11,729 12,896
9,434 1 10,587 111,753 1 12,919 1
9,457 I 10,611 I 11,776 I 12,942 I
-
-
--
6,230 7,262 81351 9,480 10,634 11,799 12;966 -
5,273 6,250 7,284 8,373 9,503 10,657 11,823 12,989 -
5,292 6,270 7,305 8,396 9,526 10,600 11,846 13,012 --
9,549 1 O, 704 11,869 1 13,û35 1
8,418
8,440 9,572 10,727 1~893I 13.0~9i
9,595 1 O, 750 111;916 13;082
--
54 5;349 6;330 7;369 8,463
-
56
58
5,368
5,387
6,351
6,371
7,390
7,412
*
8,485
8,507
9,618 10,773 11,940 13,105
9,640 1 O, 797 11,963 13,128
9,663 1 O,820
9,686 10,843
-
-
64
66
68
5;
5,463
5,483
6;432
6,452
6,472 I 7;474
7,498
7,519
8,574
8,597
8,619
9,709 10,w 12;033 13;198
9,732 10,890 12,056 13,221
9,755 10,913 12,080 13,245 I- .
jlt:
78
15,540 16,533
5,550 6,554
5 3 9 6,574
1 7,584
7,605
7,627
8,709
8,731 I 9,847
9,870 l 11,006
I
12,173
ll,Q29 12,196 l 13,337
13,341 l ---
8,754 9,893 11,053 12,220 13,384 f
8,776 9,916 11,076 12,243 13,407 f -
' 7,692
7,714
~ 7,735
7,757
n
7,801
7,822
7,844
- 7,866
280
COUPLE NICKEL-CHROI%/ CUIVRE-NICKEL (E)
Document MEC1
Annexes 281
I I I I I
I
Document MECI
282
Formule Chimique tf
Aluminium Al ' 658
Argent
Ag 96 1
Argon A - 190
Azote N2 - 270
Chlorure de Sodium Na C1 804
Cobalt Co 1 495
Eau H2O O
Etain Sn 232
Hé 1 ium He - 271
Magnésium .Mg 65 1
Mercure Hg - 39
Nickel Ni 1 435
(Ir Au 1 064
Platine Pt 1 755
Plomb Pb 327
Zinc Zn 419
Annexes 283
Fenêtres, K = 3,s à 6
et K varient non seulement avec la différence de température, mais aussi
'ec la température ambiante.
2
284
sin2a + cos2 a = 1
RELATIONS : tga.5-
sin a
cos a
I
U
O0
30"
sin a
O
COS
1
a
- tg
O
0,5 0,8'66 0,577
45 " O , 707 O, 707 1
60" 0,866 O, 5 1,732
90" 1 O 00
LONGUEUR
mètre rn
angstrorn A" = î 0 - ' ~ p 1
m i l l e nautique * 1,852 m
année l u m i è r e 3 10 m ( d i s t a n c e parcourue par l a lumière en une année)
AZRE OU SUPERFICIE
d t r e carré m*
hectare ha = 10000 rnz
ate a = 100 rn*
centiare ca = 1 rnz
VOLUME
SI mcàltre cube m*
litre = 1 / 1 O00 de m)
ANGLE PLAN
grade = 0,9O
degr& In- rd
180
minute ' I -
1
60
seconde
AlGLE SOLIDE
Sï stéradian sr Le atérediaint e r t l'angli, solide q u i , ayant son s
u c e n t r e d'une sph&re, dkco s u r f a c e do c e t t e
phore une a i r e é q u i v a l e n t e un c a r t é dont l e
u rayon de la
2
.UNIT&S DE MASSE
MASSE V O Z W Q U E
kilogranmie p a r mJ kg/m3 = g/l
tonne p a r m k t r e cube t/m3 = k g / l
TEMPS
_I_
SI seconde 9
minute ma-
1 1
j=--h=POs
1440 60
heure h = 60 mn = 3600 s
j Our j ou d = 24 h = 1440 mn = 86 400 s
UNITES ~ ~ C A N ~ a U E ~
VITESSE
e cohérente avec celles du système SI :
tre p a r seconde m/s = 3,6 km/h
kilomètre p a r heure km/h SJ -' m/s
396
1
mètre par minuce m/m = m/s
ACCELERATZON
Unité non déno e cohérente avec celles du système SI :
mètre par seconde par seconde
ou
mètre par seconde carrée ml sa
POUVOIR CALORIPIQUE
Unité non dénommée cohérente avec celles du système SI :
joule par kilogramme Jlkg
rnillithermie par kilogramme mthjkg 3 4 185,5 J/kg = 1,163 Wii/kg
rnillithermie par mètre cube rnth/m3 4 185,5 J/m3 = 1,163 Wh/d
PU1sSAPSCO
watt W = 1 J/s
kilwatt kW = IO3 W
Unités employées par les électriciens pour l u mesure des puisarinccu uppürcntcs :
kilovoltampère kVa
pour la mesure des puissances rdactivcs :
kilovar kva1:
cheval-vapeur = 735 W (l'emploi de cette unité ancienne est interdit depuis l e
let Janvier 1962)
VOIR ENERGIE ET PUISSANCE PAGE 267
C ~ ~ T ~ I ~PRESSION
T E ,
SI pascal Pa
QISCOSITE DYN
SI pascal seconde Pa.s
poiseuille PR (ancienne appelation du pasca1,seconde)
poise Po = 0,l Pa.s
VISCOSITE CINEMATIQUE
Unité non dénommée cohérente avec celles du système SI :
mètre carré par seconde mz/s
4
s tokeç S t = 10- m z / s
287
288
rn UWITEb CALORIPlQUES
SI degré Kel3in K
degré Celsius (l'exprea$ion''degré ctmti8rade'' est incorrecte, le cenréi
& t a n t m e u n i t é d'angle (cents8
CONDUCTIBILITE TEERMIQUE
Unit& non déo e cohdrente avec celles du $Iyrst&me SI :
watt par métre et degré Kelvin W/mK
UdiTE8 CLLûlRlQUL8
INTENSITE DE COURANT ELECTRIQUE
SI ampère A
QVANTITE D'GLECTRICITE
$1 couîoaib C (quankité d' lectricite transportée en 1 aeconda p a r un courant
d e 1 eimp&re)
arnfire-heure A h 3 600 C
DIFFHRENCE DE POTENTIEL (OU TENSION) , FORCE &SCTROHOTRïCE
SI volt V
RESISTANCE ELECTRIQUE
SI ohm n
mdgohm Hn " 106 Q
CONDUCTANCE ELECTRIQUE
SI aiemene S (conductance é l e c t r i q u e d'un f i l conducteur ayant une r é s i a t y c e
é l e c t r i q u e de 1 ohm).
CAPACITE EtECTRIQUB
SI farad F (capacité d'un condensateur é l e c t r i q u e e n t r e les armature8 duquel
a p p a r a i t une d i f f é r e n c e de p o t e n t i e l d e 1 v o l t l o r a q u ' i l t a t
micro farad UP -
chargé d'une q u a n t i t é d ' é l e c t r i c i t é de 1 c o u l d ) .
lO-' P
Annexes 289
.UNITES OPTIQUEb
INTENSITE LUMINEUSE
candela cd
FLUX LUHLNEUX
lumen lm ( F l u x lumineux émis d a n s un s t d r n d i a n par utic soiirrc p a n c t u e l l c
u n i f o r m e s i t u é e a u sonanet d e l ' a n g l e s o l i d r e t n y a n t une
intefisité de î candela).
ECLAXRENENT
lux lx ( é c l a i r e m e n t d ' u n e sirrface q u i r e c o i t n o r m a l r m m t , d'une
m a n i è r e uniformément r é p a r t i e , un f l u x It~minrtrx dc 1 liimcn
p a r m2tre c a r r é ) .
(yd = 3 f t ) 0 0,914 m
SUPERFICIE
square inch (pouce carré) ( i d ) 6,4516 cmz
VOLUME
cubic inch (pouce c u b e ) (in') = 16,3871 cm'
cubic foot (pied cube) ( f t ' ) = 28,3108 dm'
CAPACITE
US g a l l o n USgal = 231 in' 5 3,78541 1
US b a r r e 1 ricaln) bbl 5 42 USgaI * 0,159 m>
f E M PS
L e s u n i t é s e t l e u r s a b r C v i n t i o n s s o n t les mêmes qtir Ics u n i t C s c i n h r h i o t i o n s
f r a n c a i s e s , mais l ' a b r é v i a t i o n d e l'minute" est min c t non mn : on c m p l o i e
q u e l q u e f o i s les a b r é v i a t i o n s sec p o u r "seconde**, irr pour "iIcurc*'*
VITESS€ OE ~ Q T A T ~ ~ ~
r c v o i u t i o i i plcr m i n u t e
ou ( t o u r p a r minute) r c v / m i n ou rpm i- 1 tr/mn
t u r n p e r minute
FRE~~€~CE
l ' u n i t 4 h e r t z e t s o n a b d v i a t i o n 11z, i d e n t i r p i e s ;i c v i I c * s PII itsarc. cn F r a n r r ,
s o n t les p l u s correctes, m a i s on trr>tivc* sativcnt I'tsnitC c y d c pi'r s r r o n d rt Ics
a b r d v i a t i o n s c / s e t eps
2
290
OEblT
US g a l l o n p c r miiiutc ( g a i i o n a d r i c a i n p a r minute) üSgciï/min ou USgpm
3,78541 i/m
US b a r r e 1 ycr Iiour (baril américain par heure) bbl/h = 0,158987 m3/h
UABSE
ounce (or~c) oz = 28,3495 g
pound (livre) lb = 16 oz = 0,453592 kg
sîior t ton
VU tonne a m é r i c a i n e S t tn = 2 0 0 0 l b = 907 kg
net t o n
FORCE
pounddl ( f o r c e q u i communique à un c o r p s a y a n t une masse d e 1 pound, une
,,tcçGitirdLion de 1 foot p e r second p e r second)
( p i e d l i v r e par seconde c a r r d e ) pdl = 0,0138255 daN
pouad f o r c e ( i i v r ç force) i b f = 32,1740 pdl = 0 , 4 4 4 8 2 2 daN
US tuii-furcc (tonne force américaine) 2 OQO Ibf = 8 8 9 , 6 4 4 daN
PRESSIûN COHTRAINTE
-
po und t o r c c pc r
s q u a r e iiicti ( I i v r e - f o r c e p a r pouce carré) l b f l i n 2 ou p s i * 6 8 9 4 , 7 6 Pa
p s i a : absolu
psi g : r e l a t i f
inch of w t c r ( p u u c c d ' e a u ) infi20 = 2,49089 mbar
f o u t ut uüicr (picri d'eüu) fti12O = 29,8907 mbar
iiicli uf uicrciity (puiiçc 'Je mercure) inHg = 33,8639 mbar
pn(eA O ~ E
iiorsupuwer Iiuur (clicval-heure) hp h ou hp-hr = 2,68452 x 106J = 0,745700 kWh
TEMPERAT~RE
F ou F
Ilegrce fattrenlicit (dcgrd F a h r e n h e i t ) ' tc g5 (tp - 32)
Annexes 291
~ O U Ç S E:
Gomme I'indique la page 98, la d c u i complet est indiqué par les NORMES mais il est
possible d'effectuer un calcul rapide (par exempte pour vérifier qu'il n'y a pas eu d'erreur
dans les données fournies à l'ordinateur...)
On peut calculer approximativment un diaph me, une tuyère ou un Venturi en utilisant
le graphique d-dessous: '
!/ Calcul d e X : X = -
PI d é b i t masse en kg/h
D diamhtre i n t é r i e u r de la conduite en m
p masse s p é c i f i q u e du f l u i d e en kg/m3
AF en m de CE
2/ en p o r t a n t X sur l e graphique, on trouve le r a p p o r t &
n -qui
permet de c a l c u l e r d.
-
Exenigle : c a l c u l d'un d i a p h r a e s u r de l ' e a u de chaudière.
--c-
D : d i m k t r e i n t é r i e u r 154 nnn
Calculer le diamètre d.
=
87 065
* O 2
$x--
921 2 500
87 103
2,36 x 10'
fi
921
1
50
S Z87
2,36
I $
- 1
9,21 x
1
3
x- 1
103
r
87
2,36 x 3,02 x 5
= 2,44 IO-~
classe de précision 32
colonne (de liquide) 48
compensation (câble de) 117
compresseur 147
composants électroniques 246
alimentation électrique 150 confiance (limite de) 31
n
(niveaude) 31
conductibilite 81
constante diélectrique 144
conventionnelle (représentation) 270
n (teinte) 271
approximation 200 constante de temps (z) 200,253
Archimède 132,266 conversion (tables ... couples) 272 à 281
armature .144 conversion d'unités de pression 49
asservi (système) 65 convertisseurs P/l et VP 153
couplage électrique 31
~ m o s p h ~explosible
re 150 couples, tables de conversion 272 à 281
Dall (tube ...) 91
balance de forces 64 75
balance manométrique 51 débitdegaz 99
décibel dB 247
bichromatiques (lunettes) 127 degréC, F, K 113
bOuclû 207 AP (delta P) 88
BOURDON 48,61 densité 18
bras de levier 19 déprimogènes (organes) 91,95,142
BROIDA 201 dérivbe 188
bruit 254 désignation des tubes 248
détendeurs 149
deuxième degré (équation) 262
diaphragmes 91,93
différence de potentiel 23
digital (voir numérique)
dilatation des métaux 249
DINDELEUX (ouvrage de D.) 218
Direct/inverse 181
Doppler 03
dynamique (pression) 85
EAU 250
échelon 182
écoulement 76
~ i e ~ r o $ 144
e
électronique (composant) 246
émissif (pouvoir) 127
émission 127
érnissivité 127
EMDRESS + HAUSER 146
énerg~ecinétique 87
ENERGIE ET PUISSANCE 269
énergie potentielle 87
enregistreur 155
301
302
Log et log 257
epsilon E 62,241 longueurs d'ondes 22
6quation du 2ème degr4 262 ludion 94
lunettes pyrornétriques 127
manomètm 48
masse spécifique et
masse volumique i8, et ANNEXES
ASONEILAN 74
fibre optique 252 membrane 48
fidetité 31 mesurage 25
flottante (I'egulation) 209 mesure optique des temp. 127
fondion de transfert 65 métaux {dilatation des) 249
fonction de transfert du 1er ordre 253 methodes de mesurage 25
fonctionnel (schéma) 195 mercure Hg 48
force 19 mètrecubes normaux 1O1
fraction 9 micro p 21,241
"France Inter 22 micron pm 21
fusion (température de) 282
mobilit4 31
g 254 modecommun 29
gain (ré3gulateur) 180
gain (statique) 198 moment de force 19
monochromatique (lunette) 127
gamma (y) rayons 145 moyennes arlth. géom. quadrat. 262
gaz(d4bit de) 99 M B F 30
GEORGIN 58 i"TR 30
glycol 251 multivariables (proddés) 204
graphique (représ~ntation) 13 Newton 17
humidite de Fair 255
humidité (mesure d') 256 131
normaux mètre-cubes 1O1
notations du calcul opérationnel 263
notes personnelles (vos) .......................
numenque 27,59,74,216
161
indicateur 147 241
nalogiques 157
oNrationnel (calcul) 263
instrument de calcul 157 opposition (méthode d") 26
insufflatjon 140 organes déprimogènes 91,95,142
rale (d'une f. du temps) 183 particules 21
&té de courant 23 PASCAL 44
permittivité 1
personnelles (vos notes) ...........................
perte de charge 79,264
w m
résidueIl8 90, 97
pH 265
photon 21
piges 132
Pitot 85
platine 100 42 124,268
plongeurs 133
poids a p p ~ e n t 134
poids sp4cifique ou
~ ~ 18~ m ~ q
302
303
point de rosée 255 "rotam&re", ROTA 92
poise, poiseuille 78, 287 SAMSON 178
potentiel (différence de) 23 schéma fonctionnel 195
potentielle (énergie) 87 sensibilit4 31
potentiomhtre 26 siemens 81
poussée d'ArchimCSde 133,242 signal &entrée 10
pouvoirs calorifiques 267 signal de sortie 10,59
pouvoi~sémissifs 127 simuler 51
Prandtl (tubsde) 85 sonde 125
précision 35 < stabilité des mesures 29
stabilitb des procédés 197
stable (procédé) 197
statique (pression) 85
Système asservi 65
" atmosphérique 45 Tables des "couples" 272 281
" dynamique 85 z (tau) 200,241
" hydrostatique 43 teintes conventionnelles 271
" relative 45 111
" sfatique 85 température de fusion 282
" vaporisation (de I'eau) 250 temps mort (2) 200
195 temps de réponse (T) 199
proportionnel 14 tension (en volt) 23
proportionnel (rdgulateur) 180 tétrabromure d'acétylhne 46
psychromètre 255 thermistances 125
Pt 100 (table) 268 thermocouples 114
PUISSANCE ENERGIE 269 thyristor 246
purge continue 140 titres (de l'eau) 251
pyromètre 111 127 Torricelli 48
pyrometriques (lunettes) 127 torsion (tube de) 133
quadratique 96, 262 Tout ou Rien (régulation) 209
quantité de gaz 99 traitement de I'air comprimé 148
radiation 127, 145 transfert (fonction de ) 65
radio-activité 145 transistor 246
rampe 27,189 59
rangeabilitd 67
rayonnement 21 145 transmission de chaleur 283
rayonnements ionisants 145 trigonométrie 284
trois (règle de) 9
tubes (dbsignation) 248, 264
tubeenU 48
tube de torsion (niveau à) 133
tur~ulent(~c~ulement)76
tuybre 91
ultra-sons (niveaux a...) 146
Unités 17,285 à 290
unités composées (calcul) 9
A 289
165
vaporisation de I'eau 250
Venturi 91
vi
vî 78, et Annexes
vocabulaire 291
volt 23
303
304
voitrn4tre numMque 27
volumique voJr masse
vortex 82
W condgne 180
X mesure 180
Y sortie 180
YOKOGAWA CONTROLE BAIEY 74