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OBJECTIF DU COURS………………………………………………………………………………………………. 4
DESCRIPTIF ………………………………………………………………………………………………………………… 4
INTRODUCTION……………………………………………………………………………………………………… 4
CHAPITRE I : DISPOSITION A LA SCIENTIFICITE. ……………………………………………… 4
I. L’ESPRIT SCIENTIFIQUE : ………………………………………………………………………………… 5
II. LE PRINCIPE DU DETERMINISME : …………………………………………………………………… 5
III. LE PRINCIPE DU RELATIVISME…………………………………………...………………………… 5
Chapitre II : LES CRITERES DE CHOIX D’UN BON SUJET DE 6
RECHERCHE
LA CLARTE………………………………………………………………………………………………………………… 5
LA FAISABILITE ………………………………………………………………………………………………………… 6
LA PERTINENCE ………………………………………………………………………………………………………… 6
7
CHAPITRE III : LE CADRE THEORIQUE…………………………………………………..
I. JUSTIFICATION DU CHOIX DU SUJET……………………………… 7
II. DEFINITIONS DES CONCEPTS CLES OU APPROCHE CONCEPTUELLE……………………………… 7
III. REVUE CRITIQUE DE LITTERATURE………………………………………………………………. 7
IV.PROBLEMATIQUE……………………………………………………………………………………………………… 7
V. HYPOTHESES ……………………………………………………………………………………………………………… 8
VI. OBJECTIFS …………………………………………………………………………………………………………. 9
VII. théories (paradigmes) appliquées………………………………………………..………………………
DESCRIPTIF
Il ne s'agit pas d'un cours traditionnel « à contenu », mais d'une aide
méthodologique à la recherche. Elle présente les possibilités du cursus des
étudiants et suit, de manière chronologique, l'évolution du travail d'un
mémoire, depuis la conception du sujet jusqu'à la réalisation matérielle et la
soutenance, en passant par toutes les étapes de la recherche documentaire.
INTRODUCTION
Le dictionnaire Lalande définit la méthodologie comme la
subdivision de la logique ayant pour projet des méthodes et plus
spécialement celles des méthodes spécifiques. Comme concept, le mot
méthodologie comporte deux membres: d'abord une racine d'origine
grecque « méthodes » signifiant voie, chemin; et un suffixe «logos »
signifiant étude, recherche, pensée. La méthodologie est donc l'ensemble
des procédés et démarches raisonnées visant à atteindre l'objectivité
scientifique.
La méthodologie comporte deux dimensions étroitement liées, d'une
4 Dr. Jean Herve WOBE Maître-assistant à l’Université de Bouaké
part, les méthodes et d'autre part les techniques. Les méthodes ont trait aux
principes, à la réflexion et aux conditions stratégiques de recherche. Les
techniques ont trait aux moyens et aux conditions pratiques d'investigation.
Il faut considérer que les uns ne vont pas sans les autres. C'est l'ensemble de
ces deux notions qui définit la portée de la méthodologie.
La recherche est la condition fondamentale du savoir. Nous lançons
cette assertion dans la mesure où la recherche crée, entretien et développe le
savoir. La recherche est une activité heuristique, elle est questionnement,
découverte et réponse à un problème.
Nous estimons qu'il y a recherche parce qu'il y a problème et qu'il y a
problème parce qu'il y a ignorance d'où l'approche biblique qui dit que le
peuple périt par manque de connaissance.
Il importe de savoir qu'il existe (3) trois types de recherche; nous avons la
recherche découverte; la recherche heuristique et la recherche pragmatique.
Ces trois (3) types de recherche vont donner lieu à (4) types de mémoires.
Ce sont les mémoires théoriques ou classiques (hypothèses conduisant à des
démonstrations) ; les mémoires opérationnels (de type mémoires de stage)
ce sont des mémoires avec ou sans problématique; les mémoires
monographiques (de type descriptif) et les mémoires de recension (c'est-à-
dire que toutes les théories qui ont été développées sur un problème donné
doivent être mise en commun pour dégager une théorie).
La recherche scientifique repose sur le prima des faits c’est-à-dire toutes les
recherches scientifiques doivent reposer sur des faits. Pour cela, l’étudiant ou le
chercheur doit se débarrasser des jugements de valeurs, des arguments d’auteurs
pour ne fonder ses analyses sur les faits (des choses véritables). En fondant les
analyses sur les faits, le chercheur vise l’objectivité, car il fait preuve d’esprit
critique. Cette disposition est nécessaire même si notre situation d’homme nous
force à tenir compte de nos convictions religieuses, politiques, culturelles, etc.
II. LE PRINCIPE DU DETERMINISME
Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ce principe indique que tous les
phénomènes sociaux peuvent être expliqués car ayant des causes explicatives.
I. LA CLARTE
La clarté réfère à la précision et à la concision. La précision signifie qu’il n’ya pas
de termes ambigus, flous, vagues ou polysémiques. Les mots signifient
exactement ce qu’ils désignent sans autres formes d’interprétations. C’est aussi ce
que signifie la concision qui n’est pas synonyme de brièveté. Un sujet concis ne
veut pas dire nécessairement un sujet bref.
Ex : Quelle est la vie des habitants des quartiers précaires ?
Ce type de sujet est vague et flou car on ne sait pas quel aspect de la vie que l’on
veut étudier et de quel quartier précaires il s’agit.
II. LA FAISABILITE
Elle réfère au caractère réaliste ou non du travail a effectué. Le choix d’un sujet
doit tenir compte des capacités financières, intellectuelles et psychologiques du
chercheur. Il doit tenir compte aussi de son état de santé.
III. LA PERTINENCE
Ici, il faut retenir qu’un bon sujet de recherche repose sur ce qui existe ou a existé
et non sur ce qui n’existe pas encore.
Ex : Quels sont les changements qui affectent l’école ivoirienne en 2020 ?
Un sujet est dit pertinent quant il ne se contente pas de décrire mais d’apporter
des explications sur le phénomène étudié.
IV. PROBLEMATIQUE
C'est le questionnement méthodique. La problématique apparaît
lorsqu'il y a absence d'explication d'un fait, d'une situation ou d'un contexte.
Elle apparaît sous forme de questions pertinentes permettant de découvrir ou
d'expliquer l'objet de recherche. Les questions doivent être vraisemblables,
précises, concises et pertinentes. Elles déguisent la faisabilité de la recherche.
IL importe de savoir qu'il y a un parallélisme entre les questions de la
7 Dr. Jean Herve WOBE Maître-assistant à l’Université de Bouaké
problématique, les hypothèses et les objectifs. Le tout déterminant la structure
d'ensemble du travail. Question 1 = Hypothèse 1 = Objectif 1 = une articulation
du travail. Les questions permettent de cerner les facettes de l'objet et
d'atteindre les résultats attendus.
V. HYPOTHESES
OBJET
De quoi s'agit-il il ?
PROBLEMATIQUE
Quel est le problème ?
HYPOTHESES
Qu'est-ce qu'on propose ?
Toute science s’appuyant sur une théorie, il est donc nécessaire que l’étudiant ou
le chercheur puisse faire le choix des théories à appliquer au cours de sa recherche.
Une telle démarche permet au lecteur de son travail d’être mieux imprégné de
l’enjeu et de l’objet. Un mémoire nécessite donc l’usage de théories sans
lesquelles ledit mémoire entre dans une symphonie scientifique inachevée. Il est
donc nécessaire, voire obligatoire de signifier les théories en rapport avec votre
sujet de mémoire. Ce n’est donc pas le lieu d’énoncer de nombreuses théories
mais plutôt celles qui sont nécessaires pour la résolution du (problème)
phénomène social qu’est votre sujet de recherche.
I. TERRAIN DE RECHERCHE
C'est le cadre dans lequel s'effectue la recherche. Le terrain de recherche
est le lieu de déploiement de la science, de la recherche. Il peut être physique ou
non physique. Le choix du terrain est conceptuel ou propre à un appareillage
conceptuel, l'appareillage conceptuel étant l'ensemble des connaissances
théorique permettant de montrer un fait, de découvrir la chose "cachée".
V. LIMITE ET DIFFICULTES
I. LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE
La documentation est une référence incontournable de tout chercheur. Le
document scientifique est un support de résultats de recherche plus ou moins
liés à l'objet de recherche. La recherche documentaire permet d'appréhender
l'état de l'évolution de la science par rapport à tel ou tel objet de recherche.
Elle est primordiale et permet de savoir; où en est-on par rapport à telle
question? Quels sont les problèmes théoriques et méthodologiques? Quel est
notre apport dans la résolution de ces problèmes? La recherche documentaire
donne un élan au processus de la recherche à la hauteur de nos ambitions: «
devancer les devanciers ». Pour ce faire il faut se constituer une
bibliographie.
Toute recherche documentaire repose sur le principe suivant: on
commence toujours par chercher les documents « sur place» pour ensuite
élargir la recherche aux documents disponibles dans d'autres lieux.
La recherche documentaire est une étape du travail de recherche qui consiste à
trouver des sources de documentation afin de s'informer sur un sujet répondre à
une question ou réaliser un travail. Elle est une étape de collecte de données basée
essentiellement sur les documents. Ceux-ci sont nombreux et dépendent de la
nature des sources et des informations recherchées.
Exemple : GUINCHAT c, SKOURI V., ALIX M-P. 1989. Guide pratique des
techniques documentaires. Paris, EDICEF.
II.2.3. Plus de trois auteurs
Lorsqu'il y a plus de trois auteurs, il faut citer généralement le premier ou les
Exemple 2: TURNER B.L., CLARK M.C. et al. 1990. The earth as transformed
by human action. Cambridge, Cambridge University Press.
Exemple 3:TURNER B.L., CLARK M.C., KATES R.W. et al. 1990. The earth
as transformed by human action. Cambridge, Cambridge UniversityPress.
II.2.4. Noms propres composés
Pour les noms propres composés, certaines parties sont rejetées après le prénom
selon la nationalité de l'auteur.
❖ Noms français
Exemple: François de RavignanRAVIGNAN F. de
Jean Le COZ Le COZ J.
❖ Noms portugais
Exemple :Maria da CunhaSamapaioSAMPAIO M. Da Cunha
❖ Noms espagnols
Exemple: Maria Blanco Fonseca q BLANCO FONSECAM.
❖ Noms arabes
Exemple: Saïd AI-Hijazi AL-HIJAZI S. Abdallah Ben SaadBEN SAAD A
II.3. Les organismes
Le nom de l'organisme doit être donné tel qu'il apparaît dans le document. Il ne
faut pas traduire en français le nom des organismes étrangers, sauf s'il s'agit d'une
organisation internationale. Cependant, il faut développer les abréviations et les
sigles (sauf les plus courants) quand ils sont utilisés pour la première fois dans
une référence bibliographique.
ca circa autour de
et al, et alii et les autres
ibid. ibidem ici même
i.e id est c'est-à-dire
op.cit, opus citatum/ œuvre citée/
III.1.2 - L'opérateur OU
I. LA PAGE DE GARDE
Nb/ Eviter les pages de garde trop chargée (voir modèle page suivante) ;
II. LE SOMMAIRE
Présent les grandes articulations du travail. Le sommaire est différent de la
table des matières qui présente toutes les articulations du travail dans sa
globalité;
III LA DEDICACE
C’est une partie obligatoire. Une à deux pages suffisant. Il est conseillé d’utiliser
le ‘’ nous ‘’ de gratitude à toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation
gratuite de ce travail. En plus, il faut dire les raisons pour lesquelles vous les
remercier. Il convient de remercier particulièrement le Directeur de Mémoire en
première lieu.
Sachez que vous n'êtes pas et ne pouvez pas remercier tout le monde.
Prioritairement ceux qui ont eu un apport direct dans la réalisation du
travail;
37 Dr. Jean Herve WOBE Maître-assistant à l’Université de Bouaké
V- L’AVANT-PROPOS
C’est l’ensemble des propos, des informations que l’étudiant donne afin que le
lecteur sache dans quel contexte et dans quel aspect le travail a été réalisé. Il peut
même proposer à ce niveau quelque limite éventuelle, quelques difficultés dont la
connaissance permet de mieux comprendre le travail. En d’autres termes, le texte
de l’avant-propos doit contenir des informations relatives à la présentation de
l’école, du cursus de la formation et les motivations qui fondent la recherche et
les difficultés rencontrés à cette occasion.
Il est très souvent subjectif. " Introduit le travail de recherche par
rapport aux connaissances actuelles, aux conditionnements
psychologiques, sociologiques ou culturelles de l'auteur;
Les sigles et les abréviations; c'est la liste exhaustive des acronymes utilisés
dans le travail. Ex.: CCC: Communication pour le Changement
Comportemental;
Le sigle est un ensemble de lettres initiales servant d’abréviation. Ex : B.T.T ;
B.I.B ; I.P.A.C
- L’abréviation est le retranchement de lettres dans unmot.
Ex : docteur Dr
Monsieur M.
Madame Mme
IX. LA BIBLIOGRAPHIE.
La bibliographie est l'ensemble des documents scientifiques utilisés
dans le processus de la recherche. Il y a deux sortes de bibliographie. La
bibliographie thématique qui consiste à ranger les documents selon les
38 Dr. Jean Herve WOBE Maître-assistant à l’Université de Bouaké
thèmes et la bibliographie alphabétique qui elle consiste à ranger les
documents par ordre alphabétique. L'évolution de la science recommande
l'actualisation de la bibliographie. Par exemple étant en 2010, nous devons
constituer une bibliographie relative à l'objet de recherche allant de 2006 à
2010, outre les ouvrages classiques et les ouvrages de vulgarisation
(pédagogique).
X. LES ANNEXES.
Les annexes sont de véritables documents de travail, et pas une masse indistincte
et confuse destinée à faire illusion sur l’étendue ou le sérieux de la recherche
effectuée pour un mémoire ou un rapport de stage. Les explications de Myriam
Greuter, extraites de Bien rédiger son mémoire ou son rapport de stage, publié
aux éditions l’Etudiant.
Les annexes sont composées d'un choix de documents de travail, c'est-à-dire des
documents complémentaires, ou des sources qui garantissent l'authenticité de la
recherche (par exemple le texte intégral d'une interview), ou encore des
documents témoignant d'un travail répétitif (par exemple le détail de longs calculs
mathématiques ou d'un protocole expérimental).
Pour un rapport de stage, les établissements demandent fréquemment que soient
également placés en annexe la convention de stage et les autres documents
officiels destinés aux appréciations et à la validation du travail.
1. La place des annexes
Les annexes sont parfois regroupées dans un volume séparé : cette solution est
adaptée quand les documents sont très nombreux (la bibliographie demeure en
revanche à la suite du travail).
Le plus souvent, les annexes sont cependant placées avec le texte principal,
rarement dans le corps même du texte, mais plutôt à la fin, entre la bibliographie
et les tables.
Les annexes sont le plus souvent numérotées en chiffres romains (I, II, III...) ou
en capitales d'imprimerie (A, B, C...). Elles sont rangées dans l'ordre
chronologique, en fonction de leur ordre d'apparition dans le texte. Il convient de
faire une liste des annexes, placée sur une page blanche située juste avant.
3. Les règles d’utilisation des annexes.
Il convient ainsi de retitrer les documents d'annexes pour bien montrer leur
contenu et leur lien avec le texte. Il faut également toujours effectuer des renvois
du texte vers les annexes (« voir graphique complémentaire n° 3, placé en annexe
»). Un document ne peut en fait être mis en annexe que s'il y est fait référence
dans le corps de l'étude.
XI. LA TABLE DES MATIERES
Le sommaire et la table des matières sont des listes organisées de titres pour
une information rapide sur les chapitres d'un livre ou document, permettant de
diriger rapidement le lecteur dans l'ouvrage à partir des informations
principales.
CHAPITRE IX. LES CONVENTIONS DE REDACTION ET DE
PRESENT ATION
I- LA CITATION
Le texte cité doit être encadré par des guillemets et doit être placé au centre
de la page ou décalé. Si la citation se termine par un point, ce point est mis à
l'intérieur des guillemets. Les titres des ouvrages sont écrits en italique.
L'interligne simple sera utilisé pour séparer les lignes du texte de la citation.
III- LE CADRAGE
3cm
3,5cm et 4 cm 2,5cm
3cm
NB. : Seuls les textes écrits au recto sur du papier blanc de format A4 ne seront
acceptés. Le recto-verso n'est admis que pour les ouvrages.
IV. LA PAGINATION
La pagination commence par la page de couverture mais le numéro n’apparaît
qu'à partir de la page de l'introduction et s'arrête à la table des matières. (Les
annexes sont numérotées en chiffres romains.)
CHAPITRE X. LES ETAPES D'UNE SOUTENANCE DE MEMOIRE
Une soutenance est un exercice oral au Cours duquel le candidat expose
brièvement l'essentiel de ses travaux et se soumet aux questions des membres du
jury.
I- COMPOSITION DU JURY.
Le président du jury,
- le directeur du mémoire (il est le responsable scientifique, l'évaluateur
dumémoire).
-Un (1 ) membre (assesseur).
II. DUREE
La durée se situe entre 1 heure et 2 heures.
III. CRITERES D'APPRECIATION
- la présentation matérielle du document;
- la forme (langage et style) ;
I. PREPARATION DE LA SOUTENANCE
Le T.E.R. doit être remis en trois exemplaires: deux sont destinés aux membres
du jury, le troisième sera remis à la bibliothèque universitaire, après la
soutenance. Un quatrième exemplaire est réalisé à l'usage propre de l'étudiant. Ce
dépôt doit être effectué dans un délai suffisant, soit entre quinze jours et un mois
avant la soutenance, selon accord avec le directeur du T.E.R.
II. PROPOS LIMINAIRE
Le candidat doit préparer, en vue de la soutenance, un propos liminaire d'une
vingtaine de minutes, qui présente le travail et le bilan du T.E.R. De manière assez
libre, le candidat pourra y évoquer les raisons de son choix (auteur, sujet,
œuvre(s), limites chronologiques, perspective critique ... ), et l'élaboration de son
travail (choix du sujet, difficultés éprouvées, questions méthodologiques). Il
pourra également présenter quelques perspectives de travaux ultérieurs, le cas
échéant, et dresser un bilan de l'année de recherches. Cette présentation doit
évidemment être personnelle, et peut par exemple replacer le travail effectué dans
BIBLIOGRAPHIE
ROUVEYRAN I.e. 1989. Mémoires et thèses, l'art et les méthodes. Paris, Maisonneuve et La
rose.
SAINT-GEORGES P. de. 1995. « Recherche et critique des sources de documentation en politique
économique et sociale », dans pratiques et méthodes de recherche en sciences sociales. Paris,
Armand Colin.