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FACULTE POLYTECHNIQUE
Par
REMERCIEMENTS
Ø Tous ceux avec qui nous avons partagé des moments inoubliables et
avons vécu aux différentes résidences estudiantines Francis Pambu,
Jonathan Mowangi, Josué Kapuya, Dieu Ukonda.
INTRODUCTION
0.1. Problématique
0.4. Méthodologie
On a :
[Source : http://google.com]
-Le Barrage-voûte :
[Source : http://google.com]
[Source : http://google.com]
[Source : http://google.com]
Réalisés essentiellement à partir des sols naturels meubles prélevés dans
des gravières.
[Source : http://google.com]
P a g e | 10
Conclusion
Les deux premiers niveaux sont assurés grâce aux barragistes sur le
terrain et aux ingénieurs spécialisés.
Ø Les Vitesses ;
Ø Le temps d’arrivée à chacun des points Kilométriques ;
! ! &'&( $
𝑓(𝑄) = "√$% 𝑒 $ ' "
( (1.1)
C’est le cas, par exemple, lorsqu’on s’intéresse aux valeurs extrêmes comme
le débit maximum de crue observé durant toute l’année. Parmi les lois
appropriées dans ce cas, on peut citer la loi Log-normale, la loi de Gumbel et
les lois de Pearson.
!
𝑀 = 0 ∑0
12! log (𝑄1 ) (1.3)
Où :
QT = Q̅ + 𝐾𝜎 (1.6)
√9 :
Où 𝐾 = %
70,5772 + 𝑙𝑛 ?𝑙𝑛 ':'!(@A (1.7)
P a g e | 15
".A/
𝛼= $
(1.10)
"
𝜀 = 𝑄D − 2 A/ (1.11)
Les distributions de Pearson sont largement utilisées pour décrire les crues
maximales annuelles, notamment aux Etats-Unis, mais également au
Québec, au Canada.
Où –
• D : la statistique d’ajustement ;
• nj : est le nombre d’effectifs de l’échantillon de données observées dans la
classe j ;
• ej : est le nombre d’effectifs de l’échantillon de données observées dans la
classe j ;
• k : nombre total de classes utilisées.
P a g e | 16
Pour que le test soit efficace, il faut que le nombre d’effectifs fixes ej soit
supérieur ou égal à 5. Les valeurs des probabilités de non dépassement
théoriques F (xi) obtenues à partir de l’échantillon de données pour une
distribution spécifiques sont reparties selon les limites des classes. On a par
ailleurs établi que la statistique spécifique D suit une distribution χv2 où v
est le nombre de degré de liberté donné par :
𝑣=𝑘−𝑐–1 (1.13)
Où
c : est le nombre de paramètres linéairement indépendants estimés à partir
de l’échantillon soit 2 pour les distributions N, LN, et EV1, et 3 pour les
distributions P3 et LP3.
ü Test de Kolmogorov-Smirnov
2. La formule de FREAD
Dans la majorité des cas, que le processus ait commencé comme une
érosion interne ou une érosion de crête, la forme de la brèche s’apparente à
un seuil triangulaire ou trapézoïdal dont la largeur moyenne, B est donnée
par la formule :
B = 3.h (1.16)
4. La formule de Singh
Singh s’est lui aussi penché sur les caractéristiques des brèches en
étudiant plus de 50 cas de ruptures documentées. Son analyse fait ressortir
l’importance des rapports Hs/H et Hs/Bm, dans lesquels Hs provient du
volume de la retenue :
Hs = V0.33 (1.17)
B = 2.5 h + Cb (1.20)
t = 0.0025V0.53hb-0.9 (1.21)
Avec V volume en m3, hb hauteur la brèche en m,
Ø La formule de Lemérière
Pour les remblais, lorsque le matériau du barrage est des petites dimensions
et sans cohésion :
G
T = 10IH . 𝐻 (1.22)
Ø La formule de FREAD
Ø La formule de Singh
Hs = V0.33 (1.25)
Dans ces rapports, H est la hauteur de l’ouvrage et Bm est la largeur
moyenne de la brèche.
t = 0.11.B (1.26)
Ø La formule de Molinaro
Ø La formule de Hagen
Ø La formule de Froehlich
Ø La formule de Lemérière
Ø La formule de FREAD
A
Qmax = 3.1B :JA/√I (1.39)
On y retrouve donc:
En fait, le contenu demandé pour le PPU vise à bien préciser les réactions
optimales du propriétaire ou de l’opérateur du barrage en cas d’urgence, et à
assigner à chaque membre de son personnel un rôle clair. Le PPU doit établir
les agences et les individus concernés par la rupture de l’ouvrage et définir
leur juridiction.
• L’organigramme de notification ;
• Les principes de détection, d’évaluation et de classification des
urgences ;
• Les attributions de responsabilité ;
• Les mesures de préparation l’urgence ;
• Les cartes d’inondation.
Les gardiens ont accès aux données d’auscultation, peuvent les interpréter
rapidement et déclencher au besoin un renforcement de la surveillance.
Le barrage peut alors faire d’une déclaration de danger selon l’un des
trois niveaux pour lesquels on prévoit l’application de mesures préventives et
correctives immédiates.
On retrouve alors:
Toutes les théories menant à nos objectifs spécifiques étant détaillées ici,
nous passons au chapitre où nous allons choisir le cadre reglémentaire qui
va efficacement contribuer à reguler la gestion et l’exploitation de nos
barrages.
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Québec
- Publicationde rapports;
- Qualificationdes inspecteur;
-Archives/dossiers techniques;
- Périodicitédes inspections;
- Archives/dossiers techniques;
- Plansd'urgence;
- Mise en applicationde la réglementation régissantla
sécurité des barrages
-Archives/dossiers techniques
-Droitsperçus pourles inspections et les licences -
- Archives/dossiers techniques;
- Plansd'urgence
- Plansd'urgence;
- Archives/dossiers techniques
- Plansd'urgence
Une loi n’est efficace que si elle est contraignante, ainsi au vu des éléments exposés, tirés de [13], nous optons pour
l’approche canadienne où l’amende vaut jusqu’à 500 000 dollars canadien soit 389 534$ contre tout celui qui n’obéit
pas aux obligations dictées par la loi; ceci dit, chacun de chapitres de ce travail sera traité selon les normes
canadiennes.
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Conclusion :
• Élaborationde normes;
• Octroi de licences ou d'autorisations
Publicationde Archives/dossiers
rapports techniques;
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Le rôle des barrages est de retenir une réserve d’eau pour des
utilisations multiples: fourniture d’énergie, alimentation en eau, irrigation,
soutien d’étiage, maîtrise des crues, etc [3]. Ces ouvrages présentent des
enjeux importants, sur le plan de la sécurité publique, car leur rupture
aurait des conséquences catastrophiques, mais aussi sur le plan de
l’économie des installations, en raison de l’importance des coûts d’une
indisponibilité et des travaux de maintien en état.
• En phase d'exploitation,
Ce retour d'expérience étant valorisé autant sur les futurs projets que
sur le suivi des autres barrages d'une même famille (un phénomène constaté
sur un barrage peut se produire sur un autre barrage semblable).
Tout barrage doit être maintenu dans un état de fonctionnement tel qu’il
n’est pas susceptible de compromettre la sécurité de personnes ou de biens.
3.1.3.3. L’auscultation
L'auscultation des barrages regroupe tous les dispositifs permettant
de mesurer des grandeurs physiques susceptibles d'évoluer dans la vie
du barrage, de façon à mettre en évidence son comportement et les
phénomènes évolutifs significatifs de son vieillissement [4].
ü Piézomètres,
ü Débits de fuite,
ü Fibre optique.
P a g e | 44
Il s’agit d’un fil d’acier rigide ancré dans le béton du barrage à une
profondeur plus ou moins de 03 mètres et tendu par fixation sur une plaque
avec dispositif d’élongation qui permet de loger le comparateur pour mesure,
cela dans le but de contrôler régulièrement le mouvement d’élongation et
rétraction (déplacements linéaires) du béton par rapport à ce point de
fixation.
ü Extensomètres
ü Fissuromètres
Domaine d’application: Mesure des déplacements d'un bloc par
rapport à un autre dans trois directions principales, soit au droit d'un joint,
soit au droit d'une fissure.
P a g e | 45
ü Piézomètre
ü Fibre Optique
ü Thermomètre à résistance
ü Thermomètre à mercure
Thermomètre à mercure attaché à un fil et plongée à quatre (à la
surface du lac, au niveau 1227 msm, au niveau 1206 msm et au niveau
1187 msm) différents niveaux de profondeur pendant un intervalle de temps
de plus ou moins dix minutes afin de prélever la température de l’eau à ces
niveaux de profondeur.
P a g e | 46
ü Déplacements :
ü Déformations internes :
• Gonflement du béton,
ü Débits de fuite :
ü Pressions :
v La transmission.
3.3. Synthèse
[Source : http://google.com]
[Source : http://google.com]
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ü Le mode de rupture
Les ruptures de grands barrages sont extrêmement rares, compte tenu des
savoir-faire des constructeurs et des gestionnaires ainsi que des contrôles de
plus en plus sévères imposés par les Etats; elles peuvent être plus ou moins
meurtrières selon l’importance de population implantée à l’aval.
[Source : http://google.com]
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Elle s’appuie en rive gauche sur une culée en béton qui accueille
l’évacuateur de crue vanné. La voûte, dont l’épaisseur varie entre 13.0 m à la
base et 2.0 m au couronnement, a été bétonnée par plots de 10 m de
largeur. L’étanchéité des joints verticaux est assurée par une feuille de
cuivre placée du côté amont.
Chaque orifice est équipé d’une vanne batardeau qui permet d’isoler
la galerie pour les travaux d’inspection et d’entretien. Ces vannes sont
manœuvrées à l’aide de treuils électriques à câble. Il est également possible
de batarder les grilles en basses eaux. Enfin, la prise est également équipée
d’un dégrilleur mobile. Le débit de dimensionnement de la prise est de 150
m3 /s.
3. Historique du Barrage
Points Points
Moyenne
Moyenne
Vulnérabilité
Conséquences Minimal
Risque P≤25
Classe du D
Barrage
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3. Difficultés rencontrées
Dans les lignes qui suivent, nous allons présenter les traitements
apportés à cet échantillon avec lequel nous allons travailler.
Débit max
Année annuel
2012 348.532
2013 330.179
2014 509.694
2015 357.216
2016 373.234
2017 329.772
2018 387.731
2019 264.314
2020 552.468
2021 442.737
Moyenne 389.59
Ecart
Type 87.93025224
CS 0.757264975
Max. 552.468
Min. 264.314
Médiane 365.225
Distribution de GUMBEL
10 9 1.3045632 504.30057
20 19 1.8658107 553.65121
50 49 2.5922881 617.53055
Pour les débits de pointe de crue nous allons nous baser sur deux
critères pour déterminer la période de retour et le débit qui va avec:
Ce qui nous permet d’en déduire que la crue à retenir est celle dont la
période de retour est de 10.000 ans, soit une récurrence de 1: 10.000 ans.
P a g e | 68
D’où, la crue à retenir pour une période de retour de 10 000 ans est celle
fournie par l’ajustement de la loi Gumbel aux débits maximaux annuels de
la Lualaba, soit: 𝑸T=𝟏𝟎.𝟎𝟎𝟎 𝒂𝒏𝒔 =981,46 /s.
ü Choix de scenario
Les résultats de l’étude de rupture servent principalement dans le
cadre plus général des études de sécurité des barrages. Contrairement aux
études de conception ou d’impact courantes en hydraulique, les études de
rupture portent sur des situations hypothétiques.
Plus, que de donner une réponse précise pour une situation très
particulière, les calculs requis ont pour objectif de tracer un portrait de la
situation d’urgence engendrée, et ce, pour toutes les possibilités.
II faut donc attacher une grande importance, avant même de commencer les
calculs, à bien définir toutes les situations dont l’analyse détaillée fournira
les connaissances les plus utiles pour la sécurité des populations et des
installations. De cette liste, il ressort un ou plusieurs scénarios de rupture
devant donner lieu à des calculs précis.
ü Débit de crue
Les débits de crues ont été obtenus à l’aide de l’ajustement des débits
maximaux de la rivière Lualaba par la loi de Gumbel et le débit
module correspond au débit hydrologique moyen interannuel (pluriannuel)
d'un cours d'eau : c'est une synthèse des débits moyens annuels (QMA)
d'un cours d'eau sur une période de référence .On obtient le débit moyen
annuel en effectuant une moyenne arithmétique et pondérée des débits
moyens mensuels.
Crues Débit
(m3/s)
Temps 115
Sec
10 000 982
ans
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4.2. Modélisation.
Cette simulation sur HEC-RAS nous permet de connaitre les hauteurs d’eau
aux differentes sections situées en aval du barrage Nzilo, le cas des barrages
Nséké et Busanga situés en aval du barrage Nzilo.
Les conditions imposées en entrée sont:
Les règles pour la définition de la brèche pour un barrage voùte sont les
suivantes:
𝟏.𝟓 𝟐.𝟓
𝑩 𝒕 𝒕 𝒕
𝑸𝒃 = 𝟏. 𝟕 g j ∗ l𝑯𝒃 n o𝒉𝒂𝒎𝒐𝒏𝒕
𝒘𝒊 − 𝒉𝒃 l𝟏 − np + 𝟏. 𝟐𝟓𝒛 o𝒉𝒂𝒎𝒐𝒏𝒕
𝒘𝒊 − 𝒉𝒃 l𝟏 − np
𝑯 𝒕𝒇 𝒕𝒇 𝒕𝒇
2. Equation de continuité :
𝒅𝑽
= QE – Qb (4.2)
𝒅𝒕
1. Caractéristiques du barrage:
ü Type du barrage;
ü Hauteur du barrage;
ü Niveau du fond du barrage;
ü Niveau initial d’eau dans le reservoir;
ü Volume d’eau dans le reservoir ;
ü L’expression de la courbe d’emmagasinement
2. Caractérique de la brèche:
ü Forme de la brèche;
ü Largeur de la brèche;
ü Pente de la brèche;
ü Temps de formation
ü Débit théorique max
P a g e | 77
60000
50000
40000
30000
temps sec
5 000 ans
10 000 ans
20000
10000
0
0 5 10 15 20 25 30
-10000
DEBITS DE POINTE
]^ ]∅& ](!'∅)
+
]` ]b
+ ]b*-(
=0 (4.3)
*+,
./ . ∅ $ %$ . (45∅)$ / $ .9 .9
.0
+
.1!"#
"
3!"#
#+
.1!&'
"
3!&'
# + 𝑔𝑆678 &
.1!"#
+ 𝐽6:; ( + 𝑔𝑆678 "
.1!&'
+ 𝐽678 # = 0 (4.4)
P a g e | 81
=
>*+, ^)
Tel que : ∅=> 𝐴𝑣𝑒𝑐 𝐾 = '
*+, J>*-( C.c )
$
$
∅$ 𝑄$ 𝑛d1C (1 − ∅)$ 𝑄$ 𝑛dfE
𝐽d1C = @/e
𝑒𝑡 𝐽dfE = @/e
$ $
𝑅d1C 𝑆d1C 𝑅dfE 𝑆dfE
• 𝑄 ∶ 𝑑é𝑏𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙
• 𝑆, 𝑆𝑚𝑖𝑛 , 𝑆𝑚𝑎𝑗 ∶ 𝑆𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙é𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒, 𝑙𝑖𝑡 𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑟, 𝑙𝑖𝑡 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟
• 𝑋𝑚𝑖𝑛 , 𝑋𝑚𝑎𝑗 ∶ 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑡 𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑟, 𝑙𝑖𝑡 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟 (𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎
𝑠𝑖𝑛𝑢𝑜𝑠𝑖𝑡é)
• 𝑃 ∶ 𝑃é𝑟𝑖𝑚è𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙é ;
• 𝑅 ∶ 𝑟𝑎𝑦𝑜𝑛 ℎ𝑦𝑑𝑟𝑎𝑢𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 (𝑆/𝑃)
• 𝑛 ∶ 𝑟𝑢𝑔𝑜𝑠𝑖𝑡é 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑛𝑛𝑖𝑛𝑔
• 𝐽 ∶ 𝑃𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑙𝑖𝑛é𝑎𝑖𝑟𝑒
• ∅ ∶ 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑑é𝑏𝑖𝑡𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑖𝑡 𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑙𝑖𝑡-𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟.
]& ]&G ]j
]`
+ ]i
+ 𝑔𝐴 ']i + 𝑆k ( = 0 (4.6)
ü Le coefficient de rugosité
Ø Condition initiale :
60
50
Hauteur (m)
40
30
20
10
0
0 5 10 15 20 25 30
Temps (s)
80
70
60
Hauteur (m)
50
40
30
20
10
0
0 5 10 15 20 25 30
Temps (s)
60
50
Hauteur (m)
40
30
20
10
0
0 5 10 15 20 25 30
Temps (s)
60
50
40
30
20
10
0
0 5 10 15 20 25 30
Temps (s)
10 000 ans
50
40
30
20
10
0
0 5 10 15 20 25 30
Temps (s)
Nous allons nous servir des hauteurs d’eaux en amont des deux
barrages, Nséké et Busanga, situés en aval de Nzilo en prenant comme
hypothèses:
Hauteur 54 m
Longueur 180m
Longueur 260 m
Largeur en crête 8m
Largeur à la base 36 m
ρ (kN/m3) 25
A (m²) 2733.615
W1 (kN/m) 68340.375
xw1 (mm) 20
ϒw1 1.35
Msd 1845190.1
P a g e | 94
1. POUSSEES DE L'EAU
1.1 En amont
Tableau 4-18 : Poussée de l’eau en Amont
ρ
H (m) p(kN/m/m) P (kN/m) y (m) ϒi Pd (kN)
Désignation (kN/m3)
Temps sec 144.67 10.00 1446.70 104647.05 48.23 1.5 156970.58
Crue_5000 ans 147.44 10.00 1474.40 108692.77 49.15 1.5 163039.16
Crue_10000 ans 149.61 10.00 1496.10 111915.77 49.87 1.5 167873.66
1.2 En aval
Tableau 4-19 : Poussée de l’eau en Aval
ρ P
Désignation h (m) (kN/m3) p(kN/m/m) (kN/m) y (m) ϒi Pd (kN) Md
Temps sec 5.03 10.00 50.30 126.51 1.68 1.5 189.765 318.8052
Crue_5000 ans 7.6 10.00 76.00 288.8 2.54 1.5 433.2 1100.328
Crue_10000 ans 8.64 10.00 86.40 373.25 2.88 1.5 559.875 1612.44
2. SOUS-PRESSION
Tableau 4-20: Sous-pression (action)
ρ B P8 MdP8
Désignation H (m) h (m) (kN/m3) (m) ϒi P7(kN/m) (kN/m) x1 (m) x2 (m) Md7(kNm/m) (kNm/m)
Temps sec 144.67 5.03 10.00 36 1 1810.80 16756.80 18.00 24.00 32594.40 402163.20
Crue_5000
ans 147.44 7.6 10.00 36 1 2736.00 16780.80 18.00 24.00 49248.00 402739.20
Crue_10000
ans 149.61 8.64 10.00 36 1 3110.40 16916.40 18.00 24.00 55987.20 405993.60
P a g e | 95
h (m) 50
γs (kN/m3) 12
α (°) 30
Ps (kN/m) 10000
y (m) 16.66667
ϒw1 15000
b. STABILITE AU GLISSEMENT
Temps
Désignation sec Crue_5000 Crue_10000
Poids propre 92259.51 92259.51 92259.51
-
-19516.80 -20026.80
Sous-pression 18567.60
ƩFV 73691.91 72742.71 72232.71
c. STABILITE AU RENVERSEMENT
ü Si ƩMs > ƩMr : pas de renversement
• Somme des moments stabilisants MS
Tableau 4-25: Moments stabilisants
Pas de renversement.
P a g e | 97
La démarche basée sur les risques est une aide à la prise des décisions
pour :
R=P x C
Au stade des études, cette méthode est une aide pour une
comparaison entre différentes conceptions et les facteurs qui peuvent avoir
une incidence sur la rupture. En outre, l'analyse de risques peut se révéler
une base pour fixer un programme des travaux et une stratégie
d'investissement.
P a g e | 100
II est reconnu qu'un risque ne peut pas être entièrement éliminé. Une
gestion intelligente des risques doit tendre à identifier :
Par ailleurs, si une analyse de risques devait montrer que des risques
calculés ne sont pas acceptables, il sera alors nécessaire de prendre des
mesures adéquates.
Diverses solutions sont à disposition pour pouvoir agir en conséquence.
Le risque global est très faible, bien en deçà de ce que représentent d’autres
activités humaines, mais il apparaît comme sociologiquement insupportable.
1. Contexte organisationnel
1.1. Délimitation des Champs d’intervention
2.5.1. Formation
Conclusion
ü L’établissement des PMU pour les barrages situés sur la zone de Nzilo
afin de protéger les populations vivant en aval et le personnel exploitant,
en se basant sur les zones inondables identifiées ci-haut;
BIBLOGRAPHIE
ANNEXES
10°12'0"S 10°12'0"S
10°18'0"S 10°18'0"S
10°24'0"S 10°24'0"S
10°30'0"S 10°30'0"S
¯
Zone_Inondable
Barrages 0 2 4 8 Kilomètres
courbes de niveau mnt_lualaba_50m
Lualaba_MNT
Altitude en m
High : 1598
Low : 749.906
P a g e | 114
#include <stdio.h>
#include <stdlib.h>
#include "math.h"
#include <math.h>
#include <string.h>
//
// PYL
double*x=NULL,*h=NULL,*u=NULL,*Q=NULL;
double t,dt,tmax,dx,Z;
int nx;
{ double c;
//Rusanov
c=fmax(fabs(ug)+sqrt(hg),fabs(ud)+sqrt(hd));
// c=1*dx/2/dt;
return (hg*ug+hd*ud)*0.5-c*(hd-hg)*0.5;
}
double FR2(double ug,double ud,double hg,double hd)
{ double c;
//Rusanov
c=fmax(fabs(ug)+sqrt(hg),fabs(ud)+sqrt(hd));
// c=1*dx/2/dt;
/* ------------------------------------------------- */
P a g e | 122
int i,it=0;
FILE *g;
double*fp=NULL,*fd=NULL,*un=NULL,*hn=NULL;
double q,y1,y2;
// parametres --------------------------------------------------------------
dt=0.01;
tmax=50 ;
dx=1;
nx=120000;
t=0;
fprintf(stderr," ----------------------------------------------\n");
/* ------------------------------------------------------------------------*/
x= (double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
h= (double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
Q= (double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
u= (double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
fp=(double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
fd=(double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
un=(double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
hn=(double*)calloc(nx+1,sizeof(double));
for(i=0;i<=nx;i++)
{ x[i]=(i-nx/2)*dx;
//dambreak
P a g e | 123
Z=0.008;
h[i]=2.14+67.11*( x[i]<0);
u[i]=0;
Q[i]=u[i]*h[i];}
g = fopen("solxhQt.OUT", "w");
fclose(g);
t=t+dt;
it=it+1;
for(i=1;i<=nx;i++)
{ fp[i]=FR1(u[i-1],u[i],h[i-1],h[i]);
fd[i]=FR2(u[i-1],u[i],h[i-1],h[i]); }
for(i=1;i<nx;i++)
un[i]=q/hn[i];}
else{
un[i]=0.;}
un[0]=un[1];
hn[nx]=hn[nx-1];
un[nx]=un[nx-1];
//swap
for(i=0;i<=nx;i++)
P a g e | 124
h[i]=hn[i];
u[i]=un[i];
Q[i]=hn[i]*un[i];
if(it%100==0){
/* Saving the fields */
g = fopen("solxhQt.OUT", "a");
fprintf(g,"\n");
fclose(g);
}
free(x);
free(fp);
free(fd);
free(un);
free(hn);
return 0;
}
P a g e | 125
a. Barrage Nzilo
P a g e | 126