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FICHES PERF ET SANTE BURTIN

Charge aigue/chronique

CHRONIQUE = entrainement habituel au cours de la saison


AIGUE = variation de la charge de travail ou de l’intensité (stage donc aug ou vacances
diminution) → aug risque de blessure

BIGOREXIE (VIGOREXIE) : dépendance au sport


Reconnue par OMS
Contexte favorisant : estime de soi, rapport à son corps, souffrance psychique,
dépression, addiction

Lien avec dysmorphophobie (réoccupation pour un ou plusieurs défauts de l'apparence


physique inexistants ou légers entraîne une souffrance importante et/ou affecte le
comportement.)

Lien avec les endorphines ?


Traitement : psychologue, psychiatre → prévention ? type d’addiction, perception
sociale

Evacuation du stress ?
Contexte de dépendance, probablement 2 catégories
Conséquences : santé, professionnelles, sociales, familiales

SPECIALISATION PRECOCE : entraînement toute l’année, choisir un sport, quitter


tout autre sport (6-10 ans) Gestes répétitifs. carrière plus courte

Risques :

- Atteintes musculo squelettiques et psychologiques étudiées ++


- Attention : apports caloriques, protéines, calcium, surtout sports d’endurance.
- Risque aménorrhée (risque de fracture, moins de masse osseuse)
- But : sélection haut niveau = résultats + mais risques santé (cela dépend de
certains sport)
- Fréquent : autre(s) sports antérieurs, spécialisation tardive
- Risque émotionnels, physiques, sociaux
- Certains sports plus exposés

PATHOLOGIE D’USURES : FRACTURE DE FATIGUE

ostéoporose touche l’os corticale


SUJETS les + touchés :

- filles en avançant dans age


- + 20 ans en lien avec le volume d’’activité

Os : balance résorption (activité ostéoclastique) et synthèse (act ostéoblastique) +


ostéocytes qui gèrent les concentrations extracellulaires de calcium.

Charge de travail trop élevé + pas de temps de récup suffisant= fracture osseuse
++ et/ou osseuse

TRAITEMENT : réduction ou arrêt de la charge, béquilles, 2 à 12 semaines d’arrêt,


chirurgie, supplément calcium et vitamine D

PREVENTION :

- Individualisation des charges au maximum si possible.


- Variation des charges, ne doivent pas être trop brutales, idéalement il ne doit
pas y avoir trop de variations de charges. Faire attention, le manier avec
prudence.
- Nutrition : manger équilibré surtout
- Calcium supplémentation (féminines) plus ou moins potassium (apports
alimentaires)
- Formation des encadrants

PATHOLOGIE INFECTIEUSES

PREVENTION : hygiène/précautions médicales/alimentation

L’incontinence urinaire féminine à l’effort


contactions abdominal qui va appuyer sur le périnée= petit fuite possible
→ peut aller jusqu’à l’arret du sport

Chapitre 2 : Test cliniques de la motricité et déambulation


/Test de performance

TEST EQUILIBRE : 5s chaque jambe/ il existe une corrélation entre le risque de chute,
les autres tests (Tinetti) et le maintien de l’appui unipodal/ ne tient pas 10 secondes on
ne lui fera pas faire de sport co d’appui

TEST AEROBIE : Test de 6 minutes de marche (TM6)


On test les capacités fonctionnelles, ce n’est pas un test de VO2 max (on peut s’en
approcher mais ce n’est pas très précis)

• On n’encourage pas le sujet, on peut modifier la performance de 10%


• Comme test navette mais au moins 30 mètres
• Toutes les minutes on relève la FC et la saturation en O2

Objectif : détecter les anomalies des échanges gazeux à l’effort et/ou la composante
de déconditionnement

Mesure :

- Distance parcourue
- Fréquence cardiaque
- Saturation en oxygène (recommencer le test sous oxygène en cas de
désaturation Sa02 <90%)
- Dyspnée sur une échelle visuelle analogique ou une échelle de BORG

TEST FORCE MAX : PREHENSION

Force max de préhension corrélée avec force max quadriceps et avec TM6 chez les
BPCO.
Il va tenir un dynamomètre dans la main et serrer très fort et ça va donner la force
max des sujets déconditionnés.
Remarque : c’est facile pas chère, le faire dans la main droite et main gauche

TEST RACHIDIEN
Permet de vérifier la stabilité des articulations, permet de le travailler avant de
débuter un programme = très important. Personnes déconditionnées valeurs pas bonnes.
On test l’endurance de force de ces muscles ; c’est primordial d’en avoir.

Chapitre 2 : Sédentarité et APS

INACTIVITE PHYSIQUE :
L’inactivité physique caractérise un niveau insuffisant d’AP d’intensité modérée à élever
ne permettant pas d’atteindre le seuil d’AP recommandé pour la santé, qui est pour
l’adulte en bonne santé de 30 minutes d’AP d’intensité modérée au moins cinq fois par
semaine, ou de 20 minutes d’AP d’intensité élevée au moins 3 jours par semaine, ou une
combinaison équivalente en volume des deux modes d’intensité.
Ainsi, une personne inactive physiquement peut avoir des activités d’intensité légère,
quelle que soit la durée, ou avoir des activités d’intensité modérée à vigoureuse, mais
d’une durée insuffisante pour atteindre le niveau d’AP recommandé pour la santé.
Les femmes accèdent à la pratique mais les hommes en pratique plus que les femmes.
Quand on regarde ce qu’elles font elles sont souvent entrain de faire de la course, de la
marche… au lieu de faire des sports mécaniques.
Les femmes font une pratique moins intense, donc moins de bénéfice pour la santé.

En FR :
• 2/3 11-17 ans dépassent les deux seuils sanitaires
• 66% présentant un risque sanitaire préoccupant
• 49% présentent un risque sanitaire très élevé, caractérisé par des seuils plus
sévères, soit plus de 4h30 des temps écran journalier et/ou moins de 20 minutes
d’activité physique par jours
• 11-14 ans, les filles sont moins nombreuses (15,5%) que les garçons (24%) à
pratiquer aux moins 60 minutes d’activité physique par jour.

Facteurs IA

Les principaux facteurs associés à l’inactivité physique sont :


- Le surpoids
- Le manque de temps
- Les obstacles à l’AP perçus
Pour les enfants, l’insécurité perçue dans le voisinage par les parents et les enfants
particulièrement par les filles, constitue également un facteur associé à l’inactivité
physique.

Maladies ostéoarticulaires = femme ménopausée, l’AP à impact a un effet positif sur la


densité minéral osseuse

Pathologies neurodégénératives = La pratique régulière d’AP peut diminuer jusqu’à 45%


l’incidence de la maladie d’Alzheimer et celle de la maladie de Parkinson.

Chapitre 2 : Limitations pathologiques

Problématiques liées à la sédentarité

• Capacités physiques en baisse


• Anxio-dépression
• Prise de masse grasse
• Ostéoporose
• Risque cardiovasculaire
• Diminution de qualité de vie
• Diminution d’espérance de vie
• Augmentation des couts de santé publique
Il faut marcher au minimum 30 minutes par jour (c’est le strict minimum selon l’OMS).

Les enfants et ado ont perdu 25% de leur capacité cardio vasculaire = aérobie (ça
s’aggrave depuis 1970).

Régulation rythme cardiaque :

Sympathique = accélère le rythme cardiaque et le vol d’éjection systolique.

Parasympathique = ralentis toutes les modifications créées par le sn sympathique

Plaque d’athérome :

Personnes sédentaires, avec une alimentation pas équilibrée et/ou qui fument : on voit
apparaître dans leur artère des plaques athéromateuse (agglomération de globules
rouges qui bouchent les artères = infarctus

Angor :

→ Angine de poitrine consécutive à l'apparition de l'ischémie myocardique

→ inadéquation entre les besoins en oxygène du myocarde et les apports par la


circulation coronarienne.

- grave que l’infarctus ça peut ne pas être bouché complétement (=angor), si baisse de
perf, + de 30 ans, facteurs de risques : il faut aller consulter.

Quand c’est traité les personnes peuvent reprendre le sport

Risques :

- Très variable " de 30 secondes à 30 ans ", il est fonction de l'importance des lésions
coronaires et de la dysfonction ventriculaire gauche.

- Le risque essentiel est la survenue d'un infarctus du myocarde voire d'une mort
subite, souvent précédé d'un tableau clinique d'angor accéléré.

- Risque d’aggravation progressive vers l’insuffisance cardiaque => cout humain et


social+++
Infarctus :

IDM

* thrombose coronaire aigue


* ne cède jamais
* troubles du rythme
* risques de récidive
* traitement médicamenteux/ angioplastie/ chirurgie

Syndrome extra pyramidal

(entre autres maladie de parkinson et autres maladies neuro dégénératives)

- déficit des neuromédiateurs (dopamine) au niveau du cerveau. Ça peut débuter à


la 40 aine, peut concerner des sportifs qui sont à un très bon niveau.
- 200000 cas en France
- Traitement : Dopaminergique, et/ou blocage de sa dégradation
- Evolution : des années

BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive)

• Maladie inflammatoire (différente de l’asthme)


• Atteinte obstructive peu ou pas réversible (= même avec un traitement les EFR
ne reviennent pas à la normale car il y a une lésion des bronches et des alvéoles)
• Asthme qui s’est aggravé ou personne qui a trop fumé
• Risque d’insuffisance respiratoire chronique et aigue
• 3e cause de décès
• Association fréquente avec l’anxiété-dépression
• Différentes formes
• Peut apparaître à partir de 40 ans

* diamètre de la bronche soit plus petit et que la couleur rose pâle soit devenue rouge
montre qu’il y a une inflammation bronchique. Cela réduit le calibre bronchique donc l’air
passe moins bien quand il y a une inflammation

*  mucus par les glandes

* bronchodilatateurs

* traitement de fond (corticoïdes)

BPCO plus grave que l’asthme ? Pas forcément ça dépend du niveau de sévérité des
deux maladies. Seul truc : ce n’est pas réversible par rapport à l’asthme. Un asthmatique
qui se traite bien pourra être très performant en sport, pas quelqu’un qui a la BPCO
(même au stade débutant)

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