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COURS 1 : INTRODUCTION _ WHAT IS ARCHITECTURAL THEORY ?

COURS 2 : MANFREDO TAFURI

COURS 3 : PARTICIPATION _ Entre théorie et processus : l’articiecture participative en contexte post-


moderne. (anciennement cours 4)

COURS 4 : GENDER STUDIES : Ce que les féministes font à l’architecture : dégénérer l’histoire et l’espace
(anciennement cours 5)

COURS 5 : POST-COLONIAL : Regards contemporains sur l’histoire de l’architecture tropicale et coloniale


(anciennement cours 7 et appelé Décoloniser la description : Decolonial et postcolonial studies en Archi

COURS 6 : NOUVEAU PARADIGME Architecturale (anciennement cours 3)

COURS 7 : PAYSAGE : Approche non moderne du paysage (pas de cours l’année dénière)

COURS 8 : PATRIMOINE hospitalier en RDC : To Cure, To Car


(anciennement cours 9 : Les patrimoines entre pensée objectale et pensée relationnelle - Yves Robert)

COURS 9 : ECOLOGIE : Ralentir les ux, prendre soin des stocks


(Anciennement cours 10)

COURS 10 : MEDIATION (anciennement cours 6

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COURS 1 : INTRODUCTION _ WHAT IS ARCHITECTURAL THEORY ?

L’objectf était de réféchir à ce qu’était la théorie de l’architecture et donc pour ça on avait proposé
de passer par une série d'ouvrage spécifques que sont les anthologies. D’abord car cete succession
des anthologies permet de montrer un peu des phénomènes d’accélératon en producton dans la
théorie l’architecture a la fn du 20e et puis aussi parce que regarder rapidement le contenu de ces
anthologies permetent d’avoir une idée des auteurs, des thèmes, des contenus qui sont abordés en
théorie d l’architecture.
La noton de theory, therme anglais et plus partculièrement de French theory qui renvoie un cor-pus
hybride rechercher transdisciplinaire, qui donc sont entre autres architectural mais pas seulement et
qui prennent leur source dans les succès de la philosophie contnentale en partculier le post
structuralisme.

A travers ça aussi on a interrogé la dimension scienti que que devrait ou non revêtr la théorie de
l’architecture sachant justement que la tendance poststructuraliste, les succès du poststructuralisme
dans le champ a plutôt eu tendance a rendre méfant par rapport à toute prétentons à des fondements
scientfques, unique, stable établie une fois pour toute. A cete égare, on a montré le passage du
structuralisme au poststructuralisme et surtout dans le champ de l’architecture on a indiqué tout une
série de tendance qui avait cours dans les années 60-70 et que si on fnit par marginalisés du fait du
succès du poststructuralisme.

Pour terminer cete leçon, on a montré une série de reprises en architecture de ces philosophies dites
poststructuraliste par exemple les reprises de Jacque Derrida ou Giles Deleuze qui sont un peu les
cas extrêmes de ses reprises, pour montrer un moment à fn des années 80-90 jusqu’aux année 2000

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un moment de bascule ou c’était presque le moment de gloire ultme de la théorie en architecture


mais aussi un moment de chute, comme au sommet d’une courbe de Gauss

COURS 2 : MANFREDO TAFUR

2 leçons étaient liées à des moments de crise de la théorie, le premier cours sur Tafuri était quelque part un
retour à une crise qui avait précédé et Iwan nous a présenté ce personnage très important qu’est Tafuri,
historien, il a fait trembler la discipline de l’architecture, son histoire et ses théories jusqu'à ateindre un point
de non-retour donc moment primordial.

Iwan a aussi montré que le fait que c'était quelque part au même moment ou des théoriciens, qu'on pourrait
dire post-structuraliste, comme Michel Foucault par exemple était aussi à l’œuvre quant au même moment
ou Foucault formule ça critque des insttutons, Tafuri fais-lui une lecture marxiste de la culture architecturale
du modernisme tardif, il montre le fait qu'elle était en crise parce qu'il est complètement incapable de signifer
quoi que ce soit assez usagés. Au travers ces travaux, Tafuri essaye plus largement de démystfer une série de
frôlement de l’architecture moderne et en tant qu'historien il montre que cete crise n’est pas nouvelle, qu'elle
a des racines très profonde puisqu’il les fait remonter au 15e siècle à Florence

COURS 3 : PARTICIPATION _ Entre théorie et processus : l’articiecture participative en contexte


post-moderne. (anciennement cours 4

« Est-ce que on peut parler de théorie de la partcipaton ou est-ce que la partcipaton fait-elle parte de la
théorie de l’architecture »

La conclusion de Judith a cete queston, était que fnalement cete partcipaton était peu théorisée, elle relève
plutôt de méthode qui sont expérimentés dans l'acton et dans le fait de faire de l'architecture de manière
partcipatve. Donc au lieu de parler de théorie la partcipaton, on pro- pose de parler de grammaire qui serait
consttué d’une série d'outls qui évolue au fur et à mesure (voir liste dans slide).

Il est proposé de montrer au sein de cete grammaire, des diférentes fgures d'architecte en foncton de leurs
positons par rapport à cete composante partcipatf de la pratque de l’architecture et donc juste pour citer
certaine fgure de cete grammaire partcipatve Patrique Geddes, Giancarlo De Carlo, Lucien Kroll et Ralph
Erskine qui sont des fgures importantes de ce mouvement.

COURS 4 : GENDER STUDIES : Ce que les féministes font à l’architecture : dégénérer l’histoire et
l’espace (anciennement cours 5

La propositon de Florencia de faire une lecture de l’architecture moderne au regarde des questons liées au
genre en se focalisant en partculier sur l’espace domestque et sur 2 périodes distnctes, d’une part les années
20 et d'autre part les années 60.

Pour les années 20, elle a surtout insisté sur le travail de Paulete Bernège qui a montré comment ratonaliser
le logement et en partculier la cuisine de manière à faciliter les taches ménagèrent et donc de facilité la vie

des femmes. Parce que (pas tellement remis en cause) les femmes étaient chargées du travail domestque et
donc au plus le travail domestque était facilité au plus elles avaient du temps pour d’autres choses.

Un autre aspect aborder, est celui de la queston du logement minimal bon-marché qui est une autre queston
importante du modernisme d'après première guerre mondiale. Ce logement minimal au marché, ici aussi les
femmes ont eu un rôle à jouer dans le sens ou c’était une manière par exemple d’autorisé des femmes
célibataires à acquérir un logement dans la mesure où il était justement adapté à cete situaton partculière du
célibat, qui était pas du tout la norme de l’époque.

Les années 30 était synonyme de retour de bâton par rapport à cete oppositon qui était tout de même é-
mancipatrice pour les femmes. Donc dans les années 30 le développement de la banlieue, l’habitat en pé-
riphérie des villes pour s’éloigné des centres urbains, était un retour en arrière puisque les femmes atachées a
l’espace domestque était du coup vraiment éloignée de la ville qui était l’espace où par contre les hommes
allaient pour travailler et les villes étant tout de même les lieux de décision et donc de pouvoir.

Florencia passe aux années 60 et propose d’étudier un objet qui sont les revues Lifestyle. Pour ce faire, 3
revues publié dans les années 60 qui sont Playboy , Lui et Avenue et y fais des parallèles avec évidement des
gardes temporaire et beaucoup d'autres garde mais entre ce qu’elle a montré sur les années 20 et ici les année
60 est donc d’une part le fait que ces revues étaient un lieu pour faire et montrer des projets d'habitat pour
homme ou femme célibataire. Donc on retrouve la queston du logement minimal mais ça n'est pas du tout
dans le registre. Mais donc le fait que ça soit les habitats pour homme ou femme célibataire montre quand
même que c'est pensé pour un autre mode de vie que celui de la cellule unifamiliale installé en banlieue, etc...
Quelque part on est dans un modèle qui est moins conservateur que ces modèles-là.

L'autre parallèle fait, c’était par rapport à l’idée de ratonalité du logement que l’on a vu avec Paulete Bernège
de ratonalisé l’usage de la cuisine. Dans ces revues, elle a montré 2 exemples, 1 dans Playboy et l’autre dans
Lui qui sont plutôt des appartements pour homme célibataire, où on retrouve des schémas similaires mais qui
consiste plutôt a montrer les étapes pour l'homme rentre de soirée avec sa conquête par quelles étapes il va
passer pour l’emmener dans sa chambre à coucher. On est clairement dans un autre registre mais il y a une
certaine pensée de la ratonalité que forentn voulait lancer et engager la discussion.

L’enjeux est de voir à l'échelle de l'intérieur comme de l’urbanisme, comment l'architecture contribuer ou
non à des formes d’émancipaton sociale et surtout comment elle renforce ou ébranle les rôles liés au genre
(masculin, féminin).

COURS 5 : POST-COLONIAL : Regards contemporains sur l’histoire de l’architecture tropicale et


coloniale (anciennement cours 7 et appelé Décoloniser la description : Decolonial et postcolonial
studies en Archi

Sara à montrer comment ce qu’elle a osé appeler un paradigme post-colonial. Comment celui-ci a percolé
depuis les sciences humaines jusqu’en architecture. Elle a aussi montré comment se paradigme post- colonial
fait déjà l’objet en fait de nombreuse critque entre autres dans le champ de l’anthropologie, dont elle
explique que ces critques percolent aussi vers le champ de l’archi- tecture, et donc elle a parlé d’un passage,
d’un paradigme post-colonial peut être plutôt une pen- sée que l’on appellerait dé-colonial.

Au centre de ces questons au post-colonial, le concept de Dipesh Chakrabarty de « Provincialiser l’Europe »


dont l’idée est que la pensée occidentale n’est pas le seul cadre d’analyse valable, que l’Europe doit être
)

provincialisé, c'est-à-dire pensé comme une province paris d’autre dans le monde, c’est-à-dire comme une air
culturel parmi d’autre. Ça c’est vraiment central dans le propos post-colonial ce qui implique que la queston
du vernaculaire ou des modernités doivent être complètement revu et décentrer puisque le vernaculaire ce
n’est pas ailleurs mais ce n'est pas non plus nécessairement avant et de la même manière il n'y a pas une
seule modernité à savoir la nôtre mais plusieurs modernités et donc de reconnaître ça, change beaucoup notre
perspectve sur la producton architecturale.

Sara à montrer à travers 2 exemples, les risque qu'il y avait par exemple à considérer le vernaculaire
simplement comme un registre formel dans lequel puiser des éléments et elle a montré à travers ce projet de
Renzo Piano et celui de Jean Nouvel, comment l’architecte ne se souciait pas des risques de naturaliser et de
caricaturer quelque part les cultures auxquelles il faisait ses emprunts pour faire leur architecture.

Les rechercher Sara étaient plutôt des questons sur des outls de représentaton, ce qu’elle a appelle des outls
de descripton d’on dispose architectes et urbanistes cartes, plans, etc ... Elle a montré comment ses outls ne
sont pas du tout neutre mais son bien issus d’une histoire qui est même aussi souvent colonial et la carte est
un bon exemple dessiner car elle est l’outl permettant de noter, dessiner les découvertes du nouveau monde
donc dans une perspectve coloniale aussi d’appropriaton

Elle a montré des exemples d'approche post-colonial de l’architecture ou de l’urbanisme, en a montré les
promesses mais aussi en a relevé les insufsances parce qu'elle voulait conclure sur ce sur ce qu'elle considère
comme étant des aspects d'une approche plutôt décolonial. Elle a établi 3 points :

- Idée d'abord de porter son atenton sur les expériences pour se rappeler toujours que ce qui nous apparaît
comme étant donné, est en réalité toujours le fruit d’une perspectve partculière.

- Ce qui implique que les formes construites ne peuvent être défnie de manière univoque, c'est-à-
dire une fois pour toute parce que leurs contours sont le résultat de l'importance que les acteurs leur
accordent. C’est une afaire de perspectve donc dans le cadre des travaux de Sara est la diférence
entre espace public et espace privé ne trouvait pas être considéré a priori elle la défnissait sur base
de diverses perspectves qui se manifestais par rapport à ça.

- La pensée dé-colonial comme un appel pour les architectes et urbaniste à se laisser contaminer et
qu'ils revoient leurs outls de descripton, d'une part car en tenant compte qu’ils ne sont jamais
neutres, et par ailleurs de tenter de les développer de manière à ce qu’ils permetent de rendre
compte plutôt de la complexité de la situaton sans nécessairement aller chercher toujours à
simplifer.

Ceci Sara nous a bien indiqué que c'est vrai à la fois dans des contextes distants, étranger comme
c’est son cas quand elle étudie Porto-novo au bénin mais c’est aussi le cas dans des contextes
proche où l’altérité, l’autre ne manque pas. C'est pas du tout une afaire de

COURS 6 : NOUVEAU PARADIGME Architecturale (anciennement cours 3


Cours dédié à une autre crise de la théorie plus récente au début des années 2000 qui a opposés un moment
de controverse en théorie de l’architecture, qui a opposé 2 camps. Le camp de post-critque et celui des
objectons qui leur ont été faite pour quelque part la sauver la critque qui était mise en péril, mise en cause.
D'un côté de cete controverse des post-critque qui défendait le fait que l’architecture sa franchise d’une
posture critque et ce qui voulait dire à la fois délaissé la théorie, devenue beaucoup trop importante qui avait

commencé a prendre trop de place selon eux, délaisser la théorie au proft de la pratque mais c'était aussi pour
les architectes s’impliquer plus pleinement dans les logiques qui caractérises notre société contemporaine et
donc entre autre les logiques du capitalisme avancée de manière à ce que les architectes puissent
franchement y jouer un rôle actf.

Face à ces propositon la (certaines plus provocatrices que d’autre), des objectons se sont soule- vés disant
« Non, il n’est pas du tout queston de renoncer à la critque » ce qui amènerai les architectes à accepter
bêtement une situaton telle qu'elle se présente et il est primordial que les architectes maintennent leur
capacité critque mais même si ces auteurs la sont d’accord sur le fait qu’il y a quelque chose à faire pour
réinventer la critque et donc ils font des propositon (voir slide: 2 citatons) pour rendre la critque plus ancré
dans la situaton en plus « immanente ». Il s’agissait bien de recentrer le travail des architectes autour de leur
capacité d'interventon au-de là du commentaire, de la dénonciaton, d’une simple résistance qui empêcherait
l'acton mais quand même de garder les capacités de résistance quand même par rapport aux phénomènes de
dominaton. Ces phénomènes que justement les théorie critque avait eu l'avantage de metre à l’agenda.

COURS 7 : PAYSAGE : Approche non moderne du paysage

COURS 8 : PATRIMOINE hospitalier en RDC : To Cure, To Car


(anciennement cours 9 : Les patrimoines entre pensée objectale et pensée relationnelle - Yves Robert

Yves établis un contraste entre 2 théories du patrimoine, une approche objectale d'un côté une approche
relatonnelle de l’autre. L’approche objectale est une approche qui s'atache à la maté- rialité des biens
reconstructon, espace à préserver, objet et au-delà. Contrairement à une approche relatonnelle qui s'intéresse
aussi à leurs qualités immatérielles, c'est-à-dire des valeurs sociales par exemple que porte un projet. Du
coup les qualités qui peuvent émerger, pas seulement d’une parole experte qui serait la qualité matérielle du
bien, mais aussi une pensée plus profane, les habitants et les usagers sur le terrain étant amène quelque part
d’établir ce type de valeur.

Pour ça, Yves a proposé le terme de patrimonialité ce qui apparais vraiment central et qu’il défnit comme
étant la conscience qu’un groupe humain, d’une naton peux avoir du patrimoine. On voit que là c’est une
valeur partagée, qui émerge du groupe concerné, des usagers, des habitants. Ce qui lui permetait de
contraster cete noton de patrimonialité avec la queston que l’on traite généralement, la queston de patrimoine
et qui renvoie plutôt à l'approche objectal, celle qui à longtemps prévalu en Occident. Ce qui valorise comme
patrimoine (je le cite) « une matère qui a traversé le temps et accès une certaine valeur », ça ce serait la base
de ce que l’on nommerait patrimoine. De la Yves déclinait 5 invariants de cete pensée objectale du
patrimoine (voir ppt du cours).

Yves voulait montrer une lente progression, une lente évoluton de cete approche objectale du patrimoine vers
une approche plus relatonnel, c'est-à-dire qu'ils reconnaissent aussi des qualités immatérielles du patrimoine
et donc l’événement le plus connu c'est sans doute la reconnaissance par l’UNESCO du patrimoine culturel
immatérielle dont on a beaucoup parlé dans la presse

Pour fnir, Yves a proposé cet exemple d’une cité de logement conçue dans les années 50 par Josic Candilis
Woods. Il montre comment le regard porté sur cete architecture a évolué par le fait d’expert mais aussi par la
mobilisaton des habitants. Les 2 ont conduit à l'inscripton de cet en- semble sur une liste de sauvegarde. Par
le biais de cet exemple, nous le montrer que par les approche objectal et relatonnel, elles coexistent (ce n'est
pas le remplacement de l'une par l’autre) mais elles coexistent en tension autour d'un objet comme celui-là.

COURS 9 : ECOLOGIE : Ralentir les ux, prendre soin des stocks


(Anciennement cours 10)

Interventon que l’on qualiferait faite par un pratcien chercheur car il parlait au nom de l’asso- ciaton, du
collectf dans lequel il est acteur, l’associaton s’appelle Rotor. Son interventon consistait à présenter les
problématques environnementales par rapport auquel le travail de Rotor cherche à se positonner, entre autres
par le biais de recherches mais aussi d’expositon, d’instal- laton plus ou moins temporaire et surtout d'une
actvité très poussée dans le secteur du réemploi de matériaux de reconstructon.

COURS 10 : MEDIATION (anciennement cours 6

Anne-Laure Iger a fait une histoire de l’expositon, elle a montré comment les premières expositons
d’architecture jusqu'à leurs premières insttutonnalisatons dans les années 70. Elle a montré comment cete
histoire permet de metre en évidence des mutatons qui se sont manifestées sur ce médium partculier de
l’expositon, des évolutons en termes de public, de lieu, d’insttuton mais aussi d’ambiton.

Elle a montré partculièrement, le dépassement de ce qu'on appelle le paradoxe ontologie des expositons, le
fait que l’on ne peut pas montrer l’architecture elle-même mais bien des représentatons, des fragments et
donc le dépasser ce paradoxe jusqu’au faite de considérer l'expositon en comme un véritable lieu
d'expérimentaton qu’on pourrait appelle architecturale.

Anne-Laure montrer également comment l’expositon est un lieu de déploiement de la théorie et donc outre
être un outl de vulgarisaton de présentaton de l’architecture, l'expositon réponds à des enjeux théorie,
disciplinaire, territoriaux, voir militant. Elle a montré comment on pouvait être utlisé à ce ttre

Les expositons sont un véritable lieu de producton, de connaissances architecturales comme par exemple cete
biennale dont le curateur était Rem khoolaas. C’est un lieu qui quelque part par excellence dont certain
suppose mieux parfois plutôt que de le vivre par exemple, pour la formulaton et la mise à l’épreuve d’une
nouvelle théorie architecturale

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