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Postmodernisme

« Postmodernisme » a pris deux significations antagonistes:


- Il a désigné d'abord en littérature, puis avec Jean-François Lyotard en philosophie, l'ultra-modernité conduisant au mouvement de la Déconstruction. Parmi les
différents auteurs ayant utilisé cette notion en ce sens, le critique littéraire Federico de Onís opposait en 1934 précisément la littérature postmoderne à l'ultra-
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modernisme .
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- Il désigne un mouvement artistique de réaction à la modernité en architecture , théorisé par le critique d'art Charles Jencks , qui engage une rupture ironique
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avec les conventions anhistoriques du modernisme en architecture et en urbanisme, tout particulièrement avec les prétentions à conclure l'histoire et à ignorer la
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géographie. Dans le livre-manifeste de ce mouvement , intitulé Le Langage de l'architecture postmoderne, paru à Londres en 1977 , Charles Jencks réinscrit
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l'architecture dans le fil d'une histoire générale des mouvements artistiques, incite à un retour aux compositions et aux motifs empruntés au passé , à un
éclectisme s'appuyant sur un regard nouveau portant aussi bien sur la culture populaire et son expression architecturale (le «  vernaculaire commercial  » de
8
Robert Venturi ), que sur la culture savante (le « néoclassique » de Ricardo Bofill).

Le postmodernisme introduit une distance critique par rapport au discours moderniste devenu hégémonique. C'est un courant majeur de la création
architecturale, et plus généralement artistique, de la fin du xxe siècle. Considéré aux États-Unis comme un terme purement stylistique, le postmodernisme est la
réintroduction de l'éclectisme en architecture, mais en englobant aussi le Modernisme et le Style international, reconsidérés comme de simples moments de
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l'histoire de l'architecture avec lesquels on a pris ses distances. Mais en Europe, ce discours critique porte aussi sur la décontextualisation sociale, politique et
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géographique de l'urbanisme moderne admettant des contre-propositions comme celles de Christopher Alexander ou de François Spoerry .

Terminologie
Le postmoderne est à l'origine un paradigme esthétique, inventé au tournant des années 1970 par le critique littéraire américain Ihab Hassan, pour désigner une
forme d'hypermodernisme en littérature. Le mot postmoderne, dont on trouve d'autres précurseurs, a également été repris par le philosophe Jean-François
Lyotard, avec la publication en 1979 de La condition postmoderne - rapport sur le savoir puis de lettres ouvertes recueillies dans Le postmoderne expliqué aux
enfants. Avec l'essai de Habermas (La Modernité, un projet inachevé, 1981, écrit en réponse à la Biennale de Venise de 1980, marquée par l'influence de
Jencks), ces deux derniers textes ont contribué à donner une épaisseur philosophique au terme. De nombreux autres essais leur ont succédé, notamment celui de
Fredric Jameson en 1984, qui définit le postmodernisme comme la «  logique culturelle du capitalisme tardif  », en référence à la périodisation établie par
l'historien marxiste Ernest Mandel, ce qui donne à la notion une extension civilisationnelle beaucoup plus large que le seul usage dans le champ architectural.

Bien qu'ils soient souvent employés indifféremment, il importe de distinguer le Postmodernisme (architecture) en tant que mouvement artistique, du
postmoderne au sens philosophique ou littéraire, lesquels ont souvent des sens contradictoire ou opposés, ainsi que de la réalité postmoderne, et de l'esthétique
de la postmodernité.

Bien que généalogiquement toutes liées, les différentes acceptions philosophiques et littéraires du paradigme postmoderne sont foisonnantes, en venant souvent
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à se corriger voire à s'exclure mutuellement. Il convient donc d'être toujours attentif à l'auteur auquel on se réfère pour éviter les contresens .

L'esthétique postmoderniste

Le problème des précurseurs

Perry Anderson, dans Les Origines de la postmodernité (1998, 2010), montre que les termes de « postmodernité » et de
« post-modernisme » avaient déjà été utilisés dans le domaine de la poésie, notamment par l'Espagnol Federico de Onís (en
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1934 , selon Anderson, il l'utilise pour «  décrire un reflux conservateur au sein même du modernisme  ») ou le poète
Charles Olson (en 1951), mais également de l'histoire (Arnold Toynbee), de la sociologie (Charles Wright Mills en 1959) et Pour Charles Jenks, le
de la critique (Irving Howe en 1959)… mouvement du postmodernisme
commence à l'instant de la
Le postmodernisme est-il une ère nouvelle liée au développement du capitalisme postindustriel ou un aspect qui a toujours démolition de l'ensemble
existé ? On peut en effet constater que de nombreuses caractéristiques de l'esthétique postmoderne se retrouvent dans des d'habitation de Pruitt-Igoe, le 15
œuvres du passé, ou le retour à un emploi décalé des figures du classique et du baroque, une sorte d'esthétique du mauvais juillet 1972 à 15 heures 32.
goût qui permet de ressaisir sans lyrisme des valeurs esthétiques démodées.

En littérature, si les prémices du postmodernisme apparaissent dans Le chiendent de Raymond Queneau (1933) ou dans At
Swim-two-Birds de Flann O'Brien (1939), ces auteurs continuent une tradition qui remonte au xviiie siècle avec des œuvres
comme Jacques le fataliste, de Diderot ou Le voyage sentimental de Sterne, en passant par Alfred Jarry (Gestes et opinion
du docteur Faustroll, pataphysicien).

En architecture, on retrouve rétrospectivement des éléments du postmodernisme dans l'architecture de la Sécession


viennoise, celle de Constantin Melnikov, celle du slovène Jože Plečnik, des principes déjà existants chez Robert Mallet-
Stevens, ou beaucoup plus avant au xviiie siècle dans les œuvres les plus étranges de Boullée et Ledoux.

Le Ray and Maria Stata Center


Recyclage de formes préexistantes : citation, pastiche, parodie
au MIT.

Si le modernisme se caractérise par la recherche de l'originalité et la volonté de création de formes nouvelles, inédites,
insolites, le postmodernisme admet qu'il réutilise des formes préexistantes, y compris les plus familières. Là où Le Corbusier veut renouveler complètement non
seulement le style des bâtiments, mais la conception même de l'habitat, un architecte tel que Ricardo Bofill utilise des principes de composition et des éléments
décoratifs empruntés à l'art classique ou antique (colonnes, frontons, etc.). L'innovation moderne se fonde toujours sur
l'oubli ou l'ignorance des traditions propres à chaque art, lesquelles sont considérées comme un frein à une véritable
création. Ce qui caractérise au contraire l'artiste postmoderne, et son originalité, c'est qu'il a su acquérir une maîtrise assez
parfaite de l'histoire et des techniques les plus académiques de son art.

Les références à l'art du passé peuvent prendre des formes très diverses, depuis l'utilisation de détails stylistiques jusqu'à
l'application rigoureuse de règles formelles anciennes, telles que la composition, la symétrie, l'ordonnancement, etc. Les
modalités peuvent également varier, de l'hommage à la citation ironique. Mais le plus caractéristique de l'attitude
Projet de Ledoux datant de 1804
postmoderne est l'« hommage ironique » qui joue sur l'ambiguïté : ainsi l'hommage à Nijinski du sculpteur Barry Flanagan
présente un lièvre burlesque dans une pose du danseur.

Syncrétisme esthétique : collage, mixage et mélange

L'œuvre postmoderne se présente souvent comme un collage d'éléments hétéroclites sans souci d'harmonie. On prendra
pour exemple le roman At swim-two-birds de l'Irlandais Flann O'Brien qui met bout à bout des textes de genres aussi divers
que le western et l'épopée médiévale, en passant par le conte de fées et le vaudeville.

Les procédés du collage et du détournement ne sont pas en eux-mêmes des spécificités du postmodernisme puisque c'est le
surréalisme qui les a proposés. Les romans modernistes de la trilogie U.S.A. de John Dos Passos ou ceux de la trilogie Les
somnambules de Hermann Broch se présentent également sous forme de collages de textes appartenant à des genres divers.
Immeuble d'habitation construit
Mais dans ces deux cas, le but recherché est d'effectuer une synthèse entre ces éléments pour appréhender une réalité en 1984 vis-à-vis de l'ancien
complexe : les États-Unis pendant la grande dépression pour Dos Passos, la perte des valeurs en Europe occidentale pour château, à Saint-Germain-en-
Broch. Laye.

L'artiste postmoderne recherche au contraire le contraste entre les différents éléments et l'effet de distanciation qui en
résulte.

Culture populaire et culture élitaire

Si le postmodernisme efface le temps et l'espace pour rendre toute la culture immédiatement présente, il prétend aussi
effacer la hiérarchie entre culture élitaire et culture populaire. On peut citer par exemple l'adoption et le détournement de
genres populaires par des écrivains : roman policier dans Cosmos de Witold Gombrowicz, roman d'espionnage dans Lac
de Jean Echenoz, etc.
Stirling, Université d’État de
Un exemple particulièrement frappant de cet effacement est la convergence entre l'art contemporain et la publicité. Ainsi de musique et des arts performatifs
l'Américain Andy Warhol, chef de file du pop art, qui fut publicitaire avant de devenir artiste et dont l'œuvre repose sur de Stuttgart (1993-1994)
l'imaginaire populaire (marques, stars, clichés, etc.). À l'inverse, on voit de nombreuses publicités détourner des œuvres de
l'histoire de la peinture.

De fait, la seconde moitié du xxe siècle est marquée par l'explosion de la culture de masse, relayée par une industrie des médias toujours plus puissante. Cette
culture médiatique touche toutes les classes sociales et devient l'un des fondements de l’imagination collective.

L'ironie postmoderne

L'ironie est considérée comme la caractéristique essentielle du postmodernisme. Plus généralement, on peut considérer que là où le modernisme place l'auteur et
la création au centre de son esthétique, le postmodernisme fait jouer ce rôle à l'interprétation et au public. C'est pour cette raison qu'on lui a reproché de se
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conformer aux impératifs de la mercatique , ce qui serait juste s'il n'existait pas le décalage ironique qui assume tout aussi bien le fait de déplaire ou d'irriter.

Le simple fait d'apporter un regard nouveau sur un texte ou une œuvre picturale amène à en faire une œuvre nouvelle. Le plasticien Jeff Koons s'est ainsi rendu
célèbre en transformant des objets kitsch en œuvres d'art. Ce regard ironique se pose aussi naturellement sur l'œuvre postmoderne elle-même, et aboutit à
l'autocommentaire. On pourra citer l'exemple de Feu pâle de Vladimir Nabokov, formé d'un récit poétique et du commentaire de ce récit, ou de L'œuvre
posthume de Thomas Pilaster d'Éric Chevillard qui fonctionne sur le même principe. On est proche ici de l'effet de distanciation théorisé par Bertolt Brecht ou
Victor Chklovski.

Ce qu'il y a de commun aux artistes postmodernes, c'est la faculté de reprendre et de faire revivre les codes traditionnels les plus sérieux, en évitant de se
prendre au sérieux, sans toutefois les déconsidérer en tombant dans des formes de dérision.

Épistémologie moderne et ontologie postmoderne

Le critique Brian McHale  (en) compare la différence existant entre le modernisme et le postmodernisme à celle qui sépare l'épistémologie (théorie de la
connaissance) et l'ontologie (théorie de l'être). Ainsi, le modernisme cherche à construire une image fidèle du monde réel, en dépassant les limites de la
perception humaine. Le postmodernisme s'interroge plutôt sur le statut du monde fictionnel créé par l'œuvre d'art et son rapport au monde réel. L'exemple par
excellence en est la vertigineuse nouvelle Tlön, Uqbar, Orbis Tertius publiée dans le recueil Fictions de Jorge Luis Borges dans laquelle le monde réel est peu à
peu colonisé par le monde fictionnel de Tlön. Il est clair que le postmodernisme se veut ainsi bien éclectique.

Exemples d'œuvres et artistes postmodernes


Nous présentons ci-dessous une liste succincte d'œuvres caractéristiques du postmodernisme, sans prétendre à l'exhaustivité. Des articles spécialisés ou des
catégories permettent d'approfondir les différents aspects du postmodernisme.
La philosophie du postmodernisme dans les arts est à l'opposé de la philosophie postmoderne de La condition postmoderne de Jean-François
Lyotard [réf. souhaitée].

Architecture

Mode
Vivienne Westwood
Christian Lacroix
Thierry Mugler

Cinéma
Pulp Fiction, notamment envers les livres d'histoires policières américains bas de gamme.
Boulevard de la mort, notamment envers les films de séries Z des années 1970.
Kill Bill, notamment envers les films de combats et d'épées asiatiques ou les westerns.
Marie Antoinette, notamment envers l'art rococo et classique.
Les Amours imaginaires, notamment envers les beaux-arts, des sculptures italiennes aux peintures d'Egon Schiele.
Amer, notamment envers le Giallo (L'Oiseau au plumage de cristal, Les Frissons de l'angoisse) et le cinéma d'horreur transalpin de la
deuxième moitié du xxe  siècle (Suspiria, Les Trois Visages de la peur).
L'Étrange Couleur des larmes de ton corps, notamment envers le giallo.
Scream, notamment envers les Slashers des années 1970-1980 (Halloween, Les Griffes de la nuit).

Musique
David Bowie
Ithak
Pink Floyd (particulièrement The Wall)
John Zorn
Oneohtrix Point Never

Populaire
Klaus Nomi The Residents Lady Gaga

Classique

Arts visuels
Roy Lichtenstein
Wolfgang Weingart
Neville Brody
Willi Kuntz
April Greiman
Peter Saville
Le groupe Memphis
Le projet Fuse Studio Dumbar

Littérature

Écrivains francophones
14
Michel Butor, Mobile

Philosophie
Jean-François Lyotard, La Condition postmoderne, éd. Minuit, 1979

Notes et références
1. Perry Anderson, Les Origines de la postmodernité, pages 9 et 10,
Les prairies ordinaires, 2010.
2. « Comme on le sait, c’est l’architecture qui a offert à la philosophie 6. La même année Robert Stern parle du postmodernisme dans
le concept de postmodernité. Sa vocation au sein du champ plusieurs revues comme Architectural design, et le définit par
architectural était, au départ du moins, tout à fait claire. Il avait « trois aspects : le contextualisme, la référence historique et
l’ambition de sonner le glas de la modernité architecturale, et, en l'emploi de l'ornement ». C. Ray Smith publie à New York
particulier, de ses dérives fonctionnalistes. Ce diagnostic a, je Hypermaniérisme, nouvelles tendances de l'architecture
crois, été dramatisé avec le plus de force au début de l’ouvrage de postmoderne.
Ch. Jencks Le langage de l’architecture postmoderne (paru en 7. L'ornement est progressivement réhabilité des anathèmes d'Adolf
1979) […] Toutefois, très rapidement, cette profession de foi a Loos, d'abord esthétiquement par Robert Venturi, puis
excédé le champ de l’analyse architecturale de sorte que la anthropologiquement dans Recherches sur les fonctions sociales
revendication postmoderniste s’est très vite présentée comme une de l'ornement, par Louis Maitrier.
critique radicale de la modernité, de ses soubassements et de ses
8. Learning from Las Vegas, par Robert Venturi et al., 1972.
présupposés, répondant d’ailleurs ainsi à l’ambition englobante
assumée par le modernisme architectural dans ses diverses 9. Charles Jenks renvoie à la définition que donne Hannah Arendt de
formes (Le Corbusier, Bauhaus…). » Jean-Louis Genard, l'« Espace public » qui est un chapitre de La Condition de l'homme
« Modernité et postmodernité en architecture », Réseaux, revue moderne…
interdisciplinaire de philosophie morale et politique, n° 88-89-90, 10. Charles Jenks rapporte une conversation en 1977 avec Maurice
2000, " Modernité et postmodernité ", p. 95-110 Culot « un des responsables de l'ARU à Bruxelles qui a passé dix
3. Les mots postmoderne et postmodernisme, appliqués aux arts, jours à Port Grimaud pour discuter avec l'architecte » et qui lui
sont apparus dans une conférence prononcée pour la première confiera que « ce type de réalisation était ce qui convenait pour le
fois par Charles Jencks en 1975 à Eindhoven, avec la volonté de peuple, mais que ses responsables communistes locaux restaient
clore le mouvement moderne. Auparavant, ce mot avait déjà été trop attachés aux modèles d'urbanisme des années 1930. » Dès
utilisé avec le sens opposé. Dans l'introduction du Langage de 1972, Henri Lefebvre était venu tenir son séminaire de sociologie
l'architecture postmoderne, Jencks explique que, lorsqu'il urbaine à Port Grimaud.
commençait à écrire ce livre en 1975, « le mot et le concept de 11. Karol Beffa, Parler, composer, jouer. Sept leçons sur la musique,
postmodernisme n'avaient été utilisés que dans la critique Paris, Éditions du Seuil, 2017, 240 p., "Y a-t-il un postmodernisme
littéraire. (…), mais dans le sens d'ultra-moderne, par référence musical ?"
aux romans extrémistes de William Burroughs et à une philosophie 12. Federico de Onis, Anthologia de la poesia Espanola e
du nihilisme et de l'anti-convention. Je connaissais ces écrits, ceux hispanoamericana (1882-1932). C de EH, Madrid, 1934
d'Ihab Hassan, et d'autres, mais j'utilisais le mot pour signifier le 13. « Les livres de Jencks (qui lança comme un produit de lessive le
contraire de tout ceci : la fin de l'extrémisme d'avant-garde, le vocable de postmodernisme) sont un plaidoyer pour le
retour partiel à la tradition, et le rôle central de la communication clientélisme : sondez d'abord les goûts de votre commanditaire
avec le public : l'architecture est l'art public par excellence ». avant de vous décider pour le style moderniste de Le Corbusier, le
4. Voyez: L'a-historicisme du Bauhaus et ses conséquences", par style néo-palladien ou le folklorisme ottoman… » (Y.-A. Bois,
Bruno Zevi. On doit remarquer que l'anhistoricisme a aussi été, à 1985).
la même époque, un principe du Freudisme. 14. Madeleine Santschi, Voyage avec Michel Butor, Lausanne,
5. William J R Curtis conteste le rôle d'initiateur auquel prétend Suisse, Éditions L'Âge d'Homme, 1980, 223 p., « P. 40-41 »
Jencks. Il voit plutôt en lui un simple compilateur : « Le critique
Charles Jencks a rassemblé un étrange assortiment de
constructions destiné à illustrer la nouvelle tendance (…) Ni
l'auteur ni les exemples choisis ne montraient un grand intérêt pour
l'authenticité de l'expression (« postmodernisme ») ; les bâtiments
trahissaient tous cette démarche superficielle faisant des modèles
d'architecture précédents des amplificateurs de références ou de
citations et guère plus. » in L'architecture moderne depuis 1900,
troisième édition, Phaidon, 2004, p. 602.

Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Postmodernisme (https://commons.wikim
edia.org/wiki/category:Postmodernism?us
elang=fr), sur Wikimedia Commons

Il existe une catégorie consacrée à ce


Bibliographie sujet : Postmodernisme.
Ihab Hassan, The Dismemberment of Orpheus (1971)
Christopher Alexander, Fonctions de l'architecture moderne, 1975
(en) Christopher Alexander, A Pattern Language : Towns, Buildings, Construction. (1977) New York, Oxford University Press, non traduit
Karol Beffa, Parler, composer, jouer. Sept leçons sur la musique, Paris, Seuil, 2017. Chapitre « Y a-t-il un postmodernisme musical ? »
Peter Blake (architecte), Forms folows fiasco (1978) traduction française en 1980
Arthur Danto, L'art contemporain et la clôture de l'histoire
Anthony Giddens, Les Conséquences de la modernité, trad. française 2002, L'Harmattan
Charles Jencks, Le Langage de l'architecture postmoderne (1979)
Rosalind Krauss, L'originalité de l'avant-garde et autres mythes modernistes
(en) Brian McHale (en), Constructing postmodernism
Michel Maffesoli, L'Instant éternel : Le retour du tragique dans les sociétés postmodernes
Meaghan Morris, The Pirate's Fiancée. Feminism, Reading, Postmodernism, London et New York, Verso, 1988.
Robert Venturi, Denise Scott Brown, L'enseignement à Las Vegas, ou le Symbole oublié de la forme architecturale (1979)
Bruno Zevi, L'a-historicisme du Bauhaus et ses conséquences (1976)
Axel Murken,Dr Schilke Medizinischer, édit. Prof. Dr Med. Axel Hinrich Murken, 2006.

Articles connexes

Thématiques

Hyperréalité Déconstructivisme Post-modernisme (littérature)


Modernisme Postconstructivisme Néo-palladianisme
Modernité Postmodernité Philosophie postmoderne
Néo-classicisme Postmodernisme (architecture)

En anglais

Remodernisme (en) Post-ironie (en) Danse postmoderne (en)


Post-postmodernisme (en) Nouvelle Sincérité (en)

Théoriciens

Fredric Jameson (1934-) Perry Anderson (1938-)

Liens externes

Ressource relative à la recherche : (en) Stanford Encyclopedia of Philosophy (https://plato.stanford.edu/entries/postmodernism/)


Ressource relative à la littérature :
(en) The Encyclopedia of Science Fiction (https://www.sf-encyclopedia.com/entry/postmodernism_and_sf)
Ressource relative à la santé : (en) Medical Subject Headings (https://meshb.nlm.nih.gov/record/ui?ui=D033302)
Ressource relative aux beaux-arts : (en) Grove Art Online (https://doi.org/10.1093/gao/9781884446054.article.T069002)
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Dizionario di Storia (http://www.treccani.it/enciclopedia/postmodernismo_(Dizionario-di-Storia)/) ·
Encyclopædia Britannica (https://www.britannica.com/art/postmodernism-art) ·
Encyclopædia Universalis (https://www.universalis.fr/encyclopedie/postmodernisme/) ·
Gran Enciclopèdia Catalana (https://www.enciclopedia.cat/EC-GEC-0276286.xml) ·
Hrvatska Enciklopedija (http://www.enciklopedija.hr/Natuknica.aspx?ID=49698)
Notices d'autorité :
Bibliothèque nationale de France (http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119951455) (données (http://data.bnf.fr/ark:/12148/cb119951455)) ·
Bibliothèque du Congrès (http://id.loc.gov/authorities/sh85105557) · Gemeinsame Normdatei (http://d-nb.info/gnd/4115604-3) ·
Bibliothèque nationale de la Diète (http://id.ndl.go.jp/auth/ndlna/00935601) ·
Bibliothèque nationale d’Israël (http://uli.nli.org.il/F/?func=find-b&local_base=NLX10&find_code=UID&request=987007529552405171) ·
Bibliothèque nationale tchèque (http://aut.nkp.cz/ph124405) ·
Bibliothèque nationale de Lettonie (https://kopkatalogs.lv/F/?func=direct&local_base=lnc10&doc_number=000061631)
Article postmodernisme du Dictionnaire International des Termes Littéraires (http://www.flsh.unilim.fr/ditl/Fahey/POSTMODERNISMEPost
modernism_n.html)
Exemples de Gratte-ciel de style post-moderne (http://www.passion-gratte-ciel.com/STYLEPOSTMODERN.htm)

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