Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt i
Le personnel de chantier ci-après travaille en permanence dans la forêt communale. ............. 14
6- La collecte des produits forestiers non ligneux (PFNL) ........................................................... 20
CHAPITRE IV: BUDGET ET RECHERCHE DES FINANCEMENTS ............................................ 22
BIBLIOGRAPHIE.................................................................................................................................... 25
ANNEXES ................................................................................................................................................. 26
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt ii
LISTE DES TABLEAUX
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt iii
LISTE DES FIGURES
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt iv
LISTE DES ACRONYMES ET ABREVIATIONS
APV FLET : Accord de Partenariat Volontaire Forest Law Enforcement, Governance and
Trade
PM : Premier Ministère
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt v
PSRF : Programme de Sécurisation des Recettes Forestières
SG : Secrétariat Général
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt vi
CHAPITRE I : INTRODUCTION
a- Contexte professionnel :
Une nouvelle offre de formation est implémentée à l’école nationale des eaux (ENEF) depuis
l’année académique 2019-2020. Cette nouvelle offre de formation ambitionne de développer
d’avantage les capacités entrepreneuriales des apprenants de l’ENEF. Ainsi dès la première année
de formation des apprenants ; ceux-ci sont appelés à effectuer un stage dénommé : «projet
professionnel » ; ce stage est réalisé sur un terrain prive et / ou pour une structure donnée au choix
de l’apprenant durant une période donnée ; dont le thème est proposé par l’apprenant et valide par
l’encadreur de l’ENEF.
b- Contexte personnel :
Apres un an passé à l’ENEF (Ecole National des Eaux et Foret) ou nous avons faits des cours
théoriques et pratiques avec la spécialisation d’option. Une nécessité de faire une descente sur le
terrain du monde professionnel pour consolider les notions assimiler et l’appliquer s’imposais afin
de se confronter au monde de l’emploi. Notre spécialité étant « vérificateurs des travaux forestier »,
nous avons choisi la commune de afin de vérifier la conformité des travaux d’exploitation. Dou
le choix de notre thème de projet professionnel « VIRIFICATION DE L’INVENTAIRES
DEXPLOITATION DE LA FORET COMMUNALE DE DIMAKO ».
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 1
1.2- Intérêt du projet sur le plan personnel et collectif (pour la société économique,
sociale et environnemental) :
Notre projet est à double porter c’est à dire un plan personnel et la commune concernée.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 2
CHAPITRE II: CADRE JURIDIQUE ET INSTITUTIONNEL DU PROJET
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 3
La réalisation conforme des travaux sylvicole et technique d’exploitation à faible impact des
actions de protection de la faune des taux d’infrastructures ;
L’application des mesures de réduction des impacts environnementales ;
Le respect des droits d’usage et la réalisation des œuvres sociales ou du programme
d’infrastructure convenus lors de l’élaboration du plan d’aménagement.
Conformément aux dispositions de l’article 50(2) du décret 95/531/PM fixant les modalités
d’application du régime des forets « en cas d’exécution des inventaires d’exploitation par le
bénéficiaire du titre ; les résultats sont contrôlés et approuvés par l’administration chargée des
forets. »
Vu la résolution No 54/214 du 01/02/2000 de l’assemblée générale des nations unies lors des 54
sessions prenant acte de la déclaration des chefs de l’Etats d’Afrique centrale dite « déclaration de
Yaoundé »
Vu les statuts de la conférence des ministres en charge des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC)
adoptés à Yaoundé le 28juin 2002 conscient de la nécessite de poser les bases fiables et durables
d’une coopération sous régionale en matière conservation et de gestion durable des forêts.
Le 06 octobre 2010 signature des accords de partenariat volontaire entre le Cameroun et l’Union
Européenne sur la certification du bois (dont le but est d’améliorer la gouvernance forestière du
pays et de s’assurer que le bois importé dans l’union Européenne remplit toute l’exigence
réglementaire du pays. »
REDD+ est la réduction des émissions due à la déforestation et la dégradation des forets .Elle
prône pour la conservation des forets ayant pour but la gestion rationnelle et durable des ressources
forestières.
On a un certain nombre d’institutions techniques qui œuvrent pour la gestion durable des
ressources forestières.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 4
Le programme sectoriel foret environnement (PSFE2) qui intervient dans de nombreux
projet de reboisement sur l’étendue du territoire national. Or en 2011 l’étude de faisabilité
C2D-PSFE2 a diagnostiqué une absence de contrôle effectif des inventaires d’exploitations
malgré la délivrance de certificat de matérialisation d’assiette par les services déconcentrés
du MINFOF à l’origine l’absence d’une procédure standardise de vérification et de
validation des inventaires d’exploitation. Pour combler ce vide ; le projet C2D-PSFE2
s’est donne pour mission d’élaborer les directives d’inventaires d’exploitation
georeferencement
d’exploitation et la mise en place de celle – ci au Cameroun ; sous la coordination ;
l’application sous la surveillance de celle –ci par le ministère en charge des forets et de la
faune. Cependant l’ONADEF devenu aujourd’hui ANAFOR (agence national d’appui au
développement forestier) qui est un partenaire technique du MINFOF spécialisé dans la
sélection ; la production à grande échelle du matériel végétale utilisé dans le reboisement.
La COMIFAC (commission des forêts d’Afrique centrale) organisation chargée de l’orientation ;
de l’aménagement et du suivi des politiques forestières et environnementales d’Afrique centrale.
Le financement de la COMIFAC est assuré par une contribution obligatoire des Etats membres
selon un principe égalitaire ou conformément à un mécanisme de financement indexé sur un taux
appliqué à la somme des recettes réalisée sur les produits forestiers et fauniques exportés.
Dans l’accomplissement de ses missions ; les conventions de collaborations peuvent être conclues
entre la COMIFAC et d’autres organisations régionales ou sous régionales tels que : l’organisation
pour la conservation de la faune sauvage en Afrique (OCFSA) spécialisée dans la biodiversité et
la lutte anti braconnage transfrontalière ; l’agence internationale pour le développement de
l’information environnementale de la sous-région et sa diffusion au prés de l’ensemble des
partenaires (ADIE).
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 5
2.2.2 INSTITUTIONS FINANCIER
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 6
La SGC société général Cameroun
BICEC Banque Internationale pour l’Epargne et le Crédit du Cameroun.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 7
CHAPITRE III : PRESENTATION DU PROJET ET DES RESULTATS
ATTENDUS
la rivière Djo (point D). A L’EST Du point D, suivre la droite de gisement 243 grades sur 12
kilomètres, jusqu’à la rivière Doumé, au point E AU SUD Du point E, suivre le cours de la Doumé
jusqu’à son point de confluence avec la Mponda, au point F A L’OUEST Du point F, suivre le
cours de la Mponda jusqu'à un point de confluence avec un confluent non dénommé situé à 600
mètres du point A. La carte ci-après présente la situation géographique de la forêt communale de
Dimako.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 8
Figure 2 : Carte Localisation de la Forêt Communale de Dimako
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 9
Le reboisement.
Risque lies à l’activité d’exploitation forestière.
Recommandations lies aux risques.
Activités 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Travaux Jours Jours Jours Jours Jours Jours Jours Jours Jours
Travaux Bureau
Descente sur le
terrain
Installation
campement
Travaux de
vérification
Fin travaux en
foret
Rédaction du
rapport
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 10
Figure 3: Schéma descriptif du processus d’exécution de la mission
3.4- RESULTATS ATTENDUS
1- Inventaires forestier
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 11
Tableau 3 : Essences inventoriées (Essences commerciales 2)
Total 11 essences
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 12
2- Les opérations forestières
Marquage des arbres et Abattage Le marquage des arbres se fait à la peinture à l’huile.
L’abattage est fait par la commune qui dispose d’une équipe de trois abatteurs et trois
aides. Les sorties de pieds donnent sur les layons de prospection. Dans chaque sortie de
pied se trouve un jalon dont les encoches indiquent le nombre de pied à abattre. Cet
abattage se fait à la tronçonneuse après délignage afin d’éviter les accidents.
Débardage Le débardage se fait au moyen du Ski Der 528 accompagné des Bulldozer
D7G. Il est à signaler que les billes seront trainées.
Stockage sur parc Les parcs à grume se font au moyen d’un bulldozer D7G qui fait des
terrassements d’environ 1500 m2 par parc pour stocker et préparer les grumes avant leur
transport.
Chargement et transport des grumes Le Chargement des grumes se fait au moyen des
chargeurs frontaux. Le transport des grumes de la forêt communale jusqu’à la destination
final se fait avec les grumiers.
a- Matériel
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 13
travaux d’ouverture de routes, de débusquage et de débardage des grumes. Matériel de
chargement Le chargement des billes de bois se fera à l’aide d’un chargeur frontal à fourche La
commune à une chargeuse (966).
Matériel de communication
La zone est partielle couverte par les réseaux Orange, MTN et Nexttel qu’on capte dans certains
parcs à bois en forêt.
b- Main d’œuvre
Le personnel de chantier ci-après travaille en permanence dans la forêt communale.
1 chef de chantier ;
1 cubeur ;
3 abatteurs dont un assure en même temps le rôle de mécanicien de scie ;
3 aides abatteurs ;
2 prospecteurs
3 aides prospecteurs ;
1 boussolier ;
1 marqueur forêt ;
2 aides conducteurs ;
2 opérateurs Lucas Mill ;
2 chauffeurs de benne ;
4 vigiles forêt ;
2 conducteurs d’engins : 1 D7G et une 966,
1 mécanicien,
1 réceptionniste parc forêt.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 14
4- Les pollutions et nuisances potentielles directement liées aux activités d’exploitation
forestière :
Plusieurs types de pollutions et nuisances sont produits au cours de l’exploitation de la
forêt communale. Il s’agit notamment :
Les déchets solides (les câbles en acier et les pièces mécaniques usés, les pneus et les
batteries usés, les conteneurs des produits chimiques, etc.)
Les déchets liquides (huiles usagées, reste de produits de traitement t du bois)
pollution atmosphérique (fumée et poussière) provenant d’une part des engins et
véhicules de chantier et d’autre part de la circulation des engins et véhicules et de
l’entretien routier ;
Les nuisances sonores dues aux opérations forestières (ronflement des tronçonneuses et
abatage des arbres, circulation des engins et véhicules.
Perte de la biodiversité.
Perturbation des écosystèmes.
a- Mesures de suppression
Destruction des zones humides
La mesure de suppression de cet impact consiste à interdire la construction des voies d’accès et
autres pistes dans la bande de 30 m des plans d'eau. Cette mesure permet de protéger les rives
contre l’érosion et évite l’apport de sédiments dans l’eau. Elle protège de la dégradation des zones
humides. :
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 15
30% pour la réalisation des infrastructures de développement destinées aux communautés
riveraines ;
70% destinés aux communes concernées par la forêt pour les actions de développement de
tout le territoire de compétence de la commune.
Animer les structures de gestions que sont : le comité communal de gestion et les comités
riverains de gestion tel que décrit par les chapitres 2 et 3 de l’arrêté conjoint du
n°00076/MINATD/ MINFI/MINFOF du 26 juin 2012 susmentionné.
b. Mesures d’atténuation
Pollution de l'air
La limitation des émissions de poussières et des gaz toxiques est la mesure d’atténuations évidentes
et faciles à mettre en œuvre. Elles consistent en:
Un arrosage de la route en temps sec ;
La limitation de la vitesse des engins à 30km/h dans les zones sensibles à la poussière
(routes traversant les villages).
Un changement aux intervalles recommandés de tous les éléments filtrant des véhicules et
engins (filtres à huile, à gasoil et à air) ;
Une visite technique aux intervalles recommandés des véhicules du chantier.
Pollution du sol
Pour atténuer l'impact de la pollution des sols, la mesure environnementale préconisée consiste à:
Implanter les aires de stockage sur des terrains plat afin de récupérer les eaux de
ruissellement ;
Aménager des aires de stockage des hydrocarbures et d'entretien des véhicules et engins;
Récupérer les huiles usées;
Récupérer les filtres à huile dans les récipients étanches.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 16
Décapage de la terre végétale sur toute son épaisseur et sur tous les sites à usage temporaire
(emprunt, parc à bois, carrière latéritique) et procéder à sa mise en dépôt provisoire (le
choix de ces sites de dépôt doivent respecter les distances minimales par rapport aux plan
d'eau prescrites dans les normes d'intervention en milieu forestier) ;
Stabiliser et revégétaliser les talus de remblai ;
Remettre en état les sites qui ne sont plus utilisés.
Nuisance sonore
La mesure d'atténuation de cet impact est de limiter le bruit. Pour le faire, l'entreprise devra:
Interdire l’utilisation et l’entretien du matériel bruyant pendant la nuit matériel en
particulier les tronçonneuses.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 17
Figure 4 : Carte du réseau routier de la commune de Dimako.
Destruction du couvert végétal
Limiter l'emprise de la route à 40m (4x la largeur de la chaussée) à l'exception des zones
où sont localisés les emprunts ;
Inventorier et récupérer tous les bois exploitable avant le début des travaux. La mairie pour
cela requérir l'autorisation du MINFOF conformément à la réglementation.
utiliser les techniques de coupe respectueuses de l'environnement. (Voir article 78à 82 des
Normes d'Intervention en Milieu Forestier).
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 18
Diminution des PFNL utiles aux populations
Pour atténuer l'impact de l’exploitation des PFNL sur les populations, en particulier sur les peuples
Pygmées qui prélèvent l'essentiel de leur alimentation de la forêt, l'entreprise devra:
Préserver les porte-graines lors de l'exploitation ;
Préserver les arbres supports des PFNL proches des habitations notamment lors de
l'ouverture de la voie d'accès ;
Informer les populations des arbres à abattre pour qu'elles puissent récolter les produits à
temps.
Risque d'accidents
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 19
Pour réduire les risques d’accident, il faudrait : Construire les dos d'ânes à l'entrée et à la sortie des
villages ainsi qu'à proximité des ponts;
Installer les panneaux de signalisation aux alentours des zones dangereuses (virages,
écoles, carrefours, chantiers de travaux d'entretien routier, traversée des ponts) ;
Sensibiliser les riverains et les transporteurs sur les conséquences de l'augmentation de
vitesse due à l'amélioration de l'état de la route;
Pratiquer le délainage lors de l'abattage et former les abatteurs dans la pratique de l’abattage
directionnel.
Risque de conflits
Pour atténuer l'impact de l'augmentation des conflits, il faudra :
Sensibiliser le personnel sur les traditions et coutumes des populations riveraines ;
Vérifier les dettes des employés envers les populations locales avant le payement de leurs
salaires ;
Faire un recrutement représentatif des villages de l’arrondissement de Dimako, en
particulier pour les emplois non qualifiés ;
Tenir des réunions d'information au démarrage des activités ;
Créer une plate-forme de concertation pour la résolution des problèmes ;
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 20
produits y soit entièrement consacrée (le vin de palme et de raphia). Le petit rotin (Eremospatha
macrocarpa) et le gros rotin (Laccosperma secundiflorum) constituent la matière première des
artisans qui en utilisent dans la vannerie (la fabrication des paniers, hottes), le raphia est utilisé
pour la fabrication des toits en paille, des lits et des meubles en bambou. D’autres activités
économiques sont pratiquées à moindre échelle. Néanmoins, elles participent à améliorer aussi le
bienêtre des populations. Parmi ces activités nous avons l’élevage (poulets, porcs, chèvres) et le
tourisme à travers la promotion de l’art baka dans le centre multimédia de Mayos et au siège du
projet forêts et terroirs.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 21
CHAPITRE IV: BUDGET ET RECHERCHE DES FINANCEMENTS
4.1 BUDGET
Prix Unitaire
Désignation unité/jours Quantité Prix. Total (XAF)
(XAF)
Dépense 1
Assistant 03 09 5.000 135.000
Déplacement 02 09 5.000 90.000
Nutrition 04 09 3.000 108.000
Logement 09 5.000 45.000
Imprévues 100.000 100.000
Total 1 478.000 XAF
Matériels
Téléphone androïde 02 100.000 200.000
power Bank 02 20.000 40.000
GPS 02 200.000 400.000
Piles rechargeable 02 10.000 20.000
Décamètre 02 10.000 20.000
Ruban forestier 02 10.000 20.000
Boussole de viser 02 50.000 100.000
Boussole d’orientation 02 50.000 100.000
Lime 04 1.000 4.000
Machettes 04 3.000 12.000
Sac imperméable 02 20.000 40.000
Boite à pharmacie 01 50.000 50.000
Stylo 05 300 1.500
Crayon 05 300 1.500
Gomme 05 300 1.500
Bloc note 03 2.000 6.000
Cartable 02 2.000 4.000
EPI 04 50.000 200.000
Total 2 1.220.500 XAF
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 22
4.2 RECHERCHE DES FINANCEMENTS :
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 23
CONCLUSION
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 24
BIBLIOGRAPHIE
- Loi 94/ 01 /94 portant régime des forets ; de la faune et la pêche au Cameroun
- Discision N0 535/D/MINFOF/SETAT/SG /DF/SDIAF/2019 rendant exécutoire les
procédures de vérification des inventaires d’exploitation au Cameroun.
- Les cours d‘inventaires d’exploitation forestière au Cameroun par JIOFACK maestro
- Les cours de techniques de navigations en forêt par JIOFACK maestro
- La cour des Normes d’intervention en milieux forestier
- Cour Evaluation environnemental avec le Charger de cours à l’ENEF Mr MARC Lyonga
- Cour élaboration d’un PAO plan annuel d’opération Mr NGOMA
- Moteur de recherche Google
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 25
ANNEXES
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 26
Annexe 2 : Décision rendant exécutoire les procéduires de vérification des inventaires
d’exploitation au Cameroun.
Rédigé par : FOUPAPOUOGNIGNI AMZA Élève Technicien Supérieur des Eaux et Forêt 27