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Cours :
Langue et la terminologie
M. CHERKAOUI MAJIDI
Semestre : 2
Ensemble : 1
2022-2023
Plan du cours
INTODUCTION
L’ELABORATION DU DROIT
L’ELABORATION DU DROIT
MAROCAINE
Introduction :
1 - Le domaine juridique :
2- Le domaine politique :
3- Le domaine économique :
B- la conception socialiste :
L’initiative qui vais peut-être une source aux inégalités sociales c'est
dans cette optique que l'État doit intervenir pour contrôler l'action
économique et pratique et pratiquer une politique de l'économie dirigée
3- le domaine politique :
les droits de la collectivité sont autant important que les droits des
individus qui sont qui sont eux aussi important mais doivent céder la
primauté aux droits collectifs .
A- le facteur humain :
B- le milieu géographique :
C- le milieu social :
D- Le facteur économique :
-Préambule.
I- Dispositions générales.
V- Du pouvoir exécutif.
C -le parlement :
D-La justice :
L’autonomie de la justice :
-Le conseil supérieur du pouvoir judiciaire l'article 57
-le parquet est présidé par le conseil supérieur du pouvoir judiciaire et
non le ministre de la justice.
- Définition générale :
a- le but de l'administration :
a- la constitution :
b- la loi :
c- Le règlement :
e -la doctrine :
b- un droit autoritaire :
c- un droit évolutif :
A- La centralisation :
B- La déconcentration :
C- La décentralisation :
a- la décentralisation territoriale :
Cette position est motivée par les compétences de la cour suprême, qui
se limitent aux dispositions de son statut fixé par le dahir de 27
septembre 1957, et qui détermine sa vocation de trancher les recours
contre les décisions d’une autorité administratives alors que la décision
contestée émane du roi.
B- Le gouvernement :
1- Composition :
- Le chef du gouvernement :
2-Attributions :
a-Compétences générales :
3- Les ministres :
Les magistrats ne sont pas rémunéré par les justiciables, mais par l'État
en leur qualité de fonctionnaire, cela ne signifie pas que le justiciable
n'aura rien à débourser dans le cadre d'un procès qui peut entraîner
des frais plus ou moins importants, selon l’affaire jugée, sa nature sa
complexité, ainsi aux honoraires des avocats, des huissiers de justice
des experts judiciaires…
ce principe signifie qu'une affaire peut-être jugée deux fois, que ce soit
en fait ou endroit et par deux sortes de juridiction : la juridiction du
premier degré et la juridiction du deuxième degré, pour réexaminer la
décision de la juridiction du premier degré, la personne qui n'est pas
satisfaite d'une décision rendue en premier ressort peux demander que
son affaire soit examiner à nouveau par une juridiction supérieure la
décision va donc faire l'objet d'appel , la loi prévoit les cas dans
lesquels il n'est pas possible de faire appel, premier et dernier ressort
pour des litiges à faible importance et valeur, la seule possibilité de
contestation est la cour suprême pour avoir un arrêt confirmatif ou un
arrêt infirmatif.
les débats d'un procès et les décisions doivent être public, cela signifie
que les débats en lieu publiquement et que la décision de justice est
rendue en présence du public, les portes des salles d'audience doivent
être ouvertes et accessibles à tous ,l'accès du public donne une
transparence à la justice et permet de consacrer le principe de
l'impartialité, exception faite sur des affaires que le président du tribunal
ou le président de la cour d'appel peut ordonner à un huis-clos, pour
protéger la vie privée par exemple des personnes qui sont en conflit ou
bien pour préserver certains secrets de l'Etat où l'ordre général.
E- Le principe de la collégialité :