Qatar : La FIFA devrait payer pour le mal causé aux Qatar: la FIFA debe pagar por los daños
r por los daños causados a los
travailleurs migrants
Une coalition internationale appelle à des dédommagements
financiers pour décès et vols de salaires
Des centaines de milliers de travailleurs migrants
au Qatar n’ont reçu aucun dédommagement financier ni
aucune réparation adéquate pour l’exploitation à grande
échelle dont ils ont été victimes pendant la construction et les
services d’infrastructure destinés à la Coupe du monde de la
FIFA qui débute en novembre 2022, a déclaré aujourd’hui
Human Rights Watch.
Le 19 mai, Human Rights Watch, Amnesty International,
FairSquare, et une coalition internationale d’associations de
droits des migrants, de syndicats de travailleurs, de fans de
football, de survivants d’abus et de groupes d’entreprises et
de droits ont déclaré que la Fédération Internationale de
Football Association (FIFA) et le gouvernement du Qatar
devraient réparer les graves atteintes subies par les
travailleurs depuis l’attribution de l’organisation de la Coupe
du monde en 2010. Il faut compter, au nombre de celles-ci,
des milliers de décès et de blessures inexpliqués, de vols de
salaires et des droits de recrutement exorbitants. Human
Rights Watch a lancé une campagne
internationale, #PayUpFIFA, en vue de soutenir l’appel de
cette coalition. Amnesty International diffuse un rapport,
« Predictable and preventable » (« Prévisible et évitable »),
indiquant comment la FIFA et le Qatar peuvent remédier à 12
ans de violations.
« La FIFA et le Qatar ont failli à leurs obligations envers les
travailleurs migrants qui ont été essentiels à la Coupe du
monde 2022, mais ils peuvent encore apporter des
compensations à ceux qui ont subi de graves préjudices et aux
familles du grand nombre de personnes qui ont trouvé la
mort » a affirmé Minky Worden, directrice des Initiatives
mondiales à Human Rights Watch. « La FIFA devrait
immédiatement mettre de côté les fonds nécessaires pour
apporter un dédommagement à la mesure du mal et éviter
l’humiliant héritage de la « Coupe du monde de la honte. »
Au cours des dix dernières années, des associations de droits
humains ont documenté à maintes reprises, l’exploitation
généralisée à laquelle sont confrontés les travailleurs en
raison du système de kafala (parrainage) du Qatar, qui donne
lieu au travail forcé. Cela se produit malgré les réformes au
code du travail que les autorités qataries ont promulguées au
cours des dernières années en réponse à une plainte de travail
forcé portée devant l’Organisation Internationale du Travail.
En mars encore, Human Rights Watch a documenté un vol de
salaires allant jusqu’à cinq mois, au sein d’une entreprise de
commerce et de construction qatarie éminente, relative à des
projets en lien avec la FIFA.
trabajadores inmigrantes
Una coalición internacional pide una compensación
económica por las muertes y el robo de salarios
Cientos de miles de trabajadores migrantes en Qatar no
han recibido ninguna compensación económica ni
reparación adecuada por la explotación a gran escala que
sufrieron durante la construcción y los servicios de
infraestructura para la Copa Mundial de la FIFA que
comenzará en noviembre de 2022, señaló hoy Human
Rights Watch.
El 19 de mayo, Human Rights Watch, Amnistía
Internacional, FairSquare y una coalición internacional de
grupos de derechos de los migrantes, sindicatos de
trabajadores, aficionados al fútbol, sobrevivientes de
abusos y grupos empresariales y de derechos dijeron que
la Fédération Internationale de Football Association (FIFA)
y el gobierno de Qatar deben reparar los graves abusos
sufridos por los trabajadores desde la adjudicación de la
Copa del Mundo en 2010. Entre ellas se encuentran miles
de muertes y lesiones inexplicables, robo de salarios y
tarifas de contratación exorbitantes. Human Rights Watch
ha lanzado una campaña internacional, #PayUpFIFA, para
apoyar el llamamiento de la coalición. Amnistía
Internacional publica un informe, Predictable and
Preventable, en el que expone cómo la FIFA y Qatar
pueden remediar 12 años de violaciones.
"La FIFA y Qatar han defraudado a los trabajadores
migrantes que eran esenciales para la Copa del Mundo de
2022, pero aún pueden indemnizar a los que se han visto
gravemente perjudicados y a las familias de los muchos
que han muerto", señaló Minky Worden, directora de
Iniciativas Globales de Human Rights Watch. "La FIFA
debería reservar inmediatamente los fondos necesarios
para ofrecer una compensación acorde con el daño y evitar
el humillante legado de la 'Copa Mundial de la Vergüenza'.
A lo largo de la última década, los grupos de derechos
humanos han documentado en repetidas ocasiones la
explotación generalizada a la que se enfrentan los
trabajadores bajo el sistema de kafala (patrocinio) de
Qatar, que da lugar a trabajos forzados. Esto ocurre a pesar
de las reformas del código laboral que las autoridades
qataríes han promulgado en los últimos años en respuesta
a una denuncia de trabajo forzoso presentada ante la
Organización Internacional del Trabajo. Ya en marzo,
Human Rights Watch documentó robos de salarios de
hasta cinco meses en una importante empresa qatarí de
comercio y construcción relacionada con proyectos de la
FIFA.
Lorsque des travailleurs recrutés dans des projets de
construction de stades qui font l’objet d’une surveillance
mondiale plus étroite et de normes plus contraignantes que
les autres, ne disposent pas d’une protection suffisante, il
n’est pas surprenant que les travailleurs à l’extérieur des
projets liés aux stades subissent davantage de violations. De
plus, le médiocre bilan du Qatar en matière de droits humains
suscite de vives préoccupations dans d’autres domaines,
notamment de graves restrictions de la liberté d’expression et
de réunion pacifique, des politiques officielles qui favorisent la
discrimination et la violence à l’encontre des femmes, ainsi
qu’un environnement répressif à l’encontre des résidents et
des visiteurs LGBT.
Lorsque la FIFA, organe directeur du football Mondial a
accordé au Qatar l’organisation du tournoi de 2022, elle
savait, ou aurait dû savoir, que les travailleurs migrants
employés à la construction massive des infrastructures,
seraient confrontés à de graves risques pour leurs droits
humains. Cependant, la FIFA n’a ni imposé de conditions
concernant le droit du travail, ni exercé de diligence
raisonnable concernant les droits humains, a déclaré Human
Rights Watch.
Pour Manju Devi, Népalaise âgée de 38 ans, dont le conjoint,
travailleur migrant de 40 ans, Kripal Mandal, est décédé au
Qatar en 2022, le seul « legs » de la prochaine Coupe du
monde sont les prêts en cours contractés par son conjoint
pour obtenir l’emploi qui a causé sa mort. Comme la plupart
des travailleurs au Qatar, Mandal avait emprunté de l’argent à
des taux exorbitants pour payer les frais de recrutement,
dette qui continue à s’accroître. Alors que le Qatar interdit de
faire payer des frais de recrutement et coûts associés aux
travailleurs migrants, le gouvernement applique rarement ce
règlement.
La famille de Mandal a expliqué qu’il travaillait dans le secteur
du bâtiment pour une société d’approvisionnement qui l’avait
affecté à l’aéroport et aux stades. Sa femme ne comprend
toujours pas sa mort d’une crise cardiaque. « Je ne peux pas
dire quel est la raison de ce décès » a déclaré Devi à Human
Rights Watch. « Qu’il s’agisse de la cause indiquée ou d’autre
chose, nous ne savons pas…Le soir, il parlait convenablement
et riait,… mais il est mort à environ 3 h du matin, le
lendemain. »
La famille n’a reçu aucune compensation pour son décès et
son employeur n’a même pas payé les 15 jours de salaire qui
étaient dus d’après le contrat. Devi, mère de cinq enfants,
nous a confié, « Du temps de son vivant, nous avions
l’assurance qu’il y avait un gagne-pain. Maintenant, depuis sa
mort, nous avons perdu notre gagne-pain. La situation est très
difficile. »
« La réforme des droits des travailleurs au Qatar adoptée très
tard durant la préparation de la Coupe du monde, est
Cuando los trabajadores contratados en los proyectos de
construcción de estadios, que están sujetos a un mayor
escrutinio global y a normas más estrictas que otros, no
cuentan con la suficiente protección, no es de extrañar que
los trabajadores ajenos a los proyectos de estadios sufran
más violaciones. Además, el deficiente historial de
derechos humanos de Qatar suscita graves preocupaciones
en otros ámbitos, como las graves restricciones a la
libertad de expresión y de reunión pacífica, las políticas
oficiales que promueven la discriminación y la violencia
contra las mujeres, y un entorno represivo contra los
residentes y visitantes LGBT.
Cuando la FIFA, el organismo rector del fútbol mundial,
adjudicó el torneo de 2022 a Qatar, sabía, o debería haber
sabido, que los trabajadores migrantes empleados en la
construcción masiva de la infraestructura se enfrentarían a
graves riesgos en materia de derechos humanos. Sin
embargo, la FIFA no impuso los requisitos de la legislación
laboral ni llevó a cabo la debida diligencia en materia de
derechos humanos, señaló Human Rights Watch.
Para Manju Devi, una mujer nepalesa de 38 años cuyo
cónyuge, Kripal Mandal, trabajador migrante de 40 años,
murió en Qatar en 2022, el único "legado" de la próxima
Copa del Mundo son los préstamos pendientes que su
cónyuge pidió para asegurarse el trabajo que le causó la
muerte. Como la mayoría de los trabajadores de Qatar,
Mandal había pedido dinero prestado a tasas exorbitantes
para pagar las tasas de contratación, una deuda que sigue
creciendo. Aunque Qatar prohíbe cobrar tasas de
contratación y costes asociados a los trabajadores
inmigrantes, el gobierno rara vez hace cumplir esta norma.
La familia de Mandal explicó que trabajaba en el sector de
la construcción para una empresa de suministros que le
asignó el aeropuerto y los estadios. Su esposa aún no
entiende que haya muerto de un ataque al corazón. "No
puedo decir cuál es el motivo de su muerte", dijo Devi a
Human Rights Watch. "Si era la causa expuesta o algo más,
no lo sabemos... Por la noche hablaba correctamente y se
reía,... pero murió a eso de las 3 de la mañana del día
siguiente".
La familia no recibió ninguna indemnización por su muerte
y su empleador ni siquiera pagó los 15 días de salario que
le correspondían según el contrato. Devi, madre de cinco
hijos, nos dijo: "Cuando estaba vivo, teníamos la seguridad
de que había un sustento. Ahora, desde su muerte, hemos
perdido nuestro sustento. La situación es muy difícil.
"La reforma de los derechos de los trabajadores en Qatar,
adoptada muy tarde en vísperas de la Copa del Mundo, es
nettement insuffisante et mal appliquée » a déclaré Minky
Worden. « De très nombreux travailleurs migrants sont
décédés en raison de l’absence de cadre de droits humains au
Qatar qui aurait protégé les travailleurs et leur aurait permis
de signaler des conditions de travail dangereuses, le non-
paiement de salaires et le travail forcé. La mort de travailleurs
n’est pas nécessaire au déroulement de la Coupe du monde ni
d’aucune manifestation sportive mondiale. »
La FIFA a adopté en 2016 les Principes de base des Nations
Unies pour le commerce et les droits humains et a inscrit sa
responsabilité de respecter les droits humains dans les statuts
de la FIFA. Elle a aussi institué un Conseil consultatif
indépendant des droits humains, employé du personnel
chargé des droits humains et établi un mécanisme de dépôt
de plaintes destiné aux défenseurs de droits humains. En
2017, la FIFA a adopté une politique de droits humains
énonçant que les engagements aux droits humains sont
obligatoires pour tous les organismes et responsables de la
FIFA.
Malgré cette évolution positive, il reste encore à la FIFA à
apporter des réparations aux travailleurs migrants qui ont
souffert de graves violations ou à leur famille. Elle est donc
responsable envers les travailleurs directement employés
dans les projets de la Coupe du monde et ceux qui ont
construit et fourni des services à un plus large éventail de
projets concernant la préparation et le déroulement de
tournois, dont le transport, le logement, la sécurité et le
nettoyage, entre autres.
La FIFA se doit de travailler avec les autorités qataries au cours
des six mois précédant la Coupe du monde de 2022 en vue
d’établir un large programme de dédommagement des
violations subies par les travailleurs migrants. Human Rights
Watch, Amnesty International, Fair Square et les autres
membres de la coalition ont déclaré que la FIFA devait mettre
de côté au moins 440 millions de dollars, soit l’équivalent du
montant des prix attribués aux équipes de la coupe du monde
de 2022, pour investir dans des fonds destinés à compenser
les travailleurs et à améliorer leur protection.
Le programme de compensation doit être régi de manière
participative après consultation des parties prenantes,
notamment les travailleurs migrants, les membres survivants
de leur famille et les syndicats. Il doit être facilement
accessible aux travailleurs et à leur famille, dont beaucoup ne
sont plus au Qatar. Il doit aussi apporter une solution rapide à
un large éventail de violations laissés de côté depuis 2010.
Les joueurs, les supporters de football, les commanditaires de
la FIFA, les associations de football nationales et d’autres
peuvent jouer un rôle important pour assurer une
contribution positive de cette Coupe du monde en appelant à
sumamente inadecuada y está mal aplicada", afirmó Minky
Worden. "Muchos, muchos trabajadores migrantes han
muerto por la falta de un marco de derechos humanos en
Qatar que hubiera protegido a los trabajadores y les
hubiera permitido denunciar las condiciones de trabajo
inseguras, el impago de los salarios y el trabajo forzoso. Las
muertes de los trabajadores no son necesarias para la Copa
del Mundo ni para ningún evento deportivo mundial".
La FIFA adoptó los Principios Básicos sobre las Empresas y
los Derechos Humanos de la ONU en 2016 y consagró su
responsabilidad de respetar los derechos humanos en los
Estatutos de la FIFA. También creó un Consejo Asesor de
Derechos Humanos independiente, empleó a personal de
derechos humanos y estableció un mecanismo de
denuncia para los defensores de los derechos humanos. En
2017, la FIFA adoptó una política de derechos humanos
que establece que los compromisos en materia de
derechos humanos son obligatorios para todos los órganos
y funcionarios de la FIFA.
A pesar de estos avances positivos, la FIFA aún no ha
ofrecido reparación a los trabajadores migrantes que han
sufrido graves violaciones ni a sus familias. Por lo tanto, es
responsable de los trabajadores empleados directamente
en los proyectos de la Copa del Mundo y de los que han
construido y prestado servicios a una gama más amplia de
proyectos relacionados con la preparación y la celebración
de los torneos, como el transporte, el alojamiento, la
seguridad y la limpieza, entre otros.
La FIFA debe trabajar con las autoridades qataríes en los
seis meses previos a la Copa del Mundo de 2022 para
establecer un amplio paquete de compensaciones por las
violaciones sufridas con los trabajadores migrantes. Human
Rights Watch, Amnistía Internacional, Fair Square y otros
miembros de la coalición afirmaron que la FIFA debería
reservar al menos 440 millones de dólares, el equivalente
al importe de los premios concedidos a los equipos de la
Copa del Mundo de 2022, para invertirlos en fondos
destinados a compensar a los trabajadores y mejorar su
protección.
El programa de indemnizaciones debe regirse de forma
participativa tras consultar a las partes interesadas,
incluidos los trabajadores migrantes, los familiares
supervivientes y los sindicatos. Debe ser fácilmente
accesible para los trabajadores y sus familias, muchos de
los cuales ya no están en Qatar. También debe dar una
solución rápida a un amplio abanico de violaciones que han
quedado sin resolver desde 2010.
Los jugadores, los aficionados al fútbol, los patrocinadores
de la FIFA, las asociaciones nacionales de fútbol y otros
pueden desempeñar un papel importante para garantizar
una contribución positiva de esta Copa del Mundo
un soutien en faveur d’un fond de compensation destiné à
remédier aux préjudices subis par les travailleurs migrants, a
déclaré Human Rights Watch.
« La mort des travailleurs migrants au Qatar a eu des
conséquences extrêmement négatives sur les plans
émotionnel et financier pour leur famille » a affirmé Minky
Worden. « La FIFA, conformément à ses engagements en
matière de droits humains et le Qatar, conformément à ses
obligations, doivent fournir une compensation financière aux
travailleurs migrants ayant subi des préjudices en construisant
la Coupe du monde afin d’apporter une aide financière à leur
famille en difficulté. »
https://www.hrw.org/fr/news/2022/05/18/qatar-la-fifa-devrait-payer-pour-le-mal-cause-aux-
travailleurs-migrants
pidiendo apoyo para un fondo de compensación que
aborde los daños sufridos por los trabajadores migrantes,
señaló Human Rights Watch.
"Las muertes de los trabajadores migrantes en Qatar han
tenido consecuencias emocionales y financieras
extremadamente negativas para sus familias", dijo Minky
Worden. "La FIFA, de acuerdo con sus compromisos en
materia de derechos humanos, y Qatar, de acuerdo con sus
obligaciones, deben proporcionar una compensación
económica a los trabajadores migrantes que se han visto
perjudicados por la construcción de la Copa del Mundo,
con el fin de proporcionar ayuda económica a sus familias
en apuros."
Coupe du monde 2022 au Qatar : Les familles des travailleurs
migrants décédés demandent une enquête sur les "décès dus
à la chaleur"
La façon dont le Qatar classe les décès parmi les travailleurs
migrants peut masquer le nombre réel de personnes qui
meurent d'une exposition à des températures élevées, selon
de nouveaux témoignages compilés par BBC News Arabic.
Les travailleurs migrants et leurs familles ont appelé les États
du Golfe et les gouvernements des pays auxquels ils
appartiennent à mener des enquêtes plus approfondies pour
faire la lumière les décès de travailleurs soupçonnés d'être
morts à la suite d'une exposition à des températures très
élevées ou à la suite d'"insolation".
Malgré le manque de données suffisantes, on estime que le
nombre de travailleurs migrants d'Asie du Sud et du Sud-Est
qui meurent chaque année aux Émirats arabes unis, en Arabie
saoudite, au Qatar, à Oman et à Bahreïn est d'environ 10 000
personnes par an, selon Fairsquare Projects, une organisation
de défense des droits de l'homme basée à Londres.
Elle examine les conditions des travailleurs expatriés dans les
pays du Conseil de coopération du Golfe.
Au cours des quinze dernières années, plus de 2 000
travailleurs népalais sont morts rien qu'au Qatar.
Une étude internationale récente a révélé que la cause du
décès dans 517 cas survenus au cours des huit dernières
années était une maladie cardiaque, peut-être à la suite d'un
stress thermique - une cause évitable.
La BBC a demandé au gouvernement qatari de répondre aux
allégations selon lesquelles il n'aurait pas signalé de décès dus
à la chaleur et que la façon dont le Qatar classe les décès de
travailleurs migrants pourrait masquer le nombre de
personnes décédées des suites d'une exposition à la chaleur.
Mais nous n'avons pas reçu de réponse de leur part.
Le gouvernement des Émirats arabes unis a affirmé dans une
déclaration récente qu'il avait ratifié neuf pactes de l'OIT
concernant les droits des travailleurs migrants.
Il a également confirmé qu'il interdisait le travail entre 12 h 30
et 15 heures pendant la saison estivale, et a également
indiqué qu'il faisait de la fourniture d'eau potable une
condition contraignante, et avait ouvert une permanence
téléphonique pour les travailleurs leur permettant de porter
plainte et de dénoncer les employeurs qui ont violé la
recommandation.
Le gouvernement des Émirats arabes unis insiste sur le fait
qu'il est déterminé à aller de l'avant avec l'amélioration des
conditions de travail.
Les familles des travailleurs décédés affirment que le manque
Copa del Mundo de Qatar 2022: Las familias de los
trabajadores inmigrantes muertos piden una
investigación sobre las "muertes por calor
El modo en que Qatar clasifica las muertes de los
trabajadores inmigrantes puede estar ocultando el
número real de personas que mueren por la exposición a
las altas temperaturas, según nuevos datos recopilados
por BBC News Arabic.
Los trabajadores migrantes y sus familias han pedido a los
Estados del Golfo y a los gobiernos de los países a los que
pertenecen que lleven a cabo nuevas investigaciones para
esclarecer las muertes de los trabajadores que se sospecha
que han fallecido como consecuencia de la exposición a
temperaturas muy altas o como resultado de una
"insolación".
A pesar de la falta de datos suficientes, se calcula que el
número de trabajadores inmigrantes del sur y el sureste de
Asia que mueren cada año en los Emiratos Árabes Unidos,
Arabia Saudí, Qatar, Omán y Bahréin es de unos 10.000 al
año, según Fairsquare Projects, una organización de
derechos humanos con sede en Londres.
Esta examina las condiciones de los trabajadores
expatriados en los países del Consejo de Cooperación del
Golfo.
En los últimos 15 años, más de 2.000 trabajadores nepalíes
han muerto sólo en Qatar.
Un reciente estudio internacional ha revelado que la causa
de la muerte en 517 casos de los últimos ocho años fue
una enfermedad cardíaca, posiblemente como resultado
del estrés térmico, una causa prevenible.
La BBC ha pedido al gobierno qatarí que responda a las
acusaciones de que no ha informado de las muertes
relacionadas con el calor y de que la forma en que Qatar
clasifica las muertes de los trabajadores inmigrantes puede
estar ocultando el número de personas que han muerto
por exposición al calor. Pero no hemos recibido respuesta
de ellos.
El gobierno de los Emiratos Árabes Unidos afirmó en una
reciente declaración que había ratificado nueve convenios
de la OIT sobre los derechos de los trabajadores migrantes.
También confirmó que prohíbe el trabajo entre las 12:30 y
las 15:00 horas durante la temporada de verano, y también
indicó que pone como condición obligatoria el suministro
de agua potable, y ha abierto una línea telefónica para que
los trabajadores puedan presentar quejas y denunciar a los
empresarios que hayan incumplido la recomendación.
El gobierno de los Emiratos Árabes Unidos insiste en que se
ha comprometido a avanzar en la mejora de las
condiciones de trabajo.
Las familias de los trabajadores fallecidos afirman que la
d'informations sur les circonstances du décès de leurs proches
empêche toute enquête sur la possibilité que de mauvaises
conditions de travail ou une négligence aient pu jouer un rôle
dans leur décès.
Aucune des familles des travailleurs décédés dans les pays du
Golfe, avec qui la BBC s'est entretenue, n'a reçu de
compensation de la part du gouvernement qatari, ce qui les a
affectées financièrement et psychologiquement.
"Il nous est revenu dans une boîte"
Le mari de Sita, Dan, a quitté le Népal il y a sept ans pour
travailler en Arabie saoudite puis au Qatar, installant des
portes et des fenêtres sur des chantiers de construction.
"Il transpirait constamment et avait des saignements de nez à
cause de la chaleur", raconte Sita. "Ses amis l'ont trouvé se
tordant de douleur, alors ils l'ont emmené à l'hôpital, mais il
est mort en chemin."
Le certificat de décès délivré à Dan indiquait que la cause du
décès était un "arrêt cardiaque". Mais le Dr Ratna, cardiologue
à l'hôpital universitaire de Tribhuvan à Katmandou, au Népal,
a déclaré à la BBC : "dans les jours qui ont précédé la mort de
Dan Bahadur, les températures étaient bien supérieures à
40°C."
Il poursuit en disant : "chaque ouvrier expatrié qui travaille
constamment à des températures supérieures à 40 degrés
Celsius et jusqu'à la fatigue est exposé à une forte probabilité
de mourir subitement. Le certificat de décès de Dan Bahadur
indique qu'il est décédé des suites d'un 'arrêt cardiaque', mais
tous les êtres humains meurent à la suite d'un arrêt
cardiaque".
La famille de Dan cherche toujours des réponses sur la cause
de sa mort subite, et son père, Badam, a confié à la BBC : "il
nous est revenu dans une boîte, dans une boîte blanche. Je ne
comprends pas ce qui s'est passé."
"Le travail en été est interdit"
Le Qatar fait l'objet d'une surveillance étroite quant au
traitement qu'il réserve aux travailleurs migrants depuis qu'il a
été choisi pour organiser la Coupe du monde de football 2022.
En 2014, un rapport du cabinet d'avocats DLA Piper
International, qui représente le gouvernement qatari,
recommandait "fortement" que Doha enquête sur les décès
de travailleurs migrants par arrêt cardiaque.
Il est à noter que le gouvernement qatari a mis en place,
depuis 2017, des mesures qui empêcheraient l'emploi des
travailleurs migrants à des températures très élevées,
limiteraient leurs heures de travail et amélioreraient les
conditions de vie dans leurs camps d'hébergement.
Cependant, Amnesty International affirme que Doha n'a pas
encore amélioré "les procédures d'enquête sur les décès de
travailleurs migrants, déterminé et traité les véritables
causes".
falta de información sobre las circunstancias de la muerte
de sus seres queridos impide que se investigue la
posibilidad de que las malas condiciones de trabajo o la
negligencia hayan influido en su muerte.
Ninguna de las familias de los trabajadores fallecidos en los
países del Golfo, con las que ha hablado la BBC, ha recibido
compensación del gobierno qatarí, lo que les ha afectado
económica y psicológicamente.
"Volvió a nosotros en una caja" ATAÚD
El marido de Sita, Dan, dejó Nepal hace siete años para
trabajar en Arabia Saudí y luego en Qatar, instalando
puertas y ventanas en obras de construcción.
"Sudaba constantemente y le sangraba la nariz por el
calor", dice Sita. "Sus amigos lo encontraron retorciéndose
de dolor, así que lo llevaron al hospital, pero murió en el
camino".
El certificado de defunción expedido a Dan indicaba que la
causa de la muerte era un "paro cardíaco". Sin embargo, la
doctora Ratna, cardióloga del Hospital Universitario
Tribhuvan de Katmandú (Nepal), declaró a la BBC que "en
los días previos a la muerte de Dan Bahadur, las
temperaturas superaban ampliamente los 40 grados
centígrados".
Continuó diciendo que "todo trabajador expatriado que
trabaje constantemente a temperaturas superiores a los 40
grados centígrados y hasta la fatiga está expuesto a una
alta probabilidad de muerte súbita. El certificado de
defunción de Dan Bahadur dice que murió de "paro
cardíaco", pero todos los seres humanos mueren de paro
cardíaco.
La familia de Dan sigue buscando respuestas sobre la causa
de su repentina muerte, y su padre, Badam, declaró a la
BBC: "Volvió a nosotros en una caja, en una caja blanca. No
entiendo qué ha pasado".
"El trabajo de verano está prohibido"
Qatar ha sido objeto de un minucioso escrutinio por el
trato que da a los trabajadores inmigrantes desde que fue
elegido como sede de la Copa Mundial de Fútbol de 2022.
En 2014, un informe del bufete de abogados DLA Piper
International, que representa al gobierno qatarí,
recomendó "encarecidamente" a Doha que investigara las
muertes de trabajadores migrantes por paro cardíaco.
Cabe destacar que el gobierno qatarí ha puesto en marcha
desde 2017 medidas para evitar que los trabajadores
migrantes sean empleados a temperaturas muy altas,
limitar su jornada laboral y mejorar las condiciones de sus
campamentos de alojamiento.
Sin embargo, Amnistía Internacional afirma que Doha
todavía tiene que mejorar "los procedimientos para
investigar las muertes de los trabajadores migrantes,
determinar y abordar las causas reales".
Mohammed Al-Obaidli, un responsable du ministère qatarien
du travail, qui est responsable des travailleurs migrants, a
indiqué à la BBC : "travailler pendant la saison estivale est
totalement interdit. Je dois le souligner à plusieurs reprises. La
mort d'un travailleur est un grand problème pour nous. En fin
de compte, la vie humaine est extrêmement importante et
c'est la responsabilité de l'État".
Il a précisé: "s'il est prouvé que la véritable cause du décès
était l'exposition au soleil et le travail au soleil pendant la
saison estivale, l'entreprise sera punie et contrainte à
indemniser la famille du travailleur."
On sait que les températures dans la région du Golfe
atteignent régulièrement 50 degrés Celsius et augmentent
actuellement deux fois la moyenne mondiale en raison du
changement climatique.
Les États du Golfe accueillent plus de 14 millions de
travailleurs migrants.
https://www.bbc.com/afrique/monde-61758958
Mohammed Al-Obaidli, funcionario del Ministerio de
Trabajo de Qatar, responsable de los trabajadores
inmigrantes, declaró a la BBC: "Trabajar durante la
temporada de verano está totalmente prohibido. Tengo
que subrayar esto repetidamente. La muerte de un
trabajador es un gran problema para nosotros. A fin de
cuentas, la vida humana es sumamente importante y es
responsabilidad del Estado.
Aclaró que "si se demuestra que la verdadera causa de la
muerte fue la exposición al sol y el trabajo bajo el sol
durante la temporada de verano, la empresa será
sancionada y obligada a indemnizar a la familia del
trabajador."
Se sabe que las temperaturas en la región del Golfo
alcanzan regularmente los 50 grados centígrados y que
actualmente están aumentando al doble de la media
mundial debido al cambio climático.
Los Estados del Golfo albergan a más de 14 millones de
trabajadores inmigrantes.
Football : selon «The Guardian», 6 500 ouvriers sont morts
sur les chantiers du Mondial 2022
Depuis l'attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar
en 2010, 6500 travailleurs migrants seraient décédés sur les
nombreux chantiers de construction rapporte le journal
britannique The Guardian.
Le chiffre a de quoi interpeller les acteurs du monde du
football et la FIFA en particulier. Selon le journal
britannique The Guardian, plus de 6 500 ouvriers originaires
d'Inde, du Pakistan, du Népal, du Bangladesh et du Sri Lanka
seraient décédés au Qatar depuis que ce petit État du Golfe
a obtenu l'organisation de la Coupe du monde 2022, il y a dix
ans.
Douze ouvriers morts chaque semaine ?
Pour déterminer ce chiffre de douze ouvriers morts par
semaine, The Guardian s’appuie sur les statistiques
données des gouvernements de ces pays, principaux
fournisseurs de la main-d' œuvre au Qatar. Et le nombre
total de décès serait sous-évalué car les données d'autres
pays, dont les Philippines ou le Kenya, qui comptent de
nombreux ressortissants travaillant au Qatar, n'ont pas été
recueillies.
Depuis 2010, le Qatar s’est lancé dans un programme de
construction gigantesque avec des routes, aéroports,
transport public, hôtels et stades pour accueillir le Mondial
2022. The Guardian estime « probable » que la majorité de
ces décès soit lié à ces chantiers.
« Le taux de mortalité au sein de ces communautés se situe
dans la fourchette prévue pour la taille et la démographie de
la population. Cependant, chaque perte de vie est une
tragédie, et aucun effort n'est épargné pour tenter d'éviter
chaque décès dans notre pays », a déclaré le porte-parole du
gouvernement au Qatar.
Seuls 37 ouvriers parmi les 6 500 seraient décédés sur les
chantiers des stades de la Coupe du monde. Dont 34 ne sont
pas considérés comme des accidents du travail par le comité
d'organisation local. Des chiffres remis en cause par
plusieurs experts. « Il y a un réel manque de clarté et de
transparence autour de ces décès », a estimé Amnesty
International.
Selon une recherche commandée par l’Organisation
internationale du travail des Nations Unies, les travailleurs
sont confrontés à un stress thermique important lorsqu'ils
travaillent à l’extérieur au moins quatre mois dans l’année.
La FIFA minimise
« Derrière les statistiques se cachent d'innombrables
histoires de familles dévastées qui se sont retrouvées sans
leur principal soutien de famille, luttant pour obtenir une
indemnisation et confuses quant aux circonstances du décès
Fútbol: según "The Guardian", 6.500 trabajadores
murieron en las obras del Mundial 2022
Desde que la Copa del Mundo de 2022 se adjudicó a
Qatar en 2010, 6.500 trabajadores inmigrantes han
muerto en las numerosas obras, informa el periódico
británico The Guardian.
La cifra es motivo de preocupación para el mundo del
fútbol y la FIFA en particular. Según el periódico británico
The Guardian, más de 6.500 trabajadores de India,
Pakistán, Nepal, Bangladesh y Sri Lanka han muerto en
Qatar desde que el pequeño Estado del Golfo recibió la
adjudicación de la Copa del Mundo de 2022 hace diez
años.
¿Doce trabajadores muertos a la semana?
Para determinar esta cifra de doce trabajadores muertos
por semana, The Guardian se basa en las estadísticas
facilitadas por los gobiernos de estos países, principales
proveedores de mano de obra a Qatar. Y el número total
de muertes estaría subestimado porque no se recogieron
datos de otros países, como Filipinas o Kenia, que tienen
muchos nacionales trabajando en Qatar.
Desde 2010, Qatar se ha embarcado en un enorme
programa de construcción de carreteras, aeropuertos,
transporte público, hoteles y estadios para acoger la Copa
del Mundo de 2022. The Guardian considera "probable"
que la mayoría de estas muertes estén relacionadas con la
construcción.
"La tasa de mortalidad en estas comunidades está dentro
de lo esperado para el tamaño y la demografía de la
población. Sin embargo, cada pérdida de vidas es una
tragedia, y no se escatiman esfuerzos para tratar de evitar
cada muerte en nuestro país", dijo el portavoz del gobierno
de Qatar.
Se cree que sólo 37 de los 6.500 trabajadores han muerto
en las obras de construcción de los estadios de la Copa del
Mundo. De ellos, 34 no son considerados como accidentes
de trabajo por el comité organizador local. Varios expertos
cuestionan estas cifras. "Hay una verdadera falta de
claridad y transparencia en torno a estas muertes", dijo
Amnistía Internacional.
Según una investigación encargada por la Organización
Internacional del Trabajo de las Naciones Unidas, los
trabajadores se enfrentan a un importante estrés térmico
cuando trabajan al aire libre durante al menos cuatro
meses al año.
La FIFA le resta importancia:
"Detrás de las estadísticas hay innumerables historias de
familias devastadas que se han quedado sin su principal
sustento, luchando por conseguir una indemnización y
confundidas sobre las circunstancias de la muerte de su ser
de leur proche », écrit le journal.
La FIFA a répondu en rappelant « les mesures de santé et de
sécurité très strictes » mises en place sur les sites. L'instance
du football mondial assure égalemnt que « la fréquence des
accidents sur les chantiers de la Coupe du monde de la FIFA
a été faible par rapport à d'autres grands projets de
construction dans le monde ».
Au Qatar, 69% des morts de migrants indiens, népalais ou
bengalis sont classées comme naturelles par les instances du
pays. Un taux qui grimpe à 80% pour les Indiens seuls, pour
qui il est régulièrement fait état « d’insuffisance cardiaque
ou respiratoire aiguë ». Au total, deux millions de migrants
seraient venus travailler au Qatar, sur les différents chantiers
de la Coupe du monde.
Depuis l’attribution du Mondial 2022, le Qatar, fait l’objet de
plusieurs polémiques dont des soupçons de pots-de-vin
quant à l’attribution de la compétition. En janvier 2021,
l'association anticorruption Anticor s'est constituée partie
civile dans l'enquête portant sur les conditions d'attribution
de la Coupe du monde 2022 et sur le rôle qu’aurait pu jouer
le Français Michel Platini.
https://www.rfi.fr/fr/sports/20210224-football-selon-the-guardian-6-500-ouvriers-sont-morts-
sur-les-chantiers-du-mondial-2022
querido", escribe el periódico.
La FIFA respondió señalando las "muy estrictas medidas de
salud y seguridad" aplicadas en las instalaciones. El
organismo futbolístico mundial también afirma que "la
frecuencia de los accidentes en las obras de la Copa
Mundial de la FIFA ha sido baja en comparación con otros
grandes proyectos de construcción en todo el mundo".
En Qatar, el 69% de las muertes de inmigrantes indios,
nepaleses o bengalíes son clasificadas como naturales por
las autoridades del país. Esta tasa se eleva al 80% sólo en el
caso de los indios, para los que se informa regularmente de
"insuficiencia cardíaca o respiratoria aguda". En total, dos
millones de emigrantes habrían venido a trabajar a Qatar,
en las distintas obras de la Copa del Mundo.
Desde la adjudicación de la Copa del Mundo de 2022,
Qatar ha sido objeto de varias polémicas, incluidas las
sospechas de sobornos en relación con la adjudicación de
la competición. En enero de 2021, la asociación
anticorrupción Anticor presentó una demanda civil en el
marco de la investigación sobre las condiciones en las que
se adjudicó el Mundial de 2022 y el papel que pudo
desempeñar el francés Michel Platini.
Buenas noches, yo voy a hablar sobre la muerte de los
trabajadores en las obras del Mundial 2022. Yo revisé tres
textos para mi presentación: El primer que se titula: Qatar,
La FIFA devrait payer pour le mal causé aux travailleurs
migrants, este es un texto de la web de Human Rights
Watch, una ONG que vela por los derechos humanos, luego
revisé un texto de la BBC que se titula: Coupe du monde
2022 au Qatar : Les familles des travailleurs migrants
décédés demandent une enquête sur les "décès dus à la
chaleur", por último revisé un artículo de RFI que se titula:
Football : selon «The Guardian», 6 500 ouvriers sont morts
sur les chantiers du Mondial 2022.
La muerte de los trabajadores en las obras del Mundial
2022
Para la construcción del estadio donde se va a llevar a cabo
el mundial en Catar, más otras construcciones como hoteles,
restaurantes y tiendas diversas para los visitantes, se
contrató a muchos trabajadores migrantes. Se sabe que el
clima de Catar es muy caluroso y los trabajadores de
construcción trabajan por largas horas en el sol. La FIFA
como organismo rector del fútbol mundial no había previsto
que los trabajadores migrantes empleados en la
construcción masiva de la infraestructura se enfrentarían a
graves riesgos en materia de derechos humanos. En este
sentido, la FIFA no impuso los requisitos de la legislación
laboral ni llevó a cabo la debida diligencia en materia de
derechos humanos. Muchos trabajadores murieron y
realmente no se conoce la causa, es más se oculta la
verdadera cifra de muertos. Esto es lo que ha encontrado el
diario británico the Guardian junto a muchas ONG que
luchan por los derechos humanos.
Como consecuencia de este trabajo que no cumpla con las
condiciones necesarias para mantener una salud óptima, se
halló también que a las familias de las víctimas no se les ha
remunerado como debe ser, sino que solo se les ha
regresado a su familiar en un ataúd sin explicarles la
verdadera causa de fallecimiento. El gobierno de Catar
declaró que muchas de las muertes son debidas a un paro
cardíaco, pero las investigaciones de diversas fuentes
concluyen que se trata de insolación y estrés térmico.
Como conclusión, este tema todavía no ha sido resuelto por
la FIFA, pues se quiere deslindar de toda responsabilidad y el
gobierno de Catar no comunica las verdaderas razones del
fallecimiento de tantos trabajadores ni les paga a las
familias. Lo que podría haber hecho, a modo de consejo, es
brindarlos a estos trabajadores un marco de derechos
Bonsoir, je vais vous parler de la mort d'ouvriers sur le
chantier de la Coupe du monde 2022. J'ai analysé trois
textes pour ma présentation : Le premier qui a pour titre :
Qatar, La FIFA devrait payer pour le mal causé aux
travailleurs migrants, c'est un texte du site de Human
Rights Watch, une ONG qui veille sur les droits de
l'homme, ensuite j'ai revu un texte de la BBC qui a pour
titre : Coupe du monde 2022 au Qatar : Les familles des
travailleurs migrants décédés demandent une enquête sur
les "décès dus à la chaleur", enfin j'ai revu un article de RFI
qui a pour titre : Football : selon «The Guardian», 6 500
ouvriers sont morts sur les chantiers du Mondial 2022.
La mort de travailleurs sur le chantier de la Coupe du
monde au Qatar :
Pour la construction du stade où se déroulera la Coupe du
monde au Qatar, ainsi que d'autres constructions telles que
des hôtels, des restaurants et divers établissements destinés
aux visiteurs, de nombreux travailleurs migrants ont été
recrutés. Le climat du Qatar est connu pour être très chaud
et les travailleurs de la construction passent de nombreuses
heures au soleil. La FIFA, en tant que principale instance
dirigeante du football mondial, n'avait pas prévu que les
travailleurs migrants employés dans la construction massive
de l'infrastructure seraient exposés à de graves risques en
matière de droits de l'homme. Dans ce contexte, la FIFA n'a
pas appliqué les exigences du droit du travail et n'a pas
effectué de contrôle préalable en matière de droits de
l'homme. De nombreux travailleurs sont morts et la cause
n'est pas vraiment connue, en effet le véritable chiffre des
morts est caché. C'est ce qu'a constaté le journal britannique
The Guardian ainsi que de nombreuses ONG de défense des
droits de l'homme.
En conséquence de ce travail insuffisant, il a également été
constaté que les familles des victimes n'ont pas été payées
comme elles auraient dû l'être, et se sont vu retourner leur
membre de la famille dans un cercueil sans explication sur la
cause réelle du décès. Le gouvernement qatari a déclaré que
de nombreux décès sont provoqués par des arrêts
cardiaques, mais des enquêtes menées par diverses sources
concluent qu'il s'agit de coups de chaleur et de stress
thermique.
En conclusion, cette problématique n'a pas encore été
résolue par la FIFA, car elle veut se décharger de toute
responsabilité et le gouvernement qatari ne communique
pas les véritables raisons de la mort de tant de travailleurs et
ne paie pas les familles. Ce qu'elle aurait pu faire, en tant
que conseil, c'est fournir à ces travailleurs un cadre de droits
humanos en Qatar que los hubiera protegido y les hubiera
permitido denunciar las condiciones de trabajo inseguras, el
impago de los salarios y el trabajo forzoso. Las muertes de
los trabajadores no son necesarias para la Copa del Mundo
ni para ningún evento deportivo mundial.
Ninguna de las familias de los trabajadores fallecidos ha
recibido compensación del gobierno qatarí, lo que les ha
afectado económica y psicológicamente. Hay que apoyar a
estas familias para que vuelvan a tener algún sustento.
de l'homme au Qatar qui les aurait protégés et leur aurait
permis de dénoncer les conditions de travail dangereuses, le
non-paiement des salaires et le travail forcé. La mort des
travailleurs n'est pas nécessaire pour la Coupe du monde ou
tout autre événement sportif mondial.
Aucune des familles des travailleurs décédés n'a reçu
d'indemnisation du gouvernement qatari, ce qui les a
affectées sur le plan économique et psychologique. Donc,
ces familles doivent être soutenues pour retrouver des
moyens de subsistance.

Los tres documentos argumentan que el gobierno de Catar y
la FIFA no están protegiendo los derechos de los
trabajadores, pues hay muchas muertes y no se sabe
realmente la razón de estas muertes. Se dice que mueren de
un paro cardíaco, pero eso es algo común, lo que estos
artículos plantean es que se trata de muertes por insolación
y estrés término, pues estos trabajadores pasan muchas
horas en el sol y no trabajan en buenas condiciones, incluso
los campamentos de descanso son pequeños y todos viven
haciendo en cuartos. Se pide que se brinde una razón valida
de muerte para las familias, pues se han visto afectadas
tanto psicológica como económicamente.
Les trois articles indiquent que le gouvernement du Qatar
et la FIFA ne protègent pas les droits des travailleurs, car il
y a de nombreux décès et la raison de ces décès n'est pas
vraiment connue. Il est dit qu'ils sont morts d'un arrêt
cardiaque, mais cela est commun, mais ce que ces articles
précisent, c'est qu'il s'agit de décès par coup de chaleur et
stress thermique, car ces travailleurs passent de
nombreuses heures au soleil et ne travaillent pas dans de
bonnes conditions, même les camps de repos sont petits et
ils vivent tous dans une chambre. Il est demandé qu'une
raison valable du décès soit fournie aux familles, car elles
ont été affectées sur le plan psychologique et économique.

J'ai posé une question : Quel est le problème des conditions de travail des ouvriers au Qatar ?
Pourquoi tant d'ouvriers sont morts au Qatar ?

Tous les articles indiquent que la FIFA et le gouvernement qatari n'ont pas fourni de bonnes
conditions de travail et que le véritable bilan des décès devrait être rendu public ainsi que la
cause de ces décès. En outre, les familles doivent être aidées tant sur le plan psychologique
que sur le plan économique.
Los tres documentos argumentan que el gobierno de Catar y la FIFA no están protegiendo los
derechos de los trabajadores, pues hay muchas muertes y no se sabe realmente la razón de
estas muertes. Se dice que mueren de un paro cardíaco, pero eso es algo común, lo que estos
artículos plantean es que se trata de muertes por insolación y estrés término, pues estos
trabajadores pasan muchas horas en el sol y no trabajan en buenas condiciones, incluso los
campamentos de descanso son pequeños y todos viven haciendo en cuartos. Se pide que se
brinde una razón valida de muerte para las familias, pues se han visto afectadas tanto
psicológica como económicamente.

Les trois articles indiquent que le gouvernement du Qatar et la FIFA ne protègent pas les droits
des travailleurs, car il y a de nombreux décès et la raison de ces décès n'est pas vraiment
connue. Il est dit qu'ils sont morts d'un arrêt cardiaque, mais cela est commun, mais ce que ces
articles précisent, c'est qu'il s'agit de décès par coup de chaleur et stress thermique, car ces
travailleurs passent de nombreuses heures au soleil et ne travaillent pas dans de bonnes
conditions, même les camps de repos sont petits et ils vivent tous dans une chambre. Il est
demandé qu'une raison valable du décès soit fournie aux familles, car elles ont été affectées
sur le plan psychologique et économique.

Palabras clave : construcción, derechos humanos, cifra de muertos, insolación, estrés término,
paro cardíaco, familias de las víctimas, condiciones de trabajo, impago de salarios.

Buenas noches, yo voy a hablar sobre la muerte de los trabajadores en las obras del Mundial
2022. Yo revisé tres textos para mi presentación: El primer que se titula: Qatar, La FIFA devrait
payer pour le mal causé aux travailleurs migrants, este es un texto de la web de Human Rights
Watch, una ONG que vela por los derechos humanos, luego revisé un texto de la BBC que se
titula: Coupe du monde 2022 au Qatar : Les familles des travailleurs migrants décédés
demandent une enquête sur les "décès dus à la chaleur", por último revisé un artículo de RFI
que se titula: Football : selon «The Guardian», 6 500 ouvriers sont morts sur les chantiers du
Mondial 2022.

Bonsoir, je vais vous parler de la mort d'ouvriers sur le chantier de la Coupe du monde 2022.
J'ai analysé trois textes pour ma présentation : Le premier qui a pour titre : Qatar, La FIFA
devrait payer pour le mal causé aux travailleurs migrants, c'est un texte du site de Human
Rights Watch, une ONG qui veille sur les droits de l'homme, ensuite j'ai revu un texte de la BBC
qui a pour titre : Coupe du monde 2022 au Qatar : Les familles des travailleurs migrants
décédés demandent une enquête sur les "décès dus à la chaleur", enfin j'ai revu un article de
RFI qui a pour titre : Football : selon «The Guardian», 6 500 ouvriers sont morts sur les
chantiers du Mondial 2022.
Yo hice una pregunta: ¿Cuál es el problema en las condiciones de trabajo para los trabajadores
en Catar?

Todos los artículos concuerdan que la FIFA y el gobierno de Catar no ha brindado buenas
condiciones de trabajo y que se debería dar a conocer la verdadera cifra de muertos y dar a
conocer la causa de las muertes. Además, habría que ayudar tanto psicológica como
económicamente a las familias.