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République Algérienne démocratique et populaire

Ministère de la formation et de l’enseignement professionnel

Institut national spécialisé de la formation professionnelle

Boulanouar aissa bordj mira

Mémoire de fin de formation


Pour L’obtention D’un Diplôme de Technicien Supérieur

En Géomètre Topographe

Thème :

Contrôle des travaux topographique s D’un viaduc sur 350 ML au Niveau de la

Source Bleu Bordj Mira.

Elaboré par : Encadre par :

- KHALDI IZEM MR: BRAHIMI


NADIR
- KHALDI ABDESALEM

Session : 2023

REMERCIEMENT

Nous remercions, en premier lieu, notre dieu le très miséricordieux qui a bien voulu nous donner

la force et le courage pour effectuer le présent travail, Nos plus vifs remerciements pour nos trop

chers parents pour leurs soutiens, Encouragements et leurs patiences.

Nous tenons à remercier Mr. BRAHIMI NADIR notre encadreur. Nous remercions

chaleureusement tous les enseignants qui ont contribués à notre formation, aussi le personnel du

centre de formation et aussi la brigade topographique pour l’aide pratique et théorique.

Nous sincères gratitudes vont vers tous ceux qui ont participé de près ou de loin.

A réaliser ce modeste travail.


Dédicace

Je dédie ce modeste travail

A mes parents qui m’ont guidé durant les moments les plus pénibles

De ce long chemin, ma mère qui a été à mes côtés et m’a soutenu durant toute la période afin de me

voir devenir ce que je suis, merci mes parents.

A mes frères et sœurs

A tous mes amis

A toute la famille Khaldi

A tous ceux qui m’aiment et que j’aime


Enfin, je remercie mes amis qui ont contribués à la réalisation de ce modeste travail.

Abdeslam

Dédicace

Je remercie le dieu tout puissant, clément et miséricordieux de m’avoir motivé à réaliser ce modeste

travail ensuite je remercie infiniment mes parents, qui m’ont encouragé et aidé à arriver à ce stade

de formation.

Je dédie ce modeste travail :

A ma mère qui m’a fait venir au monde celle qui s’est donné tant de mal pour me voir en arriver là

où je suis.

A mon père
A mes frères

A tous les enseignants d’insfp.

A tous mes collègues agréables de l’INSFP

A tous ceux qui me connait, ceux qui leurs noms ne sont pas mentionnés, car ils sont dans mon
cœur.

IZEM

INTRODUCTION

En Algérie, l’importance de l’ouvrage d’art est maintenant plus claire que jamais, il est devenu le set des
discours des autorités, ils ont entamés une politique d’exploitation en profitant le maximum des terrains.

Le topographe avec son rôle indispensable dans le projet de construction, doit obligatoirement non
seulement connaitre toute ces opérations dans les moindres détails, mais aussi l’ordre chronologique ou elles
interviennent.

Le groupement SAPTA ou on a fait notre stage pratique, doit construire un viaduc a 350 ml au niveau de la
source bleu-sortie nord tunnel T 1 ; dans le cadre du dédoublement de la route RN_09 et c’est dans ce cadre
que je pose ma problématique suivante :

 Comment contrôler les travaux de terrassement ?


 Quels sont les méthodes d’implantation et vérification des différents éléments du viaduc ?
Pour répondre à cette question j’ai partagé mon mémoire en cinq (5) chapitres afin d’expliquer toutes les
étapes de réalisation et une conclusion qui répond à cette problématique.
Présentation de l’entreprise

CHAPITRE I
CHAPITRE 01 PRESENTATION DE L’ENTREPRISE

Société algérienne des ponts et travaux d’art (SAPTA)

1-Historique :

Est une société publique algérienne, spécialise dans l’étude et la réalisation d’ouvrages d’art :
ponts, viaducs. Elle a été créée le 06/08/1983, en succession à une ancienne société mixte. Elle est
passe au statut d’entreprise publique et économique organise en société par action par décision du
conseil national de planification du 05/08/1989.

2-Activités :
Etude et réalisation de ponts, viaducs , ouvrages d’art en béton armé ,précontraint et a tablier
mixte (poutres métallique et dalle en béton arme).d’une manière générale, tous travaux de génie
civil et routiers terrassement en grande masse , puits, rigoles, etc. ; exécution de murs de
soutènement en terre armée ; rénovation d’ouvrages d’art, reconstruction et confortement de
maçonnerie, réparation d’ouvrage en mode traditionnel et /ou avec l’utilisation de nouvelle
technologie (confortement par tissu en fibre et en carbone TFC) ; réalisation de travaux souterrains (
tunnels ,galeries) ; la préfabrication en usine de poutres en béton précontraint pour ponts et viaducs,
ossatures de parkings a étages, techniques passerelle pour piéton, etc. ; la réalisation de bâtiments
industriels et de structures socio-économique ; travaux hydraulique de toutes nature.

3-unité de réalisation

Cette unité regroupe le siège des services administratifs et techniques dont : un département études
et contrôle, un département travaux chargé de la réalisation des ouvrages neufs et de suivit de
l’ensemble de chantier et un département rénovation d’ouvrage d’art, souterrains et de génie civil.

4-unité logistique

Elle est chargée de la gestion de bases de maintenance situées à :

Chelghoume laid : camion et matérielle de levage (grues).

Chlef : matériel de travaux publics.

Djelfa : matériel de terrassement et de manutention.

CHAPITRE 01 PRESENTATION DE L’ENTREPRISE

Elle assure la logistique du chantier et pourvoit au besoin de ces derniers en matériels


d’intervention et à l’approvisionnement en matière et matériaux de construction. Au plan externe, il
offre en location toute sa gamme de matériels levage (max.250 tonnes) et du transport.

5-Unité fabrication

En activité depuis 1985, elle a pour objectif de satisfaire les besoins des chantiers et des clients de
l’entreprise dans la gamme des produits suivant ; poutre reconstituées soudées et accessoire de pont
métallique, charpente de bâtiment industriels, d’une capacité de 2000 tonnes par an, poutre prés
fabriqué en béton précontraint, aciers façonnés pour béton.

6-L’organigramme de l’entreprise

CHAPITRE 0I PRESENTATION DE L’ENTREPRISE

7-Quelques projets réalise par l’entreprise

 Viaduc sur oued menar


 Viaduc au niveau de ghar el bez RN43 (TAZA)
 Ouvrage d’art tichrihine Ghardaïa
 Dédoublement de la RN01(ente chiffa et berrouaghia sur 53 km)
 Liaison autoroutière reliant le port de Bejaia à l’autoroute Est-ouest au niveau
 D’ahnif sur 100km
 Réalisation de la liaison autoroutière reliant le port de djen djen à l’autoroute estouest au
niveau d’Eulma sur 110 km
Notion élémentaire topographique

CHAPITRE II

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

I- Généralité
1-L’histoire De La Topographique :
Les premiers cas de mesures de la surface de la terre semblent dater des égyptiens, pour la
construction des pyramides et aussi pour remettre en place les limites de cultures après les crues du
Nil, mais aussi pour délimiter la terre soumise à l’autorisation du pharaon, des nombreuses stèles
ont été retrouvées au Proche-Orient.
A partir de l’empire romain les arpenteurs ont été chargés de borner les terres, divisant les champs
en mesurant ainsi le territoire en vue de l’application de l’impôt.
Ils ont aussi charge d’implanter des bâtiments et des routes, les conquêtes des romains et leurs
constructions démontrent une grande pratique basée sur l’angle droit. L’une des fonctions
essentielles des arpenteurs romains fut la réalisation d’un cadastre. Une fois la prise de mesures
réalisée sur le terrain, l’ensemble du plan était transcrit sur des plaques de marbre en deux
exemplaires identiques dont l’une était destinée aux archives de l’état, formant ainsi un cadastre
juridique et technique.
En France pendant le MOYEN AGE, les mérovingiens, se contentent l’organisation romaine. Les
carolingien instaureront la taille, impôt au profil du roi, qui nécessite la restauration des documents
terrière mais sans mesurage.
C’est à la renaissance que les premiers plans de ville sont réalisés depuis ces dernières décennies,
l’apparition d’électroniques puis de l’informatique ont données : GPS, stations totales télémétrie
laser ... etc.
On peut citer quelques topographes célèbres, CLAUDE CHASTILLON (1559-1616) fut le
topographe du roi de France HENRI IV pour lequel il réalisa 544 gravures. EAN-DOMINIQUE
CASSINI IV (1748-1845) fut chargé de terminer LA CARTE DE France entamée par son père,
qu’elle fut achevée qu’en 1815.

Fig1.

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

2-Définition de la spécialité :

Le Géomètre topographe détermine, aménage et peut gérer la propriété foncière et Immobilière


privée, individuelle ou collective et estime éventuellement leur valeur. Il procède L’établissement
de plans, des cartes et définit la nature, et les dimensions d’ouvrages existants ou à édifier.

3-Le Géomètre topographe :


Le géomètre-topographe ne traite que la partie technique du métier et participe aux travaux de
génie civil, topographie générale, expertises techniques, à l'exception du domaine foncier, réservé
aux géomètres experts-fonciers.
Il utilise un matériel lui permettant de mesurer sur le terrain toutes sortes d'objets et de les dessiner
par la suite sur un support informatique, il participe aux projets d'infrastructures, épaules, bureaux
d'études et les entreprises de travaux publics dans leurs différentes missions.
Le géomètre-topographe est un technicien qui effectue toute sorte de mesures à l'aide d'instruments
adaptés suivant les objets à représenter et la précision demandée. Ses missions vont de la simple
mesure du terrain et de sa représentation (topographie) en MNT (Modèle numérique de terrain), au
lever de corps de rue (mesures en ville avec l'objectif de représenter à l’échelle la voirie et tous les
objets visibles dans l'environnement (arbres, bancs, trottoir, panneaux, peintures de signalisation,
etc.). Il peut effectuer des missions d'implantation, de contrôles d'ouvrages, de verticalité, de
bathymétrie...

4-Définition de la topographie :
La topographie c’est un mot (grec) qui compose de :
TOPO : lieu
GRAPHIE : dessin ou décrire
LA TOPOGRAPHIE : Ce base sur des sciences fondamentales telles que les mathématiques et la
physique ; elle est liée à la géodésie et les cartographique et la photogrammètre.

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

5-Le but de la topographie :


L’objectif de la topographie est de déterminer la position et l’altitude de n’importe quel point situé
dans une zone donnée, qu’elle que soit de la taille d’un continent, d’un pays, d’un champ ou d’un
corps de rue.

6-Utilisations de la topographie :
La topographie permet de mener des travaux à l’échelle d’une ville ou d’un pays en utilisant une
représentation planimétrique et altimétrie identique sur L’ensemble de son territoire. Ces travaux
peuvent être des constructions des autoroutes, des canaux, tunnels, etc.
Les travaux topographie sont menés par des géomètres, des topographes ou des géomètres experts.
Dans une perspective linguistique, la topographie sert à décrire l’espace d’un lieu. Elle fait partie
de la typologie descriptive qui regroupe plusieurs types de descriptions selon l’objet décrit.

7-Les déférentes parties de la topographie :


7-1-La géodésie :

C’est la représentation de la surface de la terre en le considérant sous forme sphérique voir Fig2.
La géodésie s’intéresse à la représentation de grande surface de la terre comme une photo airienne
ne représente pas les reliefs et les altitudes.
La géodésie, qui comporte indéniablement un fort volet historique de la science de l’ingénieur, se
retrouve en voisinage avec de trois grands domaines scientifiques qui sont : l’astronomie, la
géophysique et l’océanographie, domaines auxquels elle est de plus en plus étroitement liée compte
tenu des innombrables missions spatiales les concernant.

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE


Fig.2-la géodésie

7-2-topographies planes :
Elle a pour but la mise en œuvre des cartes topographiques en considérant la terre comme plane.

7-3-surface topographique :
Elle consiste à dessiner les cartes topographiques en mettant en évidence les éléments naturels et
artificiels en se basant sur deux (02) opérations :
-Levé planimétrique : Mesure des distances et angles.
-Levé altimétrique : Détermination des altitudes et des dénivelées.

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

7-4Surfaces détaillées :
Mise en œuvre des cartes détaillées des repères éléments existants sur les cartes topographiques
comme la délimitation des terrains agricoles, une construction, etc.
7-5-Topographies aériennes :
Il s’agit de la possibilité d’acquérir des cartes de grande région de la surface de la terre à partir des
photographies aériennes.

7-6Topographies souterraines (profondes) :


En se basant sur les cartes détaillées, l’être humain a besoin de connaitre l’intérieur de la terre pour
la découverte des sources d’énergie, le gaz et le pétrole et là ceci nécessite la réalisation des
passages souterrains comme les tunnels.
II -Quelques définitions :
1-Azimut :
C’est l’angle horizontal formé par la direction du nord magnétique et celle d’un droit ou d’une
direction quelconque ; toujours mesure dans le sens des aiguilles d’une montre depuis la direction
du nord magnétique vers celle du droit ou direction.

2- Plan topographique :
Un plan topographique est une représentation a une échelle réduite de l’ensemble des détails du
terrain projetés verticalement sur la surface horizontale de référence qui est niveau moyen des mers.

3 -La topométrie :
Technique topographique permettant de recueillir sur le terrain les données nécessaires au calcul
des valeurs numériques de tous les bêlements d’un plan à grande échelle.

4- La planimétrie :
La planimétrie mesure dans toutes leurs parties, les figures géométriques formées par les limites
des détails répandus sur le terrain et les projette sur un plan horizontal, ces détails peuvent être
naturels ou artificiels ; toutes les opérations de la planimétrie se résument sous forme de longueurs
horizontales ou d’angle.
CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE
5-L’altimétrie :
L’altimétrie est la détermination des altitudes d’un lieu ou d’une région donnée. Sa détermination
débouche généralement sur la conception d’une carte topographique ou les altitudes sont indiquées
sous forme de points locaux ou sous la forme d’isohypses Sur le terrain, la détermination de
l’altimétrie peut se faire grâce à une altimétrie ou un GPS.

6- Coordonnées géographiques :
6-1-Longitude :
La longitude correspond à l’angle que fait le plan passant par le méridien du point en question avec
le plan passant par le méridien d’origine, c’est-à-dire, le méridien de Greenwich (Royaume-Uni). La
longitude définie donc la positionnement est/ouest d’un point.

6-2- L'altitude :
On appelle l’altitude d’un point la hauteur verticale mesurée par rapport au niveau moyen de mer
pris comme référence.

7-Cartographie :
Ensemble des études et opérations scientifiques. Artistiques et techniques intervenant à partir
d’observations directes ou de l’exploitation, en vue de l’élaboration de cartes, plans et autres modes
d’expressions.

8-Levés topographiques :
Levé destiné à définir la localisation exacte des principales caractéristiques physiques du terrain
(lacs, routes, forêts, formations rocheuses, etc.) ou encore des divers éléments d'une ferme piscicole
(étangs, barrages, digues, canaux de drainage, sources d'alimentation en eau), ainsi que le relief
vertical d'une zone ou ferme choisie ; les résultats du levé topographique devraient permettre la
préparation de plans et cartes topographiques.

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

9-L’implantation :
L'implantation est l'inverse d'un levé, cela consiste à représenter tous les points qui définissent un
projet existant sur un plan (sur le terrain).
En basant sur les données fournies par le levé topographique, on procède au piquetage qui consiste
à matérialiser par des piquets, le terrain à bâtir.

10 -Méthode d’implantation :
Dans l'implantation il y a deux méthodes :
1ère méthode : angle distance.
2ème méthode : triangulation.
1 ère méthode :
ΔX = Xb – Xa
ΔY = Yb – Ya
Distance = (ΔX) 2 + (ΔY) 2
Gisement = Arc tg (ΔX/ΔY)
2ème méthode :
A l'aide de l'angle distance on peut retirer les coordonnées triangulaires, on applique :
Distance. Sin (g) = X; (X = D * Sin (g)).
Distance. Cos (g) = Y ; (Y = D * Cos (g)).

III -UNITES DE MESURE :


L’unité de mesure pour les superficies est le mètre carre (m2)

1-Sous-multiples : couramment utiliser :


* le décimètre carré (dm2)
*le centimètre carré (cm2)
2-Multiples :
*le décamètre carré : are (a) =100m2
*l’hectomètre carre : hectare (ha) =10000m2 =100 ares
* le kilomètre carré :(peu utiliser) =100 ha

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE


3-Les angles :
En topométrie l’unité d’angle employée est :
Le grade (gr) ou gon (g) (système centésimal)
La circonférence vaut 400gr

4-Sous multiples :
* le décigrade (dgr) =0.1 gr
* le centigrade = 0.01 gr* le milligrade (Mgr) =0.001g* le déci milligrade (dm gr) = 0.0001

5-Le gisement :
Le gisement est l'angle horizontale entre le nord et une direction déterminée, le gisement d'une
direction AB est l'angle en A que fait cette direction avec la direction positive de l'axes des
ordonnées Y (ou direction du nord cartographique) ; cet angle se compte à partir de la direction des
y, de 0 à 400 grades dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre.

Fig.3.le gisement

4 ème quadrant 1 ère quadrant


G = 400 –a G=a

ΔX>0 Δ<Y0

ΔX>0 ΔY>0

3 ème quadrant 2ème quadrant GtAB = Arctg [(XB – XA) / (YB – YA)]
G = 200 + a G = 200 – a X = |AB| * Sin (GtAB)
ΔX <0 ΔX>0 Y = |AB| * Cos (GtAB)

ΔY<0 ΔY<0 |AB|= (ΔX) ² + (ΔY) ²

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE


Remarque :
L'unité des angles est le grade
L'unité de la distance est le mètre linéaire

tableau 01 : les quadrants.

6-Notion d’échelle :

L’échelle d’un plan ou d’une carte est le rapport constant entre une distance mesurée sur le papier
et la même distance mesurée sur le terrain. E=p/t
Il existe deux types d’échelles :
* échelle numérique.
* échelle graphique.
7-Classification sommaire des cartes et plans :
1/1 000 000 et en dessous
1/500 000 Carte géographique
Carte à petite échelle
1/250 000 cartes topographiques
1/100 000
1/25 000 (cartes de basse) cartes topographiques Carte à moyenne échelle
1/20 000
1/10 000 cartes topographiques Carte à grande échelle
CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE
Plans topographiques d’étude
1/5 000
Plans d’urbanisme
Plans d’occupation des sols
1/2 000
Plans descriptifs parcellaires
Plans parcellaires
1/1 000 Plans cadastraux urbains
1/5 00 Plans cadastraux urbains
1/2 00 Plans des voiries, documents d’implantations
1/1 00 Plans de propriétés
1/1 00 Plans d’architectures

IV -Nivellement :
1- Généralité :
Le nivellement est l'ensemble des opérations qui permettent de déterminer les altitudes et des
dénivelles le nivellement sert donc à définir le relief du terrain en fixant l'altitude d’un certain
nombre de points et tous les côtés sont donné par rapport à un niveau de base appelé horizon, ou
plan de comparaison.
Le nivellement peut s'effectuer selon deux procédés à savoir :
1-Nivellement direct ou géométrique.
2-nivellement indirect trigonométrique.

1-1- Le nivellement direct ou géométrique :


Le nivellement direct, ou nivellement géométrique consiste à mesurer la différence D’altitudes à
partir des visées horizontales. Cette opération s’effectue à l’aide d’un Niveau permettant de
matérialiser une ligne de visée horizontale et d’une règle graduée Verticale appelée mire regarde
supposons l’altitude du point A connue voir Fig. 4. En notant LAR et LAV les lectures sur les
2Mires, l’altitude du point B s’obtient comme suit :

ALTB= ALTA+ (LAR-LAV)


CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

Fig4-nivellement direct

1-2- Le nivellement indirect ou trigonométrique:


Le nivellement trigonométrique est réalisé par calcul du dénivelle et non plus sa mesure directe.
On ne mesure plus le dénivelle entre 2 points pour déduire une altitude, mais on calcule tout d'abord
ce dénivelle grâce à des mesures d'angles et de distances réalisés à l'aide d'un théodolite ou d'un
tachéomètre. Selon le matériel et le mode opératoire, on atteint des précisions centimétriques ou
décimétriques voir Fig. 5.
Un calcul simple conduit à la différence d’altitude entre S et A

Alt B= Alts+ ht +D COS (V)-ht


Fig.5.nivellement indirect

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE


2- Cheminements :
Le réseau polygonal est constitué des cheminements appuyés en général sur les points du canevas,
et une succession de rayonnements entre deux points de coordonnés connus.
3-Forme des cheminements :
3-1 Cheminement fermé :
C’est une ligne polygonale qui se boucle sur elle-même. Il doit être utilisé De préférence lorsque la
surface à lever est peu étendue...Fig.6.

Fig.6.cheminement fermé

3-2 Cheminement ouvert :


C’est une ligne polygonale qui relie deux points connus en coordonne, c’est la meilleure forme de
cheminement. Fig.7.
Fig.7.cheminement ouvert

CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

3-3Une carte topographique :

Une carte topographique est une carte à échelle réduite représentant le relief déterminé par
altimétrie et les aménagements humains d'une région géographique de manière précise et détaillée
sur un plan horizontal
Les autres cartes à échelle plus grande et les plans de ville ne sont pas des cartes topographiques
car ils ne respectent pas l'échelle de réduction pour
Représenter les routes. En effet, l'usage principal de ces cartes routières et des plans est le repérage
d'un tracé routier. Néanmoins, le fond de carte et de plan contient des informations topographiques
parfaitement représentées, comme la végétation de surface, le relief, etc.

Fig8.une carte topographique

V-Le GPS (Global Positioning System)


Le GPS est un système de navigation utilisant un réseau de satellites militaires dont l'accès est
autorisé aux civils. Ce réseau de satellites a été développé par le Département de la Défense des
Etats Unis.
CHAPITRE 02 NOTION ELEMANTAIRE TOPOGRAPHIQUE

Le système GPS comporte aujourd'hui 24 satellites répartis sur 6 orbites à 20 200 km d’altitude. Il
donne la position et l'altitude chaque seconde,
24 heures sur 24, n'importe où dans le monde.
Quatre satellites au moins doivent être poursuivis pour obtenir une position en 3 dimensions
(altitude et position). Trois satellites suffisent pour donner la position en 2 dimensions avec
maintien d'altitude (La dernière altitude connue) voir Fig.9.

Fig.9.le GPS

1-Fonctionnement du GPS :
Le principe de fonctionnement du GPS repose sur la mesure de la distance d'un récepteur par
rapport à plusieurs satellites (les satellites sont répartis de telle manière que 4 à 8 d'entre eux soient
toujours visibles). Chaque satellite émet un signal, capté sur Terre par le récepteur, permettant ainsi
de mesurer très précisément la distance séparant l’émetteur du récepteur grâce au temps de parcours.

Avec la réception des signaux de quatre satellites (trois pour obtenir le point d’intersection des
trois sphères, un quatrième pour la synchronisation du temps), le récepteur mobile est capable de
calculer sa position géographique par triangulation.
Généralités sur les ouvrages d’art

CHAPITRE III
CHAPITRE III GENERALITES SUR LES OUVRAGES D’ART

I. INTRODUCTION : le concept ouvrage d’Art

1) Définition du concept
Un ouvrage d’art se défini comme une construction de grande importance nécessité par le
rétablissement d’une voie de communication (route, voie ferreux, canal etc.…), un dispositif de
protection contre l’action de la terre où de l’eau, un dispositif de retenue des eaux, et autre.
Le terme « d’Art » qui accompagne le mot ouvrage pour traduire que leur conception et leur
réalisation font intervenir des connaissances ou l’expérience joue un rôle aussi important que la
théorie, connaissances appelées « art de l’ingénieur ».
Un ouvrage d’art peut être qualifié selon le milieu dans lequel il est construit : ouvrage d’art
terrestre, ouvrage maritime, ouvrage d’art de montagne, ouvrage d’art fluvial etc.…
2) Les différents types d’ouvrages d’art
Selon leur nature et leur rôle on distingue :
a) Les ouvrages de franchissement ou lié à des voies de communications : pont, tunnel, écran
acoustique.
b) Les ouvrages de protection ou de soutènement : destiné à la stabilisation des pentes ou des
soutènements des terres afin de se prémunir des effets des mouvements des terres (écroulements,
glissements, coulées des boues (etc.…) : mur, rideaux de palplanche, parois moulé, clouage de
massif etc.…
c) Ouvrages de retenues d’eau : barrage (en béton ou en terre et enrochements), digues (remblais
longitudinaux naturels ou artificiels).
d) Autres ouvrages d’arts : tranchée ouverte ou couverte, quais, réservoir, structure paré-pierre
ou paré-bloc.

II. LE VIADUC : pont de grande hauteur et longueur.


1)Un minimum de terminologie
a) Le viaduc
Un viaduc est une structure d’ingénierie utilise pour franchir une valle, une rivière, une autoroute,
une voie ferrée ou toutes formes d’obstacles naturels ou artificiels.

CHAPITRE III GENERALITES SUR LES OUVRAGES D’ART

b) Matériaux utilisés dans la construction :


Le viaduc peut être construit en utilisant différents matériaux tels le béton arme, l’acier ou une
combinaison des deux.
c) Structure :
La structure d’un viaduc peut varier en fonction de sa longueur, sa hauteur, son emplacement.
2) principaux éléments constitutifs d’un viaduc :
a) tablier :
Est la plate-forme sur laquelle circule les véhiculés, généralement construit en béton armé, en acier
ou en combinant des deux. Il contient une ou plusieurs travées supportées par des poutres ou des
arcs.
b) piles :
Les piles sont des structures verticales qui supportent le tablier et transmettent les charges vers les
fondations. Elles sont espacées le long du viaduc, pour soutenir les travées, les piles ont différentes
formes telles que des piliers massifs, des colonnes creuses ou des tours.
d) Fondations :
Sont les éléments qui transfèrent les charges des piles vers le sol. Elles sont conçues pour fournir
une base solide et stable pour le viaduc. Les fondations peuvent être constitués de pieux enfoncés
dans le sol, de semelles de béton ou d’autres systèmes de soutènement des caractéristiques
géotechniques des sites.
e) Appuis :
Sont des éléments de soutien situés à chaque extrémité du viaduc. Ils absorbent les mouvements
thermiques, les déformations et les forces horizontales du viaduc. Les appuis sont des articulations
qui permettent le mouvement du tablier ou des dispositifs d’appui fixe.
E) Culée :
Qui joue généralement un rôle double d’appui de rive du tablier et de soutènement des remblais
d’accès.
f) appareil d’appui :
En général constitués par des plaques élastonières (néoprènes).
g) dispositifs de sécurité :
Les viaducs peuvent être équipés de dispositifs de sécurité tel que des glissières de sécurité, des
barrières ou des garde-corps pour protéger les usagers de la route et prévenir les accidents.

CHAPITRE III GENERALITES SUR LES OUVRAGES D’ART

Fig.10. Les éléments du viaduc.


III- Le pont
C’est un ouvrage destiné à franchir un obstacle naturel (ravin, rivière) ou à franchir une autre voie
de circulation terrestre, fluviale ou maritime.
a) Travée :
C’est la partie de pont comprise entre 2 appuis successifs
b) Ouverture L1, L2
C’est la distance entre parements de 2 appuis successifs
c) portée l1, l2
C’est la distance entre axes d’appareils d’appuis successifs :

Fig11 portée
CHAPITRE III GENERALITES SUR LES OUVRAGES D’ART

d) Gabarit de circulation
Il indique quels sont les dimensions du passage que l’on doit laisser sous l’ouvrage pour le
mouvement des véhicules ou de bateaux
e) Débouché
Dans le cas d’un ouvrage sur une rivière, c’est la surface que l’on doit laisser pour l’écoulement des
eaux. Ici S1 + S2 = S
Le débouché se déterminera à partir de l’étude hydrologique de la rivière.

Fig12 débouché

le débouché se
déterminera à partir de l’étude hydrologique de la rivière.

f) Tirant d’air

C’est la hauteur libre entre le parement inférieur des poutres du tablier et le fond de la brèche.
Dans le cas du franchissement d’une voie de circulation, le tirant d’air minimum dépendra du
gabarit de circulation : dans le cas d’un ouvrage sur une rivière, le tirant d’air minimum au-dessus
des plus hautes eaux dépend du gabarit de navigation, si la rivière est navigable ou alors de la
possibilité d’évacuation des corps flottants si la rivière n’est pas navigable, c'est-à-dire on laissera
environ 1,50m.

IV) Principaux éléments constitutifs d’un pont


Les ponts comprennent essentiellement des éléments porteurs constitués par les poutres
principales, les arcs, les câbles (éléments porteurs principaux).
Les entretoises ; les pièces de pont, les longerons qui servent à répartir les charges entre les
éléments porteurs principaux, qui les transmettent aux appuis qui les transmettent au sol par les
fondations.
CHAPITRE III GENERALITES SUR LES OUVRAGES D’ART

Coupes a-a sur tablier

Béton armé
Revêtement de chaussée + étanchéité
(Film de bitume qui empêche
L’infiltration de l’eau dans la dalle

Fig.13. Coupes a-a sur tablier


Fig. 14. Béton Précontraint

CHAPITRE III GENERALITES SUR LES OUVRAGES D’ART

V. CLASSIFICATIONS DES PONTS

Les ponts sont classés de diverses manières


1) suivant la longueur
Nous considérons que nous avons :
Des petits ouvrages dont la longueur est inférieure à 8m
Des ouvrages moyens lorsque 8 m < L < 25 m

Des grands ouvrages 25 < L < 40 m


Des ouvrages exceptionnels L˃ 40m
2) suivant la nature de la voie portée
Pont-rail si le pont porte une voie ferrée
Pont-route si le pont porte une route (PI, PS)
Pont-canal
Passerelles pour piétons
Passerelles pour conduites
3) suivant le matériau principal dont ils sont constitués
Selon les matériaux constituants les éléments porteurs principaux :
Ponts en bois
Ponts en maçonnerie
Ponts en fonte
Ponts en fer
Ponts en acier
Ponts en alliage d’aluminium
Ponts en béton armé
Ponts en béton précontraint
4) suivant la durée de vie
Ponts provisoires en métal, bois, métal + bois
Ponts semi-définitifs métalliques (ex VMD ou Toboggan ou Autopont)
Ponts définitifs en BA, BP, CM ou OM

Contrôle des travaux

CHAPITRE IV
CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX

I-Introduction :
L’ouvrage d’art (viaduc) est défini comme une construction de grande importance nécessite le
rétablissement d’une voie de communication (routes, voies ferres. Etc.) Le géomètre topographe est
responsable des opérations nécessaires à la réalisation et contrôle d’exécution des piles sur semelles,
le contrôle géométrique (parties au-dessus du sol d’un ouvrage) et la vérification du niveau d’arrêt
de bétonnage.
1-Situation géographique de projet :
Le projet est situé dans la commune de Bordj mira willaya de Bejaïa
1- photo aérienne de la commune Bordj mira :
Fig.15.photo aérienne de la commune Bordj mira.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


2- Communes limitrophes de Bordj mira :
Au nord : Ait Idris
Au sud : kherrata
A l’est : Arechah
A l’ouest : Ait-Smail

Communes limitrophes de Bordj mira

Ait Idris
Ait-Smail Arechah

Kherrata

Fig. 16. Communes limitrophes de Bordj Mira

3- Photo aérienne de site (projet).

Fig. 17. Photo aérienne du projet

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


II- Description de projet :
Un viaduc sur 350 ml au niveau de la source bleu-sortie nord tunnel T1 bordj mira, qui franchit la
rivière (oued agerioun).

1- Les éléments de terminologie de pont :


Fig.18. Terminologie du pont

Fondations : elles repartissent les charges au pont sur le sol il existe deux types
Fondation superficielle (semelle ou radier)
Fondation profonde (pieu, puits)
Les appuis : les appuis support le tablier et reportent les charges sur les fondations.
Ils sont deux types.
Les piles (appuis intermédiaires)
Les culées (appuis extrêmes ou rive)
Appareils d’appuis : ils sont placés entre le tablier et le chevêtre. Ils encaissent les
déformations de tabliers.
Le tablier : le tablier c’est l’ensemble des éléments supportant la voie de
franchissement.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Les culées : elles ont deux fonctions ; assurer les appuis extrêmes du pont et raccorder
celui-ci au naturel. Il existe deux types de culées : culé enterré et non enterré.
La pile : est un appui intermédiaire supportant le tablier de l’ouvrage. Par opposition aux
palées qui sont des appuis plus légers et temporaires.
Fig.19.pile

III- Phases de réalisation de projet :


1. Levé de terrain
2. Exécution et réalisation des travaux
3. Implantation de projet
1-Levé de terrain
Un levé topographique est une opération qui consiste à relever sur le terrain un nombre important
de mesure qui ont pour but la représentation d’une partie plus au moins grande de la surface
terrestre. La réalisation de cette opération nécessite tout d’abord la détermination d’un certain
nombre de point qui serviront d’ossature de points de bases est appelées canevas, étant semblables
au canevas employé pour l’exécution des tapisseries elle a reçu la même appellation.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


2. Organisation d’une brigade topographique :
Sur le terrain le levé topographique est exécuté par une équipe appelée brigade, constituée de :
 Un chef de brigade
 Un croquiseur
 Un opérateur
 Un ou plusieurs portes mire ou porte canne
Chaque membre de l’équipe a des taches bien définies.
a). Le chef de brigade :
C’est un ingénieur ou technicien supérieur en topographie ; il organise l’ensemble du travail dont il
est le responsable il choisit les méthodes à employer et détermine les points à lever il doit parcourir
le terrain plusieurs fois, pour le reconnaitre :
 Reconnaître les signaux du canevas d’ensemble
 Prévoir les possibilités de la polygonation
 Choisir des endroits pour matérialiser les stations qui dominent le site.
b). Le Croquiseur :
Technicien supérieur en géomètre topographie, il fait un croquis d’ensemble de la zone â Levé,
dirige la manœuvre et fait placer les porte -mires sur les stations (arrière et avant) puis, les dirige sur
les points de détail.
c). L’opérateur :
C’est un topographe, son rôle c’est de manipuler l’appareil topographique, effectue des lectures qui
sont des mesures ; il doit centrer et orienter l’instrument pour donner plus de précision.
d). Le porte mire (ou prisme) :
Comme son nom l’indique, il doit porter la canne perpendiculaire par rapport au sol, il est à la
disponibilité de l’opérateur, il doit changer un autre point à chaque fois quand on lui demande.
3. Le géomètre topographe :
Le géomètre topographe ne traite que la partie technique du métier de géomètre et participe aux
travaux de génie civil, topographie générale, experts-fonciers. Il utilise un matériel sophistiqué lui
permettant de mesurer sur le terrain toutes sortes d’objets et de les dessiner par la suite sur un
support informatique, il participe aux projets d’infrastructures, épaule les bureaux d’études et les
entreprises de travaux publics dans leurs différentes missions. Le géomètre topographe est le
premier intervenant sur le terrain lorsqu’un projet d’aménagement est décidé.
CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX
IV-le matériel topographique mis à la disposition du contrôleur topographe :
Tout au long de mon stage pratique l’entreprise a mis a ma disposition un matériel comportant :

1- 4. Matériel utilisé
a). Trépied
fig.20

b). Réflecteurs :

fig.21

c). La canne :

fig.22

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


d). Le ruban :
fig.23

e). Les clous : Pour matérialiser les stations

fig.24

f).La boussole : pour indiquer le nord magnétique

fig.25

g). La peinture : Pour marquer ou numérotés les stations.

fig.26

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


h). Total station Leica ts 02:
fig.27

i). Caractéristiques :
 Portée sans réflecteur jusqu’à 500 mètres
 Mémoire interne jusqu’à 24000 points
 Logiciel FlexFeild
 Protection contre le vol
 Ecran noir et blanc haute résolution ip55
 Batterie jusqu’à 30 heures
V-quelques étapes de contrôle des travaux :
Avant réaliser une tache des différentes taches de la vérification ou de l’implantation on doit
toujours stationner l’appareil dans un emplacement idéal.

1- la mise en station :
Il existe trois différents types de stationnement :
1. Stationnement libre.
2. Stationnement par cordonnées.
3. Stationnement par angle.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


 Stationnement libre :
Pour stationner l’appareil on doit le poser dans un lieu où les stations réelles et la tâche à faire sont
visibles, on pose l’appareil sur le trépied et on le vice, après on nivèle l’appareil par les deux
nivelles sphérique et optique en les ajustant jusqu’à ce que les bulles soient centrées pour mettre
l’appareil a niveau horizontalement.

 Les méthodes de mise en station :

La méthode de mise en station Description

Orientation avec angle La station est connue. Viser une cible pour
définir l’orientation.

Orientation avec cordonnées Les cordonnées de la station et de la cible sont


Conus. Viser une cible pour définir l’orientation
et l’altitude.

Relèvement (stationnement libre) La station est inconnue. Mesurer vers deux points
cibles ou plus pour calculer les cordonnées
station et l’orientation. L’échelle est
configurable.

Tableau 02 : description des méthodes de mise en station

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Après avoir fait la mise en station on vise deux stations connus ou plus sur le chantier, pour que
l’appareil puisse reconnaitre les coordonnées du projet par rapport à la position du stationnement,
pour qu’elle puisse nous donner les cordonnées à implanter et à vérifier sur le projet.

Fig.28.la procédure de mise en station

2- implantation des axes des pieux :


A partir d’une station libre on accède aux cordonnées du pieux qu’on veut implanter, qui est
enregistré dans un job chargé dans l’instrument ou entrée par clavier (manuellement). On implante
l’axe théorique du pieux, la machine du forage va fixer le milieu de son forage sur l’axe implanté
par un piquet pour obtenir un pieux vertical.
Une fois les pieux implantés on effectue un levé final pour vérifier que leurs position et alignement
correspond aux spécifications du projet et la vérification de la tolérance donnée.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Fig.29.implantation des axes des pieux.

3- : Les méthodes de contrôle de l’implantation des pieux

 La première méthode consiste à procéder à la réimplantation de l’ensemble des axes des


pieux implantés et de mesurer sur place les écarts et l’orientation des décalages constatés.
 La deuxième methodes consiste à réaliser un levé topographique pour l’ensemble des axes
implantés et garder l’ensemble des relevés pour un traitement et analyse ultérieur.
 La troisième méthode consiste à traiter le levé réalisé avec la méthode graphique à base
des logiciels Auto CAD et Covadis qui consiste à charger le semi de point sur le tracé en plan
fourni et approuve par DEX aux coordonnées d’origine.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


A chaque axe de pieu, avec la commande (cotation) on détermine la distance entre le point relevé
sur le terrain (valeur réelle) et le point théorique sur le tracé en plan.
 Les références du contrôle topographique (le DEX)
La base de tous type de contrôle topographique est :

 Le document d’exécution (DEX) approuvé et classé bon pour exécution (BPE) : dans
ce genre de situation, le contrôleur topographe fera appel a des documents d’exécution de
type :
 Le tracé en plan de la zone concernée avec l’ouvrage en question
 Le plan d’implantation des pieux
 Le listing d’implantation aux cordonnées rectangulaires des pieux.

 Les méthodes de vérification de la conformité des pieux


Le semi de points relevés, sera traiter au bureau par le système de comparaison par rapport au
cordonnes théoriques inscrites au document d’exécution (DEX) en deux méthodes :
 La première méthode recouvre le calcul topo métrique des écarts planimétrique
(distance) entre les cordonnés rectangulaire (X, Y).
 La deuxième méthode consiste à traiter le levé réalisé avec la méthode
graphique à base des logiciels Auto CAD et Covadis et qui consiste à charger le
semi de point sur le tracé en plan fourni et approuvé par le DEX aux coordonnées
d’origines.

A chaque axe des pieux, avec la commande (cotation) on détermine la distance entre le point relevé
sur le terrain (valeur réelle) et le point théorique sur le tracé en plan.
 Le compte rendu
Comme le marcher l’éxige, le compte rendu de chaque réception topographique doit être mentionné
et approuvé sur la fiche de réception par le chef de brigade topographique chargé du contrôle ou il
est obligé de mentionner :
 La moyenne des écarts planimétrique réels ;
 La conformité ou la non-conformité des présentations topographique
La tolérance est effectuée avec une station totale Leica TS02.
CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX
La tolérance est de 02 cm pour les axes des pieux et coins semelles à savoir s’il n’a pas la continuité
avec les voiles si non on contrôle sur la tolérance du 5 mm

4- les cordonnes d’implantation des pieux :


Tableau 03 : cordonnées d’implantation des pieux pile 01

Tableau 04 : cordonnés d’implantation des pieux pile 02

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 05 : cordonnés d’implantation des pieux pile 03

Tableau 06 : cordonnés d’implantation des pieux pile 04

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 07 : cordonnés d’implantation des pieux pile 05

Tableau 08 : cordonnés d’implantation des pieux pile 06

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 09 : cordonnés d’implantation des pieux pile 07

Tableau 10 : cordonnés d’implantation des pieux pile 08

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 11 : cordonnés d’implantation des pieux pile 09

 Après avoir forée les pieux vient l’étape du recépage.

Fig.30.recépage des pieux.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


5- implantation de la semelle :
1-définition :
La semelle de fondation est un ouvrage d’infrastructure, généralement en béton armé, qui reprend
les charges d’un organe de structure d’une construction et qui transmet les charges vers le sol et les
faire repartir.

Fig.31.la semelle
2-la méthode d’implantation :
Après une bonne mise en station à l’emprise du site du travail sur le chantier on contrôle les niveaux
et les cotes des autres phases de la construction.

3-le contrôle des niveaux (cotes) :


Après l’achèvement des travaux des pieux, la sensibilité se concentre autour de l’implantation des
niveaux (les cotes) de chaque étape de réalisation.
Les phases de réalisation concernées par les implantations des niveaux e succèdent comme suit :
 L’implantation de fond de fouille de la semelle,
 Implantation de l’arrêt de béton de propreté (BP),
 Controller les extrémités de la semelle et la verticalité du coffrage,
 L’plantation de l’arrêt de béton de la semelle.
CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX
On implante des jalons pour marquer les emplacements des coins de la semelle pour faire
l’excavation du sol conformément au plan de construction afin de faire le béton propreté de la
semelle, après ce dernier on implante des piquets sur le BP déterminant les quatre coins de la
semelle avant son coffrage

Fig.32. Contrôle des extrémités de la semelle

4-le contrôle du coffrage de la semelle :


Le coffrage est la phase qui dessine la géométrie d’un ouvrage d’art, le géomètre doit se concentrer
sur l’exactitude des implantations planimétriques des coffrages.
Les phases de réalisation concernées par les implantations des coffrages se succèdent comme suit :
 L’implantation des coins de la semelle
 L’implantation des coins de l’élévation (fut)

Vérification du positionnement des panneaux de coffrage et leurs verticalités et la détermination


des arrêts de béton sur les panneaux.

Après le collage de la semelle on passe à la vérification de la conformité de la semelle


conformément aux spécifications du plan du projet.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Fig.33.verification du positionnement des panneaux de coffrage et les arrêts de béton

5-cordonnées d’implantation des semelles :


Tableau 12 : cordonnées semelle culé 01 tableau 13 : cordonnées semelle culé 02

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 14 : cordonnées semelle pile 01

Tableau 15 : cordonnées semelle pile 02

Tableau 16 : cordonnées semelle pile 03

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 17 : cordonnées semelle pile 04

Tableau 18 : cordonnées semelle pile 05

Tableau 19 : cordonnées semelle pile 06

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Tableau 20 : cordonnées semelle pile 07

Tableau 21 : cordonnées semelle pile 08

Tableau 22 : cordonnées semelle pile 09

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


6- contrôle des futs :

1- implantation des coins des futs :


Après une bonne mise en station, on implante les coins du fut sur la semelle en utilisant des
marques visibles comme des clous, pour permettre poser les panneaux de coffrage.

Fig.34.implantation des coins du fut sur la semelle

2-verification du coffrage et du ferraillage des futs :


On vérifie les coins du fut et la verticalité, et on marque les arrêts de béton a chaque partie du fut
avec des marques clairs, on assure aussi la verticalité des panneaux de coffrage par l’implantation
des coins de haut du fut

A la fin de chaque vérification et implantation, on effectue un levé du niveau achevé.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Fig.35.verification du coffrage et du ferraillage des futs

3-verification des barres d’attentes :


A chaque avant dernier levé sur le fut, on vérifie et on implante les barres d’attentes de la pile
comme l’exige la conception spécifique de la pile dans le plan du ferraillage, pour obtenir un bon
positionnement des barres ce qui garantie la solidité des piles afin de supporter le tablier et les
charges.

CHAPITRE IV CONTRÔLES DES TRAVAUX


Fig.36.verification des barres d’attentes
Hygiène et sécurité

CHAPITRE V

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


I-Hygiène et sécurité :

I -1-Introduction :
Hygiène et sécurité sont des normes très importantes dans le bon fonctionnement du travail.

Pour ce faire, il faut appliquer rigoureusement les lois rayant trait à l’'hygiène et la sécurité, afin de
préserver le travailleur des maladies professionnelles ou accident de travail.

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


II- Accident de Travail :
1- L’accident de travail est considéré comme étant :
accident de travail toute lésion corporelle survenue durant les heures de travail sur ou en
dehors du lieu de travail (déplacement, mission...). Défirent accident de travail.
Survenu sur le trajet (aller-retour) compris entre le lieu de résidence et le lieu de travail ou
un lieu assimilé.
Lors d’une mission de travail.
2- L’accident de travail doit être déclaré :
dans les 24 heures, à votre employeur par vous-même ou par l’un de vos représentants.
Dans les 48 heures, à l’organisme de sécurité sociale par votre employeur.
3- Le dossier à fournir doit comprendre :
Une déclaration d’accident du travail.
Un certificat médical initial.
Procès-verbal de police ou de gendarmerie (accident de trajet)
4- En cas d’accident de travail mortel
Les ayants-droits de la victime bénéficient :
D’un capital décès.
De rentes d’ayants droit.

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


III-Causes des Accidents de Travail :
Négligence de la part de 1'employeur ou du travailleur
- Absence de panneaux de signalisation (cônes ...)
- Absence de protection corporelle (gilet, soulier de sécurité, lunette, ...tenue réglementaire
suivant les saisons)
- Causes naturelles, foudre, éboulement de terrain.

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


IV- Maladie professionnelle :
1- Qu’est qu’une maladie professionnelle ?
Une maladie contractée par un salarié peut être considérée comme d’origine professionnelle
lorsqu’elle est contractée en lien avec son activité professionnelle.
La maladie peut être d’origine professionnelle qu’elle figure ou non au tableau professionnel.
2- Déclaration de maladie professionnelle a un délai de :
15 jours au minimum.
03 mois au maximum, à partir de la date de constatation médicale de la maladie.
3- Le dossier à fournit doit comprendre :
Une déclaration de maladie professionnelle.
Un certificat initial.
Une attestation remplie par le ou les employeurs successifs concernant les postes réellement
occupés par la victime.
V -L’hygiène :
Est un facteur très sensible sur le chantier mais dans tous les lieux et les environnements qui nous
entourent et il fout noter les préventions peuvent se faire par :
Construction des nous WC. Et les vestiaires pour éviter toute intention à faire.
* éviter les chutes des différents déchets.
* La réalisation des foyers et réfectoires afin de transformer le chantier.
* Augmenter les accès de chantier
1- la pratique de l’hygiène de travail :
L’identification des risques éventuels pour la santé liée au milieu de travail.
L’évaluation des risques qui consiste à estimer le degré d’exposition et, partant, le niveau de
risque pour la santé des personnes.
La prévention et la maitrise des risques par l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies visant à
éliminer, ou à réduire à des niveaux acceptable, l’apparition d’agents et de facteurs nocifs sur le lieu
de travail, toute en tenant compte de la nécessaire protection de l’environnement.
L’évaluation de l’impact sur la santé des travailleurs et sur l’environnement avant la conception et
l’installation d’un nouveau lieu de travail.

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


VI -Sécurité :
C’est l’ensemble des techniques et dispositifs prêts pour la protection les ouvrières par la suppression des
risques et le choix des technique et le bon aménagement des chantiers et du matériel tout faire pour assures
la protection individuelle et collective.

VII -Préventions :
C'est l'ensemble de tous les moyens nécessaires pour éviter un accédant.
Il y a deux types de prévention :
1-La prévention individuelle :
L'ouvrier toujours prudent et conscient.
Exigé 1'utilisation de la tenue réglementaire de travail comme les bottes et chaussures de
sécurité.
Se servir des gants contre d'électrocution ou le risque de Manutention.
Porter des casques pour tous les travailleurs pour protéger la tête.
Contrôler régulièrement les points dangereux (les vides, talus.).
Proposé une tenue spéciale dans les intempéries.

2 -La prévention collective :


 Pour le travail collectif évité les planchers.
 Faire attention quand vous transportez le matérielle.
 Empilez correctement le matériel pour ne pas toucher les ouvriers il faut toujours faire attention.

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


VIII -Rôle :
 Rôle de l’entreprise dans la prévention :
 Les études et les suivis.
 Contrôle successivement le déroulement du travail et insister pour la sécurité.
1- Interactions entre l’individu et l’environnement :

CHAPITRE V HYGIENE ET SECURITE


2- Champs d’action respectifs du médecin et de l’hygiéniste du travail :

IX -Conclusion :
 En cas d’accident de travail sur chantier, la déclaration doit être immédiatement envoyée par les
responsables de chantier au service personnel.
 L'hygiène et sécurité donnent une bonne démarche au chantier par
 La protection contre tout accident qui provoque un arrêt du travail temporaire ou définitif.
Conclusion
La réalisation d’un pont d’envergure, nécessite une forte mobilisation en termes de compétences
topographiques.
La mission du contrôleur géomètre topographe tout au long de ce projet de mémoire, me confirme
l’importance et le rôle indispensable du contrôleur topographique dans la réalisation du projet, par
ce que la tache est confirmée et approuvée impérativement par le diagnostic du contrôleur
topographique.

Les techniques topographiques mise en œuvre par le géomètre topographe ont permis de
déterminer les écarts planimétriques et altimétriques à chaque phase de réalisation du projet, ce qui
a garanti une bonne qualité de construction.

Cette durée de notre stage pratique nous a été très bénéfique, car on a appris à faire des levés
topographiques sur le périmètre du chantier et exécuter des implantations topographiques de bonne
précision, en utilisant l’instrument topographique Leica Ts 02.

Enfin on a conclu l’importance de notre expérience théorique, qui nous a permis d’apprendre à
faire les travaux pratique sur le chantier, aussi qu’il faut avoir la patience et être méthodique le plus
possible.
Bibliographie
 Ouvrages
 Topographie et topométrie moderne : (techniques de mesure et représentation) Tom 1
Serge Milles et Jean Lagofun, Edition EYROLLES

 Topographie et topométrie moderne : (calculs) Tom 2.


Serge Milles et Jean lagofun, Edition EYROLES

 Topographie appliquée aux travaux public, bâtiment et levés urbains :


Lucien Lapointe et Gilles Meyer, Edition EYROLLES
(2eme Edition revue et corrigée 1986).
 Sites internet

 Mémoires

 Contrôle des travaux topographiques d’un pont A12 au pk 34+392 a la section


TIMEZRIT de la Pénétrante reliant autoroute est-ouest au niveau AHNIF au port de Bejaia
sur 100 km.
Réalisé par Mr OUBOUZID BISSAM 2021.
LA LISTE DES TABLEAUX

Tableaux 01 : les quadrants……………………………………………………………...01


Tableaux 02 : Description des méthodes de mise en station
Tableaux 03 : les cordonnées d’implantation pieux pile 01
Tableaux 04 : les cordonnées d’implantation pieux pile 02
Tableaux 05 : les cordonnées d’implantation pieux pile 03
Tableaux 06 : les cordonnées d’implantation pieux pile 04
Tableaux 07 : les cordonnées d’implantation pieux pile 05
Tableaux 08 : les cordonnées d’implantation pieux pile 06
Tableaux 09 : les cordonnées d’implantation pieux pile 07
Tableaux 10 : les cordonnées d’implantation pieux pile 08
Tableaux 11 : les cordonnées d’implantation pieux pile 09
Tableaux 12 : cordonnées semelle culé 01
Tableaux 13 : cordonnées semelle culé 02
Tableaux 14 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 15 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 16 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 17 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 18 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 19 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 20 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 21 : cordonnées semelle pile 01
Tableaux 22 : cordonnées semelle pile 01
La liste des figures
Figure 01 : théodolite en 1900
Figure 02 : la géodésie
Figure 03 : le gisement
Figure 04 : nivellement direct
Figure 05 : nivellement indirect
Figure 06 : cheminement fermé
Figure 07 : cheminement ouvert
Figure 08 : une carte topographique
Figure 09 : le GPS
Figure 10 : les éléments du viaduc
Figure 11 : portée
Figure 12 : débouché
Figure 13 : coupe a-a sur tablier
Figure 14 : béton précontraint
Figure 15 : photo aérienne de la commune Bordj mira
Figure 16 : communes limitrophes de bordj mira
Figure 17 : photo aérienne du projet
Figure 18 : terminologie du pont
Figure 19 : pile
Figure 20 : trépied
Figure 21 : réflecteur
Figure 22 : la canne
Figure 23 : le ruban
Figure 24 : les clous
Figure 25 : la boussole
Figure 26 : la peinture
Figure 27 : total station Leica TS 02
Figure 28 : la procédure de mise en station
Figure 29 : implantation des axes des pieux
Figure 30 : recepage des pieux
Figure 31 : la semelle
Figure 32 : contrôle des extrémités de la semelle
Figure 33 : vérification du positionnement des panneaux de coffrage et les arrêts de béton
Figure 34 : implantation des coins du fut sur la semelle
Figure 35 : vérification du coffrage et du ferraillage des futs
Figure 36 : vérification des barres d’attentes
Annexes
Sommaire
Introduction
Chapitre 01 : présentation de l’entreprise
01 : historique
02 : activités
03 : unité de réalisation
04 : unité logistique
05 : unité de fabrication
06 : l’organigramme de l’entreprise
07 : quelques projets réalisés par l’entreprise
Chapitre 02 : notion élémentaire topographie
I-Généralités
01 : l’histoire de la topographie
02 : définition de la spécialité
03 : le géomètre topographe
04 : définition de la topographie
05 : le but du projet
06 : utilisation de la topographie
07 : les différentes parties de la topographie
07-1 :la géodésie
07-2 : topographie planes
07-3 : surface topographique
07-4 : surfaces détaillées
07-5 : topographie aérienne
07-6 : topographie souterraine (profonde)
II- Quelques définitions
01 : azimut
02 : plan topographique
03 : la topométrie
04 : la planimétrie
05 : l’altimétrie
06 : cordonnées géographiques
06-1 : longitude
06-2 : l’altitude
07 : cartographie
08 : levés topographiques
09 : l’implantation
10 : méthodes d’implantation
III- Unités de mesure
01 : sous multiples
02 : multiples
03 : les angles
04 : sous multiples
05 : le gisement
06 : notion d’échelle
07 : classification sommaire des cartes et plans
IV- Nivellement
01 : généralités
01-1 : le nivellement direct ou géométrique
01-2 : le nivellement indirect ou trigonométrique
02 : cheminement
03 : forme des cheminements
03-1: cheminement fermé
03-2 : cheminement ouvert
03-3 : une carte topographique
V-Le GPS (Global Positioning System)
01-foncionnement du GPS

Chapitre 03 : Généralités sur les ouvrages d’arts


I-Introduction : le concept ouvrage d’art
01 : définition du concept
02 : les différents types d’ouvrages d’art
a- les ouvrages de franchissement lié a des voies de communication
b- les ouvrages de protection ou de soutènement
c- Ouvrages de retenues d’eau
d- Autre ouvrage d’art
II-Le viaduc :
01 : un minimum de terminologie
a- Le viaduc
b- Matériaux utilisés dans la constriction
c- Structure
02 : principaux éléments constitutifs d’un viaduc
a- Tablier
b- Piles
c- Fondations
d- Appuis
e- Culée
f- Appareil d’appui
g- Dispositifs de sécurité

III- Le pont :
a- Travée
b- Ouverture L1.L2
c- Portée I1. I2
d- Gabarit de circulation
e- Débouché
f- Tirant d’air
VI- principaux élément constitutifs d’un pont
V-classifications des ponts
01 : suivant la longueur
02 : suivant la nature de la voie portée
03 : suivant le matériau principal dont ils sont constitués
04 : suivant la durée de vie
Chapitre 04 : Contrôle des travaux
I-Introduction :
01 : situation géographique du projet
02 : communes limitrophes de bordj mira
03 : photo aérienne de site (projet)
II- description de projet
01 : les éléments de terminologie d’un pont

III-phases de réalisation de projet


01 : levé de terrain
02 : organisation d’une brigade topographique
2 a : chef de brigade
2 b : le croquiseur
2 c : l’operateur
2 d : le porte mire
03 : le géomètre topographe
IV- le matériel topographique mis a la disposition du contrôleur topographe
01 : matériel utilisé
V- quelques étapes de contrôle de travaux
01 : mise en station
02 : implantation des axes des pieux
03 : les méthodes de contrôle de l’implantation des pieux
04 : les cordonnées d’implantation des pieux
05 : implantation de la semelle
05-1 : définition
05-2 : méthode d’implantation
05-3 : contrôle des niveaux
05-4 : contrôle du coffrage de la semelle
05-5 : cordonnées d’implantation des semelles
06 : contrôle des futs
06-1 : implantation des coins des futs
06-2 : vérification du coffrage et du ferraillage des futs
06-3 : vérification des barres d’attentes
Chapitre 05 : hygiène et sécurité
01 : hygiène et sécurité
01-1 : introduction
02 : accidents de travail
03 : causes des accidents de travail
04 : maladies professionnelles
05 : l’hygiène
06 : sécurité
07 : prévention
08 : rôle
09 : conclusion

Conclusion
Bibliographie
Liste des tableaux
Liste des figures
Annexes

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