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MYSTERIEUX OBJETS CELESTES ET PROBLEMES CONNEXES

Quelque part dans l'Aveyron:


Une extraordin aire s é rie de faits ...
L'e n gin est à 35 mètres du témoin.
Il n'y a en réalité que deux boules,
celles de droite et de gauche, mais
le témo i n a vu dan s d'autres circonsta nces
six boules " accrochées • comme
ci-dess u s .
(Dessin d e J.-L. BONCŒUR
s u r photo pays a g e ) - voir pag e 11 -

AOUT 1 970 • No 1 07 • 1 3e A N N EE • Le No : 3 F,
LUMIÈRES DANS LA NUIT Fo n d a te u r : R . VE I LLI TH
COM I T E DE R E DACT I ON
Cette revue est déd iée à tou s ceu x q u i , à t ravers le monde, recherche n t passionnément la vé r i té . Leu rs découvertes LUMI ERES F. LAGA R D E
so n t a u ta n t de l u m ières d a n s la n u i t a c tuel le de l ' h u m a n ité, et nous g u iden t p a s à p a s ve rs des hor izons nouvea ux.
DA N S LA NUIT A i m é M I C HE L {Con sei l le r Tec h n i q ue, p roblème M.O.C. )

1
R. VE I LLITH
VOICI LE CONTEN U DE C E N U M ERO: .
Le fait d'i nsérer tel ou tel document ne
PAGE 2: CAMPAGNE NATIONALE D'OBSERVATION 1970.
prouve pas nécessai rement que nous en approu·
PAGE

PAGE
3: Poursuivons nos efforts.
NOTRE SERIE c CONTACT LECTEURS
4: UN SIECLE D'ATTERRISSAGES (suite),
• .

par Jacques VALLÉE.


vons tous les termes. C h aque document est
publié d a n s la perspective que, considéré d a n s
POURSUIVO N S N OS E FFORTS
PAGE 10 : RECTIFICATIF. s o n ensemble, i l nous paraît di�ne d'intérêt , et
APPELS DE DETECTEURS. suscept ible de nous mener vers la vérité, qui A considérer la place pratiquement nulle bilités qui s'offrent à nous si nous sommes de
PAGE i 1 : ENQUETE EN AVEYRON, effectuée 90r G. CANOURGUES,
re5te notre but et notre i déa l et que nous plus en plus nombreux et agissants, et poursui­
J. CHASSEIGNE, F. DUPIN DE LA GUERIVIERE et F. consacrée par la presse quotidienne aux obser­
LAGARDE. recherchons sa ns parti pr is. vations de M.O.C., on pourrait croire que le phé­ vons notre route sans faiblir. La Vérité est à ce
PAGE 14: ENQUETE A
Barcelone.
PAGE 16 : ATTERRISSAGE
MATADEPERA

A MEN DOSA
(Espagne),

(Argentine),
par le C.

enquête
E. 1.

de
de

A.
Les documents i nsérés le so nt donc sous la
respo nsabi l i té de leurs a u teurs.
1 nomène ne se produit plus ; c'est le sentiment
qu'éprouve une bonne partie du grand public, et
prix.

BARAGIOLA.
les nouveaux venus parmi nous sont là pour nous
PAGE 19: POURSUITE SUR L'AXE FRANOIS-CHEMAUDIN (Doubs),
enquête de J. TYRODE. TOUTE REPRODUCTION D'ART I C LES ( M EME confirmer cela.
PAGE 20 : UNE NOUVELLE
de J. TYRODE.
PAGE 22 : ON NOUS PECHE... ,
OBSERVATION

par F.
EN

LAGARDE.
COTE-D'OR, enquête PA R T I E L LE), DE DESSI NS, DE PHOTOGRA­
PHI ES, DO I T N EC ESSA I REMENT ETRE ACCOM­ Bien que les observations soient effective­
Notre série "Contact-Lecteurs"
PAGNEE DU NOM DE LA R EVUE, ET DE SON
ment plus rares depuis l'automne dernier (nous
PAGE 24: PORTRAIT TYPE D'OCCUPANT DES M. O. C. (dessin de
1\D RESSE . Un ce r ta i n nom bre de lecte u r s sem b l e n t méco n n aî­
M. TALLÉ.
rédigeons cela fin juin), le phénomène ne cesse tre q u 'o u t re l es n u méros normaux de « L u m i ères d a n s
pas pour autant, il s'en faut. Les rapports que l a N u i t » q u i p a ra i ssen t s i x fo i s p a r a n , n o u s p u b l ions
ABONNEMENTS nous publions dans nos deux séries de numéros éga lement, tou s les deux mois, en a l te r n a n ce avec ces
( Tout c h a ngement d'adresse doit être accompagné de 1 F) l'attestent ; bien souvent les indications données de r n i ers, u ne série de n u méros sou s- t i trés « CONTACT­
1

permettent, à ceux qui veulent s'en donner la LECTE U R S ».


« Lumières d a n s la N u i t » assu re p l u sieurs p u b l icat ions, d'où les possibi l i tés su iva ntes :
peine, de retrouver des témoins et de constater
A) E n février - avri l - j u i n - août - octobre - décembre, u n n u méro consacré aux mystérieux ob­
que ce que nous avions inséré est le rigoureux D a n s les trois n u mé ros p a r u s d a n s la sene de
j ets célestes et p rob lèmes con nexes ( 24 pages), accompagné de 8 « Pages Supplémen t a i res » t r a i t a n t cet te a n née, nous rel evons u ne fou l e de doc u m e n t s
de d i verses questions importantes ( problèmes huma i n s, respect des lois de l a v i e , spiri t u a l i té, p roblè­ récit (parfois résumé) issu des éléments qui
d i vers, d' u n très v i f i n térê t. Ce l u i d u mois d e j a nvier
mes cosmiq ues, étude de l 'i nso l i te). nous ont été communiqués, soit directement, soit
comporte : l a s u i te d u C a ta l ogue de J . Va l l ée « U n siè­
B} après intervention d'un ou plusieurs enquêteurs. c l e d 'a t te r r i ssages », do n t nous recevon s s a n s cesse
Comme ci-dessus, le numéro consacré aux mystérieux objets célestes et p roblèmes con nexes, SANS les
« Pages Supp lémenta i res >>. des échos renda n t compte de l ' i mport a n ce de ce doc u­
Depuis 22 ans, il y a toujours eu des périodes ment ; le Cou rs de Photog r a p h i e a s t ronomiq u e de M.
C) En j a nvier - mars - ma i - j u i l let - novembre ( septembre excl u), u n n uméro consacré ent ière­ de pointe et des creux dans le nombre des cas Mo n ne r ie, u t i l e pou r tous ce u x qui veu l e n t nous a i der
ment a u x M.O.C ., sous-t i t ré « Contact-Lecteu rs ». I l est fait une t rè; l a rge pl ace a u x observations des
observés. Sans pouvoir être jamais absolument dans l a déma rche scienti f i q u e q u e pe rmet not re o rg a ­
lecte u rs de L .D.L .N., p u b l ie des enq uêtes nom breuses, comporte la Tribu ne des jeu nes, et des consei l s
sûr qu'une recrudescence surgira à telle ou telle n i s a tion ; n e u f rapports d 'observa t ions, m a g n i f i q u e­
pratiques { 1 6 pages).
époque, ni quelle sera son importance, il con­ ment i l l u s t rés de dessi n s de F. Laga rde ; et en f i n l a
FORMULES D'A BON N EMENTS
vient de rester vigilant de jour en jour. Tribu ne des Jeunes.
A) A BON N EMENT ANNUEL ord i n a i re : 24 F de soutien : 30 F
A BON N EMENT SIX MO I S ord i n a i re : 1 3 F de soutien : 1 6 F D a n s le n u méro de m a rs, f ig u re n t les tro i s photo­
Il est certain que nombre de cas du plus vif
B) A BON N EMENT ANNUEL ord i n a i re : 1 8 F de sou tien : 22 F g r a p h ies de l 'objet obse rvé à la Sou terra i ne ( C reuse ) ,
intérêt restent ignorés de nous ; celui de l'Avey­
A BON N EMENT S I X MO I S o rd i n a i re : 1 0 F de sou t ien : 1 2 F p u i s d e nombreux rapports d 'observa t i o n s , p a r m i les­
ron, qui comporte toute une série de faits restés
q u e l s l es p l u s m a rq u a n ts sont ceu x de Sa i n t-Va a st-l ès­
C} A BON NEMENT A N N U E L o rd i n a i re : 1 0 F de sou t ien : 1 2 F lor.gtemps méconnus, et dont nous entreprenons Me l l o et de Smyrne ; et bien entendu nous t rouvons
ETRANGER : m a j orat ion de 2 F s u r les divers abonnements, par mandats i n ternationa ux ou a u t res moyens. la publication dans ce numéro, parait en être un en core l a s u i te d u Cou rs de Photog r a p h i e a s t ronomi­
Les coupo n s réponses i ntern ationaux sont acceptés : un coupon = 0,80 F. extrêmement important, peut-être unique en son que, la T r i b u ne des Jeu nes ( OVN I et mouvemen t d i u r­
SPE C I M E N GRAT U I T SU R DEMANDE. genre. Chacun, autour de soi, en faisant com­ ne ) et « Un siècle d'a tte r r i s s a ges ».
VERSEMENTS ET CORRESPONDANC E : à ad resser à M . R . VE I LL I T H, « Les Pins » , 43-LE C H AM BON-S U R­ prendre le sérieux du sujet, document à l'appui,
L I GNON . C .C .P. : 27-24-26 LYON. A u s s i ca p t iv a n t que les p récéden t s est le dernier
doit pouvoir de temps à autre sortir des oubliet­
ATTENT I ON 1 n u m é ro paru, en ju i l let, a vec a u som m a i re : La Tri­
tes tel ou tel cas comportant des éléments de
SEULE L'ENVELOPPE D'AD R ESSE I N D I QUE ET PORTE LA MENT I ON QUE VOT R E ABON N EMENT EST TER­ bune des Jeu nes, u n pet i t Pa nora m a des observa t i o n s
premier intérêt. de 1 969, d e s cas de d i ve rses pa rties d u monde : U .S .A.,
M I N E, ACCOMPAGNE D'UNE FLECHE ROUGE V I S I B LE.
Argen t i ne, Be l g i q ue, Espa g n e, S u i sse, Rou m a n ie e t le
...
Ce n'est que par un effort soutenu, incessant, Cou rs de Photog r a p h i e a s t ronom i que. Le tou t acco m ­
et chacun selon ses possibilités, que nous par­ p a g n é de 1 7 des s i ns, p l u s l a photo d e l a comète Benett,
CAMPAG N E N ATIO N A L E D'OBSERVATION 1970 viendrons à avancer vers une vérité moins par­
tielle, mais beaucoup plus vaste. Cela ne peut
réa l i sée pa r u ne de nos l ect rices .

résulter que d'une immense œuvre collective. Nous pensons q u ' i l est u t i le, pou r ceux q u i ne so n t

chaque fin de semaine, du samedi à 21 heu res au di manche à 2 heu res, et pou r ceux qui l e
Comme l 'an dernier, e l le a débuté dès le mois de ju i l let ; l 'effort pri nci pa l se porte p a s a u cou r a n t , d e s i g n a l e r e t mettre e n év i dence l a
Aucun homme, si grandes ses connaissances
sou rce doc u men t a i re i m po r t a n te q u e con s t i tu e notre
peuvent jusqu 'à 6 heu res. soient-elles, n'a le pouvoir de donner la solution
série « CONTACT-LECTEURS >> t a n t pou r le cherc h e u r
totale du problème M.O.C. Si quelqu'un osait q u e pou r t o u s ceux q u i veu l e n t se ten i r a u cou ra n t d u
M E M ES CON S I G N ES Q U 'EN 1 969 : se munir de jumel les, i nstrument astronomique,
affirmer qu'il en est capable, ce serait bien pré­ p rob lème M.O .C . et d e ses d i vers a spects.
camera, boussole, détecteu r, apparei l photo ( en tenant compte des consignes R ES U FO Voi r •
somptueux de sa part.
L.D.L.N. 1 06).
La série a n n uel l e 1 970, q u i com p rend 5 n u méros
Bien noter par écrit les observations év entuel les de M.O.C. et nous les adresser. Bon Lorsque nous jetons un regard en arrière, de 1 6 pages, est d'un coû t de 1 0 F ( so u t ie n 1 2 F ) .
courage , et merci ! considérons le chemin parcouru depuis la fonda­ Les séries 1 96 8 et 1 969 so n t e ncore d i spo n i b l es à
tion de cette revue, soyons conscients des possi- 1 0 F l ' u ne éga lemen t .

-')-
3
f,
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0 Sta bles . Lo n g d'environ 3,50 m, ha u t de 1 m et doté
E n prem ière parution m ondiale : 587 ) 1 5 Novembre 1 963, Bloomi ngd a l e ( New Jersey) : d'une sorte de pa re-brise p lu s b rilla n t que le reste de
l 'engin . I l décolla, vola 30 mètres à l ' horizon t a le, et
Peter Va l ko et J im Keos i a n cou r u re n t en d irection
échappa au reg a rd . On t rouvél q u a t re e m p re in tes �t

UN SIÈCLE D'ATTERRISSAGES
d'un objet é t ra n ge qui sem b l a i t sur l e poin t d ' a t terri r,
(suite)
l ' herbe é t a it a p la t ie s u r u ne zone c i rcu l a ire. ( BU ­
m a i s cel u i -c i « s 'éva nou i t » . ( B inde r )
FO RA 1 )

Catalogue général d'observations de M.O.C. sol de 1868 à 1968


01 0
au

par Jacques VALLÉE


588 ) 1 6 Novembre 1 963 d a ns la soirée, Sal twood
594 ) 3 Avr i l 1 964 2 1 : 00, Monticello ( Wisconsi n) :
( G ra nde-Bretag ne) :
Alors q u ' i l s rou l a ie n t à envi ron 2 km de Mon t i cello
Q u a t re adol escen ts, don t John F l a xton ( p rofess ion :
q u a t re person nes observè re n t u ne s t r u c t u re composée
pei n t re ) , a l ors q u ' il s m a rcha ie n t s u r u ne rou t e de
Voic i , en exclusivité pou r tous l es pays de l a n gue Cet te p u blic a t ion , d'un i n térê t u n i q ue, est le rés u l­ d'in ten ses lu m ières rouges et b l a nches, a ppa remment
campagne, v i re n t u ne étoil e q u i bou gea it , se m ue r e n
fra nça i s e, la s u i te d u t rès i m po r t a n t doc u me n t t a t d ' u n effo rt collectif et ine r n a t i o n a l, réalisé a vec soli d a ires d ' u n v a ste objet q u i s 'a p p rocha d u n ivea u
u ne l ueu r rougeâ t re se d ir i gea n t v e r s e u x , p u is d i s ­
a n noncé d a n s notre n u mé ro d e fév r i e r 1 9 6 9 . P l u s de l'a i de des membres d u « Coliège I nvis i b le » ( Sa v a n t s du so l , res t a suspendu en l'a i r, p u is s 'envola au loin
p a r a i s s a n t derrière d e s a rb res . P e u de t e m p s a p rès, •

900 cas sero n t p u b l iés d a n s l 'ordre chronolog i q ue, cla ndes t i n s ) et b a s é p a r t i e l lement s u r l e u r s a rchives. t rès rapidemen t . ( AT I C, Cha ll enge 3 1 )
ils aperç u re n t à 80 m de l à u ne l u m ière dorée, b r i l­
accompag nés de p hotog raphies, c a r tes e t dess i n s , la n te, q u i flo t t a i t à envi ron t ro i s mètres du sol ; et
pou r cer t a in s d'ent re eux . I l con t i e n t not a m me n t l es Ce doc u me n t fou r n i t l e p remier s t a n d a rd in te r n a · a lors se dirigea vers eux u ne s i l houette so m b re de l a 0
cas d ' a t te r r i s sages t i rés des dossiers de I'U . S. A i r t i o n a l pou r l'é t u d e d e s M .O .C . et d u comportemen t t a ille d ' u n hom me, avec des a i l es comme u ne cha uve­ 595 ) 22 Avr i l 1 964 2 1 : 00, Lordsbury ( New Mexico) :
Force, et pa r conséq u e n t i nédits. d e leu rs occ u p a n t s . so u r i s . I l s s'enfu i re n t , terrorisés . ( F . S . R . 64, 2 ; Ma­
Ma rie Morrow et deux a u t res pe rson nes se d irigeaie n t
gon ia )
vers l'o uest, en vo i t u re, à e nv i ro n 20 k m à l 'est de
Lo rdsbu ry lorsque le secteu r tou t e n t i e r f u t ill u m iné
e1
SYMBOLES UTILISÉS par u ne l u m ière b l e u â t re « a u ssi brilla n te q u e l e j o u r »
et u n objet ron d s u rvo l a la voit u re à envi ron 3 m
589 ) Décembre 1 963, J a pon ( l ieu exac t i ncon n u) :
e OBJET POSE AU SOL
Atterri ssage d ' u n objet, ra pporté p a r u n J a po n a i s : il
de ha u teu r en émet t a n t u n b r u it p la in t if, p u is d i s­
p ar u t en d irec t ion du nord. ( APRO m a i 1 964 )
0 OBJET PRES DU SOL, OU A BAS!;E ALTITU DE émerge de ce t objet un ê t re, q u i s ' a d resse à l u i d a n s
u ne 1 a ngue q u ' i 1 n e p e u t co m p re n d re, reg a g ne s o n bord
e OBJET DANS L'EA U , OU AU-DESSUS A BASSE ALTITUDE e1
et s 'envole au loin . ( L. D. L. N . 67 )
596 ) 24 Avr i l 1 964 1 0 : 00, Tioga City ( New York):
U N , OU PLUSIE URS ETR ES OBSERVES
22:30 signifie 22 heures 30 minutes.
e Ga ry T . Wilcox, fer m ier-lait ier, aperçu t un objet bril­
Les heures sont indiquées ainsi : l a n t e n fo rme d ' œuf, posé dans son c ha m p et mesu­
590 ) 1 0 Décembre 1 963 2 3 : 30, Cosford ( Grande-Bre­
rant envi ron 8 m de l ong e t 6 m de la rge . I l p a r la
tagne) :
e1 01 en a ng l a is à deux n a in s de 1 ,20 m de ha u t vêt u s d'ha­
Au c a m p de l a R . A. F . observ a t ion p a r deux a v i a teurs b i t s et d e capuchons s a n s cou t u res et t ra n s po rta n t des
582 ) Octobre 1 963 09 : 00, Whidbey I s l a n d ( Washi ng­ 5 84 ) 2 1 Octobre 1 963 2 1 : 30, Trancas ( Argenti ne) : de l ' a t te r r i s s age derriè re u n ha nga r d'un objet en p l a te a u x ( H u m a noïds 59, Magonia ).
ton) : Six objets étra n ges obse rvés penda n t 40 m i n u tes o n t fo rme de dôme q u i émet t a it une l ueu r brilla n te ; lo rs­
Observa t ion p a r u ne fem me d ' u n ce rta i n âge ( aya n t c a u sé u ne p a n iq u e loca le . L' u n d'e n t re e u x é t a it s u s­ q u ' u ne ouve r t u re devin t v is ible l es témoin s s'en f u i­
déj à aperçu le mois de j u i ll e t p récéde n t u n engin pendu au n i vea u d u so l a u-des s u s de ra i ls de c he­ rent . ( F . S . R . 64, 2 ) e1
étra nge i m mobil isé en l 'a ir p rès de sa m a ison ) , d ' u n m i n de fer, t a n d i s q u ' u n a u t re, avec dôme et hu blots, 597 ) 24 Avr i l 1 964 1 7 : 45 , Socor ro ( New Mexi co) :
objet de cou le u r g r ise, l o n g de 3,50 m, im mobil e à se ten a i t p rès d ' u ne m a ison . Lo rsque des témoin s eu­ 0
Le pol i c i e r Lon n i e Za mora observa l ' a t terrissage d ' u n
moi n s de 2 m du sol. A t ra vers l 'ava n t t r a n s p a re n t rent i ll u m iné la scèn e un bref in s t a n t , la m a ison f u t 59 1 ) 1 4 Décembre 1 963 0 1 : 00, Vereeniging ( Afrique en g i n bla n c, repos a n t s u r q u a t re pieds, d a n s u ne dé­
ell e pouva i t voir t rois s ilhouet tes . Tou t à c o u p l' u n i nondée p a r u n p u is s a n t rayon l u m ineux. La tempéra­ du Sud) : p ression à 4 km de Socorro. Deux êt res, de t a i l l e i n­
des occu pa n t s f u t s u r la pelouse. I l était vêt u d ' u ne t u re s 'éleva et on nota u ne ode u r de soufre. Au voi­
MM. M u l l e r et lm mel m a n t rouvè re n t tou t à co u p l a férie u re à l a moyen ne et vêt u s de bla n c, se te n a ie n t
« com b i n a i son à tex t u re d ' a m ia n te » et on ne voyait si n a ge des p re m ie rs d i sques on a pe rç u t des s i l houet­
ca mpagne i ll u m inée ; ils v ire n t u n o b j e t d e 1 5 m de a u p rès d e l u i. S u r l a s u rface d e l'ob j et sem b l a n t e n
ni son vi s age, ni ses m a i n s , ni ses pied s . Lors q u 'e l le t es . Cha c u n des six objets éta i t m u n i de deux rayons
dia mèt re, avec d'intenses lu m iè res o r a n ges et b l eues, a lu m in i u m il aperç u t u n i n s igne r o u g e d e 30 c m . Avec
dem a n da : « Q ue dési rez-vous ? », l a répon se, en a n­ l u m ineux, u n bla nc et u n rouge ; il s mes u ra i e n t 8 m
émet t a n t des ét incelles, q u i volait e n d irec t ion de leu r un p u i s sa n t rugissement l'e n g in s'éleva de 4 m , d ev i n t
gla is, f u t : « L' u n de not re g ro u pe vou s con n aît ; nous de d ia m è t re et laissèren t un n u age de fu mée b l a nche.
voit u re d'où ils s a u tè re n t a p rès a voir s toppé : e n effet , s ilencieux, p l a n a et s'envola . Des t races o n t é t é obser­
reviendrons » . La t a il le de l 'objet se m it a lors à di­ ( P. 1 4 5, L.D. L. N . 66 )
m i n uer, il se ba l a n ç a , s'e n fonça p a r t ie l lement d a n s le à cinq ou s ix rep r ifes l'e n g in p iq u a s u r e u x , à u n mo­ vées ( AT I C, Challenge 34, Hu m a noïds 47 ) .
so l , rep r it s a t a i ll e in it ia le et p a r t i t vers l'est, p rod u i­ 0 men t do n né, les s urvola n t , immobile, à 15 m d'a l t i­
s a n t de l a vapeu r, u n éc l a ir et u n b r u it . ( F .S . R . 64, 6 ) t u de penda n t deu x m in u tes, é m et t a n t u n bou rdon ne­ •
5 8 5 ) ' 3 1 Octobre 1 963 04 : 1 5 , Daylston ( Aust ral ie):
men t ava n t de s 'envo l e r au loin . (P. 1 46, F . S . R . 64, 3 )
Jim Davidson vit un objet d'environ t rois mèt res de 598 ) 26 Av ri 1 1 964 1 2 : 30, La Ma der a ( New Mexico) :
long, m u n i de l u m iè res orange et rou ge, s ' a p p rocher
e1 e1 O r l a ndo Ga llegos observa u n obj et métall iq ue, b r i l ­
de s a c a m io n n e t te, la s u rvol er, p u is s'en a ller , semble­
583 ) 1 2 Octobre 1 963 à l ' a u be, Ven ado T uerto ( Ar­ la n t , e n forme d ' œuf posé a u s o l à 70 m de lu i, a u
t-il, a t t e r r i r der r ière u ne colline. Deux témoin s , c h a ­ 592 ) 25 Décembre 1 963 de n u i t , Librev i l le (Ga bon) :
gen t i ne) : nord d e La Made r a . Des fla m mes bleues sembla ie n t
c u n de leu r côté, rapportèrent a voir vu u ne lu m ière
Témoig n age d ' u n pêche u r : a t terrissa ge d ' u n e n g in d'où e n to u re r l a b a s e de l'engin , lu i-même s il encieux e t de
E . Dou g las, penda n t q u ' il con d u is a it un c a m ion a u q u i m a n œu v r a it . ( Au s t r . F .S . R . May, 64 )
émerge u ne c ré a t u re terrif i a n te, de forme h u m a noïde ; la longueu r d ' u n pote a u télépho n iq u e . Selon le ca p i­
co u rs d ' u n viole n t orage, f u t o b i igé d e s'a r rêter l o rs­
• elle émet des sons inco m p réhe n s ibles pou r le pêche u r , t a in e de police M a r t in Vigil, l'on nota des traces de
q u ' il renco n t ra un t rès g ra n d objet, aveugla n t , ha u t l a i sse d e s e m p rein tes d e p a s s u r le s a ble, revie n t à
- com b u s t io n et q u a t re e m p rein tes . ( Perso n nel )
d e 3 5 m , d u quel émergè re n t t rois géa n t s , ha u t s de son engin et d ispa raît d a n s l a n u it . (P. 1 47 , L.D . L. N .
586 ) 3 1 Octobre 1 963 1 4 : 00, R ivière Peropava ( Bré­
3 m, vêt u s d ' ha b it s l u m ineux et coiffés d'ét r a n ges 70 )
casq ues . Comme un rayon rouge le brû l a i t , Dou g l a s
si l) : 0
f i t feu d a n s leu r d irection . I l p r it l a f u ite e n cou r a n t Un fe r m ie r , lss u o Oi k i t i, et deux a u t res témoins vire n t 599 ) 28 Avr i l 1 964 m a t i n , A n t hony ( New Mexico) :
et t rouva refu ge à Mon te Ma iz. I l souffra i t de b r û ­ u n o b j e t lu m i ne u x q u i ressembla i t à u n e énorme ba lle •
De nombre u x témoin s , p a r m i les q u e l s le policier Pa u i
lu res sem b l a b l es à cell es résu l ta n t d ' u ne exposit ion d'alu m i n iu m ; la q u e l l e toucha la rivière, c ha ngea de 593 ) 27 Décembre 1 963 1 6 : 00, Epp i ng ( Grande-Bre- Ar teche, v ire n t u n objet ronel, rougeâ t re, p la ne r à
aux u lt ra-vio l e t s . On t rouva sur l e s ite des emp rein tes d irect ion a l ors q u 'elle tou r n a i t s u r ell e-même, t ra­ tag ne) : basse a l t it u de p u is s'éleve r t rès r a p idemen t vers
de pieds de g r a n des d imensio n s . ( CODOVN I 1 96 3 , versa j u squ'à l'a u t re côté et plongea dans l'e a u ; c elle­
Un objet b l a n c et brilla n t a été aperçu a u sol à B a n k's l'ouest . ( N I C AP j u i llet 64 )
A u s t r . F . S.R . 8 , Magonia ) ci se m b l a bou i ll ir . ( Vu illeq uez)

5
- 4
• l i nocket aperç u t un objet sphériq ue, e n f l a m mé, a u
bord d e l a rou te . I l s 'a r rêta et q u i tta l a vo i tu re avec 0 semb l a n t en a l u m i n i u m , i m mob i l e à envi ron 1 5 m a u ­
600 ) 30 Avr i l 1 964, Bake r {Ca l ifor nie) : des s u s d u sol . Le bord d e l 'a p p a re i l p a r a i ssa i t f l uo res­
un a u tre témo i n po u r m ie u x l 'obse rve r . Q u a n d i l s pri­ 6 1 3 ) 1 4 J u i n 1 964 2 1 : 00, Dale ( I nd i a na) :
G l o r i a B i ggs, son m a r i et sa m ère, obse rvè ren t u n ce n t , et tro i s rayons d'u ne l u m iè re très b r i l l a n te o n t
ren t peu r et retou rnère n t à l a voi tu re, l a s p hère l es C h a r les E n g lebrech t est sorti de sa m a i son q u a n d tou­
objet b r u n e n forme d e dôme a u sommet d'u ne co l ­ é t é é m i s ava n t q u 'i l ne déco l l e à g ra n de v i tesse . Du rée
s u i v i t ; le mote u r de l e u r vo i tu re ne p u t déma rrer tes ses l u m i ères et son pos te de télév i s i o n se so n t
l i n e s i tuée à envi ron 1 7 k m à l 'ouest de B a ke r s u r t a n t' q ue la sphère resta à 2 ou 3 mètres . Ce l l e-c i s'en­ tota l e : 6 m i n u tes. ( AT I C )
l a N a tiona l e U .S . 9 1 . I l s l e perdiren t de vue u n in s ­ b r u sq u emen t étei n ts . I l a vu u n obj et, d 'u n d i a mè­
vo l a c i n q m i n u tes a p rès . E l l e ressem b l a i t à u ne bou l e t re d'envi ron 30 c m , émetta n t u ne l ue u r b l a n c h e et
ta n t, ne l 'aperç u re n t p l u s pa r l a s u i te et trouvè re n t d e feu , s a n s fo rme p réci se, d'en v i ron 75 c m d e d i a­ e
u ne dép ression a u s o l à c e t e n d roi t. ( F . S . R . 64, 5 ; bleue. E n essay a n t de s'en a p p rocher, l e témoi n a res­
mètre. {AT I C ) sen t i u n l éger choc é l ec t r i que et i l a été i n capab l e
A n a tomy 75 ) 6 1 9 ) 28 J u i l let 1 964 2 2 : 30, Lake C he l a n {Wash­
d'avancer. Traces s u spectes . Dou tes s u r l a s i ncéri té i ngton) :
e e du témoi n . ( NI CAP j u i l l et 64 ) ( Pe rson ne l )
Un a n c ie n p i lote de l 'aéron ava l e et u n a u tre hom me,
tou s deux con s i dérés co m me d i g nes de foi , t ra va i l ­
60 1 ) 30 Avr i l 1 964 2 2 : 30, Ca nyon Ferry {Mon t a n a) : 608 ) 2 J u i11 1 964 1 6 : 00, Hobbs {New Mexico) :
e1 l a i e n t d a n s u n c h a m p q u a n d i l s o n t v u u ne lu m i ère
P l usieu rs a d u l tes a nonymes observèrent u n objet a l ­ i n tense, en forme de cône, en provena nce du sol . U n e
Un objet « no i r e n tou ré de f l a m mes » est à l 'ori g i ne
longé et br i l l a n t. Deu x e n f a n ts v i re n t un e ng i n éc l a i ré 6 1 4 ) 1 5 J u i n 1 964, Arica ( C h i l i) :
des br û l u res s u b ies p a r u n enfa n t de 8 ans qui dit l u m ière semb l a b l e f u t observée d a n s l e c i e l a l o rs q u e
a tte r r i r p u i s décol l e r, l a i s s a n t a u so l q u a tre tro u s rec­ Un m i neu r, R .A . Do noso, a observé l 'a tte r r i s sa ge d'u n ce l l e d u sol s 'étei g n a i t ; p u i s d e n o u v e a u l e co n tr a i re
avo i r vu l 'objet desce n d re du c ie l . Sa g r a n d-mère, Mme
ta ngu l a i res . ( APRO j u i l l e t 64 ) é t ra nge app a rei l . De ce de r n i e r son t sorti s deux hoJ'YI se p rod u i s i t . Un objet rond, p a ra i s s a n t en a l u m i n i u m ,
F ra n k S m i t h , q u i se ten a i t à p rox i m i té e n te nd i t u n
bru i t ressem b l a n t a u s i ff l emen t d'u ne ba l l e m a i s n e mes à la pea u c l a i re qui o n t de m a n dé de l 'e a u dél . � d'u n d i a mè t re d'envi ron 1 0 m , a vec u ne l u m i ère rouge
e vi t r i e n . L'enfa n t accusa des brû l u res d u secon d deg ré u ne l a ng u e q u i se m b l a i t êt:-e u n m é l a nge d 'a n ç:lai s et et u ne a u t re b l a nche, est a l ors a p p a ru et est descendu
602 ) 5 Mai 1 964 8 : 30, Comstock {Mi n nesota) : su r l a f i g u re, et perd i t u ne pa r ti e de ses c h eveux . d 'espa g no l . Donoso leu r a don né u n peu d'ea� du ra­ a u n i vea u du sol avec un fort s i ff l e me n t compa r a b l e
( Sau cer News, m a rs 6 5 ) d ia te u r de sa vo i tu re, et i l s son t p a r tis . Lel r eng i11 à cel u i d'u n pe t i t réacteu r . On a e n tendu d e s voi x
A l fred E r n s t, fer m i e r , aperç u t u n objet s 'é l eva n t d'u n
a va i t envi ron 3 m de long s ur 1 m de la rge. ( F .S . R . a i g u ës et perça n tes, co mme cel l es d 'e n fa n ts q u i j o u e n t.
c h a m p et d i s p a ra i ss a n t ra p i dement d a n s l e s n u a ges .
1 965, 2 ) Au bo u t de 40 m i n u tes, l 'a p p a re i l a déco l l é . A u pa ra­
I l l e déc r i v i t com m e éta n t ova l e et l 'on décou v r i t u n
v a n t, un avion à réac t i o n , vol a n t à f a i b l e a l t i tu de, a
creux e t des e m p rei n tes a u so l . ( F .S . j u in 6 5 )
effectué des cerc l es a u-des s u s de l 'e n d ro i t où se trou­
609 ) 2 J u i n 1 964 1 7 : 30, Leam Lane {Gra n de-Breta­ 0 va i t l'e n g i n . Le 3 1 j u i l l et et le 1 er aoû t la rég i o n , fo r ­
gne) :
e 6 1 5 ) 7 J u i l let 1 964 2 1 : 00, Ta l l u l a h F a l ls {Georgie) : tem e n t boi sée, a été expl orée, en h é l i coptère et à p i ed,
603 ) 9 Mai 1 964 1 1 : 00, Mogadore {Oh io) : Dav i d W i l so n , 1 4 a n s, a l l a i t don ne r de l 'herbe à ses par le s h é r i ff N i cke l ! et un off i c i e r de l 'US A i r Fo rce,
P l u s ieurs loca ta i res de d i ffére.ltes m a i so n s , y com p r i s
l a p i n s , lorsq u 'il s 'a r rê t a , avec d 'a u tres enfa n ts, pou r m a i s rien n 'a été trouvé . ( AT I C )
Tro i s e n fa n ts , Joh n Owens, Chery l G l u n t et Be r n i e J . l vester, o n t d i t a vo i r v u u n o b j e t ressem b l a n t à « u n
observer u ne demi -douza i ne d e n a in s d 'e nviron 80 c m
Mon te l l o, aperç u re n t u n objet a rgenté e n forme de to i t vol a n t » . On a rapproché l a p résence de l 'objet
d e h a u t , h a b i l lés e n ve r t br i l l a n t e t m u n i s d e m a i n s
dôme a r rive r du s u d et a tterri r d a n s un c h a m p à de pe rtu rba tio n s d a n s l e p rog ramme de T.V. L'en g i n •
éc l a i rées ressem b l a n t « à des a m pou l es é l ect r i q ues »
1 50 m d 'e u x . Di a mètre esti mé : 3 m . ( F .S. j u i n 6 5 ) a vo l é si lencieusemen t à h a u te u r d 'a rbre et s'est a r­ 620 ) 30 J u i l let 1 964, F lemi ngton {New Jersey) :
et q u i se m b l a ie n t chercher q u e l q u e chose . U n e a u t re
rêté a u-des s u s de l a co u r de l a m a i son de M me R u s sel
enfa n t s i g n a l a p l u s ta rd q u 'e l l e a va i t vu u n objet a r ­ Un objet b l a n c h â tre et e l l i p t i q u e a s u i vi u ne voi t u re
M i c k i n a n . La p a r t i e i n férieu re éta i t d'u n rouge bri l ­
e genté, en forme d e d i sque, et d e l a ta i l l e d'u ne a u to, pu i s a a tte r r i d a n s u n c h a m p . L'a u tomobi l i s te est des­
l a n t, avec tro i s f e u x s u r l a pa rtie s u pé r i e u re . Q u a n d
604 ) 1 3 Mai 1 964, Rio Vista {Ca l i forn ie) : s 'é l ever d u même e n d ro i t . ( F . S . déce mbre 64 ) cen du pou r l 'observe r, m a i s e n voya n t l 'objet déco l l e r
i l est p a r t i , u ne l u m i ère verte a i l l u m i né l a c a m p a g n e.
d a n s sa d i rection, i l a p r i s peu r et a dém a r ré . {N I CAP,
U n e femme aperç u t deux objets dont l 'u n a tte r r i t d a n s U n e ode u r p u i ssa n te, com p a r a b l e à ce l l e d 'u n « l i q u i de
Sep tembre 64 )
u n c h a m p . Ce l u i-ci éta i t r o n d et l u m i ne u x . ( N I CAP d'em ba u memen t », éta i t e n core déce l a b l e à l 'a r rivée de
j u i l l et 64 ) la pol i ce . Le l e ndem a i n , l es témoi n s o n t ép rouvé u n e
6 1 0 ) 5 J u i n 1 964 , Paj asbla ncas {Argenti ne) : sensa tion de b r û l u re s u r le vi sage et s u r les bra s . e
{C h a l lenge 39 )
0 Un docteu r de 42 a n s et sa femme éta i e n t à 30 k m 62 1 ) 1 2 Août 1 964 2 2 : 00, Brekkens Corner {Monta­
d e l 'aéroport q u a n d u n objet in tensémen t b r i l l a n t e s t na) :
605 ) 1 7 Mai 1 964 2 1 : 00, Massi l lon {Oh i o) :
appa ru deva n t eux s u r l a rou te. Avec l e u r voi t u re, i l s
Un objet f l a m boya n t, m a n œu v r a n t à basse a l ti t u d e,
0 Les témoi n s sont desce n d u s de l e u r voi t u re pou r ob­
s e sont a p p rochés très p rès e t i l s o n t v u tro i s h o m m es
6 1 6 ) 1 4 J u i l let 1 964 le soi r, T a l l u l a h F a l ls {Georgie) : server un objet ressem b l a n t à u n e « meu l e en f l a m ­
f u t aperçu de Wooster et de S m i thvi l le à 2 1 h 1 0 pu i s vêtu s de g r is . L'u n d 'e u x l e u r a dit, en espa g no l , avoi r
d e Law r�nce e t d e B u rba n k e n tre 2 1 h 2 5 et 2 1 h 3 0 . « une m i ss ion s u r l a terre » (Humanoïds 39). M l le P. Upton est ren trée chez e l l e en cou ra n t et a u m e », aya n t l a forme d'u n ova l e o u d'u n croi ssa n t :
bord d e l a c r i se d e n erfs . E ta n t à b i cyclette a vec u ne i l s'est é l evé du sol et a été perdu de vue d a n s l a d i ­
I l vo l a it d'u ne façon déso rdo n née et bruya n te, c h a n ­
a m ie, e l les ven a i e n t de voi r u n objet, vol a n t bas, q u i rec ti on d u s u d . ( Perso n ne l )
gea n t de cou l e u r ëpp a re m m e n t e n i n te rfé ra n t avec l a
r a d i o d e l a pol i ce . I l descen d i t vers l e nord-ouest, 0 l es ava i e n t terrifiées . U n e fo rte ode u r dés agréa b l e a
sem b l a n t p rêt à atterri r . U n e rad i o-activité a n o r m a l e été éga l ement notée. ( F a te, Novembre 64 ) e
6 1 1 ) 8 J u i n 1 964 2 2 : 30, Lawrencevi l le {I l l i nois) :
fut notée à c e t e n d roi t. {A KRON , U FO, R e s . Soc . )
622 ) 25 Août 1 964 2 2 : 30, Lyn n {Massachusetts) :
H é l ène R eed a observé u n objet q u i tou rbi l l on n a i t à
5 m a u -des s u s du so l . A u ne d i s ta n ce de moins de R i c h a rd Pra t t ( 17 a n s ) a e n te n d u u n s i fflement et a
e vu descendr-� au n i vea u du sol u n objet ova l e a rgen té,
20 m , il s 'av a n ça i t e t s 'é l o i g n a it avec des vi rages à 6 1 7 ) 1 6 J u i l let 1 964 1 5 : 00, Co n k l i n {New York) :
606 ) 1 8 Mai 1 964, H u bbard {Oregon) : a ng l e d ro i t. I l ava i t u n dôme d 'où ém a n a i t u ne l u ­ e n tou ré d 'u n l éger h a l o b l a n c et s u rmonté d 'u n dôme.
E d m u n d Travis ( 9 a n s ) , R a ndy Tra v i s ( 7 a n s ) , F l oyd
Un objet b ri l l a n t, a rgen té, de 3 m de :o ng et de mi ère co l o rée ( u n b l e u tou r na n t a u rouge ) et des U n objet s i m i l a i re ava i t été observé u ne heu re p l u s
Moore ( 1 0 a n s ) et deux a u tres g a rço n s o n t vu un n a i n ,
1 ,50 m de h a u t, reposa n t s u r q u a tre pieds, et do n t ba ndes de l u m ière j a u ne. L'objet fu t pe rdu de vue tôt à L i ttl eto n , à en v i ron 5 0 k m à l 'ouest, p a r q u a tre
a vec u n cos tu me noi :- et u n casque aya n t u n e pa rti e
l a p a r t i e a n té r ie u re éta i t e n forme d e cône, f u t aper­ derrière des a rbres, vers l e nord . ( N I CAP j u il l e t 64 ) g a rço n s . I l s o n t d i t q u 'i l éta i t d 'u n g r i s a rgenté, a vec
vi trée deva n t l e vi sage : i l a va i t l 'a ir d 'u n être h u­
çu d a n s u n c h a m p de b l é p a r u n enfa n t de 1 0 a n s, tro i s feu x rouges c l i g nota n ts et un feu b l a n c . ( N I CAP,
m a in . I l a dem a ndé un peu d 'ea u avec u ne voi x étra n­
M i ke B izon . I l émetta i t un b r u it i n te r m it te n t, s'é l eva Septe m b re 64 )
e ge ; on a u r a i t d i t « q u 'e l l e so rta i t d 'u n tuya u ». E n ­
tou t d 'abord à la h a u te u r des pote a u x té l ép ho n i q ues
s u i te, i l a m a rché vers u n eng i n b ri l l a n t, pa rti e l lemen t
p u is d i s p a r u t ver tica l emen t. On trouva l e blé a p l a t i 6 1 2 ) 1 3 J u i n 1 964 2 1 : 00, Penbervi l le ( Oh i o) : e1
caché p a r des b u issons, ta n d is q u e l es e n fa n ts re n ­
d a n s tou tes l es di rec ti o n s . ( N I CAP j u i l l et 1 964 )
t r a i e n t chez e u x en cou r a n t. ( H u m a noïd s 59 ) 623 ) 5 Septembre 1 964 2 1 : 00, Cofico {Argen ti ne) :
Ka ren Fa h l e ô vu u n objet br i l l a n t desce n d re a u sol
à e nviron 200 m. Ta n d is q u 'i l a p p roc h a it, ses l u m iè­ C h a f redo Dagota a vu desce n d re r a p i dement a u sol
e . res O'lt c l i g noté et o n t tou rné a u rouge sombre. C in q 0 u n objet c i rcu l a ire. Ce der n i e r, repos a n t sur u ne sorte
607 ) 24 Mai 1 964 2 1 : 00, Mi l l i nocket {Ma i ne) : m i n u tes p l u s ta rd! i l s'est é l o i g né l en tement. ( AMUFO de p i l ier, émettait u ne l u m ière aveug l a n te . Le témoin
sep tembre 64 ) 6 1 8 ) 27 J u i l let 1 964 2 1 : 00 S herb u r ne {New York) :
Un hom me q u i con d u i s a i t s u r l a rou te du l a c de M i l - a observé tro i s s i l houettes q u i se dép l aç a i e n t à p roxi­
Un i ngén i e u r a a r rêté sa voiture en voy a n t u n obj et, m i té de l 'engi n . ( F .S . R . 66, 3 )
6
7
de 7 m de large vo l a n t a u-des s u s de l a p lage à u n e et sembla i t con s t ru i t en p laq ues mét a lli q ues de p l u s
la base, vi t u n objet vo l a n t bas, de 1 0 m de d i a mè t re, a l t i t u de d'envi ron 2 0 m . I l rev i n t s u r l 'e m p lacement d e 1 m 2 c hac u ne . I l posséd a i t q u a t re ra n gées d e fe­
qui év i t a l a coll i s ion a u dern ier mome n t . I l sort i t de avec d'a u t res person nes et un chien qui devi n t a g i té nêtres carrées, de 70 c m de côté . Di a mè t re est i mé à
624 ) 5 Septembre 1 964 2 2 : 00, Cisco Grove ( Cal i fo r­ à l 'endro i t où l'herbe éta i t a p la t i e . Un a u t re témo i n , 25 m . U n e lu m ière j a u ne bri lla i t à t ravers l es fenê­
la voi t u re et observa l'objet, q u i res t a s t a t ion n a i re pen­
n ie) : con d u i s a n t près de l 'avenue H u m p hrey, v i t l 'objet a l ors t res et l'ob j e t émet ta i t u n cou ra n t d'a i r et u n son sem­
dant u ne m i n u t e p u i s s'éloigna à g ra n de v i tesse. L'ob­
Un cha sseur q u i s'ét a i t éga ré d a n s l es mon tag nes ob­ qu ' i l vola i t vers Sou t h B righton . ( P . 1 49 ) blable à celu i d'un t ra n sform a te u r. F l yn n p a rv i n t à
j e t f u t s u i v i au ra d a r. La même n u i t, non l o i n de l à ,
serva des lu m i ères q u i s'approcha ie n t , et p a ru re n t at­ moi n s de 2 m de lu i et f i t u n ge· ste. Un rayon de lu­
un objet bri ll a n t avec u n dôme a u sommet a t terri t
terri r. D' u n poi n t s t ra tég i q ue, d a n s u n a rbre, i l vit un m ière prove n a n t du desso u s de l 'objet le fra p pa e n t re
p rès d ' u ne ferme, fa i s a n t fon dre l a neige s u r u n cerc l e
objet en fQrme de dôme, a u ras d u so l , à e n v i ron les yeux et i l perd i t con n a i ssa nce pe n d a n t 24 h. I l ne
d e 1 0 m de d i a mètre . " ( N I CAP, M a rs 1 96 5 ) 636 ) 4 Février 1 965, Torrent ( Argenti ne) :
500 m . Plu s i e u rs créa t u res, l' u ne d'e n t re elles ressem­ voya i t p lu s de l'œi l dro i t , ava i t u ne fa i b le v i s ion d u
bla n t à u n robot avec des « ye u x » d'en v i ron 1 0 c m Plu s i e u rs person nes observère n t c i n q objets l u m i 11eux g a u c he, a l la voi r u n docteu r à Fort Myers e t passa
de d i a mè t re, s 'a p p rochère n t , essaya n t a p p a remment d e • en vol. U n va i s seau t ra n spare n t a t terri t et cinq créa­ cinq j o u rs à l'hôp i t a l. ( Fa te, Septembre 1 965 )
déloger le témo i n de s o n a rbre. Les créa t u res sem­ t u res d'en v i ron 2 m de ha ut avec un œi l s u r le fro n t
6 3 1 ) 1 4 Janvier 1 965 2 4 : 00, Norfo l k ( Vi rg i n ie) : et d e s casq ues éti ncela n t s , sort i re n t et ess ayère n t d'en­
bla i e n t a vo i r peu r de l a l u m i ère prove n a n t d 'ob j e t s
enfla m més j etés vers eux . L e témo i n s 'endorm i t a p rès Ja mes Myers v i t u n objet s'éleva n t du sol, a p p a ra i s­ lever un v i ll a geo i s . Da te approx i m a t i ve . ( H u m a noïd s
d'ép u i sa n tes ten t a t i ves po u r é loig ner l es créa t u res . A s a n t com me u n avion c i rc u la i re a rgenté et bri l la n t . 39 ) 642 ) Avr i l 1 965, Mon te Grande ( Argenti ne) :
l 'a u be i l n 'y ava i t p lu s rie n . ( ATIC, Magon i a ) ( Fa te, Ju i l le t 1 96 5 ) Feli pe M a rt i nez, 37 a n s, ra co n ta q u ' i l a va i t été p a ra­
e1 lysé pe n d a n t l ' a t terri ssage d ' u n g ra n d ob j e t s i lencieux,
0 e1 637 ) 2 1 Février 1 965 2 1 : 00, C halac ( Argenti ne) : en forme d ' œu f d 'où sort i t u n pet i t hom me d'en v i ron
1 m de ha u t , port a n t vn casque relié à l 'objet p a r
625 ) 1 1 Septembre 1 964 06 : 00, U l ysses ( Ok lahoma) : 632 ) 1 9 Janvier 1 96 5 1 8 : 1 5 , Brands F l at ( Vi rg i n ie) : E n v i ron c i n q u a n t e i n diens Toba, y com p ri s des poli­
t ro i s câ bles . L'êt re pa rla le n temen t et avec d i f f i c u lté
Karen C a m pbell f u t épouvan tée p a r u n objet ova l e en c i ers, v i re n t t ro i s pet i t s hom mes l u m i ne u x sort i r d ' u n
Un t rava i lleu r coupa n t du boi s d a n s le cha m p de t i r en espagno l . ( H u m a noïds 40 ) .
c u i vre tern i qui vol a i t au ras de sa voi t u re . I l mesu­ o b j e t aya n t fa i t p l u s ieu rs len ts passages a u-des s u s d u
à l'arc d ' Au g u s t a , v i t deux objets en forme d e sou­
ra i t envi ron 1 m 20 de ha u t a vec un dôme a u-des s u s , vi l lage avec d ' a u t res v a i s sea u x vola n t s . U n photogra­
coupe de 30 m e t 6 de d i a mè t re, pla n a n t d a n s l e c i e l .
fa i sa i t u n bru i t de cascade et semb l a i t « flot ter » a u­ phe pri t p lu s i e u rs p hotos et nota que les ê t res sem­ 0
Le p lu s pet it a t terri t , u ne porte s'ouvri t et t ro i s « p i ­
des s u s de l a vo i t u re ( P 1 48 ) . bla i e n t cra i n d re la lu m i ère de son fla s h. L'ob j e t ac­ 643 ) 8 Avr i l 1 965 2 1 : 30, Kindrae ( Mi n nesota) :
lo tes » en sort i re n t . I ls ressembl a i e n t à d e s hu m a i n s
cru t sa lu m i nosité q u a n d i l p a rt i t . ( CODOVNI, F .S . R .
m a i s ava i e n t u n e pea u rougeâ t re ora ngée et u n reg a rd Un hom m e de 60 a n s v i t un objet à 200 m de l u i ,
65, 4 )
0 fixe. L' u n d 'e n t re e u x ava i t « un l on g doigt à sa m a i n vers le nord-es t , à 30 m d ' a lt i tude. I l se d i ri gea vers
d ro i te » . Leu rs vêtements é t a i e n t d e l a même cou­ l'est, p u i s vers le s u d . D'a bord aperç u com me u ne s i m­
626 ) 1 5 Septembre 1 964, Core Lane ( Lo u i siane) : e1
leur que le u r v a i ssea u dont la porte ouverte la i s sa i t ple lu m ière bri ll a n te, l 'objet la i ss a i t vo i r e n s u i te deux
Ja mes Wa rren f u t révei l lé p a r u n bru i t et v i t u n objet vo i r u ne étra nge lu m i ère à l ' i n téri e u r. L'ob j e t éta i t s i sources lu m i neuses à t ravers u n e « porte » . Il se m b l a i t
638 ) 2 Mars 1 965 1 3 : 5 5 , B rooksvi l le ( F loride) :
port a n t des lu m ières rou ges et vertes c l i g no t a n tes, vo­ bri ll a n t q u e « j e vou s parie q u e p a r temps c la i r i l méta lli q u e . O n nota des i n terféren ces ra d i o . ( AT I C )
la n t a u-des s u s de sa m a i so n , au ras de la c i me des John F. Reeves, 65 a n s, ret ra i té, m a rcha i t d a n s les
sera i t pra t i q uement i nv i s i ble à ( u n e a lt i t u de de ) 5 000
a rbres . I l appela la poli ce q u i ra pporta a u s s i avo i r v u boi s lorsq u ' i l observa u n objet de 1 0 m de d i a mè t re,
p i eds » . Les occu p a n t s émett a i e n t des sons qui n 'ét a ie n t
l 'ob j e t . ( Fa t e , Ja nvier 1 96 5 ) 2 m d'épa i sseur, en forme de soucou pe, a vec u ne bor­
pas compréhe n s i b les, p u i s i ls réi n tégrère n t l 'o b j e t . Le 644 ) 2 3 Avril 1 965 08 : 00, Rivesvi l le ( Vi rgi nie Occi­
d u re extéri e u re et u n esca lier. Après d i x m i n u tes d'ob­
con tou r de la porte ne pouva i t p lu s se voi r q u a n d ell e dentale) :
serva t i o n , il v i t un ê t re à l 'a spect de robot, ha u t d'en­
• fu t ferm ée . ( Perso n n e l )
vi ron 1 m 3 0, port a n t un « u n i forme » d ' a rgen t , u n U ne fe m me observa u n ob j et q u i a t terri ssa i t près de
627 ) Novembre 1 964 2 3 : 00, Sai nt-Alexis-de-Montca l m casque e n verre, des g a n ts b l a ncs et m i nces . L'ê t re sa m a i son t a n d i s q u 'e l le t rava i ll a i t dans s a c u i s i ne .
( Canada) : 0 m a rcha j u s q u ' à l'eng i n , p u i s rev i n t a vec u ne boîte I l a va i t la forme d ' u n d i s q ue, posséd a i t des hu blots
M. Lebel observa u n objet bri ll a n t au ra s de l a c i me 633 ) 23 Janvier 1 965 08 : 40, Wi l l iamsburg ( Virgi­ q u i émet t a i t un écla i r l o rsq u ' i l la poi n t a i t vers le té­ et u n cyli n d re d'e n v i ron 1 m de ha u t , avec u ne porte
d ' u n a rbre à envi ron 700 m . A l'endro i t , u n large nie) : moi n . L'ob j e t décolla en s u i te avec un si ffleme n t . cou li ssa n te d'où émergea u ne pet i te créa t u re, g ra nde
cercle de végét a t ion écrasée f u t trouvé, t ro i s bra n ches ( ATIC ) de 1 m e n v i ron, q u i s a u t a s u r le sol. Son vi sage n'ét a i t
Un homme de 3 1 a n s con d u i s a i t u ne C a d i l l a c de 1 964
é t a i e n t cassées et un potea u éta i t c a lc i n é . L.D.L . N . 76 ) p a s v i s i b l e a vec net teté, m a i s i l a va i t des ore i l les po i n ­
à l' i n tersec t i on de l ' a u torou te 60 et de la n a t io n a l e 1 4
• t ues, u ne sorte d e q ue ue, et éta i t relié à l'objet p ri n­
q u a n d le moteu r e u t u ne défa i l la n ce et i l d u t s'a rrêter
c i p a l par u n câble. I l port a i t des vêtements bla n cs,
0 sur le bord de la rou te . Il a perç u t a lors un objet à 639 ) 4 Mars 1 965 1 8: 30, Corval l i s ( Oregon) :
p a ru t ra m a sser q uelq u e chose à terre, et ren t ra d a n s
628 ) 2 1 Décembre 1 964 1 7 : 00, Harrisson burg ( Vi rgi­ en v i ron 1 m 20 a u-dess u s du so l . I l a va i t la forme
Un ferm ier et son employé vi re n t dep u i s l e u r vo i t u re l e cyl i n d re q u i g lissa a lors d a n s l e d i sque. L e bord
n ie) : d ' u n cha m p i g no n ou d ' u ne a m po u l e é l ec t ri q ue, 25 m
t ro i s s p hères j a u nes-orangées s'éleva n t ra p i demen t . Des extéri e u r com mença à tourner d a n s le sens opposé a u x
de ha u t , 8 m de d i a mè t re, fa i s a n t un bru i t comme u n
M. B u rn s v i t u n objet i m mense voler a u t ravers de t a c hes d ' hu i l e f u re n t découvertes d a n s le c ha m p . a i g u i l les d ' u ne mon t re avec u n dou x s i fflemen t , et
a sp i ra teu r, aya n t u n e cou leur g ri se mét a l li q u e e t u ne
la rou te, p l a n a n t au ras du sol d a n s un cha m p, p u i s ( AT I C ) l 'objet s'éleva vert i c a lemen t , à perte de vue. E s t i m a­
lu m ière rouge ora n gée s u r un côté et u ne b l e u e s u r
i l décolla vert i ca l emen t . I l y ava i t d 'a u t res témoi n s t i on du d i a mètre du d i s �ue: 7 m . ( AT I C )
l'a u t re . I l s 'en a l l a con t re le ve n t vers l'ouest, à g ra n ­
a u x envi ro n s . ( AT I C )
d e vi tesse . ( AT I C )
0
640 ) 8 Mars 1 965 1 9 : 40, Mou n t A i ry ( Maryland) : 0
0
• Trois person nes v i re n t u n ob j et en forme de c i g a re 645 ) 26 Avri l 1 965 1 7 : 00, New London ( M i n nesota) :
629 ) 28 Décem bre 1 964, Auck land ( Nouve l l e Zé­ a vec deux feu x rou ges fi xes q u i vol a i t a u-dess u s d'eux,
634 ) 25 Janvier 1 965 la n u i t , Marion ( Vi rg i n ie) : Ga ry X . . . , âgé de 9 a n s, v i t un objet q u i descenda i t
lande) : év i t a une m a i son au dern i er mome n t e n la toucha n t
s i lencieusement et p l a n a à 6 0 m d u sol . U n e sorte
Deux j e u nes f i ll es, R . Bender et J. Q u i n n , observère n t Woody Da rnell , po l i cier, sa fa m i l le et p l u s ie u rs voi s i n s l égère m e n t , et d i sp a ru t hors d e v u e vers l e nord-es t .
de périscope e n émergea, e t un bru i t é t ra nge ( ég a l e­
v i re n t u n objet s t a t i o n n a n t s u r l e sol. I l s'envol a a vec ( Perso n n e l )
u n o b j e t vola n t à 1 7 m a u-dess u s d u sol . I l ét a i t for­ men t perçu p a r le père du g a rçon ) se f i t e n te n d re .
u ne p lu i e d'ét i n ce ll e s . Plu s i e u rs a rbres f u re n t t ro u vés
mé co m me deux a s s iettes collées ensemble avec deux Après u ne ou d e u x m i n u tes, le « péri scope » d i sp a ru t ,
déra c i nés ou c a lci nés a u x a lentours . ( Fa te, Ju i l l et
ra n gées de lu m ières i n te n ses et u ne toure l le a vec u n e
1 96 5 ) .
e l'ob j e t s'éleva , p u i s s'éla nça à u ne v i tesse i n croya b l e .
l u m ière verte a u som met. Q u a n d u ne ouvert u re dev i n t ( Perso n n el ) .
v i s i ble, l es témo i n s pensère n t q ue l a chose éta i t prête 64 1 ) 1 5 Mars 1 965 0 1 : 00, Fort Myers ( F loride) :
à a t terri r et e lles s'e.nfu i ren t . ( Spaceview ) • 'ùa n s le m a s s i f des Everg l ades, à 30 km à l'est de B i g e
635 ) 3 Février 1 965 2 0 : 45, South Brighton ( Nouvel le- Cypres, Ja mes F l y n n , 45 a n s, q u i éta i t à l a c ha sse, v i t
• Zélande) : 646 ) 23 Mai 1 965 2 1 : 00, Eton Range ( Austral ie) :
u n énorme o b j e t i ll u m i né, à 1 m a u-des s u s d e l a s u r­
6 3 0 ) 1 2 Janvier 1 965 la n u it, Base d'aviat ion de B laine Un hom me v i t u ne l u m ière s u r l a p lage près de Pen­ face des m a ra i s . I l l 'observa J?en d a n t 40 m i n u tes, no­ A 70 km e n v i ron de Mackay, Ji m T i lse, E ri c Jud i n et
( Washi ngton) : g u i n Street et descend i t de s a vo i t u re pou r l'observer. t a n t q u ' i l éta i t con i q ue, deux fo i s p l u s l a rge que ha u t , John B u rgess v i re n t u n objet c i rc u la i re de 1 0 m de
U n membre d ' u ne agence fédérale q u i con d u i s a i t vers I l e n tend i t a lors un s i ffleme n t mod u lé et v i t un o b j et
9-
8
1
di a mètre vola n t de façon er ra t i q u e, accompagné d'u n
bo u rdo n n em en t . I l posséd a i t des proj ec t eu rs, u n t r a i .1 A ppels de détecteu rs E N Q U ÊTE E N AV EY RO N
d'a t t er r i s s a g e t r i pode et po r t a i t u n e a u t r e p a r t i e en
fo r m e de d i s q u e. U n e en q uête de po l i ce déco u v r i t d es POSTE N" 244, à Genève ( S u isse) : EFFECTUEE PAR G . CANO URG U ES , J . CHASSEI G N E , F. D U PI N DE LA G U ERIVIERE
- -=--

a rbres endom m a gés et d 'a u t r es t races d'a t t er r i ssage. ET F. LAGARDE


La per l e « mémo i r e » s 'est dép l a cée l e 24 j a n v i er
( F .S . R . 65, 5 )
1 970 en t r e 1 4 h 30 et 1 7 h. Le possesseu r de l 'a p· (En aucun cas ce texte ou une partie de ce texte ne doit être pu blié sans autorisation spéciale
0 p a r ei l ét a i t a bsen t .
de L. D . L. N.)
647 ) 24 Mai 1 965 0 1 : 30, Geradton ( Austral ie) : POST N " 268, à H u re ( Gi ronde) :
M. et M me French observèren t un obj et d a n s u n PREAM B U L E Au s u d de l'habi t a tion p r i nc i pa l e, u n e cou r en c a ­
Appel du 1 1 fév r i er 1 970, s a n s a u t r e p récision
cha m p à 4 m d u sol. I l ava i t d es l u m ières b l a n ches d rée s u r t ro i s côtés d es dép endances ( g ra n g e e t é t a ­
A u c u n obj et obs ervé.
aveu g l a n t es, ca usa des i n t erférences radio et é m et t a i t E n novembre 1 969, nous r ec evions un e long u e l et­ b l e ) . A l 'es t u n e en t rée p r i n c i pa le q u i don n e s u r la
u n son t rès a i g u . ( Spacev i ew 4 4 ; L.D.L . N . 80 ) t r e où éta i t fa i t l e réc i t de fa i t s assez ex t raord i n a i r es . rou t e, à l 'ou est, u n accès secon d a i r e don n a n t s u r la
POSTE N" 378, à Cou rs-les-Barres ( Cher) :
N o u s c ha rg i o n s u n de n o s en quêteurs, l e doc t eu r rou t e a u s s i pa r u n c hem i n c ha r r et i er .
Per l e « mémo i r e » dép l acée pa r 4 foi s en l 'absen ce ·
Du p i n d e l a Guérivière d'all er s u r p l ac e enq uê t er . I l
du possesseu r de l 'appa rei l. 1 ) l e 4-3-70 a u cou rs de L'explo i t a t ion est modes t e, 1 8 hecta r es, basée s u r
648 ) 24 Mai 1 965 1 8 : 40, Paso de Las Carretas ( Ar­ nous a fa i t pa rven i r son rapport, de nom breu s es pho­
la m a t i née ; 2) le 30-3-70, m a t i née ; le 1 3-4-70, m a t i· l 'élevage, s u rto u t des vaches pou r la v en t e d e vea u x ;
gen t i ne) : tos, la c a r t e d'ét a t-ma j o r, d es ren s ei g n em en t s com­
née ; l e 29-4-70, a p rès-m i d i . po l yc u lt u r e, des p ra i r i es , du maïs, du b l é, d e l 'a vo i n e,
p l é m en t a i res.
Des c ha s seu rs vi ren t avec des j u m el les u n obj et res­ Ces q u a t r e a pp el s pou r u n mêm e pos t e e n m o i n s de l 'orge, u n e pièce d e v i g n e pou r le v i n de con som­
sem b l a n t à u n e assi et t e renversée, t rès l u m i n eux, avec d e d e u x moi s e t a u co u rs d'u n e pé riode ca l m e pou r A l 'ét u d e, i l -; 'avéra q u e si le réc i t o r i g i n el p a ra i s ­ m a t ion fa m i l i a le.
u n e l u m i ère rou g e s u r l e d essus, vo l a n t en cerc l es et l 'en s em b l e du rés ea u détection l a i ss en t p rés u m er U f"l s a i t exact q u a n d a u fond, i l p résen t a i t d es la c u n es B r ef u n e fer m e com m e il y en a t a n t d a n s la
a t te r r i ss a n t s u r l e som m et d ' u n e col l i n e. La poli c e d e rég l a ge o u u n e s i t u a t i o n i n adéq u a t d e l 'a p p a r ei l . q u e l e rapport n 'ava i t pas éc l a i rées . Un com p lé m en t rég ion M i d i -Py rénées .

ne pouva i t fa i r e.
Lu j a n envoya u n e pa t rou i ll e s o u s l es ordres d u com­ d 'en q u ê t e s 'i m pos a i t q u e not re enq uê t eu r, t rès occ u pé,
m a n d a n t Osva l do Pa gel l a , qui t rouva u n grand obj et POSTE N" 434, à Cou rt ry ( Seine-et-Marne) : Les fa i t s don t o n t été l es témoi n s c et t e fa m i l le d e
méta l l i q u e i m mobi l e s u r la co l li n e, m a i s i l s n e p u ­ t er r i en s q u i com m e nous éc r i va i t M . Del p hi eux, saven t
Le v en d r ed i p récéd en t le fo rt t r em b l em en t de t er r e
ren t l 'a p p rocher ava n t q u 'i l n e déco l l e à ca u s e d es Nous avions s a i s i not re con s ei ll er, M . A. M i c he l , reg a rder e t i g noren t l a p eu r, von t s e s u ccéder s i nom­
de Tu rq u i e ( de fév r i er 1 970 ) , l'appa rei l a son né a v ec
d i ffi c u l tés du t er ra i n . ( Perso n n el ) d e c es fa i ts i n ha b i t u el s . I l les a j ugés t rès i m po rta n t s , breux q u ' i ls son t à l 'o r i g i n e d ' u n i m b rog lio qui nous
ta n t d ' i n s i s t a n c e a u cou rs de l 'a p rès-m i d i q u ' i l a fall u
s ' i l s éta i en t a u t hen t i q u es, e t nous a d em a n dé d e les a tous déconcertés sur la c hrono l og i e d es évén em en ts,
l e déb ran cher . C i el cou v ert, a uc u n e observa t i o n .
• s u i v r e. y com p r i s l es témoi n s eux-mê m es, q ui ava i en t un
POSTE N° 44 1 , à Caudry ( Nord ) : c ert a i n mal à en rét abli r l a succession, ne l es aya n t
649 ) 2 J u i n 1 965 20 : 00, Kuranda ( Au st ral ie) :
Dev a n t l e d i lem m e q u i s e pos a i t à nous, nous p a s notés e t da tés .
M. D. A r m s t rong, q u i est un a n c i en a vi a t eu r, f u t a p ­ Le 1 4 m a i 1 970, vers 23 h 1 5, l ' i m a g e de J 'éc ra n
avo n s déc i dé d e nous y ren d r e en p erson n e et pou r
T V s e m i t à o n d u l er . U n q u a r t d'heu r e o l u s t a rd, Nous som m es l e 1 5 j u i n 1 966, vers 2 1 h 30.
p e l é d u dehors p a r s es fi l s, e t v i t u n obj et sphé r i q u e m i eux réa l i ser nos d essei ns nous a vo n s d em a ndé à
avec des l u m ières q u i c l i g nota i en t com m e des éc l a i rs appel d e détec t eu r ; a u c u n e obs ervation, c i el couver t . C'es t l 'a ïeu l e, qui ava i t 7 6 ans à l'époq u e, et a dore
deux a u t res en q uêteu rs de se j o i ndre à nou s . L'enquête
de flashes, s em b l a n t s e pos er s i len c i eu sem en t s ur u n e Le 1 5 m a i 1 970, c i n q a oo el s : à 7 h 1 0, 8 h 30, que vous a ll ez l i re n 'est donc pas u n i l a téra le, m a i s s es p et i t s-enfa n t s , q u i d ep u i s la fenêt r e d e sa c ha m b re,
col l i n e d a n s la p ropriété de M . Watson . ( F . S . R . 6 5 , 5 ) 1 1 h, 1 3 h 1 5, 1 8 h 30. Touj o u rs c i el couvert, a uc u ne u n e en q u ê t e com m u n e où cha c u n a posé s es p ropres à l 'é t a g e, a été la p rem i è r e à do n n er l'a l erte. E ll e
obs erv a t ion . q u est ions, fa i t ses propres déd u c t i o n s et a p p rou vé les racon t e s es i m p r essions avec vivaci té, u n e g r a n d e fa c i ­
• • t er m es de ce réc i t . E ll e rés u l t e de l 'en s em ble des obser­ l i té d 'éloc u t i on, d a n s u n frança i s d e n o s ca mpag n es,
650 ) 1 Pr J u i l let 1 965 05 : 00, Valensole ( France) : POSTE N° 1 05 , à Mon t-de-Marsan ( Landes) : vat ions, des c roq u i s relevés s u r p l ace, de docu m en ts où p erce souven t le p a to i s d u pays d a n s l'émot ion du
Un fer m i er, M. M a urice M a s s e, 4 1 a n s, en t en d i t u n Per l e « mémoi re » déo l a cée d a n s la n u i t d u 25 a u rel evés à l a m a i r i e, de photos, et s u rto u t , ce q u i en réc i t q u 'el l e rev i t pou r nous .
b ru i t é t ra n ge e t v i t u n objet en fo r m e d 'œuf à 30 m 2 6 m a i . A u c u n e observ a t ion d u fa i t q u e l e pos ses s eu r cons t i t u e l'ossa t u r e, des i n t er rog a to i res r el evés s u r
Da n s le souci d e fa i r e p a r t ici p er l e lec t eu r, a u t a n t
de l u i , d a n s u n c ha m p de l a va n d e. L'engi n éta i t posé d e l 'a p p a r ei l n e s 'est p a s révei l l é . ba n d es m a g né t i q u es , d'u n e d u rée tota l e d e 1 h 45.
q u e f a i r e s e p eu t à c et i n t er rogatoi re, n o u s con s ervons
s u r un p i vot c en t ra l avec s i x p i eds, i l ava i t env i ron les réponses d a n s tou t e l eu r f raîcheu r, patois exc ep té.
POST E N• 4 4 2 , à Mon t-de-Marsan ( Landes ) : Nous nous effo rcero n s d 'a i ll eu rs d e col l er a u p l u s
5 m de lo ng, et a va i t une po rte l a i ssa n t voi r d eu x E n noi r, les q u estions d e l' u n ou d e l 'a u t r e d'en t re
Apoel l e 27 m a i , p eu a o rès 22 h. Un ob i et l u m i· p rès du d i a log u e pou r essayer de recon s t i t u er l a co u ­
sièges d o s à dos . Près d e là , i l y ava i t deu x n a i n s , d e nous, ou d es exp l i cations fou rn i es p a r a i l leu rs . L'a cc en t
n eu x a été obs ervé a s s ez b rièvem en t d a n s c et t e l oca· l eu r loca le, e t d e l u i la i s s er tout son n a t u r el .
l a t a i l l e d ' en fa n t s d e 8 a n s, avec u n e t ê t e e t d es yeux d e notre M i d i , héla s, n 'y sera p a s e t nous l e reg r et­
d'hu m a i n s norm a u x , des m a i n s f i n es à cinq doigts l i té vers 2 2 h 0 5 .
Com m e l e souha i t a i t A . M i c hel d es con s i g n es o n t tons .
mais p a s d e cheveu x . I l s s emblèren t s u rp r i s quand i l é t é la i s sées s u r p la c e a u x témo i n s , et a u x d eu x en quê­
•••••••••••••••••••••••••••••
s'approcha , et aba ndon nèren t l eu r exa m en d ' u n e p la n t e - Grand- mère, racon tez-nous ce q u e vous avez vu
t eu rs rég i o n a u x q u i nous accompag n a i en t . A la d ema n­
pou r poi n t er u n ob j et d a n s sa d i rec t i o n , c a u s a n t u n e ce soi r-là . . .
de exp r esse d es i n téres sés leu r a nonyma t s era res ­
per t e d e l a mot r i c i té vo lo n t a i r e d u témo i n . I l s s e pa r ­ D E U X REVUES EN LAN G U E A N G LA I S E , 1
pecté. A not r e g r a n d reg ret a uc u n nom d e l i eux q u i J 'é t a i s à l a fenêtre . . . un p et i t mom en t . . . pa rce q u e
lèren t avec d e s s o n s a i g u s ressem b l a n t à d es g a rgou i l ­ p u i s s e l es i d en t i fi er n e s era i n d i q ué : l es témo i n s dés i ­
D I G N ES D ' I NTE R ET : des fo i s , q u a n d on e s t âgé on va res p i rer l'a i r, ou

1 / FLVI N G SAUCER REVIEW


l i s . L'engi n déco l l a e t « s'éva nou i t » . Présences d e t r a ­ ren t v i v r e e n p a i x . Nos l ec t eu rs n o u s e n exc u s eron s . n 'i m por t e, mais j a m a i s je n 'ava i s v u des l u mières
c es . ( F . S .R . 65, 5 ; Magon i a ) d 'a i l leu rs l'en q u ê t e con t i n u e s u r p l a c e pa r l a recherche com m e ça ! des choses com m e ça ! Ça n 'écla i ra i t pas . . . 1
d 'a ut res témoi g n ag es v en a n t étayer c es réc i t s . c'ét a i en t des feu x ! des feux ! des feux !
N .D . L . R . : Tous n os vifs remerciements à ceux q u i ont 2 1 Cec i l C o u rt
part icipé à cette t rad uction : MM. Bon nefon, Darémon,
C h a ri n q C ross Road Deux des d ess i n s q u i accompag n en t c et t e en q uêt e - Vous en voyiez p l u sieurs à ce moment-là ?
Moreau, René, et Savina.
LON DRES W C 2 son t de not r e fa c t u r e, tous l es a u t res o n t été réa li sés
A ce momen t là . . . hé b i en . . . c 'ét a i t u n p eu g r a nd
par M . J.-L. Boncœu r, p rofesseur de d essi n d'a rt, sur
com m e t ro i s têtes d'ho m m e.
ANGLETERRE le vu de doc u m en t s photos et d 'a p rès l es croqui s et
Rectificatif
2/ DATA-N ET
ren s ei g n em en t s fou r n i s par l es témo i n s au cou rs de - Vous en avez vu t ro i s ? un a u t re d em a n d e : mai s
l ' enq u ê t e. c'était loin à ce moment-là ?
Nous avons e u l a su rprise d'apprendre que l 'an
dern ier dans la p u b l i cation « ELLE », et récem men t M . M i ch e l JAFFE Les fa i ts s e passen t q uelq u e p a r t en Aveyron . a u x E h o u i ! i l s éta i en t du côté de X . . . à ce momen t- l à
dans un ouvrage t raitant du su jet des M .O.C., la fonc• a bords d 'u n e d e c es fer m es com m e i l y e n a t a n t . C el­ ( X . . . s u r la carte est à 1 k m ; au déb u t i l s étaient
tion de pasteu r nous a été attri buée.
624 Fa r l ey Street
l e-ci est a n c i en n e, bâ•t i e en 1 76 6 , les m urs en dur son t plus loi n , à 1 .200 m , puis ils se sont rapp rochés,
Afi n de rétabl i r la véri té, nous siqnalons i c i q u e M O U N TAIN-VIEW épa i s , el le possède u n étage où s e t rouven t l es c ha m ­ S..J u S >.. • • • , à Y . . . qui est à 800 m. X . . . est plein ouest
j a m a i s nous n 'avons exercé ce m i n i stère au c o u r s d e bres e t d ' o ù l a v u e e s t t rès é t en d u e . L e s p i èces so n t par rapport à la ferme, s u r une col l i ne voi si ne). Pu i s
( Ca l iforn i e 94040)
notre exi stence. va st es, i l y e n a d i x . Les fenêt res don n en t a u s u d vers Y . . . j e m e d i s a i s m a i n t en a n t , . . vo i là q u i a ura i t le
R. V E I LL I T H . U . S. A. s u rtout, d 'a u t res, p l u s ét roi t es, à l 'ou est e t a u nord. feu à Y . . . q u i s a i t ? Ça se détacha i t . . . on n e p erd a i t

- 10 - I l
1
p a s de vue . . . on ne voya i t rien q u i se dép l ace, m a i s O u i . . . j ' a i été à l a fenêt re, j e n ' a i rien v u s u r l e - Six bou l es l'une derr ière l'au t re ? nous n'avions pas vou l u i n terrompre le f i l du réc i t
ç a on voya i t l a l ueu r, et en f i n ce l a a p rès s 'est rappro­ mome n t . . . j e n ' a i rien v u . . . j e n ' a i rien v u . . . J ' a i a t ten­ O u i . .. l ' u ne derrière l ' a u t re . . . e l l es o n t con tou rné l à . e t détou rner l'in térêt).
ché un peu p l u s . . . d a n s le pet i t r u i sseau . . . ( les bou les d u 2 ou 3 m i n u tes . . . p u i s j ' a i v u u ne bou l e , là . . . à M a i s j u s t e e n so rta n t .
- E n l igne ?
descendaient, d i stance vérifiée sur la carte 600 m ). 1 5 mèt res de la m a i son ! . . . J'a i d i t , t è e l l e ava i t r a i son
O u i . . . en l i g n e . . . l ' u ne de r r ière l 'a u t re . . . l ' u ne der- - Tou j ou rs dans cette mêm� d i rect ion ?
ma mère . . . j e veu x d i re ma be l l e-mère ... e l l e ava i t r a i ­
Mais a l ors là ... j ' a i d i t . . . on n e voi ra rien p l u s . . . rière l ' a u t re. O u i . . . l à-ba s .
son . . . e l ! e a va i t r a i son . . .
Tou t d ' u n momen t ça a mon té u n p e u p l u s h a u t . . . - El les restaient al l u mées en se dép laça n t l à ? Et q u e l l e a l l u re cela avait- i l ?
l à . . . c ô t é A q u e t u a d i s ( en s'adres s a n t à son ge n d re ) . - E l le était p rès d e l a maison , près d u m u r ?
O u i . . . ou i . M a i s c'ét a i t l u m i ne u x . . . c'éta i t l u m i ne u x . . . j 'a i c r u
Ap rès nous d i sions o ù ce l a v a a l l e r ? . . .vers B ? . . . j e O u i à 1 5 mètres q ue c'éta i t u n a rbre q u i b r û l a i t moi . . . m a i s j e ne
- O u bien e n s'éteignan t e t e n s e ral l u mant ?
l e s con n a i ss a i s ces gens m o i ! Après tou t d ' u n coup, voy a i s ni f l a m me ... n i fu mée, n i f l a m me .
ça a rapproché i c i dans l e ( ... ) . C'es t a l ors que j 'a i d i t - Que fai sai t-el le l à ? Non . . . e l l e on t con tou rné l à , tou tes l u m i neuses,
quoi. - C'était b l a n c ?
m a i s q u 'est-ce q u e ces feux ? I l ne ton ne p a s , i l n e Hé bien . . . je ne s a i s pas . . . à ce moment e l le é t a i t
fa i t p a s orage, q u 'es t-ce q u ' i l y a ? A l ors j 'a i a ppelé. - E l les restaient l u m i neuses en s e dép l açant ? C'ét a i t l u m i neux q uo i .
i m mobi l e . . . e l l e e s t restée l à 2 ou 3 m i n u tes . . . à peu
Tou s ces feux ... j e suis t rop v i e i l l e, j e n e veux pas p rès . . . p u i s p l u s rien . . . t a c comme on tou rne un bou- En se dép l aç a n t , ou i . .. e l l es res t a i e n t l u m i neuses - D e la même couleur q u e les bou les ?
vo i r des choses com me ça ! Si ça do i t con t i n ue r à se ton ... j e n e voi s p l us rien . en se dép l a ç a n t . Ou i , de l a même cou leu r q ue les bou l es . . . p a rei l . . .
dép l a cer co m me ça, q u 'es t-ce q u e nous a l l o n s deve n i r
- El les réapparai ssaien t p l u s loin ? Je d i s c'es t u n t racteu r . . . u n t racteu r . . . m a i s i l d e l a même cou l e u r .
enfi n ? . . . a p rès ç a s e dép l a ce . . . ç a v a a u coi n d e l a
n 'y ava i t pas d e bru i t . . . J e l 'a u ra i s en tend u , pa rce que - Et l e s bou les s o n t a l l é rej oindre le . . .
vi g ne, l à . . . vou s sa vez bien q u a n d j e vou s a i appelé
Hé bien o u i . . . à 1 km . . . à 500 m . . . ça dépenda i t . . . l a n u i t o n e n tend u n moteu r de loin . . . . . mais j e n ' a i
( en se tou r n a n t vers son ge n d re ) ... c'es t a l ors q u e - Ou i . . . c e « machin » là.
Ç a on voya i t, p u i s . . . t a c . . . t a c. . . rien entendu.
j e s u i s été s a i s i e d e peu r ( les bou les étaient à 90 mè­
C'es t p a s u n t racteu r . . . c 'est d rô l e . . . i l n 'y en a u ra i � Tou t p a r a i s s a i t ê t re ren t ré d a n s l 'ordre . . . à peu
tres) . . . m a i s si cel a mon te dava n ta ge, ça i ra d a n s l a - E t e n t re l'exti nction et l e nouveau poi nt i l se
p rès ... les « bo u l es » aya n t été absorbées par l e . . .
g r a n ge, tou t v a b r û l e r, l a m a i son et nous avec . . . e t passait longtemps ? p a s t a n t q u a n d même . . . t a n t d e l u m ières !
« m a c h i n » . L e témo i n , i n t r ig ué, m a i s l a s d 'obse rver,
j e l ' a i appelé . . . j e l 'a i appelé. A l ors e l l es o n t tourné là penda n t . . . je s a i s pas . . .
Oh non ! q u e l q ues secondes . . . 2 ou 3 secondes, p a s ras s u ré pou r l ' i ncen d i e, éton né d u spectacle a u q u e l
dem i-heu re . . . t a n t d e l u m ières ! . . j e n 'a i p a s pu com­
p l us . i l ve n a i t d ' a s s i s ter, est re n t ré d a n s l a ferme po u r
COMM ENTA I R ES p re n d re ce que c'éta i t . . .
a l le r s e co ucher.
- E l le avai t u ne forme ronde avez-vou s d i t ? Pu i s à u n momen t don n é . . . ça s'est accroché . . . ça COMMENTA I R ES
Q u e l 'on se mette à l a p l ace du tèmoi n <.l a n s u n e
d i s p a r a i s sa i t . . . ( son fi l s l u i souffle l e mot ) à l 'obu s .
c a m pagne p a i s i b l e, e n p l e i n e n a t u re . I l f a i t n u i t , e n O u i , ronde . . . ou i . .. p l u s bombée en h a u t q u 'e n bas . . . Tou t com me l 'aïeu le, l e témo i n rev i t i n tensémen t
l e b a s ét a i t p l u s a p l a t i . L e des s u s ét a i t p l u s rond - Vous n'aviez pas v u << l'ob u s n encore ? ce q u ' i l a vu et nous y fa i t p a r t i c i pe r .
f a c e d'e l l e u ne col l i n e à 1 ,200 k m env i ro n , q u i c u l m i ­
n e à 450 mètres d'a l t i t u de, rien n e l a sép a re d e sa que s u r vo t re des s i n ( nous avon s rec t i fié le dessin sur Ah si ! ah si ! s i , s i , je l 'a va i s dé j à vu ! N 'o u b l i o n s pas q u e n o u s sommes l e 1 5 j u i n . L a
v i s ion, seu l em e n t des c h a mps, des p i èces de terres, ses i n d i cat ions). - Mais à quel moment ? ( nous le savions, mais campagne est verdoya n te, l a végét a t ion est gon f l ée d e
u n v a l lon où cou l e un r u i sse a u , 1 3 0 mètres p l u s ba s . - Vous êtes sorti à ce moment-là ?
D e c e r u i sseau l a pente remonde vers s a fe rme q u i
cu l m i ne s u r l e dos d ' u ne a u t re col l i ne, à 400 m d'a l t i­ A l ors j e s u i s so r t i . . . j e s u i s a l l é voi r . . . Là ( i l nous
t u de a u s s i . co ndu i ra p l u s t a rd à l 'e m p l a cemen t q u ' i l occu p a i t dans
sa v i g ne a u moment de son observa t ion ; e m p l acem e n t
D a n s l 'obscu r i té d ' u n paysage q u 'e l l e conn aît de­ s i t ué à 50 m à l 'ouest de l a fe rme ) .
p u i s 30 a n s po u r, le vo i r c h a q u e j o u r, e l l e a pe rço i t - Que s'est-i l passé ?
c e q u 'e l l e a ppe l l e des « feu x ». Ceux-ci d i s p a ra i s se n t ,
réa p p a ra i ssen t , e l l e s u i t leu r p rog ression, tou j o u rs p l u s J ' a i rega rdé l à pen d a n t un momen t . . . un momen t . . .
p rès . I l s descendent le va l l o n , remon t e n t l a pen te, se e l l es tou r n a i en t . . . i l y en ava i t s i x a l ors à c e momen t­
rapproch a n t i nexorablement de l a ferme, et les voi l a là.
bien tôt q u i sem b l e n t l a menace r . E l l e n ' a p a s cons­ - Vous dites q u'il y avait s i x bo u les ?
c i ence d ' u n p hénomène i n con n u et e l l e essaye de
t rouver u ne exp l i c a t i on : il n 'y a pas d'orage, d i t-e l l e . O u i . . . à 1 km . . . 1 ,200 km envi ro n . . . e l les tou r­
E l l e n ' a pas peu r d ' u n s u r n a t u re l , d ' u n i r r a t i o n n e l , n a ien t d a n s un c h a m p . . . enfi n d a n s un c a r ré de terre
com men t pou r ra i t-e l l e y songer ? M a i s c'es t l a h a n t i se quoi . . . je ne s a i s com men t vo us d i re . . . d a n s u n c h a m p ,
du feu q u i d a n s l es campa gnes fa i t peu r à tou s , a lors dans u n champ.
désorien tée, a peu rée, e l l e a ppe l l e son gen d re a u se­ A M . C hasseig ne, q u i pose u ne question p l us p ré­
co u rs et p l u s t a rd e l l e nous d i ra q u 'e l l e s'est couchée cise, il sit uera l'endroit par des repères préc i s à flanc
tou t h a b i l l ée d a n s l a c ra i n te des s u i tes pos s i b l es . I l de coteau : u n arbre i solé loi ntai n et la pièce de terre
y a l à u n réc i t c ri a n t de véri té. q u i paraît être u ne pâture dep u i s le poi n t où nous
nous t rouvons.
Non moi n s rem a rq u a b l e l a m a rc h e de ces « bou­
l es » l u m i neuses ven ues d'a u ss i loi n a u t ravers d 'obs­ E l l es to u rn a ient à d i s ta n ce ... com men t vou s d i re
t a c l es, h a ies, bo i s , c h a m p s pou r se d i riger vers cette d'i c i . .. je pou v a i s p a s rem a rq u e r . . . à 50 m l ' u ne de
ferme dans un bu t qu 'on n 'exp l i q u e pas. Com men t l ' a u t re peu t-êt re . , . même pe u t-êt re pas . . . je s a i s p a s et
l e u r dén i e r u ne vo l o n té, u n e sorte d ' i n s t i nct, u ne i n te l ­ j e l es voya i s se dép l a ce r .
l i gence en f i n . Nous ve r ro n s p l u s t a rd à q uo i e l l es res­ ( Son f i l s n o u s avait précisé, à 1 0 m l ' u n e de l'au­
sem b l e n t , e l l es sont i m m a térie l l les, l u m i neuses s a n s t re, dans u ne lettre. I l i n tervient dans l'in terrogatoire,
p l us, n i engi n , n i p l a s m a , u ne sorte de f e u fo l l et, a u mais son père ne le s u i t pas pou r cette p réc i s ion ; en
com porteme n t i r r a t i o n n e l et vo lonta i re . fai t el les lui ont paru p l u s éloignées que 1 0 m et moins
que 50 m).
C'es t l e réc i t d u ge n d re, l e père d e fa m i l l e, l 'ex­
p l o i t a n t q u i va s u i v re m a i n te n a n t et q u i , l u i a u s s i , Tou t d ' u n cou p . . . ha ! e l les se dép l aç a i e n t au pas
va revi vre pou r n o u s cet t e soi rée mémo r a b l e . de l ' homme ... comme un t racteu r q uoi . . . q u a n d j e d i s
u n t racte u r j e veux d i re . . . en p re m i ère.
- A l o r s o n v o u s appel le, v o u s êtes d a n s la c ham­ - L'u ne derrière l'autre ?
bre voi si ne, au p re m ier étage, d i tes-nous ce que vous D a n s la cou r de la ferme une « bou l e » i m mobi l e ( Des s i n d e F . Laga rde d ' a p rès photog ra p h i e )
avez vu, ce qu'il s'est passé. O u i . .. l ' u ne derrière l ' a u t re . . .

•••
-- 1 3 --
- 12
l 'objet éta i t « pei n t » t o u t e n t i e r de te l le m a n ière à - MA. TIWEDERI L PlrJn _

E N Q U ÊTE A MATA D E P E RA ( Espagn e) ce q u e lorsque la pa rtie s u périeu re éta i t j a u ne, le pou r­


ciLs t�u.s

tou r ét a i t vert et v i ce versa . En o u t re d a n s la p a r t ie


( De nos amis espagnols du Centre des Etudes I nterplanéta i res de Barce lone) i n fé rieu re, q u e l 'on pou r ra i t appe l e r le ven t re, e l l e
voy a i t u n e cou ron ne c i rcu l a i re o u u n a n nea u , dont l a
p a r t i e cen t ra l e av a i t u ne co u l eu r j a u ne-o r a n gé, l i m i té
Les fa i ts se sont dérou l és fin j a nv i e r 1 969, l e 2 2 q ue l 'on p u i sse y déce ler u n q u e l conque a moi n d r i s­ p a r u n ce rcle noi r ou bleu t rès fon cé. I l y ava i t ensu i te
s a n s dou te . Mme An ton i a Soler R u i s h a b i t a n t l a pet i te semen t . Sa vivac i té et a g i l i té menta l es so n t hors pa i r u ne zone c i rcu l a i re d a n s l a que l le se m é l a ngea i e n t le
l oca l i té de M a t a depera, à 8 km a u no rd-ouest de Sa­ pou r u ne person ne a u ssi âgée. ve rt ou l e j a une. D'après ce qui a été dit p récédem­
bade l l , à 24 k m de B a rce lone, est l e témoi n . C'est u ne ment cela form a i t u ne sorte « d'esta mpage » t rès j o l i
d a m e âgée de 80 a ns, don t l a s a n té et l a robustesse Ce j o u r- l à e l l e sort i t , com me e l l e en a va i t l ' h a b ! ­
a-t-e l l e d i t q u i l u i a bea ucoup p l u , a j o u t a n t q u 'e l l e
son t rée l l ement m a g n ifi ques e t enviab l es . B ie n q u 'e l l e tude, vers 1 0 h du m a t i n , se d i r i gea n t vers l es a l e n ­
n'ava i t j a m a i s rien vu d e semb l a b l e . L e témo i n pense
u t i l ise pa rfo i s d e s l u nettes on peu t q u a l i f i e r sa v u e tou rs d u vi l l a ge, pa r u n bea u so lei l et u n c i e l dégagé.
que l 'objet deva i t appa rten i r à « q u e l q u ' u n qui sa­
de nor m a l e et s a t i sfa i s a n t e d'après ce q u e nous a vo n s Occu pée sur l e bo rd d'un chem i n à cuei l l i r q u e l q ues
vait t rès bien pei n d re », r a i sonnemen t qui dans son
con s t a té. De m ê m e e l l e u t i l i se s e s a u t res sens s a n s he rbes, e l l e e n te n d i t tout à cou p un b ru i t fo rt q u i l u i
cas pa ra i ss a i t t rès log i q u e .
•••••••••••••••••••••• •••••••
sem b l a étra n ge à cet e n d ro i t , e t à ce momen t .
-·-· -· -· -· -· -· -· --· -:-r
ENQUETE EN AVEYRON
E l l e l e déc r i t comme l e b r u i t q u e pou r r a i t p ro­
d u i re u ne voi t u re pas san t très près et t rès v i te . E l l e
D a n s sa p a r t i e ava n t , ou fronta le, ou p roue d a n s
l e s e n s de sa ma rche, l 'objet comporta i t d e s prot u bé­ r
1- -- -+-
- -- c�)-----1 1
- - -1
��
s e redressa a u s s i tôt pou r s e re ndre compte e t essayer r a n ces a r ro n d i es ou sphériq ues dont le témo i n , co m me · -= "

(Su ite de la pag e 1 3) de loca l i se r l e b r u i t . Au même i n st a n t , ven a n t de s a i l est n a t u re l , i g nore l ' u t i l i té et l a n a t u re. E l l e ne >, :1
r- -
t"_:'T •-'-H�·-=� f i:
sève, les c h a mps, l es p rés con s t i tuent l es neuf d i x ièmes
re m a rq u a par a i l leurs a u c u n h u b l ot, a u c u n e porte, - �"'!� � -- --l , v� / 1
ESCA.L4 of J()(J c'est-à-d i re q u e la s u rface l u i paru l i sse et u n i forme.
d u paysage un i n cen d i e est i m p roba b l e . Notre témoi n,
( Nous a j outons dev a n t cette rem a rq u a b l e des c r i p­
même s' i l ne s'ex p r i me p a s exp l i c i teme n t , n 'y c roi t pas.
tion de l 'objet, q u e le témoin en éta i t s i t u é à 1 6 m
I l est tou t éto n n é de voi r ces bou l es l u m i neuses, l e
en v i ron ) voi r p l a n . ==±===::-;:::=::::==:1��!'� - - -· J. J
fa i t i nex p l i ca b l e s'énonce pa r cet te con s t a t a t ion t ro i s
foi s répétée : e l l e ava i t r a i son ! et i l ne com p rend p a s
ce q u ' i l voi t .
S u r l a photo joi n te on peut s u i v re exactement ce
L a « bou l e » s'éloigne e t , p l u s i n t r i g u é q u 'apeu­ q u ' i l s'est passé a u moment de l a m a nœuvre b r u t a l e .
ré, il a perço i t au loin ce q u ' i l p rend e ncore pou r u n L'ob jet a d û pa sser so u s l e c â b l e d a n s u n espace l i­
ô'1 k - - - - - -<
- - - --
l
a rbre enfl a m mé. L' i m age s u b j ective, ra i so n n a b l e, q u ' i l m i té p a r le c â b l e et les a rbres q u i n 'excéda i t pas 6 m
s'en fa i t n e co r respond p a s à c e q u ' i l vo i t : i l n 'y a c en h a y te u r et 4 m en l a rgeu r . Une foi s ce passage
f l a m me, ni fu mée ! Ce n 'est donc pas u n a rbre
ni
q u i brû le, i l l 'appe l l era « le mach i n », i l ne l u i v i e n t i. fra n c h i l 'objet remonta en d i a go n a l e a scen d a n te et d i s­
p a r u t d a n s u ne vi tesse rég u l ière en d i rec tion de Ta r­
pas à l ' i dée q u e ce p u i sse êt re u n engi n, com men t 1 rasa, à 4 km a u s u d de M a t a depera, en vol à basse
po u r r a i t-i l y pen se r ? l A a l t i t u de sur les pins et m a i so n s bas ses de cet te zone.
---.J
C'est a l ors q u ' i l ape rço i t l a p rocess ion des s i x bou­
l es l u m i neu ses . Leu r a l ignemen t , la rég u l a r i té de l e u r Les p rem i e rs déta i l s de cette enq uête nous o n t été
m a rche l u i fon t penser à d e s t racteu rs, o u b l i a n t u n fou r n i s pa r not re corresponda n t à Sabade l l . I l p r i t
i n s t a n t l es bou l es q u ' i l voya i t de s a fenêtre . I l se rend con tact a vec M me R u i s q u i l 'accompag n a j u s q u ' a u
compte q u e là a u ssi sa com para i son est en défa u t , et l i eu de l 'observat ion . A 30 ou 40 m de l 'e n d roi t où
p u i s « ça s'acc roche « a u » m a c h i n » . Nous ve rrons se t rouva i t l e témoi n il rem a rq u a de c u r ieuses t ra ces
d a n s u ne a u t re séq uence ce q u e s i g n i f i a ie n t exactement ou e m p re i n tes qui j u s t i fière n t notre dép l acemen t .
ces termes de « s 'accrocher » .
Nous joignons à tou tes f i n s u t i les l e c roq u i s d e ces
Tou t e s t déconce r t a n t , t o u t e s t i r r a t i o n n e l : ces
t races, e t u ne photo. E l l es con s t i tuen t s a n s doute l e
bou l es q u i vien nen t p rès la ferme, q u i s'éteignent
témo i g n age m a tériel d ' u n a tterri s sage, d a n s l a mes u re
( tad se ra l l u m e n t , « l e m a ch i n », l a ronde des bou­
où nolis n 'avo n s pu t rouver a u c u n e exp l i c a t ion, n i j u s­
l es, tout ce l a dans l e ca l me de la n u i t, s a n s b r u i t ,
t i f i c a t i o n du type conventionnel, bien q u e nous a yons
i r rée l , com m e d a n s u n rêve.
con s i déré to u tes les hypothèses poss i b l es .
Que pouva i t- i l penser ? « Je n ' a i pas p u com p ren­
d re ce q u e c'ét a i t », d i ra-t-i l . d roi te et, en l i g n e ob l i q u e l égè rement ascendante pa r­ I l s'ag i t de 2 g roupes de 2 t r a i ts p a r a l l è l es o r i en tés
mi le faîte des a rbres, e l l e vi t a ppa raître « u n c u rieux NO-SE . Eca rteme n t ex térieu r 3 m, éca rteme n t i n té r i e u r
Ap rès ces témoign ages, u ne d i scuss ion généra l e
objet vo l a n t » . Da n s sa t r a j ectoi re il effec t u a u ne m a ­ 1 ,80 m , e n t re l es 2 t ra i t s p a r a l lèles 60 c m . Long u e u r
s'ét a b l i t s u r l a c h ronolog i e des f a i t s q u i von t s u i v re,
nœuvre b r u s q u e e t t rès rapi de, com me pou r é v i t e r u n d e s m a rques non cotées ( de 0 , 6 0 m pou r l a p l u s
et ceci d a n s l a p l u s ext rême co nfusion . Nous a p p re­
câble é l ec t r i q u e de 5 0 0 0 vo l ts q u i p a r a i s sa i t se s i t u e r pet i te à 1 ,30 m pou r l a p l u s g ra nde semble-t- i l ) .
nons a i n s i q u e bea ucoup d 'a u t res m a n i fes t a t io n s o n t
s u r s o n t r a j e t . C e t t e m a nœuvre con s i s t a e n u n p i q u é
eu l ieu à d e s da tes i m p récises . M . C h a sseigne essaye
sou d a i n vers l e so l , à pa sser sou s ce c â b l e s i t ué seu­ Lo rsq u 'on l es découvrit e l l es ava i e n t u n a spect de
de les fixer s u r le papier, c'es t i m poss i b l e . Le f i l s
l ement à 6 m 50 d u so l . Les enq uêteu rs notent q u ' a u
rés ume l a s i t u a t ion : « i l y e n a t a n t e u a p rès ! » . bou r relet : l e même q u 'e l les a u ra ie n t e u si on ava i t
mome n t de l a m a nœuvre l 'objet se s i t u a i t à 2 0 m e n ­ i n t rod u i t p rès d e l a s u rface u n e ba g uette a ssez g rosse
Nous éta b l i ro n s cependa n t q u ' i l n e s'est rien pa ssé v i ron d u câb l e et q u e l 'objet p a ra i ssa i t a voi r 1 m 50 q u i a u ra i t gonf l é la terre en s u rface. D ' u n e cert a i ne
j u s q u ' a u 6 j a nvier 1 967. A p a r t i r de cette da te, j u s­ de h a u t, 3 m de l ong, 2 m 5 0 de l a rge.
de t a u pes ; à ce l a de di fférent q u ' i l s ' a g i ss a i t de deux
m a n ière e l l es ressemb l a ie n t à des t races s u perfi c i e l les
q u ' a u merc redi 1 1 j a nv i e r 1 967, toute u ne série de
fa i s rem a rq u a b l es e t préc i s ont e u l i e u . M me So l e r R u i s déc r i t l 'objet de la façon s u i va n te :
E l l e le compa re a u début à u ne d a u rade c'est-à­ pa i res de t races pa r a l lè l es, des p a r t i c u l a r i tés i de n t i ­
J u s q u 'e n 1 969, des fa i t s p l u s vag ues, non d a tés, ques, u n seu l o r i fice . A u c u n a n i m a l semble-t-i l n ' a u ra i t
d i re à u n poisson a ssez a p p l a t i , deve n a n t p l u s é t ro i t
se son t en core p rod u i ts . MM . C h a sseigne e t C a n o u r­ p u f a i re ces t races, compte ten u d e ces p a r t i c u l a ri tés.
g ues s'e m o l o i e n t à t rouver des témoign a ges extérieurs
de l 'ava n t vers l ' a rr ière1 f i n i s s a n t p a r u n e espèce de
q ueue vert i c a l e . L'objet avai t u n a s pec t méta l l i q ue, des de l 'objet .
:
En haut vue du poteau 5 .000 vo l t s, et du mouveme n t

q u i a i dero n t s a n s dou te à cerner ces m a n i festations. E n sou l eva n t avec soi n l a terre d u bou r re l e t o n
ref lets t rès v i fs, de t rè� bri l l a n tes cou l e u rs s'en dé­
( à s u i v re ) .
'
t a c h a i e n t . Le témoi n a ffï rme, t rès conva i n cue, q u e En bas : photo de deux traces. rem a rq u a i t u n pet i t c a n a l et d e s ra m i fi c a t ions c u rieu-

14 15
ATT E R R I SS A G E A M E N DOSA (A rgenti n �) Comment étaient l e s h u blots ? Ce b r u i t q u e j e vou s d i s a i s .. ce fort bou rdon ne-
E N Q U ETE DE A. BARAGIOLA C'éta i t des pe t i t s ca r ré s . men t .
Vo us aviez-d i t comme u ne C a rave l le q u i déco l le.
Quel l e éta i t p l u s ou moi ns l a vi tesse de l 'objet ?
Oui, c'es t cel a .
I l n 'a l l a i t p a s si v i te pa rce q u ' i l deva i t « c ro i se r »
D a n s ce texte de forme i n h a b i t ue l le nous avons Merci à not re a m i M . B a ra g i o l a pou r l 'exce l l e n t U n bruit a u ssi asso u rd i s sa nt ?
u n m u r q u ' i l y ava i t . Après avoi r f ra n ch i l e m u r i l
vou l u vous p résenter u n e enq uête à l 'é t a t b r u t , pou r t ra va i l q u ' i l a a ccom p l i et don t i l a vou l u fa i re béné­ O u i , assou rdi ssa n t q u i fa i sa i t m a l a u x ore i l les.
u n événemen t i l e s t vra i except ionne l , et vou s fa i re s'en a l l a t rès v i te . J e n ' a r riva i s p l u s à l e voi r t rès
f i c i e r L . D . L . N . Dep u i s p l u s d ' u n a n , nous e n t rete n o n s L'objet p rod u i s a i t-i l de l a c h a leur ? de q uel genre ?
bien, pa rce q u ' i l p a rt i t t rès v i te .
p a r t i c i pe r a u t rava i l de l 'enquêteu r . A t ra vers le3 85 u ne co r responda n ce s u i v i e et t rès en r i c h i ss a n te pou r O u i , de l a c h a l eu r ; com m e lorsq u 'on pa sse à côté
q uestions posées, vo u s s a u rez y voi r l a pensée qui g u i · tous les deux, d a n s le doma i ne q u i nous préocc u pe, Faisa it-i l du b r u i t q u a n d i l s'éloig n a ?
d ' u ne c h a u d i ère. J ' a i ressen t i la même c h a l e u r .
da i t l 'enq uêteu r, l e souci de ne r i e n omet t re de c e q u i et q u i nous est d ' u n t rès g r a n d seco u r s . Ce bru i t q ue j e vous ai d i t q u a n d je l ' a i e n te n d u
Prod u isai t-i l u ne odeu r ? D a n s l 'affi rmat ive décri­
l u i p a ra i s s a i t i m po r t a n t , cel u i du déta i l , l ' i n s i s t a n ce . l a p re m i è re foi s . L'en g i n éta i t de cou l e u r a l u m i n i u m
S' i l en é t a i t beso i n , i l n o u s fou r n i t l a p reuve u ne vez-l a . Avez-vou s sen t i l 'odeur avant ou après ?
po u r obten i r u ne p réc i s ion . Le passage a m u s a n t est b ri l l a n te et l a p a r t i e d u dessous tou r n a i t t rès fo r t .
fo i s de p l u s q u e rien ne rem p l ace l 'e n q uête d i recte. Je l 'a i sen t ie a p rès m 'en ê t re a l l ée, et les compa-
ce l u i de la série de ques t i o n s pour essaye r d'obte n i r Expliq uez brièvemen t comment éta i t le terra i n de
E l l e pe rmet de rec uei l l i r des docu ments d ' u ne v a l eu r g nes a u ss i . L'ode u r éta i t de so ufre b r û l é .
u ne p réc i s i on s u r l a d i mens ion . L e c h o i x d e l 'enq uê­ l 'hôpi ta l .
excep t ionnel l e, vé r i t a b l es doc u m e n t s d'a rch i ves, à p a r ­ Y avait-i l u ne l ig ne à h a u te-tension à p roxi m i té ?
teur e n t re la tête d'épi n g l e j u squ'à la ba l l e de bas ket­
t i r desq u e l s on peu t bâ t i r s u r d e s bases s û res . Bon . . . i l doi t y avo i r quel ques 200 mètres ca r rés.
ba l i con f ron té avec la v i s i o n d u témo i n , q u i essaya i t Non, i l y a va i t l es l a m pes de la ga l e r i e seu l emen t .
La cou r est g ra n de.
d e com p re n d re, pou r u n objet q u 'e l l e ava i t v u a u ssi Que cette e n q uête l o i n t a i ne, com me i l s'en fa i t L'objet paraissait-il sol i de, transparent, vaporeux ?
g r a n d que l a p ièce q u 'e l l e occu pa i t . Y avai t-i l un a rbre près de l 'endroit où il se posa ?
t a n t d a n s l e mon de, nous encou rage d a n s tous nos t ra­ So l i de.
vaux, pou r q u 'en f i n la vé r i té de cette p résence i n so­ O u i , i l y a va i t deux pet i te s p l a n tes d a n s u n bac Quelque photo de l 'objet a-t-elle été prise ?
··········-···4····· ····· ···-· l i te s ' i m pose a u x yeux de tous, avec toutes ses con sé­ qui f u re n t b r û l ée s . U n p i ment qui éta i t d a n s la cou r
Non, je n 'ava i s pas d'appa rei l . Si j 'e n ava i s eu
q uences. se brû l a tout vers le bas ca r ses bra nches é t a i e n t i n c l i­
j ' a u ra i s pris u ne photo.
nées .
ENQU ETE A MATADEPERA ( Espagne) F. L. De quel le grandeu r pa raissa i t l 'objet comparé aux
La p l a teforme où i l atter rit éta i t-el le gra nde, où éléments s u i vants ten u s à l a main à 1 mètre de d i s­
( S u i te de l a pag e 1 5 ) I l s ' a g i t de l 'e n reg i s t rement s u r ba nde m a g n é t i ­ atterri t-i l p l u s ou moi ns au m i l ieu de l a cou r ? tance : tête d'épi ngle, pet i t pois, mon n a ie, b a l le pelote,
q u e de l 'e n t revue q u 'a eue M . A n t o n i o M . B a ra g i o l a
I l s'ét a i t posé a u m i l i eu de l a cou r . p a m p l emou sse, ba l le de basket-ba l i ou a u t re c hose ... ?
avec Mme Ade l a Casa l vieri , de Ta n a s i t t i , le 7 m a rs
ses, l a téra l es, éq u i d i s t a n tes, cou rtes, p l u s é t ro i tes d ' u n Avez-vou s vu quelque type d'avion a v a n t , pendant, Je ne t rouve p a s de com p a ra i son .
1 970, à l a s u i te d ' u n a t ter r i ss age d'O.V . N . J . d a n s l a
demi-d i a mè t re. cou r d e l ' hôp i t a l neu re-psyc h i a t r i q ue d e Mendosa, l e ou après l 'événemen t ? Si vou s ne t rouvez pas de compa ra ison, a lors
comparez le par rapport à l a plei ne l u ne .
2 2 j u i l l et 1 968, à 1 h 2 0 . L a p re m i è re p a r t ie d e cette Non, je n ' a i rien vu . M a i s , j 'a i vu ces gens à l ' i n té­
A 1 0 m en v i ro n , d ' a u t res traces p l u s i m p réc i ses A i n s i ? M a i s com men t ?
enquête ne nous est p a s encore p a rven u e à l 'h e u re rieu r, q u i m a rc h a ien t . Ca r i l n 'y en a va i t p a s q u ' u n
s u r l esque l l es nous n'émet t ro n s pas d'op i n io n .
où nous mettons sous p resse. Ceci con s t i tue cepend a n t seu l , m a i s p l u s i e u rs q u i m a r c h a i e n t , l es u n s p a r c i , En le reg a rd a n t q u a n d i l s 'en a l l a i t ?
u n t o u t cohére n t e t n o u s n ' a u rion s p a s eu l a p l a ce s u f­ e t d'a u t res pa r l à . Ou i . . . l a même chose, m a i s p l u s ova l e .
Les pet i ts c a n a u x souterra i n s n e com p re n a i e n t a u ­
f i sa n te pou r l 'e n sem b l e de ce seu l ca s . ( E n g ra s l es Mais . . p l u s ou moi n s ce d i a mètre ?
c u n e t race de s u bsta nce, a u c u n rés i d u . N o u s avo n s p r i s D a n s q uelle d i rection regardiez-vous l orsque vous
q u es t i on s ) . De l a forme d ' u n c h a pea u . La p a r t i e du des s u s
des mou l a ges a u p l â t re, m a i s l e rés u l ta t a é t é u n avez vu l 'obj et la prem ière fois ?
a s pect déformé et p l u s l a rge q u e l a réa l i té . Distance esti mée entre l 'observate u r et l 'objet : p l u s h a u t a u m i l ie u , et p l u s bas l a même chose.
J 'ét a i s a r rêtée . . . L'objet n 'éta i t pas vers l a Cord i l ­
20 mèt res je crois ? Etait-i l comme u n poi n t ou présen ta i t-i l un d i a mè­
l è re des Andes ; m a i s vers l e S u d . E t q u a n d i l s 'é l eva,
Avec u ne a rg i l e ten d re, s péc i a l e, n o u s avons réa­ tre appare n t ? S'il relève du p rem ier comparez-le à
20 mètres ou i . il p a r t i t vers l e côté où l e sol e i l se l ève.
l i sé u ne m a q uet te de l 'objet, la mod i fi a n t au fu r et une étoi le, s'i l relève du seco nd comparez-le au d i a mè­
à mes u re des i n d i c a t i ons fou rn ies p a r M me Ruis ( voi r Vous étiez d a n s l a pièce ? Avez-vous été capable de voi r l 'objet c l a i rement ? t re l u n a i re. I l ava i t un d i a mètre apparent, n'est-ce
dess i n ) . Dans le cas con t r a i re signalez-moi l 'empêchement ou le pas ?
Dans l a c l i n ique.
facteur ! i m i ta teu r . Da n s ce cas vous m 'avez d i t q ue
Oui, oui !
Mme R u i s n e ressen t i t a u c u n e sorte de « choc » Pouvez-vous me d i re tou t ce que vous avez res­ c'est la l u m ière que vous aviez vue d'abord. A lors vous
Le d i a mètre apparent éta i t-i l semblable au d i a mè­
et ne s u pporta a u c u n e con séq uence nég a t i ve en rap­ se nti ? Comment c'était ? ne pouviez pas l e voi r et vou s vous cachiez l e vi sage.
t re de la l u ne en h a u teur ?
po rt avec cette observa t i on . E l l e fut a u con t ra i re t rès N'est-ce pas certa i n ?
J ' a i entendu u n fort bru i t, u n for t bou rdon nement I l éta i t bien g r a n d . . . com m e cet te c h a mbre .
con tente et t rès s a t isfa i te de l 'occa sion q u i l u i a été Evidem ment, je me cach a i s le v i s age t ro i s foi s .
qui m 'a ssou rd i s s a i t , et je soi s sor t i e d a n s la cou r car Présenta i t- i l q uelques détai l s c l a i rement visi bles
don née de voi r quelque ch ose d ' a u s s i j o l i . E l l e n ' a va i t E n s u i fe q u a n d j e n ' a i p l u s entendu d e b r u i t , q u ' i l s ne
j e c roya i s q u e l e gaz d u poë l e m ' i ncommoda i t . Lo rsque par exemple coupole, m a rq ues ?
j a m a i s entendu p a r l e r d'O.V .N . I . et n e sava i t rien à me v i s a i e n t p l u s , je le vis s'é l ever et je pus vo i r c l a i ­
j e sort i s d a n s l a cou r, i l s d i r igère n t sur moi u n rayon Coupole et h u b l ots, ou i .
l e u r s u j e t . P a r con t re e l l e ce r t i f i e reco n n aît re pa rfa i te­ rement.
l u m i neux, et a p rès je n ' a i p l u s entendu de bru i t .
ment un avion d ' u n hél i cop tère . E l l e affi rme que ce Le voyait-on nettemen t o u u n peu confus ?
E n s u i te j e porta i s mes m a i n s a u v i sage, p u i s j e vou­ Cet objet a-t- i l l a i ssé u ne évi dence m a térielle de
q u 'e l l e a vu ét a i t q u e l q u e c hose de tot a l em e n t et d'ab­ Les personnes ne se voyaient p a s c l a i remen t .
l a i s l es ôter pou r voi r ce que c'ét a i t , m a i s j e ne le sa p résence ? brû l u res, rad io-ac tivité, a-t- i l bouleversé
so l u ment i n con n u d'el l e, et ne s 'exp l i que pas ce que Non ! l 'objet premièreme n t .
pouva i s pas, pa rce q u ' i l s me v i s a i e n t s i fort q ue je ne le terra i n , l a issé des t races de mat ières, ou quelqu'au­
ce l a pouvai t êt re. Ah ! l 'objet ou i ! I l se voya i t c l a i rement, bien c l a i­
l e pouva i s p a s . tre c hose ? Décrivez-le s'i l vo u s plait ?
remen t .
Le témo i n a j ou t e pou r j u s t ifier son étonnement Quand avez-vou s p u ret i rer l e s m a i n s ? Bon, i l me b r û l a l es m a i n s , le v i sage : tou t ce côté
les bords d e l 'objet étaient-i l s brou i l l és, confus,
et s a s u rp r i se q u ' i l deva i t s'ag i r de quelque c hose d roi t e t le cou .
Q u a nd l 'objet s'en a l l a q u ' i l s ne me v i s a i e n t p l us, c l a i rement dél i m i tés ?
ven a n t de « l 'étranger » . Ce mot est synonyme pou r U n docteur vous a exa m i née ? C l a i remen t .
a l ors j 'a i e n tendu ce b r u i t d a n s l es orei l l es à nou vea u .
e l l e de l oi n ta i n , s u rp ren a n t , é t r a n ge, i n sol i te, peu fré­
Vous avez d i t avo i r aperçu des mouvements à Un médec i n v i n t m 'exa m i ne r . Couleurs. I n diquez s'i l y avait u ne o u p l u sieurs
quent. l ' i ntérieu r ? Comme des person nes ? cou leu rs, lesq uel les ? C 'étaient, s i el les vari aient, s'i l y
De l 'hôpi t a l ou des Forces aérien nes ?
avai t des rayo n s de l u m ières, déc r ivez-les. I ndiquez où
L e C . E . 1 . a j ou te q u e l e témo i n dés i ra n t l 'a no­ Evi dem m e n t . Q u a nd j 'a i ret i ré mes m a i n s du v i sa­
De l a Force aérienne. J I m 'exa m i n a et d i t q u ' i l v
ge, q u e j 'a i e n tendu ce bru i t , q u ' i l s ne me v i sa i e n t ils ét aient d i rigés ?
nym a t le nom u t i l i sé de M m e R u i s n 'est q u ' u n pseudo­ ava i t de l a radio-a c t i v i té d a n s l es bagues et l a mon tre
nyme. p l us, j e reg a rd a i s vers l e S u d , i l s 'en a l l a i t s'éleva n t Les q u e l s ?
q u e j e por t a i s .
tou t doucemen t . A l ors j ' a i v u des gens q u i rem u a i e n t D'abord les cou leurs.
à l 'i n térieu r de l 'objet, des g e n s d o n t on voya i t l a moi­ Les brû l u res a-t- i l d i t q u 'el les avaient été causées De la l u m ière ?
Merci à nos a m i s d'Espagne pou r cet te enq uête q u i
tié d u co rps. On ne voya i t pas l a tête, seu l ement l a par la rad io-activité ?
n o u s a p a r u ê t re con d u i te d a n s toutes l es règ les e t O u i , l 'objet ava i t-i l u ne cou leur ?
q u i l eu r fa i t h o n n e u r . I l s vou d ron t b i e n n o u s excuser moi t i é d u corps. I l y ava 1 t des h u b l ot s a u m i l i eu C'est ce l a , u n ( 1 ) deg ré de b rû l u re . O u i , co m m e a l u m i n i u m b r i l l a n t .
d'avoi r q u e l q ue peu � b régé l e texte, t ra d u i t par M. de l 'a p p a rei l , a vec de g r a ndes a n te n n es s u r l es côtés, Q u e l degré de b r û l u re. U n deg ré . C'est-à-d i re d u Y avai t-i l u n seu l rayon d e l u m ière d i rigé vers
C a u ss i mo n t , de n o t re service Fra nce-Espagne. et bea ucoup de l u m ières de cou l e u r . premier degré . Ou i . L'objet prod u i sa i t quel bruit ? de votre vi sage ?
q uel gen re ? O u i , rouge.
- 16
- 17 -
E t a i t- i l d ' u n rouge i n tense ? B r û l ures e t paralysie, n'est-ce p a s ? PO U RS U ITE S U R L' AXE FRA N OI S-C H EM A U DI N lDoubsl
I l éta i t d ' u n rouge i n tense. O u i , for t . Ou i .
A l 'hôp i t a l , on vou s a exa m i née pou r voi r s'i l y Reste-t-i l quelques t ra ces matériel les comme em· ENQUETE D E J. TV RODE
avait un i ndice possible d'épi lepsie, u ne att aque selon p rei ntes, objets, etc ... ?
ce q u 'a écrit l e q u ot i dien « Los Andes » . Des e m p re i n tes, a s sez b i e n .
Le 1 ' Ü sep tem b re 1 966 i 1 ét a i t 21 h 1 5 envi ron com m e des h u blots, des c a r rés ou· recta n g les j a u nes
Ou i , j e n'ava i s rien. G râce à Dieu j e n'ai j a m a i s L'objet affecte-t- i l des engi ns méca n i q ues ou élec­
q u a n d M. Veg naduzzo accompagné d ' u n j e u ne hom me ex t rêmemen t l u m i neux, au nom bre d ' u ne dem i-douza i n e
e u cette ma l a die. triques ? pa r exem ple des moteu rs d'au tomobi le, l a n­
de 1 6 a n s rou l a i t en voi t u re sur l a N. 73 e n pa r t a n t selon q u e l e témoi n a pu e n j u ger.
Pouvez-vous déc r i re le bri l l a n t de l 'objet ? ternes, pha res, radiotransm issions, T .V., i n stru men ts,
de Besa nçon . I l a l l a i t à La n te rne-Ve r t ière pa r C h â teau­
horloge ou montre de poche, etc ... ?
Leq uel di tes-vous ? fa r i ne où i1 deva i t e m p r u n te r la D . 1 1 .
Non non, i l n 'y a va i t rien !
Le bri l l a n t ?
Je crois que votre montre s'est a r rêtée d ' a p rès Le ciel éta i t t rès c l a i r, éto i lé, s a n s l u ne, l e témo i n
Le b r i l l a n t . . . ét a i t br i l l a n t cou l e u r a l u m i n i u m .
« Les Andes » ? rou l a i t v i te et a p p roch a i t de C h â tea u fa r i ne. Souda i n i l
C e bri l l a nt pou rrait être . . . comme p rod u i t par c r u t rem a rquer q u e les fi l s é l ect r i q ues q u i l on gea i e n t
Ma mon t re s ' a r rêta à 1 h . 3 0 .
l 'objet . . . ét a i t-i l de l 'objet ? l a rou t e b r i l l a i e n t com m e s ' i l ava i t p l u . « T iens, s e d i t­
La mon t re ava i t a u ssi d e l a radio-activité ?
I l ét a i t de l ' appa rei l l u i-même O u i , e l l e en a va i t et l es bagues a u ssi . Et j e porta i s i l , i l a p l u ! » Réfléc h i ss a n t i l se ren d i t com p te que l a
Etai t-i l plus bri l l a n t que le solei l , q u ' u ne p l a nète, u n pet i t bo n net d e l a i ne s u r l a tête pa rce q u ' i l fa i s a i t route ét a i t pa rfa i tement sèche, q u e ses p ropres p h a res
comme le fond où il appa raît ? s i fro i d . Je l 'a i eu brû l é tou t c e côté ( d ro i t et a r rière ) . n 'éc l a i ra i e n t p a s l es f i l s, q u 'a u c u ne vo i t u re n ' ét a i t e n
Non, i l éta i t t rès bri l l a n t . Le pet i t bon net de l a i ne ? v u e , et cependa n t les f i l s p a ra i ss a i e n t constel lés d e
P l u s bri l l a n t que l 'obsc u r i té du fond ? Oui. gou t te l e t tes br i l l a n tes. I l r a l e n t i t , cherc h a n t l a c a u se
O u i , o u i , i l b r i l l a i t bea u cou p . de ce p hénomène, et c'est a l ors q u ' i l a perço i t s u r l a
Connai ssez-vous, o u avez-vo us l u quelque chose
Son bri l l a n t ét a i t- i l gên a n t ? d roi te, a u -de l à d e C h â tea uf a r i ne, assez bas s u r l ' hori­
sur le sujet OVN I ? D a n s le j o u r n a l vous avez d i t
zon ( 1 oo envi ron ) et p resque a u ras des a rbres d u
Non ! Non ! qu 'ava nt vous ne c royiez pa�. . . Mai nten a n t vous
b o i s de Franois, u n é t r a n ge eng i n .
Lumi nosité ; i l paraissait avoi r u ne l u m ière p ro­ croyez ?
pre. Cel le-ci était-e l l e fixe ou sci n t i l l a n te ? La l u m i no· Ou i , m a i n t en a n t j e c ro i s . M . Veg n a d uzzo est u n a n cien p i lote d'av i a t ion h a­
L'e ng i n ava nça i t lentement, dans u ne di rec t i on sem­
sité pouvai t-elle être le reflet de quelque c hose ? La v i e extra-terrestre est-e l le possible ? bi t u é a u x di ffére n t s types d'aéronefs, m a i s a u c u n type
b l a i t- i l p a ra l l è l e à ce l l e de M . Veg nad uzzo. De r r ière
Non ! Non ! Je ne s a i s pas, m a i s je c ro i s q u e o u i . d'apparei l con n u ne ressem b l a i t à ce q u ' i l ét a i t en
p a r a i s s a i t t raîner comme u ne q ueue de cerf-vo l a n t .
Le bri l l ant éta i t-i l const a n t ? Etes-vous u ne personne norma lemen t sai ne ? t ra i n d 'observer.
L'i l l usion éta i t créée p a r q u a t re o u c i nq l u m ières j a u ­
Ou i , i l l 'ét a i t . Oui, sai ne.
Ce l u i-ci ten a i t à l a foi s d u ba l l on, d u d i r i geable, n e s , a l l ongées ve rt ica lement ( co m m e d e s papi l lottes ) ,
Avez-vous été prisonn ière d e guerre ?
L a t r a j ectoire a u décol l age ét a i t-el le rec t i l ig ne, du cerf-vo l a n t avec un a spect de fusel age d'avion de éq u i d i s t a n tes e n t re el les, q u i sem b l a ien t pen d re u n
Non .
droite ? l i g n e . I l comporta i t u ne sorte de fuse l a ge a r rondi vers peu vers l e s u d comme ten ues p a r u n f i l i nv i s i b l e . E l ­
Rega rdez . . . il s'éleva i t a i n s i et ens u i te i l f i t a i n s i . . . Avez-vou s souffert u ne fois d'ép i l epsie ? l ' ava n t et se term i n a n t u n peu en po i n te e n a r r ière. l es s u i v a i e n t l e corps d e l 'eng i n s a n s mod i f i e r leu rs
tou t doucement vers le h a u t . Non . La cou l e u r généra l e, d i ffic i l e à défi n i r, ét a i t d'un j a u ne pos i t i o n s réc i p roq ues.
Portez-vous des l u nettes ? t rès pâ le, m a i s d a n s la l i gne méd i a ne, se dét a c h a i e n t ,
C'est-à-d i re q u ' i l déco l l a p l u s o u moins comme u n Le témo i n n'en croya i t p a s ses yeux, et pens a n t
Ou i , j e porte des l u net tes dep u i s peu de temps :
héli coptère ? •••••••••••••••••••••• ••••• • •• ê t re l e jo uet d ' u ne h a l l uci n a t i o n dem a n da à s o n com­
envi ron un a n .
C'est ce l a ! E t a p rès, i nc l i né vers le h a u t j u s q u ' à pagnon de l u i d i re ce q u ' i l voya i t , et ce dern i e r l u i
ce q u ' i l a i t pa ssé le m u r q u i ava i t 1 2 mètres p l u s o u Cel a n ' a rien à voi r avec l 'événement ? f i t l a même desc r i p t i o n .
Non . 1 • •
moi n s . Alors M . Veg n a d uzzo p r i t u ne déc i s i o n , i l a l l a i t
Occ upa nts, aspect e t d i mension, h a u teur et a u t res Pouvez-vou s vous sou ven i r de ce que vou s fais iez pé riphérie de Mendoza , à 1 7 ou 1 8 k m de l ' hôp i t a l
s u i v re l 'e ng i n et même tenter d e l u i cou per l a rou t e
ca ractéristiq ues spéc i a les . . . La seu le c hose que vous le j o u r ava n t ? ( à l ' E s t ) . L'hôp i t a l est s i t u é e n p l e i ne v i l l e d e Men­
pou r l 'observer d e p rès . Au l ieu de p re n d re l a D . 1 1
ayez vue fut la moi t ié d u corps par l e h u blot ? des J'éta i s à l a m a i son à net toye r . doz a .
à Châ<tea u f a r i ne, i l accél é ra s u r l a N . 73 . Au h a­
s i l houettes qui se dép l açaient ? Après l 'événement avez-vous eu q uelques rêves A u t re rema rque : n o u s sommes d a n s l ' hém i sp hère meau de l a Bel l e-Eto i le, l 'eng i n éta i t dépassé. M. Ve­
Pa r le h u b l ot, ou i . I l y a va i t quel ques s i l houet tes d a n s lesq uels apparai ssa i t l 'objet ? Sud le 22 j u i l l et 1 968 ; en p l e i n h i ver, i l fa i t si froid g n a d uzzo pense q u ' i l ava i t dû s u rvoler F ra no i s , e t
qui se dép l a ç a ie n t . J ' a i vu par les h u blots q u 'el l es Non, je n ' a i j a m a i s rêvé de ça pa rce q u e je ne dit te témo i n ! Nous avions mon t ré ( L.D.L.N . 1 02 ) à d ' a p rès l a config u ra t i o n d u terra i n e t sa con n a i s s a n ce
se dép l a ç a i e n t p a r c i , pa r l à . c roya i s p a s . l ' a i de de g r a p h i q u es que la s a i son n ' a p a s a p p a rement de p i lote i l est i m a q u e son a l t i t u de deva i t ê t re com­
Quelle cou leur avaient ces person nes ? U n éc l a i rcissement : on d i t q ue l e s m a l ades men­ d ' i n f l uence sur l e ryt h me des observ a t i o n s . I l sem ble p r i se e n t re 1 00 et 1 5 0 mètres .
A t ten t ion ! . . . On ne voya i t pas bien pa rce q ue taux q u i son t des person nes norma lement i nq u i ètes, bien q u ' i l fa i l le e n che rcher l a ca use sur des i nf l uences
Pou r s u i v a n t sa route le témo i n a r rive a u h a mea u
c'ét a i t assez l oi n . M a i s des « gens » q u i se dép l a ç a i e n t éta ient cette n u i t comp lètement c a l mes . ex térieu res, et c'es t ce que nous fa i so n s .
de La Coco t te et pe nsa a l ors q u ' i l pouva i t bifu rq u e r
à l ' i n térie u r se voya i e n t c l a i reme n t . Ou i , i l s é t a i e n t c a l mes. A u c u n m a l ade ne s'ét a i t
E n f i n , cer t a i n s veu l e n t vo i r d a n s l ' i n terve n t ion des pou r renco n t re r l a rou t e de l 'eng i n . Ce l a l u i a u ra i t é t é
U n tec h n icien a-t-i l est i mé q u ' i l y ava i t de l a réve i l l é .
M .O .C . un côté m a l éfique. Cette i n t r usion d a n s u n s a n s d o u t e poss i b l e s'i l a va i t p r i s l a D . 2 1 6 de C he­
rad io-activité à l 'endroit d e l 'atterrissage ? Aucun m a l ade ?
hôpi t a l , a s sez s i n g u l ière, nous i n c l i nera i t p l u tôt à pen­ m a u d i n q u ' i l dél a i ssa com me t rop médiocre pour p ren­
O u i ! o u i ! i l y en ava i t , pa rce q u ' i l s o n t emporté Aucun, pa rce q u ' i l s se lève n t l a n u i t pou r boi re
ser q u e cette i n terve n t i o n a été p l u tô t bénéfi que. Le d re la D . 1 08 de F ra no i s ( voi r M i chel i n n 66, p l i 1 5 ) .
u n mo rcea u de c i m e n t et des bra nches d ' a rbres. de l 'e a u , et cet te n u i t perso n ne ne se l eva . C'ét a i t le

a u c u n des agi tés ne se soi t levé, con t r a i rement à 1�


fa i t que, m a l g ré le bou rdonnement a ssou rdiss a n t Penda n t l a t raversée d u boi s de F ra no i s i l perd i t
Réactions physiq ues : froid, c h a leur, b rû l u res, c h a- si lence de l a n u i t .
Leu r m a l adie est t rès grave ? l 'objet d e vue, et à s a sortie i l s n e v i re n t p l u s l 'obj e t .
tou i l lemen t , para lysie ? règ le, se m b l e ra i t i n d i q uer u ne a c t i o n a p a i sa n te . I l
Ou i , ce son t tous des ép i lept i ques, a l cool i q ues, Pa r con t re s u r l e u r g a uc h e ava n t d'at tei n d re La Fél i e
J ' a i eu les p ieds p a r a l ysés . a u r a i t été i n té ressa n t , j u steme n t , de savoi r s i le réta­
etc, etc . . . i l s f u re n t i n t r i g ués p a r u ne forte l ueu r rouge. Cel l e-ci
Vous avez seu lement ressenti la para lysie ? b l i ssement de cer t a i n s m a l ades n ' a p a s été p l u s ra p i de
T o u t si lencieux ? A u c u n m a l ade ne s e leva ? qui se s i t u a i t dans l e sec te u r de Chema ud i n ne se p ré­
D a n s les p i eds, p a s p l u s , donc je ne pou va i s pas q u e la n o r m a l e . M a i s on pense le p l u s souve n t à des
Non, a u c u n m a l ade ne se leva . sen t a i t p a s sous u n a spect bien déf i n i , rien de com pa­
bouger. méfa i ts q u ' à des bienfa i ts, nous pensons q u ' i l est p l u s rable e n tous cas à l 'o b j et de s a pou rs u i te . I l sem­
I l semble q u ' i l s dormaient ?
U n espèce de c h atou i l lement ? obj ect i f de tou t ex a m i ne r . b l a i t q ue ce fut u n g l obe rouge e n to u ré d ' u n e cou ron­
Oui.
Non, rien . . . r i e n . I l sem b l a i t q u e j 'éta i s col l é a ù N o u s déd i o n s cette e n q uête a u x i n c réd u l es d e tou t n e d'un d i a mè t re éga l à q u a t re foi s cel u i de la p l e i ne
F i n de l 'e n reg i s t remen t .
so l . . . rien d e p l u s . poi l , a u x t h éori ciens de cabi net, à tous ceu x qu i cri­ l u ne . Cette l ue u r l e u r p a r a i ss a i t i m mob i l e .
Traduction p a r M m e Bou l v i n q u e nous re mercions
Réactions psyc h i q ues : peu r, agressivité, p a n ique, t i q u e n t les p i ed s dans l e u r s p a n toufles, l e nez dans M . Veg n a duzzo a r r i va i t à La Fél ie, t raversa l e v i l ­
de tou t son dévouemen t pou r u n cou r r i e r qui devien t
nervosi té, c a l me, perte de con n a i ssa nce ?
de p l u s en p l u s l o u r d . leurs acq u i s dés uets face à ces événeme n t s , et nous l age, bifu rqua s u r l a O . 1 1 ( son i t i néra i re d e voyage )
Non r i e n . J'ét a i s com p lèteme n t nor m a le . l e u r dema n dons, s' i l s so n t hon nêtes, s' i l ne sera i t pas et rou l a en d i rection de Chema u d i n . Cette bon ne rou te
N ' y e u t-i l a u c u ne m o r t d 'a n i m a l ? N .D . L. R . - Nous n 'é to n ne rons pas t rop n o s l ec­ oppo r t u n q u ' i l s rév i sen t leu r j ugeme n t et nous a i de n t deva i t l u i perme t t re de r a t t raper l 'engi n . La g ra n de
Non, non, a u c u n de p r i s . A u c u ne pe rso n n e de l ' hô­ teu rs en l eu r mention n a n t q ue B a v i c passe d a n s l a d a n s not re tâche. l u m i ère rouge se t rouva i t a l ors face à son pa re-b r i se .
p i t a l morte non p l u s . • • •
- 19 -
- î8 -
1
Parve n u s à Chem a u d i n , nos deux témo i n s pensère n t AO UT 1 970
b i e n ê t re p rêts de l ' a t te i n d re, l a s i t u a n t à 1 k m en­ U ne nouve l le observation Il
No 107 - 1 3e ANNEE
f
vi ron à la so r t i e d u vi l l age. Ce l u i-ci se s i t ue sur u ne - URE EN PAGE-l ••••••••••.

é m i n ence q u i dom i ne u ne va l l ée é l a rg i e . A q u e l q u e en Côte-d'Or PAGES S U PPLEMENTA I R ES DE


Le N u méro : 1 F.

1
500 mèt res des de r n ières m a i sons, a u b a s de l a des­
cen te se s i t ue un l avoi r et c'est à s a h a u te u r que M . Enquête de M . Tyrode Adresse :

L U M I E R E S
Veg naduzzo, q u i con naît bien l a rou te, s i t u a i t cet te « LES PINS »
l ue u r . I l accé l é ra vers cette d i rection e t a t teig n i re n t Cette obse rva t ion a e u l i eu à 7 o u 8 km au s u d A - A LA C H A SSE AUX ME­
43 LE C HAMBON­
rap i dem e n t l es l ie u x . F a c e a u l avo i r les d e u x témoi n s d e D i j o n , d a n s l 'agg l omérat ion d e Chevig ny, dépen­ TEOR I T E S DANS LE SUD

d a n t de l a com m u ne de Fen ay, qui S U R-LI GNON


aperço i ve n t a l ors l a l ue u r rouge q u i embrase tou t l e g roupe 4 1 9 habi­ DE l'A L L E M A G N E .

DA N S L A N U I T
som met d e l a col l i ne à l e u r d ro i te, col l i ne q u i fo rme t a n t s, a vec O u ges, sur l a N. 4 6 8 . M . Tyrode a d û
F ondateur :
l 'extrém i t é d ' u ne c h aîne dom i n ée pa r l a côte 295. a t tendre l e reto u r d ' u n d e s témoi n s , p a r t i t e n voya ge, B - N OC I V I T E DES VACC I -

pou r com p l é ter son enq uête, a f i n N AT I O N S, p a r l e Docte u r R. V E I LLJTH


Po u r eux ce l a n e fa i t a uc u n dou te, l 'obj et est derr ière que rien ne soi t
M I C H A U D. • ••••••••••
l a col l i ne et c 'est sa l ueu r q u ' i l s a pe rço ive n t pa r-dess u s l a i s sé d a n s l 'om bre.
l a c rête. Les témo i n s son t : M . José C a m p a i , e n t reprene u r G - L I VRES S E LECT I O N N E S. PROBLEME S H U MAINS, R ESPECT DES LOIS DE LA VIE
d e m a çon nerie à C h evigny ( 6 7 a n s ) , s a fem me, sa
La ro u te l on ge à ce moment la c h aîne e n l i gne SPI R ITUALITE , PROBLEM ES COS M I Q U ES, ETU D E D E L'I NSOLITE
be l l e-f i l l e, deux e n fa n t s d'un a u t re f i l s , M . Leb r i ce,
droi te, puis effectue u n vi rage à d ro i te pou r con tou r­ en
emp loyé à l 'orphe l i n a t de Danois ( 40 a n s ) , e t d'au­ A i der l 'ê t re h u m a i n sur les d i vers p l a n s de son existe n ce, rechercher et met t re
ner u n esca rpemen t, l 'e ng i n pa raît à l a por tée, notre t res personnes qui consom m a i e n t a u café de l a Sa ns­ cette rev ue.
rel ief de précieu ses vér i tés souvent méco n n u es , te l s son t l es buts de
témo i n accélère au m a x i m u m . Au momen t où i l s a bo r­ Fond, ten u par u n fi l s C a m p a i . ..
den t le vi rage, nos témo i n s con s t a te n t avec s t u p e u r
q u � l a l u e u r a va i t tot a l ement dispa r u . Ce l a s 'es t p ro­ Le 2 1 j u i l l et 1 969 le c i e l , à 23 heu res, éta i t t rès << Cherchez et vous trouverez » Jésus.
. c l a i r, quel q ues bru mes a ssez fa i bles é t a i e n t au ras
d u i t s u b i teme n t b r u ta lement, i l n 'y eu t a u cu n dé­
p l acement de l a l u m ière n i en a l t i t ude n i en s u i va n t d u so l , e t M . Campa i p a rt a i t de son dom i c i l e pou r
l e so l . recondu i re chez son f i l s, à La S a n s-Fond, deux enfa n t s
de ce de r n i e r.

A LA CHAS SE AUX M E TEO RITES


I l s ac hevèrent l e v i rage, e t e n r a l e n t i ss a n t reg a r­ M . C a m p a i demeu re s u r le V. O. 4 de C h ev i g ny
dère n t a t te n t i vemen t de rrière l a c rête : i l n 'y a va i t à Ouges, d a n s u ne des dern ières m a i sons à l 'es t de
r i e n , n i objet, n i l u m ière. Chevig ny, 1 . 1 50 m envi ron du ca fé-res t a u r a n t · Ce
dern i e r se s i t u e s u r la N. 396, un peu i so l é au N .O .

DAN S LE S U D DE L'ALLE MAG N E


I l sem b l e q u e l es témoi n s n ' a i e n t p a s étab l i u n d e C h ev i g ny, à 800 m a u N . d u c a r refou r de l a
rapprochemen t , a u moment d e l a pou rsu i te, e n t re l a N . 396 et d u V . O . 4 , l e c a r refo u r éta n t à 350 m à
l u e u r rouge e t l 'e n g i n m a té r i e l q u ' i l s avaient v u de l 'ouest de l a m a i son C a m p a i .
la N. 73 . D'a p rès eux v u de La Cocotte il a u ra i t eu
L'aïeu l et ses deux pet i t s-enfa n t s remon t a i e n t donc
u ne soixa n t a i ne de mèt res de long, e n ca l cu l a n t d ' a p rès ,
l e 2 1 j u i l le t 1 969 à 2 3 h e n v i ron l e V . O . 4 e n Pa r m i les météo r i tes q u i tombe n t s u r l a Te r re, or. ri te, car i l s'a g i t d ' u n e s u bsta nce so l i de et non p l u �
l e d i a mèt re a pp a re n t do n né : q u a t re fois la l u ne. Ja­
di rec t ion d u v i l l age l o rsq u ' i l s aperç u re n t a u loi n , e n d i s t i n g u e t ro i s ca tégor ies : ce l l es don t on peut obser­ d ' u n phénomène a t mosphé r i q u e ) . Ma i s l a s i m p l e o b
mais d u r a n t la po u rs u i te il ne vint à l ' i dée de M . Ve­
face d ' e u x , d a n s l a d i rec t ion de Gevrey-C h a m bert i n ver la c h u te, ce l l es q u 'on ret rouve d a n s l a terre s a n s serva t i o n des météores ne s u ffi t p a s pou r con n aître l es
g n a d uzzo que les de ux observa tions p u i ssen t ê t re deux
( ca r te M i chel i n n o 6 5 , p l i 2 0 ) , u ne g rosse bou l e l u­ a vo i r p u observer l e u r c h u te et ce l les q u i n 'o n t p a s don n ées exa ctes des t r a j ectoi res .
as pects d i ffé re n t s d u même objet.
m i neuse ( ou d i s que ) . E ton nés, i l s s'a r rêtère n t pour é t é v u e s et q u i n e sero n t j a m a i s retrouvées pa rce
l 'observer . E t a i t-ce la l u n e ? Ce soi r- l à , l a l u ne se A u s s i , vers les a n nées c i n q u a n te, u n a s t ronome
Cette observa t i o n est ven ue à m a con n a i ss a nce à q u 'el les se son t e n fon cées t rop p rofondément d a n s le
cou c h a i t à 2 2 h 06 ( he u re l éga l e ) a u méridien de tchécos lovaq ue, l e D r Cep l ec h a , e u t l ' i dée de fa i re l a
la s u i te de l 'enq uête de F ranois ( vo i r L.D.L . N . 99 ) m a n tea u ter res t re . On se p ropose don c d ' i n s ta l l e r en
Chev i g ny, mais e l l e en éta i t à son p re m i e r q u a r t i er, c h a sse sys tém a t i q ue a u x météo r i tes. I l poi n ta vers l e
A l l emagne d u Sud un sys tème d'observation des mé·
où j 'a i recherché u n a u tomobi l i s te q u i a u ra i t été s u r­ ciel deux a p p a rei l s photo dotés d'ob j ec t i fs d e 1 8 0"
et a u ra i t dû ê t re t rès basse sur l ' horizon . De p l u s , téo r i tes pou r ten te r d'avo i r p l u s de ren sei g nements
vo l é p a r u n e n g i n . d'ouve rt u re . Le 7 avri l 1 95 9 , i l p a rvena i t de l a sorte
l e chem i n q u e s u i va ie n t les témo i n s mon t a i t t rès sur l es deux dern ières ca tégor ies .
à détecter la météo r i te « P r i b a m » et à e n ca l c u l e r
N . D .L . R . : BAV J C passe à 2,600 k m a u N O d e C he­ netteme n t et d a n s l e v i l l a ge la p résence des m a i sons
Tou t le monde a déj à entendu p a r l er u n j o u r des l a t r a j ecto i re . E n t re t e m p s , d e s résea u x de ca mera�
m a u d i n , en tre Chema u d i n et A udeux, à 1 ,600 km a u et des ha ies a u ra i t empêché son observa t i o n . E n f i n ,
for m i d a b l es i m pacts de m étéo r i tes d a n s l es régions ont été i n s t a i l és en Tchécos lova q u ie e t a u x U .S.A. Le�
S E d 'A udeux, s u r les v i l l ages d e Mazerol les-le-Sa l i n e t cette bou l e est restée s u r p l ace pa ssé m i n u i t , a lors
s i bérien nes de Tou g u n s k a et d' l va novich i . Moi n s con· rés u l t a t s ne sont pas e n core t rès p roba nts, m a i s l ' i n s·
Cha mpagney. que l a l u n e a va i t cessé d'ê t re v i s i b l e dep u i s p l u s
n u s sont l es i m pacts relevés et observés en A l l em a g ne, t i t u t Max-P l a nc k de Heidel be rg n ' a p a s a t tendu pou r
d ' u n e heu re e t dem ie.
Les m a n i festations sont nombre uses d a n s le sec­ à Treysa ( 1 9 1 6 ), E i ch s tï:i t ( 1 78 5 ) , Schëneberg a m é n a ge r d a n s l e S u d d e l 'Al l emagne u n résea u de
teu r de F r a no i s q u i appa raît com m e un po i n t de
A prem i ère vue, la bou l e p a r a i ssa i t i m mob i l e, à ( 1 846 ), B remervë rde ( 1 8 5 5 ) , Gü ters l oc h ( 1 8 5 1 ) et caméras des t i n é à « t raquer » l es météo r i te s .
1 0° de h a u teu r envi ron s u r l ' horizo n . la p resse a Si m mern ( 1 92 0 ) , pou r n e c i te r que les p l u s con n u s
passage de d i ve rses d i rec t i o n s . Nos a m i s l i ro n t a vec Actue l l ement, l e résea u a l l e m a n d se compose de
rapporté q u 'e l l e é ta i t un peu p l u s pet i te q u e l a D'a u t re p a r t , à Mayence, Da r m st a d t , E m s l a n d Taba rz.
i n té rêt L.D.L . N . 99- 1 00- 1 0 1 - 1 0 1 bis - Co n t a c t no 1 1 26 a p p a re i l s photos, d i s t a n t s d ' u ne cen ta i ne de k i l o
l u ne, M . Leb r i ce m ' a d i t q u 'e l l e éta i t u n peu p l u s Obe r n k i rchen et d a n s p l u s i e u rs a u t res régions d 'A l l e
1 970. mèt res l es u n s des a u t res, l es p l u s septen t r i o n a u x se
g rosse, et M . C a m p a i a d met q u e l a l u n e sem b l e a ssez m ag ne, e n Tch écos lova q u i e e t d a n s d ' a u t res pays d ' E u
bien rep résen te r la g r a n deu r a p p a re n te de la bou l e. t rouva n t p rès de Fra ncfort, à M a r ie n berg, les p l u s
A j o u tons pou r nos e n q uêteu rs que l a t rès sé­ rope ce n t ra l e, on a ret rouvé d e s météori tes dont pe r
rieuse e11q uête de Franois a va l u à M. Tyrode t ro i s Une a u t re e r reu r, com m u nément com m i se, e t rappor­ mér i d i o n a u x p rès d u C h i e m see à Ber n a u . E n col l a bo
son n e n ' a observé l a c h u t e et dont on ne s a i t donc pas
fa i ts s u r . l e m ê m e secteu r e t toute u ne s é r i e a ux a l en­ tée pa r l a p resse, est l a d i mension s u b j ec t i ve de 30 rat ion avec l a météorologie a l l em a n de, a i n s i q u 'avec
q u a n d e l l es son t tombées sur l a Terre. Les hom mes
cen t i mèt res a t t r i bu ée à l 'objet, d'après les déc l a ra­ des a s t ronomes a m a teu rs et des p hotog raphes, l es a p
tou r s . E xem p l e à s u i vre. de science pensent que not re p l a nète renferme encore
tions de M . C a m p a i , q u i d i t a u s s i 20 cen t i mè t re s . Si p a re i l s o n t é t é i n s t a l l és à de u x mètres en v i ron d u sol
d'a ssez gra ndes q u a n t i tés de « m a t i ères ext ra-terres·
l 'o n se reporte à l 'a ng l e a p p a re n t l u n a i re ( de 3 0 m i­ et à u ne d i sta nce s u ffi s a n ce des h a b i t a t io n s e t des
t res » q ue l 'on ne décou v ri ra prob a b l emen t j a m a i s .
n u tes e nv i ro n ) , l 'objet a u r a i t dû se t rouve r à 34 m a rb res pou r d i s poser d ' u n h or izon a u s s i dég agé que
38 pou r ê t re vu sou s cet a ng le, ce q u i est en cont ra­ Les a n a l yses m i néra l og i q ues, c h i m i q ues e t spec t re> pos s i b l e . L'appa rei l est d i r i gé vers l e bas sur un m i ro i r
N 'O U BLIEZ-PAS DE NOUS FAI R E PARVEN I R d i c t ion avec tous les témo i g n ages qui l e s i t u a i e n t a u scop i q ues don nent s a n s dou te de nombre u x ren sei· convexe de 36 c m de d i a mè t re . Ce m i roi r repose �
loi n . R a ppe l o n s q u e l a l u ne mes u re 5 m m à bou t de g nements s u r l es météo r i tes, m a i s e l l es n ' i n d iquent son tou r, sol i dement, s u r u ne p l a q u e c i rc u l a i re . Par
TOU S LES RAPPO RTS D 'OBSERVATIONS bras . rien, e n reva nche, sur l 'orig i ne de ces substa n ces. P les n u i ts sans l u ne, les éto i l es t racen t des a rcs de
sera i t do n c i n d i spen s a b l e de con n aître l e s don nées des cerc l e sur la pel l i c u l e de l 'a p p a rei l con s t a m men t O U·
DONT VOUS POUVEZ AVO I R CON NAIS· M . Campa i , i n t ri g u é, pou rsu i v i t sa rou te, s a n s vert ( u n 24.36 c l a s s i q u e, o u verttrre 2 / 50 ) . Les météo
t r a j ectoi res des p hénomènes observés ( météores ) , de
cesser d'observer l e phénomène, p ressé d ' a r r i ver à res, pa r co n t re, des s i nent u n e courte t raînée s u r le
les loca l i se r avec p réc i s io n , ava n t q u ' i l s n e tombent
SANCE. M E RCI ! La S a n s-Fond po u r t rouver d'a u t res témoi n s p rouva n t f i l m . Plus ex actement, l 'obt u ra teu r est fermé penda n t
s u r la Ter re ( où i l s p re n n e n t a l ors le nom de météo

-- 20 - - A -
NOCIVITE DES VACCINATIONS m u n i té . m a i s q u i com porte e n réa l i té u n bou l everse­
m e n t org a n i q u e p rofond ; et ce bo u l eversemen t ex t rê­
memen t p rofo n d seu l s l es médec i n s homéop at hes peu­
ri se sa nocivité a u n ivea u des secteurs pou r lesq uels
il a u ne a ffi n i té particu l ière. Vo u s savez q u e, bien
entendu, il y a des q u a n t i tés de sortes de vacc i n s
par le Docteur M ICHAU D ven t le com p re n d re et l e con n aît re d u fa i t de l e u r et q u e c h a c u n a u ne po l a r i té pou r u n t i ssu do n né,
d i fférence d e concep t ion d 'avec l a médec i ne offi ciel l e . pou r un organe don né, pou r u n· a p p a re i l donné. C'est
Dans notre n u méro 1 02 d 'octobre 1 969, nous avons publié un t rès i m porta nt doc u me n t rel a t i f à cette fon c t i o n , ce t i ss u , cet a p p a rei l qui va s u pporter
E n effet, not re pos i t ion e s t abso l u me n t opposée . l es conséquences de l a vacci n a t io n . Pa r exe m p l e : l e
la q uestion des vacci n at ions. Voici m a i nten a n t u n rem a rq u a b l e exposé du Docteu r M I C HAUD, présenté à
Pou r l es médec i n s offi c i e l s , i l y a d ' u n côté les i nd i v i ­ va c c i n a n t i d i p h té r i q ue a u ne pol a r i té t rès p récise d ' u n e
l 'Assem blée généra le de la L I GU E NAT I ONALE POU R LA L I BERTE DES VACC I NATIONS ( dont le siège est
d u s tous i de n t i q ues et de l ' a u t re côté, i l y a l es p a r t s u r l e r h i nop h a ry n x et d 'a u t re p a r t s u r l e système
s i t ué 4, rue S a u l nier à Paris - 9e } . Ce message est reprod u i t prat i q uement tel que l'a e n regi stré l a ba nde
m a l adies q u i son t t rès di fféren tes l es u nes des a u t res. nerveux pé r i p h é r i q u e . Donc a p rès vacc i n a tion a n t i­
magnétique. Un spéci men de la revue « S a n té, Liberté et Vacc i n a t ions » peut être obtenu à l 'adresse c i­
E l les son t sépa rées par des c l oi so n s éta nc hes ; u ne d i p h té r i q u e vou s ver rez s u rve n i r soi t des a n g i nes à
dessus.
m a l a d i e ne pouva n t a bso l u m e n t pas se t ra n sforme r e n répé t i t ion ou des r h i nop h a r i n g i tes à répé t i t ion, soit
u ne a u t re et, pa r conséq uen t , c h a q u e m a l a d ie frap­ des t ro u b l es se n s i t i fs ou moteu rs a u n i vea u d u sys­
I l m 'est t rès a g réa b l e, a u j o u rd ' h u i , d'ê t re dev a n t à a u c u n a u t re . La person n a l i té i n d i v i d u e l l e est q u e l ­ pa n t a u h a s a rd n ' i m porte q u i s a n s ten i r com p te des. tème nerveux pé ri phérique.
u ne Assemblée deva n t l aq u e l l e j e p u i s vé r i t a b l ement que chose d'abso l u me n t sacré, et i l ne convien t pas person n a l i tés . C'est l a concep t i on offi ciel l e .
exp r i mer mes pen sées ; de savoi r q u e vo u s êtes l à , d'app l i quer à n ' i m porte q u i , n ' i mporte q u e l l e théra· La coq uel uche a , bien s û r, u ne po l a ri té sur l es
q u e vous com p renez, q u e vous p a r t a gez m o n e n t hou­ peu t i q ue, que ce soi t d a n s le doma i ne c u r a t i f ou d a n s Po u r nous, c'es t exactement le con t r a i re, c'est-à­ voies res p i ra toi res . Pa r con séq uen t , ne vou s éton nez
si a s me pou r ce rta i nes c hoses, c'es t, po u r m o i , u n l e do m a i ne p réven t i f . d i re q ue la m a l a d i e est UNE, tout a u long de l 'ex i s­ pas s i , a p rès avo i r fa i t vacc i ner vot re enfa n t con t re l a
encou ragemen t . C'est vo u s q u i m 'en cou ragez et non tence d ' u n i n d i v i d u . Les mêmes p rocess u s morbides coq u e l uche, i l tousse t rès souve n t , s ' i l a même u ne
pas l ' i n verse. On s a i t , m a i n te n a n t , q ue ces not i o n s son t a bso l u­ l i v re n t l e u r b a ta i l l e v i s-à-v i s de l ' i n d i v i d u en p ren a n t toux u n peu coquel uc hoïde et s ' i l a des e n n u i s respi­
men t scien t i f i q ues et r i gou reu sement fondées s u r des des m a s q u es d i ffére n t s s u i va n t l e s c i rcon s t a n ce s . M a i s, ra toi res à répé t i t i o n .
S i j e s u i s con t re les vacc i n a t io n s c'est pa rce que choses p réci ses, p u i s q u 'on a décou ve r t , i l y a q u e l q ue pou r nous, pa r con t re, l es i nd i v i d u s , eux, son t d i ffé­
j e s u i s m édec i n homéop a t h e . temps, q u e d a n s le m o i n d re g l obu l e rouge du s a n g se re n t s . Com men t pou vez-vou s en do u te r ? Q u a nd vous I l en e s t d e même pou r l e B .C .G . q u i a , bien en­
s i t u e u ne sorte de mosaïque a n t igén i q u e q u i fa i t q ue vou s p romenez dans la rue, s i vo u s vou s a ppe l ez ten d u , une pol a r i té t rès g ra n de sur l ' a p p a rei l respi ra­
Pou rq uoi u n médec i n homéopathe est- i l con t re les toi re e t a u ssi sur l e s a n g . Pa r conséquent, a p rès l e
c h a q u e person n a l i té es t vé r i t a b l ement d i fférente des M . D u ra n d on ne vou s appe l l e p a s M . D u po n t , on
vacc i n a t io n s ? Pa rce q ue, l ' homéopa t h i e a un p r i n c i pe B .C .G . on n e c o m p t e pas ( c 'est m ê m e p resque avoué
a u t res. Ceci est un po i n t ex t rêmemen t i m por t a n t q u i s a i t que c'est vou s q u i êtes M. D u ra n d et non M .
absol u m e n t fondamen ta l . C'est le p r i n c i pe du respect offi c i e l lement p u i sque ces Messieurs déc rive n t ça sous
v a tou t à fa i t d a n s l e sens d e n o s t hèses, e t q u i pose, D u pon t .
de l ' i n d i v i d u , d u respect de la personne h u m a i ne . Po u r l e nom de bécég i te ) l e nombre d'enfa n t s qui o n t des
p a r exemp le, l e p roblème q u ' i l fa u d ra bien éc l a i rc i r
l e médec i n homéop a t h e, a u c u n i n d i v i d u ne ressemble Pou rq uo i vou l ez-vous que, q u a nd vou s êtes m a l a­ g a n g l ions cervicaux, qui son t pâ·les, qui sont fatigués,
u n j o u r d e l a noc i v i té des t ra n sfusions s a n g u i nes sys­
tém a t i q ues q ue l 'on fa i t t rop souve n t à l ' h e u re ac­ des, cet te person n a l i té s 'éva nou i sse et so i t rem p l a cée qui n e m a n ge n t p l u s : c'es t la réaction de po l a r i té d u
t ue l l e . pa r u n hypo t h é t i q ue nom de m a l a d i e . La person n a l i té vacc i n v i s-à-v i s de l a z o n e d e l 'org a n i s m e v e r s l aq u e l le
de c h a c u n est q u e l q u e c hose d'abso l u me n t i r rem p l a­ il es t pol a r i sé . E t c'est cel a l ' i m port a n t . Je ne peux
A LA CHASSE AUX M ETEO R ITES M a i s q u e l s sont l es p r i n c i pes de l a vacc i n a t i on ? ça b l e et ne p a s en ten i r com p te c'est cou r i r i m m a n­ pas rés i s te r a u p l a i s i r de vou s l e d i re dès m a i n ten a n t .
Vou s savez q u e l a vacc i n a t ion est ba sée s u r t rois q u a b l emen t à l 'erreu r . Nous ne pouvons p a s admet t re,
DANS LE S U D DE L'ALLEMAGNE p r i n c i pes : nous homéopa t h es, u ne concept ion t hérape u t i q ue p ré­ Réf l éch i ssons u n peu . U n e n fa n t q u i e s t p â l e , q u i

A) ven t i ve ou c u ra t ive q u i ne t i e n ne pas com p te de ce n e m a nge p a s , q u i e s t fa t i gué, q u i a des g a n g l ions


( Su i te de l a page - D'abord la p r i m a uté du germe. Une m a l a d i e d a n s l e cou, ça ne vou s dit rien ? Vou s ne t rouvez pas
fa i t .
i n fect ieuse, d ' a p rès les vacci n a l i stes, est due à u ne que ça ressem b l e tou t de même u n pet i t peu à u ne
u n cou r t i n s t a n t t o u t e s l es heu r e s ou t o u t e s les deu x
cause ex tér i e u re et le terra i n n ' i n tervient pas ou de E t a n t don né q ue dep u i s déj à 1 5 0 a n s nos con cep­ leucémie ? En fa i t , ça y resse m b l e ! Ça y resse m b l e
heu res . To u tes l es t races sont d o n c i n terro m p u es s u r
façon tou t à fa i t m i n i me, tou t à fa i t a ccessoi re, tions o n t fa i t des m i l l io n s et des m i l l i ons de fo i s l a m ê m e tel l eme n t q u e ça p e u t e n deve n i r u ne . ( Je
l e fi l m , ce q u i pe rmet d e mes u re r l a v i tesse des météo·
a n nexe, pa rce que to u t est d û à un germe. p re uve d e l e u r ex a c t i t ude, i l n 'est abso l u me n t pas vous don ne r a i u n exe m p l e tou t à l ' heu re . ) Ça y res­
res ou des comètes. Les don nées son t e n s u i te expl oi­
con ceva b l e q u e nous l es rév i s i o n s e n quoi q u e ce soi t. sem b l e même tel l emen t et c 'est là q u 'est l e scanda l e,
tées par un ord i n a te u r .
- Ce germe est s pécifique. C'est-à-d i re q u ' u n ger­ que m a i n te n a n t ces Mess i e u r s soi g n e n t l a leucémie e n
Po u r l 'ét u de d e s météori tes, l a con n a i ssa nce des me rep rod u i t tou j o u rs l a même m a l a d i e e t q ue, p a r Ce q u e nous savons, par con t re, c'est q ue l a vac­ fa i s a n t d e s sca r i f i c a t i o n s de B . C .G. s u r l ' i n d i v i d u a t­
t r a j ectoi res est i n di s pen s a b l e pou r de nombreuses ra i­ conséq uent, l a co n t a g i o n j oue u n rô l e émi nent d a n s c i n a t i on a des conséq uences ex t rêmement i m porta n tes tei n t de l e ucém ie. En d' a u t res termes, i l s fo n t de
son s . On pe u t a i n s i ret rou ve r p l u s fac i l ement l es mé­ l a p ropaga t i on d e tou te m a l a die. m a i s t rès v a r i a b l es selon les i n d i v i d u s . l ' homéopa t h i e s a n s le savo i r, co m m e souve n t , m a i s
téo r i tes, c a r le poi n t d ' i mpact est déterm i né à q ue l­ b i e n entendu u ne dép l o r a b l e homéopa t h i e . Ce n 'est pas
U n germe se rep rod u i t de façon tou j o u rs iden t i q ue Conséq uences d e s vacci n a tions.
ques k i lomèt res p rès à p a r t i r de l a t r a j ecto i re géocen· moi qui l e d i s c'est p resque e u x qui a vouent cet te
à l u i-même et p rovoque tou jou rs les mêmes symp­ Quel l es sont ces con séq uences ? C'est t rès s i m p l e po l a r i té d u B .C .G . v i s-à-v i s d u s a n g p a r la t hérapeu­
t r i q u e . En ou t re.,. le météore ou le bo l i de est u ne
tômes . à com p ren d re, u ne fo i s q u 'on a com p r i s c e q u e j e t i q u e q u ' i l s ose n t em p l oye r sans co n n aî t re un mot de
sorte de sonde spa t i a l e q u i nous don ne des rensei·
gnements s u r l ' i nte n s i té des rayon nemen ts cos m i q ues viens d e vou s exp l i q ue r, c'est-à-d i re d ' u ne p a r t l a va­ l ' homéop a t h ie .
- Pou r l u t te r con t re cette m a l a d i e i n fect ieuse,
d a n s les régions a t mosp h é r i q ues q u ' i l a t rave rsées . E t ri été des i n d i v i d u s et d'a u t re part la va riété des m a n i ­
i l est nécess a i re de fa i re fabrique r à l 'orga n i sme des J 'en a rr i ve a u t ro i s ième poi n t q u i est de bea ucoup
e n f i n , l e p l u s i m por t a n t : l a vi tesse d u météore l o rs fes t a t i o n s morbides l e long d ' u ne v i e . On com p rend
substa nces de défen se, des a n t i corps, et ces substan­ l e p l u s i m porta n t dans l 'a c t i o n généra l e de l a vacci­
de son e n t rée d a n s l ' a t mosphère terres t re et son âge a lors q u e le vacci n accen t ue les ten d a n ces morbides
ces de défe n se sont a bso l u m e n t et r i gou reusement n a tion : c'est que ce l l e-ci e n t raîne un déséq u i l i b re
a p p rox i m a t i f ( déterm i n é en fon ct ion des rayon nements au n ivea u des poi n ts fai bles de l 'orga n i s me . C'est-à­
spéc i f i ques de l a m a l a die con t re l a q ue l l e on ve u t comp let et général de l 'orga n isme. Vous a l l ez me di re :
rad io-a c t i fs ) permet ten t de t i rer d ' i n téress a n tes con d i re q u ' u n e n fa n t ( p renons, pou r exemple, les enfants,
i m m u n i ser l 'o rg a n i s m e . i l y a des q u a n t i tés de gens q u i o n t été vacc i nés.
c l u s i ons sur l 'e n d ro i t d'où p rov i e n t p robab lement le pu isque c'es t m a l h e u reuseme n t chez eux q u e l 'on p ra­
météore . t i q u e l e p l u s les vacc i n a t ions ) , c'es t-à-d i re q u ' u n en­ To u t l e monde a été vacc i né ; tout l e monde n 'e n
C e s p r i n c i pes son t l es con séq uences d u dog me p a s­
fa n t qui a va i t des e n n u i s h épa t h i ques, a u ra e ncore p l u s est p a s m o r t . B i e n s û r . M a i s ce q u e j e p e u x vo u s a f­
teu rien, c'est-à-d i re d ' u n dog me q u i n i e, ou tou t a u
Le p rofesseu r Z a h r i nger, de l ' I n s t i t u t Max-P l a n c k d'en n u i s hépa t h i ques a p rès a vo i r été vacc i n é ( i l fe ra fi rmer c'est q u e tou t vacc i n e n t raîne de façon a bso­
moi n s q u i réd u i t à s a p l u s s i m p l e expression, l ' i m po r­
de Heide l be rg, est d'avis q u e les c h a nces de détecter des c r i ses d'acétone, par exem p l e , a l ors q u ' i l n 'en fai­ l u me n t a u toma t i que u n déséq u i l i b re généra l de l 'or­
l es t r a j ectoi res des météori tes so n t m u l t i p l iées p a r t a n ce de l ' i n d i v i d u , pou r don ner, a u con t r a i re, u ne
s a i t pas a u pa rava n t ) , q u ' u n enfa n t qui est nerveux g a n i s me . Ce déséq u i l i bre peu t ê t re a ssez réd u i t , je
i m por t a n ce m a j e u re à l 'a g ression extérieu re, et c'es t
d i x , g râ•ce a u réseau d'a ppa rei l s p h oto. L e s p rome­ sera e n core p l u s nerveux, q u ' u n enfa n t q u i est fa t igué, n 'en d i sconviens pas ; il peu t ê t re m oyen ; il peu t
pou r ce l a q u e nous, homéop a t h es, q u i avons u ne
neurs n e dev r a i e n t do n c pas s'étonner s ' i l s décou­ sera enco re p l u s fa t i g u é, q u ' u n enfa n t qui a des e n n u i s êt re t rès i m po r t a n t et g ravi s s i m e . Cela dépen d b i e n
concept ion i n verse, nous y sommes opposés . S u p p r i ­
vraient le long d ' u n sen t ie r un é t r a n ge mon tage avec s û r de c e fameux terra i n don t j e vo u s a i p a r l é tou t
m e r , en effet, l a m a l a d i e i n fect ieuse pa r u ne vacc i n a­ resp i ra to i res a u ra en core p l u s d 'en n u i s resp i ra toi res :
au sommet un a ppa re i l p hotog ra p h i q ue d i r i gé la tête en à l 'heu re ; tou t le monde ne réa g i t p a s de l a même
t ion revien t , non pas à l a s u p p r i mer, m a i s à l a rem­ i l a u ra dava n t age de r h u m es, i l fera de l 'a s t h m e .
ba s . façon deva n t u ne agression extérie u re et c'est cel a
p l acer par q u e l q u e c h ose d'a u t re . On rem p l a ce, p a r
Pa r con séq u e n t , p rem ière tendance : u n i n d i v i d u q u i q u ' i l faudra i t q ue ces Messieu rs com p re n ne n t u n j o u r
( Ti ré de « Fra n kfu rter R u ndsc h a u » , l e 29 j u i l l et 1 969 conséquen t , u ne m a l a d i e h ypothétique p a r q u e l q ue
a d e s poi n t s fa i b l es vo i t ses po i n t s fa i b les s 'agg raver et c 'est pou r cel a q u e c'est g ra ve pa rce q u ' i l s son t
et de « La T r i b u ne d 'A l l e m a g n e », no 293, l e 1 9 chose q u i n 'est abso l u me n t pas hypothéti que, q u i est
de façon con s t a n te u ne foi s q u ' i l est vacc i né . Deu x iè­ i n capab les d e s avoi r à l 'ava nce com m e n t v a réag i r
août 1 969 ) . abso l u me n t cert a i n , qui est ce q u 'on a p pe l l e u ne i m-
me a c t i o n des vacc i n a t ions, c'es t que l e vacci n pola- u n terra i n don n é .

8 -
c -
Nous, homéop a t hes, nous sommes u n peu p l u s ca­ Ou a l ors c'es t le con t ra i re, i l y a des gen s q u i de­ d' i n terroger les m a l a des, s ' i l s p re n a ie n t l e temps de ra p i des de cas q ue j ' a i v u s dans ma c l i e n tè l e, au
pables de l e savo i r ( j e ne dis pas que nous savons viennent secs, q u i son t cachec t i q ues et don t le méta­ pe rdre pou r un mome n t l e u r s u pér i o r i té scien t i f i q ue, h a s a rd .
to u t à l ' avance ) , m a i s nous sommes u n peu p l u s ca­ bo l i s me souffre m a n i festeme n t d'un déséq u i l i b re p ro­ i l s a pp rendra i e n t bea ucou p . Et i l s s'ape rcevra i e n t que
pables de l e savo i r, pa rce q u e nous savo n s ce q u e c'est fon d . tel enfa n t a des désord res n erveux, g l a n d u l a i res ou
Observa tions.
q u ' u ne con st i t u t i on, q u ' u n tempéramen t , q u ' u ne d i a­ des t roub les de c ro i s s a n ce a p rès u ne vacc i n a t ion . M a i s
t hèse, nous savons ce q u e c'es t q u ' u ne a g ression s u r E t p u i s i l y a l a fatig ue. S u r l e nom bre d e s m a l a des s i l e s p a re n t s d i se n t ç a , i l s son t b i e n s û rs d e s e I l y a t rois sem a i n es , M . De l a rue m ' a dit : « Venez
l 'orga n i s m e e t , p a r con séq uent, n o u s pou von s tou t de que j e voi s tous l es j o u rs il y e n a neuf sur dix q u i fa i re remet t re à l e u r p l a ce com me i l se do i t . Pen sez fa i re u n exposé chez nous ; i l fa u d ra i t q u e vous nous
même un peu nous déb ro u i l le r. Je défie un a l lopa t h e m e d i se n t : « Doc teu r j e s u i s fa t i g u é » . E t c e q u i est donc, i l s n 'on t pas fa i t de médec i ne ! Et pou r t a n t l es do n n i ez q u e l ques observa t i o n s . » D a n s mon fichier q u i
q u a n d i l fa i t u ne vacc i n a t ion d e savo i r à l 'ava n ce l es i n q u i é t a n t , ce qui est g ra ve, c'es t q u e p l u s i l s sont p a rents nous d i se n t : « Vous s a vez, docteur, c'est de­ com pte des m i l l i e rs et des m i l l iers de f i c hes, j 'a u ra i s
conséquences q u e ce l a pou rra avoi r . Con séq uences jeu nes, p l u s i l s so n t fa t i g ués . Je voi s des gens de p u i s q u 'on l ' a vacc i n é q u ' i l e s t com me ça », c'est-à­ pu vo u s en sort i r des m i l l iers . A u h a s a rd, j 'e n a i p r i s
q u ' i l nie d' a i l l e u rs e n t ièremen t . E t pou rquoi l es n i e-t-i l 50 60, 70, 80 ans qui bêchent leur j a rd i n , qui n 'o n t d i re fa t i gué, ou n erve u x , ou i r r i t a b l e . i n s t a b le, ou q u e l q ues-u nes. M a i s tou t d'abord, u ne observa t ion
s i non, pa rce q ue, e n fermé d a n s sa con cep t i o n é t roi te, j a m a i s été vacci nés, q u i n 'ont j a m a i s p r i s de méd i · m a n q u a n t d'a ppét i t ou myope. Seu leme n t c'es t tel l e­ do n t on a p a r l é dans les j o u r n a u x , il y a q u e l q ue
il a déc idé u ne bo n ne foi s pou r tou tes q u ' i l n 'y a ca men ts, q u i o n t v u u n médec i n deux foi s d a n s l e u r men t monst rueux pa r rapport à tou t ce q u 'on vou s tem ps . Je vou s l a cite pou r son côté u n peu généra l .
a u c u n ra pport de cause à effet e n t re u ne m a l a d i e et vie s i c e n 'est p a s m o i n s e t q u i t i e n n e n t l e cou p . J e a p p rend, c'es t tel l ement i n conci l i a b l e a vec c e q u 'on . U n cer t a i n mon s i e u r q u i a com m i s u n c r i me . Or, on
u ne a u t re . E h bien ce déséq u i l ibre qui est, je l e ré­ voi s d e s gosses de 1 6, 1 7, 1 8 a n s dont i l ne fa u t vo u s a d i t d a n s l a p resse, les j o u r n a u x , à l a télévi­ a découve r t q u e ce c ri m i ne l ava i t u ne a noma l ie c h ro­
pète, soi t i m porta n t, soi t m i ne u r, m a i s tou j o u rs ex i s­ p a s m e fa i re croi re q u ' i l s t r a va i l l e n t t rop, ce n 'est s i o n ; c 'es t tel l eme n t con t ra i re à l a s a c ra-sa i n te m é­ mosom i q u e à ca u se de l a q ue l l e i l a obte n u l ' i n d u l ge nce
t a n t et q u i pe u t ê t re t rès g rave à long terme, je p ré­ pas v ra i , m a i s qui son t épui sés dès l e dép a r t , q u i dec i l1e offi c ie l l e q u e les p a re n t s n 'osen t p a s . Et i l faL· t du t r i b u n a l . Ce q u 'on a bea ucoup m o i n s d i t , pa r
tends q u e n ' i m porte q u i peu t le détecte r . I l n 'est pas so n t « c l a q u és » et j e vo u d ra i s bien q u 'on m 'e n d i se q u ' i l s rencon t re n t u n médec i n homéopa t h e ( et encore, con t re, c'es t q u ' i l ava i t eu a u s s i u ne e n céph a l i te vacci­
nécessa i re d'avo i r fa i t des études co n s i dérab les de la ra i so n . je dis ce l a e n sou rd i ne, peu t-être pas n ' i m porte l e­ n a l e, e t q u ' i l est peu t-ê t re pos s i b l e d'établ i r u ne re l a­
médec i ne, et il s u ff i t d'un peu de bon sens po u r s 'e n q u e l ) , pou r q u e ces questions appa r a i ssent a l ors écla­ t ion de c a use à effet e n t re cette en céph a l i te vacci­
apercevoi r . Pa r con séq u e n t , c e t t e fa t i g u e abso l u m e n t i n i n te r­ t a n tes e t c'es t pou rquoi l a con s u l ta t ion c h ez u n mé­ n a l e et son comportement a no r m a l . E t s i c 'es t v ra i ,
p ré t a b l e pou r ces Mess ieu rs les off i c i e l s , j e vou d r a i s dec i n homéopa t he est pou r bea u co u p d 'e n t re eux u ne vou s voyez o ù ça peu t vou s con d u i re . ( 1 )
Après tou te vacc i n a t i on vous t rou vez chez u n i n d i ­ b i e n savoi r ce q u ' i l s en pense n t q u a nd i l s o n t pa r l é révé l a t i on . Je vou s en don nera i tout à l ' heu re u n exem­
de déf i c i t des s u r réna les, ce son t des mots m a i s ça M a i n te n a n t , q u e l q ues observa t i o n s perso n n e l les.
vidu d e s mod i f i c a t i o n s d a n s u n ce rta i n nom bre d e ple d u res te assez l a m e n t a b l e .
sp hè res . E t ce n 'est p a s seu lement a p rès l a vacc i n a­ n ' a bou t i t p a s à t rouver l es c a u ses p rofondes de l a
chose . Vo i c i u ne d a me qui a 37 a n s, que j e so igne déj à
t ion du reste, c'est a p rès tou tes l es a g ress ion s s u p­ Cec i éta n t b i e n posé l a vac c i n a tion apparaît com me
dep u i s q u e l que temps pou r des dou l e u rs à l 'épa u l e
portées p a r l 'orga n i s m e q u e l l es q u 'e l l es soie n t , pa r l a porte ouverte, à tou tes les a ventu res pat hologiq ues.
La dernière chose à observer a p rès les vacc i n a­ d roi te, et pou r un phénomène t rès cu r i eu x de s t ri ct io n
exe m p l e a p rès des méd i ca ments a n t i physiologi q u es Ça n e ve u t pas d i re bien s û r que tous l es gens q u 'on a
t ions, et ce n 'e s t p a s l a mo i n s i m porta n te, ce son t du p h a ry n x : e l l e a tou j ou rs l ' i m p ression q u 'e l l e a
com m e l es a n t i b i o t i q ues, com me l a corti sone, co mme vacc i nés feron t des c a n cers ou des leucém ies. M a i s
les t roub les nerveu x . Ce l a ne vou s d i t rien l es t ro u b l e s ava l é q u e l q ue chose de d u r q u i ne pa sse p a s ; ça l u i
l es t r a n q u i l i s a n ts, des méd i ca ments de cet ordre . Le ça ve u t d i re q u ' i l y a u n ri sque q u e person ne d a n s les
nerveux chez l es e n fa n ts ? Ce l a ne vou s rappe l l e r i e n fa i t t rès m a l . Je l a soigne penda n t des mois ( e l le
s u jet q u i reçoi t q u e l que ch ose q u e sa n a t u re refu se con di t i ons a c t u e l les n e peu t c a l c u l e r . C'est u n r i sque
c e s t roub les n erve u x q u i se t r a d u i se n t soi t p a r l 'exc i­ a vu bea ucoup de médec i n s ava n t moi , q u i o n t tous
d'accep ter, q u e son p ropre orga n i sme n 'est p a s fa i t q u i n 'est p a s i m méd i a t, c 'est u n r i sq u e pou r l e grand
t a t i on, soi t par l a dép ression ? E n c a s d 'exc i t a t i o n , ce mis ce l a sur l e com p te d u r h u m a t i s me, d u f ro i d ... ca r
pou r a s s i m i l e r, réag i t p a r u n bou l eversemen t d e cet aven i r, et voyez-vou s , c'es t là l e d r a m e de la vacci­
so n t des e n fa n t s qui son t i m poss i b l es à v i v re, qui so n t cette fem me h a b i te u n g r a nd port de l a côte Ouest
orga n i sme. Je p rétends démon t re r que ce bo u l everse­ n a t i on . Quand on vou s dit, fort j u stemen t , i c i on vou s
énervés, i r r i ta b l es, q u i n ' a r r ive n t p a s à s ' i n sérer d a n s de l a F ra nce ) . Je lui fa i s u n ce rta i n nombre de t ra i­
ment est v i s i b l e, q u e ce n 'est pas u ne vue de l 'es p r i t . l e d i t souve n t , l a vacc i n a t ion p rovoque d e s acci den ts
teme n t s s a n s a u c u n rés u l t a ts , j e do i s le d i re, j u s q u ' à
le m i l i eu fa m i l i a l , q u i n ' a r r ivent pas à s ' i n sérer d a n s i m méd i a ts g ra ves . C'es t vrai ! M a i s ce n 'est pas s u ffi­
l e m i l ieu sco l a i re, q u i n ' a r ri ve n t pas à s ' i n sérer d a n s u n mome n t où f rappé tou t de m ê m e pa r l a con j onc­
sa n t po u r pouvo i r conda m ne r l es vacci n a t i o n s . Il meu rt
Pa r q uoi est-i l v i s i b l e ? Vou s avez d'abord des t rou­ l e m i l i eu soci a l . Ce l a n e vou s d i t rien ? B ie n ! J 'es t i me 50 person nes tou tes les sem a i n es sur l es rou tes de
t i on e n t re cette striction p h a ryn gée d ' u ne part et ce
bles des p h a nères, c'est-à-d i re la pea u , les ong l es, etc. q u e vou s m'avez co m p r i s . type de dou l e u r , de polynévri te, d 'a u t re part, j e me
Les ongles qui dev i e n n e n t c a ssa n t s et s t ri és, s i g n e F r a n ce, on ne con d a m ne pas l ' a u to mobi l e . Quand on
dis « m a i s est-ce q u ' i l n 'y a u r a i t pas là u ne h i s to i re
i m po r t a n t q u e l 'on observe a p rès u ne vacc i n a t ion com­ vou s dit q u e la vacc i n a t ion est i nefficace ça peu t en­
I nversem e n t ce l a peu t don n e r des t ro u b l es à type vacci n a l e ? » r i n terroge bien s û r cette dame q u i me
me a p rès u ne a g ression s u pportée pa r l 'orga n i s me ; core se d i s c u te r . M a i s ce qui ne peu t pas se d i scu ter,
de dép res s i o n . Les j e u nes so n t com p lèteme n t ép u i sés, dit q u 'e l l e a « tou t e u » . Je l u i don ne t ro i s doses de
les cheveu x q u i dev i en n e n t t rès souve n t cas s a n t s , q u i c'es t q ue, au fil des généra t i o n s , l e deven i r de la santé
a tones, p l a ts , tout l e temps a ba t t u s . I l y e n a des D i p h téro-tox i n u m , c'es t-à-d i re de vacci n a n t i d i p h téri­
p u b l i q u e est menacé pa r u ne t hérape u t i que p réve n t i ve
tombe n t t rès souve n t a u s s i et q u i s ' i m p règnen t d e pe l ­ q u a n t i tés ! I l fa u t ê t re médec i n po u r savo i r à q u e l que et puis j 'a i l a s t u péfaction de voi r q u ' a p rès l es
l i cu les ; l e s ta ches s u r l a pea u q u e l les q u 'e l les soi e n t con t ra i re a u bon sens et con t r a i re a u x réa c t i o n s nor­
poi n t i l y en a : m a n q u e d e co nfi a n ce e n soi, i n ce r· t ro i s doses, l a s t r i c t ion p h a ryn gée a d i s p a ru a i n s i
( ce l a peu t ê t re d e s verrues, t u me u rs bén i Q nes, j e l e ma les de l 'orga n i s me. Vou lez-vou s me d i re pourquoi
t i t u de du l endem a i n , dégo û t de tou t effo rt phys i q u e que l a dou l eu r d a n s l 'épa u l e d ro i te .
veux b i e n , m a i s ce son t t o u t d e même d e s t u meu rs, on observe, de p l u s en p l u s souve n t , des m a l ad i es de
ou i n te l l ec t ue l , pes s i m i s me systéma t i q u e .
et e l les a p p a r a i ssen t t rès souve n t dans ces con d i t i o n s­ p l u s en p l u s g raves chez des s u j e ts de p l u s en p l u s Cec i n o u s mon t re u n ce rta i n nombre de choses :
l à ) . I l se prod u i t a u ss i des t roub les de l a de n t u re . j e u nes ? Pou rquoi on déc r i t , tou tes les sem a i nes, d a n s d'abord q u e la vacc i n a t i on est n ocive, que ses effets
V o u s a l l ez me d i re, i l n 'y a pas q u e les vacc i n a ­
Vou s avez rem a rq u é q u e n o s con tempo ra i n s o n t u ne l es j o u r n a u x méd i c a u x , d e s m a l adies nouve l les ? Po u r­ d u re n t l o n gtemps et q ue les médicaments homéopa­
t io n s . J 'en s u i s d'accord, i l n 'y a p a s q ue l es vacc i n a­
den t u re épou va n ta b l e. Les vacci n a t ions son t , avec les quoi on observe de p l u s en p l u s de m a l adies dégéné­ t h i q u es, q u a n d i l s so n t bien i n d i qués, peuve n t fa i re
t ions, mais j 'es t i m e q u ' i l y a les vacc i n a t i ons e t c'est
a n t i bioti ques, u ne des ra isons des c a r i es den t a i res, ra t ives ? Q u a n d j ' a i fa i t mes études, il n 'y a tou t de dispa raît re des symptômes t rès a nc i e n s du moment
dé j à t rès i m port a n t .
même p a s si longtemps, on ne voya i t p a s de c a n cers que l ' i n d i c a t ion res te t rès p réc i se .
des den t s q u i dev i e n n e n t j a u nes, des den t s q u i tom­
chez des e n fa n t s . J'ai fa i t u n a n d ' i n t er n a t à l ' Hôp i t a l
ben t , dès den t s q u i se déc h a us sen t . Tou t ce l a cons­ E t i i y a en core bien a u t res choses . Q u e l q uefo i s
des E n fa n t s M a l a des . Q u a n d u n enfa n t éta i t a t tei n t de Vo i c i u n mons ieu r de 2 5 a n s q u i est ve n u m e voi r
t i t u e u ne des con séquences que peu t e n t raîner u ne d es t rou bles de l 'a u d i tion, de l a v i s i o n , chez d e s en­
ca ncer du re i n , tout l ' hôpi t a l a l l a i t voi r cette c u r io­ pou r des séquel les de po l i omyé l i te . C 'est un brave
vacc i n a t ion . fa n t s qui s u b i tement à l 'âge de 1 2 , 1 3 ans ne voi e n t s i té . Ac tuel lement i l y a des q u a n t i tés d'enfa n t s a t­ ga rçon q u i a eu la pol iomyé l i te . C'es t bien t r i ste, i l
p l u s c l a i r . I l s son t myopes, ou a s tyg m a tes ; ou b i e n tei n t s d ' u n ca ncer du rei n ; i l y en a de p l u s en p l u s . n e peu t p l u s bouger l es bras, n e peu t p a s bouger l es
Voi l à déj à un po i n t t rès i m por t a n t et con s t a m me n t i l s n 'entende n t p l u s , i l s o n t l es o rei l l es bouchées, e n ­ J e vou d r a i s bien savo i r pou rq uoi . Qu 'on me l 'exp l i q u e . j a m bes . . . Je le soigne du m i e u x que je peu x , je l ' i n­
v i s i b l e q u e les mè res de fa m i l l e con n a i ssent bien . f i n d e s choses extraord i n a i res. Vou s a l l ez me d i re : J'a ttends les exp l i ca t i o n s de p i ed ferme, et j e p ré­ terroge, et j 'a pprends q u e cette po l iomyé l i te est a ppa­
« Si tou t ce l a est v i s i b l e, si ext raordi n a i re, si i m por­ tends réso l u me n t que la vacc i n a t ion est pou r u ne p a r t rue t rois sem a i nes a p rès le v a cc i n a n t i d i p h té r i q u e .
Et p u i s i l y a l es trou bles généra u x q u i s 'effect uent t a n t et si co n s t a n t, co m m e n t se fa i t-i l que l 'on ne s 'en not a b l e et m ê m e p rédo m i n a n te d a n s ce phénomène, M a i s j 'a i e u l e ma l heu r de d i re a u mon s i e u r : « Vous
dans le dom a i ne hydrique de l 'orga n i s me, c'est-à-d i re a pe rcoive pas ? » On n e s'en aperço i t p a s tou t s i m­ de conce r t avec bea uco u p d 'a u t res erre u rs qui von t savez, c'es t peu t-être vot re vacc i n d i p h térique qui est
du métabo l i sme de l 'ea u . Ou bien l es gens m a i g r i s· p l e m e n t pa rce q u 'on ne veu t p a s s'en a pe rcevoi r e t d a n s l e même sens.
sen t , ou bien l es gens g ros s i ssen t . I l s o n t q u e l q uefo i s pou r l a r a i son ,q u e j e v o u s a i d i te tout à l ' heu re que
u ne obés ité p a r réte n t i o n hyd rique q u 'on observe che? l es médec i n s a l l o p a t hes so n t com p l ètemen t i n capab l es Voi l à ce q ue j e vo u l a i s vou s d i re, sur l e p roblème ( 1 ) Non seu l emen t cet t e encép h a l i te peu t exp l i quer
les gens bou r rés d'a n t i b i o t i q ues . Cel a s 'obse rve q u e l ­ de fa i re un rapport de c a u se à effet e n t re leu rs de l a vacc i n a t io n . Je pense q u e vou s l e s a v i ez déj à u ne con d u i te c r i m i ne l l e , m a i s l 'a nom a l i e c h romosom i­
q uefo i s t rès bien a p rès vacc i n a t ion d a n s u ne cer t a i ne agressions t h érape u t i q u es et les con séq uences q u 'e l les m a i s i l est des vé ri tés q u i sont bon nes à d i re et q u e s 'exp l i q u e p a r l a vacc i n a t ion a n t i va r i o l i q ue, a i n s i
mesu re, pas de façon épouva n table, m a i s ce l a s'observe peuve n t avoi r . Ce q u ' i l fa u t c 'es t s avoi r i n terroge r même bonnes à répéte r . Mais pou r bien vou s mon­ q u e l 'o n t co n s t a té d e s chercheu rs b rés i l iens ( vo i r
tou t de même ; on con s t a te u ne p ri se de po i d s anor­ son m a l a de, c'es t savo i r éco u te r l es p a re n t s , c hose q u e t re r q u ' i l ne s'ag i t n i de t h éorie, ni d ' i dées fa i tes à « S a n té, L i berté et Vacci n a t i ons, n o 1 7 » ) . - Note de
m ale. les médec i n s ne fon t p l u s . S' i l s pren a i e n t l e temps l 'avance, je v a i s vou s don n e r quel q ues exe m p l es t rès la R éda c t io n .

- D E
-- - ---- - - - - � �-

responsable de vot re pol i o. » A lors l à j e s u i s pa ssé a bénéficié s 1 J ose d i re - de vacc i n a n t i v a r i ol i­ s u i s p a s ce rta i n , je ne peu x p a s en don ner de p reu ve, l a terre tout l e monde m a i n ten a n t e n e s t conva i n c u ,
pou r un fou d a n gereux e t il n 'est p l us reve n u me voi r . que à t ro i s rep r i ses p a rce q u e ce vacc i n a n t i v a r i o l i q ue m a i s j 'e n ai l ' i n t i" m e con v i c t i o n . t o u t l e monde s a i t q ue c'es t l e p roblème n u méro u n
Vo i c i u n e n fa n t d e 9 a n s . I l fa i t p i p i a u l i t, c'es t
n 'ava i t p a s p r i s . d e cette f i n d u XX6 s ièc le. E h bien Mesdames et Mes­
A l ors e l l e m ' avou a :
une des a ffec t io n s les p l u s d i ffici l es à g uéri r, même sieu rs, vou s , vou s avez com p ri s , q u ' à côté de la pol­
E t j e d o i s i c i a j ou ter enco re q u e l q ue c hose à ce q ue
pou r u n médec i n homéopa t he, qui n écessi te des soi n s - Ecou tez, ça fa i t s i x mois q u e je voi s des méde­ l u t i on de l ' a t mosphère il est u n · d r a m e qui se déve­
j e vou s a i d i t tou t à l ' heu re . Vou s savez q u e nous,
t rès d i ffici l es s u i v i s q u e l q u efo i s d'éch ecs f l a g ra n t s . c i n s . Je s u i s a l l ée à la c i té hosp i t a l ière de Li l le, j e loppe de façon con s i dérable, c'es t ce l u i de la pol l u tion
homéopa t hes, nous avons l 'esp r i t de con tradiction
Pou r c e t enfa n t q u i a va i t u ne i n con t i nence d ' u r i n e j ' a i s u i s a l l ée à l a c i té hosp i t a l ière d'Arra s . J 'en a i v u des de l ' homme, l a pol l u t ion de l ' ho m me par l es médica­
quand u n vacc i n ne p rend p a s c 'est q u ' i l p rend. E t
t â tonné pen d a n t q u e l q ues mois. Bien s û r, a u c h a p i t re médec i n s ! Au déb u t je l e u r d i s a i s : Vo u s savez doc­ ments, l a pol l u t i on de l ' homme pa r les a g res sions c h i­
q u a n d l es a u t res d i se n t q u ' i l p re n d , en réa l i té i l
teur, c'es t l e B .C .G . q u i l u i a fa i t ça. I l s m 'on t m i se à m i ques q u e l les q u 'e l les so ien t , et l a pol l u t ion de l ' hom­
des vacc i n a t i o n s i l y ava i t « tou t », m a i s je s u i s a r r i vé n e p rend p a s ! C'e s t-à-d i re q u e i orsq u ' u n orga n i s me
à savo i r q u e cette i n con ti nence n ' a va i t pas été p ro­ la porte, s u i v a n t leu r h u meu r et s u i v a n t l e u r ca rac­ me p a r les vacc i n s . Actue l l em e n t vo u s êtes des o r i g i ­
a u ne réa ction i m po r t a n te, tou t se pa sse co m m e s i ,
voq uée m a i s a va i t été aggra vée pa r une vacc i n a t i on tère ; ou bien i l s o n t h a u ssé les épa u les a vec u n a i r n a ux, d e s empêcheurs d e d a n se r en r o n d . On p re n d
- j e ne d i s p a s q u e c 'est l a vé rité p u re, j e n 'e n s a i s
a n t i po l iomyé l i t i q u e q u ' i l a va i t subie. Je lui a i do nc d e s u pér iorité défi n i t i ve ; o u bien i l s m 'o n t ri a u nez ; ce ux q u i n e c roien t pas a u x vacc i n s pou r d e s i l l u m i nés
r i e n , j e ne s u i s p a s biolog i s te - m a i s tou t s e p a sse
don né t rois doses de vacc i n a n t i po l iomyé l ite 9 C H et ou bien i l s m 'ont d i t q u ' avec de tel les i dées, je pou­ u n peu a t t a rdés . Rassu rez-vou s , c,est vou s qui êtes d a n s
comme si l 'orga n i s m e ava i t des réa c t io n s de défe n se
cet te i n con t i nence d ' u r i ne, j e ne dis pas q u 'e l l e a d i s­ va i s a l le r voi r un c h a r l a t a n q u e l co n q ue, m a i s a u c u n le v r a i et d a n s quelques a n nées, q u a nd ce que je viens
, s u ff i s a n tes pou r é l i m i ne r l 'esse n t i e l des tox i nes vac­
p a r u , m a i s e l l e s'est a mé l iorée com me e l l e ne ! ava i t n'a vou l u a d m e t t re que c'es t dep u i s l e B . C .G . q u e m a de vous d i re sera u ne vérité éc l a t a n te pour tou s les
c i n a les, pa r con séq u e n t , tou t s'es t te rm i né a u moi n d re
j a m a i s fa i t a u pa rava n t , e t e n s u i te l es remèdes q u i fi l l e est com m e ç a . O r , docteur, vo u s me l e di tes s a n s gouvernemen ts, vous a u rez l a fierté d,avoir été à la
m a l . Ta n d i s q u e lorsq u ' i l n 'y a p a s de réaction d u
ét a ie n t i n d i q u és c hez cet enfa n t o n t a g i t bea ucoup q ue j e vo u s a i posé l a q uestion . C'est vou s q u i m e poi nte d u combat, personne ne se moquera plus de
tou t , l es tox i n es vacc i n a l es restent d a n s l ' i n t i m i té des
m ieux, ce qui fa i t q ue cette i n co n t i nence a f i n i par l e di tes ! vo us.
t i s s u s , et a l ors c'es t la porte ouverte à toutes les
dispa raît re. I l y a va i t m a n i festemen t c h ez l u i u n « ba r­ ave n t u res. - Eh bien o u i , confi r m a i - j e, moi , je vou s le d i s .
rage », com m e nous d i sons en homéop a t h ie, q u i em­ Pou r term i ner, u n dern i e r mot encore, j e vou d r a i s
Po u r ce t t e b rave femme, s t u péfa i te, c'ét a i t l a révé­ vous d i re q ue, s i on me fa i s a i t l ' hon neu r d e me dem a n­
pêc h a i t l e remède d'ag i r. Il est év i den t q u e cette vacc i n a t ion a n t iva r i o l i q ue
l a t i o n . I n u t i l e de vo u s d i re q u e je me s u i s a t te l é a u der mon a v i s s u r la recherche médica le, je d i ra i s :
1_
néga t i ve, q u i n ' ava i t pas p r i s et q u i a va i t poussé l es
Cet exe m p l e met en l u m i ère un a spec t des vacci­ t r a i temen t d e cette enfa n t d u m i e u x q ue j ' a i p u , e n « Ava n t de soigner des ge ns, l a p rem ière chose à fa i re
médec i n s de se reme t t re à l 'œuvre u n cert a i n nombre
n a t ions que je n 'a i p a s e n core abordé pa rce q ue c 'est fa i s a n t appe l n o n seu l emen t à l ' ho méopa t h i e q u i , d a n s c'est de p a s les rendre m a l a des . »
de fo i s , a com p lètement bou l eversé le système nerveux
u n peu de la tech n i q u e homéopa t h i q ue, m a i s qui est ces c a s e s t i n s uffi s a n te, m a i s a u ssi à d'a u t res choses .
ce n t ra l de ce m a l heu reux enfa n t , et non p a s seu l e me n t
ex t rêmement g rave. C'est q u e t rès souve n t , chez des Et m a l heu reusemen t , i l n 'y a eu a u c u n rés u l ta t . C'est­
pé r i p h é r i q ue, c e q u i e s t tou t d e même p l u s g ra ve, c a r
à-di re q u 'e l l e a t raîné pen d a n t quel ques mois ; au bou t
gen s q u i o n t été vacci nés ou q u i ont s u b i toutes sortes l e cervea u ça s e r t à q u e l q u e c hose ! E v i de m m e n t j e
d'agressions, il y a u ne sorte de « vi scosité » des fera i ce q u e j e pou r r a i po u r l e t i re r d e l à ( i l e s t a c t u e l ­
d e ces quel q u es mois les exa mens s a n g u i n s é t a i e n t ca­
t a s t rop h i q ues, l a moe l l e ét a i t co m p lètemen t vide, e t
NOS LIVRES SÉLECTION NÉS
réa c t io n s p h ys io l og i q ues q u i empêche les remèdes ho.. l em e n t en t ra i tement chez moi ) m a i s bien entendu
méop a t h i q ues, même bien i n d i q ués, d'ag i r . C'es t pou r m a l h e u reusement j 'a i é t é obl i gé de reto u r n e r cet te e n ­
ce n 'est pas l a même chose . U n e n fa n t vacc i n é t ra i té Tou te co m m a n de de l i v res doi t êt re accompag née
ça q u e bea ucoup de gens d i se n t : « Mo i , l ' ho méopa­ fa n t à l ' a l l opa t h ie q u i , bien en ten d u , l 'a p rotégée pen­
p a r l ' homéop a t h ie c'es t tout de même u n e n fa n t vac­ de son mon t a n t , et ê t re a d ressée à la L I B RA I R I E DES
t h ie, ça ne m e fa i t rien. » C'est u ne des r a i sons es­ d a n t q u e l ques temps c'est cer t a i n . Mais j a m a i s dans
ci né. ARCH E RS « Serv i ce s péci-a l LDLN » ( ne pas omet t re
sen t i e l les et e l l e e s t m a l he u relJ'Sement t rès peu con n ue, les statistiques on ne vous d i ra que c,est u ne leucémie
même de cert a i n s méde c i n s homéopa t hes . Voi l à don c q u e l q ues cas parmi d'a u t res. Je te r m i ­ conséc u t i ve a u B .C .G . bien s û r . C'est un cas n av ra n t cette m e n t ion ) , 1 3 , rue Gaspa r i n à LYON ( 2e ) .
nera i p a r l e p l u s t e r r i b l e , pa rce q u e c 'est u n échec et moi n s i so l é q u 'on n e l e croi t . C . C . P . LYON 1 56-64 .
En vo i c i u n a u t re : i l s ' a g i t d ' u n e n fa n t de 1 3 a n s ,
tot a) .
fa t i g u é comme bea ucoup d 'enfa n ts de 1 3 a n s, t rès f a t i ­ Vo u s voyez q u e l a vacc i n a t i on est d a n gereuse à
1 / LES SOUCOU PES VOLANTES. Co-aute u rs :
g ué, avec u n g a n g l ion cervica l ; i l est p â l e , i l e s t On m ' a mène i l y a quel q ues mois u ne enfa n t de t rès long terme je vous l 'a i d i t m a i s e l l e peut ê t re
A i m é M I C H E L ( po u r ) et G é n éral G eorges
p a t raque : c 'est l 'é t a t q u 'on appe l l e l a Bécég i te e n 5 a n s, énorme, bouffie, ép u i sée ; des yeux q u 'on ne a u s s i d a n ge re u se à bea ucoup moi n s long terme.
a l lopa t h i e et q u i est c o m m e j e vou s l 'a i d i t tou t à LE H R ( contre ) . Franco : 7 ,70 F .
voya i t à peu p rès p a s d a n s l es p a u p ières, des j a m bes J 'en a i term i n é de mon exposé, mais j e vou d r a i s
l ' heu re, n 'ayo n s p a s peu r des mots, u ne tou te pet i te gon f l ées, l 'e n fa n t com p lètement i nerte. conc l u re de l a fa çon s u i va n te : V o u s êtes d a n s le v r a i :
leucém i e en m i n i a t u re s u rve n u e quel ques sem a i nes 2/ L E S PH ENOMENES I NSOLITES DE L'ESPA·
il faut con t i n uer votre combat, i l faut le poursu ivre
a p rès u n e vacc i n a t ion pa r l e B .C .G . La mère me dit : « Doc teu r ma f i l l e a u ne leu­ avec a c h a r nement, c a r vous a u rez raison u n j ou r , vous
CE, p a r J a n i n e et J a c q u e s VA LLEE. Fran­
cém ie. Es t-ce q u e vou s pouvez la g ué r i r ? » avez déj à raison . Nous avons dé j à r a i so n . co : 22,70 F.
E n voi l à u n a u t re bea ucoup p l u s d r a m a t i q u e . O n
l u i a fa i t u n B .C .G . , à l 'âge d e 7 a n s . Cet te vacc i n a t io n « Ecou tez, Mada me, si je g u é r i s s a i s l a l e ucém ie, ça
Voyez-vo u s , i l y a 1 5 a n s on pa r l a i t t rès peu d e l a 3/ A PROPOS DES SOUCO U PES VOLANTES,
a é t é s u i v i e d ' u n a bcès f r o i d a u n i veau d u co u p de se s a u ra i t ; m a i s e n f i n , on ve r r a , on fe ra ce q u 'on pol l u t i o n d e l 'a t mosphère, q u e l q u es i l l u m i nés dont
pied, pou r l eq u e l on l 'a soigné avec des a n t i bi o t i q u es, pou rra » . I n u t i l e de vous d i re q u e d a n s u n cas co m me par A i m é M I C H E L . Franco : 21 F.
j 'éta i s a t t i ra i e n t l 'a t tention sur les méfa i t s d u mazo u t ,
ce qui éta i t gén i a l ! E n s u i te de quoi il a fa i t u ne ro u­ ce l u i - l à , l ' i n t e r roga toi re est t rès m i n u t i eux . Et bien d e l 'oxyde d e ca rbone, s u r l a da ngereuse pol l u t ion d e
geo l e . Bien e n t e n d u , ça n 'a a u c u n rapport . Et a p rès entendu j 'a borde l e passage c r i t i q u e conce r n a n t les l 'ea u . R ien n e p res se, réponda i t-o n , i l n 'y a rien d e
4/ LES SOUCOU PES VOLANTES AFFAIRE
cette rougeole, il a fa i t des conv u l s i o n s . Ça n'a tou­ vacc i n a t io n s : g ra ve, etc . . . M a i n t e n a n t , on s a i t q u e s i on ne c h a nge SERIEUSE, par Franck EDWA R D S . Franco :
j o u rs r i gou reuseme n t a u c u n rapport, bien e n ten d u . E t pas de pol i t i q u e de façon radica le, l ' h u m a n i té, selon 19 ,40 F .
p u i s , m o n Dieu . . . i l e s t mort . O h ! i l n 'est p a s mort - Qu 'a-t-e l l e eu co mme vacc i n a t io n s ?
l es p rév i s ions les p l u s opti m i s tes, n'a p a s p l u s de
d u B .C .G . , non pensez don c ! - Eh bien, docteu r, d i t l a mère en hési t a n t , e l l e a cen t ans à v i v re. On le s a i t ! On sa i t que si nous 5/ D U NOUVEAU SU R L E S SO UCOU PES
Vo i c i u n a u t re e n fa n t q u i a 1 5 a n s . A l o rs l u i c'est tou t eu . con t i n uo n s à empoisonner l 'eau des f l euves, q u e si VOLANTES, par Fra nck EDWA R D S . Fran­
u n ca ractéri e l . I l est deve n u ca ractériel a p rès u ne vac­ nous con t i .. 0ons à empoi so n n e r l 'a i r, c'es t f i n i , tou t
- Ah o u i , es t-ce q u 'e l l e a eu le B .C . G . ? co : 1 7 ,40 F.
c i n a t ion par le B .C .G . est f i n i . On s a i t q u ' u n j o u r i l fa udra bien suppri mer
- O u i docteu r, e l le a eu l e B .C . G . l e D .D.T. qui e m po i so n n e l e p l a ncton, par exe ';1 p l e . I l
U n enfa n t d e 6 a n s q u e sa mère m ' a mène pa rce faudra a u s s i s 'occuper des emba l l ages en p l a s t 1 q ue, et
q u ' i l est d ' u ne ne rvos i té épouva n ta b l e . I l n e res te J 'ét a i s a l ors d a n s u ne de c e s périodes penda n t l es­ de ce rta i nes choses qui o n t l 'a i r t rès bel les mais q u i
abso l u me n t pas en p l ace dans mon cabi net, il touche q u e l l es l ' i ncom p réhe n s ion généra l e me pousse à l a
à tou t , il p re n d mon stétoscope, il t r i pote mes a p pa­ b r u s q uerie.
l e son t peu t-ê t re u n p e u moi n s e n réa l i té . Pa r exe m p l e,
les avions à réaction com me le Conco rde, q u _1 consom­
Demandez- nous
rei l s à mesu rer l a tension, il g r i mpe sur l e t a bou ret, ment u ne q u a n t i té d'oxygène abso l u me n t ex t raordi­
Ah ! l u i répond i s-je, e l l e a eu l e B .C .G . ! E h bien
il l e dévi s se ; chez l u i c'es t ex acteme n t la même c hose, n a i re dont nous a vo n s besoi n . Car les q u a n t i tés d 'ea u
i l ne tien t pas e n p l a ce, i l n 'y a pas tn oyen de le
à mon avis, il y a tou tes c h a nces pou r q u e cette l e u cé­
et l es q u a n t i tés d'a i r don t di spose l ' h u m a n i té n : sont des spécimens g ratu its
m ie soit l a co n séq uence du B.C.G. A l ors cette m a m a n
te n i r, c 'es t un enfer pou r ses p a re n ts ... e t on me met p a s abso l u me n t i nép u i s ables ; il fa u d r a i t l es menager
me d i t :
e n deme u re d 'a voi r à g uéri r cet é t a t qui a rés i sté à et tou t a u moi n s l es u t i l i se r de façon abso l u me n t ra­
un bo n nom b re de t h é ra peu t i q ues a l l op a t h i q ues j u s­
, Quoi ! vo u s d i tes ça ! t i o n n e l l e . C e qui n 'e s t pas l e cas. pou r ditfusion
q u a lors e m p l oyées . Seu l emen t , q u a n d j ' i n te r roge l a
mère s u r l es vacci n a t io n s j 'a p p rends q u e cet e n fa n t O u i ! j e d i s ç a . Pou r l e d i re, j e le d i s . Je n 'e n Pa r conséquent, la pol l u tion de l 'ea u, de l 'a i r, de •••••••• •••••••••••••••• •••••

F - G : -
AUTRES OUVRAGES
N os l ivres sélectionnés TEMPL I E R S - CATHARES - SOC I ETES SECR ETES, etc . . .
q u ' i l n 'ava i t p a s l a ber l ue, et c'es t bien ce q u i a r ri­
va . I l t rouva l à p l usieu rs consom m a te u r s , don t M .
teu r q u e l 'objet déc r i t , u n second objet, à gauche d u
premi er, dont l es c a ractéri s t i q ues p a r a i s s a i e n t ê t re
To u t e com m a nde de l i v res doi t ê t re accompag née SER BANESCO. - H i s to i re de l 'Ordre des Lebrice, e t tout l e m o n d e f u t d e h o r s po u r observer a n a l og ues .
de son mon t a n t , et être ad ressée à la L I B RA I R I E DES Tem p l i e rs e t l es C roisades . . . . . . . . . . . . 9 9 ,00 F le phénomène.
A R C H E RS, « Serv i ce s péc i a l LDLN » ( ne pas omet t re 27,50 F A ce p ropos, la p resse l ' a i n d i q ué à d ro i te. M .
LEGMAN. - La cu l pabi l i té des Te m p l iers . .
Po u r ce qui est de l ' aspect de l 'objet l u i-même, C a m p a i m' exp l i que q u 'e l l e s'es t ba sée s u r l e fa i t q ue,
cette mention ) 1 3 , rue Gaspa r i n à LYON ( 2e ) . C .C .P. NATA F . - Le m i ra c l e c a t h a re . . . . . . . . . . . . 1 5,80 F
d i sons q u ' i l offre ce r t a i nes a n a log i es avec ce l u i q u i reg a rd a n t l e repo rter, il i n d i q u a i t s a d ro i te, se p l a­
LYON 1 5 6-64 . J .- C . P I C H ON :
f u t observé d a n s l 'ouest ( Morbi h a n , Ma i ne, Bea uce ) ç a n t à l ' e m p l acement de l 'objet pou r ce l u i q u i l 'écou­
R . B I RC H E R . - Les H o u nza, u n peu p l e q u i H i s to i re u n i verse l l e des sec tes et soc ié tés
le 1 8 aoû t 1 96 5 ( nous a j outerons ce l u i de Sa i n t-Den i s t a i t . E n réa l i té, l 'objet éta i t bien à gauche pou r l es
n e con n aî t p a s l a m a l a d i e . . . . . . . . . . . . 20,00 F secrètes. Tome 1 • • • • • . . • • • . • • • • • • • • 2 2 ,50 F
du 2 5 s eptembre 1 969, d a n s Con tact de m a rs 70 ) . observations, c'es t à d i re a u sud du p re m i e r .
H i sto i re u n i verse l l e des sectes et soc iétés
BOU C H E-THOMAS. - Arbo r i cu l t u re f r u i t iè- Q u a n t � son com portemen t, i l rappe l l e u n peu cel u i
re des temps p résents . . . . . . . . . . . . . . . 8,75 F sec rètes . Tome I l . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22,50 F
d'Evi l l ers, d u 2 2 m a rs 1 968 ( L .D.L.N . 94 ) .
Dr A. CAR R E L . - L' hom me cet i n con n u • 25,20 F C E R I A et ETH U I N . - L'en i g m a t i q u e Com te
J. FAV I E R . - E q u i l i b re me n t a l et s a n té . . 27,30 F de Sa i n t-Ger m a i n . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20,50 F La cou l e u r de cette bou l e est d i ffi c i l e à déf i n i r
R I BADEAU-DU MAS : Les magiciens de Dieu . p a r l e fa i t méme qu'el l e a p résenté des tei n tes s u c­
H .-C . GEFFROY :
Les g r a n d s i l l u m i nés du 1 8e et 1 96 sièc l es ces s i ves et va ri ées , pa rfo i s m é l a n gées . Deu x cou leurs
Nou r r i s ton corps . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5,00 F ( Dom Pe r nety, Swedenborg, Don M a r t i nez p a r a i ssent a voi r plus so uven t a ppa rues que l es a u ­
C u l t u re s a n s l a bou rs ni engra i s . . . . . . 3,95 F de Pasq u a l l y, W i l l e rmoz, Lou i s-C l a u de de t res : l e rouge, s i souve n t noté d a n s l es observ a t i o n s ,
Co u rs d 'a l i me n t a tion s a i ne . . . . . . . . . . . . 33,70 F Sa i n t-M a r t i n , Lavater, J. de M a i s t re ) . . . . 1 9 ,50 F et l e b l e u c i e l , cou l e u r assez p e u fréq uente ( voi r ce­
S. O. S . C r i se c a rd i a q u e . . . . . . . . . . . . . . 9,40 F J .-C . P I C HON . - Nostrada m u s en c l a i r . . . . 20,50 F pendan t Besa n çon d a n s Con t a c t 1 0 1 b i s , page 7 ) .
Défends ta pea u . . . . . . . . . . . . . . . . ... . . 1 8 ,30 F R. LE FOREST I E R . - La F r a n c-Maçon nerie
500 Recet tes d ' a l i me n t a t i o n s a i ne . . . . . . 1 4,00 F tem p l i è re et occ u l t i s te . . . . . . . . . . . . . . . . 1 5 0,00 F En p re m i è re a p p rox i m a tion , l 'o b j e t p a r a i ssa i t tan­
L. K H U N E . - La nouve l l e sci ence de g uéri r . 27,40 F VAR T I E R . - Les p rocès d'a n i m a u x , du tôt b l e u c ie l , t a n tôt rouge ( to u t com me Evi l l ers déj à
Moyen-âge à nos j ou rs . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2 ,50 F c i té : t a n tôt rouge, t a n tôt j a u ne ) . Ces cou l e u rs sem­
Dr A . N EVEU :
b l a i en t per m u ter, pass a n t de ga uche à d ro i te, comme
La po l i o g ué r i e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4,60 F ALCH I M I E s i l a bou l e a va i t deux hém i s p hè res q u 'e l l e a u ra i t p ré­
Com men t p réve n i r et g u é r i r l a pol i omyé-
l i te . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . · · 7,80 F L . F I GU I E R . - L'A l c h i m i e e t l es A l c h i m i stes . 3 8 ,50 F sen té tou r à tou r . M a i s a l ors q u ' à Evi l l e r s l e p a s­
N . FLAMEL. - Le l i v re des f i g u res h i éro- sage se fa i sa i t fra nchement et brusqueme n t , i c i l 'ob
J .-L. PEC H . - Menaces s u r notre vie . . . . . . 1 1 ,00 F
g l yp h i q u es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29,00 F J et p résen t a i t u ne g ra n de va riété de te i n tes t rès fuga­
Dr A. PF E I J!F E R . - Fécondi té de l a terre . . 27,40 F J . SADOUL. - Le t résor des A l ch i m i s tes . . 27,50 F ces ; c h a c u n e des co l o ra t ions n e pers i s t a n t q u e quel­
M. REMY : B U R LAND . - Le s avoi r caché des A l c h i m i s- q u es i n s t a n ts, et ceci tous l es témo i n s l 'o n t rem a r­
La s a n té com mence a u j a rd i n . . . . . . . . 1 0,90 F tes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . · · · · · · · · 20,50 F qué, où qu ' i l s se soien t t rou vés . P a r cou r t s i n s t a n ts,
Nous avo n s b r û l é l a terre . . . . . . . . . . . . 20,00 F Dr M. H AV E N . - Le maître i n con n u : Ca- presq ue par éc l a ts, on perceva i t a i n s i des ref l ets de
g l ios t ro . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42,50 F cou1 e u r j a u ne, rose, ma u ve, o l i ve, ve rdât re, v i o l a cée.
G. SCHWAB : E l l es pou r r a i e n t ê t re d ues, à mon avis, à la rot a t ion
G RAPHOLOG I E
La da nse avec le d i a b l e . . . . . . . . . . . . . . 1 7 ,20 F
A. VELS. - L'écri t u re, ref l e t d e l a personna- de l 'objet de tei n tes d i ffé re n tes, et à u ne d i ffract ion
La c u i s i ne du d i a b l e . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4,60 F
l i té . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54,50 F provoq uée pa r quel ques bru mes pos s i b l es, serva n t
Les dern ières ca rtes du d i able . . . . . . . . 1 6,20 F
C R E P I E U X-JAMET . - A . B .C . de l a g rapholo- d'écra n .
A. THOMAS . - Les secrets de l 'A t l a n t i de . . 1 7 ,00 F gie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 2 ,00 F
H i s toi re u n iverse l l e des sectes et soc i étés U ne a u t re a n a l og i e, avec l 'observa t i o n d e 1 965,
secrètes. Du Moyen âge à nos j o u rs . Jea n- OR I E NT est q u e l a bou l e a p rése n té so uda i n , et p a s t rès éloi­
C h a r les Pichon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2 , 30 F g n é de son cen t re, u ne tache c i rcu l a i re nettement
P . B R U NTON . - L'en seignement sec ret au-
- T ro i s voies de sagesse a s i a t i q u e . L' H i n­ p l u s foncée q u e l 'objet, puis, quel q ues i n s t a n t s p l u s
de l à d u Yoga . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23,25 F
dou i s m e . Le Boudd h i s me . Le Zen . N .W . t a rd, l es témo i n s o n t observé deux taches i den t i q ues,
SATPREM. - Sri A u robi ndo ou l 'ave n t u re de
Ross . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22,50 F sen s i b lement symét r i q ues pa r rapport à un axe ver­
la conscience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27,50 F Cette bou le ( o u d i sque ) , d ' u n d i a mètre d e 8 à
Nous a u t res gens du Moyen âge . Jean t i ca , l , à la m a n ière de deux yeux noi rs sur u ne face
Y I K I NG. - Le l i vre des m u t a t i o n s ( ouvr age 1 0 fo i s p l u s fa i b l e q ue cel u i du p rem i e r, se s i t u a i t
Sendy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 8 ,00 F ronde colorée .
le p l u s i m port a n t de la tradi t i on c h i noi- à u ne d i s t a nce d ' u n rayon d e cet ob j e t . B ie n q u e d i f­
Le monde ét ra nge des a s t rolog ues. E . se ) , t ra d u i t par R . de Becke r . . . . . . . . . . 27,50 F f i c i lement obse rva ble, en r a i son de ses di men s ions, M .
L'ob j e t tou r n a i t de p l u s s u r l u i-même, et s u r u n
Howe .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . · · · · · 21 ,1 0 F P. A R NOLD . - Avec les Lamas t i béta i n s C a m pa i , a p rès son observation à l a j u me l le, sera i t
axe a p p a re m m e n t d i r i gé vers l es observa teu rs, sem­
- Po uvo i rs sec rets des mots et des symbo- ( L'expérience psych i q ue ) . . . . . . . . . . . . . . 2 2 ,50 F porté à pense� que ses ca ractéri s t i q ues sera i e n t les
b l a n t a i n s i p résenter la même face, et cet te i m p res­
l e s . K. H i tsch ler . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27,20 F mêmes q u e l e p rem i e r, et q u ' i l se serai t t rouvé p l u s
s i o n rés u l ta i t de l 'a p p a rente rot a t ion des tei n tes et
- De l ' U n i té t r a nsce n d a n t e des rel i g i o n s . DIVERS loi n . Cela i m p l i q uera i t q u ' i l s e s i t u a i t à u ne d i s t a nce
des ta ches . E l l e s'effec t u a i t d a n s le sens d i rect , m a i s
F . Sch uon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 6,30 F T . H EY E R DA H L. - Aku Aku . Le secret de et u n e a l t i t u de 8 à 1 0 fo i s s u pé r i e u re a u p re m i e r .
sa vi tesse éta i t i r rég u l ière . Par momen t e l l e é t a i t n u l ­
- Né au T i bet . C h . T r u ngpa . . . . . . . . . . . . 2 2 ,70 F l ' I l e de Pâques ( nom breuses p hotog ra- I l est ég a l emen t poss i b l e d e penser q u e l es d i a m è t res
l e, et l 'objet p rése n t a i t a l ors t rès netteme n t les deux
- Le l i vre des d a m nés. C h a r l es Fort . . . . 27,40 F p h ies ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32,50 F ét a i e n t d i ffére n t s et que le p l u s pe t i t n'ét a i t q u e l e
tei n tes rouge e;t bleu c i e l , b i en dél i m i tées . Pu i s la ro­
- Les Ce l tes et les D r u i des . Serba nesco . . 49,50 F O. ROC H E . - C a r n a c . Le méga l i t h i s me ( a r­ t a t ion rep re n a i t , t rès len te, et l 'on voya i t l es cou l e u rs compagnon d e l ' a u t re.
- Mys t i q u es et magiciens d u T i bet . A . Da- chéo l og i e, typo logie, h i s toi re, mytholog i e ) . 3 8 ,50 F se fon d re, p rése n te r les v a r i a t io n s de tei n tes déj à M . Leb r i ce et l es témo i n s de S a n s-Fond s i t ue n t
v i d-Nee! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28,50 F J .-V . L U C E . - L'At l a n d i de redécouverte déc r i tes, et l es ta ches se dép l acer . Pa r moment a u s s i
- L'or de R e n n es . G. de Sède . . . . . . . . . . 2 1 ,20 F ( nombreu ses p hotog ra p h i e s . Ouvrage t rès l 'objet d a n s l e p ro l ongeme n t d e l a l i g ne j oi g n a n t l a
l a rot a t ion p a ra issa i t a r rêtée s a n s q u e l 'o n aperço ive m a i son C a m pa i et l e café, sen s i b l ement à l 'oues t .
- Les mys tè res tem p l iers. Ca rpe n t i er . . . . 20,00 F sérieux s u r ce p roblème ) . . . . . . . . . . . . . 60,00 F les deux cou l e u rs d i ffére nciées . A d'a u t res mome n t s C e s perso n nes n 'on t obse rvé l e phénomène que d u ­
- Tou t A n kh Amon, ou I ' Egypte s a n s ba n- CYR I L ALFRED. - Akhenaton, l e P h a raon l es ta ches d i spara i s s a i en t . I l est bien d i ffi c i l e de r a n t u n q u a rt d'heu re envi ron, m a i s affi rment q u e
delet tes . J .-L . Bern a rd . . . . . . . . . . . . . . 26,20 F myst i q u e ( nombreuses photog ra p h ies ) . . . . 6 3 ,00 F t rouver u ne exp l i c a t i o n à ces aspects d i fféren t s . La d u ra n t c e l a ps de temps a u c u n des objets n'a effec­
- La B i b l e rest i t uée. C . S u a res . . . . . . . . 3 1 ,90 F D i c t i on n a i re des symboles ( myt hes, rêves, d u rée d ' u ne révo l u t i on pouva i t ê t re de l 'ordre de u ne tué de dép l a cemen t .
- Sep her Yet s i ra . C. Su a res . . . . . . . . . . . . 3 2 ,7 0 F cou t u mes, gestes, fo rmes, figu res, cou- à deux m i n u tes, en m a rq u a n t q ue l q u es a rrêt s .
- J ' a pprends l e Yog a . Li sbet h . . . . . . . . . . 3 2 ,00 F leurs, nombres, etc . . . ) ( a vec de nomb re u - M. Ca m pa i ren t r a seu l chez l u i , e t du ba l con de
- Les géa n t s e t l e mystère des o r i g i nes. s e s g ravu res ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 46,00 F U n a u t re po i n t com m u n a vec l 'observ a t ion d'Evi l· sa s a l l e de séj o u r i l observa e ncore les objets ; le g ros
Lou i s C h a rpe n t i e r . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 7,30 F E. Von DAN I K E N . - Présence des ext ra-ter- l e r s est que l 'objet p r i ncipa l qui vient d 'être déc r i t éta i t en d i rec t ion d ' u ne c h em i née, tou j o u rs à l 'oues t .
L' i r r i n tz i na ou le des t i n des B a s q u es . L . rest res . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . · · · . · · 1 9 ,50 F comport a i t l u i a u s s i u n compagnon . E n effet, e t dès I l se m u n i t a l ors de j u m e l l es et m o n t a j u squ'à l a
Boussa rd . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 9 ,00 F P. KOLOS IMO. - Des ombres s u r l es éto i l es 27,50 F l e débu t de l 'observa t i o n , M. C a m p a i e t ses pet i ts­ N . 3 6 9 , espéra n t u ne vue p l u s dégagée. L e phénomène
Tou s ces p r i x s'entendent fra n co de por t . Tous ces prix s'en tendent fra nco de port . enfa n t s avaient rem a rq u é à peu p rès à l a même h a u- n ' ava i t p a s v a r ié, et l es j u me l les l u i perm i re n t seu l e-

- H 21
nir peut-être pas tellement éloigné, de pouvoir Leur technique s 'affirme e t la mise au point de la
par divers procédés, fabriquer, c 'est le mot, des néo-race paraÎt bien approcher de sa fin. D errière
O N N O U S P ÊC H E . . .
super intelligences. les prouesses spatiales qui ébaudissent les fou­

- Comme il est facile, dès lors, d 'imaginer les et renden t les techniciens rêveurs ou incré­
écrivait en 1 920 Charles FORT dans cc Le Livre des Damnés ,,. dules, se prépare la plus grande machination de
que les cervaux avancés de nos extra-terrestres
puissent se servir, comme nous-mêmes, de tous les temps, prémice d1un bouleversement
- S 'il n 'é tait mort en 1 932 et qu 'il eut comme - I l n 'a pas connu ces disques aux démarra­ dont aucune intelligence ne peut rentre compte.
cobayes pour arriver à leurs fins ; mais dans
nous connaissance de tous les faits nouveaux ges foudroyan ts, ni ces .. cigares des nuées »,
Pour conclure, laissons là ces pensées de cau­
ce cas, c 'est nous, humains, qui serviront de
qui, depuis 1 946, s 'accumulen t sur les M. O. C . , véritable magasin à .. soucoupes volantes », ni chemar. Il est grand temps de faire cesser ces
cobayes. Par une technique biologique à la me­
de quelles envolées il nous aurait gratifiés après ces petits êtres à apparence humaine, engoncés troublantes perspectives en essayant de percer
sure de l 'intelligence et de l 'évolution, don t ils
les avoir passé au crible de son esprit fécond. dans leur scaphandre, précédant les nouveaux assez tôt les desseins de nos envahisseurs.
donnent le spectacle avec les M. O. C . , ils fabri­
venus qui, comme vous et moi, se montrent
quent et élèvent à partir de notre humanité les Même si la science officielle prend en main
main tenant à découvert.
échantillons que nous apercevons surtout en l 'affaire des M.O.C., et pourvu qu 'il ne soit pas
- Il n 'a pas connu les « vagues », ces mani­ en trant dans des véhicules hors de portée de trop tard, l 'information res tera la base de toutes
OBSE RVATION EN COTE-D 'OR
fes tations de masse, à apparence cyclique, que notre technique. les recherches.
(Su ite de la page 2 1 ) nous essayons de rattacher à nos planètes voi­ Nous sommes des cobayes. . . Etoffons notre réseau de détecteurs, diffusons
sines, et qui semblent, dès à présent, dépassées tou tes les informations, élargissons J 'audience
ment de m i e u x observer les diverses tei n tes. I l ren t ra Pas tous bien sûr . . . mais ceux qu 'on pêche.
par une observation continue assez déconcer­
chez l u i , reg a rda e ncore quelque temps, et com me de notre revue en faisant des abonnés nouveaux.
Et le progrès va vite dans leurs laboratoires.
rien ne p a r a issa i t c h a nger et q u ' i l é t a i t p rès de m i­ tante qui laisse supposer une présence proche La question des M . O . C . devient urgente.
sur un satellite terres tre ou dans une tête de Du temps de Charles Fort ces êtres n 'é taient
n u i t et dem i , i l a l l a se coucher. Le l e n dem a i n i l n'y
pas encore apparu, puis il y a quelques années F. LAGA R DE .
a va i t p l u s rien de v i s i b l e d a n s l e ciel, et il reg rette pon t continentale.
bea ucoup de ne p a s avo i r vei l l é pou r assister à l a on les voyait engoncés dans leur scaphandre, et
1 965
...........••. ·····-···-·····
d i sp a r i tion des objets. Que de progrès dans ce domaine depuis depuis J 'été ils apparaissent à J 'air libre,
trente ans, que de changements inquiétants, certains même à la taille d 'homme normal.
Commen t a i res. - C'est à notre avis u ne observa­
t ion t rès i m port a n t e . E l l e déf ie l es exp l i c a t i o n s h a bi ­
extraordinaires dans la flore (machines) et la Il serait bien inutile de spéculer sur des
V I ENT DE PARAITRE :
t ue l l es d e s détracteurs, serai t-ce ce l l es d u p rofesseu r faune de nos envahisseurs. techniques biologiques extraordinaires qui dépas­
Condo n , l e u r dern ier por te-f l a m bea u . E l l e a d u ré p l u s
d ' u n e h e u re et dem ie, à p rox i m i té d ' u ne g ra n de vi l l e,
- Tout est étrange dans ces manifesta tions,
tout est nouveau, tout dépasse ce que J 'on pour­
sent notre concept,
quer le manque de contacts
mais elles pourraient expli­
qui, déjà en 1 922, LE LIVRE NOIR
où s û remen t ex istent d ' a u t res témo i n s mécon n u s .
DES SOU COU PES VOLANTES
déconcertait C . Fort. Ce n 'est pas ces extra-terres­
raft bâtir en partant des connaissances acquises.
L'ex i s tence d ' u n satel l i te ( et même d e p l u s i e u rs ) tres eux-mêmes que nous apercevons évoluer, ni
Seule J'imagination est capable de maÎtriser ce
n 'es t pas nouve l l e, nous avons c i té Evi l l ers, Sa i n t· des hommes à notre mesure, ni des ê tres à évo­
phénomène. par Henry D U R RANT
Den i s , i l fa u t a j o u te r pou r ces mêmes ca racté r i s t i q ues lution normale, mais peut-être des robots mons­
la B retagne ( L.D.L.N . 1 04 ) pou r des s a te l l i tes p l u s trueux, ayant seulement l 'apparence humaine,
- Ces ê tres, ayant, contre toute logique, une Cet ouvra ge se d i s t i n g ue, d a n s son fond et sa for­
nom breu x : Nord-Souda n ( Contact 93 b i s ) , Stembert issus de manipulations concertées, aux ordres
apparence humaine, ouvrent à nos spéculations me, de p resque tous ceu x q u i ont p a r u s u r ce su j et
( Contact m a rs 1 970 ) , N a n tes ( L. D . L . N . 1 04 ) ,
effrayées des gouffres vertigineux. On conçoit et aux commandements des cerveaux qui les dep u i s bien des a n nées .
et encore Evi l l ers ( L .D.L.N . 94 ) . Nous d i ro n s q u ' i l y
que la flore e t la faune terrestres puissent avoir ont enfantés.
a de fo rtes c h a nces po u r q u e le pet i t objet soi t a u s s i L'a u teu r, q u i est j o u r n a l i s te, s'est a t taché à rec ue i l ­
u n compagnon d u g ros, en ra ison des p récéde n ts c i ­ entre elles une certaine ressemblance. Formée è Fantastique c 'est le mot, mais puisque nous l i r d e t rès nom breux documents, do n t i l c i te l e s réfé­
tés . I l sem b l e ra i t q u e ce s a te l l i te corresponde à u ne partir des mêmes élémen ts, chaque espèce pos­ pouvons l 'imaginer sans doute est-ce possible. rences, l es sou rces ; l e u r p u b l icat ion es t réa l i sée d a n s
néces s i té tech nolog i q ue, u n i té i n dépenda n te, aya n t u n sède dans ses parties des ressemblances com­ l 'ordre ch ro nolog i q ue, c e q u i faci l i te l a t â c h e d u c h e r­
b u t bien déf i n i et i n d i spensable, d a n s l e c a s d e ce Dans quelque base souterraine, dans un lieu cheu r.
munes. C 'est à partir de cette cons tatation que
type d'eng i n . désertique et isolé, quelque part dans l 'A rctique,
nos savants, à tort ou à raison, ont bâti la théorie Q u a t re c h a p i t res se s u ccède n t : Le temps des « l é­
peut-être au bout de la Terre de Grant, entre le
A quoi est-i l des t i né ? quel les son t ses fonc t i o n s ? de l 'évolution. Mais de nos jours, un poisson n 'a gendes » - Les fa i t s s'acc u m u l e n t - A n a l yse du p hé·
cap Black et le cap Richard, se prépare pour de­ nomène - Et n u nc . . . ?
A u t a n t de q uestions s a n s réponse. U n e bo n n e photo, pas l 'apparence d 'une chèvre et un homme n 'a
main J 'événement le plus insensé de la vie de
u ne a n a l yse spect r a l e nous a u ra ie n t a p porté d'a u t res pas celle d 'une poule. L'ouvrage com porte en o u t re un addend u m , u n
élémen t s ; il est bien domm age que, f a u te d'avo i r notre planè te. Là, des robots à l 'apparence humai­ g l ossa i re, e t u ne bibl iogra p h i e .
é t é sens i bi l i sé p a r l e p robl ème, a u c u n des témo i n s n e - Il est hautement improbable que des ê tres ne, aménagent le vas te casernement d 'où partent
C ' e s t u n ouv rage q u i dev ra i t avo i r u n i m pact
p u i sse fou r n i r n i l ' u ne n i l 'a u t re d e c e s p reuves, a u­ venus d' .. ailleurs », ayant évolué dans un envi­ aujourd'hui en tre les « vagues , d 'antan les
dans l e monde d u jou r n a l i s me ( s ' i l est l u ) ; l 'a u teu r
de l à du témoignage v i s uel . ronnement différent, même dotés d 'une intelli· M.O.C. dont J 'observation devient quotidienne.
le déd i e à ses con frères « a f i n q u ' i l s t ra i te n t l es « Sou·
gence avancée et peut-être même pour cela, Dans ces laboratoires-casernes, les cobayes hu­ cou pes vo l a n tes » e n a ffa i re sérieuse » .
Si nous exa m i nons l a c a r te généra l e a u 1 .000.0008
nous con s t a tons q u e des fa i l les géo l og i q ues i mpo rta n­ aient· une ressemblance aussi équivoque avec mains sont traités Dieu sait par quel procédé ou
P R I X F R ANCO : 20,50 F .
tes passe n t à 2,500 k m à l 'ouest de C hev i g ny, m a i '> notre humanité. Il n 'y a pour cela aucune raison quelle culture en vase clos, pour produire une
nous n e pouvons p résumer d e l a d i s t a nce des ob j e t s . pour pouvoir Je penser, au contraire, et pourtant nouvelle race, hybride inconcevable, qui doit sub­ E n ven te à l a L I B RA I R I E D E S A R C H E R S « Se rvice
Une h ypot hèse g r a t u i te accord a n t 8 à 1 2 mètres d e c 'est cela que J 'on observe ! merger notre humanité. spéc i a l LDLN » ( ne pas omettre cette men t i on ) , 1 3,
d i a mè t re à l 'objet p r i n c i p a l l e s i t ue ra i t e n t re 1 k m rue Gaspa r i n à LYON ( 2c ) . C.C.P. LYON 1 56-64.
Cela justifierait du moins cette a ttente irri­
e t 1 ,500 k m d e C hev i g n y : l es fa i l l es ne son t p l u s - Dans le balbutiement d 'une science nais­
tante par une longue mise au point biologique
bien loi n . sante, nous élevons, nous, des cobayes, mou­ �····························
succédant aux premières apparitions de M . O . C .
ches, rats, singes, etc . . . , pour les écorcher, les
E n f i n , s i nous p rolongeon s l a v i s i o n à l 'ouest d a n s
l a d i rection Chev i g n y-Gevrey-Cha m ber t i n , n o u s con s­ infecter, les greffer au gré de notre volonté.
et aussi s a n s doute c e s disparitions mystérieu­
ses qui hantent nos souvenirs (lire le No 82 de
Demandez-nous des
ta tons q u 'e l l e va rencon t re r la t r i l og i e du Morv a n : Par des produits chimiques, des manipulations

spécimens g ratuits
L . D . L.N.) .
Liern a i s, B r azey, V i l l i ers ( L D.L. N . 96 ) à 59 km de délicates dans J'embryon même, nous fabriquons
l à . Coïncidence q u ' i l conve n a i t de s i g n a l e r . des monstres, et nous ne savons même pas Il semble bien pour tous ceux qui suivent atten­

pour diffusion
Tou tes ces don nées rendent cette observation t rès combien de gènes nous possédons, si nous tivement les observations des M . O . C . que les
i n téress a n te et nous remerc i ons M . Tyrode de ce t te devons en compter dix mille ou peut-être cent événements se précipitent depuis quelque temps.
enq uête déta i l l ée . mille ! Nous entrevoyons pourtant, dans un ave-

23 -
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UN G RO U PE DE SCIENTIFIQUES DE L'OKLAHOMA ( U .S.A.)
A ETAB LI LE PORTRAIT TYPE D'OCCU PANT DES M. O. C.,
D 'A P R ES LES DETA I LS DE QU ELQUES 300 CAS D 'ATTER R ISSAGES
( Interprétation de M. TALL�)

LU M I È R E S D A N S L A NU I T
I m p r i mé en F r a nce - Le D i recte u r de l a P u b l i c a t i on : R . V E I LL I T H - No d ' i n sc r i p t ion Com m i s s ion pa r i t a i re 3 5 . 3 8 5

I m p r i merie l m p r i l u x , S a i n t- E t i e n ne, Dépôt l éga l 3e t r i m es t re 1 970, N . M .'P.P.

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