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1. ÉQUATIONS POUR LE TRANSFERT DE CHALEUR DANS LES


CHAUDIÈRES

1.1 Equations pour le transfert de chaleur par convection

1.1.1 Convection naturelle sur une plaque verticale et un cylindre vertical1

Les fours des chaudières à tubes de fumée sont, dans la plupart des cas, ronds
et horizontaux ; dans certaines chaudières, ils sont également verticaux. Sur la
base des expériences de différents auteurs, l'équation couvrant l'écoulement
turbulent et laminaire dans la plage Ra=|Gr|.Pr=0.1 jusqu'à 1012 applicable aux
plaques planes verticales a été écrite :
Nu = {0,825 + 0,387[Ra ⋅ f (Pr)]
1
1/ 6 }2

Équation 1

La fonction f1 (Pr) tient compte de l'influence du nombre de Prandtl dans la plage


0,001<Pr<∞ : ⎤-9 / 16
⎡ ⎛ 0.492 ⎞9 / 16
f1 (Pr) = ⎢1+ ⎜ ⎟ ⎥
⎝ Pr ⎠
⎢⎣ ⎥⎦
Équation 2

A
Pour ce que l'on appelle la , la hauteur de la plaque est utilisée. Transfert de
longueur d'entrée l = chaleur
O
calculée par l'équation ci-dessus est valable pour les types d'écoulement
intermédiaires où l'écoulement passe d'un régime laminaire à un régime
turbulent alors que ce dernier n'est pas encore complètement formé. La
précision de l'équation est suffisamment maintenue sur toute la gamme des
nombres de Rayleigh. Elle est également applicable dans les cas où la
température sur la hauteur de la plaque n'est pas uniforme (l'imprécision
acceptable de 4 % devient plus élevée). Pour ce faire, on utilise une température
à 50 % de la hauteur de la plaque. L'équation ci-dessus peut également être
utilisée pour un cylindre vertical de la forme :
h
Nu = Nu pl + 0.97
D
Équation 3

1.1.2 Convection naturelle sur un cylindre horizontal

Dans le cas d'un cylindre horizontal, son diamètre D est utilisé pour calculer la
longueur d'entrée :
π
l = D [m]
2
Équation 4

1 Couvre également la zone où la convection naturelle et la convection


forcée se chevauchent.
Le transfert de chaleur par convection naturelle sur un cylindre horizontal est :
1/ 6 }2
Nu = {0,75 + 0,387[Ra ⋅ f (Pr)]
3

Équation 5

Fonction f 3 (Pr) considère l'influence du nombre de Prandtl sur toute la plage


0<Pr<∞ : ⎤-16 / 9
⎡ ⎛ 0.559 ⎞9 / 16
f3 (Pr) = ⎢1+ ⎜ ⎟ ⎥
Pr
⎢⎣ ⎝ ⎠ ⎥⎦
Équation 6

Les propriétés du matériau et du milieu sont calculées à la température


logarithmique moyenne, tm , comme résultat de la température logarithmique
moyenne du milieu, tf , (voir figure 19) et de la température moyenne de la paroi,
tw :
1
t = (t + ) [°C]
m tw
2 f
Équation 7

1.1.3 Convection forcée sur une plaque plane

1.1.3.1 Écoulement laminaire

Le nombre de Nusselt pour la plaque de longueur l :


Nulam = 0,664 Re3 Pr
Équation 8

Le nombre de Reynolds limite le domaine de validité de l'équation ci-dessus


wl
Re = < 105
υ
Équation 9

ainsi que par les nombres de Prandtl de 0,6 à 2000. Le coefficient 0,664 dans
l'équation ci-dessus augmente avec le nombre de Prandtl et atteint une valeur de
0,703 à Pr=1000 (toutes les propriétés des matériaux sont des moyennes
arithmétiques entre les températures d'entrée et de sortie). La formation d'une
couche limite laminaire est garantie en façonnant correctement les bords de la
plaque. A la distance, xcrit , du bord de la plaque définie par le nombre de
Reynolds critique, la couche limite laminaire devient turbulente :
Rex ,crit = w ⋅ xcrit / υ

Équation 10

Le nombre de Reynolds critique, qui dépend de la dureté de la surface et du


degré de turbulence, est supposé être de 5⋅105 (plus l'écoulement est turbulent,
plus le nombre critique est élevé et vice versa).
2
1.1.3.2 Écoulement turbulent

Dans le cas d'une couche limite turbulente, le nombre de Nusselt moyen dans
les plages 5⋅ 105 <Re<107 et Pr=0,6-2000 est calculé à l'aide de l'équation
suivante (les propriétés des matériaux sont calculées à la température
arithmétique moyenne) :
0,037 Re0.8 Pr
Nuturb =
1+ 2.443Re−0.1 (Pr2/3 -1)
Équation 11

S'il y a un bord en surplomb, il y a une couche limite turbulente devant lui. Dans
ce cas, l'équation suivante est utilisée :
ξ / 8 Re Pr
Nu =
1+12.7 ξ / 8(Pr2/3 -1)
Équation 12

Coefficient moyen de résistance des plaques pour un écoulement turbulent


valable jusqu'à Re=107 :
ξ / 8 = 0,037 Re −0.2
Équation 13

Dans la plupart des cas, en raison des bords émoussés de la plaque et de la


turbulence de l'écoulement, la couche limite laminaire ne se forme pas sur toute
la surface de la plaque. C'est pourquoi on applique la courbe d'équilibre
moyenne, qui tient également compte d'une couche limite turbulente dans la
plage Pr=0,6-2000 et 10<Re<107 :
Nu1,0 = Nu2lam+ Nu2 turb
Équation 14

La direction du flux de chaleur (chauffage ou refroidissement) doit être prise en


compte car la dépendance de la température par rapport aux propriétés
thermiques du matériau a une influence sur le transfert de chaleur dans le cas
d'un flux turbulent. Dans le cas d'un refroidissement du gaz, cette correction n'est
pas nécessaire car le nombre de Prandtl est pratiquement indépendant de la
température.

1.1.4 Convection forcée dans les tubes et les canaux

Pour Re<2300, l'écoulement est toujours laminaire. Il devient turbulent lorsque le


nombre de Reynolds devient supérieur à 2300, mais la turbulence est
entièrement formée beaucoup plus tard (à Re>104 ). Ainsi, dans la plage
2300<Re<104 , l'écoulement est intermédiaire, ce qui signifie que la forme du
bord du tube et le type d'écoulement doivent être pris en compte. Les équations
sont valables pour les cas de températures de surface constantes, d'arêtes vives
sans arrondi et de tubes circulaires (pour d'autres formes de sections
transversales, un diamètre équivalent est utilisé).

3
1.1.4.1 Écoulement laminaire

Pour les gaz et les liquides dans des tubes de longueur l, le nombre de Nusselt
moyen valable dans la plage RePr d/l=0,1 jusqu'à 104 est calculé par l'équation :

Nu0 = ⎢3.65 +
0,19(Re Pr d / l )0.8 ⎥⎤
1+ 0.117(Re Pr d / l )0.467
⎣ ⎦
Équation 15

Pour calculer les propriétés des matériaux, on utilise la température arithmétique


d
moyenne. Dans le cas de tubes de faible longueur ( > 0,1 ), l'équation ci-dessus
est plus courte :
l
d
Nu0 = 0,6443 Re
l
Équation 16

d
Pour le transfert de chaleur à des longueurs d'admission courtes ( > 0,1 ), l'une
des équations ci-dessus
l
est utilisé, ce qui donne le nombre Nu. La direction du flux thermique (chauffage
ou refroidissement) dans le cas du gaz n'a pas d'influence sur le transfert de
chaleur.

1.1.4.2 Écoulement turbulent

Dans le cas d'un écoulement turbulent de liquides, l'équation ci-dessous couvre


également une zone intermédiaire et est valable dans la plage Re=2300-107 :
ξ / 8(Re-1000) Pr ⎡ 2/3
⎛d⎞ ⎤
Nu0 = ⎢⎢1+ ⎥⎥
1+ 12.7 ξ / 8(Pr2/3 -1) ⎣ ⎜⎝l⎟⎠ ⎦
Équation 17

Le facteur de perte de pression est déterminé par :


−2
ξ = (1,82 log
10 Re-1,64)

Équation 18

Dans le cas de tubes courts <1), l'une des équations ci-dessus est utilisée en
d
(0,1<
l
2300<Re<104 , ce qui donne un nombre Nu plus important. Les propriétés des
matériaux sont calculées aux températures arithmétiques moyennes. Dans le cas
d'un flux de gaz, l'exposant entre parenthèses de l'équation 17 est égal à 0, ce
qui signifie que la direction du flux de chaleur n'a pas d'influence sur le transfert
de chaleur.
4
1.1.5 Convection forcée dans une fente annulaire

La figure 1 montre trois cas de transfert de chaleur dans une fente annulaire. Les
tubes sont supposés concentriques et le diamètre équivalent de la fente
annulaire est :
dh = da - di [m]

Équation 19

1.1.5.1 Écoulement laminaire

Dans le cas d'un écoulement laminaire entièrement formé de gaz et de liquides,


le nombre de Nusselt est déterminé par l'équation :
⎡⎢ ⎛ d 0.8 ⎤
⎛ ⎞ 0.19⎝⎜ Re Prh ⎞ Pr ⎥ ⎛⎞ 0.11
l⎟⎠
Nu = ⎢Nu + f ⎜ ⎟
di
⎥⋅⎜ ⎟
⎢ ∞ ⎝ d a⎠ 0.467 ⎝ Prw⎠
⎢ 1 + 0.117⎜⎛Re Pr d⎟ ⎞
h ⎥

⎣ ⎝ l⎠ ⎦
Équation 20

da (tube e x te rio r -
fu rnac e)

di (tube inte rio r)


- c y linder of hig h
te m p . re sista n t
m a te ria l in
fu rnac e)

Figure 1 : Fente en anneau

Les facteurs et ⎛ ⎞ dansetl'équation ci-dessus sont différents pour chaque


Nu f ⎜ di ⎟ cas

da ⎝⎠
pour la longueur d'entrée, l, on utilise la longueur de la fente annulaire. Pour le
transfert de chaleur vers le tube extérieur, comme c'est le cas lorsque le tube
chaud est inséré dans le four de la chaudière, l'expression suivante est utilisée :
-0.8
i⎛ d ⎞
��∞ = 3,66 + 1,2⎜ ⎟
⎝ da ⎠
Équation 21

⎛ di ⎞
f = 1 + 0.14 da
⎜ ⎟ di

ad⎝⎠

Équation 22

5
1.1.5.2 Écoulement turbulent

Pour les écoulements turbulents, les équations modifiées de l'écoulement


turbulent dans les tubes et les canaux sont utilisées :
Nu ⎛ ⎞
= f ⎜ di ⎟
Nu0
d
a ⎝⎠

Équation 23

Transfert de chaleur vers le tube


extérieur : ⎛d⎞
0.16

= 0.86⎜a ⎟
Nu ⎝ di ⎠
Nu0

Équation 24

L'indice 0 dans les équations ci-dessus représente le nombre Nu pour


l'écoulement dans les tubes, obtenu à partir des équations pour l'écoulement
dans les tubes.

Les propriétés des matériaux sont calculées à la température logarithmique


moyenne du liquide de refroidissement (eau de la chaudière), tm , conformément
à la figure 19, en fonction des paires de températures, t1 , (entrée) et t2 , (sortie) :
1
t = (t + t ) [°C]
m
21 2

Équation 25

1.2 Équations pour le transfert de chaleur à l'eau bouillante

Dans les chaudières à vapeur à tubes de fumée, l'équation suivante [3] peut être
utilisée dans une plage de 0 à 100 bars pour le transfert de chaleur à l'eau
bouillante :
α = 3,489 ⋅ q0.7 ⋅ ( p ⋅ 0,98692)0,15 [W/m K2
Équation 26

1.3 Équations pour le transfert de chaleur par rayonnement gazeux

Les gaz sont capables, comme les corps solides, d'absorber et d'émettre de
l'énergie par rayonnement. Les gaz à un ou deux atomes (par exemple l'azote,
l'oxygène et l'hydrogène) rayonnent dans des bandes de longueur d'onde
étroites et sont pratiquement totalement transparents au rayonnement.
Les gaz plus lourds, tels que le dioxyde de carbone, la vapeur d'eau, le dioxyde
de soufre, l'ammoniac et d'autres possèdent une grande capacité d'absorption et
de rayonnement. Le dioxyde de carbone CO2 , la vapeur d'eau H2 O et le dioxyde
de soufre SO2 sont d'une importance primordiale pour la combustion, car ils sont
générés au cours de celle-ci. Le SO2 peut être négligé en raison de sa pression
partielle négligeable dans les gaz de combustion (dans les cas de combustion de
gaz, le SO2 n'est pas généré du tout).

6
Pour H2 O par rapport à CO2 , l'influence de la pression partielle est plus forte
que celle de l'épaisseur de la couche de gaz (longueur moyenne du faisceau).
Le rayonnement total des deux

7
est légèrement inférieure à la somme calculée des deux composants séparément,
en raison du chevauchement partiel des bandes d'émission et d'absorption. Cela
signifie qu'une partie de l'énergie émise par le CO2 est absorbée par le H2 O et
vice versa. Comme ce phénomène n'est perceptible que lorsque l'épaisseur de la
couche de gaz dépasse 4 m, l'erreur de calcul reste comprise entre 2 et 4 %.
Cette erreur est négligeable dans le cas des chaudières à tubes de fumée, car le
diamètre du four des chaudières à tubes de fumée n'a jamais atteint 4 mètres.

Les équations du rayonnement gazeux sont valables lorsque l'épaisseur de la


couche de gaz est égale dans toutes les directions, ce qui n'est pas le cas dans
la pratique. Par conséquent, l'épaisseur équivalente de la couche de gaz, une
longueur moyenne de faisceau, doit être calculée à partir du volume de gaz et de
l'aire des surfaces entourant le gaz [3] :
4V V
s = 0,9 = 3.6 [m]
A A
Équation 27

1.3.1 Rayonnement du dioxyde de carbone

Sur la base d'expériences, Alfred Schack [30] a développé une équation qui
fournit l'énergie rayonnée par le gaz CO2 avec une imprécision de ±4%. Pour un
corps noir dont la température est de 0 K, l'équation est la suivante :

⎧⎪ ⎛ t⎞ ⎛ ⎛ t⎞
qCO = 1,163 ⋅ ⎨K1 ⎜1 +
0,026 ⎟φ⎜18 ps 273 ⎞ + K2 ⎜1 + 0.031
⎟ ⎟⋅
⎜ T ⎠⎟
2
⎪⎩ ⎝ 100 ⎝ ⎝ 100 ⎠




⎢ ⎛ 273 ⎞
⎢1 - 0.6 ⋅e⎜1 - -115 ps T ⎟ - 0.4 ⋅
⎢ ⎜ ⎟⎠ ⎛ ⎞
⎢ 115 ps 273 ⎝ ⎜ 650
T 273 ⎟⎟
⎢ ps⎜140 + - 115
⎢ ⎜ T T ⎟
⎢⎣ ⎝ 1000 ⎠
⎛ ⎛⎞ ps ⎫
⎞⎤ ⎞⎤

⎜ ⎟
-⎜140+ 650 ⎟ ⎟⎥ ⎪
⎜ -115 273 ⎜⎜ T ⎟ ⎟ ⎟⎥
1000 ⎪ 2
⎜ e ps -⎝ e ⎟⎥ + �3φ(32 ps)⎬ [W/m]

⎜ T ⎟⎥ ⎪
⎜ ⎟⎥ ⎪
⎝ ⎠⎦ ⎭⎪
Équation 28

8
Le facteur φ dans l'équation ci-dessus est une abréviation :
1-
φ( x ) = 1 - −x
e
x
Équation 29

L'abréviation ci-dessus prend dans le cas 18ps la forme suivante :


-18 ps 273

φ⎛18 273 ⎞ 1- e T
⎜ ps ⎟ = 1- 273
⎝ T⎠ 18 ps
T
Équation 30

et en 32ps - cas le
formulaire : 1 - e-32 ps
φ(32 ps) = 1
- 32 ps

Équation 31

Les facteurs K1 , K2 et K3 dans l'équation 28 représentent le rayonnement d'une


couche indéfiniment longue de CO2 dans les bandes d'absorption
correspondantes [30, tableau 1], tel que calculé par la loi de rayonnement de
Planck en fonction de la température, T, qui est la TRM dans ce cas.

Comme il n'existe pas de corps noirs de température 0 K dans la nature,


l'équation 28 est transformée pour tenir compte des conditions réelles :
65
q = ε⎡⎢q -⎛⎜T q⎞0.
⎟ ⋅ ⎤⎥ [W/m ]2
CO2 ,T ⎜ T ⎟ CO2 ,Tw
CO2
⎢ ⎥
⎣ ⎝ w⎠ ⎦
Équation 32

L'indice T, dans l'équation ci-dessus, représente le rayonnement du CO2 à la TRM


et l'indice Tw représente le rayonnement du CO2 à la température moyenne de la
paroi.

1.3.2 Rayonnement de la vapeur d'eau

Comme pour le CO2 , l'équation pour le rayonnement de H2 O a été développée


[30]. Sa plage de validité est de ps=0-0,36barm et t=400-1900°C, ce qui est
suffisant pour une application dans les chaudières à tubes de fumée :
⎛ ⎞2.32 +1.373 ps
q = 1,163 ⋅ (40 - 73 ps)( ps)0.6 ⎟ [W/m ]2
T ⎜
H 2O
⎝ 100 ⎠
Équation 33

Pour les températures de gaz supérieures à 650°C, il faut théoriquement appliquer


9
le facteur de correction. Dans des conditions normales, comme c'est le cas pour
les chaudières à tubes de fumée, le coefficient peut être omis sans erreur notable.

1
0
Par analogie avec le cas du CO2 dans des conditions réelles, l'équation ci-dessus
devient :

qH2O =ε (
qH2O,T - qH2O,Tw ) [W/m ]2

Équation 34

L'indice T, dans l'équation ci-dessus, représente le rayonnement de H2 O au MRT,


et l'indice,
Tw, pour le rayonnement de H2 O à la température moyenne de la paroi.

Comme les parois entourant le gaz rayonnant renvoient au gaz une partie de
l'énergie reçue par le rayonnement du gaz, l'émissivité réelle de la surface des
parois est plus élevée. Selon [3], dans une plage d'émissivité de 0,8 à 1,0,
l'approximation suivante est autorisée :
⎛ ε + 1⎞
ε= ⎜ w ⎟
w, réel
⎝ 2 ⎠
Équation 35

Tableau 1 : Rayonnement d'une couche de dioxyde de carbone indéfiniment longue


température K1 (bande 1) K2 (bande K3 (bande 3)
°C (W/m2 ) λmax 2) (W/ m (W/ m )2
=2.7μm )2 λmax =15.9μm
Δλ=0.21μm λmax =4.3μm Δλ=4.6μm
Δλ=0.3μm
200 6 80 280
300 75 279 430
400 225 645 610
500 630 1240 760
600 1440 2040 970
700 2850 3060 1150
800 4800 4210 1350
900 7200 5590 1510
1000 10200 7020 1720
1100 13900 8540 1910
1200 18600 10400 2110
1300 23500 12200 2300
1400 28900 14200 2500
1500 35000 16200 2690
1600 41400 18100 2890
1700 48100 20200 30600
1800 55400 22200 3270
1900 63000 24400 3480
2000 70600 26700 3690
2100 79400 29000 3860
2200 88000 31400 4060

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