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L’AFRIQUE :LA DEGRADATION

DES TERMES DE L’ECHANGE

Membres Du Groupe: Commented [ss1]:

❖ Fogou Windell

❖ Siewe Stephanie

❖ Tagne Elohim

Sous La Supervison : Dr Melachio Andre

MARCH 18, 2023


INSTITUT SAINT JEAN
Table of Contents
INTRODUCTION .................................................................................................................................. 3
I. LES CAUSES DE LA DEGRADATION DES TERMES DE L’ECHANGE EN AFRIQUE....... 3
1. Cas de UDEAC ........................................................................................................................... 3
a. Causes de l’échec de l’UDEAC .................................................................................................. 4
➢ Problème d’organisation ......................................................................................................... 4
➢ Problème lié au coût de la transaction et insécurité ................................................................ 4
➢ Faible diversification .............................................................................................................. 4
2. Cas Général ................................................................................................................................. 4
a. La volatilité des prix des matières premières .......................................................................... 4
b. La concurrence internationale ................................................................................................. 5
c. Les politiques commerciales des pays développés ................................................................. 5
d. Les politiques commerciales internationales défavorables ..................................................... 6
II. LES CONSEQUENCES DE LA DEGRADATION DES TERMES DE L’ECHANGE EN
AFRIQUE ............................................................................................................................................... 6
1. Cas de l’UDEAC......................................................................................................................... 6
2. Cas General ................................................................................................................................. 7
a. Réduction des revenus d'exportation....................................................................................... 7
b. Déséquilibre de la balance commerciale ................................................................................. 7
c. Pauvreté et inégalités .............................................................................................................. 7
d. Instabilité politique et sociale ................................................................................................. 8
e. Réduction de l'investissement ................................................................................................. 8
f. La dépendance aux importations............................................................................................. 8
III. LES SOLUTIONS A LA DEGRADATION DES TERMES DE L’ECHANGE EN AFRIQUE
8
1. La diversification économique ................................................................................................ 8
2. Le renforcement des capacités commerciales ......................................................................... 8
3. La promotion de l'investissement ............................................................................................ 9
4. La coopération régionale ......................................................................................................... 9
5. Le développement des infrastructures..................................................................................... 9
6. La promotion de la recherche et du développemen ................................................................ 9
7. Améliorer la productivité agricole .......................................................................................... 9
8. Mettre en place des politiques commerciales favorables ........................................................ 9
9. Favoriser l'investissement étranger ......................................................................................... 9
10. Encourager les partenariats public-privé ............................................................................. 9
CONCLUSION ..................................................................................................................................... 10
REFERENCES ..................................................................................................................................... 11
INTRODUCTION

Les termes de l'échange désignent la relation commerciale entre les pays producteurs de
matières premières et les pays industriels. En Afrique, la dégradation des termes de l'échange constitue
l'un des principaux obstacles au développement économique et social. Cette dégradation est caractérisée
par une baisse des prix des matières premières exportées par les pays africains, couplée à une
augmentation des prix des produits importés. Ce phénomène a des conséquences dramatiques pour les
économies africaines, qui se trouvent prises dans un cercle vicieux de dépendance aux exportations de
matières premières et de faible industrialisation. Dans notre devoir, nous analyserons les causes de la
dégradation des termes de l'échange en Afrique, ainsi que ses conséquences et les solutions
envisageables.

I. LES CAUSES DE LA DEGRADATION DES TERMES


DE L’ECHANGE EN AFRIQUE

1. Cas de UDEAC

L'Union Douanière des États de l'Afrique Centrale (UDEAC) était une organisation
économique qui regroupait six pays d'Afrique centrale : le Cameroun, la République Centrafricaine, le
Tchad, le Congo, le Gabon et la Guinée équatoriale. Elle a été créée en 1964 dans le but de favoriser la
coopération économique entre les pays membres.
Cependant, malgré ses objectifs initiaux, l'UDEAC a contribué à la dégradation des termes
d'échange en Afrique centrale. Les termes d'échange se réfèrent à la valeur relative des exportations et
des importations d'un pays. Si un pays exporte plus qu'il n'importe, ses termes d'échange s'améliorent,
ce qui signifie qu'il reçoit davantage de devises étrangères pour chaque unité de sa propre monnaie. En
revanche, si un pays importe plus qu'il n'exporte, ses termes d'échange se détériorent, ce qui signifie
qu'il doit payer davantage de devises étrangères pour chaque unité de sa propre monnaie.

L'UDEAC a eu un impact négatif sur les termes d'échange des pays membres, car elle a
encouragé la spécialisation économique de chaque pays dans un secteur particulier, ce qui a entraîné
une forte dépendance aux importations pour les autres secteurs. Par exemple, le Gabon a mis l'accent
sur la production de pétrole, tandis que le Cameroun a mis l'accent sur la production de cacao et de café.
Cette spécialisation a conduit à une forte dépendance aux importations pour d'autres secteurs tels que
l'agriculture, l'industrie manufacturière et les biens de consommation. Cette dépendance accrue aux
importations a entraîné une détérioration des termes d'échange de ces pays, car ils ont dû payer
davantage de devises étrangères pour importer les biens qu'ils ne produisaient pas.
a. Causes de l’échec de l’UDEAC

Au niveau commercial, l’instrument privilégié était la taxation communautaire à un faible taux.


L’objectif visé était de favoriser la circulation des produits industriels au sein de la zone. Une autre taxe
appelée taxe complémentaire avait été mise en place en vue de compenser les pertes de recettes
provoquées par le tarif extérieur commun. Cependant, la politique de l’intégration commerciale mise
en place par les pays membres n’ont pas donné les résultats escomptés.
La taxation communautaire, par exemple, ne s’est pas accompagnée d’une amélioration
conséquente des infrastructures de transports et de communications, ce qui a constitué un frein aux
échanges commerciaux intra-UDEAC. Ces derniers n’ont pas évolué et ont même baissé de plus de la
moitié, passant de 4,8% en 1970 à environ 2,3% en 1990.

➢ Problème d’organisation
Aussi, l’UDEAC était confrontée à plusieurs problèmes fonctionnels et organisationnels,
principalement, la non-application des décisions prises à l’échelon communautaire.

➢ Problème lié au coût de la transaction et insécurité


Le commerce (en particulier des produits agricoles) est confronté à de nombreux obstacles liés
à l’importance des coûts de transaction, « conséquence non seulement de la faiblesse des infrastructures
de communications et de transport, mais aussi de l’insécurité, et parfois de conflits qui provoquent des
détournements de trajet.

➢ Faible diversification
La faible diversification de la production et les liens en amont et en aval entre l'agriculture et
l'industrie ainsi que les mécanismes institutionnels et juridiques peu efficaces pour exécuter des
programmes et projets régionaux et continentaux.

2. Cas Général
La dégradation des termes d'échange en Afrique peut être causée par plusieurs facteurs, notamment :

a. La volatilité des prix des matières premières


Sur les marchés d’échange des matières premières, la volatilité des prix des différents produits
échangés s’explique par une différence entre l’offre et la demande. Ce niveau entre offre et demande
est impacté par plusieurs facteurs qu’il convient de prendre en compte. Du côté de l’offre, on retrouve
plusieurs facteurs :

• Conditions climatiques
• Hausse des coûts
• Situation géopolitique
• Faible niveau des stocks
Au niveau de la demande, elle va varier selon différents critères :
• Hausse de la demande à l’échelle mondiale
• Spéculation

Au quotidien, la valeur des matières premières échangées peut donc varier de manière plus ou
moins importante selon ces différents éléments. Les économies africaines sont souvent dépendantes de
l'exportation de matières premières telles que le pétrole, le gaz, les minéraux et les produits agricoles.
Les fluctuations des prix de ces produits peuvent affecter négativement les termes d'échange de
l'Afrique. De plus, La volatilité des prix des matières premières sur les marchés internationaux peut
avoir des conséquences économiques importantes pour les pays pauvres. Lorsque les prix sont bas, les
revenus des exportations diminuent, ce qui peut entraîner une détérioration de la balance commerciale
et une diminution des recettes fiscales.

b. La concurrence internationale

L'Afrique doit faire face à une forte concurrence de la part d'autres pays en développement et
émergents. Les produits africains doivent faire face à des barrières tarifaires et non-tarifaires élevées
sur les marchés internationaux, ce qui limite leur capacité à obtenir des prix justes. Comme évidence
nous avons :

• La concurrence des producteurs asiatiques : Les pays asiatiques comme la Chine, l'Inde et le
Bangladesh ont développé des industries manufacturières compétitives qui ont réduit la
demande pour les produits manufacturés africains sur le marché international.
• La baisse des prix des matières premières : La demande mondiale pour les matières premières
a augmenté, mais la production a également augmenté, ce qui a entraîné une baisse des prix et
a réduit les revenus d'exportation des pays africains qui dépendent des matières premières pour
leurs exportations.
• Les restrictions commerciales : Les barrières commerciales telles que les droits de douane et
les quotas limitent l'accès des produits africains aux marchés internationaux, ce qui limite les
revenus d'exportation des pays africains.
• Les politiques agricoles des pays développés : Les subventions agricoles des pays développés
peuvent réduire les prix des produits agricoles africains sur les marchés internationaux, ce qui
réduit les revenus d'exportation des pays africains qui dépendent des exportations agricoles.
• La faiblesse des capacités productives et commerciales : Les pays africains peuvent avoir des
capacités productives et commerciales faibles, ce qui limite leur capacité à produire et exporter
des produits compétitifs sur les marchés internationaux.

c. Les politiques commerciales des pays développés

Les politiques commerciales des pays développés peuvent également avoir un impact négatif
sur les termes d'échange de l'Afrique. Les subventions agricoles, les barrières tarifaires et non tarifaires,
et les mesures de protection commerciale peuvent limiter l'accès des produits africains aux marchés
internationaux.
d. Les politiques commerciales internationales défavorables
Les politiques commerciales internationales peuvent avoir un impact significatif sur les termes
de l'échange en Afrique. Par exemple, les subventions agricoles dans les pays développés peuvent
rendre les produits agricoles africains moins compétitifs sur le marché international. Comme évidences
nous avons :

• Les accords de libre-échange asymétriques : Les accords de libre-échange qui sont souvent
négociés entre les pays riches et les pays pauvres ont souvent été critiqués pour être
asymétriques, ce qui signifie que les pays riches bénéficient davantage des avantages
commerciaux que les pays pauvres. Ces accords peuvent également entraîner une libéralisation
rapide des marchés, ce qui peut rendre difficile pour les producteurs locaux de faire face à la
concurrence étrangère.
• Les subventions agricoles : Les subventions agricoles accordées par les pays riches à leurs
propres agriculteurs ont souvent été critiquées pour fausser la concurrence internationale en
faveur des agriculteurs des pays riches et contre les agriculteurs des pays pauvres. Les
agriculteurs des pays pauvres se retrouvent souvent incapables de rivaliser avec les agriculteurs
des pays riches qui bénéficient de subventions importantes pour leurs produits agricoles.
• Les barrières non tarifaires : Les barrières non tarifaires, telles que les normes sanitaires et
phytosanitaires, les mesures de sauvegarde et les barrières techniques au commerce, peuvent
également être utilisées pour limiter l'accès des produits des pays pauvres aux marchés des pays
riches. Les coûts liés à la conformité aux normes élevées peuvent rendre difficile pour les pays
pauvres de commercialiser leurs produits sur les marchés des pays riches.

II. LES CONSEQUENCES DE LA DEGRADATION DES


TERMES DE L’ECHANGE EN AFRIQUE

1. Cas de l’UDEAC

Les conséquences de l'UDEAC ont été diverses et ont eu un impact significatif sur les pays membres.
Comme conséquence nous pouvons citer :

• La détérioration des termes d'échange : Comme mentionné précédemment, l'UDEAC a


encouragé la spécialisation économique de chaque pays membre dans un secteur particulier, ce
qui a entraîné une forte dépendance aux importations pour les autres secteurs. Cela a conduit à
une détérioration des termes d'échange de ces pays, car ils ont dû payer davantage de devises
étrangères pour importer les biens qu'ils ne produisaient pas.

• La dépendance économique : L'UDEAC a également créé une forte dépendance économique


entre les pays membres. Les pays qui étaient spécialisés dans la production de matières
premières ont été particulièrement touchés, car ils ont été exposés aux fluctuations des prix
mondiaux de ces matières premières. En outre, la concurrence accrue entre les pays membres a
souvent conduit à une situation où un seul pays était en mesure de fournir un produit, ce qui a
créé une dépendance accrue à l'égard de ce pays.

• Les inégalités économiques : Les avantages économiques de l'UDEAC n'ont pas été répartis
équitablement entre les pays membres. Les pays qui étaient déjà économiquement forts ont
souvent bénéficié davantage de la coopération économique, tandis que les pays plus faibles ont
été relégués à des rôles de fournisseurs de matières premières. Cela a contribué à des inégalités
économiques importantes entre les pays membres de l'UDEAC.

• Les problèmes de gouvernance : Les pays membres de l'UDEAC ont souvent été confrontés à
des problèmes de gouvernance, tels que la corruption, le népotisme et l'autoritarisme. Ces
problèmes ont souvent entravé le développement économique des pays membres et ont
contribué à la détérioration des termes d'échange.
En résumé, l'UDEAC a eu des conséquences importantes sur les pays membres, notamment la
détérioration des termes d'échange, la dépendance économique, les inégalités économiques et les
problèmes de gouvernance.

2. Cas General:

La dégradation des termes de l'échange peut avoir de graves conséquences sur l'économie et le bien-
être des populations en Afrique, notamment :

a. Réduction des revenus d'exportation :


La dégradation des termes de l'échange peut réduire les revenus d'exportation des pays africains, ce
qui peut affecter leur balance commerciale et leur capacité à importer des biens essentiels.

b. Déséquilibre de la balance commerciale :


La baisse des prix des exportations africaines par rapport aux importations peut
conduire à un déséquilibre de la balance commerciale, avec des conséquences négatives sur la dette
extérieure et la capacité à investir dans les infrastructures et les services sociaux.

c. Pauvreté et inégalités :
La réduction des revenus d'exportation peut aggraver la pauvreté en Afrique. Les
pays africains qui dépendent fortement des exportations de matières premières pour générer des revenus
d'exportation peuvent connaître une forte réduction des revenus en cas de baisse des prix des matières
premières. Cette réduction peut entraîner une baisse de la croissance économique, une augmentation du
chômage et une diminution des investissements dans les services publics. Les populations les plus
vulnérables, comme les travailleurs agricoles et les petits producteurs, sont souvent les plus touchées
par cette situation. La dégradation des termes de l'échange peut également contribuer à accroître les
inégalités en Afrique. Les pays africains qui sont fortement tributaires des exportations de matières
premières sont souvent caractérisés par des inégalités importantes dans la distribution des revenus. La
baisse des revenus d'exportation peut aggraver ces inégalités en réduisant les revenus des travailleurs et
en augmentant les bénéfices des entreprises étrangères qui contrôlent souvent l'exploitation des
ressources naturelles. De plus, Les pays africains qui sont tributaires des exportations de matières
premières sont également plus vulnérables aux fluctuations des prix sur les marchés internationaux. Les
chocs économiques, comme la baisse des prix des matières premières, peuvent entraîner des
perturbations économiques importantes et accroître la vulnérabilité des populations les plus pauvres.

d. Instabilité politique et sociale :


La dégradation des termes de l'échange peut également aggraver l'instabilité politique et sociale en
Afrique, en créant des tensions et des conflits autour de la répartition des ressources et des richesses.

e. Réduction de l'investissement :
La baisse des revenus d'exportation peut réduire l'investissement et le développement économique en
Afrique, avec des conséquences négatives sur la création d'emplois et l'amélioration du niveau de vie.

f. La dépendance aux importations :


Les pays africains peuvent être contraints d'importer davantage de biens de
consommation et d'équipements pour maintenir leur niveau de vie, en raison de la réduction de leurs
revenus d'exportation. Cela peut accroître leur dépendance aux importations et limiter leur capacité à
développer des industries locales.

En somme, la dégradation des termes de l'échange en Afrique peut entraver le développement


économique et social, affectant négativement les conditions de vie des populations et leur capacité à
participer à l'économie mondiale.

III. LES SOLUTIONS A LA DEGRADATION DES


TERMES DE L’ECHANGE EN AFRIQUE

1. La diversification économique :
Les pays africains doivent diversifier leur économie et réduire leur dépendance aux exportations de
matières premières en développant des industries manufacturières, des services et des secteurs de
haute technologie.

2. Le renforcement des capacités commerciales :


Les pays africains doivent renforcer leurs capacités commerciales en améliorant la qualité de leurs
produits, en réduisant les coûts de production, en renforçant leurs capacités de négociation
commerciale et en éliminant les barrières commerciales internes.
3. La promotion de l'investissement :
Les pays africains doivent créer un environnement favorable à l'investissement en améliorant la
gouvernance, en réduisant la bureaucratie, en offrant des incitations fiscales et en améliorant l'accès
aux financements.

4. La coopération régionale :
Les pays africains peuvent travailler ensemble pour renforcer leur position sur les marchés mondiaux
et augmenter leur pouvoir de négociation. Les accords commerciaux régionaux peuvent également
contribuer à faciliter les échanges commerciaux entre les pays africains.

5. Le développement des infrastructures :


Les pays africains doivent investir dans des infrastructures telles que les routes, les ports, les aéroports
et les réseaux de communication pour faciliter les échanges commerciaux et réduire les coûts de
production.

6. La promotion de la recherche et du développement :


Les pays africains doivent promouvoir la recherche et le développement pour améliorer la qualité de
leurs produits, développer de nouvelles industries et stimuler l'innovation.

7. Améliorer la productivité agricole :


L'amélioration de la productivité agricole peut aider les pays africains à augmenter leur production et
leurs exportations agricoles.

8. Mettre en place des politiques commerciales favorables :


Les pays africains devraient mettre en place des politiques commerciales favorables pour stimuler leurs
exportations et réduire les barrières commerciales.

9. Favoriser l'investissement étranger


Les pays africains devraient favoriser l'investissement étranger en créant un environnement favorable à
l'investissement, en offrant des incitations fiscales et en réduisant la bureaucratie.

10. Encourager les partenariats public-privé :


Les partenariats public-privé peuvent aider à mobiliser des ressources financières et techniques pour
stimuler la croissance économique et l'investissement.
CONCLUSION

En conclusion, la dégradation des termes de l'échange en Afrique est un enjeu économique et


social majeur, qui impacte négativement la croissance, l'emploi et la stabilité politique de la région. Les
gouvernements africains doivent prendre des mesures concrètes pour diversifier leurs économies,
développer des industries locales, promouvoir les échanges commerciaux régionaux et intra-africains,
et favoriser l'investissement dans les infrastructures. Les pays développés ont également un rôle à jouer
en levant les barrières commerciales et en soutenant le développement économique de l'Afrique. Il est
urgent d'agir pour inverser la tendance à la dégradation des termes de l'échange, et pour permettre à
l'Afrique de réaliser son potentiel économique et de répondre aux aspirations de ses populations
REFERENCES
"L'intégration économique en Afrique centrale : l'exemple de l'UDEAC" par Arnaud Bourgain, publié
dans la revue Afrique Contemporaine : https://www.cairn.info/revue-afrique-contemporaine-2012-1-
page-129.htm
"L'UDEAC : une expérience d'intégration régionale en Afrique centrale" par Jean-Marc Siroën, publié
dans la revue Tiers Monde : https://www.cairn.info/revue-tiers-monde-1987-1-page-63.htm
"L'UDEAC, une intégration régionale en panne" par Jacques Tshibanda, publié sur le site Africultures
: https://africultures.com/ludeac-une-integration-regionale-en-panne/
"Economic Integration in Central Africa: The Case of the UDEAC" par Andrew K. Rose, publié dans
le Journal of African Economies : https://academic.oup.com/jae/article/2/2/207/600663
"Commerce international et développement - les pays les plus pauvres sont-ils les plus exposés ?"
(OCDE) : https://www.oecd.org/fr/dev/commerce-international-et-developpement-les-pays-les-plus-
pauvres-sont-ils-les-plus-exposes.html
"Accords de libre-échange et développement : un bilan mitigé pour l'Afrique" (Banque Africaine de
Développement) : https://www.afdb.org/fr/news-and-events/accords-de-libre-echange-et-
developpement-un-bilan-mitige-pour-lafrique-28391
"La réduction des revenus d'exportation de l'Afrique subsaharienne : causes et conséquences" (Banque
Mondiale) : https://www.banquemondiale.org/fr/news/feature/2016/06/29/declining-export-revenues-
in-sub-saharan-africa-causes-and-consequences
"The Economic Implications of Declining Terms of Trade for African Countries" (FMI):
https://www.imf.org/en/Publications/WP/Issues/2016/12/31/The-Economic-Implications-of-
Declining-Terms-of-Trade-for-African-Countries-44401
"Africa's Export Revenue Growth is Slowing, and its Commodity Dependence Isn't Helping"
(Brookings Institution) : https://www.brookings.edu/blog/africa-in-focus/2018/05/24/africas-export-
revenue-growth-is-slowing-and-its-commodity-dependence-isnt-helping/
"La dégradation des termes de l'échange et les inégalités en Afrique" (OCDE) :
https://www.oecd.org/fr/dev/la-degradation-des-termes-de-l-echange-et-les-inegalites-en-afrique-
9789264273862-fr.htm
"L'impact de la chute des prix des matières premières sur la pauvreté en Afrique" (Banque Mondiale)
: https://blogs.worldbank.org/fr/africacan/limpact-de-la-chute-des-prix-des-matieres-premieres-sur-la-
pauvrete-en-afrique
"The Socioeconomic Impacts of Falling Commodity Prices in Sub-Saharan Africa" (FMI):
https://www.imf.org/en/Publications/WP/Issues/2017/06/16/The-Socioeconomic-Impacts-of-Falling-
Commodity-Prices-in-Sub-Saharan-Africa-44991

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