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ANNEE 2023
Avec l’appui du
PADES
INTERDIT A LA VENTE
Auteurs ........................................................................................................................................................................... 4
EXERCICES .................................................................................................................................................................... 5
PROBABILITES ................................................................................................................................................ 6
STATISTIQUE ................................................................................................................................................ 10
NOMBRES COMPLEXES ET TRANSFORMATIONS ......................................................................................... 17
CALCUL INTEGRAL........................................................................................................................................ 21
SUITES NUMERIQUES .................................................................................................................................. 22
EQUATIONS DIFFERENTIELLES ..................................................................................................................... 24
PROBLEMES DE SYNTHESES......................................................................................................................... 26
INDICATION DE CORRECTION ........................................................................................................................... 28
Responsables Lycées de
Issa Pouye Yène
Ousmane Sarr Kounoune
Adiouma Dione Bambilor
Bocar Gueye Diamniadio
Ismaila Mbodji Tivaouane Peulh
Mamadou Lamine Diallo Sangalkam
Sous la supervision de
Mouhamadou Charles WADE
Formateur au CRFPE de Dakar
Exercice 1
Une boîte contient 200 jetons indiscernables au toucher : 140 jetons sont rouges ; 75 jetons
portent le chiffre 1 et parmi eux 40 sont rouges.
1) Faire un tableau pour schématiser cet exemple.
2) On prend un jeton au hasard dans cette boîte. Traduire en pourcentage, la probabilité
pour que :
le jeton ne soit pas rouge et ne porte pas le numéro 1.
le jeton soit rouge ou porte le numéro 1.
On prend un jeton rouge au hasard dans cette boîte.
Traduire en pourcentage, la probabilité pour que le jeton porte le numéro 1.
Exercice 2
Dans chacun des énoncés, une seule des quatre réponses est exacte.
Relever la bonne réponse :
1° On choisit successivement sans répétition deux élèves dans une classe de 12 garçons et de
13 filles ? Quelle est la probabilité que l’un soit un garçon et l’autre une fille ?
1 1 12 13 12 13 12 13 12 13
× 13 × 25 × 25 ×2 × 24 + 24 × 25
12 25 25 25
2° Si A et B sont deux événements contraires alors.
p(A) + p(B)=0 p(A) + p(B)=1 p(A) – p(B)=0 p(A) – p(B)=1
3° On jette 3 fois de suite une pièce de monnaie non truquée. Si pile sort le joueur gagne
100F sinon il perd 50F. Les gains algébriques possibles sont :
300 ;150 ;0 ;−50 300 ; 300 ;150 ;0 ;−100 300 ;0 ;−50 ;−150
150 ;
0 ; −150
4° Pour tous événements A et B de probabilités non nulles on a :
P(A)=P(A∩ P(A)=P(A∩ P(A)=P(A∩ P(A)=P(A∪
𝐵)xP(A∩ 𝐵̅ ) 𝐵)+P(A∩ 𝐵̅ ) 𝐵)xP(𝐵̅ ) 𝐵)+P(A∪ 𝐵̅ )
5° Soit X une variable aléatoire qui suit une loi binomiale B(10 ; 0,2)
V(X)=0,8 V(X)=10 V(X) = 1,6 V(X) = 2
6° Soit X une variable aléatoire qui suit une loi binomiale si E(X)=2 et V(X)=1, alors
1 1 1 1
P(X=0)=4 P(X=0)= 2 P(X=0)=8 P(X=0)=16
7° La loi de probabilité d’une variable aléatoire est définie par p(X=1)=0,1 ; p(X=2)=p2
et p(X=3)=0,41. Alors p a pour valeur
0,7 0,4 0,49 0,33
8° On lance trois fois de suite une pièce de monnaie. Soit la variable aléatoire X égale au
nombre de fois où pile apparait sur ces trois.
X prend les valeurs :
1;2;3 0;1; 2 0;1;2;3 1;2;3;4
9° La loi de probabilité d’une variable aléatoire X est la suivante :
Exercice 3
On joue avec un dé truqué à six faces. La probabilité d’obtenir une face est proportionnelle
𝑝 𝑝3 𝑝4 𝑝5 𝑝6
au numéro qu’elle porte : p1= 22 = = = = où pi est la probabilité de la face i .
3 4 5 6
1° Exprimer p2 ; p3 ; p4 ; p5 et p6 en fonction de p1
2°Calculer p1. En déduire p2 ; p3 ; p4 ; p5 et p6
Exercice 4
Exercice 6 :
Une variable aléatoire Y prend les valeurs 3 ,4 ,5 et 6.
1° Déterminer la loi de probabilité de Y sachant que :
1 1
p(Y>5)= 2 ; p(Y<5)= 3 ; p(Y=3)= p(Y= 4).
2° Calculer l’espérance mathématique E(Y) et l’écart type 𝜎 (Y) .
Exercice 7
Soit X une variable aléatoire dont sa fonction de répartition F est donnée par le graphe
ci-contre :
1°Déterminer la loi de probabilité de X.
2° Calculer p(X≥ 0) .
3°Calculer E(X) ainsi que 𝜎 (X).
Exercice 8
On jette 3 fois un dé cubique dont les faces sont numérotées de 1 à 6. On note 𝑎 ; 𝑏 𝑒𝑡 𝑐 les
numéros obtenus. Soit 𝑄(𝑥) = 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐
Déterminer la probabilité de chacun des événements ci-dessous :
A : « 𝑄(𝑥) admet une racine double ».
B : « 𝑄(𝑥) admet deux racines réelles distinctes ».
C : « 𝑄(𝑥) admet aucune racine réelle ».
Exercice 9
Un trousseau contient 5 clés indiscernables au toucher numérotées ; 1, 1, 1 ,−1, −1.
On extrait au hasard et successivement sans remise deux clés du trousseau et on désigne par
α le numéro de la 1e clé extraite et par β le numéro de la seconde.
On considère dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗) les droites (D) : x+αy+β=0
et (D’ ) : x+βy−β=0.
Calculer la probabilité de chacun des événements ci-dessous :
E : « (D) est parallèle à( D’) »
F : « (D) est perpendiculaire à( D’) »
Exercice 10
Exercice 2
Calculer la moyenne 𝑥, la variance V(𝑥) et l’écart-type 𝜎(𝑥) de la série simple à une variable 𝑥
ci-dessous:
Modalités 𝒙𝒊 1 3 5 7
Effectifs 𝒏𝒊 14 5 1 10
Exercice 3
Calculer la moyenne 𝑥, la variance V(𝑥) et l’écart-type 𝜎(𝑥) de la série classée ci-dessous :
Classes [20; 30[ [30; 40[ [40; 50[ [50; 60[
Effectifs 9 12 5 2
Exercice 4
Pour chacune des deux séries statistiques à deux variables (𝑥, 𝑦) appelées aussi séries
statistiques doubles :
1- Représenter le nuage de points dans un repère orthogonal.
2- La forme du nuage suggère-t-elle un ajustement linéaire ?
Série 1
5 1 2 3 4 4
𝑥𝑖 0 00 50 00 00 50
𝑦𝑗 4 6 5 1 9 1
0 1
Série 2
𝑦𝑗 3 4 7 1
𝑥𝑖 0
5 0 4 1 2
10 6 1 2 3
25 0 0 4 1
Exercice 5
Soit (𝑥𝑖 , 𝑦𝑗 ) une série statistique double d’effectif total 𝑁.
𝑥𝑖 𝑥1 𝑥2 … 𝑥𝑁
𝑦𝑗 𝑦1 𝑦2 … 𝑦𝑁
Recopier et compléter chacune des formules ci-dessous :
1 1
1. 𝑥 = 𝑁 ⋯ 𝑦 = 𝑁 ⋯
1 …
3. cov(𝑥, 𝑦) = 𝑁 ∑ 𝑥𝑖 𝑦𝑗 − ⋯ × ⋯ le coefficient de corrélation 𝑟 = …×….
Exercice 6
Soit (𝑥𝑖 , 𝑦𝑗 , 𝑛𝑖𝑗 ) une série statistique double (𝑥, 𝑦) d’effectif total 𝑁 avec 1 ≤ 𝑖 ≤ 𝑝 et
1 ≤ 𝑗 ≤ 𝑞. Les données sont consignées dans le tableau suivant:
𝑥𝑖 𝑥𝑝 𝑛• 𝑗
𝑦𝑗 𝑥1 𝑥2 … 𝑥𝑖 …
𝑦1
𝑦2
…
𝑦𝑗 𝑛𝑖𝑗
…
𝑦𝑞
𝑛𝑖 • N
Exercice 7
Soit (𝑥, 𝑦) une série statistique double. On note D 𝑦/𝑥 et D 𝑥/𝑦 les droites de régression
respectives de 𝑦 en 𝑥 et de 𝑥 en 𝑦.
Recopier et compléter chacun des énoncés ci-dessous :
1. D 𝑦/𝑥 a pour équation …
2. D 𝑥/𝑦 a pour équation …
3. Le produit des coefficients directeurs de D 𝑦/𝑥 et D 𝑥/𝑦 est égal à …
4. (𝑥 , 𝑦) est solution du système d’équations: …
5. Si 0,87 ≤ |𝑟| ≤ 1 alors la corrélation linéaire entre les deux variables x et y est
7 15 15 15 7 10 15 7 10 7 15 7
𝑥𝑖
𝑦𝑗 4 4 6 10 8 10 4 4 6 4 6 6
𝑦𝑖 4 6 8 10
𝑥𝑗
7 3 1 1 0
10 0 1 0 1
15 2 2 0 1
Exercice 9
On considère la série double (X, Y) suivante.
𝑥𝑖
1 4 5 6
𝑦𝑗
2 4 2 1 12
8 1 0 6 3
10 10 5 9 4
Exercice 10
On considère la série double (𝑥𝑖 , 𝑦𝑗 , 𝑛𝑖𝑗 ) définie par le tableau ci-dessous :
𝑥𝑗 𝑥1 𝑥2 𝑥3 𝑥4
𝑦𝑖
𝑦1 3 1 4 0
𝑦2 3 2 5 2
𝑦3 2 1 2 5
1. Quel est l’effectif total de la série ?
2. Quel est l’effectif partiel 𝑛32 du couple ( 𝑥3 ; 𝑦2 ) ?
3. Déterminer l’effectif marginal 𝑛• 2 de 𝑦2 .
4. Déterminer l’effectif marginal 𝑛3 • de 𝑥3 .
5. Déterminer la fréquence du couple ( 𝑥3 ; 𝑦2 ).
6. Déterminer la fréquence conditionnelle de 𝑥3 sachant 𝑦2 .
7. Déterminer les fréquences marginales de 𝑥3 et de 𝑦2 .
Série 2
𝑥𝑗 3 5 6
𝑦𝑖
2 5 2 1
4 0 1 3
Exercice 12
Répondre par vrai (V) ou faux (F) à chacune des affirmations ci-dessous.
1. Dans une série statistique double (X,Y) le point moyen G est le point d’intersection des
droites deux droites de régression Y en X et X en Y.
2. La covariance est positive.
3. Le coefficient de corrélation est positif .
4. Dans une série statistique double (X,Y), la droite de régression de X en Y a pour équation:
cov(X,Y)
𝑥 − 𝑥 = 𝑎(𝑦 − 𝑦) où 𝑎 = .
V(𝑋)
5. Dans une série double (X,Y), le coefficient de corrélation linéaire 𝑟 = 𝑎𝑎′ où 𝑎 et 𝑎′ sont
les coefficients directeurs respectifs des droites de régression de Y en X et de X en Y.
6. Les équations des droites de régression permettent de trouver par extrapolation à partir
d’une valeur de 𝑥 fixée, la valeur de 𝑦 estimée et inversement.
7. Lorsque les points du nuage d’une série statistique double semblent suivre une direction;
on peut procéder à un ajustement linéaire.
Exercice 13
On considère la série double suivante.
𝑥𝑖 𝑥1 𝑥2
𝑦𝑗
𝑦1 440 360
𝑦2 110 90
Exercice 15
On considère la série double suivante.
x [0, 3[ [3, 5[ [5 , 6[
y
[1 , 2] 2 2 0
[3, 4] 1 3 5
[5, 7] 10 5 8
1. Déterminer la distribution conditionnelle de 𝑥 sachant que 𝑦 est compris entre 3 et 4.
2. En déduire la moyenne, la variance et l’écart-type de cette série conditionnelle.
Exercice 16
Le tableau ci-dessous donne le poids moyen (y) d’un enfant en fonction de son âge (x).
x 0 1 2 4 7 11
(années)
y (kg) 3,5 6,5 9,5 14 21 32,5
1. Représenter le nuage de points de cette série statistique dans le plan muni du repère
orthogonal.
Unité graphique : en abscisse 1cm pour 1 année et en ordonnée 1cm pour 2 kg.
2. Calculer :
(a) les moyennes 𝑥 et 𝑦. Placer le point moyen G.
(b) les variances 𝑉(𝑥) et 𝑉(𝑦).
(c) les écart-types 𝜎(𝑥) et 𝜎(𝑦).
𝑥𝑖 1 3 5 7
𝑦𝑗
1 3 1 3 2
2 0 2 1 3
4 1 2 0 3
𝑥𝑖 1 3 5 7
𝑛𝑖 •
𝑦𝑗 1 2 4
𝑛• 𝑗
2. Calculer la moyenne, la variance et l’écart-type de chaque série.
3. Calculer cov(𝑥, 𝑦) de la série double (𝑥, 𝑦).
4. En déduire le coefficient de corrélation 𝑟.
Exercice 18
Le tableau suivant donne la production d’arachide d’une certaine région depuis l’année 2000 .
Les années ont été numérotées 𝑥𝑖 et la production exprimée en centaine de tonnes, est notées 𝑦𝑖 .
𝑋 (mois) 1 2 3 4 5
𝑃 ( mg) 7 13 15 47 88
1. Représenter le nuage de point associé à cette série (𝑋, 𝑃) . La forme du nuage suggère-t-
elle un ajustement linéaire ?
2. On pose 𝑌 = ln𝑃 où ln désigne le logarithme népérien.
3. Calculer les différentes valeurs prises par 𝑌 à 10−2 près .
4. Tracer le nuage de points représentant la série statistique (𝑋, 𝑌) dans un
système d’axes orthonormés (unité 2 cm) .
5. Déterminer le coefficient de corrélation linéaire entre 𝑋 et 𝑌 . Conclure.
6. Déterminer une équation de la droite de régression de 𝑌 en 𝑋 .
7. Si l’évolution se poursuit dans les mêmes conditions, quel sera le poids de la
larve au bout de six mois ?
8. Dans combien de mois environ le poids de la larve serait-il égal à 100 ?
Exercice 20
Une étude a été faite sur la quantité d’huile 𝑥 en litres consommée par famille saint-
louisienne et par mois , en fonction de l’effectif 𝑦 de ces familles. Les résultats sont les
suivants.
EXERCICE 1
Le plan complexe est muni du repère orthonormé (𝑂, 𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗) direct.
Posons 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 où 𝑥 et 𝑦 sont des réels.
1. Sous quelle forme est écrit 𝑧 ? Quelle est sa partie réelle ? Quelle est sa partie imaginaire ?
2. Exprimer le module de 𝑧 en fonction de x et y.
3. Soit 𝛼 un argument de 𝑧 pour 𝑧 ∈ ℂ∗ . Déterminer le cosinus et le sinus de 𝛼 en fonction de
𝑧.
4. Soit 𝑀(𝑧) un point du plan complexe et 𝑀′(𝑧′) l’image de 𝑀 par la rotation de centre 𝑂 et
d’angle 𝜃. Exprimer 𝑧′ en fonction de 𝑧 et 𝜃.
EXERCICE 2
Le plan complexe est muni du repère orthonormé (𝑂, 𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗) direct.
A et B sont deux points du plan d’affixes respectives 𝑧𝐴 et 𝑧𝐵 .
On considère 𝑀(𝑧) et 𝑀′ (𝑧 ′ ) deux points du plan distincts de A et B .
Interpréter géométriquement les résultats ci-dessous :
a) |𝑧 − 𝑧𝐴 | = 1 ; c) |𝑧′| = |𝑧𝐴 − 𝑧𝐵 |
𝑧−𝑧 𝑧 ′ −𝑧
b) |𝑧 − 𝑧𝐴 | = |𝑧 − 𝑧𝐵 | ; d) arg (𝑧−𝑧𝐴 ) = arg (𝑧 ′ −𝑧𝐴 ) [2𝜋]
𝐵 𝐵
EXERCICE 3
1. Mettre sous forme algébrique les nombres complexes ci-dessous :
1 𝑖−3
𝑧2 = (1 − 𝑖√3 )(2 + 𝑖) ; 𝑧2 = 2−𝑖√3 ; 𝑧3 = −1−2𝑖 ;
𝑧+1−𝑖
𝑧4 = (𝑧 + 2)(2𝑧 − 𝑖) et 𝑧5 = (On posera 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 pour 𝑧3 et 𝑧4 )
𝑧−2
1 √3
2. On pose 𝑧 = 2 − 𝑖 et 𝑍 = 𝑧 2002
2
a. Ecrire 𝑍 sous forme exponentielle
b. En déduire sa forme algébrique
EXERCICE 4
𝑧
Soit 𝑧1 = √3 − 𝑖 ; 𝑧2 = 1 − 𝑖 et 𝑍 = 𝑧1
2
1. Ecrire 𝑧1 , 𝑧2 et 𝑍 sous forme trigonométrique
2. Ecrire 𝑍 sous forme algébrique
𝜋 𝜋
3. En déduire les valeurs exactes de 𝑐𝑜𝑠 12 et 𝑠𝑖𝑛 12
EXERCICE 5
1. Résoudre dans ℂ les équations ci-dessous
a. 𝑧 2 + 𝑧 + 1 = 0
b. 𝑖𝑧 2 − 𝑖𝑧 − 3 − 𝑖 = 0
c. 𝑖𝑧 2 − 2𝑧 + 2 − 𝑖 = 0
z−2
2. Résoudre dans ℂ l’équation z−1 =z
Donner les solutions sous forme algébrique puis sous forme trigonométrique.
𝑧−2
3. Résoudre dans ℂ l’équation 𝑧−1 = 𝑖.
Donner les solutions sous la forme algébrique.
EXERCICE 7
𝑧+3
Pour tout nombre complexe 𝑧 ≠ 𝑖, on définit 𝑍 = .
𝑧−𝑖
On pose 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑍 = 𝑋 + 𝑖𝑌 avec 𝑥, 𝑦, 𝑋 et 𝑌 des réels.
1. Exprimer 𝑋 et 𝑌 en fonction de 𝑥 et 𝑦
2. Déterminer l’ensemble (𝐸) des points 𝑀(𝑧) tels que 𝑍 ∈ ℝ
3. Déterminer l’ensemble (𝐹) des points 𝑀(𝑧) tels que 𝑍 soit imaginaire pur.
EXERCICE 8
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (𝑂, 𝑢
⃗⃗, 𝑣⃗). Soient 𝑧 et 𝑈 tels que
𝑧+1−𝑖
𝑧 ≠ −3 et 𝑈 = .
𝑧+3
On désigne par 𝐴, 𝐵 et 𝑀 les points d’affixes respectives −3; −1 + 𝑖 et 𝑧
1. Interpréter géométriquement le module et un argument de chacun des nombres
complexes : 𝑧 + 1 − 𝑖 ; 𝑧 + 3 et 𝑈
2. Déterminer et construire l’ensemble :
a. (𝐸1 ) des points 𝑀 tels que |𝑈| = 1
b. (𝐸2 ) des points 𝑀 tels que |𝑈| = 2
c. (𝐸3 ) des points 𝑀 tels que 𝑈 soit un réel négatif
d. (𝐸4 ) des points 𝑀 tels que 𝑈 soit imaginaire pur.
EXERCICE 9
Soit 𝑓 la transformation du plan, qui à tout point 𝑀(𝑧) du plan associe 𝑀′(𝑧′) tel que,
𝑧 ′ = (1 + 𝑖)𝑧 − 2 + 2𝑖
1. Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de 𝑓
2. Déterminer une écriture analytique de 𝑓
3. Déterminer une équation de (𝐷′ ) image de la droite (𝐷) ∶ 𝑦 = 𝑥 + 3 par 𝑓
4. Déterminer une équation de (𝐶 ′ ) image du cercle (𝐶) de centre 𝐼 d’affixe 𝑧𝐼 = 𝑖 et de rayon
2√2
EXERCICE 11
Partie A
1. On donne le polynôme complexe P(z)=𝑧 3 − 12(√3 + 𝑖)𝑧 2 + 96(1 + 𝑖√3)𝑧 − 1024𝑖
a. Montrer que P(z) admet une racine imaginaire pure 𝑧0 que l'on déterminera
b. Déterminer les autres racines de P(z) sous forme algébrique puis sous forme
trigonométrique.
2. Le plan complexe est muni d'un repère orthonormé (𝑂, 𝑢 ⃗⃗; 𝑣⃗)
a. Placer les points A, B, C et D d'affixes respectives 𝑧𝐴 = 2𝑖 ; 𝑧𝐵 = √3 + 𝑖 ; 𝑧𝐶 = 2√3 +
2𝑖 et 𝑧𝐷 = 3√3 − 𝑖 dans le repère que l'on complètera tout au long de l'exercice.
𝑍 −𝑍
b. Calculer le module et un argument de 𝑍𝐴−𝑍𝐵
𝐶 𝐵
c. En déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶
d. Montrer que les droites (𝐴𝐶) et (𝐵𝐷) sont perpendiculaires
e. En déduire la nature exacte du quadrilatère 𝐴𝐵𝐷𝐶
Partie B
𝑧−√3+𝑖
On donne 𝑀 le point d'affixe 𝑧 et le nombre complexe 𝑍 défini par : 𝑍 = 𝑧−2𝑖
1. On pose 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑍 = 𝑋 + 𝑖𝑌
a. Exprimer X et Y en fonction de x et y
b. Déterminer et construire l'ensemble (ℰ) des points M du plan tels que Z soit réel
c. Déterminer et construire l'ensemble (ℱ) des points M du plan tels que Z soit imaginaire.
2.a. Interpréter géométriquement le module et un argument de Z.
b. Retrouver les résultats des questions 1.b) et 1.c)
c. Déterminer et construire l'ensemble (ℋ) des points M du plan tels que |Z|=1
6 e−x e−x 2
0 e − x + 1 (1 + e − x ) 2 )dx ; 0 cos2 x sin 4 xdx
1
0 +
3
sin xdx ; (
Exercice 2
1 𝑎 𝑏 𝑐
1. Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 tels que 𝑥(𝑥 2−1) = 𝑥 + 𝑥−1 + 𝑥+1
1
4
En déduire dx
2 x( x − 1)2
e2x ex
2. Démontrer que pour tout réel x on a : = e x
−
1+ ex 1+ ex
e2x
En déduire l’intégrale I =
1
dx
0 1+ ex
x ln x
dx et J = e x ln (1 + e x ) dx .
4 1
3. En intégrant par parties calculé : 𝐼 =
2 ( x − 1)
2 2 0
Exercice 3
cos x sin 2 x
1. On pose I1 = 2 dx ; I = 2 dx et I1 + I = I 2
1 + 2 sin x
0 0 1 + 2 sin x
a. Calculer I 2 puis I 1
b. En déduire I
2. Soit I = x cos xdx et J = 2 x sin 2 xdx
2 2
0 0
1
U0 = 2
Soit (Un ) la suite définie par : { eun
Un+1 = u +2
n
ex
1. Soit f la fonction définie sur [0 ; 1] par : f(x) = x+2.
a. Montrer que f dérivable sur [0; 1] puis calculer f ′ (x) .
b. Montrer que la fonction f ’ est croissante
2
c. En déduire que pour tout x ϵ[0; 1] , |f ′ (x)| ≤ 3.
d. Montrer que l’équation f(x) = x admet une unique solution α dans [0; 1].
2. On veut montrer que la (un ) converge vers α.
a. Montrer que pour tout n ϵ N; Un ϵ [0; 1].
2
b. Montrer que pour tout n ϵ IN, |Un+1 − α | ≤ | Un − α |.
3
2 n
c. En déduire que pour n ϵ IN |Un − α| ≤ (3) .
d. En déduire que la (Un ) converge vers α.
3. Déterminer le plus petit entier naturel n0 tel que, si n ≥ n0 , alors |Un − α| ≤ 10−3.
Exercice 2
Soit (E ) l‘équation différentielle : 2𝑦 ′ + 3𝑦 = 0
1. Déterminer toutes les solutions de (E )
2. Soit (E ' ) l‘équation différentielle 2𝑦 ′ + 3𝑦 = 𝑥 2 + 1
a. Déterminer une fonction f , polynôme du second degré, solution de (E ' )
b. Montrer que si g est une solution de (E ' ) ,alors g − f est une solution de (E )
c. Montrer que si g − f est une solution de (E ) , alors g est solution de (E ' )
3. Donner toutes les solutions de l‘équation: (𝐸 ′′ ) ∶ 2𝑦 ′ + 3𝑦 = cos(𝑥)
Indication : chercher une solution particulière f de (E' ' ) de la forme 𝑓(𝑥) = 𝐴𝑐𝑜𝑠(𝑥) +
𝐵𝑠𝑖𝑛(𝑥)
Exercice 3
Problème 2
Le plan est muni d’un repère orthonormal ; unité graphique : 2 cm
Partie A
Soit g la fonction définie sur [0; +∞[ par g(x) = 1 − xex
1. Dresser le tableau de variation de g .
2. Montrer que l’équation g(x) = 0 admet une unique solution α et que 0,5 < α < 0,6
3. Donner le signe de g(x) suivant les valeurs de x .
Partie B
x−1
x + 1 + ln |x+1| si x < 0
Soit f la fonction définie par f(x) = {ex +2x+3 et (𝒞f ) sa
si x ≥ 0
2ex +2
courbe représentative dans un repère orthonormé (O; ⃗i, ⃗j) d’unité 2cm.
1. Montrer que Df = ℝ ∖ {−1}.
2. Déterminer les limites de f aux bornes de D𝑓
3. En déduire les asymptotes parallèles aux axes du repère.
4. Montrer que la droite (D): y = x + 1 est une asymptote oblique à en -∞
5. Montrer que ∀x ∈ ]−1; 0[ f(x) = x + 1 + ln(1 − x) − ln (x + 1)
f(x)−f(0) −1 ex −1
6. Montrer que ∀x > 0 = 2(ex +1) ( − 2)
x x
7. Etudier la continuité puis la dérivabilité de f en 0, interpréter les résultats
obtenus
1
8. Montrer f(α) = α + 2
g(x)
9. Montrer que ∀x > 0, f ′(x) = (ex +1)2
x2 +1
10. Montrer que ∀x < 0 f ′ (x) = x2−1
11. Dresser le tableau de variation de f
12. Tracer (𝒞f ) on prendra α = 0,6.
Partie C
Probléme 3
Partie A
1. Soit l’équation différentielle (E) : y ′′ + 4y ′ + 4y = 0.
Déterminer les solutions h de (E) définies sur ℝ.
2. On considére l’équation différentielle (F) : y ′′ + 4y ′ + 4y = −4x.
a. Déterminer les réels a et b tels que la fonction φ : x ⟼ ax + b soit solution de (F).
b. Montrons qu’une solution f est solution de (F) si et seulement (f − φ) est solution de (E)
c. En déduire toutes les solutions de (F).
d. Donner la solution de (F) qui vérifie f(0) = 2 et f ′ (0) = −2.
Partie B
On considére la fonction f définie sur ]−∞; −1[ ∪ [0; +∞[ par :
x+1
ln ( ) , si x < −1
f(x) = { x et (𝒞f ) sa courbe représentative dans un repére
xe−2x + e −2x
− x + 1, si x ≥ 0
orthonormé (O; ⃗i, ⃗j) d’unité 2 cm.
1. a. Calculer les dériveés f ′ et f ′′ de la fonction f sur [0; +∞[.
b. Etudier les variations de f ′ puis dresser son tableau de variations sur [0; +∞[.
c. En déduire le signe de f ′ sur [0; +∞[.
2. Etudier les variations de f sur ]−∞; −1[.
3. Dresser le tableau de variations de f.
4. Montrer que l’équation f(x) = 0 admet une solution unique α et que 1 ≤ α ≤ 2.
5. Montrer que la courbe (𝒞f ) admet une asymptote oblique (D) que l’on déterminera, puis
étudier la position de (D) par rapport à la courbe.
6. Construire les asymptotes, puis la courbe.
Partie C
Soit β ≥ 0 .
Soit (∆) le domaine compris entre (𝒞f ),la droite (D),les droites d’équations x = 0 et
x=β
et par 𝒜(β) son aire éxprimé en cm2 .
1. Calculer 𝒜(β) en fonction de β.
2. En déduire lim 𝒜(β)
β⟶+∞
N° 1 40 35 75
Exercice 2
1° 2° 3° 4° 5° 6°
12 13 12 300 ;150 ;0 ; P(X=
x + x p(A)+p( P(A)=P V(X)=1,6
25 24 24 1
13 B)=1 −150 (A∩ 0)=2
25 𝐵)+P(
A∩ 𝐵̅)
Exercice 3
1° p2=2 p1 ; p3=3 p1 ; p4=4 p1 ; p5=5 p1 ; p6=6 p1
2° La somme des probabilités des événements élémentaires est égale à 1
Donc p1+ p2 + p3 + p4 +p5 + p6 =1
1
Soit (1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6) p1=1 donc p1=21
Exercice 4 Ω = {1; 2; 3; 4; 5; 6}
wi 1 2 3 4 5 6
Exercice 5
1 . p(A)=0,5 et pA(B)=0,2
2 . p(𝐴̅ ∩ 𝐵) = 0,3
3. p(𝐴 ∩ 𝐵) = 0,1
4. p(B)=0,4
Exercice 6
1° la loi de probabilité de Y
YI 3 4 5 6
P(Y=yi) 1 1 1 1
6 6 6 2
4
2° l’espérance mathématique E(Y) =5 . Son écart type ნ(Y)=3 .
Exercice 7
1°Déterminer la loi de probabilité de X.
XI −1 1 3
P(X=xi) 1 3 3
4 8 8
3
2° p(X≥ 0) = 4
5 39
3° E(X)=4 Puis ნ(X) =16.
Exercice 8
On a 6x6x6=216 cas favorables quand on jette 3 fois le dé à 6 faces a,b et c sont les nombres
obtenus après lancé
Q(x)=ax2+bx+c ; Q(x)=0 ⟹ ∆= 𝑏 2 − 4𝑎𝑐
A : « 𝑄(𝑥) admet une racine double ».
Cela revient à dire que Q(x) admet une racine double soit 𝑏 2 − 4𝑎𝑐 = 0 et ceci est possible
que dans les cas suivants :
(1,2 ,1)
IA Rufisque Livret d’exercices de mathématiques TS2 2023 – 2024
(2,4,2) (1,4,4) (4,4,1)
(3,6,3)
5
On a card (A)=5 D’où p(A)= 216
B: « 𝑄(𝑥) admet deux racines réelles distinctes ».
Ceci équivaut à ∆> 0 ou 𝑏 2 − 4𝑎𝑐 > 0
38
On a card(B)=38 D’où p(B)= 216
C : « 𝑄(𝑥) admet aucune racine réelle ».
Ceci équivaut à ∆< 0 ou 𝑏 2 − 4𝑎𝑐 < 0
On aura 36 cas possibles pour b=1
On aura 36 cas possibles pour b=1
On aura 35 cas possibles pour b=2
0n aura 33 cas possibles pour b=3
On aura 28 cas possibles pour b=4
0n aura 22 cas possibles pour b=5
On aura 19 cas possibles pour b=6
Ce qui fait au total 173 cas
173
Card(C)=173 D’où p(C)= 216
Exercice 9
Calculons la probabilité de chacun des événements suivants :
E : « (D) est parallèle à( D’) »
1 𝛽 1
Soit (D) : x+αy+β=0 ⟹ 𝑦 = − 𝛼 𝑥 − 𝛼 et (D’) : x+βy−β=0 ⟹ 𝑦 = − 𝛽 𝑥 + 1
1 1
(D) est parallèle à( D’) ⟺ − 𝛼 = − 𝛽 ⟺ 𝛼 = 𝛽 ⟺ 𝛼 − 𝛽 = 0
Α
−β −1 −1 −1 1 1
1 0 0 0 2 2
1 0 0 0 2 2
1 0 0 0 2 2
−1 −2 −2 −2 0 0
−1 −2 −2 −2 0 0
2
Soit Ω l’univers donc card Ω=5 =25 , card E=13
card E 13
P(E)=card Ω = 25
F : « (D) est perpendiculaire à( D’) »
1 𝛽 1
(𝐷): 𝑦 = − 𝑥 − et (D’) : 𝑦 = − 𝑥 + 1
𝛼 𝛼 𝛽
1 1
(D) est perpendiculaire à( D’) ⟺ (− 𝛼)x(− 𝛽) = −1 ⟹ 𝛼xβ=−1
Α −1 −1 −1 1 1
β
1 1 1 −1 −1
−1
Exercice 10
1)a) Déterminer les probabilités :𝑝𝐷1 (𝐺), 𝑝𝐷2 (𝐺), 𝑝𝐷3 (𝐺)
𝑝𝐷1 (𝐺) est la probabilité de tirer une boule porte un voyelle,
4 2
Donc 𝑝𝐷1 (𝐺) = 10 = 5
𝑝𝐷2 (𝐺) est la probabilité de tirer au hasard et similtanement deux boules chacune porte un
𝐶2 2
voyelle , donc 𝑝𝐷2 (𝐺) = 𝐶 24 = 15
10
𝑝𝐷3 (𝐺) est la probabilité de tirer au hasard et simultanément trois boules chacune porte un
𝐶3 1
voyelle , donc 𝑝𝐷3 (𝐺) = 𝐶 34 = 30
10
23
b) Montrer que 𝑝(𝐺) = 180.
D’après le théorème de la probabilité totale on a :
𝑝(𝐺) = 𝑝𝐷1 (𝐺)x𝑝(𝐷1 ) + 𝑝𝐷2 (𝐺)x 𝑝(𝐷2 )+𝑝𝐷3 (𝐺)x 𝑝(𝐷3 )
2 1 2 1 1 1 12+8+3 23
= 5 x 6 + 15 x 3 + 30 x 2 = = 180.
180
Un joueur a gagné une partie. Calculons la probabilité qu’il ait obtenu le numéro 1 avec le dé
𝐷1 .
2 1
𝑝(𝐺∩𝐷1 ) 𝑝𝐷1 (𝐺)x𝑝(𝐷1 ) 𝑋 12
5 6
𝑝𝐺 (𝐷1 ) = = = 23 = 23
𝑝(𝐺) 𝑝(𝐺)
180
4) Quel nombre minimal de parties un joueur doit –il faire pour que la probabilité d’en
gagner au moins une soit supérieure à 0,9 ?
Soit A « gagner au moins une partie »
Soit n le nombre de partie fait par un joueur et X la variable aléatoire donnant le nombre de
gains d’une partie
Comme l’expérience se répète n fois de manière identique et indépendante
23
Alors X suit une loi binomiale de paramètre (𝑛, 180)
23 𝑛 23 𝑛−0 157 𝑛
On a donc : p(A)=1−p(𝐴̅)=1−𝐶𝑛0 (180) (1 − 180) = 1 − (180)
157 𝑛 157 𝑛 157
Donc :p(A)≥ 0,9 ⟺ 1 − (180) ≥ 0,9 ⟺ (180) ≤ 0,1 ⟺ 𝑛𝑙𝑛 180 ≤ 𝑙𝑛0,1 ⟺ 𝑛 ≥ 16,84
Le nombre minimal de partie qu’un joueur doit faire pour que la probabilité d’en gagner au
moins une ,doit supérieur à 0,9 est 17
Exercice 11
1)a) D’après l’énoncé on a :
P1=p(G1)=0,5 ; p(G2 ⁄G2)=0,7 et p(G2 ⁄p1)=1−0,8=0,2
P1
0,2
0,5
G2
P2
0,3
0,5
G1
0,7
G2
Indication de corrigés
Exercice 1
𝑥 = 8,86 𝑉(𝑥) = 3,84 𝜎(𝑥) = 1,9588
Exercice 2
9×25+12×35+5×45+2×55
𝑥= = 35
28
9×252 +12×352 +5×452 +2×552
𝑉(𝑥) = − 352 = 78,571 𝜎(𝑥) = √𝑉(𝑥) = 8,864
28
Exercice 4
Voir cours
Exercice 6
Voir cours
Exercice 7
𝑐𝑜𝑣(𝑥,𝑦)
1. D 𝑦/𝑥 a pour équation 𝑦 − 𝑦 = 𝑎(𝑥 − 𝑥) où 𝑎 = 𝑉(𝑥)
𝑐𝑜𝑣(𝑥,𝑦)
2. D 𝑥/𝑦 a pour équation 𝑥 − 𝑥 = 𝑎′(𝑦 − 𝑦) où 𝑎 = 𝑉(𝑦)
Exercice 8
Les deux séries ont les mêmes modalités (𝑥𝑖 , 𝑦𝑗 ) et les mêmes effectifs.
1 4 5 6
𝑥𝑖
𝑛𝑖 • 1 7 1 1
5 6 9
2 8 10
𝑦𝑗
𝑛• 𝑗 1 1 2
9 0 8
1×15+4×7+5×16+6×19 2×19+8×10+10×28
2. 𝑥 = = 4,158 𝑦 = =7
57 57
Exercice 10
Exercice 11
3 5 6 𝑛• 𝑗
𝑦𝑗 𝑥𝑖
2 5 2 1 8
4 0 1 3 4
𝑛𝑖 • 5 3 4 1
2
1. Vrai
2. Faux
3. Faux
cov(X,Y)
4. Faux 𝑎 = .
V(𝑌)
5. Faux 𝑟 2 = 𝑎𝑎′
6. Vrai
7. Faux. Il faut << une direction rectiligne>>.
Exercice 13
𝑦𝑗 𝑥𝑖 𝑥1 𝑥2 𝑛• 𝑗
𝑦1 4 3 8
40 60 00
𝑦2 1 9 2
10 0 00
𝑛𝑖 • 4 1
550 50 000
Exercice 14
1.
2 5 8
𝑦/𝑥 = 1
𝑛1𝑗 1 1 3
𝑥 [0, 3[ [3, 5[ [5 , 6[
𝑦 ∈[3, 4] 1 3 5
1. Nuage de points
2.
(a) les moyennes 𝑥 = 5,28 et 𝑦 = 17,28. Le point moyen G (5,28; 17,28).
(b) les variances 𝑉(𝑥) = 19,9 et 𝑉(𝑦) = 130,525.
(c) les écart-types 𝜎(𝑥) = 4,46 et 𝜎(𝑦) = 11,35.
Exercice 17
𝑥𝑖 1 3 5 7
𝑛𝑖 • 4 5 4 8
𝑦𝑗 1 2 4
𝑛• 𝑗 9 6 6
2. 𝑥 = 4,52 𝑉(𝑥) = 5,33 𝜎(𝑥) = 2,30
𝑦 = 2,14 𝑉(𝑦) = 9,563 𝜎(𝑦) = 3,09
211
3. cov(𝑥, 𝑦) = − 4,52 × 2,14 = 0,375.
21
0,375
4. Le coefficient de corrélation 𝑟 = = 0,0525.
√5,33×9,563
Exercice 18
1.
2. 2014 correspond à l’indice 15 donc 𝑦 = 1,06 × 15 + 5,2 = 21
arg (
𝑧+1−𝑖 𝑧−(1+𝑖)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂
) = arg ( 𝑧−(−3) ) = arg ((𝑧−𝑧 ) = (𝐴𝑀
𝑧−𝑧𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗)
; 𝐵𝑀
𝑧+3 𝐴
2. L’ensemble
𝐵𝑀
a. (𝐸1 ) des points 𝑀 tels que |𝑈| = 1 ⇔ = 1 et donc 𝐵𝑀 = 𝐴𝑀
𝐴𝑀
Donc l’ensemble (𝐸1 ) des points 𝑀 tels que |𝑈| = 1 est la médiatrice du segment [AB]
𝐵𝑀
b. (𝐸2 ) des points 𝑀 tels que |𝑈| = 2 ⇔ = 2 ⇔ 𝑀𝐵 = 2𝑀𝐴 ⇔ 𝑀𝐵 2 = 4𝑀𝐴2 ⇔ 𝑀𝐵 2 −
𝐴𝑀
4𝑀𝐴2 = 0 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗2 = 0 ⇔ (𝑀𝐵
𝑀𝐵 2 − 4𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 2𝑀𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗). (𝑀𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 2𝑀𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) = 0
Soit 𝐺 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐵; 1)(𝐴; −2)} et 𝐻 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐵; 1)(𝐴; 2)}
2.
a. On a : 𝑎 = 1 − 𝑖 et 𝑏 = 2𝑖
b. 𝑧 ′ − 𝑧𝐼 = (1 − 𝑖)𝑧 + 2𝑖 − 2 = (1 − 𝑖)𝑧 − 2(1 − 𝑖) = (1 − 𝑖)(𝑧 − 2) = (1 − 𝑖)(𝑧 − 𝑧𝐼 )
𝑧 ′ − 𝑧𝐼 = (1 − 𝑖)(𝑧 − 𝑧𝐼 )
𝑧 ′ −𝑧 𝐼𝑀′
| 𝑧−𝑧 𝐼| = = |1 − 𝑖| = √2
′ 𝑧 ′ −𝑧 𝐼 𝐼 𝐼𝑀
c. On a 𝑧 − 𝑧𝐼 = (1 − 𝑖)(𝑧 − 𝑧𝐼 ) ⇔ 𝑧−𝑧 = 1 − 𝑖 ⇔ { 𝒛′ −𝒛
par
𝐼 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂
(𝐼𝑀 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜋
𝐼𝑀′ ) = arg ( 𝒛−𝒛 𝑰) = − 4 [2𝜋]
𝑰
′
𝐼𝑀 = √2𝐼𝑀
suite { ̂ 𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐼𝑀 𝐼𝑀′ ) = − 4 [2𝜋]
𝐼𝑀′ = √2𝐼𝑀
d. On a {
⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂
(𝐼𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗′ ) = − 𝜋 [2𝜋]
; 𝐼𝑀 4
𝜋
Donc 𝑇 est une similitude plane directe de centre 𝐼, de rapport √2 et d’angle − 4
𝜋
𝑇 = 𝑆(𝐼 ; √2 ; − 4 )
3. Soit 𝑆 = 𝑇ᴏ𝑟. Soient 𝑀 le point d’affixe 𝑧 et 𝑀′ d’affixe 𝑧′ tels que 𝑆(𝑀) = 𝑀′
a. Montrer que 𝑧 ′ = √2 𝑧 + 1 + 𝑖(3 − √2)
𝑆(𝑀) = 𝑀′ ⇔ 𝑇ᴏ𝑟(𝑀) = 𝑀′ ⇔ 𝑇[𝑟(𝑀)] = 𝑀′
𝑟(𝑀) = 𝑀"
Soit 𝑀" le point d’affixe 𝑧" tel que 𝑟(𝑀) = 𝑀" on a {
𝑇(𝑀") = 𝑀′
√2 √2 √2 √2
On a 𝑟(𝑀) = 𝑀"⇔ z" = ( 2 + 𝑖 )𝑧 + + (1 − )𝑖 (1)
2 2 2
Et 𝑇(𝑀)=M' ⇔ z'=(1-i)z" + 2𝑖 (2)
√2 √2 √2 √2
En remplaçant 𝑧" par ( 2 + 𝑖 )𝑧 + + (1 − )𝑖 dans (2) on obtient
2 2 2
√2 √2 √2 √2
𝑧 ′ = (1 − 𝑖) [( + 𝑖 )𝑧 + + (1 − ) 𝑖] + 2𝑖
2 2 2 2
Et par suite 𝑧 ′ = √2 𝑧 + 1 + 𝑖(3 − √2)
b. Nature et les éléments caractéristiques de 𝑆
On a √2 ∈ ℝ∗ \{1} donc 𝑆 est une homothétie de centre 𝐾 d’affixe
1+𝑖(3−√2)
𝑧𝐾 = = −1 − √2 + 𝑖(−1 − 2√2)
1−√2
D’où 𝑇 = ℎ(𝐾 ; √2 )