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Les troubles cognitifs légers affectant la mémoire sont défini comme des problèmes de mémoires
qui sont plus importants que des altérations de la mémoire du au vieillissement normale du cerveau.
Ces troubles cognitifs légers correspondrait à une phase de transition entre le vieillissement normal
et les premiers symptômes clinique de la maladie d’Alzheimer. Dans les années 1980 différents
termes ont été inventé pour décrire un défaut de la mémoire associé à l’age qui été pensé comme un
changement cognitif du au vieillissement normal. Ensuite d’autres termes ont été crée pour décrire
un déclin cognitif entre le vieillissement normal et la maladie d’Alzheimer comme le ‘cognitive
impairment no dementia’. Puis dans les années 2000 l’intérêt croissant pour l’étude de la phase de
transition entre le vieillisement normal et la maladie d’Alzheimer a mené à la création du terme
troubles cognitifs légers affectant la mémoire ou « Amnestic Mild Cognitive Impairment ».
Au niveau de la population il serait estimé par différentes études que 6% à 25% des plus de 60 ans
serait atteint par des troubles cognitifs légers. Cette différence de prévalence serait du au fait qu’il
n’y a pas de consensus sur la définition des troubles cognitifs légers dans chaque études. Les
troubles cognitifs légers ont d’abord été défini sur l’amnésie des patients mais aujourd’hui de plus
en plus d’études utilisent d’autre critères comme des déficits cognitifs en présence ou absence de
déficits de la mémoire. Le diagnostic des patients se fait sous forme de l’étude des symptômes
décrit par le patient ou sous entourage. Le diagnostic est aussi complété questionnaire variant selon
le pays et portant sur des changements dans la cognition des patients, sur leur activité quotidienne et
la présence ou non d’amnésie. Cependant ce genre de test reste affecté par le niveau d’éducation, le
mode de vie et l’ethnicité des patients.
Différentes études ont été réalisé sur les facteurs de risques des troubles cognitifs léger et leur
évolution vers la maladie d’Alzheimer. Il a été trouvé qu’il y a bien des risques biologique, comme
le gène APOE ε4 un facteur de risque génétique de la maladie d’Alzheimer et MCI et qui augmente
aussi de 2 fois le risque d’évolution de troubles cognitif léger en maladie d’Alzheimer.