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UNIVERSITE DE LUBUMBASHI
Ecole Supérieure des Ingénieurs Industriels
Département de Génie Civil
B.P. 1825
LUBUMBASHI
PROBLEMATIQUE DE LA CONCEPTION ET
DIMENSIONNEMENT DES RESEAUX
D’ASSAINISSEMENT D’EAUX PLUVIALES
« Application au quartier Golf Maïsha »
RESUME
Pour ce projet de fin d’étude qui a pour problématique,par quelle methode pouvons nous faire
une bonne gestion des eaux pluviales ? qui provient du sujet que nous avons proposé qui
porte sur «la problématique de la conception et dimensionnement des réseaux
d’assainissement d’eaux pluviales application au quartier golf Maisha ».
Notre site est sujet à des problèmes d’inondation et d’érosion suite à l’absence de réseau
d’assainissement ; ainsi nous avons commencé par concevoir un réseau d’assainissement en
utilisant le logiciel en passant par de descente sur terrain pour faire les lévés
topographique pour déterminer la topologie du terrain en fin quantifier les venues d’eaux
pluviales par rapport a la capacité offerte de nos canalisations qui est de 11,9016m3/sec en
s’appuyant sur les lois d’écoulement libre .
Avec tout ça, nous avons retenu une section trapézoïdale des dimensions : h꓿1m ,L꓿
0,70m,b꓿0,5m
Car avec ces dimensions la capacité offerte est supérieure aux venues d’eaux.
La vitesse d’eau n’ayant pas satisfait la condition d’auto curage, nous avions opté pour des
glissières ou chambres de chute dans notre canalisation.
Nous avons choisi la rivière Kapila comme exutoire naturel ou les eaux iront se jeter.
DEDICACE
A vous mes très chers et respectueux parents DOMINIQUE KATUMBA et VERONIQUE
MWALUKE pour vos efforts et sacrifices consentis tout au long de mes études en vue de
faire de moi une femme capable et utile pour la société.
A vous mes très chers collègues et amis ꓽ JOEL MBAYO, KEREINE, JAELLE pour votre
présence a mes cotes durant cette année académique.
A vous mes encadreurs ꓽ Ir MOHAMED SEKOU, Ir JUNIOR MBUYI pour avoir contribuer
à mon travail et ma connaissance.
REMERCIEMENT
C’est avec toutes humilités et gratitudes que je rends grâce et gloire au créateur pour cette fin
glorieuse, que la gloire te revienne père.
Animer d’une très grande joie et une humasse honneur que je tiens à remercier mon directeur
Monsieur MATHIEU KAYEMBE de l’université de Lubumbashi, de m’avoir accepté de
dirigé ce travail ...
Mes remerciement a tous les professeurs, intervenants et toutes personnes qui par leurs
paroles, leurs conseils et leurs critiques ont guidées mes réflexions et ont acceptée de me
rencontrer et répondre mes questions durant mes recherches qui ont contribuaient à mon
succès.
Je remercie ainsi mes très chers parents, papa DOMINIQUE KATUMBA et maman
VERONIQUE, qui ont toujours été là pour moi, sans oubliée mes sœurs VICTOIRE
KATUMBA et ELIENAY, et mes frères NEPHTALI et SCHADRACK KATUMBA pour
leurs encouragements.
Enfin je remercie mon très cher ami JOEL MBAYO pour son soutien inconditionnel durans
les moments difficiles, ainsi qu’a tous mes collègues qui ont toujours été à mes côtés. Pour
toutes ses personnes intervenantes, je présente mes sincères remerciements, mon respect et ma
reconnaissance.
IV
RESUME...............................................................................................................I
DEDICACE..........................................................................................................II
REMERCIEMENT.............................................................................................III
LISTE DE FIGURE...........................................................................................VII
LISTE DES TABLEAUX................................................................................VIII
LISTE DES ABRÉVIATIONS...........................................................................IX
INTRODUCTION GENERALE...........................................................................1
CHAPITRE I : APPROCHE THEORIQUE SUR L'ASSAINISSEMENT..........2
I.1. INTRODUCTION.......................................................................................2
I.2. APERCU HISTORIQUE DE L’ASSAINISSEMENT................................2
I.3. QUELQUES DEFINITIONS DES CONCEPTS........................................3
I.3.1. Assainissement ꓽ...................................................................................3
I.3.2. Réseau d'assainissement ꓽ.....................................................................3
I.3.3. drainage :..............................................................................................3
I.3.4. Ruissellement :.....................................................................................3
I.4. CYCLE HYDROLOGIQUE.......................................................................3
I.4.1. Introduction..........................................................................................3
I.4.2. Types d’eaux........................................................................................4
I.4.2.3 Eaux de pluie......................................................................................4
I.4.3. Transport..............................................................................................5
I.5. OUVRAGES D’ASSAINISSEMENT........................................................6
I.5.1. Introduction..........................................................................................6
I.5.2. Sortes d’ouvrages.................................................................................6
I.5.3. Présentation des différents ouvrages....................................................7
I.5.3.8. Dalots...................................................................................................12
I.5.3. Type d’assainissement.......................................................................15
I.6. RESEAU D’ASSAINISSEMENT.............................................................15
I.6.1. Introduction........................................................................................15
I.6.2. Types..................................................................................................16
V
Wc ꓽ water closet
m ꓽ mètre
ϕ ꓽ coefficient de ruissèlement
I ꓽ intensité de pluies
Q ꓽ débit d’eau
t ꓽ temps
v ꓽ vitesse découlement
S ꓽ section mouillée
P ꓽ périmètre mouillé
I ꓽ pente de l’ouvrage
R ꓽ rayon hydraulique(Rh)
Y ꓽ coefficient d’écoulement qui varie suivant les et la nature des eaux transportées.
T ꓽ température
1
INTRODUCTION GENERALE
L’eau sur la terre c’est la vie. C’est un bien commun à toute la population, mais aussi il est du
devoir de chacun de protéger et de veiller à une utilisation plus rationnelle de cette ressource
dans l’intérêt de tout le monde.
L’urbanisation croissante et les changements climatiques ont entrainé une augmentation des
précipitations et des risques d’inondations dans de nombreuses régions du monde. Pour faire
face à ces défis, il est essentiel de développer des infrastructures de gestion efficace des eaux
pluviales, qui favorisent la durabilité et préservent l’environnement local.
C’est dans ce contexte que se situe notre sujet de conception et dimensionnement des réseaux
d’assainissement des eaux pluviales, avec une application spécifique au quartier golf Maisha.
Ce quartier, comme de nombreux autres, est confrontée à des problèmes d’inondations dus à
une urbanisation rapide et a des infrastructures existantes inadaptées.
Afin de minimiser les risques et de préserver l’environnement local, il est essentiel de trouver
des solutions innovantes pour gérer efficacement les eaux de pluie. Dans cette étude, nous
explorons les différentes approches et techniques disponibles pour concevoir et dimensionner
des réseaux d’assainissement des eaux pluviales adaptées aux besoins spécifiques du quartier
golf Maisha.
2
I.1. INTRODUCTION
Dans l’antiquité, il existait des ouvrages d’évacuation des eaux usées dont le plus célèbre fut
le grand collecteur de ROME.
Depuis ces temps anciens, les progrès furent lents et laborieux et ont donné naissance à une
évolution progressive des sciences de l’hydrologie et de l’hydraulique. Ainsi, c’est au 18e
Siècle que A. CHEZY a établi la 1ère formule d’écoulement en régime uniforme et après 100
ans, H.E. BAZIN a donné la formule des pertes de charges.
Jusqu’à cette époque, les techniques d’assainissement se réduisaient à des caniveaux et des
fosses à ciel ouvert qui conduisaient les eaux usées et pluviales dans les rivières. Par la suite,
on a passé progressivement d’un référentiel hygiénique d’évacuation des eaux usées en dehors
des sites urbains à un dispositif technique dont l’objectif est de collecter et traiter ces eaux
afin de protéger l’environnement. De là est née l’expression « qu’on lave tout et qu’on évacue
le tout à l’égout », en bref, « tout à l’égout ». C’est ce dispositif qui facilite le transfert des
responsabilités par l’intermédiaire de la collectivité, d’où le choix de l’assainissement
collectif dans les grandes agglomérations au détriment de l’assainissement individuel.
(GARANCHER., 1983)
3
I.3.1. Assainissement ꓽ
Est une démarche visant à améliorer la situation sanitaire globale de l’environnement dans ses
différents composants. Il comprend la collecte, le traitement et l’évacuation des déchets
liquides, des déchets solides et des excrément (wikipedia, 2001)
Un réseau d’assainissement est un ensemble des ouvrages construit par l’homme permettant
de canaliser les eaux pluviales et les eaux usées a l’intérieure d’une agglomération (vetofish,
2020)
I.3.3. Drainage :
Est un système d’évacuation par écoulement d’eau (ou d’un fluide) qui peut être naturel ou
artificiel. Il agit par gravité ou par le pompage d’eaux superficielles ou souterrains.
(aquaportail, 2009)
I.3.4. Ruissellement :
Est l’écoulement des eaux à la surface de la terre, notamment la surface des sols,
contrairement à celle y pénétrant par infiltration. (wikipedia, s.d)
I.4.1. Introduction
Le cycle de l’eau correspond à l’ensemble des transferts d’eau entre les réservoirs d’eau sur
terre. Le moteur de ce cycle est l’énergie solaire qui, en favorisant l’évaporation de l’eau,
entraine tous les autres échanges : évaporation, condensation, précipitations, ruissellement et
infiltration, circulation souterraine.
4
Elles proviennent des cabinets d’aisance ainsi que les eaux ménagères (Eaux de cuisine, salle
de bain, buanderie et eaux générées par certains appareils d’usage domestique, etc… (htt)
Leurs caractéristiques varient selon le types d’industrielle. Ces eaux contiennent de matières
toxiques tel que les métaux lourds et metalloïdes, sels, phosphates (p04), hydrocarbure etc…et
les polluants spécifiques rejetés par les fabricants des produits chimiques organique variant
considérablement d’une usine a une autre, selon les types de produits fabriques
Les eaux de pluie sont généralement peu minéralisées, pauvre en matières organiques, mais
dans les pays industrialisées et zones agricoles.
5
Elles sont souvent acidifiées, polluées par diverses contaminations dont l'azote ammoniacal,
des ions nitrites et divers d'activités humaine et atmosphérique. (wikipedia, 2010).
Proviennent de sources ou des pluies, se trouvent sous la surface du sol, habituellement elles
sont constituées des réserves d’eau stockées dans les roches poreuses et perméables du sous-
sol, loin d’être isolées du cycle de l’eau.
Sont principalement les eaux des rivières, des lacs, des océans, des fleuves et des mers
Sont les eaux qui non pas pu réussir à s’infiltrer dans le sol ou à s’évaporer. Le ruissellement
est issu des précipitations atmosphériques qui s’écoulent sur une surface vers les cours d’eaux
I.4.3. Transport
L’eau se déplace d’un point à un autre par un moyen naturel ou artificiel c’est à dire au travers
les ouvrages hydrauliques ou d’assainissement. Ainsi on distingue le transport de l’eau nature
appelé cycle hydrologique et le deuxième type est celui créer par l’homme grâce au réseau
hydraulique et au système d’épuration ou de traitement des eaux usées.
I.5.1. Introduction
Les ouvrages annexes participent au réseau au même titre que les canalisations, et les services
a en attende notamment en exploitation, dépendant beaucoup des positions adoptes.
Les ouvrages de surface sont destinés en général, à la recueille des eaux pluviales, on
distingue ꓽ
Les ouvrages d’accès au réseau sont en fait de fenêtres par lesquelles le personnel d’entretien
pénètre pour assurer le service et la surveillance du réseau
Ces ouvrages ne sont pas systématiquement obligatoire dans le concept général du réseau,
cependant, dans de nombreux cas, il convient de recours a tel outil ouvrages, soit pour
résoudre certains problèmes qui apparais au stade de l’étude comme incapacité d’auto curage,
soit pour optimiser le projet sous le double aspect technique ou financière avec la création de
déversoir dorage de bassin de stockages, soit encore pour trouver certain difficultés de points
obligés, la nécessite d’un relèvement hydraulique des effluents…
I.5.3.1. Fosses
Les fosses étaient principalement destinées à la collecte des eaux provenant des chaussées
milieu rural qui, depuis peu, rentrent dans les dispositions dites alternative à la solution par
tuyaux. Suivant les caractéristiques du relis, ils sont soit des ouvrages de transport à faible
pente, soit des retenues, soit des ouvrages de stockage des eaux.
Il faut procéder à un entretien périodique, afin de les débarrasser des produits décantés qui
peuvent s'y accumuler et provoquer, notamment, des odeurs de fermentation.
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I.5.3.2. Gargouille
Ont une fonction de liaison entre les décentes de gouttières et les caniveaux, évitant ainsi les
ruissellements désordonnés sur les trottoirs.
Les gargouilles sont envisageables avec un système qui fait appel au drainage en surface. Ces
bouche d'engouffrement, on obtient ainsi une séparation contrôlée des sorties eaux pluviales
et, par ailleurs, eaux usées.
Figure 3 : Gargouille
I.5.3.3. Caniveaux
Les caniveaux, annexes de la voirie en bordure du trottoir, sont destinés à recevoir les eaux de
ruissellement et de gouttières via des gargouilles, et assurent le transport en surface des eaux
pluviales jusqu’aux bouches et avaloir. Leur utilisation est également nécessaire aux ruptures
de pentes des espaces revêtus (parking…)
Selon l’importance, ils peuvent être constitues d’ouvrages longitudinal équipe de grilles ou de
fente type Saujon, plus économique et bien adaptée aux voies urbaines express a la fragilité
des grilles... (R, 2019)
9
Figure 4 : Caniveaux
Les regards sont les ouvrages d’accès au réseau, qui permettent d’assurer l’entretien et la
surveillance, ils assurent aussi l’aération du réseau, ils /comportent en partie supérieure, un
dispositif de fermeture constitue d’un cadre et d’un tampon.
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Les bouches d’engouffrements sont destinées exclusivement à collecter les eaux en surface.
Elles sont généralement disposées aux points bas des aires revêtues (parkings, espaces
minéralises) ou reparties sur les tronçons de voiries ou aux carrefours. En bordure, elles sont
placées soit sous les trottoirs si celle-ci ont des dimensions suffisantes, soit sous les caniveaux
et bords de chaussée dans le cas contraire elles peuvent être classées selon deux critères
principaux ꓽ
11
Les déversoirs d’orages sont destinés, en cas d’orages, le débit supplémentaire transitant dans
les collecteurs, ces ouvrages acheminent directement les eaux vers le milieu naturel.
En outre, la station d’épuration ne peut accepter qu’un débit d’eau concentrée équivalent aux
maximums de 3 à 4 fois par temps sec.
Un déversoir est par conséquent, un ouvrage conçu à décharger le réseau d’une certaine
quantité d’eau pluviale de façon à réagir sur l’économie des projets en réduisant les
dimensions du réseau avale.
Sont les ouvrages en fonction des exigences des plans locaux d’urbanisme, l’ouvrage devra
permettre le stockage temporaire des eaux pluviales pour maitriser le débordement dans les
réseaux d’assainissement et qui seront utilisée (Rahim, 2019)
I.5.3.8. Dalots
C’est un l’ouvrage des ponts de faible portées (jusqu’à 5 ou 6m) sous forme de cadres à
section moyenne rectangulaire en béton armé. Ils sont fondés sur semelle si le terrain est
rocheux ou sur radier en béton armé sans les cas contraires.
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Comme le montre la figure 3, Le dalot facilite souvent l’écoulement des eaux à travers les
remblais peu élevés.
I.5.3.9. Buse
Est une canalisation construite en béton ou en métal, destinée à faire passer les eaux sous les
remblais, elle est généralement aux formes ovoïdes ou circulaire.
Figure 11 : La buse
Ces collecteurs sont réalisés dans les centres urbains ou le système d'assainissement et du type
unitaire.
Les ouvrages ordinaires à lunette, conçus de telle sorte que les écoulements de temps
sec, à faible débit, Puissent s’effectuer à vitesse suffisante pour que l'auto curage soit
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assurée et que l'ouvrage soit visitable dans la meilleure condition possible, d'où leur
forme à « rayons hydraulique » maximal pour l'écoulement de petits flots.
Est un ouvrage qui collecte et stocke temporairement de gros volume d’eau afin de réduire le
risque dinondations.il est installé en milieu urbain et ou industriel voire directement en amont
de ces lieux. Le bassin de rétention des eaux pluviales a pour but de limiter les apports
importants d’eaux pluviales aux réseaux.
a) Ouvrage intercalé sur le réseau ayant pour objectif d’empêcher en cas de forte pluie le
débordement du réseau et l’inondation des propriétés riveraines.
15
Assainissement collectif
Assainissement non collectif
Il désigne par définition un système d'assainissement dans lequel les eaux usées sont
collectées et acheminées vers une station d'épuration de manière collective (JDN, 2019).
Les eaux vannes (provenant des WC) et grises (provenant de la cuisine, des lavabos) sont
alors épurées (débarrassées des boues) avant d'être rejetées en milieu naturel.
Pour une zone d’habitats dispersés, des systèmes d’assainissement sont mis en place pour
chaque habitat ou pour un groupe d’habitations (Lenoir, 2019))
I.6.1. Introduction
Les ouvrages de gestion des eaux pluviales (ou des eaux de pluie) peuvent avoir comme
objectif de collecter, d’entreposer, de transporter et de traiter des eaux pluviales ou de
ruissellement.
Les ouvrages de gestion des eaux pluviales (OGEP) sont habituellement élaborés pour
compenser l’imperméabilisation des sols causés par la présence de bâtiments, de routes, de
stationnement, etc.
On entend par système d’évacuation l’ensemble des conduites permettant d’évacuer les eaux
pluviales et usées. (OOREKA, 2020)
I.6.2. Types
Il existe plusieurs systèmes que nous classons en trois réseaux d’assainissement de collecte ꓽ
Réseau unitaire
Réseau séparatif
Réseau pseudo séparatif
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C’est un système de collecte des eaux usées et des eaux pluviales transite une seule et même
canalisation et se mélangeant pendant les périodes pluvieuses, une partie du mélange (trop
plein) peut être rejeté par le déversoir d’orage.
Les réseaux unitaires présentent les inconvénients et les avantages de ces derniers
Avantages Inconvénients
Conception simple ꓽ un seul Débit à la station d'épuration très variable.
collecteur, un seul branchement par
immeuble.
Encombrement réduit du sous-sol Lors d'un orale, les eaux usées sont dilues
par les eaux pluviales.
A priori économique Apport de sable important à la station
( dimensionnement moyen impose d'épuration
par les seules eaux pluviales)
Aspect traditionnel, dans l’évolution Acheminement d'un flot de pollution assez
historique des cites important lors des premières pluies après
une période sèche
Pas de risque d’inversion de Rejet direct vers le milieu récepteur du
branchement mélange d'eaux usées
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Le réseau séparatif consiste à spécialiser chaque réseau selon la nature des effluents.
Un réseau est affecté à l’évacuation des eaux usées domestiques (eaux vannes et eaux
ménagères) et des effluents industriels, sous la condition qu’ils aient des caractéristiques
analogues à celle des eaux domestiques. Un autre réseau assure l’évacuation des eaux
pluviales directement rejetées dans le milieu récepteur. L’origine du système séparatif est liée
à la création des stations d’épuration comme (la figure ꓽ 1.14) (Rahim, 2019)
AVANTAGES INCONVENIENTS
Diminution du diamètre moyen du réseau de Encombrement important du sous-sol
collecte des eaux usées
Exploitation plus facile de la station Cout d’investissement élevé.
d'épuration
Meilleure préservation de l'environnement Risque important d’erreur de branchement
des flux polluants domestiques.
Certains couts d'exploitation sont limités
(relevage des effluents notamment).
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On reprend dans une conduite unique les eaux pluviales de toitures et les eaux usée, les eaux
pluviales de chaussées sont évacuées séparément comme l'indique la figure ci-dessous
(Dabrowski, 2014)
Avantages Inconvénients
Le problème des faux branchements est Le fonctionnement de la station d’épuration
éliminé. est perturbé la charge polluante est variable
en qualité et en quantité
Le plus gros des eaux pluviales étant
acheminer en dehors de la ville ce qui nous
donne des collecteurs traversant la ville de
moindre dimension
Colette : c'est un système de canalisation qui recueille et achemine les eaux urbaines
résiduaires composé des eaux usées des eaux de pluie.
Après les traitements des eaux usées par procédé d’épuration se verse directement au milieu
récepteur la gestion classique de réseau présente beaucoup d’inconvénients le support
cartographique sur lequel sont portés les objets représentants les réseaux sont difficilement
manipulables. (Rahim, 2019)
I.6.4. Critères
On peut établir un réseau en système séparatif ou pseudo˗separatitif dans les cas suivants :
En revanche le système unitaire peut être admis dans les cas suivants ꓽ
I.6.5. Schémas
Bien que les réseaux d’évacuation revêtent des dispositions très diverses selon le système
choisi, leur schéma se rapproche le plus souvent de l’un des cinq types ci-après ꓽ
C’est souvent celui des ville ou communes rurales qui ne se préoccupent que de l’évacuation
par les voies les plus économiques et les plus rapides sans avoir un souci d’un assainissement
efficace des rejetées. (Damien, 2014)
ce schéma permet de reporter par simple gravitée l’ensemble des effluents plus loin à l’aval
par rapport au schéma précèdent. (Damien, 2014)
Ce schéma s’apparente au schéma précèdent. Le collecteur bas qui doit souvent faire l’objet
de relèvement, se trouve soulagée des apports des bassins dominants qui peuvent être évacues
gravitaire ment.
selon que le réseau converge vers un ou plusieurs points bas ou l’on peut reprendre l’effluent
pour le relever, on utilise ce type de schéma. (Damien, 2014)
I.7.1. Définition
Le bassin versant désigne une portion du territoire délimitée par une ligne des eaux qui
correspond souvent aux lignes de crête dans laquelle toutes les eaux suivent une pente et
convergent vers un même point dit de sortie appelé exutoire.
Un bassin versant est une zone géographique de collecte des eaux par un cours d’eau et ses
affluents.
Le coefficient de ruissellement est le rapport du volume d’eau qui ruisselle au volume d’eau
tombe sur le bassin. Il est souvent fonction du type d’occupation du terrain mais aussi de la
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nature des sols. Voici quelques valeurs du coefficient de ruissellement (φ) suivant différentes
natures :
NATURES VALEURS
Zones cultivées 0,01-0,05
Zones bâties 0,8-0.9
Voiries 0,7-1
Parcs, terrain de sport 0,2-0,04
Ce coefficient prend en compte le fait que la pluie ne tombe pas d’une manière uniforme sur
toute une région, il est déterminé soit par la formule de Caquot soit par celle de Fruhling :
L’intensité de pluie est mesurée aux pluviomètres ou aux pluviographes. Elle est fonction de
plusieurs paramètres tels que son altitude, son orientation, son climat, etc…
Par manque d’une étude approfondie des données météorologiques du site, on la calcule en
utilisant la formule suivante :
H
h= (I.3)
t
Avec :
I.8. EXUTOIRE
I.8.1. Définition :
Par exutoire, on sous-entend le lieu d’accueil de toutes les eaux venant du collecteur
La rivière
Le Lac
Le fleuve
L’océan, etc…
La méthode générale
La méthode rationnelle ou traditionnelle
La méthode linéaire
La méthode de Caquot, …
Précisons ici que nous ne parlerons que d’une seule méthode qui est la méthode générale.
Avec cette méthode, le calcul du débit à évacuer du bassin hydraulique est donne par :
Q= A . I .φ . φ ’ (I.4)
Avec :
Connaissant en chaque point, les débits à évacuer et la pente des ouvrages, le choix des
sections sera déduit de la formule d’écoulement adoptée. Les dimensions des canalisations
varient compte tenu des diamètres courants de fabrication, ce qui apporte de ce fait, une
capacité supplémentaire d’écoulement.
87
C= (I.7)
1+ Y / √ R
Y ꓽ coefficient d’écoulement qui varie suivant les et la nature des eaux transportées.
KERLOC'H Bruno (C.E.T.E. NORD-PICARDIE) et MAELSTAF Damien (DDE
80)
Canalisations d’eaux usées
Il se forme une pellicule dans les ouvrages qui améliore les conditions d’écoulement. Aussi le
coefficient de Bazin Y peut être pris égal à 0,25 en tenant compte des inégalités dans le réseau
et d’éventuelles intrusions de sable ou de terre. C peut donc être représente
approximativement par l’expression :
C=70. R1 /2 (I.8)
QC=V.S=70. R2 /3 . I 1/ 2. S (I.10)
Qc ꓽ en m3/s
V ꓽ en m/s
27
S ꓽ en m2
((DDE)
Il convient de tenir compte que des dépôts sont susceptibles de se former, ce qui conduit à
admettre un écoulement sur des parois semi-rugueuses.
Le coefficient de Bazin Y peut être pris à 0,46.C peut donc être représenté approximativement
par l’expression :
C=60. R1 /4 (I.11)
On obtient donc ꓽ
V = 60. R3 / 4. I 1/ 2 (I.12)
Dans ce chapitre il était question de donner un aperçu théorique sur l’assainissement, des
généralités sur les ouvrages de drainage, les éléments constitutif d’un réseau d’assainissement,
différentes formules qui nous permettrons de bien travailler. .il est nécessaire de faire un
choix des conduites qui le constituent et ceci selon la forme et le matériau par lequel elles sont
construites.
28
II.1. INTRODUCTION
Pour la présentation de notre site, on se retrouve dans une zone qui a un sol granuleux, ou les
sols subissent des érosions par manque des canalisations, et l’aperçu du site vise à fournir des
informations qui nous permettront de bien canaliser les eaux.
Le quartier golf Maisha provient du quartier grand Munua, démembré. Au départ le quartier
était dirigé par un seul chef de quartier secondé par deux chefs de quartier adjoints à cette
époque on partait de deux quartiers secondaires. C’est avec l’effort de l’initiative du
bourgmestre de la commune annexe, avec le grand souci de rapprocher les administrant aux
administrées.
Aussi le quartier Munua était très vaste. Enfin un rêve est parvenu une réalité sur terrain en
date du 15mars 2017, c’est ainsi que l’actuel chef de quartier répond au nom de MBAYO
SABINANOA TISTONDER
Limite sud
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La rivière KARAVIA à partir du pont sur l’autoroute pour engins poids-lourds et la rivière
KALABI jusqu’à son affluent avec la rivière KASOMBO, constituent les limites du quartier
MAISHA, le séparant des quartiers MUNUA et MUKUNTO.
Limite Est
A partir de la ligne électrique haute tension, l’avenue MBESA, située au 3em poteau après
l’avenue RDC, allant au niveau de la concession SALAMA, l’avenue SAMBWE MUKEYA,
passant à côté de l’école STANIS EXCLU, allant vers KIMUTI jusqu’à la rivière MUYEYE
constituent les limites du quartier MAISHA, le séparant du quartier TSHAMALALE et de la
commune Lubumbashi.
Limite ouest
II.4.1. Principe
La localisation géographique est l’identification d’un lieu spécifique sur la planète, à l’aide de
divers outils tels que des cartes, des boussoles, des coordonnées ou des systèmes de
géolocalisation (https ꓽ//www.enjeuxdemots.com/general/localisation-geographique, 2016)
L’élaboration d’un projet d’assainissement nécessite de la part de l’ingénieur une très bonne
connaissance de la zone et de ses caractéristiques
31
II.5. TOPOGRAPHIE
II.5.1. Principe
La topographie par définition est une science qui permet la mesure puis la représentation sur
un plan ou une carte des formes et détails visibles sur le terrain, qu’ils soient naturels tels que
plaines, collines, montagnes, cours d’eau ou artificiels tels que chemins, caniveaux.
Une carte topographique peut également indiquer la pente du terrain. En effet, elle mentionne
les points dont le niveau est élevé et ceux dont le niveau est bas, mais aussi la pente du terrain
entre ces mêmes points.
En conception routière, le profil en travers d’une route est représenté par une coupe
perpendiculaire à l’axe de la route de la surface définie par l’ensemble des points
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représentatifs de cette surface. Le profil en travers peut se rapporter soit au terrain naturel, soit
au projet, ce qui permet de bien percevoir l’intégrité du projet.
Mais en ce qui nous concerne nous voulons montrer par cette image ci-dessous (figure 24)
l’emplacement des caniveaux et leur forme :
X Y Z
544779 8713166 1270
544424 8713098 1265
544198 8713044 1265
543761 8712995 1263
543493 8713105 1266
543197 8713188 1264
542795 8713430 1263
542553 8713692 1264
542237 8714086 1267
542083 8713934 1268
33
II.6.1. Climat
deux saisons caractérisé par une saison des pluies (de Novembre à Mars), une saison
sèche (de Mai à Septembre) et deux mois de transition (Avril à Octobre). Les
précipitations annuelles s’élèvent à 1270 mm avec les valeurs extrêmes de 717 et
1770 mm La température moyenne annuelle est de 21.4 ℃. (Vranken, 2010)
A Lubumbashi, la saison pluvieuse est humide et couverte, la saison sèche est dégagée
dans l’ensemble et le climat est chaud tout long de l’année. Au cours de l’année, la
température varie généralement de 9℃ à 34℃ et est rarement inférieure à 7 ℃ ou
supérieure à 36℃.
Le diagramme ombrothermique indique les mois le plus chaud et le plus froid de l’année ainsi
que les mois ou il on enregistre beaucoup de précipitations et les mois le moins pluvieux de
l’année.
D’après l’interprétation du diagramme le mois le plus chaud c’est le mois d’octobre et le mois
le plus froid c’est le mois de juillet ; et le mois le plus pluvieux c’est le mois de Janvier et le
moins pluvieux c’est le mois d’octobre.
Le diagramme suivant nous donne les informations sur la température et les précipitations
annuelle de la ville de Lubumbashi
35
La saison très chaude dure 1.9 mois, du 10 Septembre au 6 Novembre, avec une température
quotidienne moyenne maximale supérieure à 32℃. Le mois le plus chaud de l’année à
Lubumbashi est Octobre, avec une température moyenne maximale de 34 ℃et minimal de
18℃.
La saison fraiche dure 7.3 mois, du 18 Décembre au 27 juillet, avec une température
quotidienne moyenne maximale inférieure à 27℃. Le mois le plus froid de l’année à
Lubumbashi est juin, avec une température moyenne minimale de 10℃ et maximale de 25 ℃.
36
Figure
26 : Température horaire moyenne à Lubumbashi
II.6.1.4. Ensoleillement
Dans ce lieu, le mois le plus ensoleillée est octobre, avec un nombre moyen d’heure
quotidiennes de 10.84. Pendant toute la durée de ladite période calendaire, il y a un total
agrège de 336.16 d heures d’ensoleillement.
En Lubumbashi, le mois qui connait le moins d’heures d’ensoleillement quotidien est janvier
avec une durée moyenne de 0 heures par jour. La quantité total d’ensoleillement enregistrée
au cours de cette période est de 248.04.
La pluviométrie est un facteur très important dans la conception du réseau de drainage, car le
dimensionnement des ouvrages d’évacuation des eaux de ruissellement sur un site passe par la
quantification de ces eaux, quoique celle-ci soit souvent difficile.
L’étude de la pluviométrie nous permettra de déterminer l’intensité des pluies sur les sous
bassins, en fonction du temps de concentration et de la période de retour, et le coefficient
d’inégale répartition, tout cela conduisant à l’évaluation des débits des eaux de ruissellement.
37
Années Mois
Janvier Février Mars Avril Mais Juin Juillet Aout Septembre Octobre Novembre Décembre Total
2013 175,8 225,6 186,4 200 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 123,6 333,1 1064,5
2014 205,4 277,3 146,2 20,9 3,0 1,0 0,0 0,0 GG 25,5 181,1 176,7 1037,1
2015 295,6 297,7 269,2 9,0 0,0 0,0 0,0 GG 9,0 GG 135,2 336,8 1342,5
2016 323,4 206,1 174,5 10,0 0,0 1,0 0,0 0,0 GG 35,2 194,5 247,5 1191,2
2017 277,5 331,6 157,8 113,5 0,0 0,0 0,0 0,0 5,8 36,3 119,4 289,2 1331,2
2018 416,9 417,7 179,9 77,3 0,0 0,0 0,0 0,0 3,4 10,0 191,8 620,9 1914,9
2019 448,4 380,1 287,8 34,4 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 3,2 156,2 200,7 1510,2
2020 361,4 139,5 207,8 59,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 61,2 108,9 465,1 1403,7
2021 310,1 182,1 154,7 94,2 0,0 0,0 0,0 0,0 14,7 16,6 103,9 390,5 1266,8
2022 368,8 313,9 139,1 60,3 12,0 0,0 0,0 0,0 3,0 0,0 154,4 265,0 1316,5
38
Années Mois
Janvier Février Mars Avril Mais Juin Juillet Aout Septembre Octobre Novembre Décembre
Le bassin versant est souvent découpé en sous bassins dans lesquels les eaux collectées seront
conduites vers l’exutoire.
Nous avons délimité le bassin versant avec l’aide du logiciel Argis. Partant des sens
d’écoulement, nous avons découpé ce bassin ressorti en trois sous bassins qui nous
permettrons de vérifier les venues d’eaux et redimensionner si nécessaire les ouvrages de
drainage afin d’évacuer les eaux qui stagnent sur le dit site dans le but de lutter contre
l’inondation.
On parle de l’écoulement pour désigner les mouvements d’une masse d’eau à la surface du
sol, dans un bief ou une conduite, ou à l’intérieur du sol qui est indique sur la carte ci haut.
40
Elle determine l’inegalité de pluies sur le site d’etude ,nous avons utilsé la formule numero
(I.1) :
Telque repris dans le tableau 4 , nous sommes dans une zone bâtie, nous prendrons la valeur
du coefficient de ruissellement qui varie de 0.8 à 0.9 dans notre cas nous prendrons 0.8
La connaissance de l’intensité des pluies a une importance capitale dans le calcul des
ouvrages de drainage car elle permet de calculer les débits des eaux de ruissellement dans le
but de définir les différentes dimensions des caniveaux nous allons etulisé la formule (I.3).
Que la précipitation maximale enregistrée est celle du mois de décembre avec un record en
2022 de 368.8 mm de pluie pendant une durée de 244 min.
H 368.8
I= = =1.5114 mm/min
t 244
En convertissant cette intensité en l/ha. Sec, sachant que ; 1 1itre.mm/min = 167 litre/ha. Sec
Nous avons comme la somme des débits en m3/h du bassin1 ꓽ Q1꓿1,085421m3 /¿h
42
En guise de conclusion de notre deuxième chapitre basé essentiellement sur la présentation du site
de travail ainsi qu’à la délimitation du débit et des différents sous bassins versant.
43
L’intensité de pluie est I= 252.4 l/ha. Sec, les débits de chaque bassin respectivement :
Q1 =1,085421 m3/h ,Q2 = 1,512366 m3/h , Q3 = 0,53278207 m3/h , Q4 = 0,80376477m3/h
Ces différents débits de chaque bassin vont nous permettre de dimensionner nos canalisations ou
notre réseau d’assainissement pouvant évacuer les eaux de pluies sans risque de débordement
44
Les eaux seront drainées vers les rivières qui délimites nôtres site, ce sont les rivières
MUYEYE et KIPILA, La rivière KARAVIA à partir du pont sur l’autoroute pour engins
poids-lourds et la rivière KALABI jusqu’à son affluent avec la rivière KASOMBO, La rivière
KIPILA.
Via les données recoltés sur le terrain,nous eu approsé un reseau unitair a lʹaide
du logiciel Google Earth Comme nous montre la figure 30
L’écoulement de l’eau superficielle, l’étendue du bassin versants pour prévenir les risques
d’inondation
Collecteur Longueur (m) côte amont (m) côte avale (m) Dénivelée Pente
T24-T25 635 1263 1261 2 0,003
T25-T26 526 1260 1252 8 0,015
Bassin T26-27 315 1261 1237 24 0,076
I T28-T29 745 1263 1258 5 0,007
Les valeurs des débits d’eau sont déjà calculées au chapitre 2, dont les résultats sont présentés
dans le tableau 16 ici-bas :
Pour notre projet, nous optons pour une canalisation en forme trapézoïdale cars elle est une
de forme de forte stabilité.
Longueur du fossé :
2
a) Sm =1 ( 0 , 7+ 0 ,25.1 ) =0 , 95 m
100 √ Rh
Avec : C= et δ=0 , 35
δ+ √ Rh
100 √ 0,336
C= = 62,395
0 ,35+ √ 0,336
La condition d’auto-curage étant comprise dans l’intervalle allant de 0,5 m/s ≤ V ≤ 6 m/ s d’où
la vitesse trouvée respecte la condition de l’auto-curage
Pour finir, nous allons déterminer le débit d’eau que devra évacuer notre ouvrage
3
Qévacuation =V .2 . S m=6,264.2 .0 , 95=11,9016m /s
39
Nous remarquons que le débit d’évacuation Qévacuation =11,9016m3 /s trouvé est supérieur à celui provenant des sous bassinQtot =10 , 9 m3 /s . Par
conséquent notre canalisation ainsi dimensionnée sera capable d’évacuer toute l’eau venant des sous bassins.
troncon pente(m/m) débit Ks m Y(m) L(m) Ω(m2) P(m) Rh(m) V(m/sec) C.O CO> Dd à E 0,5< V V <4 AMG r (m) h (m) l retenue h retenue
T30-T29 0,002 0,16 50 0,25 0,364 0,568 0,240 1,32 0,182 0,845 0,203 oui oui oui non 0,288 0,652 0,45 0,61
T29-T33 0,023 0,15 50 0,25 0,218 0,340 0,086 0,79 0,109 2,101 0,181 oui non oui non 0,285 0,503 0,46 0,58
T24-T25 0,147 0,20 50 0,25 0,173 0,270 0,054 0,63 0,086 4,447 0,241 oui oui oui non 0,293 0,466 0,74 0,82
T25-T26 0,007 0,03 50 0,25 0,147 0,230 0,039 0,53 0,074 0,833 0,033 oui oui oui non 0,248 0,395 0,73 0,81
T26-T27 0,003 0,12 50 0,25 0,290 0,453 0,153 1,05 0,145 1,010 0,154 oui oui oui non 0,280 0,571 0,78 0,85
T31-T32 0,023 0,12 50 0,25 0,199 0,311 0,072 0,72 0,099 1,992 0,143 oui oui oui non 0,278 0,477 0,78 0,86
T34-T35 0,044 0,10 50 0,25 0,168 0,263 0,051 0,61 0,084 2,387 0,122 oui oui oui non 0,274 0,443 1,02 1,07
T30-T31 0,003 0,17 50 0,25 0,330 0,515 0,197 1,19 0,165 1,125 0,222 oui oui oui non 0,291 0,620 0,79 0,86
T34-T35 0,019 0,26 50 0,25 0,277 0,433 0,139 1,01 0,139 2,337 0,326 oui oui oui non 0,303 0,581 0,88 0,96
Cependant, une étude des conditions pluviométrique et météorologique nécessaire ont était
faite pour garantir un fonctionnement du système d’une manière optimale et répondant ainsi
aux besoins spécifiques du quartier.
40
CONCLUSION GENERALE
Ce travail qui est a pour titre «la problématique de la conception et dimensionnement des
réseaux d’assainissement d’eaux pluviales application au quartier golf Maïsha » a pour
objectif d’assurer l’assainissement du quartier golf Maïsha tout en réduisant les inondations
qu’on y observe.
Mais quelques problèmes sont observés qu’il faudra résoudre pour assainir le milieu tels que :
BIBLIOGRAPHIE
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