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Rapport de laboratoire 2

Plan
I. Introduction
II. Définition de l’essai des limites d’Atterberg
III. But de l’essai
IV. Equipement
V. Principe et mode opératoire de l’essai
VI. Conclusion
VII. Bibliographie
I. INTRODUCTION
L’objectif de l’essai d’Atterberg limites est d’obtenir des informations de l’index de base sur le sol
utilisé pour estimer les caractéristiques de résistance et de règlement. Il est principale forme de
classification des sols cohésifs.

Le sol fin est testé pour déterminer les limites liquides et plastiques, qui sont des teneurs en
humidité qui définissent les frontières entre les Etats consistance matérielle. Ces Tests standardisés
produire des chiffres comparables utilisées pour identification des sols.

Le liquide(LL) et en plastique(PL) des limites définissent les limites de teneur en eau entre les états de
fluide non-plastique et visqueuse .L’indice de plasticité (PI) définit la gamme complète de l’état
plastique. Définition des termes :

Limite de liquide (LL) définit la limite entre les états liquide et visqueux plastique. Elle est déterminée
en utilisant une norme « Device limite de liquide », qui laisse tomber un profond du sol cupfull 1cm
de manière cohérente .Quand une rainure couper à travers l’échantillon ferme ½, le nombre de cout
est enregistré.

Limite de plasticité(PL) définit la limite entre les états non-plastique et en matière de plastique .Il est
déterminé simplement par laminage d’un fil de terre et de réglage de la teneur en eau jusqu’à la
rupture.

II. Définition de l’essai des limites d’Atterberg


Les limites d’ Atterberg sont des essais qui permettent de définir des indicateurs qualifiant la
plasticité d’un sol, et plus précisément de prévoir le comportement des sols pendant les opérations
de terrassement, en particulier sous l’action des variations de teneur en eau . Notons que cet essai se
fait uniquement sur les éléments fins du sol et il consiste à faire varier la teneur en eau de l’élément
en observant sa consistance, ce qui permet de faire la classification du sol.
III. But d’essai
Le but de ces tests est de déterminer les limites de consistance qui sont exprimées en termes de
teneur en eau marquant les limites entre état solide, plastique, et liquide. Il est important de noter
que ces tests ne s’appliquent que pour les sols fins, définis comme ayant des grains de diamètres
inferieurs à 0,006[mm].

IV. Equipement
Les équipements qui permettent de faire l’essai de limite d’atterberg sont :

1. Appareil de casa grande


2. Balance de 5kg (précision 1g)
3. Etuve ventilé
4. Planche à roulets
5. Capsules en verre
6. Spatules
7. Mortier et pilon en porcelaine

V. Principe de l’essai
L’essai effectue sur la fraction 0/400µm en deux phases :

Détermination de la teneur en eau WL pour laquelle une rainure pratiquée dans une coupelle se
ferme, suite à des chocs répètes pour un nombre de coups donnés (cette limite de liquidité
correspond à une résistance à un cisaillement conventionnel) ;

Détermination de la teneur en eau WP pour laquelle un rouleau de sol se fissure (cette limite de
plasticité correspond à une résistance à la traction conventionnel)
IC=0 si Win =Lw, matériau à l’état liquide.

Ic =1 si Wn =WP, matériau à l’état solide

I. Durée de l’essai : 03 jours


VI. Mode opératoire :
NB : cet essai est réalisé sur la partie granulométrique appelée mortier inférieur à 0,04mm
 On malaxe rigoureusement la totalité de l’échantillon afin de bien homogénéiser
 On remplit la coupelle au tiers
 On trace le milieu de l’échantillon à l’aide d’un outil à rainurer et l’essai comme
immédiatement
 La coupelle fixée à l’appareil est soumise à une série de chocs réguliers jusqu’à ce que les
deux lèvres se ferment (nombre de coups de fermeture doit être compris entre 15 et 35)
 Pour confirmer le nombre de chocs, il faut recommencer immédiatement l’essai, si les deux
essais successifs ne diffèrent pas plus d’un choc, on prélève à l’aide d’une spatule deux
échantillons de chaque cote des lèvres et on détermine la teneur en eau.

VII. Conclusion :
Nous pouvons conclure que les sols cohérents (sols fins) passent d’un état de consistance à un
autre de manière progressive en jouant sur la teneur en eau est grande, plus le nombre de coups
(chocs) est petit. Les limites d’ATTERBERG permettent de classer les sols fins.

Bibliographie
https://www.etudier.com (I, V.)
https://pdfcoffee.com II, III
https://laboratoire.blogspot.com(IV, VI)

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