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MPCI-1 (CUP-KAYA)
ATOMISTIQUE :
Structure de la matière
Chapitre Introductif : Rappels et notions fondamentales
La matière se trouve dans la nature sous forme de mélanges (homogène ou hétérogène), et sous
formes de corps purs.
La séparation des mélanges hétérogènes par l’action d’un procédé physique donne des mélanges
homogènes, ces derniers peuvent de nouveau être séparés pour avoir des corps purs. Il existe
plusieurs techniques de séparation des constituants d’un mélange en corps purs (distillation,
décantation,…) et des constituants de corps purs composés en corps purs simples (électrolyse,
radiolyse, etc).
Un corps pur est caractérisé par ses propriétés chimiques ou physiques (température de fusion,
température d’ébullition, masse volumique, indice de réfraction, etc…). On distingue deux
catégories de corps purs :
✓ Corps purs simples constitués d’un seul type d’élément
Exemple : O2, O3, H2, Fe, etc….
✓ Corps purs composés constitués de deux ou plusieurs éléments
Exemple: H2O, FeCl2, HCl, H2SO4, etc…).
La matière est constituée donc de particules élémentaires : les atomes, actuellement, il y a 114
espèces d’atomes connues. Elles diffèrent par leurs structures et leurs masses.
I. Etats de la matière
La matière existe sous trois formes : solide, liquide et gaz. La température et la pression jouent
un rôle très important dans le changement d’état. Le passage de la matière de l’état solide à
l’état liquide se fait par fusion, de l’état liquide à l’état gazeux par vaporisation et de l’état solide
à l’état gazeux par sublimation. Ces transformations sont illustrées par la Figure 1 ci-dessous :
2
Les états de la matière et ses transformations.
II.1. Atomes
La notion d’atome remonte à 400 ans avant J.C., apparaissant dans les écrits de Démocrite, un
philosophe grec, mais les premières preuves expérimentales de l’existence des atomes ont été
rassemblées en 1805 par Dalton :
✓ Loi des proportions définies énoncée par Joseph Proust, selon laquelle lorsque deux
ou plusieurs corps simples s'unissent pour former un composé défini, leur combinaison
s'effectue toujours selon un même rapport pondéral. Cette loi constitue, avec la loi des
proportions multiples, la base de la stœchiométrie en chimie.
✓ Loi de conservation de la masse au cours d’une réaction (Lavoisier « lors d’une
réaction chimique, la masse totale des réactifs est égale à la masse totale des produits
formés »).
Lavoisier émit son hypothèse atomique, suggérant que la matière est constituée d’atomes et
qu’un élément est caractérisé par des atomes de même masse. Lors d’une réaction chimique,
les atomes ne sont ni créés, ni détruits ; ils se recombinent. Ses travaux lui permirent d’élaborer
une échelle des masses atomiques relatives avec quelques erreurs dues à des mauvaises
formulations des composés chimiques, par exemple il considéra que la formule de l’eau était
HO conduisant à une masse 2 fois trop petite pour l’oxygène.
• L’atome est une quantité de matière infiniment petite (un diamètre d≈1Å et une masse
m≈10-26 kg).
Exemple :
• L’atome de carbone C a un diamètre d de (d=1,8A°) et une masse m de (m ≈ 2. 10-26
kg).
3
II.2. Masse atomique
4
Exemple :
MmNa = 3,8 x10-23g => MNa = m x N = 23 g/mol.
II.5. Molécules
Une molécule est une union de deux ou plusieurs atomes liés entre eux par des liaisons. C’est
la plus petite partie d’un composé qui a les mêmes propriétés que le composé.
Exemples :
H2O, H2, HCl, H2SO4, etc….
La masse molaire moléculaire est la masse d’une mole de molécules. Elle est égale à la somme
des masses atomiques des éléments qui la constituent.
Exemple :
MNaOH = MNa + MO + MH = 40 g/mol
Et la masse d’une molécule NaOH est MmNaOH = 40𝑁𝐴= 6,6x10-23 g = 40 u.m.a.
Une réaction chimique est en fait un échange d'atomes entre les molécules dans des conditions
expérimentales définies. Les molécules peuvent être constituées uniquement de deux atomes
(par exemple, le dioxygène est composé de deux atomes d'oxygène) ou de plusieurs millions
d'atomes, cas d’une macromolécule (exemples : molécule de cellulose ou du Nylon).
Deux macromolécules
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Chapitre I : STRUCTURE DE L’ATOME
I. Constituants de l’atome
1. Particules élémentaires
L’atome est constitué d’un nuage d’électron qui entoure un noyau (proton + neutron).
Le nuage d’électron est chargé négativement et le noyau porte une charge positive due aux
protons. L’atome étant électriquement neutre, le nombre d’électrons est égal au nombre de
proton noté Z. le noyau est composé de Z protons et de N neutrons (sans charge électrique). Le
nombre de proton Z qui est aussi le nombre d’électron caractérise un élément chimique. Il est
appelé numéro atomique de l’élément chimique. Le nombre de nucléons (protons + neutrons)
définit le nombre de masse A de l’élément chimique. Un élément chimique est alors noté
masse avec A = N + Z.
Nous remarquons que la masse du proton est sensiblement égale à la masse d’un neutron
et celle de l’électron est 1800 fois moindre de celle du proton. La masse totale de l’atome est
alors concentrée dans le noyau et les électrons occupent tout l’espace.
Des éléments de même Z et de A différent sont des isotopes. Un élément dans la nature est
en générale un mélange dans des proportions variées de ses différents isotopes.
L’unité de masse atomique (ua) correspond au douzième de la masse d’un atome de
carbone(mc/12). La masse mc est donnée par mc = 12/N avec N = 6,025.1023mol-1 le nombre
d’Avogadro. D’où 1ua = 1/N = 1,66. 10-24g.
𝐿𝑛2
𝜆= ; T= période ou demi-vie.
𝑇
La masse d’un noyau est toujours inférieure à la somme des masses des nucléons qui le
constituent. La différence est le défaut de masse Δm ou δ = Zmp + Nmn – mN > 0
D’après la relation d’EINSTEIN sur l’équivalence masse – énergie, δC2 représente une énergie.
Cette énergie serait l’énergie libérée lors de la réaction :
Z protons + N neutrons Noyau
C’est l’énergie qu’il faut fournir à un noyau pour décomposer en ses A nucléons.
E = δC2
Les atomes de nombre de masse très élevés, lorsqu’ils sont bombardés par des neutrons peuvent
subir une cassure conduisant à des atomes plus légers et a des neutrons. Les neutrons émis
peuvent à leur tour provoquer la fission d'atomes voisins, on a une réaction en chaîne explosive.
235 142 92
92𝑈 + 10𝑛 56𝐵𝑎 + 36𝐾𝑟 + 2 10𝑛 + énergie (rayonnement)
Les atomes légers vont chercher à se stabiliser par réaction de fusion. Au cours de ce type de
réactions, deux noyaux légers vont fusionner pour donner un atome plus lourd et diverses
particules.
1
1𝐻 + 31𝐻 4
12𝐻𝑒 + énergie (rayonnement)
2. Loi de Moseley
Le nombre de charge ou nombre de proton Z gouverne les propriétés (électrique,
optique, magnétique) d’un élément. Sa détermination avec précision est donc d’une grande
importance. A partir de ROENTGEN, Moseley proposa une relation qui permet de déterminer
le nombre atomique Z d’un élément. Moseley constate en 1913 que le nombre d’onde de chaque
raie est lié au numéro atomique de l’anticathode par la relation :
C 1 a
a( Z ) (Z )
C
f (Z )
En traçant on obtient une droite dont la pente permet d’accéder à Z.
C
a( Z )
Z
λ : longueur d’onde ; ν : fréquence du rayonnement ; a : constante lié au métal et σ : constante
d’écran
3. Effet photoélectrique
1. Modèle de Rutherford
Dans ce modèle dit «planétaire », l’électron présente un mouvement circulaire uniforme
de rayon r et à la vitesse v autour du proton. L’électron est alors soumis à deux forces : la force
d’attraction coulombienne du proton(F1) et la force centrifuge (F2). L’électron est en équilibre
1 e2 v2
F1 et F2 m
4 0 r 2 r
L’énergie totale E est la somme de l’énergie cinétique (Ec) et de l’énergie potentielle (Ep).
1 2 1 e2
E Ec E p E mv
2 4 0 r
En éliminant la vitesse v dans l’expression de E à partir de l’égalité F1 = F2 il vient :
1 1 e2
E *
2 4 0 r
Nous avons une énergie qui est fonction de r (0 < r < ∞). Ce qui correspond à une énergie
continue qui donnerait normalement un spectre de raie continue. Ces résultats ne sont pas
conformes aux observations expérimentales car BALMER a observé un spectre discontinu de
quatre raies.
2. Modèle de Bohr
Le modèle de Bohr est inspiré de celui de Rutherford. Bohr pour améliorer le modèle de
Rutherford ajoute des postulats :
- Les électrons gravitent autour du noyau en échappant aux lois de la mécanique classique.
C'est-à-dire ils peuvent graviter sans émettre de rayonnement sur certaines orbites appelées
« orbites stationnaires » qui correspondent à des énergies bien déterminées.
- Un atome ne peut émettre ou absorber de rayonnement que si son électron passe d’un niveau
d’énergie à un autre. Toute variation d’énergie au sein d’un atome s’effectue par saut
d’électron d’un niveau à l’autre.
- Bohr détermine les orbites privilégiées en posant arbitrairement une condition
mathématique imposée par la quantité de mouvement : le moment cinétique est quantifié :
me 4 1 13,6
alors E n 2
8 0 h n
2 22
n
Cette nouvelle énergie est fonction de n qui est un entier positif. Cela veut dire que l’énergie
est quantifiée et correspond à un spectre discontinu ou spectre de raie. Cette situation est
conforme avec le fait expérimental.
La variation d’énergie correspondant au transfert de l’électron entre les niveaux n et m est
donnée par ΔE = En – Em = hυ :
hc me 4 1 1
Em En 2 2 2
2 avec m > n
8 0 h n m
1 11 me 4
On en tire alors la formule de Ritz : RH 2 2 avec RH la constante de
n m 8 0 h 3 c
2
On appelle hydrogénoïde tout atome qui ne possède qu’un seul électron (He+ ; Li2+ ; Bi3+). Le
seul électron gravite autour du noyau de charge +Ze. On a alors :
me 4 1 2 13,6
En Z 2 Z2
8 0 h n
2 2
2
n
Pour un électron donné il existe des électrons qui font écran entre cet électron et le noyau.
Tout ce passe comme si chaque électron voyait un noyau fictif de charge plus faible :
me 4 1 13,6
En (Z ) 2 2 (Z ) 2
8 0 h n
2 2 2
n
Sur
1s - - 0,30 - 0
nd 1 1 1 0,35 0
Suivant les valeurs de l’entier n, la formule de Ritz permet de trouver des séries de raies :
Une raie ne sera émise que si elle satisfait à certaines conditions : la règle de transition spectrale
pour l’atome d’hydrogène est Δℓ= 0 ± 1. Avec cette condition d’émission nous obtenons cinq
(05) raies observées expérimentalement.
ℓ=2
n=3 ℓ=1
ℓ=0
Hα
ℓ=1
n=2
Bohr ℓ=0
1raie Sommerfeld (5 raies)
Sous l’effet d’un champ magnétique, on observe le dédoublement des raies spectrales : c’est
l’effet Zeeman. Cet effet correspond à l’orientation du plan de la trajectoire par rapport au
champ magnétique H. Le nombre quantique magnétique ml est alors introduit pour déterminer
les différentes orientations de la trajectoire avec -l ≤ ml ≤ +l soit (2l + 1) valeurs de ml.
NB : l’électron tourne autour de son axe. Il existe un moment cinétique de spin S = ± 1/2
La théorie Bohr – Sommerfield explique très bien l’effet Zeeman, cependant elle demeure
incapable d’expliquer le détail des spectres des atomes à plusieurs électrons. Pour remédier aux
insuffisances DE BROGLIE, HEINSENBERG, SCHRODINGER et DIRAC ont fondé la
mécanique ondulatoire. Le modèle ondulatoire ne considère plus l’électron comme une
particule mais il lui associe une onde. D’après Louis De Broglie, si le corpuscule électron de
masse m est en mouvement à la vitesse V, ou pourrait lui associer une onde de longueur d’onde
h h
λ telle que : . Cette onde serait électromagnétique si la vitesse V est de l’ordre de
mV p
la vitesse de la lumière. Si l’électron est accéléré par une ddp U, on a
1
Ec eU mV 2 2eU mV 2
2
L’électron obéit aux lois de la mécanique ondulatoire. L’onde associée à l’électron est
stationnaire (en phase avec elle-même, la circonférence de l’orbite est un multiple entier de la
longueur d’onde). Son amplitude à chaque point de l’espace est indépendante du temps. L’onde
est donnée par une fonction ou orbitale représentée par ψ(X, Y, Z)
- ℓ : il est le nombre quantique secondaire ou azimutal. C’est un entier positif ou nul prenant
n valeurs comprises entre 0 ≤ ℓ ≤ n-1. Il définit les sous couches ou quantifie le module
h
du moment cinétique orbital de l’électron ( l ( 1) ). Il définit la forme de
2
l’orbitale. Pour ℓ =0 : orbitale s ; ℓ =1 : orbitale p ; ℓ =2 : orbitale d ; ℓ =3 : orbitale f ; …
les orientations possibles des orbites dans un champ magnétique d’induction B . Il quantifie
aussi la projection du moment cinétique dans une direction donné (l’axe z). Il caractérise
aussi la case quantique. Il prend (2 ℓ +1) valeurs comprises entre – ℓ ≤ m ≤ + ℓ
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Chapitre I1 : Structure électronique-classification périodique
II. Configuration électronique
La configuration électronique d’un atome renseigne sur la répartition des électrons
autour du noyau. Il s’agit de distribuer les Z électrons au niveau des couches, sous-couches et
cases quantiques. Cette distribution est régit par des règles ou principes qui permettent de
différencier deux électrons d’un même atome.
augmente.
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Chapitre I1 : Structure électronique-classification périodique
Tableau 2 : Règle de Klechkowsky donnant l’ordre de remplissage des orbitales
atomiques par les électrons
n ℓ ℓ =0 ℓ=1 ℓ=2 ℓ=3
n=1 1s
n +l = 1
n=2 2s 2p
n +l = 2 n +l = 3
n=3 3s 3p 3d
n +l = 3 n +l = 4 n +l = 5
n=4 4s 4p 4d 4f
n +l = 4 n +l = 5 n +l = 6 n +l = 7
n=5 5s 5p 5d 5f
n +l = 5 n +l = 6 n +l = 7 n +l = 8
n=6 6s 6p 6d
n +l = 6 n +l = 7 n +l = 8
n =7 7s 7p
n +l = 7 n +l = 8
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Chapitre I1 : Structure électronique-classification périodique
suivant le numéro atomique Z croissant. Le tableau actuel est un tableau à double entrées:
lignes et colonnes. Les lignes (sept lignes) du tableau correspondent au remplissage d’une
même période (n identique) et les colonnes (dix-huit colonnes) quant à elles correspondent aux
différents groupes ou famille chimiques.
- Bloc s : excepté l’hydrogène, il regroupe les familles (deux au total) aux structures [GR]
ns1 et [GR] ns2. Le groupe [GR] ns1 correspond à la famille des alcalins et le groupe [GR]
ns2 correspond à la famille des alcalino-terreux.
- Bloc d : il regroupe les éléments de transition qui ont une structure [GR] (n-1)dknsz. Un
élément de transition est un élément qui possède à l’état atomique une sous- couche d
partiellement remplie. Les éléments de transition regroupent dix colonnes ou groupes.
NB :
- Un élément est métal si le nombre d’électron sur sa dernière couche (n le plus grand) est
inférieur ou égal à sa période n à l’exception de l’hydrogène et du germanium.
- Pour un élément de structure [GR]nsx le groupe est x ; pour [GR]nsxnpy le groupe est 10+
x+y ; pour [GR](n-1)dknsz le groupe est k+z.
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Chapitre I1 : Structure électronique-classification périodique
III.3. Période
- Le rayon atomique diminue du premier au dernier élément d’une période ‘mis à part quelque
irrégularités pour les éléments des blocs d et f) puis augmente brusquement au début de la
période suivante
- Le rayon des éléments d’une même colonne augmente avec Z
- Dans une période, l’énergie d’ionisation (EI : énergie minimale à fournir pour réaliser la
réaction en phase gazeuse X(g) X(g)+ + e-) croit quand Z croit.
- Dans un groupe EI décroit quand Z croit (effet d’écran croit)
- L’affinité électronique AE (opposé de EI X(g) + e- X(g)-) augmente dans une
période de la gauche vers la droite mais reste à peu près constante dans un groupe.
- Valence d’un élément : c’est le nombre maximal de liaison que cet atome peut former dans
ses combinaisons avec l’hydrogène ou le fluor. Elle correspond en général au nombre
d’électron qui peuvent être célibataire pour l’atome considéré.
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Chapitre I1 : Structure électronique-classification périodique
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Chapitre I1 : Structure électronique-classification périodique
I. Liaison chimique
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Géométrie et angle de liaison dans l’espace à partir de la formulation VSEPR
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AX E = m+n Forme Angle
n m
2 Line 180°
3 Triangle 120°
4 Tétraèdre 109,47°
5 Bipyramide trigonale 90° et 120°
6 Octaèdre 90°
7 Bipyramide pentagonale 72° et 90°
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Exercice (5pts)
Bibliographie
1. Prof. Antoine GEDEON, Prof. Ariel de KOZAK. (28/5/2007) Support de cours de chimie
générale : Atomistique et liaisons chimiques. PCEM 1, Université Pierre-et-Marie-Curie.
France. UFR Biomédicale, Médicine PARIS DESCARTES.
2. Dr. R. SALGHI, Pr. L. BAZZI, Pr. A. BELHACHEMI. COURS D’ATOMISTIQUE Filière
Classe préparatoire, Première Année. UNIVERSITE IBN ZOHR
3. Dr. Nadjib BENOSMANE, (2016/17) CHIMIE-1 : Structure de la Matière. 1 Année (S01)
4. Université M’Hamed Bougara (UMBB) Faculté des Sciences Département de Chimie
5. Dr BENDAOUD Nadia. (2015/16) Structure de la matière, Chimie 1 –Cours & Exercices.
Université des sciences et de la Technologie d’Oran « MOHAMMED BOUDIAF » Faculté
de Génie Mécanique
6. DUNOD. (2016) Chimie générale, Licence CAPES et PACES. PARIS
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