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Réalisé par : Encadré par :

IMANE BEN CHAHBA M.YOUSSEF GARIR


 L’importance des essais
 Essai d’équivalant du sable
 Le bleu de méthylène
 Los Angeles
 Micro dévale
 Les limites d’atterberg
contrôle

1. EQUIVALENT DE SABLE
Définition :
Il permet de mesurer la propreté et de mettre en évidence la
proportion relative de poussière fine nuisible ou d'éléments argileux
dans les sols ou agrégats fins.
Principe :
Consiste à séparer le sable des particules très fines qui remontent
par floculation à la partie supérieure de l'éprouvette.
Matériel utilisé:
- Eprouvettes en matière plastique, avec deux traits repères
- Entonnoir
- Bonbonne de 51
- Bouchon pour cette bonbonne, avec siphon et tube souple de
1,50m
- Tube laveur, prolongeant le tube souple ; métallique
- Machine agitatrice, électrique ou manuelle
- Règle de mesure
- Piston
- Tamis, balance
- Chronomètre, thermomètre

ES= 100*(h2/h1)

Résultats:
2. LE BLEU DE METHYLENE
Définition:
L’essai au bleu de méthylène, ou « essai au bleu », est utilisé
pour déterminer la richesse en argile d'un sable ou d'un granulat.
L’essai consiste à déterminer la quantité de particules argileuses
présentes dans l'échantillon. Pour cela on utilise du bleu de
méthylène, substance adsorbée de préférence par les argiles.










Principe :
A la prise d’essai agitée dans l’eau, on injecte successivement des
doses de 5ml d’une solution de bleu de méthylène. Après chaque
injection, une goutte est prélevée et déposée sur un papier filtre. Le
test devient positif lorsque l’auréolé, d’abord incolore, demeure bleue
clair pendant 5 minutes. La valeur de bleu est la quantité de solution
injectée rapportée par proportionnalité directe à la fraction 0/50 mm du
sol.

3. LOS ANGELES :
Définition :
Par définition, le coefficient Los Angeles est le rapport entre la
fraction passante au tamis de 1,6mm de l’échantillon après
passage en machine sur la masse initiale.
But :
Cet essai a pour but de mesurer la résistance à la fragmentation par
chocs des éléments d’un échantillon de granulats dont leur propriété
pourrait être modifiée lors du malaxage.
Principe :
L’essai consiste à mesurer la quantité d’éléments inférieurs à
1,6mm produite en soumettant le matériau aux chocs de boulets
normalisés et aux frottements réciproques dans la machine Los
Angeles. La granularité du matériau soumis à l’essai est choisie
parmi six granularités-types, de la classe granulaire 4/6,3 mm –
6,3/10 mm – 10/14 mm – 10/25 mm – 16/31,5 mm et 25/50 mm, se
rapprochant au mieux de la granularité du matériau tel qu’il sera
mis en œuvre.
• Le poids de la charge de boulets varie en fonction du type de
granularité.
Matériel utilisé :
 Un jeu de tamis (exemple : si classe granulaire 10/14 alors
tamis de 10 et 14 Seront nécessaires)
 Un appareil et la machine Los Angeles
 Une étuve (105°C ± 5°);
 Un bac destiné à recueillir les matériaux
 Un tamis de 1,6mm
 Une balance
 7 à 12 boulets (selon la granulométrie) sphériques de 47
mm de diamètre
 environ et pesant 420 à 445 g.

LA = Poids initial – Poids final x 100


Poids initial

Résultat :
4. ESSAI MICRO DEVAL EN PRESENCE D’EAU
Définition :
Par définition, le coefficient Micro Deval à eau est le rapport entre
la fraction passante au tamis de 1,6mm de l’échantillon après
passage en machine sur la masse initiale.
But :
Cet essai a pour but de mesurer la résistance à l’usure produite
pour certaines roches car elle n’est pas la même à sec ou en présence
d’eau.
Principe :
L’essai est destiné à appréhender la résistance à l’usure produite
dans un cylindreen rotation, en présence d’eau par frottement entre
les granulats d’un échantillonet une charge abrasive.
Le poids de la charge de boulets varie en fonction du type de
granularité.
Matériel utilisé :
Un jeu de tamis (exemple : si classe granulaire 10/14 alors tamis
de 10 et 14 seront nécessaires)
• Un appareil Micro-Deval
• Une étuve (105°C ± 5°)
• Un bac destiné à recueillir les matériaux
• Un tamis de 1,6mm
• Une balance
• Des billes
5. LES LIMITES D’ATTERBERG
Définition :

Les limites d’Atterberg définissent les seuils entre les différents


états dans lesquels peut se trouverun sol sous l’effet de l’eau, ils
s’appliquent aux sols dont les éléments passent à travers le tamis
d’ouverture 400μm.
Ces états sont définis par les paramètres suivants :
Limite de plasticité : La limite de plasticité (Wp) caractérise
la transition entre un état solide etun état plastique.
Limite de liquidité : La limite de liquidité (WL) caractérise
la transition entre un état plastiqueet un état liquide.
Indice de plasticité : La différence Ip = WL - Wp. C'est
l'étendue de l'intervalle pendant lequelon peut " travailler " le
sol.
L’indice de la consistance : calculé par la formule suivante :

WL–W
IC =
IP
Objectif :

Déterminer les teneurs en eau qui caractérisent le changement d’état.

Solide Plastique
Plastique Liquide

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