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Le saviez-vous ? Le Maroc, l'un des rares pays cultivant à la fois la canne à sucre et la
betterave sucrière, s'est hissé à la 9e position parmi les 10 principaux exportateurs mondiaux
de sucre entre 2021 et 2022. Dans un contexte économique avec une production nationale
déficitaire et une croissance des ventes de sucre, la fusion entre Cosumar et Sucrafor a
émergé, suscitant l'intérêt des acteurs économiques. Cette union va au-delà d'une simple
fusion d'entreprises, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités, défis et dynamiques dans le
secteur sucrier.
De cette problématique centrale découle certaines question qui sont les suivantes :
Ainsi, dans le cadre de cet exposé, nous allons détailler les origines, les motivations, les
implications et les leçons de la fusion entre Cosumar et Sucrafor, en examinant son impact
sur l'industrie sucrière marocaine et au-delà des frontières marocains.
Conclusion
La fusion entre Cosumar et Sucrafor illustre les changements économiques et industriels au
Maroc, offrant des leçons sur la gestion du changement, la stratégie d'entreprise et la
création de valeur dans un environnement en mutation. Cependant, la menace majeure pour
le groupe est le réchauffement climatique, avec des effets significatifs tels que la baisse du
chiffre d'affaires due à la sécheresse, illustrée par un taux d'avancement de campagne
sucrière en baisse par rapport à l'année précédente. Malgré ces défis, le Groupe Cosumar,
soutenu par les autorités et les partenaires institutionnels, déploie des efforts pour atténuer
l'impact de la sécheresse et contribuer à la souveraineté alimentaire du pays .
Source :
Rapport annuel cosumar 2015,( 2016) et (2017)
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