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Sous le thème :
Réalisé par :
Fatima zahra AliBrahimi
Hafssa Essady
Encadré par :
Imad Elharaki
Année Universitaire : 2023/2024
Mesure des performances thermiques d’un bloc administratif UIR 1
Remerciement
Nous souhaitons exprimer notre profonde gratitude envers notre auditeur interne, M. Imad EL
HARRAKI. Nous sommes reconnaissants de son soutien, de ses conseils précieux, de ses critiques
constructives, de sa disponibilité et de son expertise, ainsi que des expériences qu’il a généreusement
et humblement partagées avec nous. En conclusion ce projet, nous tenons à remercier sincèrement
toutes les personnes qui ont contribué, de près ou de loin, à sa réussite tout au long de sa réalisation.
1 Introduction générale 10
4
3.3.2 Isolation Thermique de l’enveloppe du bâtiment . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
3.3.2.1 Introduction au logiciel BINAYATE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
3.3.2.2 Murs de façades . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
3.3.2.2.1
Partie pleine des parois verticales extérieures :273.3.2.2.2
Baies de facade :293.3.2.2.3
Baies de façade
double vitré :293.3.2.2.4
Couvertures :30
3.3.2.3 Système distributif et séparatif : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
3.3.2.3.1
Parois verticales intérieures : 31
3.3.2.4 fiche technique simplifiée relative aux performances thermiques d’un
batiment : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
4 Modélisation du bâtiment 36
4.1 Modélisation 3D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
4.2 Calcul des charges . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
5 Conclusion 52
6 Annexe 53
6.1 Tableau des Charges Thermiques sans isolation Zone 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
6.2 Tableau des Charges Thermiques avec isolation Zone 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
6
3.23 Mur bureau 15 cm . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
3.24 Mur intérieur 15 cm . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
3.25 Mur intérieur 30 cm . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
3.26 Porte 75-80 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
3.27 Plancher intermédiaire normal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
3.28 Fiche technique approche descriptive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Introduction générale
10
Chapitre 2
11
2.1.1 Contexte géographique :
une conception architecturale bien pensée améliore le confort tout en réduisant la consommation
d’énergie. car elle englobe un ensemble de décisions et de choix qui peuvent avoir un impact significatif
sur la manière dont le bâtiment réagit aux variations de température extérieure, ainsi que sur son
efficacité énergétique globale.A titre d’exemple ,une isolation adéquate des murs, toit et planchers
minimise les pertes d’énergie. La disposition stratégique des fenêtres optimise l’entrée de lumière
naturelle tout en évitant la surchauffe. L’orientation du bâtiment par rapport au soleil réduit la
nécessité de systèmes de chauffage ou de refroidissement artificiels.
Dans la suite du projet , on va se baser sur les plans architecturals (Voir Drive ) pour évaluer la
performance thermique .
Le développement durable vise à répondre aux besoins actuels sans compromettre la capacité des
générations futures à satisfaire les leurs. Il englobe trois aspects essentiels : économique, social et envi-
ronnemental. L’idée est de trouver un équilibre entre ces dimensions pour assurer un développement à
long terme, tenant compte des défis tels que la croissance démographique, la mondialisation, les effets
de serre et l’épuisement des ressources.
Le bâtiment à basse consommation se caractérise par une utilisation nettement réduite d’énergie
primaire, couvrant divers aspects tels que le chauffage, le refroidissement, la ventilation, la pro-
duction d’eau chaude sanitaire, l’éclairage, et les auxiliaires techniques, y compris les pompes. La
caractéristique essentielle réside dans le fait que sa consommation énergétique conventionnelle est
inférieure de 80 par rapport à la norme réglementaire établie. Il est crucial de noter que, pour les
bâtiments d’habitation, l’atteinte des objectifs de performance BBC dépend de la zone climatique et
de l’altitude, des éléments clés pour promouvoir la durabilité et l’efficacité énergétique dans le secteur
du bâtiment.
— Inciter les architectes, ingénieurs et maı̂tres d’œuvre à utiliser des principes de conception
La RTCM fixe des exigences en matière de performances de l’enveloppe des bâtiments neufs :
niveau d’isolation thermique, optimisation du taux de vitrage par orientation, protection solaire des
fenêtres,etc. Selon L’une des deux approches :
Prescriptive : fixe les exigences réglementaires des caractéristiques thermiques de l’enveloppe des
batiments.
Le RTCM établit les spécifications techniques minimales des performances thermiques des bâtiments,
en conformité avec une approche performantielle qui se fonde sur les indications fournies par la carte
et le tableau ci-après.
15
Figure 3.2 – les performances thermiques des batiments résidentiels par zone en KWH/M²/AN
Étant donné que Rabat est classée dans la zone 1 d’Agadir, la performance thermique de notre
bâtiment ne doit pas excéder 40 kWh/m2 /an.
Afin de respecter les exigences minimales stipulées dans les tableaux de la RTCM, le calcul du taux
global des baies vitrées revêt une phase déterminante . le TGBV se définit comme le rapport entre la
surface totale des fenêtres (comprenant les cadres) et la surface totale brute des murs extérieurs.
Les exigences limites réglementaires des caractéristiques thermiques de l’enveloppe des bâtiments
à usage de bureaux :
le calcul des surfaces vitrées pour les 5 étages dans les différentes orientations(EST,OUEST,NORD,SUD)
sont illustrés dans le tableau suivant :
L’exploitation de l’énergie solaire de manière passive revêt une importance significative en tant
que composante majeure du climat. Son impact prédominant sur les vitrages plutôt que sur les murs
en fait une source de chaleur notable. La variété des vitrages et de leurs auxiliaires, tels que les écrans
et les stores, exige une évaluation des gains à travers une surface vitrée standard, avec des ajustements
appropriés pour différents types de vitrages.
Le coefficient d’absorption α du mur dépend de la couleur et de la nature de la paroi, tandis
que le facteur de rayonnement F indique la proportion de chaleur absorbée par la surface et transmise
à travers le mur du local. La valeur du rayonnement solaire Rm sur un mur est influencée par des
paramètres tels que la latitude du local, l’orientation du mur et l’heure à laquelle le calcul est effectué.
La quantité de chaleur apportée par le rayonnement solaire traversant un mur [Qm] est évaluée
par l’équation :
Qm = α · F · S · Rm
Les composantes de cette équation incluent le coefficient d’absorption α, la surface des parois S,
le facteur de rayonnement solaire F et le rayonnement solaire absorbé sur la surface du mur Rm.
Pour le calcul de la chaleur traversant les vitrages [Qv], on utilise la formule suivante :
Qv = α · g · S · Rv
La température des surfaces opaques d’un bâtiment, telles que les toits et les murs, peut dépasser
la température ambiante extérieure en raison du rayonnement direct du soleil. Cette augmentation de
la température des surfaces opaques entraı̂ne une augmentation du transfert de chaleur dans l’espace
conditionné du bâtiment. Outre l’impact du rayonnement solaire direct, la couleur et la densité des
matériaux extérieurs jouent également un rôle dans cette température. Ces apports de chaleur sont
quantifiés par la formule suivante :
Qstrs = U · S · ∆θ
−S est la surface de la paroi ou de la fenêtre considérée (surface totale de la baie correspondant à la réservation
−∆θ correspond à la différence de température entre les deux faces de la paroi considérée en °C.
De manière analogue, examinons l’exemple d’un espace bureau pour illustrer le calcul.
La ventilation, cruciale pour garantir une qualité d’air hygiénique et une quantité suffisante d’air
dans les bâtiments, peut être mise en œuvre à travers une variété de systèmes et de technologies. La
plupart de ces approches convergent vers le renouvellement périodique d’un volume spécifique d’air
intérieur, remplaçant ainsi l’air existant par de l’air frais provenant de l’extérieur. Ce processus peut
influencer la dissipation de chaleur vers l’extérieur pendant les périodes de chauffage ou augmenter
les apports de chaleur en été. Une gestion attentive des paramètres de ventilation et des débits d’air
est cruciale pour maintenir les besoins à un niveau optimal.
Ainsi, le renouvellement d’air représente une source d’apports de chaleur, tant sensible que latent,
à l’intérieur du local. Ces apports peuvent être modélisés par les équations suivantes :
Gains sensibles par renouvellement d’air :
−qv représente le débit d’air extérieur de renouvellement, calculé en fonction du nombre de personnes et de la qu
−ωe est la teneur en eau de l’air extérieur, exprimée en g/kg d’air sec.
Illustrons ces concepts en prenant l’exemple d’une salle de réunion théoriquement occupée par 16
personnes, comme présenté dans le tableau suivant.
Les apports de chaleur à l’intérieur d’un espace proviennent de diverses sources, se traduisant à
la fois par du dégagement de chaleur sensible et de chaleur latente. Les principales sources de chaleur
internes sont les suivantes :
— Les apports électriques, tels que l’éclairage, les moteurs et les appareils électriques, contri-
buant principalement à la chaleur sensible.
Ces différentes sources de chaleur interne se dissolvent dans l’environnement intérieur de manière
variée, combinant des processus de convection et de rayonnement, chaque source présentant des pro-
portions différentes selon leur nature.
Lorsque l’on se concentre spécifiquement sur l’éclairage, il est important de noter que les appa-
reils d’éclairage constituent une source de chaleur sensible. Cette chaleur est générée à travers le
rayonnement et la convection avec l’air ambiant. Un pourcentage de la chaleur émise sous forme de
rayonnement est absorbé par les matériaux environnants, puis stocké. Lorsque l’éclairage est éteint,
l’ensemble de la chaleur stockée est restitué au local, créant ainsi un apport retardé. Les proportions
de chaleur émises par convection et rayonnement dépendent essentiellement du type d’ampoules ou
de luminaires utilisés.
En se basant sur les données du tableau, on peut déduire la totalité des apports thermiques estivaux
en retranchant les valeurs des puissances sensible et totale nécessaires au bâtiment pour maintenir le
confort thermique dans la Tour CFC.
Les résultats obtenus suite à des calculs manuels, en utilisant les équations mentionnées précédemment,
sont les suivants :
En exploitant les capacités du logiciel CYPETHERM Loads pour simuler les charges thermiques
dans la salle de réunion destinée à accueillir 16 personnes, il est pertinent d’ajouter que ce logiciel
intègre des fonctionnalités avancées permettant une modélisation précise des besoins énergétiques.
Il est à noter que le logiciel CYPETHERM Loads offre également une limite, un cadre ou une
interface qui assure un contrôle sur la simulation et garantit des résultats fiables. Cette fonction de
limitation contribue à assurer la validité des données générées par le logiciel .
En examinant de près, on constate que les valeurs issues des deux méthodes différentes
sont pratiquement identiques.
Il est donc justifié de considérer ce programme comme un moyen fiable de calcul du
bilan thermique.
De plus, il convient de souligner sa rapidité et sa simplicité d’utilisation, renforçant ainsi
sa pertinence dans l’analyse thermique.
l’objectif premier d’une maison passive est de minimiser les pertes énergétiques plutôt que de
maximiser les gains,mais il est indéniable que les apports gratuits internes ou solaires sont importants.
En période de chaleur, il faut prendre en compte les protections solaires afin d’éviter tout inconfort
dû à une surchauffe du logement. Le principe sous-jacent est de bloquer les apports directs et indirects
de chaleur, tout en conservant leur utilité pendant les périodes froides. Ces dispositifs d’ombrage, qu’ils
soient fixes ou amovibles, artificiels ou naturels, sont souvent conçus en tenant compte de la trajectoire
du soleil, pour guarantir une transparence en hiver et une efficacité en été.
Les moyens de protection solaire applicables au Maroc varient en fonction des besoins spécifiques
du climat local. Voici quelques caractéristiques, avantages et inconvénients des moyens de protection
solaire :
— La végétation :
— Brise-Soleil Horizontaux :
— Stores en Toile :
— Pour la porte d’entrée : un Auvent horizon suspend En verre, (environ 1500 DHs avec pose)
— Pour les fenêtres et les portes vitrées : des Stores extérieurs Motorisés à lames horizontales
mobiles (environ 3000DHs/m² avec pose).
Dans cette section dédiée à l’isolation thermique de l’enveloppe du bâtiment, nous abordons le
problème de l’inconfort thermique, qui se manifeste lorsque l’écart de température entre le rayonne-
ment des parois du bâtiment et l’air intérieur dépasse 3°C. Pour prévenir ce phénomène et réduire la
dépendance au chauffage, le choix judicieux des matériaux et une bonne isolation sont essentiels. Nous
procéderons à des calculs du coefficient de transmission thermique (U) pour chaque paroi, en explo-
rant plusieurs scénarios applicables au Maroc. L’objectif est de recommander des systèmes conformes
à la Règlementation Thermique de la Construction Marocaine (RTCM), tout en étant rentables,
écologiques et économiques.
Le logiciel BINAYATE a été conçu par l’AMEE dans le cadre du projet de ”Code d’Efficacité
Énergétique dans les Bâtiments” en collaboration avec le GEF et le PNUD. BINAYATE Prescrip-
tive est un programme informatique développé pour justifier le respect des exigences du ”Règlement
Thermique de Construction au Maroc” de 2014 par l’approche prescriptive. Il peut être utilisé pour
les bâtiments résidentiels ou tertiaires (enseignement, santé, tourisme et autres) tel qu’indiqué par le
cadre d’application du règlement. De plus, selon cette réglementation, l’approche prescriptive et, par
conséquent, l’usage de BINAYATE Prescriptive est conditionné par un taux global des baies vitrées
(TGBV) du bâtiment inférieur à 45 pour cent de la surface des murs extérieurs des espaces chauffés
et/ou climatisés dudit ouvrage.
Dans la suite , on va se baser sur ce logiciel pour calculer le coefficient de transmitance thermique
et le coefficient solaire pour les Murs de façades et les couvertures .
Le coefficient de transmission thermique U correspond au taux d’écoulement de chaleur
en régime permanent divisé par mètre carré de surface et par la différence de température entre les
Vue de mur :
Transmittance thermique, U : 0.83 W/(m²·K
Épaisseur totale 29.00 cm
Vue de mur :
Transmittance thermique, U : 0.41 W/(m²·K)
Épaisseur totale 29.00 cm
Les prescriptions du Règlement Thermique de Construction au Maroc en ce qui concerne les baies
vitrées se résument, pour la villa étudiée, à un coefficient de transmission thermique ne dépassant pas
3,3 W/m²K. En comparant cette valeur avec celles fournies dans le tableau ci-dessous, il est possible
de déterminer le type ou les types de fenêtres qui respectent la réglementation. Le calcul du coefficient
U a été effectué à l’aide du logiciel CYPE LOADS.
Pour améliorer l’isolation acoustique et garantir un confort optimal, il est recommandé d’opter
pour des doubles vitrages comprenant des verres séparés par des films intercalaires, tels que les films
3.3.2.2.4 Couvertures :
L’objectif principal de l’isolation thermique dans cette application est de maintenir la température
de la surface du sol aussi proche que possible de celle de l’air, afin de minimiser les pertes de chaleur,
assurer le confort ambiant et prévenir la formation de condensation. Isoler les planchers permet des
économies d’énergie en climatisation, car environ 15 à 20 pour cent des pertes de chaleur dans un
bâtiment se produisent à travers le plancher, selon l’ADEREE. De plus, cette isolation contribue à
réduire les risques de condensation interstitielle et superficielle, améliore le confort en maintenant une
Transmittance thermique, U : 0.64 W/(m²·K)
Épaisseur totale 38.00 cm
Modélisation du bâtiment
4.1 Modélisation 3D
La gestion de l’efficacité énergétique des bâtiments est devenue un enjeu majeur dans le domaine de
la construction et de la gestion immobilière. Pour répondre à cette demande croissante, de nombreuses
entreprises et organisations utilisent des outils de modélisation avancés pour concevoir, analyser et
optimiser les performances énergétiques des bâtiments.
Dans ce contexte, IFC Builder se positionne comme un logiciel essentiel, offrant des fonctionnalités
avancées de modélisation et d’intégration de données conformes au standard international IFC (In-
dustry Foundation Classes).
Grâce à son utilisation, les acteurs de l’industrie peuvent créer et gérer efficacement des modèles de
bâtiments virtuels, ce qui facilite l’échange d’informations entre les différentes parties prenantes et
contribue à améliorer l’efficacité énergétique des projets de construction.
36
Ci-joint, un schéma résumant les principales étapes :
1. Modélisation Géométrique
- Création de la structure du
bâtiment (murs, planchers, ou-
vertures, etc.)
3. Simulation Énergétique
- Prévisions de la consommation
énergétique dans différentes
conditions climatiques
- Identification des zones à
problèmes
Figure 4.2 – Schéma du projet d’efficacité énergétique des bâtiments utilisant IFC Builder
IFC Builder
Le schéma présent illustre le processus d’optimisation de l’occupation des locaux à l’aide de CYPE
Loads, que nous allons suivre dans ce chapitre. Des détails plus approfondis seront explicitement
mentionnés dans le schéma suivant :
3. Planification de la Climatisation
- Sélection des systèmes de refroidissement
- Configuration des zones climatisées
- Programmation des horaires
- Réduction de la consommation d’énergie
pendant les périodes non occupées
Figure 4.18 – Schéma d’optimisation de l’occupation des locaux avec CYPE Loads.
Figure 4.20 – La configuration choisi pour les parametres de climatisation dans les locaux.
Figure 4.27 – Évolution horaire de la charge maximale simultanée de refroidissement (21 Août)
Figure 4.30 – Évolution horaire de la charge maximale simultanée de refroidissement (21 Août)
Conclusion
En conclusion, le choix d’un tel sujet à aboder dans le cadre de la modélisation nous a offert une
expérience extrêmement formatrice, mettant en lumière l’importance cruciale de l’étude énergétique
dans le contexte spécifique des bâtiments tertiaires, une dimension essentielle du domaine du génie
civil. À travers les différentes phases du projet, nous avons non seulement pu acquerir des connaissances
en génie civil, mais également comprendre comment l’efficacité énergétique influe sur la conception et
la gestion des bâtiments.
La délimitation précise du local administratif, les calculs conformes au RTCM, et la modélisation
du bâtiment ont démontré comment l’étude énergétique devient un élément central dans la création
de bâtiments tertiaires efficaces sur le plan énergétique. Ces compétences sont d’une importance
particulière pour les futurs ingénieurs civils, car elles élargissent notre compréhension des enjeux
complexes liés à la conception des structures, intégrant des considérations énergétiques qui jouent un
rôle de plus en plus crucial dans le secteur du génie civil.
En mettant en pratique nos compétences dans un contexte réel, ce sujet a renforcé notre capacité
à aborder des problèmes concrets et à prendre des décisions informées dans le domaine du génie
civil, offrant des perspectives concrètes sur la manière dont l’étude énergétique impacte et enrichit
notre formation en génie civil.En faisant une étude énergétique globale , cette expérience a également
souligné comment les avancées en efficacité énergétique peuvent contribuer de manière significative
à la durabilité et à la responsabilité environnementale, des aspects de plus en plus intégrés dans le
domaine du génie civil moderne.
52
Chapitre 6
Annexe
53
Mesure des performances thermiques d’un bloc administratif UIR 54
Mesure des performances thermiques d’un bloc administratif UIR 55
Mesure des performances thermiques d’un bloc administratif UIR 56
Mesure des performances thermiques d’un bloc administratif UIR 57
Mesure des performances thermiques d’un bloc administratif UIR 58
6.2 Tableau des Charges Thermiques avec isolation Zone 1
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sharing
Cours BEM TO BIM M CHerkaoui
Guide RTCM
Reglement thermique
Rapport du projet de fin d’étude Efficacité énergétique dans le bâtiment : villa basse consom-
mation ”AOUAD Khaoula”
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