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THÈME N°18 Itziar Pérez González

LA LOCALISATION DANS L’ESPACE


La localización en el espacio.

TABLE DE MATIÈRES
1. INTRODUCTION .................................................................................................................. 2
2. LES ADVERBES .................................................................................................................... 2
3. LES DÉMONSTRATIFS.......................................................................................................... 2
3.1. LES DÉTERMINANTS DÉMONSTRATIFS ........................................................................ 2
3.2. LE PRONOM DÉMONSTRATIF ...................................................................................... 3
4. LES PRÉPOSITIONS .............................................................................................................. 3
4.1. LES PRÉPOSITIONS POUR INDIQUER DES VILLES, PAYS. .............................................. 3
4.2. LA PRÉPOSITION À ....................................................................................................... 4
4.3. LES PRÉPOSITIONS D’ORIENTATION ............................................................................ 4
4.3.1. CHAMP DE VISION ................................................................................................ 4
4.3.1.1. Devant ........................................................................................................... 4
4.3.1.2. Derrière ......................................................................................................... 4
4.3.2. ORIENTATION VERTICALE ..................................................................................... 5
4.3.2.1. Hauteur « sur » ............................................................................................. 5
4.3.2.2. Profondeur « sous » ...................................................................................... 5
4.3.3. ORIENTATION LATERALE ...................................................................................... 6
4.3.3.1. À droite, à gauche, à côté de ........................................................................ 6
4.3.3.2. Autour de ...................................................................................................... 6
4.3.3.3. Autres expressions ........................................................................................ 7
4.3.4. PORTÉE ................................................................................................................. 7
4.3.4.1. Position (chez) ............................................................................................... 7
4.3.4.2. Proximité et éloignement « près de, loin de » ............................................. 7
4.3.4.3. Accès (« vers », « envers ») ........................................................................... 8
5. LE PRONOM ADVERBE « Y » ............................................................................................... 9
6. LE RÉLATIF OÙ .................................................................................................................... 9
7. CONCLUSION ...................................................................................................................... 9
8. BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................. 10

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THÈME N°18 Itziar Pérez González

1. INTRODUCTION

Nous allons tout d’abord montrer l’importance de thème pour nous, professeurs de langue
étrangères, puis nous donnerons quelques définitions pour entrer dans le contexte, et
finalement nous indiquerons ce que nous étudierons tout au long du thème.

Ce thème est pertinent pour nous en tant que professeurs de français puisque nous allons
apprendre les procédés pour exprimer la localisation dans l’espace en français. C’est pour cela
que nous allons définir ce terme : localiser, c’est déterminer l’emplacement d’une personne
ou d’une chose.

Il existe divers moyens pour exprimer cette localisation dans l’espace dans la langue française.
Parmi ces moyens nous présenterons les adverbes, les démonstratifs, les prépositions, le
pronom adverbe « y » et le pronom relatif « où ».

2. LES ADVERBES

Les positions fondamentales de l’espace sont particulièrement mises en évidence par les
marqueurs déictiques spatiaux ou adverbes « ici », « là » et « là-bas ». L’opposition entre
« ici » et « là » paraît simple et utile : « ici » concerne un lieu en rapport direct avec le « je »,
le locuteur ou le lieu où se trouve celui qui parle ou écrit ; et « là » concerne les lieux où il ne
se trouve pas. Lorsque les deux adverbes s’emploient en opposition explicite, « ici » concerne
ce qui est le plus proche du locuteur et « là » ce qui est plus éloigné.
L’adverbe « là-bas » est différent aux autres car il ne s’emploie jamais pour exprimer le temps
ou se situer dans le texte, il désigne toujours un endroit.

Nous pouvons citer des autres adverbes de lieu comme : ailleurs, alentour, arrière, ci, dedans,
dehors, loin, proche, etc.

3. LES DÉMONSTRATIFS

Quant aux démonstratifs, on en distingue deux types :

3.1. LES DÉTERMINANTS DÉMONSTRATIFS

Les déterminants démonstratifs déterminent le nom en indiquant la situation dans l’espace


de l’être ou de la chose désignée, ou en les situant dans le temps ou dans le contexte. Nous
distinguons deux formes :

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- Les formes simples : ce, cet, cette, ces


- Les formes renforcées au moyen des adverbes « ci » et « là », que l’on place après le
nom en les rattachant par un trait d’union. Ces formes peuvent souligner la proximité
ou l’éloignement de ce dont on parle.

3.2. LES PRONOMS DÉMONSTRATIFS

Les pronoms démonstratifs désignent un être ou une chose en les situant dans l’espace,
éventuellement un geste d’appui. Ils peuvent aussi renvoyer à un terme qui précède ou qui
suit dans le contexte. Le pronom démonstratif varie en genre et en nombre et il a deux
formes :
- Forme simple : celui, celle, ce, ceux, celles.
- Forme composé : avec « ci » ou « là » > celui-ci, celle-ci, ceux-là, cela, ça, etc.

Quand le démonstratif lointain (celui-là) est opposé au démonstratif prochain (celui-ci), ce


dernier désigne ce qui est le plus proche dans la réalité ou le contexte. Quand les
démonstratifs prochains et lointains ne sont pas employés ensembles, les premiers désignent
normalement dans la réalité ce qui est proche du lecteur et les deuxièmes ce qui est éloigné.

4. LES PRÉPOSITIONS

Passons maintenant aux prépositions, ce sont des mots invariables qui établissent un lien de
subordination entre des mots ou syntagmes. C’est l’utilisation de ces prépositions, leur
position et leur combinaison avec d’autres éléments qui vont nous aider pour exprimer
l’origine, la provenance, la position, etc. Nous allons présenter les principales prépositions
pour se situer dans l’espace :

4.1. LES PRÉPOSITIONS POUR INDIQUER DES VILLES, PAYS.

En français, pour indiquer les villes, pays et continents où nous sommes, où nous allons, on
utilise, selon les différentes normes, les prépositions « de », « à » et « en », « dans » et les
articles contractés « du » et « au(x) ».

- « Je suis à Cadix » ; « Je vais à Cuba »


- « Je suis en Espagne » ; « Je vais en Europe »
- « Je suis au Canada » ; « Je vais aux Pays-Bas »
- « Je suis en Bretagne / dans le Wisconsin / dans les Alpes »
- « Je viens du Maroc » ; « Je viens de Suède »

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4.2. LA PRÉPOSITION À

La préposition « à » indique un point dans l’espace ou dans le temps (Nous sommes à l’école),
et elle peut être utilisée avec d’autres prépositions qui changent son sens, comme :
- « De…à » qui indique une distance d’un point à l’autre, dans l’espace ou dans le temps :
Il y a 300 mètres d’ici à la boulangerie.
- « Jusqu’à » qui indique une limite dans l’espace et le temps : Le TGV va jusqu’à Paris.
- « À partir de » qui indique un point de départ dans l’espace ou le temps : Il y a des
embouteillages à partir de Versailles.

4.3. LES PRÉPOSITIONS D’ORIENTATION

Les prépositions d’orientation tirent leurs significations d’un modèle anthropologique


reproduisant les conditions corporelles d’une communication en face-à-face. C’est pourquoi
les significations de ces prépositions peuvent relever de certains organes de communication
et de leur fonction caractéristique, ce sont eux qui permettent de les diviser et ce en fonction
de quatre points de vue : champ de vision, orientation verticale, orientation latérale et portée.

4.3.1. CHAMP DE VISION

Le visage est le siège des principaux organes de communication. Nous désignons comme
champ de vision l’espace de communication qui est facilement atteint par ces organes. Les
prépositions les plus importantes du champ de vision sont : DEVANT et DERRIÈRE.

4.3.1.1. Devant

Afin d’illustrer l’orientation effectuée par la préposition « devant », représentons-nous deux


personnes qui regardent une image en parlant ensemble. Le locuteur attire, par la jonction,
l’attention de l’auditeur sur le fait que l’image se trouve dans le champ de vision. En termes
grammaticaux : l’auditeur doit regarder la base dans le champ de vision commun au locuteur
et à l’auditeur. Exemple : « L’accusée comparaît devant le tribunal accompagnée de son
défenseur »

4.3.1.2. Derrière

La préposition « derrière » suppose également une situation de communication dans laquelle


un locuteur et un auditeur ont un champ de vision commun. Cependant ce locuteur et cet
auditeur ne sont pas seuls au monde. Tandis qu’ils se font face dans le dialogue, ils tournent
le dos à beaucoup d’autres objets. Mais ce fait ne leur est pas totalement dissimulé, car la
situation du face-à-face permet au locuteur de percevoir par instants ce qui se passe dans le
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dos de l’auditeur, et inversement. On peut donc attirer l’attention du partenaire sur ce qui se
passe par derrière, c’est à̀ dire derrière son dos : le locuteur lui donnera alors le signe de se
retourner pour placer dans son champ de vision ce qui était précédemment dans son dos et
par là même inaccessible. C’est à̀ cette fin de communication que sert la préposition
« derrière ». Exemple : « Quand on connaît la vie qu’il a derrière lui, on n’en est pas trop
étonné ».

4.3.2. ORIENTATION VERTICALE

Le modèle anthropologique régit également les prépositions de l’orientation verticale. Les


partenaires, en règle générale, se tiennent debout ou assis, la tête en tant que siège des
principaux organes de communication se trouvant en haut. En bas se trouvent les pieds qui
n’ont qu’une part mineure dans la communication, ne servant habituellement qu’à établir ou
à rompre la situation de communication. Les prépositions de l’orientation verticale déduisent
leur signification de ce modèle dans lequel s’établit une hiérarchie des organes de
communication « de haut en bas » : les significations particulières s’établissent selon les
points de vue de hauteur et de présence patente ou de profondeur et de présence cachée.

4.3.2.1. Hauteur « sur »

La forme libre de la préposition sur est « dessus » qui reçoit l’expansion : « là-dessus », « au-
dessus », « par-dessus ». Avec la préposition « sur », le locuteur donne à l’auditeur
l’instruction de s’aider de la position favorable de la tête. La position dressée de la tête garantit
une bonne perception.

« Sur » ne signifie pas nécessairement « en haut de ». La position exacte dans l’espace ne se


reconnaît pas en fonction de la seule préposition « sur », mais d’après la signification
d’ensemble de la jonction comportant des indications lexicales d’ordre spatial.

Exemples :

- « La chambre est très jolie parce qu’elle donne sur la mer »


- « Aucun nuage ne flotte aujourd’hui sur la mer »

4.3.2.2. Profondeur « sous »

La forme libre de la préposition « sous » est « dessous » qui peut être employée en
combinaison : « au-dessous, par-dessous, en dessous, et de dessous ». Rapportée à
l’orientation corporelle, la signification de la préposition « sous » peut être caractérisée
comme « partie inférieure ». La partie inférieure est opposée à la partie supérieure et indique
de ce fait une position basse voire cachée par rapport à l’essentiel, qui est patent.

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Exemples :

- « Les plus grandes richesses d’une nation se trouvent sous terre »


- « Le chien dort sous la table »

4.3.3. ORIENTATION LATERALE

Les prépositions de l’orientation latérale supposent une situation fondamentale de


communication, dans laquelle deux personnes se font face. Dans cette situation, les mains en
tant qu’organes de communication, doivent être considérées comme des activités
communicatives. L’orientation latérale est un fait de communication puisque les partenaires
doivent se mettre d’accord sur le côté qui est à considérer.

4.3.3.1. À droite, à gauche, à côté de

Les prépositions « à droite de » et « à gauche de » mettent bien en évidence la référence à


l’orientation corporelle en fonction des mains. Il en découle que ces prépositions sont très
facilement employées comme formes libres : « à droite, à gauche ». C’est le locuteur qui
décide s’il prendra pour point de départ sa propre orientation ou celle de l’auditeur.

La neutralisation se présente lorsque le dialogue porte sur des objets qui n’ont pas de côtés
asymétriques. La préposition « à côté de » sert dans ce cas de forme neutralisée, également
sous sa forme libre « à côté ».

Exemples :

- « Mettez-vous là, à droite de ma sœur »


- « Ma timidité n’est rien à côté de la sienne »

4.3.3.2. Autour de

La préposition « autour de » peut également être considérée comme une préposition


neutralisante. Mais tandis que la préposition « à côté de » ne neutralise que l’opposition « à
gauche de » versus « à droite de », le domaine de neutralisation de la préposition « autour
de » s’étend aussi à l’opposition « devant » versus « derrière ». La forme libre de cette
préposition est le plus souvent « tout autour », plus rarement « autour ».

Exemple :

- « Les planètes gravitent autour des étoiles fixes ».

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4.3.3.3. Autres expressions

Les langues de spécialité ont créé, pour leurs besoins des prépositions spéciales qui se sont
introduites, dans certaines limites, dans la langue courante. Ainsi du langage de la navigation
on a : « à bâbord », « à tribord ». De la langue de la navigation et plus tard de la géographie
sont issues les prépositions exprimant les points cardinaux : « au nord de », « au sud-est de »,
« à l’ouest nord-ouest de ». Dans la langue de tous les jours, les quatre directions
fondamentales « du Nord », « du Sud », « de l’Ouest » et « de l’Est » suffisent en règle
générale : elles correspondent en outre à l’orientation corporelle en fonction du corps
humain.

4.3.4. PORTÉE

Mesurer les distances c’est l’affaire de la géométrie, mais la mesure des prépositions est
fournie par les organes de communication et leur fonctionnalité. Certaines prépositions
définissent ainsi leurs significations en fonction de la portée des organes de communication,
laquelle est en principe limitée. Afin cependant d’établir une situation communicative, deux
personnes (ou plus) doivent être placées en position de communicants. Nous distinguons en
conséquence : position, proximité et éloignement et accès.

4.3.4.1. Position (chez)

Le terme de position désigne le champ de la communication dans chaque situation


particulière d’échange. Dans les jonctions prépositionnelles la position est exprimée par la
préposition « chez ». Elle n’est employée que lorsque le complément est une personne.
La signification de position avec « chez » est souvent concrétisée par le fait que la maison et
la famille de la personne en question sont également désignées.
Exemple :
- « Comment ça va chez vous ? »

Les personnes représentant un métier ou une profession sont également désignées par la
préposition « chez ». De là, l’usage peut s’étendre au siège de l’activité ou à des institutions ;
enfin des espèces animales peuvent être classifiées à l’aide de cette préposition : Chez le
coiffeur ; Chez les primates.

4.3.4.2. Proximité et éloignement « près de, loin de »

Proximité signifie possibilité d’atteindre quelqu’un dans une perspective communicative. En


revanche, éloignement signifie : « en dehors de la portée des organes de communication ».

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La frontière entre ce qui est proche et ce qui est lointain dans l’espace vécu peut varier en
fonction des conditions contextuelles ou pragmatiques de la situation d’énonciation. Cela
peut s’illustrer dans le détail à l’aide de morphèmes additionnels, en particulier par des
adverbes, qui permettent d’apporter certaines nuances : Près de / loin de ; Tout près de / très
loin de ; Plus près de / si loin de, etc.

Les formes libres pour la proximité sont : « de près » ou « tout près », pour l’éloignement :
« loin », « de loin » et « au loin ».

Les prépositions de portée ont d’abord, comme toutes les prépositions, une signification
corporelle communicative et non une signification spatiale et géométrique. Lorsque
cependant les termes lexicaux de la jonction ont une signification spatiale, la signification
globale de la jonction peut être précisée dans un sens spatial : Exemple : « J’ai habité toute
ma vie près de Paris. »

La préposition « près de » admet la variante « auprès de ». Elle est employée principalement


pour des personnes. Lorsqu’il s’agit de personnes officielles ou d’institutions, cette variante
est de règle :
Exemple :
- « Il faut solliciter la publication des bans de mariage auprès du curé ».

Les prépositions « près de » et « loin de » sont les seules prépositions d’orientation qui
peuvent aussi être employées en tant que prépositions verbales.
Exemple :
- « La nuit était près de tomber, quand l’enfant rentra ».

4.3.4.3. Accès (« vers », « envers »)

Lorsqu’aucune position communicative n’est donnée, elle peut encore s’établir. Nous
appellerons accès le mouvement vers une position communicative. La préposition « vers » est
employée fréquemment pour exprimer des mouvements corporels, en particulier la mimique
et la gestuelle. Exemple : « Depuis des mois il a les yeux tournés vers elle ».

La signification des termes de la jonction « vers » donne aussi une signification spatiale ou
temporelle.
Exemple :
- « La manifestation commença vers dix heures ».
- « La police est concentrée vers les Grands Boulevards ».

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La forme « envers » s’emploie seulement lorsque le deuxième terme de la jonction désigne


une personne ou une institution. L’emploi de cette forme relativement rare est
presqu’exclusivement réservé aux textes à signification morale. Autrement on emploie la
préposition « à l’égard de ».
Exemple :
- « L’époque actuelle n’est pas juste envers l’histoire »
- « L’avenir montrera la même indifférence à l’égard de notre époque ».

5. LE PRONOM ADVERBE « Y »

Tous les adverbes de position sauf l’adverbe « ici » et les compléments de lieu peuvent être
présentés dans le texte par le pronom adverbe « y ». Il peut désigner une position
précédemment nommée, déjà connue, ou encore la direction vers cette position.

- Paul va à Lyon. Il y va en voiture. Vous y serez ?

6. LE RELATIF OÙ

Le relatif de position « où » introduit une proposition relative qui indique un complément de


lieu (voici l’immeuble où je travaille), mais il peut également remplacer un complément de
temps (il pleuvait le jour où je me suis mariée).

Ce pronom relatif de position peut se modifier en se combinant avec certaines prépositions et


l’on obtient en particulier : « d’où », « par où », « vers où ».

- Le magasin vers où je me dirige appartient à ma tante.

Au lieu du relatif de position « où » peut s’employer également un relatif prépositionnel


approprié (par exemple : dans laquelle, vers lequel etc.), qui donne alors une plus grande
précision. Distinguer la nuance : Le siècle où nous sommes : Le siècle dans lequel nous vivons.

7. CONCLUSION

Pour conclure, nous signalerons que la composante spatiale dans la communication joue un
rôle essentiel quand on veut connaître l’origine des repérages des différentes parties du
discours et que, par conséquent, nous devons bien connaître ces procédés pour pouvoir les
apprendre à nos futurs élèves.

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Dans ce thème nous n’avons pas présenté tous les moyens de localisation dans l’espace à
cause de la limite du temps et du fait que la langue, en perpétuelle évolution, dispose de
diverses tournures qui, une fois actualisées dans le discours, vont exprimer ces circonstances.

8. BIBLIOGRAPHIE

L’Espace en français : sémantique des prépositions spatiales / Vandeloise, Claude. – Paris : Éd.
du Seuil, 1986.

BORRILLO, A.,1993, Prépositions de lieu et anaphore, Langages, 110, p. 27-46

M.GRÉVISSE, A. GOOSSE, 2016, Le bon usage. Grammaire française, De Boeck Duculot,


Bruxelles.

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