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1 Mise en forme dans un moule ........................................................................................... 7
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de Seny Alexandre
1.2.3.1 Procédé ....................................................................................................... 11
1.3.2 Criques................................................................................................................ 11
1.3.6 Pénétration......................................................................................................... 11
2.1.1.5 Poinçonnage................................................................................................ 13
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de Seny Alexandre
2.1.2.3 Deux par deux placer bout à bout .............................................................. 14
2.1.2.4 En chapelet.................................................................................................. 14
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3.1.2.3 Rotomoulage ............................................................................................... 16
3.2.1.1.2 Polymère................................................................................................. 17
4 Soudure ............................................................................................................................ 18
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4.1.2 TIG ...................................................................................................................... 20
4.3 Mécanique................................................................................................................ 21
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4.6.2 Cavités ................................................................................................................ 24
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1 Mise en forme dans un moule
Confection d’un modèle à la main (en bois, métallique,) tenant compte du retrait, des
surépaisseurs d’usinage, de la dépouille, et congé et des noyaux. La partie inférieure du moule
est ensuite réaliser en tassant du sable dans un châssis contenant la première partie du
modèle. Il faut ensuite retourner la partie inférieure du moule et confectionner la deuxième
partie de celui-ci sur la première. Il faut ensuite placer le mandrin de coulée, d’évent et la
masselotte.
Une fois le moule finis on passe au remoulage : extraction du modelé, creuser les passages du
métal, placer les noyaux et refermer le moule.
Après refroidissement, le moule est placé sur une grille vibrante pour le détruire. Il reste à
ébarber, nettoyer et usiner la pièce.
1.1.1.2 Sable
Le sable utilisé doit avoir la surface la plus fine possible, résister à la corrosion du métal en
fusion et des gaz. On utilise du sable auto-siccatif constitué de mélange de silice et huile
siccative (huile de lin)
1.1.1.3 Avantage-Inconvénient
1.1.3.1 Procédé
Fabrication d’une plaque métallique qui est ensuite chauffée à 200-300°. On verse sur cette
plaque un mélange de grain de silice et de résine thermodurcissable. Une partie du mélange
fond au contacte de la plaque et forme une carapace de 4 à 8mm d’épaisseur. Les carapaces,
après un passage au four ont une surface intérieure parfaitement lisse.
Les moules doivent être place dans un châssis rempli de sable ou de grenaille de fonte afin
d’éviter leurs ouvertures.
Les trous d’évent ne sont pas nécessaires car les carapaces sont perméables
1.1.3.2 Avantage-Inconvenant
Obtention de pièce brutes avec des tolérances plus faible que le moulage en sable
Cout de fabrication de la plaque modèle élevé et prix non négligeable de la résine
Fabrication pour grande série >500 pieces
Engrenage conique++, plaque modèle en fonte ++
Fabrication d’un modèle en bois, en argile, Elaboration d’un moule comportant l’empreinte
de la pièce ( métallique ou silicone)
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Injection de la cire sous pression, extraction des modelés et mise en grappe. Saupoudrage de
celle-ci en la plongeant dans un matériau réfractaire afin d’obtenir une épaisseur suffisante
afin de résister au poids de l’alliage lors de la coulée.
1.1.4.2 Avantage-Inconvenant
Le métal est fondu dans une moule métallique par gravité ou par pression. La température du
métal coulé doit être inférieur à la température de fusion du matériau constituant le moule.
Afin d’évite tout choc thermique, les deux parties du moule sont chauffé à 300°C.les parois
sont enduite d’un produit appelé poteyage qui agit sur l’intensité des efforts thermique.
(Mélange de plomb d’eau et de silicate de soude)
Convient aux productions élevées et pour les petites pièces qui ont des épaisseurs
uniformes et des trous simples
On ne peut pas concevoir des trous <6mm, ni des filets intérieur ou extérieur ou des
rainures
Pieces + uniforme avec tolérance plus faible que moulage en sable
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Coquille supporte 5000 coulées de métaux lourd et 20000 de matériau léger
1.2.2 Centrifugation
Production de pièces de révolution (tubes, couronnes, …)
1.2.2.1 Procédé
Alliage est mis en contact et maintenu dans un moule en le soumettant à une accélération
très importante en faisant tourne l’ensemble autour d’un axe horizontal. Le moule en sable
peut-être réaliser directement sur la machine à centrifugé
1.2.2.2 Avantage-Inconvenant
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1.2.3.1 Procédé
Métal en fusion se trouvant dans un four passe dans une filière en graphite refroidie. La barre
profilée et refroidie est tirée par des galets qui servent de guide. La barre est ensuite
tronçonnée à la longueur voulue.
1.3.1 Retassure
Cavité ouverte ou fermée à contour rugueux, localiser dans les dernières portions du métal
solidifié. Est du au contraction de volume subie par le métal en cours de solidification.
1.3.2 Criques
Déchirure à chaud qui se produit lors de la solidification
Les criques et les tapures sont dus à un tracé défectueux (différence d’épaisseur importante)
ou à l’état du moule
1.3.4 Gauchissement
Pieces conçue avec un paroi trop mince, le matériau cible se gondole.
1.3.5 Soufflure
Défaut du aux gaz (mauvaise perméabilité du moule ou mauvais évent)
1.3.6 Pénétration
Quand le métal coulé est très fluide il peut pénétrer les porosités du sable
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1.3.7 Défaut de remplissage
Piece se solidifie avant de remplir complètement l’emprunte (température de coulée basse,
section trop faible, …
2 Déformation plastique
2.1 Forgeage
Ensemble des techniques permettant d’obtenir une pièce mécanique en appliquant des forces
importantes sur un morceau de métal à froid ou à chaud
Avantage : Homogénéité : sous l’effet du choc ou de la pression le métal est écrasé et s’écoule
entre les outils dans une direction perpendiculaire à l’effort. Amélioration de l’allongement à
la rupture
2.1.1.1 Etirage
2.1.1.2 Etampage
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2.1.1.3 Refoulement
Opération inverse de l’étirage, réduit la longueur pour augmenter la section. Combiner avec
l’étirage : permet d’améliorer l’orientation du fibrage
2.1.1.4 Dégorgeage
2.1.1.5 Poinçonnage
2.1.1.6 Mandrinage
2.1.1.7 Bigomage
Permet l’agrandissement du diamètre intérieur en créant une orientation des fibres dans le
sens tangentiel
2.1.1.8 Rétreinte
Diminution du diamètre
2.1.1.9 Elargissement
2.1.1.10 Tronçonnage
2.1.2 Estampage
Après avoir chauffage à haute température celui-ci est comprimé entre deux matrices
comportant des gravures en creux ou relief
2.1.2.1 Bavure
Méthode d’estampage
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2.1.2.2 Une par une
2.1.2.4 En chapelet
Le plan de joint doit être perpendiculaire au sens de l’estampage, si possible plan et passant
par la plus grande surface de la pièce
3 Matière plastique
3.1 Thermoplastique
Composé d’enchaînement unidimensionnels résultant de molécule simple.Par chauffage ou
refroidissement successifs, on peut modifier l’état physique et la viscosité de ces matière de
façon réversible
3.1.1 Types
3.1.1.1 Le Polyéthylène
3.1.1.2 Polypropylène
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3.1.1.3 Polystyrène
3.1.1.4 Polycarbonate
3.1.1.5 Polyester
3.1.1.6 Polyacétals
Bonne propriété mécanique, ( de l’ordre des métaux). Faible coefficient de frottement. Faible
résistance à la température.
Tuyaux et canalisation
3.1.1.8 Polyuréthane
3.1.1.10 Phénoplaste
3.1.2.1.1 Injection
La matière est chauffée et ramollie dans une vis. Elle est ensuite injectée dans un moule à
l’aide d’un piston (On peut voir le point par ou la matière a été injecté
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3.1.2.1.2 Injection soufflage
On fabrique une préforme par injection, on souffle cette préforme contre les parois d’un
moule avec de l’air comprimé. Ex : Bouteilles
3.1.2.2 Extrusion
On insère la matière dans un cylindre chauffé. Celle-ci est poussé par une vis à travers une
filière qui lui donne la forme désirée ex : profilé pour fenêtre, câble, …
3.1.2.3 Rotomoulage
Insertion de matière plastique sous forme de poudre dans un moule. En faisant faire des
rotations, on obtient des pièces creuses sans soudure ni collage
3.1.2.4 Thermoformage
En chauffant une feuille de plastique, celle-ci ramollie. On applique cette feuille sur un moule
et on y retire l’air contenu entre la feuille et le moule.
3.1.2.5 Calandrage
Un mélange de matière plastique passe entre des groupes de cylindres à écartement de plus
en plus réduit. On obtient une feuille ou un film défini géométriquement.
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3.1.2.6 Guipage
3.2 Thermodurcissable
Composé par des macromolécules s’étendant dans les trois directions de l’espace. D’autant
plus rigide que le réseau tridimensionnel est dense. L’objet final est dans un état irréversible
(infusible, insoluble)
Résine
Catalyseur
Accélérateur
Charge, colorant, lubrifiant
La poudre est comprimée à froid (200 à 500 bars) dans des moules cylindriques
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3.2.1.1.4 Fibre d’amiante
3.2.1.2 Matrices
Deux techniques pour imprégner des fibres d’un matériau carboné : voie liquide et voie
gazeuse
3.2.1.3 Procédés
4 Soudure
Assemblage caractérisé par l’effacement des contours primitifs des bords à assembler.
Consiste à réunir de façon permanente deux ou plusieurs éléments.
Toute source d’énergie peut être utilisée : Chimique, lumineuse (laser), électrique,
Mécanique.
4.1 Electrique
4.1.1.1 Caractéristique
4.1.1.2 Description
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4.1.1.3 Ionisation
Une orbite contenante entre 4 et 7 électrons en capte facilement. Il est considéré comme
accepteur.
Lorsqu’une orbite contient moins de 4 électrons, ceux-ci s’en échappent facilement. Il est
considéré comme donneur.
Lorsqu’un atome contient un nombre d’électron différent de son nombre de protons, il n’est
plus électriquement neutre. On l’appelle un ion.
Lorsqu’on chauffe un métal, les atomes le constituant se mettent à vibrer. Plus la température
est élevée, plus les vibrations s’amplifient, diminuant ainsi les forces qui lient les électrons à
leurs atomes d’origine. L’agitation thermique favorise ainsi l’expulsion de matière.
Lorsque la cathode est taillée en pointe, la tension d’amorçage est plus basse. Au bout de la
pointe la densité de courant est plus élevée ce qui favorise l’échauffement locale et donc la
thermo émissivité. SI la pointe est trop fortement chauffée, elle risque de se détacher et de
constituer une inclusion de tungstène. Il faut affuter la pointe de manière à ce que les stries
soient parallèle.
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4.1.1.7 Arc en polarité directe
L’électrode est raccordée au pôle négatif et la pièce au pôle positif du générateur. On observe
une bonne pénétration grâce à la vélocité des électrons. Principalement utilisé pour le TIG
pour protéger l’électrode (qui reste relativement froide)
L’électrode est raccordée au pôle positif. Les électrons vont de de la pièce vers l’électrode qui
se met à fondre (électrode fusible)
Il faut émettre des électrons de la pièce et de l’électrode. Il faut donc une tension à vide
importante et amorcer l’arc avec l’électrode aussi proche que possible. L’arc est moins stable
car le courant passe par zéro. Les générateurs moderne utilisent des tensions rectangulaires
à haute fréquence.
4.1.2 TIG
Arc électrique entre une électrode au tungstène protégée par un gaz.
4.1.2.1 Avantages
4.1.2.2 Inconvénient
Lent
Apport de chaleur élevé
Sensible aux courants d’air
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Défaut : Porosités (graisse, gaz soufflé dans la soudure). Inclusion de tungstène lorsque la
pointe touche le bain en fusion
4.1.3 MIG/MAG
Soudage à l’atmosphère inerte avec fil électrode fusible MIG
4.2 Thermochimique
4.2.2 Oxycoupage
4.3 Mécanique
4.4 Focalisée
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4.5.2.1 Avantage
4.5.2.2 Inconvénient
4.5.3 Magnétoscopie
Permet de détecter les défauts débouchant et sous lacent sous la surface. Consiste à mettre
la pièce à l’action d’un champ magnétique jusqu’à saturation. Le champ est dévié s’il rencontre
un obstacle.
4.5.3.1 Avantage
Simplicité
Rapidité
Facilité de détection des défauts plans créant une grande discontinuité du champ
4.5.3.2 Inconvénient
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4.5.4 Radioscopie
Utilise les rayon x ou gamma. Ce sont des ondes électromagnétiques de très faible longueur
d’onde, apte à traverser des corps opaque à la lumière de la lumière.
4.5.4.1 Avantage
4.5.4.2 Inconvénient
Cout élevé
Limitation aux faibles épaisseurs
Peu adapté aux soudures d’angle
Pas adapté aux soudures non interpénétrées
Règle de sécurité nombreuse et contraignantes
Difficulté de localisation des défauts dans l’épaisseur
4.5.5 Ultrason
Onde ultrasonore sont émise au moyen d’un palpeur contenant un piezzo électrique. En
présence de modification des caractéristiques des matériaux les ondes sont perturbées.
4.5.5.1 Avantages
4.5.5.2 Inconvénient
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Subjectivité de l’interprétation de l’utilisateur
Pas de trace de contrôle hors PV
4.6 Défectuosité
4.6.1 Fissures
4.6.2 Cavités
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