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RAPPORT
DE STAGE
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Remerciements
Mes remerciements les plus distingues sont adresses à l’encadreur qui a pris soin de m’accepter afin
de me tailler à sa hauteur pour me donner une renommée a la mesure d’un ingénieur, par les taches
attribuées, les exigences du travail, la ponctualité et la rigueur dans toutes ses facettes. Il n’est pas
reste indifférent a mes demandes ni même dans le cas probable m’octroyer des faveurs dans le but
d’accroitre ma connaissance professionnelle, sa capacité de leadership et sa courtoisie aux vues de
tout le monde et ceux peu importe le rang social me laisseront toujours dans l’étonnement et cela un
exemple et témoignage a garder pour mon parcours d’ingénieur , cette personne n’est autre que
l’ingénieur DIEUDONNE AMISI KOFELA , pour un premier stage dans l’industrie , il a été d’une
aide très remarquable, je ne peux pas passer outre la présence et la participation d’une dame qui
malgré son âge avance, elle veille a l’amélioration de la jeunesse dans le domaine du génie plus
particulièrement en géotechnique , son expertise , son savoir son dévouement d’inculquer les
principes d‘études géotechniques , la maitrise d’interprétation des résultats , elle est une inspiration
pour la délégation féminine dans le domaine du génie ,du fait qu’elle ait pris grand soin de nous
plonger dans le gout de des études au laboratoire , grâce a elle , la décision de poursuivre ma
maitrise en géotechnique prendra certainement forme , merci à Mme RÉGINE et toute son équipe
pour cette formation bien que courte mais excellente.
A tous les ingénieurs qui dans l’ombre ont accompli des merveilles en m’éclairant sur des notions
vues à l’université, qui non seulement m’ont expliqué les principes de fonctionnement d’un ouvrage
mais surtout parce qu’ils m’ont montré le pourquoi de ces principes, je suis très reconnaissante pour
le savoir acquis sous leur responsabilité qui est secondaire c’est vrai mais aussi utile que les
précédentes autres.
Si mon passage a FORREST est devenu une réussite c’est également grâce à tous les personnels aux
mains de qui je suis passée le long de mon séjour , gentils, attentifs, sociaux, accueillants, ces
personnes m’ont traité comme si j’étais l’une des leurs , raison pour laquelle je leur adresse mes
remerciements particuliers , aux chefs d’atelier Papa Nkulu, Mr SHAMBUYI et aux chefs d’équipe
au niveau du chantier , c’est fut un moment émouvant passe sous leur supervision, oublier les
chauffeurs , les personnels de sécurité , les ouvriers fera de moins une ingrate , car ce sont elles les
personnes qui ont joué un rôle très important du fait que nous avons passes tout le temps du stage en
leur compagnie.
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INTRODUCTION GÉNÉRALE
Pour une formation de qualité, nous désirons un cadre le mieux adapte a notre profil, étant
candidate. Ingénieure du génie civil, c’est fut un choix très arme parce qu’il était question
d’impliquer mon avenir c’est-à-dire ma carrière professionnelle, de l’expérience. De la demande.
Des bons témoignages. Du sérieux dans le travail, et j’en passe ont fait l’objet de mon étude pour
bien choisir mon lieu de stage, vous comprendrai avec moi que ma motivation première n’était
aucunement la rémunération mensuelle car [si l’on m’apprend à pêcher je n’aurai plus jamais faim
contrairement à si l’on me donne du poisson aujourd’hui], la volonté de travailler là où on me
traitera durement pour me forger , Forrest est une entreprise très réputée dans le domaine de la
construction , par sa façon de traiter les travailleurs , et ses constructions sont de loin à redouter , et
tous les éléments énumérés ont vraiment joué un rôle très immédiat sans oublier le fait que c’est une
entreprise de la région , il m’a été très facile de m’y rendre chaque matin .
Par son programme de coaching, Là encore le choix de FORREST était la meilleure, des ateliers en
ateliers pour comprendre les squelettes de nos ouvrages , les dimensions requises , les matériaux
utilisés sans oublier le fait qu’elle fabrique ses propres matériaux à l’instar du ciment qui vient de
Likasi (GCK), elle est une entreprise qui travaille avec des normes standards et la certitude était au
rendez-vous du fait que toute action posée était vérifiée par des experts du domaine.
Contrairement aux chantiers de la cité, c’est une entreprise qui se soucie de la sécurité des
travailleurs par son équipement de protection, de la santé des travailleurs du fait d’avoir un
abonnement médical et une trousse de secours sur chaque chantier , fournit à ses travailleurs des bus
de transport tout cela entre en jeu pour la bonne gestion et assurer le bon fonctionnement de
l’entreprise.
Dans ce rapport, vous aurez à découvrir les ateliers auxquels doivent passer tous les stagiaires du
BTP, les ouvrages fabriqués, leurs utilités , vous aurez également à découvrir les principaux essais
effectués au laboratoire de Géotechnique (la raison de la durabilité des leurs chaussés, bâtiments,
ponts …), une partie sera ajoutée pour continuer avec les activités qui ont eu lieu au chantier
MALELA .
Vous trouverez l’intégralité des points soulignés aux dans les lignes qui suivent :
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Première partie :
1.1.1.1. La construction
Dans le domaine de la construction et la rénovation, ils proposent un service complet. Les synergies
entre les différentes sociétés permettent de couvrir tous les métiers du bâtiment : architectes,
ingénieurs, électriciens, plombiers, chefs de chantier, maçons, menuisiers, carreleurs, etc.
Actifs depuis plus de 60 ans dans le secteur de la construction en RDC, ils ont acquis un savoir-faire
et une expertise unique via la société Entreprise Générale Malta Forrest (EGMF). Ils sont
spécialisés dans la construction, la réhabilitation et la rénovation d’édifices de tous types :
Immeubles,
Maisons individuelles,
Surfaces commerciales,
Locaux industriels,
Écoles et universités,
Lieux publics : églises, hôpitaux, etc.
Ils construisent des routes depuis plusieurs décennies, et ont acquis un savoir-faire unique en la
matière. C’est pourquoi de nombreuses entreprises privées et publiques font appel à eux. En RDC,
ils réalisent trois types de routes : route en asphalte, route en béton et route en latérite.
Les matières premières (gravillons et sable) utilisées dans la composition de l’asphalte proviennent
de leurs propres centrales de production. Ce qui garantit la réalisation d’une route de qualité à un
prix compétitif.
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1.1.1.4.2. Route en béton
Les routes en béton sont conseillées sur les tronçons routiers empruntés par des véhicules lourds tels
que les camions. Ces routes sont très robustes et peuvent supporter des charges importantes et
fréquentes. Le béton nécessite un temps de séchage supérieur à l’asphalte, soit en général quelques
semaines.
Tous les matériaux servant à réaliser nos routes en béton sont issus de nos carrières de qualité
supérieure.
Exemple d’intégration verticale, les matériaux servant à réaliser nos routes en béton sont issus des
carrières de qualité supérieure. La maîtrise et le contrôle de toutes les étapes de la fabrication sont
les garanties d’une route en béton de qualité et durable.
Canalisations et égouttage
Trottoirs
Ronds-points
Bordures de sécurité
Éclairages
Infrastructures routières : ponts, tunnels, etc.
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Le concassage
Les concassés sont notamment nécessaires pour la production de béton armé, de produits
préfabriqués en béton (blocs de construction, pavés, bordures, buses, …), d’enrobés pour la
construction de routes ou encore de ballast pour le secteur ferroviaire.
Ils produisent toutes les granulométries possibles en fonction de la demande des clients, dans des
quantités importantes et des délais rapides.
Carrière de Kilobelobe
Située à 14 km à l’est de Lubumbashi, la carrière de Kilobelobe est réputée pour son importante
teneur en quartz, ce qui confère à ses concassés une dureté exceptionnelle.
Carrière de Katonto
La carrière de Katonto est située le long de la Route Nationale 39, à moins de 25 kilomètres du
centre-ville de Kolwezi. La production est essentiellement utilisée pour la fabrication de béton dans
la région, en support de l’intense activité minière, du développement d’infrastructures et des
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activités du gunitage en mines souterraines. Ce gisement est constitué d’un grès-
quartzitique d’excellente qualité.
Standards internationaux
1.1.2. Taille
Depuis 1922, le groupe FORREST investit sur le continent africain dans des secteurs de pointe. Son
expertise s’appuie sur la diversification et les synergies entre ses sociétés. Cette complémentarité
permet de proposer des solutions globales pour les industries, les collectivités, les entreprises
publiques et privées.
En tant qu’entreprise responsable, elle a la conviction que des investissements stables et durables
exigent des engagements positifs. Au travers de ses Fondations, elle soutient le développement de
l’Afrique en proposant des initiatives sociales et culturelles destinées aux populations locales.
Actifs dans le domaine du Génie Civil, des Bâtiments et Travaux Publics (BTP) depuis plusieurs
décennies en Afrique Centrale, principalement en République Démocratique du Congo.
Leur connaissance du terrain, le savoir-faire de nos équipes, la qualité des matériaux sont autant
d’atouts qui les démarquent des concurrents. Ils ne bradent pas la qualité, car celle-ci a un coût.
Cependant, ils nous offrent le meilleur rapport qualité-prix dans leur secteur d’activité.
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1.1.3.1. Tous travaux publics et privés
Des ponts
Des pistes d’aéroport
Des zones portuaires
Des infrastructures industrielles, métallurgiques, électriques, minières, sportives, etc.
Des travaux de lutte antiérosive
Des lignes de transfert de fibre optique
Ils sont aussi spécialisés dans la réalisation d’infrastructures à vocation métallurgique et les grands
travaux de terrassement pour les entreprises minières.
Dans toutes les phases de réalisation, ils font appel à du personnel hautement qualifié
et expérimenté, parmi les meilleurs dans leur domaine d’activité. Sur les chantiers, la sécurité,
le contrôle et la qualité font partie de leurs priorités. Nous avons ainsi la garantie d’obtenir un
ouvrage de qualité, conforme aux normes internationales et surtout, durable.
1.1.3.3. Sécurité
Un responsable « risques et sécurité » formé par des organismes internationaux est présent
sur chaque chantier de grande envergure. Il veille à prévenir les risques et respecter des normes
de sécurité pour lesquels nous appliquons une tolérance zéro. Leurs ouvriers sont
régulièrement sensibilisés à la sécurité sur leur lieu de travail.
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l’anticipation des situations de coactivité, par la fixation de délais réalistes dès l’avant-projet, par
des choix techniques adaptés et par la prise en compte de l’environnement du chantier.
Tout se joue lors de la phase de l’avant-projet. C’est le moment où sont prises des options
techniques de construction et de délais associés. En effet, la sécurité sur le chantier va dépendre en
partie de la qualité de cette préparation du projet par le maître d’œuvre.
Les choix issus de cette phase sont définitifs, car ils sont ensuite inscrits dans les pièces
contractuelles.
C’est donc lors de cette phase d’avant-projet que le rôle du maître d’œuvre est déterminant pour la
prévention, notamment pour garantir la compatibilité entre les options techniques, les délais
impartis et les exigences de santé et de sécurité. Dans le cas où l’opération est assujettie à une
coordination SPS, le maître d’œuvre doit suivre les préconisations du coordonnateur SPS.
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1.1.4.3. Dossier de préparation du chantier de l’entreprise
L’entreprise titulaire de marché dispose d’un délai contractuel pour soumettre au maître d’œuvre
son dossier de préparation de chantier, qui comporte en particulier :
Le plan d’installation de chantier,
Le planning prévisionnel des travaux,
Les plans d’exécution des ouvrages,
Les prévisions d’effectifs,
Le plan particulier de sécurité et de protection de la santé (PPSPS).
Le plan d’installation de chantier définit l’implantation des équipements, voiries et réseaux divers
(eau, gaz, électricité, assainissement, accès, clôtures, volumes terrassés…), y compris les
installations et infrastructures collectives de chantier (cantonnements, moyens fixes de levage…).
Les marchés de travaux désignent les entrepreneurs chargés de la réalisation des installations ou
équipements communs du chantier.
La collecte, le tri et l’évacuation des déchets de chantier doivent être également prévus dans les
pièces contractuelles du marché.
Les obligations concernant les installations d’accueil, les vestiaires et les sanitaires dépendent de la
taille et de la durée du chantier :
Pour des chantiers de durée supérieure à 4 mois, des installations sanitaires fixes sont à
prévoir,
Pour des durées inférieures, des véhicules mobiles de chantier, spécialement aménagés et
répondant aux besoins (installations sanitaires, restauration…) peuvent être utilisés.
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Ces installations doivent être adaptées aux effectifs du chantier (nombre de lavabos, de douches, de
toilettes, espace réfectoire…).
Matériels communs aux ateliers et aux chantiers
1 atelier de maintenance
1 atelier bois équipé de scie, raboteuse, dégauchisseuse, etc.
1 atelier de ferraillage équipé de rouleuse à treillis, cintreuses à barres, etc.
Matériels électroportatifs : meuleuse, perceuse, ligatureuse, ponceuse, etc.
2 carotteuses
Matériel d’étaiement
1 bâtiment de stockage
2 aires de lavage au dépôt (véhicules légers et engins de chantier + toupie)
Local fermé avec bac de rétention pour stockage des produits à risques
Cabane roulante de chantier
Bungalows de chantier
1 grue POTAIN GMR HD 32 flèche de 30 m
1 grue POTAIN IGO 50 flèche de 40m
1 grue RAIMONDI RMT 294 flèche de 55 m levage 20T
1 grue POTAIN HD40 flèche de 35 m
Centrale à béton IMER BTK 508
Coffrages métalliques SATÉCO
Coffrage métalliques SATECO courbe
Coffrages bois COFFRÉCO
Banches OUTINOR
Niveaux laser
Bétonnières
Compresseur mobile 3000l/mn + équipement
Compresseur électrique
1 dameuse vibrante
1 taloche mécanique
1 aiguille vibrante
Échafaudages
1 motopompe d’assèchement
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Ateliers de préfabrication des ouvrages en béton
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1.2. Fonctionnement de l’entreprise
EGMF est une S.A. congolaise basée à Lubumbashi (RDC). EGMF est représentée par quatre
sièges à Kolwezi, Kalemie, Goma et Kinshasa. Les activités de l’entreprise s’étendent sur
l’ensemble du territoire national de la RDC.
1.2.1. Activités
EGMF dispose d’un savoir-faire reconnu dans les domaines du Génie Civil, de la Construction et
des Routes.
Son expertise en Génie Civil comprend la construction d’ouvrages d’art parmi lesquels des
ponts, des travaux de lutte contre les érosions, des infrastructures industrielles, électriques et
minières…
EGMF réalise depuis les années 50 des routes et infrastructures routières.
L’Entreprise construit et réhabilite des bâtiments de tous types, notamment des immeubles,
des hôpitaux et écoles, des maisons ou encore des surfaces commerciales.
À Lubumbashi et à Kolwezi, EGMF possède des carrières de gravier et de sable. La haute qualité de
ces produits, la plus élevée en RDC, est reconnue par des institutions et sociétés internationales, qui
en font le concassé de référence pour leurs chantiers dans le pays.
Exemple d’intégration verticale, EGMF produit la plupart des matériaux nécessaires à ses
chantiers : graviers, bétons… Ces matériaux, produits et utilisés par EGMF, respectent des normes
de qualité supérieure, conformes à celles en vigueur au sein de l’Union européenne. Cette
intégration verticale est une garantie de qualité et de compétitivité.
Faisant face à une demande croissante, le groupe commercialise désormais, à des prix
concurrentiels, ses produits sur le marché. Des produits “Qualité Forrest”.
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1.2.5. Engagement social
EGMF investit sur le continent africain depuis 1922. Cette longévité est le fruit d’une vision du rôle
de l’entreprise, en l’occurrence le devoir d’être un acteur positif de la société dans laquelle elle
évolue. Pour en savoir plus sur notre engagement social, cliquez ici.
Mises à part les nouvelles constructions, il peut également s'occuper de l'entretien de bâtiments et
d'infrastructures, c'est-à-dire des interventions nécessaires pour garder un édifice, une route ou un
pont en parfait état d'efficacité et de sécurité. Il effectue l'analyse de l'état de conservation de la
structure et du matériel, en utilisant des appareils et systèmes de surveillance
structurelle spécifiques. Sur la base des résultats des analyses, il élabore un projet d'entretien,
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assainissement ou adaptation des structures, et supervise ensuite l'évolution des travaux jusqu'aux
essais finaux.
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Deuxième partie :
DESCRIPTION DU STAGE
2.1 Problématique
Le but de ce stage était de nous confronter à la réalité du travail, c’est-à-dire, nous plonger dans le
monde de la pratique des toutes les notions reçues sur le banc de l’université, nous introduire dans
les deux domaines du génie civil, nous apprendre en réalité comment sont structurées les travaux de
la conception à la réalisation ainsi que les acteurs qui entrent en jeu pour son bon déroulement. Le
but était aussi de connaitre le lieu d’importation des matériaux, la préfabrication des certains
ouvrages et les normes y afférant pour leurs réalisations, plus importants encore c’était d’apprendre
le travail d’équipe, comment traiter les subalternes, comment instaurer un climat d’harmonie,
respecter la sécurité et la sante au travail, la discipline dans toutes les taches étant sur la liste des
exécutions.
Il a été question de passer dans les différents ateliers afin d’acquérir les notions nécessaires à mettre
en œuvre sur chantier, entre autres : l’atelier de ferraillage, de préfabrication ; la centrale à béton, le
laboratoire de Géotechnique. Pour ensuite chuter au chantier ou nous avons combiner les ouvrages
du génie civil a la maçonnerie, tout en touchant un peu à la plomberie, par pur hasard même la
même la peinture était une partie apprise lors de notre stage.
Ce travail se fait avec l’aide des professionnels dont nous citeront l’ingénieur Dieudonné Amis,
capable d’établir les éléments de ferraillage de fondation dans les tranchées. Ce dernier procède
également à la pose du ferraillage de fondation en parcourant toutes les étapes requises. De
l’intégration des poteaux à la pose du ferraillage en passant par les étapes de canalisations, tous les
détails doivent être pris en compte.
Après avoir tracé les fouilles, nous pouvons maintenant procéder au creusage en fonction des
indications du plan de construction. À cet effet, il est conseillé de toujours faire attention aux
repères. C’est par la suite que nous mettrons en œuvre le ferraillage et le coulage du béton. Pour
mémoire, l’ingénieur aura besoin des caractéristiques du béton et du diamètre des fers pour une
étude et d’instructions. Antérieurement à tout cela, une étude de faisabilité du ferraillage de
fondation s’avère nécessaire.
2.2.1.1.3. Pourquoi faire une étude de faisabilité de fondation avant les travaux
Étant la base de la construction, la fondation assure le transfert au sol du poids de l’ouvrage et
garantit ainsi sa stabilité. Cependant, les différentes caractéristiques du terrain vont définir la
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technique de ferraillage de fondation à adopter. Il y a également le mode constructif envisagé, sans
oublier les éventuelles contraintes géographiques. C’est justement pour cette raison qu’il doit falloir
prendre en compte la nature du sol avant de lancer le projet de fondation et de ferraillage.
Pour cela, une étude de faisabilité que l’on peut appeler une étude de sol ou encore une étude
géotechnique doit nécessairement avoir lieu. Ce n’est qu’après cette analyse que le spécialiste
fournira des renseignements sur la nature du terrain et sa capacité de portance. Avec ces
informations, on peut réaliser ou non la fondation et le ferraillage selon les résultats. Mais bien
avant ces travaux, une étude béton est indispensable pour compléter l’étude géotechnique.
L’objectif derrière cette étude est d’identifier le type de béton qui sera idéal pour le terrain.
2.2.1.1.4. Quel type de fer utiliser pour les travaux du ferraillage de fondation ?
Ce qui est d’usage actuellement en construction est l’emploi des fers de diamètre standard. Il s’agit
du fer 6 au fer 40. Le choix s’effectue selon l’épaisseur des fondations et en considération des
différentes contraintes que devra subir l’ouvrage. Qu’il s’agisse d’une maison individuelle ou d’un
immeuble, il faut toujours privilégier les fers torsadés ou creusés. Ces derniers favorisent une
adhérence avec le béton et, par ricochet, une résistance pour la construction.
Une buse est un ouvrage d’assainissement et de drainage, cet ouvrage est mis en œuvre pour assurer
le drainage des eaux pluviales tombants sur la plateforme.
Les armatures de la phase primaire sont constituées de cages d’extrémité en acier doux et de fils de
précontrainte longitudinale en acier a haute résistance. Tous ces aciers sont préparés a l’aide de
machines spéciales.
Apres le démoulage, le moule est nettoyé, huilé, les cages d’armatures et les fils d’acier de
précontrainte sont introduits, les bagues sont montées aux deux extrémités et l’armature de
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précontrainte longitudinale est ancré sur les bagues de tète et mise en tension avec un système qui
garantit l’uniformité du tir.
Centrifugation
Etuvage
Apres la phase de centrifugation, le moule est immergé dans une cellule de maturation a vapeur
saturée d’humidité, dont la température s’élève graduellement jusqu’à 90 degrés C maximum. Cette
température est maintenue pendant un temps d’environ 4 heures.
Démoulage
Apres l’étuvage et l’acquisition de la résistance de référence nécessaire, le moule est porté dans la
zone de décoffrage pour pourvoir a l’extraction du tuyau.
Maturation
A la fin du cycle primaire, tous les tuyaux sont immergés totalement dans l’eau dans de grands
bassins de maturation pendant environ sept jours avant de les transférer vers la phase secondaire.
Cette opération, nécessaire pour ce type de produit, lui confère des qualités de résistance et
d’imperméabilité très élevées.
Les tuyaux à pression sont soumis après la maturation du noyau a une précontrainte radiale. Cette
opération consiste à cercler les tuyaux d’un fil d’acier a haute limite élastique sous forme de spires
n’a pas constant. La section du fil et le pas des spires sont déterminés en fonction de la pression et
des sollicitations extérieures demandées par le client.
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Essai hydraulique
Tous les tuyaux sont testés sur des bancs d’essai pour s’assurer de leur conformité avec les
prescriptions demandées. Le banc d’essai reproduit les conditions réelles de travail du tuyau du
point de vue jonction avec les autres tuyaux (emboîtement) et pression de l’eau, tout en prenant en
considération les coefficients de sécurité réglementaires.
2.3 Responsabilités
Les responsabilités n’étaient directement données aux stagiaire du fait que nous avons trouve le
chantier avance de loin mais nous avons travaille aux cotes des différents responsables tes que : le
charge des levées topographiques, le Safety, le charge d’exécution des plans, les ingénieurs
superviseurs … et l’effet d’être sous leurs ailes fut une opportunité très immense.
2.4 Tâches
Les tâches devant être exécutées étaient multiples entre autres dans les installations de l’entreprise
et sur chantier.
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Mise en place du béton de dalles et poteaux
Élévation des murs
Carrelage
Crépissage
Peinture
Pose des portes (auto Lubumbashi) …
En tant que futures ingénieurs w il ne s’agit pas de donner des ordres aux ouvriers et s’arrêter par là
mais il est question d’avoir une idée globale des tâches à effectuer, de l’énergie dégagée afin de
mieux traiter les subalternes , c’est ainsi que l’ingénieur AMISI ,nous a premièrement orientés vers
l’atelier de ferraillage pendant une certaine période question pour nous d’avoir la main apte à des
travaux de ferraillage qui nous seront utiles plus tard comme sur le chantier …le rôle de cet atelier
étant défini ci-haut, nous avons fabriqué les armatures des buses , des caniveaux trapézoïdales , des
buses ,des massifs , quelques peu de fois des dalles et des armatures des séparateurs .
La mesure de coupe de nos armatures : la base du trapèze 50cm , les deux pentes latérales avaient
une longueur de 55cm ce que veut dire la barre était coupée avec une longueur de 160cm d’après la
norme et la longueur du caniveau était de 600cm , nous avons utilisé les barres de 6 pour dire de
diamètre 6mm pour confectionner ces armatures nous avons recouru aux mailles carrées 15×15
(cm²) et cette mesure de mailles dépend de la dimension des barres plus les barres ont des grands
diamètres moins les mailles sont grandes .
Cet atelier est subdivisé en 2 parties : la préfabrication des blocs et celle des buses
À, l’usage on appelle volontiers « buse en béton » tout tuyau de gros diamètre fabriqué en béton,
quelles que soient son utilisation et sa disposition avec tout de même une limitation relative à la
nature des fluides amenés à y circuler.
Le béton (parfois appelé à tort ciment) employé pour fabriquer une buse n’a pas de propriétés
d’étanchéité suffisantes pour qu’on y fasse circuler des fluides corrosifs, agressifs ou polluants. Par
contre, il permet de fabriquer rapidement et à moindre coût des tuyaux de gros diamètre qui, grâce à
leur poids élevé, resteront en place une fois posés sans requérir d’enfouissement profond, de fouilles
aménagées et de recouvrements très protecteurs. Ainsi, on emploie la buse en béton surtout dans la
collecte et l’acheminement des eaux claires ou usées parfois chargées y compris en viabilisation et
voirie, et hors réseaux d’adduction.
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2.5.3.1.2. Utilisation de la buse en béton
Les utilisations de la buse en béton sont nombreuses, que ce soit à l’horizontale (avec une pente
d’écoulement tout de même) dans les ouvrages de canalisation, de franchissement et d’écoulement
des eaux pluviales, fossés et cours d’eau, ou à la verticale pour les regards de fosse ou de réseau,
chemisage d’excavation, de forage et de puits…
La buse en béton la plus courante est de forme cylindrique, mais il existe également des buses en
béton de section ovale et même polygonale. La buse en béton est généralement confectionnée de
façon à pouvoir être raccordée à chacune de ses extrémités à une autre buse du même type et du
même diamètre sans raccord spécifique à insérer entre les deux. Pour ce faire, chaque buse béton est
usinée avec une extrémité mâle et une extrémité femelle. Bien souvent l’extrémité femelle est
munie d’un joint polymère ou fibre, afin d’assurer l’étanchéité de la jonction.
La buse en béton se trouve généralement à partir de 300 mm de diamètre (en section cylindrique) et
jusqu’à plus d’un mètre avec un pas de 100 mm en 100 mm (300, 400, 500, etc.). Il s’agit
généralement d’une conception en béton armé vibré.
Les longueurs généralement disponibles varient entre 1 et 2,40 m. C’est pour cela qu’il faut être
vigilant sur la longueur précise de la buse oscillant entre 2,35 m et 2,40 m, voire quelques
centimètres de plus ou de moins qui font une différence sur une grande longueur de canalisation. Si
nous avons 4 sortes des moules, de cylindres intérieurs :40,60,80 et 100cm, chaque moule possède :
Deux couvercles de différentes formes (demi-cercle et demi polygone) Deux rondelles au dessus et
en dessous.
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Figure 2.3 : moule des buses
Pour faciliter le démoulage, on met l’huile de vidange aux parois des moules, une fois le moule
préparé, on passe à la mise en place du béton, le béton étant armé le dosage est de 350kg c’est-à-
dire : 1 sac de ciment +1 brouette de sable et 2 brouettes de gravier 6/10, pour se rassurer de la
bonne mise en place, on y parce un vibreur pour repartir toute la granulométrie dans notre ouvrage,
le démoulage se fait après 24h.
Figure 2.4.a : démoulage des buses Figure 2.4.b : après démoulage des
buses
Les claustras
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Figure 2.6.c : pavé en clé et en I Figure 2.6.d : bordures des jardins
Dans cet atelier, on ne fabrique que deux sortes de blocs, de 15(15×40×20) et de 20(20×40×20) , les
blocs de type 15 sont subdivisés en deux sortes aussi les types C et A .
Dosage des blocs de 15 type C :4 brouettes de sable blanc+ 3 brouettes de gravier 6/10 + 1 sac de
ciment pour 11 palettes font 4 blocs pour chaque palette.
Dosage des blocs de 15 type A : 4 brouettes de sable blanc+ 3 brouettes de gravier 6/10 + 2 sac de
ciment pour 6 palettes font 4 blocs pour chaque palette.
Les blocs de 20 sont 3 sur une palette et sont de type A dans oublier que ce dosage est un mélange à
sec.
Pour la fabrication des briques grises, nous avons 20 pièces pour chaque palette.
Le dosage des pavés :4 et demi brouettes de sable blanc +2 et demi brouettes de gravier 6/10(par
manque de 3/8) +2 sacs de ciment. Nous avons noté qu’ils utilisent le ciment GCK.
Une étude géotechnique est une étude des sols et des nappes au droit d’un projet de construction ou
d’aménagement visant à déterminer les conditions d’adaptation du projet au site envisagé,
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caractéristiques des terrains constructibles et à en évaluer les risques environnementaux. La
pérennité et la qualité du futur ouvrage s’en trouveront donc impactées, en fonction du type de sol
(nature et propriétés du sol) et des solutions proposées à l’issue de l’étude (fondations, dallage,
terrassements, soutènements,).
Le Comité Français de Mécanique des Sols (CFMS) définit la géotechnique de la façon suivante :
Ensemble des activités liées aux applications de la mécanique des sols, des roches et de la géologie
de l’ingénieur géotechnicien
La géotechnique englobe l’étude des propriétés géotechniques des sols et l’interaction entre les
terrains et les ouvrages environnants d’une part, l’ouvrage objet de la prestation du fait de sa
réalisation et/ou de son exploitation d’autre part.
Autrement dit, la géotechnique contribue à la maîtrise des risques géologiques qu’ils soient naturels
ou anthropiques. Elle intervient en amont des travaux pour les phases de conception et pendant la
réalisation d’un projet lors des différentes phases de construction.
Il est nécessaire de réaliser une étude géotechnique pour tout type de projet de construction ou
d’aménagement afin de définir la nature du sol étudié et les fondations adéquates selon le type de
sol et les adaptations nécessaires.
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Ouvrages maritimes et fluviaux (géotechnique marine) : ports, digues, quais, émissaires,
câbles sous-marins, éoliennes flottantes, …
Aménagements et risques naturels
En effet, depuis le 1er octobre 2020, en cas de vente d’un terrain non bâti constructible, une étude
géotechnique préalable doit être fournie par le vendeur dans les secteurs de risques de retrait-
gonflement des argiles, soit plus de la moitié du territoire métropolitain. Cette étude de sol est
également obligatoire pour la conclusion de tout contrat ayant pour objet des travaux de
construction d’une maison individuelle.
Le processus d’une étude de sol est divisé en plusieurs étapes. Dans un premier temps, le bureau
d’étude géotechnique sollicité répond à un appel d’offre ou est directement contacté par le Maître
d’Ouvrage. Après avoir pris connaissance du projet et des attentes du client, l’ingénieur
géotechnicien détermine le contexte géologique, hydrogéologique et géomécanique, les risques
naturels et anthropiques prévisibles ainsi que l’environnement du projet (topographie, présence de
mitoyens,).
La partie de l’étude réalisée directement sur le terrain s’effectue d’abord avec une reconnaissance
du terrain puis avec la réalisation des investigations in-situ : sondages carottés, sondages
pressiométriques, sondages au pénétromètre statique ou dynamique mais aussi essais in-situ de type
pressiomètre, SPT, essais Lefranc, Lugeon, essais de pompage… ce qui permet également d’établir
un modèle géologique et géotechnique le plus fiable possible.
Les échantillons récoltés sur le terrain sont ensuite analysés dans un des laboratoires de Groupe
FORREST afin de déterminer la nature du sol et ses propriétés. L’analyse des données ainsi
obtenues en laboratoire permettent à l’ingénierie de rédiger le rapport final.
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2.5.4.3. Les différentes missions d’une étude géotechnique
Réalisée en amont d’une étude préliminaire, d’une étude d’esquisse ou d’un avant-projet sommaire,
elle permet de définir le modèle géologique préalable du site ainsi que les recommandations en vue
d’y implanter un ouvrage non-encore défini et de faire la première identification des risques
géologiques d’un site à travers une enquête documentaire.
Ces études se déroulent lors des phases d’avant-projet (AVP) et projet (PRO) de la maîtrise d’œuvre
et comportent 3 phases distinctes :
o Phase Avant-projet (G2 AVP) pour comparer les différentes solutions envisageables pour le
projet.
o Phase Projet (G2 PRO) pour concevoir et justifier le projet retenu.
o Phase DCE/ACT (G2 DCE/ACT) pour consulter les entreprises sur le projet de base et
assister le MOA lors du choix de l’entreprise et des variantes éventuelles associées.
Les deux premières phases permettent d’aboutir à un projet bien défini, des méthodes de
construction sûres et adaptées au contexte géotechnique mis en évidence, à partir duquel les
entreprises vont pouvoir établir des offres optimisées.
La phase DCE/ACT permet de finaliser un marché de travaux avec les entreprises retenues,
anticipant les éventuelles difficultés qui pourraient surgir lors de l’exécution des travaux.
Ces études se déroulent lors de la réalisation des ouvrages géotechniques et comportent 2 phases :
Phase Etude (G3 Etude) et Supervision des Etudes (G4 Etude) lors de la phase d’études détaillées
des ouvrages permettant de préciser les méthodes d’exécution, le dimensionnement détaillé et les
détails d’exécution des différents ouvrages géotechniques.
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Phase Suivi (G3 Suivi) et Supervision du suivi (G4 Suivi) lors de l’exécution des ouvrages
géotechniques permettant d’assurer un suivi de la réalisation des ouvrages en fonction de la réalité
du sous-sol mis en évidence lors des travaux.
Ces études permettent ainsi la meilleure adaptation possible des ouvrages réalisés, en fonction du
contexte géologique et géotechnique réel, tant en termes de délais que de coûts.
Cette étude est réalisée sur un ouvrage ou une partie d’ouvrage, existant ou à construire, afin de
déterminer l’influence d’une ou plusieurs problématiques géotechniques. Elle est notamment
réalisée dans le cadre de bâtiments présentant des désordres afin de déterminer si ces désordres
peuvent avoir une origine géotechnique.
Une étude de sol permet de déterminer le type de sol (la géologie), le niveau piézométrique
(ressource en eau, surface des nappes), la résistance du sol… afin de déterminer les types de
fondations envisageables.
Elle permet également de maîtriser les potentiels risques naturels qui pourraient impacter le projet
en les identifiant en amont de la phase travaux.
Toutes les étapes citées précédemment conduisent à la rédaction d’un rapport qui est la garantie
pour le constructeur d’obtenir un ouvrage fiable et pérenne grâce à l’accompagnement du bureau
d’études
Au laboratoire de Géotechnique lors de notre passage, pour un matériau prélevé ; il y a 4 essais que
nous étions censes faire :
L’essai Proctor
L’essai CBR/MARSHALL
La limite d’Atterberg
L’analyse granulométrique, en plus de ces 4 essais, nous avons eu a écraser des éprouvettes en
cubes pour déterminer la résistance des bétons a 7 et 28 jours plus encore nous avons
exécuter l’extraction de liants.
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2.5.4.4.1. ESSAI PROCTOR
L'essai Proctor, mis au point par l'ingénieur Ralph R. Proctor (1933), est un essai géotechnique qui
permet de déterminer la teneur en eau nécessaire pour obtenir la densité sèche maximale d'un sol
granulaire (ou non) par compactage à une énergie fixée (poids de dame, nombre de coups et
dimensions normés).
Histoire
Au début des années 1930, Proctor trouve une solution pour déterminer la densité maximum des
sols. Dans un environnement contrôlé (pour un volume contrôlé), le sol peut être compacté jusqu'à
un point où il n'y a plus qu'un minimum d'air présent dans le sol, simulant les conditions d'un sol in
situ. À partir de là, la densité sèche peut être déterminée en mesurant simplement le poids du sol
avant et après compactage, calculant la teneur en eau et la densité sèche.
De nos jours, cet essai est fréquemment utilisé en France en ingénierie géotechnique pour
catégoriser les sols selon la classification préconisée par le GTR (Guide des terrassements routiers -
norme NF P11-3003) et ainsi déterminer la méthode la plus adaptée pour le compactage des
matériaux dans le cas d'une construction de route. En effet, lors du terrassement, les matériaux mis
en remblai doivent être les plus compacts possible, afin de s'assurer de leur stabilité une fois
l'ouvrage en exploitation.
Principe
Pour bien comprendre le test, il suffit de faire l'expérience sur une plage : en allant vers la mer, le
sable en amont est très sec. On s'enfonce facilement dedans. Sa compacité est très faible. Plus on
avance vers la mer, plus la teneur en eau augmente, et moins on s'enfonce en marchant sur le sable
jusqu'à obtenir une compacité optimum. Le sable est alors très dur sous les pieds (il est proche de la
saturation : il n'y a presque plus d'air présent dans le sol). Ensuite, quand on s'approche encore de la
mer, on s'enfonce de nouveau. Le sable est saturé en eau et sa compacité est amoindrie. La courbe
déterminée par l'essai Proctor diminue alors. Ce résultat dépend de chaque sol et n'est donc pas
théorique mais expérimental.
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Mode opératoire
Mesure en laboratoire
L'essai consiste à damer un échantillon de sol de manière définie et répétitive en faisant varier sa
teneur en eau. La mesure régulière de la teneur en eau et de la masse volumique sèche du matériau,
une fois reportée sur un graphique, permet d'obtenir une courbe en cloche. L'optimum est alors
déterminé par le point maximal de la courbe qui donne la teneur en eau optimale pour une masse
volumique maximum.
Les caractéristiques du creuset et de la dame utilisées pour l'essai sont explicitement définies par la
norme NF P 94-093, et correspondent aux conditions de compactage classique d'un engin de
chantier pour les terrassements. L'essai permet alors de mesurer l'optimum déployée lors de l'essai
Proctor normal est équivalente à celles des compacteurs utilisés. La mise en œuvre en couches plus
minces ou en déployant une énergie supplémentaire nécessite une adaptation des conditions de
compactage de laboratoire.
En travaux publics, lors de la construction d'un stock de terre (un remblai), l'objectif va être de
compacter le sol afin à la fois de stocker un maximum de matériau dans le volume donné, et aussi
d'augmenter la stabilité du remblai pour éviter les phénomènes de glissement. L'essai Proctor
permet de connaître la densité maximale possible d'un matériau, et sa teneur en eau nécessaire pour
aboutir à cette densité.
En remblai, si le matériau est trop sec , il faudra alors l'humidifier (le plus souvent à l'aide
d'une sous-soleuse et d'un malaxeur). S'il est trop humide, il faudra l'aérer jusqu'à obtenir la teneur
en eau OPN. Une fois la teneur en eau optimale atteinte, le compacteur roule sur le matériau,
jusqu'à atteindre la compacité maximum.
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Cet essai est utilisé partout dans le monde pour déterminer l'épaisseur des couches de fondation,
établir une classification des sols et permettre d'étudier la traficabilité. Il peut être réalisé soit en
laboratoire, soit in-situ. Cependant cette dernière option n'est pas souvent réalisée. Il nous donne un
des paramètres indispensables dans les essais géotechniques précédant la construction. Il y a
différents types d'essais CBR à réaliser en fonction du type et de la qualité du sol. La norme qui
définit cet essai porte la référence NF P 94-078.
Origine
Cet essai a été développé en 1929 par les ingénieurs T.E Stanton et O.J. Porter du département des
routes de Californie. Il permet la classification d’un sol pour être utilisé comme sous-fondation et
fondation dans la construction de routes. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, le corps des
ingénieurs des États-Unis l'a également adopté pour la construction des aéroports.
But de l’essai
L’essai permet de déterminer la capacité de portance d’un sol compacté, en estimant sa résistance
au poinçonnement, en fonction de son état, sa densité et son humidité, ainsi que les charges
appliquées. Il mesure la résistance à l’effort tranchant d’un sol sous conditions d’humidité et de
densité contrôlées et du niveau de compactage variable, en permettant d’obtenir un pourcentage du
rapport de portance. Cet essai CBR est utilisé pour le dimensionnement des structures des chaussées
et l'orientation des travaux de terrassements.
Principe de l’essai
Les essais de CBR sont effectués sur des échantillons compactés avec une teneur en humidité
optimale, obtenus à partir de l’essai de compactage Proctor.
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Figure 2.7 : Machine a essai CBR/MARSHALL
L'Essai Marshall est une méthode de détermination de la teneur en vide et des caractéristiques
mécaniques d’un enrobé bitumineux. Le procédé a été mis au point par Bruce Marshall en 1939.
Plusieurs normes encadrent le procédé telle que la norme européenne EN 12697-34. Un échantillon
est compacté puis plongé dans un bain-marie à 60 °C pendant 40 minutes, puis dans une presse
Marshall. Les deux mâchoires d'écrasement de la presse appliquent une contrainte de compression
diamétrale avec une vitesse de 50 mm/min jusqu'à destruction de l'échantillon.
L’essai Marshall ne donne pas d’indications sur la résistance aux déformations d’un revêtement : il
sert de valeur indicative et donne des indications sur la régularité d’une production.
Résultats
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Stabilité S [kN] et la valeur de fluage Ft [mm]
Ensemble des opérations aboutissant à la séparation selon leur grosseur des éléments constituant
échantillon, en employant des tamis à maille carrée afin d’obtenir une représentation de la
répartition de la masse des particules à l’état sec en fonction de leur dimension. Dimension
nominale d’ouverture d’un tamis d : dimension caractéristique de la maille carrée de côté d.
Tamisas ou passant :
Classe granulométrique:
Ensemble des éléments dont les dimensions sont comprises entre deux ouvertures d de tamis
définissant un intervalle.
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Rapport, exprimé en pourcentage, de la masse sèche du passant à travers un tamis d’ouverture d, à
la masse totale initiale de matériau sec passant à travers le tamis de maille. Le pourcentage
massique de tamisas est désigné par : 100 – r.
Courbe granulométrique :
Représentation du pourcentage massique p des différents tamisas en fonction de la dimension
nominale d’ouverture des tamis.
Facteur d’uniformité :
Sur le passant au tamis de 63 mm, rapport des dimensions des mailles de tamis pour lesquels il y a
respectivement 60% et 10% de passant : Cu = d60 / d10
Facteur de courbure :
Sur le passant au tamis de 63 mm, rapport des dimensions des mailles de tamis défini par : Cc =
d30² / d10 . d60= Cu (d60 / d10)²
La dimension nominale des tamis est donnée par l’ouverture de la maille, c’est-à-dire par la
grandeur de l’ouverture carrée. Ces dimensions sont telles qu’elles se suivent dans une progression
géométrique de raison √10, depuis le tamis 0.08mm jusqu’au tamis 80mm. Pour des ouvertures
inférieures à 0.08mm, l’analyse granulométrique n’est pas adaptée et l’on procède par sédimentérie.
L’existence antérieure de passoires (trous ronds) a conduit à une double classification des tamis et
des passoires, tout en conservant pour chaque famille d’appareil la même progression géométrique
des ouvertures. Afin d’éviter toute ambiguïté un tamis et une passoire équivalents ont été désignés
par un même numéro de module. Les dimensions nominales normalisées des tamis, seul appareils
actuellement, sont les suivantes :
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Analyse granulométrique
Quotient Marshall
Q=S/F
où
S = stabilité de l'échantillon en kN
F = fluage de l'échantillon en mm
Les limites d’Atterberg définissent un indicateur permettant de qualifier la plasticité d’un sol mais
aussi l’essai permettant de définir ces indicateurs. C’est l’agronome suédois Albert Atterberg qui a
définis cet essai.
Les limites d’Atterberg sont donc des paramètres géotechniques dont le but est d’identifier un sol et
à caractériser son état grâce à un indice de consistance. Ces limites permettent de fournir des
données importantes sur la mécanique des sols.
Au cours des opérations de terrassement, la teneur en eau d’un sol peut varier considérablement. En
effet, pour la fraction fine, excepté le gravier, la cohésion dépend de la présence d’eau. S’il est
parfaitement sec, le matériau serait cohérent. S’il dépasse une certaine teneur appelée limite de
plasticité, on peut le pétrir en forme de boudin, de boulette ou de fil.
Pour une teneur plus forte, appelée limite de liquidité, il forme alors un liquide visqueux qui ne
conserve pas la forme qu’on lui a donnée.
C’est la détermination de ces deux teneurs caractéristiques qui représente les limites d’Atterberg.
Les limites d’Atterberg peuvent être déterminées en laboratoire grâce à deux normes :
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1. La norme NF P 94-051 propose une méthode concernant les sols et permet de déterminer les
limites d’Atterberg. La limite de liquidité étant déterminée à la coupelle et la limite de
plasticité au rouleau. Ce document décrit l’appareillage et le mode opératoire relatifs à la
détermination de ces deux limites d’Atterberg.
2. La norme NF P 94-052 propose également une méthode concernant les sols permettant de
déterminer les limites d’Atterberg. La différence est que seule la limite de liquidité est
mesurée, à l’aide d’un cône de pénétration.
Nous aurons à comprendre que les responsabilités à caractère génie Civil ne nous étaient pas
octroyées pour faire preuve de notre savoir, cela a constitué un frein ou un rencaissement dans notre
apprentissage.
Mais le stage n’était pas que négatif, plusieurs choses attendues ont vu jour, par exemple le calcul
des devis pour le béton armé, l’interprétation des plans de fondation, la plomberie, la maçonnerie,
j’ai eu un bagage technique suffisant pour me sentir du moins fière.
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Troisième partie :
FORREST est de loin une entreprise parfaite néanmoins, nous n’avons pas rencontrés des
problèmes très fréquents ne saurait ce dans une étape ou une autre, mais la seule chose que nous
avons remarqué c’est qu’il y a eu insuffisance d’espace pour les types d’escaliers qu’ils ont adoptés
dans certains appartements
Pour ne pas démolir le bâtiment cas extrême, ils ont proposé de mettre des escaliers en forme de La
au lieu des ceux qui autre fois étaient en forme droite.
− Relations humaines
La courtoisie, la protection des stagiaires, le dévouement à l’apprentissage , la connaissance
n’implique pas le dossier académique mais le nombre d’années d’expériences dans le domaine, la
plupart de ceux auprès de qui nous exercions nos tâches avaient plutôt la connaissance du travail et
même dans ce cas ,ce sont des personnes humbles et ouverts pour accroître nos connaissances et
approfondir nos savoirs ,
− Adaptation
Étant donné que nous étions nombreux la meilleure façon de s’adapter était de ne pas se retrouver
attroupes à un seul endroit façon pour chacun d’entre nous , s’adapte et apprenne à la mesure de ses
sollicitions , chaque jour au moins une tâche nouvelle était effectuée , tous les jours nous avions des
nouvelles tâches et d’importance très capitale pour notre formation.
− Techniques
o Utiliser la bétonnière sur chantier
o Placer les échafaudages pour les travaux en hauteur
o Usage des ceintures de sécurité dans les hauteurs
o Placer les taquets pour faciliter la mise à niveau soit du crépissage soit des pavements ou
encore des poses des escaliers.
o Le Ferraillage des poutres se font en dehors de la structure contrairement à celui de la dalle .
− Niveau technique
Sur le plan technique ; nous avons appris des pratiques loin de nous imaginer un jour :
o Le carrelage
o L’élevage des murs
o Le crépissage
o La peinture
o Le coffrage
o La fabrication des buses
o Les essais au laboratoire
o Le prélèvement des échantillons
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− Plan de carrière
Grâce au stage effectué, j’ai eu la netteté de la carrière dans mon domaine, si possible rentrer de
nouveau à l’entreprise pour un stage professionnel me préparant à poursuivre ainsi mes études de
Master dans la voirie ou même la géotechnique car ce sont les deux branches là très utiles à la
construction de la chaussée car le premier moyen de communication des contrées c’est la route .
− Enrichissement sur le plan personnel
La gestion du personnel, le contrôle technique , le savoir vivre , la sécurité , la santé , je suis entrée
en contact avec le monde professionnel, le quotidien des travailleurs, la tenue des ingénieurs en
place , et les responsabilités agréés , il y a une grande différence certainement après l’observation
faite et cela est un atout supplémentaire sur les notions vitaux et sociaux .
− Enrichissement comme élément de formation
Comme éléments de formation, j’ai accumulé des notions très essentielles sur le plan pratique , la
technique me prépare à affronter le domaine du travail , car il n’est pas question uniquement de
conduire les travaux mais aussi de savoir qui doit les conduire et de quelles manières pour éviter
toute fraude ,viol ou dégât au chantier .
Il était bien défini que nous étions censés faire un stage d’ouvrir et cette manière nous a permis
d’apprendre le métier d’ingénieur et la bonne gestion par le même biais.
− Cours reliés
L’adaptation aux travaux demandés était dû au fait que nous ayons une certaine base reçue dans
quelques cours tels que :
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La chimie (1er année)
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Conclusion
C’est fut une période de bon apprentissage , une charge positive ajoutée sur notre bagage, nous
remercions l'Entreprise Générale Malta Forrest de nous avoir permi d’élargir nos limites de savoir
car au cours de ce stage nous avons allié la théorie à la pratique tels que les essais dans le cours de
mécanique de sol , les matériaux de construction , leurs propriétés et leur préférence sur le marché
comme nous les ont appris le cours des Matériaux et procédés généraux de construction ainsi que
les sciences des matériaux, les résistances des matériaux et leurs capacités portantes vues dans les
cours de Statique, Résistance des matériaux et calculs des structures, nous espérons voir cette
entreprise progresser et continuer à inculquer des si bons savoir dans la jeunesse Congolaise.
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BIBLIOGRAPHIE
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ANNEXES
MALELA construction d’un bâtiment La station totale pour des levées topo
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