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- depuis 30 ans : ciblage croissant des populations devant faire l’objet d’interventions ou de
protection spécifiques, dans une optique d’efficacité́ et de contrôle des coûts notamment
-On constate par ailleurs que dans cette perspective, les notions de choix et d’intentions propres
aux jeunes n’interviennent pas ou peu.
- Même si certains chercheurs introduisent un volet psychosocial à leurs travaux (Roy et al.,
2005), ce sont surtout les comportements qui comptent, compris comme des unités d’obser-
vation que l’on décrit dans une perspective socio sanitaire. Bien que ces recherches nous
informent des problèmes vécus par les jeunes de la rue et que ces données puissent être
essentielles pour les services d’intervention spécialisés dans les différentes problématiques
mentionnées (toxicomanie, santé mentale, HIV, etc.), elles permettent difficilement de saisir les
enjeux subjectifs associés à la vie de rue. En effet, comme le souligne Parazelli (2000 : 2) :
– mettre en lumière l’écart entre le sens attribué par les jeunes à la marginalité et à la normalité et
le discours épidémiologique et sécuritaire que l’on retrouve dans une partie importante de la
recherche scientifique et sur le plan politique, ainsi que les effets de ce dernier en termes de
reconnaissance sur leur processus de sortie de la rue
Je a risque on prévient ce qui pourrais arriver (on présuppose, à l’aide de calcul) faire
attention de faire parler les chiffres, et/ou d’aimer un plus les chiffre que la population
derrière ceux-ci. La réduction des méfais cherche à aider les gens avec les problèmes, ou
à défaire les problèmes que la société perçoit. A qui sert l’action ???
– Le rapport à de telles pratiques est toujours paradoxal et l’on ne peut vraiment saisir le sens
qu’elles revêtent à leurs yeux que si on les considère à la fois dans leur dimension constructive
(quête identitaire) et destructive (risques réels et souffrances).
– Ces exemples montrent que dans certains cas, la volonté́ d’éviter à tout prix les prises de risque
de ces jeunes comporte le danger de voir leur quête de limites se prolonger, voire se dérouler dans
des lieux encore plus à l’écart du monde des adultes.
Voir ce que les marginaux apportent au sociale, elle n’est pas à l’extérieur, elle fait partie de la
société.
Il rechercher la même chose que la norme, ça te prend un bizarre pour te rappeler que tu es
normal.
1-
2-
Deux finalité :
La rue permet d’etre reconnue comme une bonne personne. Il recherche l’affirmation de
sous et l’authenticité de rapport sociaux plus primaire Vrai.
– avec l’école : En suivant cette hypothèse, la vie de rue pratiquée par des jeunes représenterait une
forme résiduelle ou détraquée d’une cryptie non intégrée socialement, créant ainsi des « chasseurs noirs »
potentiels, parce que menacés de demeurer prisonniers de la marge. Certains aspects de la vie des jeunes de
la rue québécois pourraient être considérés comme des traces culturelles d’un imaginaire social transmis à
travers le temps malgré́ les transformations rationalistes de la modernité́.
– Contrairement aux époques précédentes, les jeunes qui choisissent actuellement de vivre de la rue et dans
la marge sociale le font sans reconnaissance instituée du monde adulte, à leurs risques et périls, sans
nécessairement déboucher sur l’insertion sociale.
Note de cours :
Représentation : collectif
Perception : individuelle