Vous êtes sur la page 1sur 14

Compte rendu du TP de mécanique du point :

Mouvement Harmonique

INTRODUCTION :
A l'origine de la mécanique, le terme "oscillateur" désignait, et désigne
encore, un système mécanique dont le mouvement se répète
périodiquement, ce mouvement oscillatoire se répète tant qu'on l'entretient
(l'origine latine du verbe "osciller" - oscillum - désigne une balançoire). Dans
le bestiaire des systèmes mécaniques, on trouve plusieurs types
d'oscillateurs dont le mouvement entretenu est périodique. Bien qu’il s’agisse
de phénomènes physiques bien différents, il ne serait pas peu judicieux de se
demander si un même modèle mathématique peut les décrire. Notons que si
ce mouvement n'est pas entretenu, les oscillations périodiques s'éteignent
plus ou moins rapidement, faute d'énergie ! Le mouvement perpétuel,
l'oscillateur parfait, n'existe pas malheureusement.
En physique, l'oscillateur harmonique est un système qui subit une force de
restauration proportionnelle au déplacement de l'équilibre
Les oscillateurs harmoniques sont omniprésents en physique et en
ingénierie, et donc l'analyse d'un système oscillant simple tel qu'une masse
sur un ressort donne un aperçu du mouvement harmonique dans des
systèmes plus compliqués et non intuitifs, tels que ceux rencontrés en
mécanique quantique et en électrodynamique.
Lorsqu’un système oscille librement (sans être soumis à une source externe
d’énergie), il se déplace car il est soumis à une force, la force de rappel, qui
tend à le ramener à sa position d’équilibre.
Si on déforme légèrement un système, initialement en équilibre stable, une
quantité supplémentaire d’énergie potentielle y est emmagasinée. Lorsqu’on
le lâche, il tend à revenir à sa configuration d’équilibre. Mais, arrive là, cette
énergie potentielle supplémentaire est déjà transformée en énergie cinétique ;
il a alors une quantité de mouvement qui le force à continuer le déplacement
au-delà de la position équilibre, dans le sens opposé au déplacement initial.
Il se déforme donc de nouveau ; son énergie cinétique se transforme en
énergie potentielle et le processus recommence. Pendant l’oscillation,
l’énergie potentielle se transforme en énergie cinétique et vice versa,
indéfiniment (s’il n’y a pas de perte d’énergie).
La deuxième loi de Newton, F = ma, où l’accélération est donnée par a =
−ω2x, montre que la force est proportionnelle au déplacement, mais de signe
opposé. Nous avons déjà vu cette proportionnelle à la loi de Hooke. Le signe
négatif indique ici que la force est une force de rappel interne au système et à
priori toujours dans le sens contraire de la déformation
Cette force, F = −kx correspond à l’action d’un ressort dont la constante
élastique de proportionnalité ou constante de rigidité du ressort est k = mω2,
qui dépend à son tour de ce dernier. On en déduit une définition alternative
du mouvement harmonique simple : Une particule de masse m soumise à
une force de rappel proportionnelle à son déplacement suit un mouvement
harmonique simple. On qualifie ce type de mouvement d’harmonique en vue
de la proportionnalité existante entre l’étirement / compression et la force de
rappel exercée par le ressort
Jusque-là , nous n’avons considéré que des systèmes oscillant librement,
sans forces externes. Bien que l’analyse de mouvement harmonique
classique et non amorti permet de décrire une large gamme de systèmes
physiques, elle ne constitue toutefois pas une première approximation, ce qui
confère à ce cas d’étude un caractère d’idéalisme, ou du moins réalisable
seulement sous un intervalle de temps limité à l’ordre de moins de cinq
secondes à titre d’exemple. En pratique, il y a toujours des forces externes
agissant sur l’oscillateur en même temps que la force de rappel. Ces forces
peuvent soit entraver le mouvement (c’est-à-dire l’amortir), soit l’aider de
façon que son amplitude soit maintenue ou même augmentée. Parfois ce
dernier effet peut causer des catastrophes, comme dans les cas des séismes.
Nous nous intéresserons dans notre étude à celles qui entravent le
mouvement de façon à ce que les oscillations s’amortissent donnant
naissance ainsi au mouvement harmonique amorti.
Considérons un oscillateur harmonique simple caractérisé par une force de
rappel F = −kx. A cette force s’ajoute une force d’amortissement, qui provient
en général de la résistance de l’air et des frottements internes du système
oscillant. On observe que l’amplitude des oscillations va diminuer
progressivement jusqu’à a l’arrêt complet. C’est un mouvement oscillatoire
amorti.
Si l’amortissement est faible, le système peut continuer à osciller pendant un
temps rel- ativement long avant de s’arrêter à sa position d’équilibre. Un tel
système est sous-amorti. C’est le cas d’un pendule ordinaire, dont l’amplitude
diminue lentement, ou d’un diapason qui s’éteint lentement, en perdant de
l’́énergie `à cause du frottement.
Si le frottement augmente, le système déplacé peut revenir lentement à sa
position d’ équilibre sans jamais la dépasser; dans ce cas, il n’y aura pas
d’oscillations. Les amortisseurs d’une voiture, par exemple, doivent étouffer
toute oscillation en moins d’un cycle. Quand le système revient à l’équilibre
dans le temps le plus court, sans jamais osciller, on dit que l’amortissement
est critique.
Si l’on augmente davantage l’amortissement, le système n’oscille plus, mais il
met plus de temps pour revenir à l’équilibre. On dit dans ces cas que
l’oscillateur est apériodique et qu’il a un amortissement surcritique.

OBJECTIFS :
Ce TP a pour but l’étude aussi bien expérimentale que théorique du
mouvement harmonique simple, où la seule force présente est la force de
rappel, en ayant comme base de données le graphe position-temps primo en
matière d’analyse expérimentale en premier temps. Secundo, nous
adresserons les termes de l’équation horaire du mouvement en revoyant es
méthodes de résolution d'équations différentielles homogènes à coefficients
constants linéaires. Tertio et in fine, nous axerons l’étude sur un cas
particulier du M.H.S, dont l’étude fait l’objet d’une très grande utilité et
importance dans maintes branches de la physique, nommé mouvement
harmonique amorti, où une force de frottement dépendante de la vitesse est
également présente.
Ceci dit les objectifs de ce TP peuvent être résumés comme suit
* Enregistrer des données de position vs. temps d’une masse suspendue à
un ressort en oscillation.
* Déterminer l’équation la plus adéquate possible pour représenter la position
en fonction du temps d’un objet en mouvement harmonique simple.
* Interpréter les paramètres de l’équation de la position en fonction du temps
en termes physique.
* Comparer la force de rappel d’un ressort obtenue de façon statique et
dynamique.
L’ÉTUDE THÉORIQUE:

Le mouvement harmonique simple non


amorti :
On considère une masse m, suspendue à un resort de raideur K et de
longeur à vide L0. L’axe (OX) et orienté vers le bas, Le movement se fait sans
frottement .
a) Détermination de la longueur totale du ressort lorsqu’il est dans sa
postion d’équilibre :
 BILAN DES FORCES :
le poids ⃗P et la force de rappel ⃗T .
D’après le principe fondamental de la statique :
∑⃗
F =0⃗

P +⃗
T =0⃗

On projette cette relation sur l’axe (Ox).


mg –k( le −l0)=0
La longueur du ressort à l’équilibre est donc obtenue par la relation :

mg
l e =l 0 +
k

A t=0 on étire le ressort d’une longueur x 0 et on lâche la masse sans vitesse


initiale.

Cherchons l’équation différentielle du mouvement x :

D’après le principe fondamental de la dynamique :


∑⃗
F =m ⃗γ

P +⃗
T =m ⃗γ
mg –k( l❑−l0)=mγ
mg –k( le −l0)−kx =m ẍ
On sait que mg –k( le −l0)¿ 0 alors :
k
ẍ=¿ – –m x

ẍ=¿ – ω 20 x avec ω❑0 =


√ k
m

La solution de l’équation différentielle :


On sait que la solution de l’équation différentielle est sous la
forme :
 Montrons que la solution de l’équation différentielle est
x (t )=x 0 cos ( ω0 t ) :

L’équation différentielle ẍ=¿ – ω 20 x est une équation différentielle du second


degré donc par les méthodes usuelles de la résolution des équations
différentielles et par référence aux conditions initiales on obtient :
Or que : x (t)= Acos (ω 0 t)+ Bsin (ω0 t)
⇒ x (t=0)=x 0= A
Et ẋ (t)=−A ω0 sin(ω0 t)+B ω0 cos(ω0 t)
Donc ẋ (t=0 )=0=B ω0

Finalement :
x (t )=x 0 cos ( ω0 t )

le mouvement harmonique simple


amorti :
Afin de créer une résistance à l’air, on place un morceau de carton au niveau
de l’accroche poids.
Les frottements de l’air sont modélisés par la force : ⃗f =−α ⃗v

D’après Principe fondamental de la dynamique :


∑⃗
F =m ⃗γ

P + T + ¿ ⃗f =m ⃗γ ¿

mg –k( le −l0)−kx −α ẋ =m ẍ
Et puisque : mg –k( le −l0)¿ 0
α 2
alors : ẍ +
m
ẋ + ω0 x=0

α
l’équation différentielle est donc : ẍ + m ẋ + ω0 x=0,
2

on résout cette équation diff de 2eme degré .


cette équation admet une solution de la forme :
x (t )= A exp ( r ⋅t )

Donc : ẋ (t )= A r exp ( r ⋅t )
Et : ẍ (t )= A r 2 exp ( r ⋅ t )

D’où : (
A exp ( r ⋅t ) . r 2+
α
m )
r + ω20 =0

MOUVEMENT HARMONIQUE SIMPLE


Analyse :
Lorsque vous suspendez un objet à un ressort, celui-ci s’étire. Si
vous étirez le ressort légèrement davantage et relâchez l’objet, le
ressort appliquera une force de rappel sur l’objet qui se mettra alors
à osciller d’une façon que l’on décrit comme le mouvement
harmonique simple (MHS). Durant cette expérience, vous allez
étudier ce mouvement en examinant le mouvement périodique
vertical d’une masse suspendue à un ressort. Le mouvement
harmonique simple consiste en un mouvement de va-et-vient, de
vibrations ou d'un déplacement de corps allongés ou courbés par
rapport à leur position normale puis relâchés. Ledit corps repasse
sans cesse le long de la trajectoire de guidage, pendant une période
de temps définie, par les mêmes positions et avec les mêmes
vitesses.
Le ressort à oscillation harmonique que vous utiliserez durant cette
expérience est un cône tronqué constitué d'un fil de laiton. Ses
élongations sont étroitement proportionnées à la force appliquée.
Les enroulements en cône tronqué produisent moins
d’interférences que ceux d'un ressort hélicoïdal ce qui entraînent un
mouvement réellement sinusoïdal.
Imaginez une masse suspendue en équilibre au bout d’un ressort. Si
la masse est légèrement tirée vers le bas puis relâchée, le ressort
exerce alors une force de rappel, 𝐹⃗ = −𝑘𝑥⃗, où 𝑥⃗ est l’élongation du
ressort par rapport à son point d’équilibre et 𝑘 est la constant de
rappel du ressort. Le signe négatif indique que la force de rappel
s’oppose au déplacement de la masse par rapport au point
d’équilibre.
Lorsque la masse s’élève, sa vitesse augmente au fur et à mesure
qu’elle se rapproche du point d’équilibre. Elle continue de monter
au-delà du point d’équilibre et s’immobilise à un point où son
énergie potentielle correspond à l’énergie cinétique qu’elle avait
lorsqu’elle passa par le point d’équilibre. À partir de ce moment, la
masse commence à descendre pour traverser le point d’équilibre
encore une fois et rejoindre sa position initiale. Ce mouvement se
répète alors de façon périodique.
Pour une mase suspendue à un ressort idéal (ressort sans masse), la
position en fonction du temps est décrite par le mouvement
harmonique simple :
𝑥(𝑡) = 𝐴 cos(𝜔𝑡 + 𝜃),
où 𝐴 représente l’amplitude des oscillations, 𝜔 la fréquence
angulaire et 𝜃 la constante de phase. La fréquence angulaire est
associée à la période d’oscillation par 𝜔 = 2𝜋/𝑇. La période
d’oscillation, 𝑇, décrivant le mouvement de cet objet dépend de sa
masse, 𝑚, et de la constante de rappel du ressort, 𝑘:
𝑇 = 2𝜋√ (𝑚/𝑘) .
Durant le mouvement d’oscillation, l’énergie de la masse oscille
entre énergie cinétique et énergie potentielle. Si toute forme de
friction est ignorée, l’énergie totale du système doit demeurer
constante. Cependant, comme le ressort possède une masse non
négligeable, l’équation décrivant la période d’oscillation doit être
corrigée ainsi :
𝑇 = 2𝜋√ ((𝑚 + 𝛾𝑚res )/𝑘 ),
où 𝑚res est la masse du ressort et 𝛾 est une constante entre 0 et 1
qui dépend du type de ressort. Cette correction consiste
simplement à considérer une masse effective qui est la somme de la
masse suspendue et d’une fraction de la masse du ressort. Pour un
ressort uniforme, cette fraction 𝛾 est 1⁄3. Dans cette expérience,
vous aurez à déterminer la constante de rappel du ressort conique
mais vous devrez également déterminer la valeur de la fraction 𝛾.
Manipulations préliminaires :
Étape 1 : Démarrez votre ordinateur et démarrez programme Logger
Pro. Vous devriez apercevoir une valeur de mesure de force ainsi
qu’une mesure de position dans le coin inférieur gauche de l’écran.
Étape 2 : Préparez le montage présenté Figure 1. Placer le détecteur de
mouvement sur le plancher en-dessous du support pour les masses. La
partie circulaire du détecteur doit être directement en-dessous du
support. Placez la cage protectrice par-dessus le détecteur.
Étape 3 : Ajoutez 50 g au support pour étirer le ressort et laissez-le
équilibrer. Assurez-vous que le capteur de force est bien vertical. Si
vous tourner le capteur, vous devriez voir la force dans le programme
Logger Pro. Un bon alignement vertical est atteint lorsque la lecture
de force est à son maximum.
Étape 4 : Cliquez Experiment Zero… pour remettre les deux
capteurs à zéro. Étirez légèrement la masse et relâchez-la. Lorsque le
ressort oscille régulièrement, débutez l’acquisition de données. Si le
graphique de la position vs. temps ne présente pas une courbe
régulière, déplacez légèrement le détecteur de mouvement et
recommencer l’acquisition jusqu’à ce que vos données soient
satisfaisantes. Laissez le détecteur de mouvement en place jusqu’à la
fin de l’expérience.
Étape 5 : Effectuez une régression sinusoïdale du graphique de la
position vs. temps. Pour ce faire, cliquez Analyze Curve Fit…. À
partir de la liste d’équations, choisissez A*sin(B*t+C)+D. Cliquez Try
Fit, et OK.
Cette régression retourne quatre paramètres:
- A: l’amplitude des oscillations (en m);
- B: la fréquence angulaire, 𝜔, des oscillations (en rad/s);
- C: la constante de phase synchronisant la fonction sinusoïdale
avec vos oscillations;
- D: un paramètre d’ajustement nécessaire lorsque la position
d’équilibre du ressort ne
correspond pas au zéro du détecteur de mouvement.
Étape 6 : Notez l’amplitude, la fréquence et la constante de phase de
vos régressions .

Matériels :
* Ordinateur équipé du logiciel Logger Pro et une interface d’acquisition
portable.
* Capteur de force

* Détecteur de mouvement et une cage protectrice

* Support universel avec base en serre-joint et attaches.


* Ressort harmonique.
* Support de masses et jeu de masses fendues.

ETUDE DU MOUVEMENT HARMONIQUE AMORTI


Dans cette manipulation on s’intéresse aux mouvements
harmoniques amortis, dans laquelle les données sont collectées pendant
10 secondes .
Pour créer des amortissements on a placé un morceau de carton
au niveau de l’accroche poids , puis on a fixé le poids au dessus du carton
pour le stabiliser. On pousse la masse légèrement et on la relâche
Après l’enregistrement du trois signaux obtenu par les trois expériences
avec des masses différentes , et l’ajout de la fonction sinus au graphique ,
on observe que cette dernière n’est plus adapté pour la représentation de
la courbe position/temps d’essai actuel , car la fonction sinus a une
amplitude constante et ce n’est pas le cas pour le mouvement actuel car
on a créé une force de frottement avec l’air en ajoutant le carton ce qui
Amplitude (m)
0.035 0.0304 0.0256 0.023 0.0195 0.0174 0.0152 0.139 0.013

Temps (s) 0.216 1.362 2.475 3.605 5.304 6.417 7.012 8.11 8.685

entraine une perte de l’énergie mécanique responsable à la diminution de


l’amplitude de la courbe.
A partir du graphe obtenu par Logger pro3 :

Valeurs de position en fonction du temps pour l‘expérience


du mouvement harmonique
amorti
Lorsqu’on trace la courbe qui lie les sommets des valeurs
indiquées sur le tableau on obtient une courbe qui a l’aspect de la
fonction exponentielle .
Alors la fonction la plus adapté pour la représentation de cette
expérience est de la forme suivante:

𝒙(𝒕) = 𝑨. 𝒆 −𝑩𝒕 . 𝒔𝒊𝒏(𝑪. 𝒕 + 𝑫) + E

CONCLUSION :
Pour clore ce compte-rendu, il serait judicieux de revenir brièvement sur les
constatations et conclusions tirées précédemment. . En effet, l’étude
expérimentale et théorique a bel et bien permis de mettre en relief les
paramètres qui régissent le mouvement harmonique ainsi que leurs
différentes influences notamment l’effet considérablement majeur de la
masse. Qui nous a été clairement explicité suite à l’expérience de suspension
des différentes masses au ressort. Il va de soi que ce type de mouvement
jouit particulièrement d’un grand intérêt de point de vue énergétique.
L’énergie mécanique du système oscillant sans l’intervention des
amortissements reste constante au cours de son mouvement, ce qui est en
cohérence avec la conclusion majeure extraite de l’analyse expérimentale qui
n’est rien d’autre qu’afin d’aboutir à l’équation de l’oscillateur harmonique
simple il faille omettre les phénomènes dissipatifs d’énergie notamment la
réaction entre la surface en carton et les forces des frottements de l’air
Poussée d’Archimède, en ce qui concerne le cas faisant l’objet de notre
étude. Puisqu’il est évident en se basant du simple fait que dès lors l’ajout de
la surface de carton, l’allure du signal ainsi que son équation initialement
proprement sinusoïdal, malgré quelques brèches inévitables observées dans
le signal en raison de non seulement la nature relativement imprécise des
conditions expérimentales mais aussi du fait que ,aussi crédule que cela
puisse paraître, le premier contact avec de tels dispositifs et de tel
environnement peut s’avérer submergeant, a subi des modifications
drastiques entraînant ainsi la manifestation des effets des paramètres de la
fonction exponentielle en matière du signal ainsi que l’équation qui le régit

Vous aimerez peut-être aussi