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Introduction : .................................................................................. 2
Les variables.................................................................................... 3
Matrices........................................................................................... 4
Exercices ........................................................................................ 14
1
Introduction :
L’interface de Matlab
Selon la version utilisée, l’interface peut changer légèrement mais les points centraux
resteront identiques.
Command Window
C’est le terminal dans lequel on doit taper les commandes et sur lequel on verra
l’affichage des résultats. Une ligne commence toujours par >>.
2
>> 3 >> 3+4 >> 3+4;
ans = ans =
3 7
Deux points sont à noter ici. Le premier est que Matlab définit une variable ans, lorsque
l’on effectue un calcul. Cette variable (qui veut dire answer/réponse), s’ache sur le
terminal lorsque l’on omet le signe ; en fin de ligne. Ici ans est une matrice de taille 1x1
(une ligne par une colonne). Une commande utile lorsque l’on a un doute sur le type de
variable que l’on vient de créer est whos :
Cette commande retourne le nom de la variable (ans), sa taille (1x1), le nombre d’octets
utilisés (8), et le type de données (ici réel en double précision). Une seconde commande
utile est clc. Cette commande permet de vider l’´ecran de Command Window pour
repartir sur une fenêtre propre
Les variables
Il existe cinq grands types de variables sous Matlab : les entiers, les réels, les complexes,
les chaînes de caractères et le type logique. Définissons une variable de chaque type :
>> a = 1.3; b = 3+i; c = ’bonjour’; a représente un réel, b un complexe, c une chaine de
>> d1 = true(1==1); d2 = logical(1); caractères, d1 et d2 sont deux manières de définir une
>> e = int8(2); variable logique (VRAI dans le cas présent) et e est un
entier codé sur 8 bits. On peut alors vérifier le type de ces
différentes variables en utilisant la fonction whos
3
Matrices
4
NB : le caractère ' est en fait le symbole de transposition, il est applicable à une matrice
quelconque. Si A = [1 2 3 ; 4 5 6 ; 7 8 9] alors A' = [1 4 7 ; 2 5 8 ; 3 6 9]
b) Eléments d'une matrice
Chaque élément d'une matrice est accessible à condition de spécifier sa place dans la
matrice. Pour cela, il suffit de donner le numéro de ligne et de colonne entre ().
Exemple :
- Si on a A = [1 5 2 6] alors A(1,2) = 5 (1ère ligne, 2ème colonne).
NB : en fait ici, vu que la matrice A ne contient qu'1 seule ligne on peut se contenter
d'écrire A(2) pour obtenir 5
- Si on a A = [1 5 6 ; 2 3 6] alors A(2,2)= 3 (2ème ligne, 2ème colonne).
- La variable end permet de récupérer les derniers éléments d'un vecteur. Si on a A = [1
5 2 6] alors A(end)= 6.
Pour récupérer plusieurs éléments d'une matrice, il suffit de préciser l'ensemble des
numéros de lignes et de colonnes des éléments à prélever. En particulier, pour récupérer
l'ensemble des éléments d'une ligne ou d'une colonne on utilise le caractère ' :'.
A= [1 2 4 ;2 6 8 ;3 5 4]
A=
5
Multiplication ou division : on peut multiplier ou diviser 2 matrices terme à terme
par l'emploi des symboles « .* » ou « ./ »
A = [1 2 3 ; 4 5 6] B = [2 4 6 ; 7 8 -1]
A.*B = [2 8 18 ; 28 40 -6]
A./B = [0.5 0.5 0.5 ; 0.57 0.62 -6]
A = [1 5 ; -3 2 ; 1 3]; M=A.^2
M=
1 25
9 4
1 9
[m n] = zise(A)
ones(1,n): vecteur ligne de longueur n dont tous les éléments valent 1
zeros(1,n): vecteur ligne de longueur n dont tous les éléments valent 0
rand(1,n) : vecteur ligne de longueur n dont les éléments sont générés de manière
aléatoire entre 0 et 1.
Représentation graphique
f(x) = cos(IIx)
X = [0:0.1:6]; Y = cos(X*pi);
>> figure(1);
>> plot(X,Y)
---------------------------------------------------
close all;
x=-pi:.1:pi;
y0 = sin(x);
y1 = sin(x+pi/3);
y2 = sin(x+2*pi/3);
7
figure(3);
subplot(3,1,1), plot(x,y0);
subplot(3,1,2), plot(x,y1, 'r');
subplot(3,1,3), plot(x,y2, 'b');
close all;
x=-pi:.1:pi;
y0 = sin(x);
y1 = sin(x+pi/3);
y2 = sin(x+2*pi/3);
figure(1);
subplot(1,3,1), plot(x,y0);
subplot(1,3,2), plot(x,y1,'r');
subplot(1,3,3), plot(x,y2, 'bo-');
8
1 1 1
0 0 0
-1 -1 -1
-5 0 5 -5 0 5 -5 0 5
1 1 1
0 0 0
-1 -1 -1
-5 0 5 -5 0 5 -5 0 5
0
1 2 3 4 5 6 7
9
12
10
0
1 2 3 4 5 6 7
t = linspace(0,1);
y = exp(t);
plot(t,y)
xlabel('t_{seconds}')
10
ylabel('e^t')
-----------
plot((1:10).^2)
xlabel('Population','FontSize',12,'FontWeight','bold','Color','r')
---------------
Un script se présente sous la forme d'un fichier texte avec l'extension .m
Quand on lance un script, Matlab exécute une à une les commandes.
Un script est un programme : Matlab est également un langage de programmation.
Affichage de textes :
>> c='Bonjour';
>> disp(c)
Bonjour
>> disp('Bonjour')
Bonjour
>> disp(['Pierre' ' ' 'Paul' 'Jacques'])
Pierre PaulJacques
Saisie au clavier : fonction INPUT : Cette fonction effectue la saisie de valeurs
numériques ou bien de textes.
Structures algorithmiques
IF ELSE
if condition ,
bloc d'instructions 1 ;
else
bloc d'instructions 2 ;
end
Le bloc d'instructions 1 est exécuté si la condition est vraie.
Sinon, c'est le bloc d'instructions 2 qui est exécuté.
IF ELSE IF
if condition1 ,
bloc d'instructions 1 ;
else if condition2 ,
bloc d'instructions 2 ;
end
Le bloc d'instructions 1 est exécuté si la condition 1 est vraie.
Sinon, si la condition2 est vraie, le bloc d'instructions 2 est exécuté. (Script8.m)
n=0; for n = 0:5 >> m = -1; >> if (m<0) ;
while (n < 10) n.^2 a=-m ;end
n.^2 end --------------
n=n+1; ----------------- if (x > 0)
end >> x = [ ] ; x
--------- >> for (k = 1 : 5), x = [x, sqrt(k)], else
% script6.m End -x
n=0 ; % script3.m end
while (n<10), for i=1:5,
n=n+1; disp([i i*i]);
disp(n); end
end
Utilisation de elseif
Lorsqu’il y a plus de deux alternatives, on peut utiliser la structure suivante :
12
if (exp1)
script1 (évalué si exp 1 est vraie)
elseif (exp2)
script2 (évalué si exp 2 est vraie)
elseif (exp3)
...
else
script (évalué si aucune des expressions exp1, exp2, . . . n’est vraie)
end
Opérateurs logiques :
& ET logique (AND)
| OU logique (OR)
~ NON logique
% script1.m % script2.m
fplot('100*x/((50+x)^2)',[0 200]); disp('Bonjour!');
grid on; x0=input('Taper la valeur de R min : ');
xlabel('R (en ohms)'); x1=input('Taper la valeur de R max : ');
ylabel('P (en watt)'); disp(['R min =' num2str(x0)]);
title('Courbe P(R)'); disp(['R max =' num2str(x1)]);
% facto.m fplot('100*x/((50+x)^2)',[x0 x1]);
disp('Calcul de la factorielle') ; grid on;
n=input('n = ? ') ; xlabel('R (en ohms)');
fact=1; ylabel('P (en watt)');
for i=1:n, title('Courbe P(R)');
fact=fact*i; disp('Au revoir.');
end
disp([num2str(n) '!=']);
format long e;
disp(fact);
% trinome.m
disp('Calcul dans R des racines de ax²+bx+c=0');
choix='Y';
13
while (choix~='N' & choix~='n'),
a=0;
while (a==0),
a=input('a=? ');
if (a==0),
disp ('Valeur non valide !');
end
end
b=input('b=? ');
c=input('c=? ');
delta=b*b-4*a*c;
if (delta<0),
disp('Pas de racine réelle.');
end
if (delta==0),
disp('Une racine double :');
racine=-b/(2*a);
disp(racine);
end
if (delta>0),
disp('Deux racines :');
racine1=(-b+sqrt(delta))/(2*a);
racine2=(-b-sqrt(delta))/(2*a);
disp(racine1);
disp(racine2);
end
choix=input('Un autre calcul (O/N)? ','s');
end
Exercices
% script7.m
note=-1;
14
while ((note<0) | (note>20)),
note=input('taper la note (0 à 20) : ');
end
disp(['note = ' num2str(note)]);La boucle est exécutée tant que la note est inférieure à 0
ou bien supérieure à 20.
Cela permet de saisir une note forcément comprise entre 0 et 20 :
>> script7
taper la note (0 à 20) : 30
taper la note (0 à 20) : 17
note =17
télécharger les données .m
tic
close all;
pres_filt1='data1.m';
pres_filt2='data2.m';
fid1=fopen(pres_filt1);
fid2=fopen(pres_filt2);
z1=fscanf(fid1,'%g',[1,inf]);
z2=fscanf(fid2,'%g',[1,inf]);
………………
toc
exercice1somme.m exercice2suite.m
Écrivez un programme qui demande deux Écrivez un programme qui calcule le 100ème terme de la suite
entiers a et b et qui affiche le résultat de la suivante : u0 = 2, u1 = 1 , u2 = 3 , un+3 = 2un+2 + 3un+1 + un
somme suivante : ∑ =1 u0=0; % terme representant u_n
a = input(’entrez a : ’); u1=1; % terme representant u_n+1
b = input(’entrez b : ’); u2=3; % terme representant u_n+2
S=0; for k=1:99
for k=1:b u3 = 2*u2+3*u1 + u0; % calcul de u_n+3
S=S+k^a; u0 = u1; % preparation des variables pour la
end u1 = u2; % etape du calcul
S u2 = u3;
end
disp(u0);
15
16
Introduction
TEX est un logiciel d’édition développé par Donald KNUTH, puis modifié par Leslie
LAMPORT (LATEX) permettant de produire des documents de qualité digne de la
publication professionnelle.
LATEX : est un langage de composition de documents, crée en 1983. Est un logiciel libre
– ce n’est pas le cas de son principal concurrent
Permet de structurer un texte mathématique : Figures, Maths, Paragraphes, Liens
Références, ….
Les documents édités en LATEX sont d’une qualité typographique professionnelle.
17
Donald KNUTH Leslie LAMPORT
Ecrire du LATEX
Installer MikTeX
Installer Texmaker
Il vous faut les deux, car MikTeX est une version du programme LATEX, tandis que
Texmaker est simplement un éditeur contenant plein de fonctions utiles.
Les fichiers LATEX
LATEX est un langage de programmation, qui génère plusieurs types de fichiers. On
trouve des fichiers:
.tex : Ce sont les fichiers contenant toutes les commandes que vous allez taper, i.e les
fichiers sources
.dvi : C’est le résultat de la compilation standard de vos commandes. On peut visualiser
ces fichiers à l’aide du logiciel xdvi
18
.ps ou .pdf : Il s’agit des fichiers destinés à la publication, après conversion depuis le
.dvi
.bib et .bbl Ces fichiers servent à la gestion de la bibliographie
.aux, .toc, .idx Ces fichiers sont utilisés par LATEX pour gérer les références dans
votre document
Compilation
Avant toute chose, enregistrer votre fichier source au format xxx.tex
Menu "Outils", puis "Compilation rapide" : crée le .dvi
Menu "Outils", puis DVI->PDF" : crée le .pdf
Visualiser votre fichier xxx.pdf en double cliquant dessus.
19
\section{Premier essai} Bonjour tout le monde. Je parle et \'ecris fran\c{c}ais. Je
m’essaie au \LaTeX.\\ Pour l’instant, tout va bien !
\subsection{La suite} Passons \`a la suite.
\end{document}
Sectionnement et Style
On distingue par ordre décroissant :
part chapter
section subsection subsubsection
paragraph subparagraph
La numérotation est automatique.
\section{Section avec numérotation}
\section*{Section sans numérotation}
Taille des caractères Style de caractères
tiny minuscule textbf Gras
scriptsize très petit textit ou emph Italique
footnotesize assez petit underline Souligné
small petit texttt Texte
normalsize normal
large grand
20
Mettre de la couleur
\usepackage{color}
Deux fonctions existent :
\color{blue} Tout le texte qui sera placé après cette balise sera de couleur
bleue. Ne pas oublier
\color{black} pour revenir à la couleur par défaut.
\textcolor{magenta}{le texte en magenta} Seul le texte placé en deuxième
argument (ici "le texte en magenta") sera de couleur magenta.
Exemple :
\documentclass[12pt,a4paper,twoside]{article}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage{color}
\begin{document}
\color{blue} Tout le texte qui sera placé après cette balise sera
de couleur bleu.
\end{document}
Faire un titre
Instructions title, author, date et abstract.
Puis instruction maketitle.
\documentclass[11pt,twocolumn]{article}
\usepackage[francais]{babel}
\begin{document}
\title{Un titre quelconque}
\author{Peu Importe}
\date{\today}
\maketitle
\abstract{Ceci est un r\'esum\'e de ce superbe document}
\section{Le canard \'etait toujours vivant}
Il \'etait une fois \ldots
\end{document}
21
Notes de bas de page : \footnote{} permet d’insérer une note de base de page dans
votre document
Claude Bernard\footnote{m\'edecin }
Les listes se déclarent dans un environnement avec un begin et un end dont l’intitulé
dépend du type de liste que vous voulez générer : enumerate, itemize, description.
\begin{enumerate} \begin{itemize} \begin{description}
\item exemple1 \item exemple1 \item[cas 1] exemple1
\item exemple2 \item exemple2 \item[cas 2] exemple2
\item exemple3 \item exemple3 \item[cas 3] exemple3
\end{enumerate} \end{itemize} \end{description}
Les tableaux
Environnements table et tabular.
\begin{table}
\begin{tabular}{|l|c|c|}
OS & Plateforme & Part des serveurs http \\
\hline
Unix & Toutes & 32\%\\
Linux & Toutes & 26\% \\
Windows NT & Intel & 23\% \\
\end{tabular}
\caption{Ceci est un tableau pr\'esentant la part des serveurs occup\'es
par chaque syst\`eme d’exploitation.}
\label{tab_serveur}
\end{table}
22
Les figures
Le format postscript encapsulé (.eps) est très utilisé pour des raisons historiques
\usepackage{epsfig}
\begin{document}
\begin{figure}[h]
\epsfig{file=CHAMEAU.eps,width=8cm}
\caption{Ceci est un chameau.}
\end{figure}
\end{document}
Exemple1 : article
\documentclass[12pt,a4paper,twoside]{article}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage[french]{babel}
\usepackage{color}
\usepackage{nomencl}
\usepackage{graphicx}
\usepackage{graphics}
\usepackage{amsmath}
\usepackage{amsfonts}
\usepackage{caption}
\usepackage{multirow}
\usepackage{amssymb}
\usepackage{float}
\usepackage{appendix}
\usepackage{epsfig, floatflt,amssymb}
%\usepackage{nomencl}
\makenomenclature
\begin{document}
\section{Premier essai} Bonjour tout le monde. Je parle et \'ecris fran\c{c}ais. Je
m’essaie au \LaTeX.\\ Pour l’instant, tout va bien !
\subsection{La suite} Passons \`a la suite. \\
23
C_{2,x}(i)\equiv R(x)=E\{x(t_{1})x(t_{1}+i)\}
\end{equation}
\begin{equation}\label{eq2}
f(x,y)= \frac{X}{Y}
\end{equation}
\begin{equation}\label{eq3}
y(t) = h_{0} + H_{1}[x(t)]+H_{2}[x(t)]+...+H_{n}[x(t)]+...
\end{equation}
\begin{equation}\label{eq4}
y_{p}(t)=
\displaystyle\int_{-\infty}^{+\infty}...\displaystyle\int_{-
\infty}^{+\infty}h_{p}(\tau_{1},\tau_{2}...,
\tau_{p})x(t-\tau_{1})x(t-\tau_{2})...x(t-\tau_{p})d\tau_{1}...d\tau_{p}
\end{equation}
On considère la fonction $f$ définie pour tout réel $x$ par $f(x)=5x^4 + 4x^3 +
3x^2 + 2x +1 $
Pour tout réel $a$ et pour tous entiers naturels $m$ et $n$,
$${(a^m)}^n=a^{mn}$$
24
et $$(a^m)^n=(a^n)^m$$
Montrez que la seule suite $(u_{n})$ à valeurs entières telle que, pour tout entier
naturel $n$, on ait $$u_{n+1}>u_{u_{n}}$$ est l’identité \footnote{Olympiades
internationales,1977}.
Soit $a$ un réel positif. On appelle racine carrée de $a$ le nombre positif noté
$\sqrt{a}$ tel que
$(\sqrt{a})^{2}=a$.
On montre que
$\lim_{h\rightarrow 0}
\frac{\sin h}{h}=1$ et
$$\lim_{h\rightarrow 0}
\frac{\cos h-1}{h}=0.$$
$$M=\left(\begin{array}{ccc}
\cos\theta & -\sin\theta & 0 \\
\sin\theta & \cos\theta & 0 \\
0&0&1
\end{array}\right)$$
$$\left\lbrace\begin{array}{lll}
x’&=& x\cos\theta -y\sin\theta\\
y’&=& -x\sin\theta+y\cos\theta\\
z’&=& z
\end{array}\right.$$
$$M=\left( \begin{array}{ccc}
a_{1,1} & \cdots & a_{1,n} \\
\vdots & \ddots & \vdots \\
a_{n,1} & \cdots & a_{n,n}
\end{array}\right)$$
25
Soit $f:x\mapsto x^{2}+3x-4$.
Le signe de $f$ est donné par le tableau suivant :
$$\begin{array}{|c|lcccccr|}
\hline
x & -\infty & & -4 & & 1 & & +\infty\\
\hline
\mathrm{signe\ de\ }f& & + & 0 & - & 0 & + & \\
\hline
\end{array}$$
\end{document}
Exemple2 : rapport
\documentclass[12pt,a4paper]{report}
\usepackage[latin1]{inputenc}
%\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage[french]{babel}
\usepackage[T1]{fontenc} %% permet d'utiliser les caractères accentués
\usepackage{nomencl}
\usepackage{graphicx}
\usepackage{graphics}
\usepackage{amsmath}
\usepackage{amsfonts}
\usepackage{caption}
\usepackage{multirow}
\usepackage{amssymb}
\usepackage{float}
\usepackage{appendix}
\usepackage{nomencl}
\makenomenclature
%\renewcommand{\nomname}{Notations, symboles, et abréviations}
%\newcommand{\nm}[2]{\nomenclature{#1}{#2}}
\setcounter{secnumdepth}{5}
\usepackage[width=2.00cm, height=2.00cm, left=3.00cm, right=2.00cm, top=2.00cm,
bottom=2.00cm]{geometry} % Pour pouvoir modifier les marges du document
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%%%%%%%%%%%%
\date{}
\usepackage{fancyhdr}
26
\pagestyle{fancy}
\renewcommand\headrulewidth{2pt}
\newtheorem{The}{Théorème}
\fancyhead[C]{}
\fancyhead[L]{\leftmark}
\fancyhead[R]{}
\newtheorem{monTeorem}{Théorème}[section]
\newenvironment{spmatrix}[1]
{\def\mysubscript{#1}\mathop\bgroup\begin{pmatrix}}
{\end{pmatrix}\egroup_{\textstyle\mathstrut\mysubscript}}
\begin{document}
\begin{titlepage}
\centering% % % % % % % % % % % % % % %ù la page de garde % % % % % % %
%%%%
%\vspace{0.3cm}
\begin{figure}[H]
\begin{minipage}{0.6\linewidth}
\textbf{Université Ibn Zohr}\\
\textbf{Faculté Polydisciplinaire de Taroudant}\\
\textbf{Département des Sciences et Techniques}
\end{minipage}
\begin{minipage}{0.5\linewidth}
\centering
\includegraphics[width=0.9\linewidth]{logofpt}
\end{minipage}\\
\end{figure}
\vspace{0.75cm}
\begin{Large}
Mémoire présenté pour obtenir le diplôme de\\
MASTER Spécialisé\\
\vspace{0.2cm}
Spécialité: Procédé d'Analyse et Contôle Qualité (PACQ)\\
\end{Large}
\vspace{1cm}
Réalisé par:\\
\vspace{0.3cm}
\textbf{SAMIH REDAAH}
% \vspace{0.3cm}
27
\begin{Huge}
\centering
% Titre:\\
\vspace{0.5cm}
\rule{1\textwidth}{1.75pt}
\begin{center}
\vspace{0.2cm}
\textit{Laboratoire de Biotechnologie $\&$ Qualité\\
}
\vspace{0.8cm}
Soutenu le 20 Juillet 2018 devant le jury composé de :
\vspace{0.8cm}
\begin{tabular}{lll}
\vspace{0.2cm}
Mr. XX XX & Professeur à la FPT & Président \\
\vspace{0.2cm}
Mme. XX XX & Professeur à la FPT & Examinatrice \\
\vspace{0.2cm}
Mr. XX XX & Professeur à la FPT & Examinateur \\
\vspace{0.2cm}
Mr. XX XX & Professeur à la FPT & Encadrant \\
\end{tabular}
\vspace{1cm}
{\bf Année universitaire : 2017/2018}
\end{center}
\end{titlepage}
% -----------------------------------------------------
% -----------------------------------------------------
% -----------------------------------------------------
28
\chapter*{Remerciements}
\addcontentsline{toc}{chapter}{Remerciements}
\pagenumbering{roman}\setcounter{page}{1}
\textit{ici Remerciements XXXXXXXXXX}
\paragraph*{}
\textit{ici Remerciements XXXXXXXXXX}
\paragraph*{}
\textit{ici Remerciements XXXXXXXXXX}
% -----------------------------------------------------
% -----------------------------------------------------
\tableofcontents
\pagestyle{plain}
\listoffigures
\addcontentsline{toc}{chapter}{Liste des figures}
\listoftables
\addcontentsline{toc}{chapter}{Liste des tableaux}
%-------------------------------------------
%-------------------------------------------
\chapter*{Notations, symboles et abréviations}
\addcontentsline{toc}{chapter}{Notations, symboles et abréviations}
\begin{tabular}{lll}
\textbf{PACQ}& \hspace{2cm} &Procédé d'analyse et contrôle qualité\\
29
%--------------------------------------------------
%--------------------------------------------------
\chapter*{Introduction générale}
\pagenumbering{arabic}\setcounter{page}{1}
\pagestyle{fancy}
\addcontentsline{toc}{chapter}{Introduction générale}
TEX est un logiciel d?édition développé par Donald KNUTH, puis modifié par Leslie
LAMPORT (LATEX) permettant de produire des documents de qualité digne de la
publication professionnelle.
LATEX : est un langage de composition de documents, crée en 1983. Est un logiciel libre
? ce n?est pas le cas de son principal concurrent. \cite{HK15}. TEX est un logiciel
d?édition développé par Donald KNUTH, puis modifié par Leslie LAMPORT (LATEX)
permettant de produire des documents de qualité digne de la publication
professionnelle.
LATEX : est un langage de composition de documents, crée en 1983. Est un logiciel libre
? ce n?est pas le cas de son principal concurrent. \textbf{YY}, \textbf{XX} ...etc
\cite{MB16}.
\paragraph*{}
Dans ce mémoire, nous traitons les problèmes .......... .
\paragraph*{}
Nous avons organisé ce mémoire en trois chapitres comme suit:
\vspace{0.2cm}
\begin{itemize}
\item[$\bullet$] Le $1^{er}$ chapitre présente :....................
\vspace{0.2cm}
\item[$\bullet$] Le $2^{eme}$ chapitre ........................
\vspace{0.2cm}
\end{itemize}
\section{PACQ1}
\subsection{Fonctions mathématiques}
30
Soient deux vecteurs de $k$ variables aléatoires : $V=[v_1 v_2 v_3 . . . v_k]^T$ et
$X=[x_1 x_2 x_3 . . . x_k]^T$, où $(x_1, x_2, x_3, . . . , x_k)$ et $(v_1, v_2, v_3, . . . ,
v_k)$ indique un ensemble de variables aléatoires
réelles.
\paragraph*{}
On appelle fonction caractéristique des moments du vecteur $X$ la fonction définie
comme suit\cite{M10}:
\begin{equation}\label{FCM}
\Phi_X(V)=E[\exp(jV^TX)]
\end{equation}
où l'opérateur $E[.]$ représente l'espérance mathématique, et $j$ représente le nombre
complexe tel que $j^2=-1$.
\paragraph*{}
Le moment d'ordre $\textbf{m}$ ($m = n_1 + n_2 + . . . + n_k$) peut être défini par la
quantité suivante:
\begin{equation}\label{Mom1}
\textbf{M}(x_1^{n_1},x_2^{n_2}, . . . , x_k^{n_k})=E[x_1^{n_1}x_2^{n_2} . . .
x_k^{n_k}]
\end{equation}
où $(n_1, n_2, . . . , n_k)$ sont des valeurs entières, elles représentent les puissances
associées aux variables aléatoires réelles $\{x_i\}_{i=1,...,k}$.
\paragraph*{}
Le développement en série de Taylor de la fonction caractéristique $\Phi_X(V)$ au
voisinage de l'origine, tronqué à l'ordre $s$, permet d'obtenir les coefficients des
moments définis par la relation \ref{Mom1} par:
\begin{equation}
\Phi_X(V)=\sum_{0 \le m \le
s}\frac{j^m}{n_1!n_2!...n_k!}\textbf{M}(x_1^{n_1},x_2^{n_2}, . . . ,
x_k^{n_k})v_1^{n_1} v_2^{n_2} v_3^{n_3} . . . v_k^{n_k}+o(|V|^s)
\end{equation}
où l'entier $s$ est défini de telle façon que tous les moments d'ordre inférieur ou égal à
$s$ existent.
\paragraph*{}
Les moments sont définis alors comme les coefficients des dérivées partielles de la
fonction caractéristique $\Phi_X(V)$ à l'origine par \cite{P99}:
\begin{equation}
\textbf{M}(x_1^{n_1},x_2^{n_2}, . . . , x_k^{n_k})=j^{-
m}\left[\left(\frac{\partial}{\partial v_1}\right)^{n_1}\left(\frac{\partial}{\partial
v_2}\right)^{n_2}...\left(\frac{\partial}{\partial
v_k}\right)^{n_k}\Phi_X(V)\right]_{V=0}
31
\end{equation}
\subsection{itemize type}\label{PC}
pour itemize \cite{M91} qui sont utilisées dans le chapitre $2$.
\paragraph*{}
\begin{itemize}
\item[$\bullet$] \textbf{Propriété 1:} Soit $\{\alpha_i\}_{i=1,...,k}$ des
constantes, et $\{x_i\}_{i=1,...,k}$ des variables aléatoires, alors :
\end{itemize}
\begin{equation}
\textbf{F}(\alpha_1x_1,\alpha_2x_2,...,\alpha_kx_k)=\left(\prod_{i=1}^{k}
\alpha_i\right)\textbf{G}(x_1,x_2,...,x_k)
\end{equation}
\paragraph*{}
\begin{itemize}\label{P6}
\item[$\bullet$] \textbf{Propriété 2:} Soient deux processus aléatoires
$\{X=x_i\}_{i=1,...,k}$ et $\{Y=y_i\}_{i=1,...,k}$ indépendants, tels que $Z=X+Y$.\\
Alors $\{Z=z_i\}_{i=1,...,k}$ sont donnés par:
\end{itemize}
\begin{equation}
\textbf{{H}}(z_1,...,z_k)=\textbf{{H}}(x_1,...,x_k)+\textbf{{H}}(y_1,...,y_k)
\end{equation}
\section{Section titre }
\subsection{Sub-section}
exemple $x(t)$, ..............; .. x $x(t)$ et $x(t +\tau)$ ont les mêmes propriétés. Nous
pouvons dire que $x(t)$ ... .... .... $m$ si tous .............inférieur ou égal à $m$ soient
indépendants du temps. ......... .... $x(t)$ à valeurs réelles aux instants $t_0, t_1, . . . ,
t_{m-1}$, ... ... $m$ sont définis par \cite{MedZ15}:
\begin{equation}
\textbf{G}_{m,x}(t_0,t_1,...,t_{m-1})=E\left\{\prod_{i=0}^{m-1}x(t_i)\right\}
\end{equation}
\begin{equation}\label{Ct0}
\textbf{G}_{m,x}(t_0,t_1,...,t_{m-1})=\textbf{g}(x(t_0),x(t_1),...,x(t_{m-1}))
\end{equation}
32
\paragraph*{}
Dans le cas général, le cumulant d'ordre m est une fonction d'un temps absolu $t_0$ et
des instants $\{t_i\}_{i=1,...,m-1}$. Un de ces instants peut être pris comme origine,
nous choisissons $t_0$ dans notre cas. Le cumulant d'ordre $m$ défini par la relation
\ref{Ct0} peut être mis sous la forme suivante:
\begin{equation}\label{Ctau}
\textbf{C}_{m,x}(\tau_1,\tau_2,...,\tau_{m-
1})=\textbf{Cum}(x(t),x(t+\tau_1),x(t+\tau_2),...,x(t+\tau_{m-1}))
\end{equation}
\section{Conclusion}
Dans ce chapitre, nous avons présenté ... conclusion chapitre $1$
\section{Introduction}
\paragraph*{}
Partie introduction Chap2
\section{Figures}
\subsection{Figures Figures }
Nous considérons .. ... .. (fig \ref{fig22}):
\begin{figure}[H]\label{MSL}
\centering
\includegraphics[width=0.7\linewidth]{fig22}
\caption{titre de la figure}
\label{fig22}
\end{figure}
\subsection{itemize2}\label{Hyp}
paragraphe \cite{MedZ15,Abd00}:
\\
\begin{itemize}
\item[$\bullet$] La séquence $\{e(k)\}$.
\end{itemize}
\vspace{0.5cm}
\begin{itemize}
\item[$\bullet$] La séquence $\{v(k)\}$ la propriété $6$ du paragraphe
\ref{P6}:
\end{itemize}
33
\section{Matrice}
\subsection{Sub-section1}
... ...
\subsection{Sub-section2}
... ..
\subsection{Sub-section3}
Matrice
\begin{equation}\label{FC}
A.\phi=d
\end{equation}
\begin{equation}
J(\phi)=||A.\phi-d||_2
\end{equation}
\fbox{\begin{minipage}{15cm}
\vspace{0.4cm}
\begin{The}{\textbf{: Existence et Unicité de la solution} }
Soit A une matrice à $m$ lignes et $n$ colonnes avec $m>n$ et $d$ un vecteur
de $\mathbb{R}^{n}$. Une condition nécessaire et suffisante pour que $\phi\in
\mathbb{R}^n$ minimise la norme $J(\phi)=||A.\phi-d||_2$ est que \cite{Abd00}:
\begin{equation}\label{SLS}
A^TA\phi=A^Td \Longleftrightarrow \phi=\left(A^TA\right)^{-1}A^Td
\end{equation}
Ce système admet toujours au moins une solution. Si la matrice ($A^TA$) est
régulière, c'est à dire si $\textbf{rang}(A^TA)=n$, alors la solution est unique.
\end{The}
\vspace{0.05cm}
\end{minipage}}
\subsection{forme matrix}
\begin{equation}\label{240}
\begin{spmatrix}{}
\textbf{F}^{3}_{4,y}(1+q,q,0) &...& \textbf{F}^{3}_{4,y}(2q,q,0) \\
34
.&.&.\\.&.&.\\.&.&.\\
\textbf{F}^{3}_{4,y}(1,q,0) &...& \textbf{F}^{3}_{4,y}(q,q,0) \\
.&.&.\\.&.&.\\.&.&.\\
\textbf{F}^{3}_{4,y}(1-q,q,0) &...& \textbf{F}^{3}_{4,y}(0,q,0) \\
\end{spmatrix}
.
\begin{spmatrix}{}
a(1) \\
.\\.\\.\\
a(j) \\
.\\.\\.\\
a(q)
\end{spmatrix}
=
\begin{spmatrix}{}
\alpha.\textbf{F}_{4,y}(-q,0,0)-\textbf{F}^{3}_{4,y}(q,q,0) \\
.\\.\\.\\
\alpha.\textbf{F}_{4,y}(0,0,0)-\textbf{F}^{3}_{4,y}(0,q,0) \\
.\\.\\.\\
\alpha.\textbf{F}_{4,y}(q,0,0)-\textbf{F}^{3}_{4,y}(-q,q,0)
\end{spmatrix}
\end{equation}
Le système d'équations \ref{240} par la relation \ref{SLS}.
\section{systems}\label{MIPNM}
exemple
\subsection{Algorithme}
$$
\left\{
\begin{array}{ll}
\vspace{0.5cm}
-q \le \tau_2 \le q \hspace{0.5cm},\hspace{0.5cm} -q \le \alpha_3+j \le q
\hspace{0.5cm},\hspace{0.5cm} -q \le \alpha_3+j-\tau_2 \le q , \hspace{0.5cm}
avec\hspace{0.5cm} j \in [0,q]\\
\vspace{0.5cm}
0 \le \tau_2+j \le q \\
\tau_2 \ne 0 \hspace{0.5cm}(Elle\hspace{0.1cm} permet\hspace{0.1cm}
d'eveter\hspace{0.1cm} la\hspace{0.1cm} redondance\hspace{0.1cm}
au\hspace{0.1cm} niveau\hspace{0.1cm} des\hspace{0.1cm} equations)
35
\end{array}
\right.
$$
\subsubsection{tableau}
tableau
\begin{table}[H]
\centering
\begin{tabular}{|c|c|c|c|c|}
\hline
\multicolumn{1}{|c|}{K}&Algorithmes &$\hat{a}(1)\pm\sigma$
&$\hat{a}(2)\pm\sigma$&RRR \\
\hline
\multirow{4}{*}{500}&A1&$100 \pm 2.2 $&$100 \pm 2.2$&$0.0081$ \\
&A2 &$100 \pm 2.2 $&$100 \pm 2.2$&$0.01$ \\
&A3 &$100 \pm 2.2$&$ 100 \pm 2.2$&$0.1$ \\
&A4 &$100 \pm 2.2$&$100 \pm 2.2$ & $0.0$ \\
\hline
\hline
\multirow{4}{*}{800}&A1&$100 \pm 2.2 $&$100 \pm 2.2$&$0.0081$
\\
&A2 &$100 \pm 2.2 $&$100 \pm 2.2$&$0.01$ \\
&A3 &$100 \pm 2.2$&$ 100 \pm 2.2$&$0.1$ \\
&A4 &$100 \pm 2.2$&$100 \pm 2.2$ & $0.0$ \\
\hline
\end{tabular}
\begin{figure}[H]
36
\centering
\includegraphics[width=0.9\linewidth]{fig44}
\caption{titre \textbf{RSB}}
\label{44}
\end{figure}
\begin{table}[H]
\centering
\begin{tabular}{|c|c|c|c|}
\cline{2-4} \multicolumn{1}{c|}{}
& \multicolumn{3}{c|}{\textbf{Algorithmes}} \\
\hline
\textbf{Fonctions}&M1 &M2&M3 \\
\hline
$\hat{a}(1)\pm\sigma$&$1000\pm10$&$1000\pm10$ &$1000\pm10$
\\
$\hat{a}(2)\pm\sigma$&$1000\pm10$ &$1000\pm10$&$1000\pm10$
\\
\hline
\textbf{TTT}&$0.03$ &$0.06$&$0.0077$ \\
\hline
\end{tabular}
\caption{titre}
\label{tab2.3}
\end{table}
\section{Conclusion}
Dans ce chapitre, .
37
\paragraph*{}
Conclusion générale et perspectives.
\paragraph*{}
Conclusion générale et perspectives.
\begin{thebibliography}{4}
\bibitem{HK15}
H. KADER."Titre"., Juin 2015.
\bibitem{MB16}
M. BADER. "TITRE"., 2016.
\end{thebibliography}
\printnomenclature
\end{document}
38