QUESTIONS ET RÉPONSES

1. Question : Quelle est la signification des insignes sur vos couvertures de livres ?
Réponse : C'est un œil imposé à un cœur qui, à son tour, est imposé à un arbre chargé de
fruits, ce qui signifie que ce dont vous êtes conscient et que vous acceptez comme vrai,
vous allez le réaliser. Comme un homme pense dans son cœur, ainsi il est.

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2. Question : J'aimerais me marier, mais je n'ai pas trouvé l'homme qu'il me faut.
Comment imaginer un mari ?
Réponse : Toujours amoureux des idéaux, c'est l'état idéal qui capture l'esprit. Ne réservez
pas l'état de mariage à un certain homme, mais à une vie pleine, riche et débordante.
Vous désirez connaître la joie du mariage. Ne modifiez pas votre rêve, mais améliorez-le
en le rendant plus beau. Puis condensez votre désir en une seule sensation, ou acte qui
implique son accomplissement.
Dans ce monde occidental, une femme porte une alliance au troisième doigt de sa main
gauche. La maternité n'implique pas nécessairement le mariage; l'intimité n'implique pas
nécessairement le mariage, mais une alliance le fait.
Détendez-vous dans un fauteuil confortable ou allongez-vous sur le dos et induisez un état
proche du sommeil. Alors assumez le sentiment d'être marié. Imaginez une alliance à
votre doigt. Touchez ça. Faites-le tourner autour du doigt. Tirez-le sur la jointure.
Continuez l'action jusqu'à ce que l'anneau ait la netteté et le sentiment de la réalité.
Devenez tellement perdu en sentant la bague à votre doigt que lorsque vous ouvrirez les
yeux, vous serez surpris qu'elle ne soit pas là.
Si vous êtes un homme qui ne porte pas de bague, vous pourriez assumer une plus
grande responsabilité. Comment vous sentiriez-vous si vous aviez une femme dont vous
pourriez vous occuper ? Supposez le sentiment d'être un homme marié heureux en ce
moment.

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3. Question : Que dois-je faire pour inspirer des pensées créatives telles que celles
nécessaires à l'écriture ?

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Réponse : Que devez-vous faire ? Supposons que l'histoire a déjà été écrite et acceptée
par une grande maison d'édition. Réduire l'idée d'être écrivain à la sensation de
satisfaction.
Répétez la phrase, "N'est-ce pas merveilleux!" ou "Merci, merci, merci", encore et encore
jusqu'à ce que vous sentiez que vous avez réussi. Ou imaginez un ami vous félicitant. Il
existe d'innombrables façons d'impliquer le succès, mais allez toujours jusqu'au bout.
Votre acceptation de la fin veut son accomplissement. Ne pensez pas à vous mettre dans
l'ambiance d'écrire, mais vivez et agissez comme si vous étiez maintenant l'auteur que
vous désirez être. Supposons que vous avez le talent pour l'écriture. Pensez au motif que
vous voulez afficher à l'extérieur. Si vous écrivez un livre et que personne ne veut
l'acheter, il n'y a pas de satisfaction. Agissez comme si les gens avaient soif de votre
travail. Vivez comme si vous ne pouviez pas produire des histoires ou des livres assez
rapidement pour répondre à la demande.

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4. Question : Comment puis-je imaginer un public plus large pour mes conférences ?

Réponse : Je peux mieux vous répondre en partageant la technique utilisée par un

professeur très compétent que je connais. Lorsque cet homme est arrivé pour la première
fois dans ce pays, il a commencé à parler dans une petite salle à New York. Bien que
seulement cinquante ou soixante personnes aient assisté à sa réunion du dimanche
matin, et qu'elles soient assises devant, ce professeur se tenait sur le podium et imaginait
un vaste auditoire. Puis il disait à l'espace vide : « Pouvez-vous m'entendre là-bas ?
Aujourd'hui, cet homme s'adresse au Carnegie Hall de New York devant environ 2 500
personnes chaque dimanche matin et mercredi soir. Il voulait parler aux foules. Il n'était
pas modeste. Il n'a pas essayé de se tromper mais a construit une foule dans sa propre
conscience, et les foules viennent. Tenez-vous devant un large public. Adressez-vous à ce
public dans votre imagination. Sentez-vous sur cette scène et votre ressenti vous fournira
les moyens.

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5. Question : Est-il possible d'imaginer plusieurs choses en même temps, ou dois-je limiter
mon imagination à un seul désir ?
Réponse : Personnellement, j'aime confiner mon acte imaginal à une seule pensée, mais
cela ne veut pas dire que je m'arrêterai là. Au cours d'une journée, je peux imaginer
beaucoup de choses, mais au lieu d'imaginer beaucoup de petites choses, je suggérerais
que vous imaginiez quelque chose de si grand qu'il inclut toutes les petites choses. Au lieu
d'imaginer la richesse, la santé et les amis, imaginez être extatique. Vous ne pouviez pas
être extatique et souffrir. Vous ne pourriez pas être extatique et être menacé d'un avis de

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dépossession. Vous ne pourriez pas être extatique si vous ne jouissiez pas d'une pleine
mesure d'amitié et d'amour.
Quelle serait la sensation si vous étiez extatique sans savoir ce qui s'était passé pour
produire votre extase ? Réduisez l'idée de l'extase à la seule sensation, « N'est-ce pas
merveilleux ! Ne permettez pas à l'esprit conscient et rationnel de demander pourquoi, car
s'il le fait, il commencera à rechercher des causes visibles, et la sensation sera alors
perdue. Au lieu de cela, répétez encore et encore : « N'est-ce pas merveilleux !
Suspendez votre jugement sur ce qui est merveilleux. Attrapez la seule sensation de la
merveille de tout cela et les choses se produiront pour témoigner de la vérité de cette
sensation. Et je vous promets, il comprendra toutes les petites choses.

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6. Question : À quelle fréquence dois-je effectuer l'acte imaginal, quelques jours ou
plusieurs semaines ?
Réponse : Dans le livre de la Genèse, on raconte l'histoire de Jacob luttant avec un ange.
Cette histoire nous donne l'indice que nous recherchons; que lorsque la satisfaction est
atteinte, l'impuissance s'ensuit.
Quand le sentiment de la réalité est vôtre, pour le moment du moins, vous êtes
mentalement impuissant. Le désir de répéter l'acte de prière est perdu, remplacé par le
sentiment d'accomplissement. Vous ne pouvez pas persister à vouloir ce que vous avez
déjà. Si vous supposez que vous êtes ce que vous désirez être jusqu'à l'extase, vous n'en
voulez plus. Votre acte imaginal est autant un acte créatif qu'un acte physique dans lequel
l'homme s'arrête, se rétrécit et est béni, car de même que l'homme crée sa propre
ressemblance, votre acte imaginal se transforme en la ressemblance de votre hypothèse.
Si, cependant, vous n'atteignez pas le point de satisfaction, répétez l'action encore et
encore jusqu'à ce que vous ayez l'impression de l'avoir touchée et que la vertu sorte de
vous.

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7. Question : On m'a appris à ne pas demander des choses terrestres, seulement pour la
croissance spirituelle, pourtant l'argent et les choses sont ce dont j'ai besoin.
Réponse : Vous devez être honnête avec vous-même. Tout au long de l'Écriture, la
question est posée : « Que veux-tu de moi ? Certains voulaient voir, d'autres manger, et
d'autres encore voulaient être rendus hétéros, ou « Que mon enfant vive ».
Votre soi dimensionnellement plus grand vous parle à travers le langage du désir. Ne vous
trompez pas. Sachant ce que tu veux, prétends que tu l'as déjà, car c'est le bon plaisir de
ton Père de te le donner et souviens-toi, ce que tu désires, que tu as.

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8. Question : Lorsque vous avez assumé votre désir, gardez-vous à l'esprit la présence
constante de ce plus grand qui vous protège et vous donne votre hypothèse ?
Réponse : L'acceptation de la fin veut les moyens. Supposez que le sentiment de votre
souhait soit exaucé et votre soi dimensionnellement plus grand déterminera les moyens.
Lorsque vous vous appropriez un état comme si vous l'aviez, l'activité de la journée
détournera votre esprit de toute pensée anxiogène afin que vous n'en recherchiez pas les
signes. Vous n'avez pas à porter le sentiment qu'une certaine présence va le faire pour
vous, mais vous savez plutôt que c'est déjà fait. Sachant que c'est déjà un fait, marchez
comme si c'était le cas, et les choses arriveront pour qu'il en soit ainsi. Vous n'avez pas à
vous soucier qu'une présence fasse quoi que ce soit pour vous. Plus vous êtes profond,
dimensionnellement grand, plus vous l'avez déjà fait. Tout ce que vous faites est de vous
déplacer à l'endroit où vous le rencontrez.
Souvenez-vous de l'histoire de l'homme qui a quitté le maître et qui rentrait chez lui
lorsqu'il a rencontré son serviteur qui lui a dit : « Ton fils est vivant. Et quand il demanda à
quelle heure cela avait été fait, le serviteur répondit : « La septième heure. La même heure
où il assumait son désir, cela lui était fait, car c'était à la septième heure que le maître dit :
« Votre fils vit. Votre désir est déjà exaucé. Marchez comme s'il en était et, même si le
temps bat lentement dans cette dimension de votre être, il vous apportera néanmoins la
confirmation de votre hypothèse. Je vous demande cependant de ne pas être impatient.
S'il y a une chose dont vous avez vraiment besoin, c'est de la patience.

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9. Question : N'y a-t-il pas une loi qui dit que vous ne pouvez pas obtenir quelque chose
pour rien ? Ne devons-nous pas gagner ce que nous désirons ?
Réponse : La création est terminée ! C'est le bon plaisir de votre Père de vous donner le
royaume. La parabole du fils prodigue est votre réponse. Malgré le gaspillage de l'homme,
quand il revient à la raison et se souvient qui il est, il se nourrit du veau gras de
l'abondance et porte la robe et l'anneau de l'autorité. Il n'y a rien à gagner. La création a
été achevée dans la fondation du temps. Vous, en tant qu'homme, êtes Dieu rendu visible
dans le but de montrer ce qui est, pas ce qui doit être. Ne pensez pas que vous devez
travailler à votre salut à la sueur de votre front. Il ne reste plus que quatre mois avant la
moisson, les champs sont déjà blancs, simplement enfoncés dans la faucille.

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10. Question : La pensée que la création est terminée ne prive-t-elle pas quelqu'un de son
initiative ?
Réponse : Si vous observez un événement avant qu'il ne se produise, alors l'événement
qui se produit doit être prédéterminé du point de vue de l'éveil dans ce monde

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tridimensionnel. Pourtant, vous n'avez pas à rencontrer ce que vous observez. Vous
pouvez, en changeant votre concept de soi, interférer avec votre avenir et le façonner en
harmonie avec votre nouveau concept de soi.

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11. Question : Cette capacité à changer l'avenir ne nie-t-elle pas que la création est
terminée ?
Réponse : Non. Vous, en changeant votre conception de soi, changez votre rapport aux
choses. Si vous réarrangez les mots d'une pièce pour en écrire une autre, vous n'avez pas
créé de nouveaux mots, mais simplement eu la joie de les réarranger. Votre concept de
soi détermine l'ordre des événements que vous rencontrez. Ils sont dans la fondation du
monde, mais pas dans leur ordre d'arrangement.

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12. Question : Pourquoi celui qui travaille dur en métaphysique devrait-il toujours sembler
manquer ?
Réponse : Parce qu'il n'a pas vraiment appliqué la métaphysique. Je ne parle pas d'une
approche mamby-pamby de la vie, mais d'une application quotidienne de la loi de la
conscience. Lorsque vous vous appropriez votre bien, il n'est pas nécessaire qu'un
homme, ou un État, agisse comme un moyen par lequel votre bien viendra.
Vivant dans un monde d'hommes, l'argent est nécessaire dans ma vie de tous les jours. Si
je t'invite à déjeuner demain, je dois récupérer le chèque. Quand je quitte l'hôtel, je dois
payer la facture. Pour reprendre le train à New York, je dois payer mon billet de train. J'ai
besoin d'argent et il faut qu'il soit là. Je ne vais pas dire, "Dieu sait mieux, et Il sait que j'ai
besoin d'argent." Au contraire, je vais m'approprier l'argent comme s'il l'était !
Il faut vivre hardiment ! Nous devons traverser la vie comme si nous possédions ce que
nous voulons posséder. Ne pensez pas que parce que vous avez aidé un autre, quelqu'un
en dehors de vous a vu vos bonnes œuvres et vous donnera quelque chose pour alléger
votre fardeau. Il n'y a personne pour le faire pour vous. Vous, vous-même, devez vous
approprier avec audace ce que votre Père vous a déjà donné.

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13. Question : Une personne non éduquée peut-elle s'éduquer en assumant le sentiment
d'être éduquée ?
Réponse : Oui. Un intérêt suscité est récompensé par des informations de toutes parts.
Vous devez sincèrement désirer être bien éduqué. Le désir d'être bien lu, suivi de
l'hypothèse que vous êtes, vous rend sélectif dans votre lecture. Au fur et à mesure que

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vous progressez dans votre éducation, vous devenez automatiquement plus sélectif, plus
discriminant dans tout ce que vous faites.

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14. Question : Mon mari et moi suivons le cours ensemble. Doit-on discuter de nos envies
entre nous ?
Réponse : Il y a deux dictons spirituels qui imprègnent la Bible. L'un est : « N'en parle à
personne », et l'autre est : « Je vous ai dit avant qu'il n'arrive que lorsque cela arrivera,
vous pourrez croire. Il faut de l'audace spirituelle pour dire à un autre que votre désir est
exaucé avant qu'il ne soit vu à l'extérieur. Si vous n'avez pas ce genre d'audace, alors
vous feriez mieux de vous taire.
Personnellement, j'aime raconter mes projets à ma femme, car nous sommes tous les
deux très excités quand ils se concrétisent. La première personne à qui un homme veut
prouver cette loi est sa femme. On dit que Mohammad est éternellement grand parce que
son premier disciple était sa femme.

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15. Question : Mon mari et moi devrions-nous travailler sur le même projet ou sur des
projets distincts ?
Réponse : Cela ne dépend que de vous. Ma femme et moi avons des intérêts différents,
mais nous avons beaucoup en commun. Vous souvenez-vous de l'histoire que j'ai
racontée de notre retour aux États-Unis ce printemps ? Je sentais qu'il était de mon devoir
en tant que mari de rentrer en Amérique, alors je me suis approprié cela. Je pense qu'il y a
certaines choses qui incombent à ma femme dans le contrat, comme maintenir une
maison propre et belle et trouver l'école appropriée pour notre fille, donc elle s'en occupe.
Très souvent, ma femme me demandera d'imaginer pour elle, comme si elle avait plus
confiance en ma capacité à le faire qu'en la sienne. Cela me flatte car tout homme digne
de ce nom veut sentir que sa famille a confiance en lui. Mais je ne vois rien de mal à la
communion entre deux qui s'aiment.

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16. Question : Je pense que si vous êtes trop endormi, il y aura un manque de sensation.
Réponse : Quand je parle de sentiment, je ne parle pas d'émotion, mais d'acceptation du
fait que le désir est réalisé. Se sentant reconnaissant, comblé ou reconnaissant, il est
facile de dire : « Merci », « N'est-ce pas merveilleux ! ou "C'est fini." Lorsque vous entrez
dans l'état de gratitude, vous pouvez soit vous réveiller en sachant que c'est fait, soit vous
endormir dans le sentiment du souhait exaucé.

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17. Question : L'amour est-il un produit de votre propre conscience ?
Réponse : Toutes les choses existent dans votre conscience, qu'elles soient aimées ou
haïes. Rien ne vient du dehors. Les collines auxquelles vous cherchez de l'aide sont celles
d'une chaîne intérieure. Vos sentiments d'amour, de haine ou d'indifférence proviennent
tous de votre propre conscience. Vous êtes infiniment plus grand que vous ne pourriez
jamais vous concevoir. Jamais, dans l'éternité, vous n'atteindrez l'ultime vous. C'est
comme ça que tu es merveilleux. L'amour n'est pas un produit de vous, vous êtes l'amour,
car c'est ce qu'est Dieu et le nom de Dieu est Je suis, le nom même que vous vous
appelez avant de revendiquer l'état dans lequel vous vous trouvez actuellement.

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18. Question : Supposons que mes désirs ne puissent pas se matérialiser pendant six
mois à un an, est-ce que j'attends pour les imaginer ?
Réponse : Lorsque le désir est sur vous, c'est le moment d'accepter votre souhait dans sa
plénitude. Il y a peut-être des raisons pour lesquelles l'envie vous est donnée en ce
moment. Votre être tridimensionnel peut penser que cela ne peut pas être le cas
maintenant, mais votre esprit de quatrième dimension sait déjà que c'est le cas, donc le
désir devrait être accepté par vous comme un fait physique maintenant.
Supposons que vous vouliez construire une maison. L'envie de l'avoir est maintenant,
mais il faudra du temps pour que les arbres poussent et que le charpentier construise la
maison. Bien que l'envie semble grande, n'attendez pas pour vous y adapter.
Revendiquez la possession maintenant et laissez-la s'objectiver à sa manière étrange. Ne
dites pas que cela prendra six mois ou un an. Dès que le désir vous vient, supposez que
c'est déjà un fait ! Vous et vous seul avez donné un intervalle de temps à votre désir et le
temps est relatif quand il s'agit de ce monde. N'attendez pas que quelque chose se
produise, acceptez-le maintenant comme si c'était le cas et voyez ce qui se passe.
Quand vous avez un désir, plus profondément vous, que les hommes appellent Dieu,
parlez. Il vous exhorte, à travers le langage du désir, à accepter ce qui n'est pas ce qui
doit être ! Le désir est simplement sa communion avec vous, vous disant que votre désir
est le vôtre, maintenant ! Votre acceptation de ce fait est prouvée par votre ajustement
complet à celui-ci comme s'il était vrai.

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19. Question : Pourquoi certains d'entre nous meurent jeunes ?
Réponse : Nos vies ne sont pas, rétrospectivement, mesurées par les années mais par le
contenu de ces années.

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20. Question : Que considèreriez-vous comme une vie bien remplie ?
Réponse : Une variété d'expériences. Plus elles sont variées, plus votre vie est riche. À la
mort, vous travaillez dans un monde dimensionnellement plus grand et jouez votre rôle sur
un clavier composé d'une vie d'expériences humaines. Par conséquent, plus vos
expériences sont variées, plus votre instrument est fin et plus votre vie est riche.

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21. Question : Qu'en est-il d'un enfant qui meurt à la naissance ?
Réponse : L'enfant qui naît vit éternellement, car rien ne meurt. Il peut sembler que
l'enfant qui meurt à la naissance n'a pas de clavier d'expérience humaine mais, comme l'a
dit un poète :
"Il a dessiné un cercle qui m'a exclu, Infidèle, scélérat, une chose à bafouer. Mais Love et
moi avons eu l'esprit pour gagner! Nous avons dessiné un cercle qui l'a accueilli."
L'être aimé a accès aux expériences sensorielles de l'amant. Dieu est amour; donc,
finalement chacun a un instrument dont le clavier est les impressions sensorielles de tous
les hommes.

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22. Question : Quelle est votre technique de prière ?
Réponse : Cela commence par le désir, car le désir est le moteur de l'action. Vous devez
connaître et définir votre objectif, puis le condenser en une sensation qui implique
l'accomplissement. Lorsque votre désir est clairement défini, immobilisez votre corps
physique et vivez, dans votre imagination, l'action qui implique sa réalisation. Répétez cet
acte encore et encore jusqu'à ce qu'il ait la vivacité et le sentiment de la réalité.
Ou, condensez votre désir en une seule phrase qui implique l'accomplissement comme
« Merci Père », « N'est-ce pas
merveilleux" ou "C'est fini". Répétez cette phrase condensée, ou cette action dans votre
imagination encore et encore. Ensuite, soit réveillez-vous de cet état, soit glissez-vous
dans les profondeurs. Cela n'a pas d'importance, car l'acte est accompli lorsque vous
l'acceptez complètement comme étant terminé dans cet état de somnolence et de
somnolence.

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23. Question : Deux personnes veulent le même poste. On l'a. L'autre l'avait et veut
maintenant le récupérer.
Réponse : Votre Père (le vous dimensionnellement plus grand) a des voies et des moyens
que vous ne connaissez pas. Acceptez sa sagesse. Sentez que votre désir est exaucé,
puis permettez à votre Père de vous le donner. L'actuelle peut être promue à un poste
plus élevé, ou épouser un homme très riche et abandonner son travail. Elle peut gagner
beaucoup d'argent ou choisir de déménager dans un autre État.
Beaucoup de gens disent qu'ils veulent travailler, mais je remets sérieusement cela en
question. Ils veulent la sécurité et la sécurité des conditions au travail. Mais je ne pense
vraiment pas que la fille moyenne veuille vraiment se lever le matin et aller travailler.

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24. Question : Quelle est la cause de la maladie et de la douleur ?
Réponse : Le corps physique est un filtre émotionnel. De nombreux maux humains,
jusqu'alors considérés comme purement physiques, sont aujourd'hui reconnus comme
enracinés dans des troubles émotionnels.
La douleur vient du manque de relaxation. Lorsque vous dormez, il n'y a pas de douleur.
Si vous êtes sous anesthésie, il n'y a pas de douleur parce que vous êtes détendu, pour
ainsi dire. Si vous avez mal, c'est parce que vous êtes tendu et que vous essayez de
forcer quelque chose. Vous ne pouvez pas forcer une idée à s'incarner, vous vous
l'appropriez simplement. C'est l'attention moins l'effort. Seule la pratique vous amènera à
ce point où vous pourrez être attentif et toujours détendu.
L'attention est une tension vers une fin, et la relaxation est tout le contraire. Voici deux
idées complètement opposées que vous devez mélanger jusqu'à ce que vous appreniez,
par la pratique, à être attentif, mais pas tendu. Le mot « contention » signifie « attention
moins effort ». Dans l'état de discorde, vous êtes tenu par l'idée sans tension.

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25. Question : Peu importe à quel point j'essaie d'être heureux, j'ai un sentiment
mélancolique d'être exclu. Pourquoi?
Réponse : Parce que vous sentez que vous n'êtes pas désiré. Si j'étais vous, je
supposerais que je suis recherché. Vous connaissez la technique. L'hypothèse selon
laquelle vous êtes recherché peut sembler fausse au départ, mais si vous vous sentez
désiré et respecté et que vous persistez dans cette hypothèse, vous serez étonné de voir
comment les autres vous chercheront. Ils commenceront à voir en vous des qualités qu'ils
n'avaient jamais vues auparavant. Je vous promets. Si vous le voulez bien, mais
supposez que vous êtes recherché, vous le serez.

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26. Question Si la sécurité m'est venue par la mort d'un être cher, ai-je provoqué cette
mort ?
Réponse : Ne pensez pas une seconde que vous avez causé un décès en assumant la
sécurité. Plus vous ne blesserez personne. Il voit tout et, connaissant la durée de vie de
tous, il peut inspirer l'autre pour vous donner ce qui peut accomplir votre hypothèse.
Vous n'avez pas tué la personne qui vous a nommé dans son testament. Si, quelques
jours après votre acceptation complète de l'idée de sécurité, l'oncle John a fait sa sortie de
cet avion tridimensionnel et vous a laissé son domaine, c'est uniquement parce qu'il était
temps pour l'oncle John de partir. Il n'est cependant pas mort une seconde avant son
heure. Plus vous avez vu la durée de vie de John et l'avez utilisé comme moyen de
réaliser votre sentiment de sécurité.
L'acceptation de la fin veut les moyens vers l'accomplissement de cette fin. Ne vous
préoccupez de rien sauf de la fin. Gardez toujours à l'esprit que la responsabilité de le
faire est complètement retirée de vos épaules. Elle est à vous parce que vous l'acceptez
comme telle !

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27. Question : J'ai plus d'un objectif Serait-il inefficace de se concentrer sur différents
objectifs à différentes périodes de concentration ?
Réponse : J'aime prendre une ambition dévorante, la limiter à une seule phrase courte ou
à un acte qui implique l'accomplissement, mais je ne limite pas mon ambition. Je sais
seulement que mon véritable objectif inclura tous les petits.

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28. Question : J'ai du mal à changer ma conception de moi. Pourquoi?
Réponse : Parce que votre désir de changement n'a pas été éveillé. Si vous tombiez
amoureux de ce que vous voulez vraiment être, vous le deviendriez. Il faut une faim
intense pour provoquer une transformation de soi.
"Comme le cerf soupire après les ruisseaux, ainsi mon âme soupire après toi, Seigneur."
parfait.

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29. Question : J'envisage une entreprise commerciale. Cela signifie beaucoup pour moi,
mais je ne peux pas imaginer comment cela peut se produire.

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Réponse : Vous êtes relevé de cette responsabilité. Vous n'avez pas à en faire une réalité,
ça l'est déjà ! Bien que votre concept de soi semble si éloigné de l'entreprise que vous
envisagez maintenant, il existe maintenant en tant que réalité en vous. Demandez-vous
comment vous vous sentiriez et ce que vous feriez si votre entreprise était un grand
succès. Identifiez-vous à ce personnage et à ce sentiment et vous serez étonné de la
rapidité avec laquelle vous réaliserez votre rêve.
Le seul sacrifice que vous êtes appelé à faire est d'abandonner votre conception actuelle
de vous-même et de vous approprier le désir que vous souhaitez exprimer.

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30. Question : En tant qu'étudiant en métaphysique, on m'a appris à croire que les
croyances raciales et les hypothèses universelles m'affectent. Voulez-vous dire que ce
n'est que dans la mesure où je donne à ces croyances universelles un pouvoir sur moi
que je suis influencé par elles ?
Réponse : Oui. Ce n'est que votre point de vue individuel, car votre monde témoigne à
jamais de votre concept actuel de soi. Si quelqu'un vous offense, changez votre
conception de vous-même. C'est la seule façon dont les autres changent. Le journal de ce
soir peut être lu par six personnes dans cette salle et personne n'interprétera la même
histoire de la même manière. L'un sera ravi, l'autre déprimé, un autre indifférent, etc.,
pourtant c'est la même histoire.
Les hypothèses universelles, les croyances raciales, appelez-les comme vous voulez,
elles ne sont pas importantes pour vous. Ce qui est important, c'est votre concept, non
pas d'un autre, mais de vous-même, car le concept que vous avez de vous-même
détermine le concept que vous avez des autres. Laissez les autres tranquilles. Que sont-
ils pour vous ? Suivez vos propres désirs.
La loi est toujours en vigueur, toujours absolue. Votre conscience est le roc sur lequel
reposent toutes les structures. Regardez ce dont vous êtes conscient. Vous n'avez pas
besoin de vous préoccuper des autres parce que vous êtes soutenu par le caractère
absolu de cette loi. Aucun homme ne vient à vous de lui-même, qu'il soit bon, mauvais ou
indifférent. Il ne t'a pas choisi ! Vous l'avez choisi ! Il a été attiré par vous à cause de ce
que vous êtes.
Vous ne pouvez pas détruire l'état qu'un autre représente par la force. Au contraire,
laissez-le tranquille. Qu'est-il pour vous ? Élevez-vous à un niveau supérieur de
conscience et vous trouverez un nouveau monde qui vous attend, et à mesure que vous
vous sanctifiez, d'autres sont sanctifiés.

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31. Question : Qui a écrit la Bible ?

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Réponse : La Bible a été écrite par des hommes intelligents qui ont utilisé des mythes
solaires et phalliques pour révéler des vérités psychologiques. Mais nous avons confondu
leur allégorie avec l'histoire et, par conséquent, nous n'avons pas vu leur véritable
message.
C'est étrange, mais lorsque la Bible a été lancée sur le monde, et que l'acceptation
semblait être en vue, la grande bibliothèque d'Alexandrie a été incendiée, ne laissant
aucune trace de la façon dont la Bible a vu le jour. Peu de gens peuvent lire d'autres
langues, ils ne peuvent donc pas comparer leurs croyances avec les autres. Nos églises
ne nous encouragent pas à comparer. Parmi les millions de personnes qui acceptent la
Bible comme un fait, combien la remettent-elles en question ? Croyant que c'est la parole
de Dieu, ils acceptent aveuglément les mots et perdent ainsi l'essence qu'ils contiennent.
Ayant accepté le véhicule, ils ne comprennent pas ce que le véhicule véhicule.

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32. Question : Utilisez-vous les apocryphes ?
Réponse : Pas dans mon enseignement. J'en ai plusieurs tomes à la maison. Ils ne sont
pas plus grands que les soixante-six livres de notre Bible actuelle. Ils disent simplement la
même vérité d'une manière différente. Par exemple, on raconte l'histoire de Jésus, jeune
garçon, regardant des enfants fabriquer des oiseaux avec de la boue. Tenant les oiseaux
dans leurs mains, ils prétendent que les oiseaux volent. Jésus s'approche et fait tomber
les oiseaux de leurs mains. Alors qu'ils commencent à pleurer, il ramasse l'un des oiseaux
cassés et le remodèle. Le tenant haut, il souffle dessus et l'oiseau prend son envol.
Voici l'histoire de quelqu'un qui est venu briser les idoles dans l'esprit des hommes, puis
leur montrer comment utiliser la même substance et la remodeler en une belle forme et lui
donner vie. C'est ce que cette histoire essaie de transmettre. "Je viens, non pour apporter
la paix, mais une épée." La vérité tue toutes les petites poules de boue de l'esprit ; tue les
illusions puis les remodèle en un nouveau modèle qui libère l'homme.

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33. Question : Si Jésus était un personnage fictif créé par des auteurs bibliques dans le
but d'illustrer certains drames psychologiques, comment expliquez-vous le fait que lui et
sa philosophie sont mentionnés dans l'histoire non religieuse et non chrétienne de cette
époque ? Ponce Pilate et Hérode n'étaient-ils pas de vrais fonctionnaires romains de chair
et de sang à cette époque ?
Réponse : L'histoire de Jésus est identique à celle du sauveur hindou, Krishna. Ce sont
les mêmes personnages psychologiques. Tous deux étaient censés être nés de mères
vierges. Les dirigeants de l'époque ont cherché à les détruire quand ils étaient enfants.
Tous deux ont guéri les malades, ressuscité les morts, enseigné l'évangile de l'amour et

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sont morts en martyrs pour l'humanité. Hindous et chrétiens croient que leur sauveur est
Dieu fait homme.
Aujourd'hui, les gens citent Socrate, mais la seule preuve que Socrate ait jamais existé se
trouve dans les œuvres de Platon. On dit que Socrate a bu de la ciguë, mais je vous
demande, qui est Socrate ? Une fois, j'ai cité une phrase de Shakespeare et une dame
m'a dit : "Mais Hamlet a dit ça." Hamlet ne l'a jamais dit, Shakespeare a écrit les lignes et
mis les mots dans la bouche d'un personnage qu'il a créé et nommé Hamlet. Saint
Augustin a dit un jour : "Ce qu'on appelle maintenant la religion chrétienne existait parmi
les anciens. Ils ont commencé à appeler le christianisme la vraie religion, mais il n'a
jamais existé."

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34. Question : Utilisez-vous des affirmations et des démentis ?
Réponse : Laissons ces écoles de pensée qui utilisent des affirmations et des négations.
La meilleure affirmation, et la seule efficace, est une hypothèse qui, en elle-même,
implique la négation de l'état antérieur.
Le meilleur déni est l'indifférence totale. Les choses se flétrissent et meurent par
indifférence. Ils sont maintenus en vie par l'attention. On ne nie pas une chose en disant
qu'elle n'existe pas. Au contraire, vous y mettez du sentiment en le reconnaissant, et ce
que vous reconnaissez comme vrai, est vrai pour vous, que ce soit bon, mauvais ou
indifférent.

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35. Question : Est-il possible que quelqu'un paraisse mort et ne soit toujours pas mort ?
Réponse : Le général Lee était censé être né deux ans après que sa mère, que l'on
croyait morte, ait été enterrée vivante. Heureusement pour elle, elle n'a pas été
embaumée ni enterrée dans la terre, mais dans un caveau où quelqu'un l'a entendue
pleurer et l'a relâchée. Deux ans plus tard, Mme Lee a donné naissance à un fils qui est
devenu le général Lee. Cela fait partie de l'histoire de ce pays.

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36. Question : Comment quelqu'un qui a été privé dans sa jeunesse a-t-il pu réussir dans
la vie ?
Réponse : Nous sommes des créatures d'habitude, formant des schémas de l'esprit qui se
répètent encore et encore. Bien que l'habitude agisse comme une loi contraignante qui
pousse à répéter les schémas, ce n'est pas une loi, car vous et moi pouvons changer les
schémas. De nombreux hommes qui ont réussi comme Henry Ford, Rockefeller et
Carnegie ont été privés dans leur jeunesse. Bon nombre des grands noms de ce pays

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sont issus de familles pauvres, mais ils ont laissé derrière eux de grandes réalisations
dans le monde politique, artistique et financier.
Un soir, un de mes amis assistait à une réunion de jeunes cadres publicitaires. L'orateur
du soir disait à ces jeunes gens : « Je n'ai qu'une chose à vous dire ce soir, c'est de vous
faire grand et vous ne pouvez pas échouer.
Prenant un bocal à poisson ordinaire, il le remplit de deux sacs, l'un de noix anglaises et
l'autre de petits haricots. Les mélangeant avec sa main, il se mit à secouer le bol et dit :
"Ce bol est la vie. Vous ne pouvez pas arrêter de le secouer car la vie est un rythme
constant et vivant, mais regardez." Et pendant qu'ils regardaient, les grosses noix
arrivaient au sommet du bol tandis que les petits haricots tombaient au fond.
Regardant dans le bol, l'homme a demandé: "Lequel d'entre vous se plaint, demandant
pourquoi?" Puis d'ajouter : "N'est-ce pas étrange, le son vient du bol et non de l'extérieur.
Un haricot se plaint que s'il avait eu le même environnement que le noyer, lui aussi aurait
fait de grandes choses, mais il n'a jamais eu le chance." Puis il a pris un petit haricot du
fond du bol et l'a placé dessus en disant : "Je peux déplacer le haricot par la force pure,
mais je ne peux pas empêcher le bol de la vie de trembler", et alors qu'il secouait le bol, le
petit le haricot a de nouveau glissé vers le bas.
Entendant une autre voix de plainte, il demanda : « Qu'est-ce que j'entends ? tout aussi
limité que vous parce qu'il sera privé de l'opportunité de grandes choses tout comme vous
l'êtes ? Voyons voir.
Ensuite, l'orateur a pris une des grosses noix et l'a poussé jusqu'au fond du bol en disant:
"Je ne peux toujours pas empêcher le bol de trembler", et alors que les hommes
regardaient, la grosse noix est revenue au sommet. Puis le conférencier a ajouté :
"Messieurs, si vous voulez vraiment réussir dans la vie, faites-vous grandir."
Mon ami a pris ce message à cœur et a commencé à supposer qu'il était un homme
d'affaires prospère. Aujourd'hui, il est vraiment un grand homme si vous jugez le succès
en dollars. Il emploie aujourd'hui plus d'un millier de personnes dans la ville de New York.
Chacun de vous peut faire ce qu'il a fait. Supposez que vous êtes ce que vous voulez être.
Marchez dans cette hypothèse et elle deviendra réalité.

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