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Code Morse international

code de communication avec des signaux représentant des


lettres, des signes de ponctuation et des chiffres

Le code Morse international[1], ou l’alphabet Morse international,


est un code permettant de transmettre un texte à l’aide de séries
d’impulsions courtes et longues, qu’elles soient produites par des
signes, une lumière, un son ou un geste.

Code morse international.

Ce code est souvent attribué à Samuel Morse, cependant


plusieurs contestent cette primauté, et tendent à attribuer la
paternité du langage à son assistant, Alfred Vail[2],[3],[4].

Inventé en 1838 pour la télégraphie[4], ce codage de caractères


assigne à chaque lettre, chiffre et signe de ponctuation une
combinaison unique de signaux intermittents. Le code morse est
considéré comme le précurseur des communications numériques.

Le morse est principalement utilisé par les militaires comme


moyen de transmission, souvent chiffrée, ainsi que dans le civil
pour certaines émissions à caractère automatique : radiobalises
en aviation, indicatif d’appel des stations maritimes, des
émetteurs internationaux (horloges atomiques), ou bien encore
pour la signalisation maritime par certains transpondeurs radar et
feux, dits « à lettre morse » (par exemple, la lettre A transmise par
un tel feu sous la forme .- signifie « eaux saines »). Le morse
est également pratiqué par des amateurs comme de nombreux
radioamateurs, scouts (morse sonore et lumineux), plongeurs ou
alpinistes (morse lumineux), par des joueurs pour résoudre des
énigmes, ainsi que comme sonnerie par défaut de réception de
message pour les téléphones portables de marque Nokia (« SMS
SMS » en morse).

Utilisation du morse

Message transmis en Scott (Morse


lumineux), par un timonier, au moyen
d’un projecteur (US Navy, mars 2005).
Le code peut être transporté via un signal radio permanent que
l’on allume et éteint (onde continue, généralement abrégé en CW,
pour continuous wave en anglais), ou une impulsion électrique à
travers un câble télégraphique (de nos jours remplacé par d'autres
moyens de communication numérique), ou encore un signal visuel
(flash lumineux). L’idée qui préside à l’élaboration du code morse
est de coder les caractères fréquents avec peu de signaux, et de
coder en revanche sur des séquences plus longues les caractères
qui reviennent plus rarement. Par exemple, le « e », lettre très
fréquente, est codée par un simple point, le plus bref de tous les
signes. Les 25 autres lettres sont toutes codées sur quatre
signaux au maximum, les chiffres sur cinq signaux. Les séquences
plus longues correspondent à des symboles les plus rares : signes
de ponctuation, symboles et caractères spéciaux.

Parallèlement au code morse[5], des abréviations commerciales


plus élaborées ont été créées codant des phrases complètes en
un seul mot (groupe de 5 lettres). Les opérateurs de télégraphie
conversaient alors en utilisant des mots tels que BYOXO (Essayez-
vous de vous dérober ?), LIOUY (Pourquoi ne répondez-vous pas à
la question ?) et AYYLU (Confus, réitérez plus clairement).
L’intention de ces codes était d’optimiser le coût des
transmissions sur les câbles. Les radioamateurs utilisent toujours
certains codes appelés code Q et code Z. Ils sont utilisés par les
opérateurs afin de s’échanger des informations récurrentes,
portant par exemple sur la qualité de la liaison, les changements
de fréquences et les télégrammes.

Service maritime

Station radiotélégraphique type


Marconi.

Antenne radiotélégraphique de canot


de sauvetage en 1914.

Articles détaillés : Officier radiotélégraphiste de la marine


marchande et Radiotélégraphiste de station côtière.

Les premières liaisons radiotélégraphiques sans fil utilisant le


code morse datent du début du xxe siècle. En 1903, la conférence
de Berlin attribue la longueur d’onde de 600 mètres (500 kHz) au
trafic en radiotélégraphie morse en mer[6] et officialise en 1906 le
signal SOS comme appel de détresse. Jusqu’en 1987[7], plusieurs
conférences mondiales des radiocommunications définissent les
bandes à utiliser pour les communications en télégraphie morse.

Depuis le 1er février 1999, dans le cadre du SMDSM 1999, les


services maritimes côtiers et mobiles de France et de nombreux
autres pays ont abandonné la veille radiotélégraphique obligatoire
et cessé les émissions en morse, notamment sur la fréquence de
500 kHz (maritime et aéronautique) et sur la fréquence de
8 364 kHz[8], affectées au trafic de détresse ou d’appel en
radiotélégraphie, depuis les années 1970, un système de satellites
de télécommunications ayant pris le relais. À partir de ce moment,
le trafic maritime radiotélégraphique et radiotéléphonique utilisant
les ondes hertziennes commence à décliner lentement.
Cependant, il existe encore à ce jour (2010) des fréquences
internationales affectées par l’UIT à la diffusion de l’heure, de la
météo marine ou aux communications maritimes en
radiotélégraphie[7] (parmi d’autres, 4 182 kHz à 4 186,5 kHz, ou
4 187 kHz à 4 202 kHz pouvant aussi être utilisé par l’Aviation
civile).
La bande des 600 mètres[9] notamment reste utilisée par une
vingtaine de pays dans le monde, parmi lesquels : l’Arabie
saoudite, l’Argentine, l’Azerbaïdjan, le Cameroun, la Chine, la
république du Congo, Djibouti, l’Érythrée, les États-Unis, l’Indonésie,
l’Italie, l’Irlande, Oman, la Roumanie, la fédération de Russie, les
Samoa américaines et les Seychelles[10]. À quelques exceptions
près, la plupart des stations maritimes encore en activité
n’émettent plus en morse que leur indicatif d’appel et
éventuellement leur fréquence d’émission[11]. Aujourd’hui,
certaines fréquences destinées au trafic en CW [12] de la marine
marchande ont encore une affectation, même si elles ne sont plus
utilisées que par quelques pays et très rarement[13].

Depuis le début du xxe siècle et l’invention de la lampe Aldis, les


bateaux peuvent également communiquer en morse lumineux.
Alors que la capacité à émettre de tels signaux reste exigée pour
devenir officier de la marine marchande dans de nombreux pays,
dont la France[14], cette pratique a tendance à devenir rare et ne se
retrouve plus que dans la marine de guerre et chez certains
plaisanciers.

Service aéronautique

Article détaillé : Opérateur radio-navigant.

Les premières liaisons radiotélégraphiques aéronautiques


remontent au début du xxe siècle et ont cessé avant les
années 1970, à une époque où les ballons dirigeables et les
avions communiquaient en radiotélégraphie dans la bande
aéronautique des 900 mètres (333,33 kHz), en vol au-dessus des
mers et des océans dans la bande marine des 600 mètres
(500 kHz), sur la longueur d’onde de radiogoniométrie de
450 mètres (666,66 kHz) et jusqu’en 1930 pour un échange de
correspondances transcontinental radiotélégraphique au-dessus
des océans dans la bande des 1 800 mètres (166,66 kHz).
En vol une antenne pendante longue de 120 mètres à 450 mètres
avait pour but d'établir les communications radiotélégraphiques
sur ces longueurs d’onde. À l’extrémité de l’antenne pendait un
plomb de lest avec l’indicatif radio de l’aéronef.

Une autre antenne tendue le long de la coque de l’aéronef


établissait (à courte distance) les communications
radiotélégraphiques en vol et au sol sur la longueur d’onde de
900 mètres (333,33 kHz) et dès 1930 les communications radios
NVIS.

Les fréquences utilisées autrefois par l’aviation pour les


communications (notamment celles voisines de 300 kHz) sont
aujourd’hui attribuées aux radiobalises de type NDB qui émettent
des signaux radiotélégraphiques automatisés (indicatif composé
de deux à trois lettres, transmis en morse à intervalles réguliers).
L’aviation utilise également la sous-bande VHF pour d’autres types
de radiobalises (systèmes VOR et ILS) qui transmettent
également leurs indicatifs (de 3 à 4 lettres) en morse. Pour ce qui
est des communications radiotéléphoniques, elles s’effectuent de
nos jours sur les bandes VHF pour le trafic local, et HF pour le
trafic transcontinental ou transocéanique.

Usage militaire
Dans certaines circonstances, la radiotélégraphie présente des
avantages par rapport à la radiotéléphonie : par exemple, en cas
de fort parasitage, il est plus aisé de reconnaître les signaux
codés en morse que ceux, beaucoup plus complexes, transmis
par la voix. Également, la radiotélégraphie s’avère être un moyen
de communication plus discret que la radiotéléphonie qui
demande de prononcer les mots hautement et clairement. Pour
ces raisons, la plupart des armées dans le monde forment des
officiers radio maîtrisant la télégraphie et disposent de
fréquences réservées par l’UIT.

Il arrive également que les navires de guerre, s’ils sont


suffisamment proches, utilisent le morse lumineux appelé le Scott
pour communiquer à l’aide d’un projecteur, d'un feu de mâture
visible sur tout l'horizon (FVTH) ou d'une lampe Aldis. C’est par
exemple le cas lorsqu’ils sont contraints d’observer une période
de silence radio.

Utilisation par les radioamateurs

Les radioamateurs utilisent assez fréquemment le code morse


pour les communications de loisir en radiotélégraphie et jouissent
à cet effet de fréquences allouées par l’UIT.

Jusque dans les années 1990, pour obtenir la licence de


radioamateur aux États-Unis (de la FCC), il fallait être capable
d’envoyer 5 mots encodés en morse par minute. La licence avec le
plus de droits exigeait 20 mots par minute. L’épreuve actuelle de
lecture au son à l’examen (jusqu'en 2011 en France, uniquement
pour la 1re classe de radioamateurisme) requiert une vitesse
minimum de 12 mots par minute. Les opérateurs radio militaires
et radioamateurs entraînés peuvent comprendre et enregistrer
jusqu’à 40 mots par minute.

Le Règlement des radiocommunications (RR) se compose de


règles liées au service de radio amateur. Il est révisé tous les trois
ans à la Conférence mondiale des radiocommunications (CMR).
La révision de l’article 25 du Règlement des radiocommunications
à la Conférence de 2003, en particulier, a supprimé l’exigence de
connaissance du code Morse à l’utilisation des fréquences
inférieures à 29,7 MHz. Cela affecte la plupart des pays, mais
certains (dont la Russie) continuent (en 2008) à l’exiger.

Autre

On connaît plusieurs cas avérés d’utilisation par les espions du


code morse. On soupçonne d’ailleurs ces derniers d’effectuer
régulièrement des communications chiffrées utilisant le morse.
Le code morse permet de transmettre un texte à distance à
l’aide d’un signal lumineux. Il est à ce titre un passe-temps
présent notamment chez les scouts et éclaireurs. Pour les
mêmes raisons, le code a été adopté par certains sportifs que
les activités amènent à être isolés : alpinistes ou plongeurs par
exemple. Le morse peut entre autres servir à signaler une
situation de détresse.
Il existe un exemple célèbre d'utilisation du code morse faite par
un prisonnier de guerre, Jeremiah Denton, lors d'une interview
télévisée de propagande réalisée par ses gardiens nord-
vietnamiens en 1966. Tout en parlant, il énonça le mot
« torture » par une série de clignements des yeux[15].

Code Morse de Samuel Morse

Le code Morse original,


American Morse, Railroad
Morse.
À ne plus utiliser, il est
remplacé par le « code Morse
international ».

La version originale du code Morse est développée au milieu des


années 1830 par Samuel Morse et Alfred Vail pour leur télégraphe
électrique ; également connu sous le nom American Morse Code
et Railroad Morse.

Le code Morse américain est utilisé pour la première fois sur la


ligne télégraphique Baltimore-Washington. Après de nombreux
essais et réglages, le premier télégramme public fut envoyé le 24
mai 1844 avec la phrase donnée par Annie Ellsworth « Qu'est-ce
que Dieu a fait »[16].

La plupart des autres pays du monde adoptent le « code Morse


international», les entreprises qui ont continué à utiliser le code
Morse original étaient principalement situées aux États-Unis (le
code Morse américain est dans les musées des chemins de fer
américains et dans les reconstitutions de la guerre civile
américaine.)

Le « code Morse international » a supplanté les différents codes


Morse[17].
Le code Morse international est la référence mondiale[1].

Différents types de code morse ont été utilisés, chacun avec ses
particularités quant à la représentation des symboles de l’anglais
écrit. Le code morse américain[18] a été utilisé dans le système
télégraphique à l’origine de la première télécommunication à
longue distance. Le code Morse international est le code le plus
communément utilisé de nos jours[1].

C’est en 1838 que Friedrich Clemens Gerke crée un alphabet


« morse » très proche de celui que nous connaissons
actuellement. Il s'agit d'une modification du code morse originel,
plus tard appelé code morse américain. Auparavant, certains
espaces étaient plus longs que le point à l'intérieur même d'un
caractère, ou le trait pouvait être plus long, comme pour la lettre L.
Gerke simplifie le code en n'utilisant plus que deux longueurs
standards, le point et le trait.

Deux types d’impulsions sont utilisés. Les impulsions courtes


(notées « . », point) qui correspondent à une impulsion
électrique de 1⁄4 de temps et les longues (notées « - », trait) à
une impulsion de 3⁄4 de temps, les impulsions étant elles-mêmes
séparées par 1⁄4 de temps (l’unité de temps élémentaire étant
alors voisine de la seconde pour la manipulation et l’interprétation
humaine).

Alors que se développent de plus en plus de variantes du code


Morse dans le monde, l'ITU adopte en 1865, comme code morse
international, l'alphabet morse de Gerke avec quelques
modifications. Il sera rapidement utilisé en Europe. Les
compagnies de (radio)télégraphie américaines continueront à
utiliser le code originel, qui sera alors appelé code morse
américain.

Le code morse international est toujours utilisé aujourd’hui


(certaines parties du spectre radio sont toujours réservées aux
seules transmissions en morse). Utilisant un simple signal radio
non modulé, il demande moins d’équipement pour envoyer et
recevoir que d’autres formes de communications radio. Il peut être
utilisé avec un bruit de fond important, un signal faible et demande
très peu de bande passante.
Représentation et cadence

On utilise deux symboles « positifs », appelés point et trait (ou


« ti » et « taah »), et deux durées d’espacement, la coupure
élémentaire entre signaux et l’espace séparant les mots. La durée
totale d’émission d’un trait (y compris la coupure élémentaire
entre signaux) détermine la vitesse à laquelle le message est
envoyé, elle est utilisée en tant que cadence de référence. Un
message simple serait écrit (où « ▄ » représente « ti » et « ▄▄▄ »
représente « taah ») :

▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄


▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄
▄ ▄ ▄

C O D E
M O R S E

Voici la cadence du même message (« = » signifie « signal actif »,


« · » signifie « signal inactif », chacun ayant pour durée un « ti ») :

===·=·===·=···===·===·===···===·=·=···=·····
··===·===···===·===·===···=·===·=···=·=·=···
=
^ ^ ^ ^ ^
| ti ta |
espace entre les mots (7 points)
| espace entre les
lettres (3 points)
|
espace entre les symboles

Conventions de cadence :

Le rythme élémentaire est donné par la durée du point, le « ti ». Il


se note par un point « . ».
Un « taah » est conventionnellement 3 fois plus long qu’un « ti ».
Il se note par un trait horizontal « – ».
L’espacement entre les « ti » et « taah » dans une lettre a la
longueur d’un « ti ». Il se note par le passage d’un symbole à
l’autre.
L’espacement entre les lettres d’un mot a pour longueur un
« taah » (3 « ti »). Il se note par un espace.
L’espacement entre les mots est d’au moins 5 « ti »
(7 recommandés[19], comme ici). Il se note par une barre oblique
« / ».

Les personnes familières du morse écriraient donc « code morse »


ainsi : -.-. --- -.. . / -- --- .-. ... . et le
prononceraient « taahtitaahti taahtaahtaah taahtiti ti, taahtaah
taahtaahtaah titaahti tititi ti ».
Il existe d'autres formes de représentation, la représentation
compressée, par exemple, qui associe au « ti » un point en bas, et
au « taah » un point en haut ou encore le morse en dents de scie.

Génération des messages

Manipulateur de type pioche (1904).

Manipulateur morse double contact.

Les opérateurs composent des messages en morse à l’aide d'un


dispositif appelé manipulateur.

Les modèles les plus simples (pioches) ne comportent qu’une


seule touche : un signal est envoyé lorsque cette dernière est
enfoncée. L’opérateur doit donc calibrer lui-même la durée des
points et des traits, ce qui donne à chaque émission un
caractère personnel, mais demande trois ou quatre
mouvements de doigt par signe.
Les modèles plus évolués (dits « iambiques ») comportent deux
palets, dont l’un génère les traits, et l’autre génère les points,
l’appui simultané déclenchant l’alternance point-trait. Avec un tel
manipulateur, un seul « mouvement » de deux doigts tenant la
tige levier du manipulateur par caractère, en poussant à gauche
le dit levier pour (entre pouce et index) produire les points et à
droite pour produire les traits, c’est un circuit logique, en général
incorporé à l’émetteur, qui génère intervalles, traits et points de
durées appropriées, et qui sont de ce fait réglables. Ce type de
manipulateur permet une moindre fatigue, et par là même une
possibilité de manipulation plus rapide, avec pour résultat final
une meilleure transmission du message en morse, mais la
maîtrise en est nettement plus ardue que pour l'usage du
manipulateur classique (type pioche), et est réservée en quelque
sorte à « l'élite » des opérateurs de code morse.

La vitesse de manipulation s’exprime en mots par minute, et varie


d’une dizaine de mots par minute pour un débutant ou une
identification d’émetteur compréhensible par tous, à 60 mots par
minute ou plus pour un manipulateur expert. Le record est détenu
par Theodore Roosevelt McElroy qui atteint le score de 75,2 mots
par minute au championnat mondial de 1939, à Asheville[20].

Il existe également des générateurs informatiques automatiques,


qui sont généralement couplés avec des décodeurs
automatiques.

Tables d’encodage
Voici quelques tables récapitulant l’alphabet morse et quelques
signes communément utilisés.

Lettres

Lettres Mnémoniques Code international Lettre Mnémoniques Code international

A (a) A, ET .- ▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche] N (n) N, TE -. ▄▄▄ ▄ ? Écout er [Fiche]

B (b) B, DE, NI, TS -... ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ? Écout er [Fiche] O (o) O, MT, TM --- ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche]

? ?
C (c) C, KE, NN, TR -.-. ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ Écout er [Fiche] P (p) P, WE, AN, EG .--. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ Écout er [Fiche]
? ?
D (d) D, NE, TI -.. ▄▄▄ ▄ ▄ Écout er [Fiche] Q (q) Q, GT, MA, TK --.- ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ Écout er [Fiche]

E (e) E . ▄ ? Écout er [Fiche] R (r) R, AE, EN .-. ▄ ▄▄▄ ▄ ? Écout er [Fiche]

F (f ) F, UE, IN, ER ..-. ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ? Écout er [Fiche] S (s) S, EI, IE ... ▄ ▄ ▄ ? Écout er [Fiche]

G (g) G, ME, TN --. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ? Écout er [Fiche] T (t) T - ▄▄▄ ? Écout er [Fiche]

? ?
H (h) H, SE, II, ES .... ▄ ▄ ▄ ▄ Écout er [Fiche] U (u) U, EA, IT ..- ▄ ▄ ▄▄▄ Écout er [Fiche]

I (i) I, EE .. ▄ ▄ ? Écout er [Fiche] V (v) V, ST, IA, EU ...- ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche]

J (j) J, WT, AM, EO .--- ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche] W (w) W, AT, EM .-- ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche]

K (k) K, NT, TA -.- ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche] X (x) X, DT, NA, TU -..- ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche]

L (l) L, RE, AI, ED .-.. ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ? Écout er [Fiche] Y (y) Y, KT, NM, TW -.-- ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche]

? ?
M (m) M, TT -- ▄▄▄ ▄▄▄ Écout er [Fiche] Z (z) Z, GE, MI, TD --.. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ Écout er [Fiche]

Chiffres

Chiffre Code international Chiffre Code international


? ?
0 Zéro ----- ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ Écout er [Fiche] 5 Cinq ..... ▄ ▄ ▄ ▄ ▄ Écout er [Fiche]
? ?
1 Un .---- ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ Écout er [Fiche] 6 Six -.... ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ▄ Écout er [Fiche]

2 Deux ..--- ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche] 7 Sept --... ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ? Écout er [Fiche]

3 Trois ...-- ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche] 8 Huit ---.. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ? Écout er [Fiche]

4 Quat re ....- ▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ? Écout er [Fiche] 9 Neuf ----. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ? Écout er [Fiche]

Signes de ponctuation et symboles


Signe Mnémoniques Code international

. Point AAA, RK .-.-.- ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄

, Virgule MIM, GW --..-- ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄

? Point d’int errogat ion IMI, UD ..--.. ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄

' Apost rophe WG .----. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄

KW, CM -.-.-- ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄


! Point d’exclamat ion
(ou parfois MN en Amérique du Nord) ---. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄

/ Barre oblique (slash) NR, XE -..-. ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄

( Parent hèse ouvrant e NG, KN -.--. ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄

) Parent hèse fermant e NQ, KK -.--.- ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄

& Esperluet t e (« et commercial », ampersand) AS .-... ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄

: Deux-point s OS ---... ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄

; Point -virgule NNN, KR -.-.-. ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄

= Signe égal NU, BT -...- ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄

+ Signe plus AR .-.-. ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄

- Signe moins ou t rait d’union DU -....- ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄

_ Tiret bas (underscore) UK ..--.- ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄

" Guillemet droit (indifférencié) RR .-..-. ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄

$ Symbole dollar (ou peso) SX ...-..- ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄

@ Arobase (arrobe, « a commercial ») AC, WR, PN .--.-. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄

Note : le symbole « @ » a été ajouté en 2004. Il combine le A et le


C en un seul caractère.

Extension aux caractères internationaux ou digrammes


[réf. souhaitée]
Lettres Mnémoniques Code international

Ä (ä)
AA .-.- ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄
Æ (æ)

À (à)
AK .--.- ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄
Å (å)

Ĉ (ĉ)
CE -.-.. ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄
Ç (ç)

CH (ch) TO ---- ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄

Ð (ð) UN ..--. ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄

È (è) EX .-..- ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄

É (é) EL ..-.. ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄

Ĝ (ĝ) GN --.-. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄

Ĥ (ĥ) NG -.--. ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄

Ĵ (ĵ) JE .---. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄

Ñ (ñ) TY --.-- ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄

Ö (ö)
OE ---. ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄
Ø (ø)

Ŝ (ŝ) SN ...-. ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄

Þ (þ) PE .--.. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄

Ü (ü)
UT ..-- ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄
Ŭ (ŭ)

@ AC .--.-. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄

Codes spéciaux

Article détaillé : Signes de procédure pour le code Morse.

Abréviations et signaux divers à employer dans les


radiocommunications du service mobile maritime[21].
Abréviation Mnémoniques Code international Signification

...--
SOS ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ Appel de dét resse int ernat ional.
-...

K (k) -.- ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ Cont act , invit at ion à t ransmet t re…

AA [réf. souhaitée] .-.- ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ Début de message.

HH ........ ▄ ▄ ▄ ▄ ▄ ▄ ▄ ▄ Erreur de la part de l’émet t eur du message (8 point s)

RF [réf. souhaitée] .-...-. ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ Mauvaise signalisat ion, réglez vos feux ! (si t ransmission lumineuse)
[réf. souhaitée]
LL .-...-.. ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ Lumière plus fort e ! (t ransmission lumineuse)

PP [réf. souhaitée] .--..--. ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ Lumière moins fort e ! (t ransmission lumineuse)

SL [réf. souhaitée] ....-.. ▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ Plus lent ement ! (slow down)

= BT -...- ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ Séparat ion (« st op »), nouveau paragraphe.

Fin de message/t ransmission. (« À vous. » : j’at t ends une réponse de


+ AR .-.-. ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄ ▄
vot re part )

? IMI ..--.. ▄ ▄ ▄▄▄ ▄▄▄ ▄ ▄ Pas compris, répét ez !

VE ...-. ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ Tout compris !

AS .-... ▄ ▄▄▄ ▄ ▄ ▄ At t endez, pat ient ez…

Fin de vacat ion/cont act . (« Terminé. » : je n’at t ends pas de réponse


VA, SK ...-.- ▄ ▄ ▄ ▄▄▄ ▄ ▄▄▄
de vot re part )

Une erreur fréquente est de considérer le code de détresse


international comme la succession des lettres « S O S » et de
l’envoyer en tant que tel (=·=·=···===·===·===···=·=·=). La bonne
façon de l’envoyer est en enchaînant les 9 éléments comme s’ils
formaient une seule lettre (=·=·=·===·===·===·=·=·=).

Autres langues et alphabets

Lorsque étendre l’alphabet morse à d’autres lettres ne suffit pas,


on recourt à d’autres codes.

Ainsi, le code wabun est utilisé pour transmettre du texte en


japonais. Les symboles représentent des kana syllabiques.

En Chine, un autre système était utilisé, le code télégraphique


chinois (en) .
Méthode d'apprentissage

Méthode Koch

Cette méthode a été inventée par un psychologue allemand,


Ludwig Karl Koch, dans les années 1930. C'est une des méthodes
permettant un apprentissage rapide du morse.

Cette méthode considère que :

c'est une erreur d'associer un code visuel à chaque lettre, parce


qu'il est invariablement divisé en ces constituants : le ti et le ta ;
chaque code doit garder son caractère unitaire, pour cela :
utiliser dès le départ une vitesse d'au moins
12 mots/minute,
mettre en avant la mélodie des codes en utilisant une
fréquence légèrement différente pour le ta (en réduisant
cette différence au fur et à mesure) ;
il faut pratiquer dès le départ avec des blocs de 5 lettres
(optionnel).

La méthode Koch nécessite un ordinateur (équipé d'un logiciel


spécifique) ou un professeur pour pouvoir écouter du code. En
commençant tout de suite avec une vitesse supérieure à
12 mots/minute, elle permet d'apprendre à écouter du code morse
correct, et non déformé par une vitesse faible. Elle permet aussi la
reconnaissance des caractères par réflexe et sans phase de
réflexion (ce qui est de toute façon impossible à une telle vitesse,
et aux vitesses supérieures).

Dans les méthodes « traditionnelles », on apprend l'ensemble de


l'alphabet et on pratique à une vitesse faible, par exemple, 5
mots/min. Avec la méthode Koch, on commence par reconnaître
seulement 2 caractères, puis 3, puis 4… mais une vitesse d'au
moins 12 mots/minute. Cela évite les frustrations du « plateau
des 10 mots/minute » des méthodes « traditionnelles ».

On utilise traditionnellement cet ordre pour les caractères : K, M, R,


S, U, A, P, T, L, O, W, I, « . », N, J, E, F, 0, Y, « , », V, G, 5, « / », Q, 9, Z, H,
3, 8, B, « ? », 4, 2, 7, C, 1, D, 6, X, <BT>, <SK>, <AR>

Méthode Farnsworth

Donald R. « Russ » Farnsworth propose dans sa méthode d'utiliser


la vitesse cible pour l'apprentissage (commencer tout de suite à
20 mots/minute, par exemple) mais avec des espaces inter-mots
et inter-lettres plus élevés que requis par la vitesse cible. Elle
donne ainsi plus de temps à la compréhension de chaque signe,
tout en utilisant une vitesse élevée dès le départ pour la
reconnaissance des signes.

On peut d'ailleurs combiner la méthode Farnsworth avec la


méthode Koch : en commençant à 20 mots/minute, avec
2 caractères, avec des espaces triples par rapport à la normale,
par exemple.

Moyens mnémotechniques

Il existe différents moyens mnémotechniques assez simples pour


apprendre les 26 lettres de l’alphabet en morse mais vu qu’ils
induisent des ralentissements dans la compréhension des
messages, il n’est pas recommandé de les utiliser pour apprendre
le morse à l’oreille.

Méthode des consonances en « o » ou « on »

Dans le tableau ci-dessous, un mot est affecté à chaque lettre de


l’alphabet. Ces mots se trouvent dans les 3e et 4e colonnes du
tableau. Au cas où plusieurs mots possibles sont affectés à une
lettre, il suffit d’en choisir un. Le procédé mnémotechnique
consiste simplement à apprendre une liste de 26 mots
correspondant aux 26 lettres de l’alphabet.

Chaque mot traduit le codage morse de la lettre qui lui est


associée. Pour chaque syllabe du mot on a un ▄ ou un ▄▄▄. Le
▄▄▄ sera représenté pour une syllabe à consonance « o » ou
« on » et le ▄ pour toutes les autres syllabes.
Par exemple, pour la lettre P, le mot « psychologie »
(Psy/cho/lo/gie) a ses 2 syllabes centrales en « o » (cho/lo), les
autres n’ont pas de consonance en « o » ou en « on ». Le code de
la lettre P est donc .--. avec 2 signaux longs pour les
2 syllabes centrales et 2 courts aux extrémités pour les syllabes
restantes.

Méthode des voyelles-consonnes

Un autre moyen est d’utiliser les mots de la dernière colonne du


tableau. Pour chaque lettre des mots on a un ti ou un ta. Une
consonne représente un ta et une voyelle un ti.

Il existe une règle différente pour les lettres composées


uniquement de points ou de traits. Il faut retenir les mots
mnémotechniques :

« E I S H » pour celles composées de points ;


« T M O CH» pour celles composées de traits.

La position de la lettre dans ces mots renvoie au nombre de traits


ou de points.

Par exemple, le S est codé par 3 points car la lettre est en


3e position dans le mot « EISH »

Tableau mnémotechnique
Le code morse est facilement mémorisable à l’aide des codes
courts et longs remplacés par des syllabes. Le code long ( - )
remplacé par une syllabe en « o ». Le code court ( . ) remplacé
par une des autres voyelles. Par exemple, A = .- = Al/lO (une
syllabe en « a » pour le . et une syllabe en « o » pour le - ).

Pour l’utilisation de la méthode consonne-voyelle, toute consonne


remplace un trait ( - ) alors que toute voyelle signifie un point
( . ). L’idéal étant de trouver un mot correspondant qui comprend
la lettre ou le son et l’on obtient ainsi :
Mots mnémotechniques [ré f. so uhaité e ]
Code
Lettre Méthode des consonnes-
international Méthode des consonances en « o » ou « on »
voyelles

A .- Arnold, a llo, Arlon, Arnaud As

B -... Bonapart e, Bombardement Beau

C -.-. C ont emporain, Coca-Cola C oco

CH ---- « Choco-bonbons », « Chocobons bons » (Kinder) « T M O CH »

D -.. D ocile, « do-ré-mi », D onald Duck, document , dominé, D onrémy, dorade D uo

E . Eh, Et , Est «EISH»

F ..-. Farandole, f anfaronne aif e ou eif e

G --. Gondole, Glout onne, Goldorak Glu

Hilarit é, hyst érique, habit uer, hurluberlu, hululement , heureusement , Himalaya, hara-kiri,
H .... «EISH»
humanit é, hyst érésis

I .. Ici, Idriss, Ibis « EIS H»

J .--- Jablonovo, Jiromot o, « j’ai mon lolo », « j’ai gros bobo », « j' ai mon lot o » (j)acks, (j)unks, (j)erks, (j)oncs

K -.- Kohinor, Korridor, Kolimor, Kominform, Koalo, Koneko Kim

L .-.. Limonade é lue

M -- Mot o, moraux, molo, Momo « T M O CH »

N -. Noël, Nora, Noé, not e, nota Nu Ne, Ni

O --- O st rogot h, o h bobo, o romo, « O dodo », « O port o », O h! O h! O h! « T M O CH »

P .--. P sychologie, philosophie, papomoche apt e

Q --.- « Q uoquorico », « coq au rico » « Q cul », « phoq(ue) », « fliq »

R .-. Ramoneur, r igoler, r adot er, r evolver, Rivoli, ricoré, r icochet èr e

S ... Sardine, s alade, s imili, s imilaire, s amedi, s irène, Sahara, s erpent in «EISH»

T - T hon, t ôt , t rop « T M O CH »

U ..- U nion, ult rason, ult imor, urinons, urinoir, unisson (h)uit , ouf

(v)oies, œuv (re, œuf),


V ...- Valparaiso, v alent ino, v égét at ion, v ent ilat ion
(Mendel)eie v

W .-- Wagon-post (e), wagon long, les Wallons ne sont point barbares (point -barre-barre) (w)at t , è ww (ève),

X -..- Xochimilco, oxydat ion, « X’Trocadéro », xodérido, « Monsieur X port e des lunet t es : -oo- » Xéon, Xiin, noix, deux

Y -.-- Yoshimot o, Yokimono, Yolimot o, Yolandolo, « yoga yougo », « Yoplait bonbon » lynx

Z --.. Z oroast re, « Z orro le grand », « z oulou méchant », « Z orro est là » z zou ou z zoo

Il est aussi simple de mémoriser le S et le O grâce au fameux


signal SOS : trois brèves, trois longues, trois brèves ( ...--
-... ).

Arbre mnémotechnique de décodage


Pour les personnes qui ont plutôt une mémoire visuelle, il est
également possible de retenir l’alphabet morse en utilisant un
arbre binaire :

Les lettres sont regroupées par 2, celle de gauche représentant un


( . ) et celle de droite un ( - ). Un symbole (*) est mis quand il
n’existe pas de lettre correspondant au code de l’emplacement.
Dans cet arbre, le « CH » et les chiffres ne sont pas représentés
(car réduisant la lisibilité de l’arbre et ayant peu d’intérêt), mais il
ne tient qu’au lecteur de les ajouter pour obtenir un arbre complet.
Cela ajouterait une ligne et remplacerait le symbole (*)
correspondant à ( ---- ).

Pour retenir cet arbre, on peut se servir des groupes de lettres et


les retenir dans l’ordre des lignes : ET/IA/NM/SU/RW… avec pour
chaque groupe un moyen. On peut trouver ses propres moyens à
partir de choses côtoyées tous les jours et abrégées, pour plus de
facilité à le mémoriser. Sinon on peut reprendre ceux-ci :

ET comme le célèbre « ExtraTerrestre » de fiction ;


IA pour « Intelligence Artificielle » ;
NM pour « Nautical Miles (mile nautique) » ;
SU pour Soukhoï (marque aéronautique russe), ou « Soviet
Union » (en anglais) ;

RW pour CD-RW (CD réinscriptible) ;


DK comme « Donkey Kong », ou le code du Danemark ;
GO comme « Go! » (Partez !) ou « Grandes Ondes » ;
HV par paraphonie avec « HiVer » ou « achever » ;
F*/L* pour « Flight Level » (aéronautique en anglais) ; attention à
retenir qu’ils sont séparés ;
PJ comme « Police Judiciaire » ;
BX comme le modèle chez Citroën, ou bien l’abréviation de
« BordeauX » ;
CY comme « Control Yetal (opération militaire
américaine [réf. nécessaire]), ou « CYprus » (Chypre en anglais) ;
ZQ comme « Zephyr Quadrill » (radar militaire).

Certaines personnes retiennent ces groupes de lettres en


apprenant une phrase. Par exemple : « Encore très irritée après
nos manigances sexuelles, Ursuline réimplora Wendy de kidnapper
Gérard ou Hervé, violeurs fanatiques et libérés, en promettant-
jurant buter X, ce yankee zélé quadragénaire. » Ici, chaque
première lettre de chaque mot doit être prise en compte ; les mots
« et » et « en » ayant pour but de combler les « trous » après les
lettres « F » et « L ».
Une fois l’arbre mémorisé, il suffit alors de le parcourir et à chaque
intersection de regarder si on passe par la lettre de gauche (un
point) ou celle de droite (un trait). Par exemple :

E : lettre de gauche à la racine de l’arbre : .


N : on passe à droite (T) puis à gauche (N) : -.
R : on passe à gauche (E), à droite (A) et à gauche (R) : .-.
J : on passe à gauche (E), à droite (A), à droite (W) et à droite
(J) : .---

L’avantage de cet arbre est de fonctionner dans les deux sens de


transcription de morse vers lettre (partir d’en haut en suivant un
trajet et aboutir à la lettre) et de lettre vers morse (trouver la lettre
dans l’arbre et en déduire le trajet, en partant du bas) avec
beaucoup de facilité.

Méthodes diverses

D’autres moyens existent, qui font appel à des phrases ou à des


expressions permettant d’ordonner les signes en fonction de leurs
valeurs. Par exemple :

« Avec un verre nous devons boire. »

Mot Lettre Code international Mot Lettre Code international

Avec A .- Nous N -.

Un U ..- Devons D -..

Verre V ...- Boire B -...


« EISH » et « T MOCH (t’es moche) »

Lettre Code international Lettre Code international

E . T -

I .. M --

S ... O ---

H .... CH ----

« EISH » peut devenir : « Eric a obtenu un bon point, Isabelle


deux, Salomé trois et Hector quatre. »
« Tous Mes O iseaux CHantent Et Ils Sont Heureux. »
« Les Wallons ne sont point barbares. » (.--)
« Monsieur X porte des lunettes : -oo- » (-..-)
« Les Athéniens ont gagné, point barre. » (.-)
« Quentin a sauté sur ces deux barres, point barre. » (--.-)
« Les haltères de monsieur R : o-o » (.-.)

Références culturelles

La lettre V a été identifiée à la très célèbre cellule rythmique du


premier mouvement Allegro con brio de la Symphonie no 5 en ut
mineur de Beethoven. En voici la représentation notée
établissant un lien avec celle en alphabet Morse :

Elle laisse entendre « ti ti ti ta » ( ...- )[22]. C’est ce premier


mouvement de la symphonie qui servait usuellement d'indicatif
aux émissions de la BBC adressées aux pays occupés par
l'Allemagne, V signifiant victoire. En outre, pour cette raison, la
symphonie fut diffusée sur Radio Londres en juin 1944 pour
annoncer aux réseaux de Résistance le débarquement allié en
Normandie.
Le refrain de la chanson Communication du chanteur et
musicien de jazz Slim Gaillard est construit selon la répétition
du préfixe général demandant l'attention, « CQ »[23] (celui-ci
précédait le « D » pour composer le signal radio de détresse
« CQD » utilisé entre 1904 et 1906, avant l'adoption définitive du
code « SOS » à la conférence internationale de Berlin, le 3
novembre 1906[24]).
La musique Radioactivity (1975) du groupe de musique
électronique allemand Kraftwerk fait intervenir le code Morse
dans sa ligne mélodique.
Le musicien britannique Mike Oldfield a souvent caché des
codes dans ses compositions. Ainsi, considérant un manque de
soutien de la part de Virgin pour sa création musicale, il insère
un message codé en Morse à destination de son PDG, Richard
Branson dans son album Amarok paru en 1990. Le message
apparaît vers la 48e minute[25] et est le suivant : « F.U.C.K. O.F.F.
R.B. » (R.B. pour Richard Branson.)
En 1987, le générique du journal Le Six’ de la chaîne M6 fait
entendre « M6 » en morse ( --/-.... ).

La chanson Waves, issue de l'album Music Hole de Camille


(2008), utilise le code Morse en tant que phrase rythmique
répétée en ostinato. Celle-ci est scandée par un chœur de
femmes l'oralisant selon la prononciation anglaise des deux
symboles : dot (« point ») et dash (« trait »). Cette phrase est la
suivante et a pour signification :
Code Lettre

dot dot dot S

dot dot dot dot H

dash dash dash O

dot dash dash W

dash dash M

dot E

dash T

dot dot dot dot H

dot E

dot dash dash W

dot dash A

dot dot dot dash V

dot E

dot dot dot S

Une des sonneries proposées dans certains téléphones Nokia


appelée « Special » est le mot « S M S » en morse ( .../-
-/... )[26]. Une autre sonnerie appelée « Ascending » est la
phrase « Connecting people », le slogan de Nokia[27].
Les sculptures de la bande de roulement des pneus de
l'astromobile Curiosity contiennent le code Morse J, P et L[28] du
nom de son constructeur JPL (Jet Propulsion Laboratory). Le
but des chercheurs de la NASA est d'utiliser les marques
laissées par les roues sur la surface de Mars pour en observer
(par comparaison entre les distances calculées et celles
réellement parcourues) d'éventuels dysfonctionnements.
Le motif rythmique du début de la chanson YYZ du groupe de
musique Rush correspond au rythme obtenu quand on joue YYZ
en morse ( -.--/-.--/--.. ).

De fait, YYZ est le code aéronautique (OACI) de l'aéroport de


Toronto, la ville natale du groupe, et il s'agit donc du patron de
signal émis par la balise de l'aéroport.
Dans la chanson London Calling des Clash, la guitare électrique
joue à la fin trois notes courtes, trois notes longues et trois
notes courtes à nouveau, autrement dit « SOS » en morse.
Une des lettres de la façade sur la Tour de la Terreur de
Disneyland Paris grésille. Il s'agit en fait d'un message en morse
disant « SOS ».
Dans le MMORPG The Secret World, le joueur doit à certaines
occasions traduire des messages en morse (notamment dans
les quêtes d'investigation). C'est le cas dans la quête « C'est
mort », ou encore « Pas moyen de reposer en paix ».
Le thème musical de la série britannique Inspecteur Morse
composé par Barrington Pheloung est construit sur une
rythmique créée à partir de la transcription en code morse du
nom de l’inspecteur éponyme. Le code morse de « MORSE »
est : ( --/---/.-./.../. ) Barrington Pheloung insère ce
motif dans quatre mesures à trois temps : une mesure pour
chacune des 3 premières lettres (m, o, r) et une mesure pour les
deux dernières (s, e). Le schéma rythmique choisi est le suivant :

Le motif est d’abord joué solo au violon de manière itérative, il


est ensuite modifié et temporairement abandonné par le
compositeur durant le développement instrumental du morceau,
avant de revenir solo en fin de thème.
La batterie dans la chanson Starlight du groupe de rock
britannique Muse répète un motif pouvant s'interpréter en morse
-/../-/... , ce qui signifie "TITS" (tétons en anglais). Il
semble cependant ne s'agir que d'une coïncidence.

Notes et références

1. Recommandation UIT-R M.1677-1 (10/2009) Code Morse


international (https://www.itu.int/dms_pubrec/itu-r/rec/m/R-R
EC-M.1677-1-200910-I!!PDF-F.pdf) [archive]

2. Pope, Franklin Leonard, (en) The American Inventors of the


Telegraph, with Special References to the Services of Alfred
Vail, Century Illustrated Magazine, no 35 (avril 1888), p. 924–
945. on-line copy at Cornell’s Making of America (http://cdl.libr
ary.cornell.edu/cgi-bin/moa/moa-cgi?notisid=ABP2287-0035-
212) [archive].

3. (en) Alfred Vail (http://www.telegraph-office.com/pages/vail.ht


ml) [archive], Telegraph-Office.com.
4. (en) Carleton Mabee, « Samuel F.B. Morse », dans Encyclopedia
Britannica, 2023 (lire en ligne (https://www.britannica.com/bio
graphy/Samuel-F-B-Morse) [archive]).

5. Convention et Règlements administratifs de l’Union


internationale des télécommunications. Recommandation UIT
- R M.1170 « Procédures radiotélégraphiques morse dans le
service mobile maritime. »

6. Conférence de Berlin 1903 attribue la longueur d’onde de


600 mètres
(https://earlyradiohistory.us/1906conv.htm#SR1) [archive].

7. APPENDICE 34 Mob-87 : (Voir l’article 60 et la résolution 312


(Rév. Mob-87)).

8. Référence aux dispositions du règlement des


radiocommunications RR5.111 ; AP17, Parties A, B.

9. Pour tous les navires, dans la bande hectométrique, la


puissance maximale des émetteurs radiotélégraphiques
homologués marine est comprise entre 150 W et 1 000 W.

10. IUT États signalétiques des stations côtières assurant un


service de correspondance publique 2010 Nomenclature des
stations côtières (http://www.itu.int/publ/R-SP-LM.IV-
2010/fr) [archive].

11. Par exemple : « CQ CQ CQ DE HLG HLG HLG QSX 12 MHZ K »


qui signifie : « À toute station, vous écoutez HLG (Séoul) sur
12 MHz ».
12. L'emploi des signaux du code Morse n'est plus obligatoire.
Toutefois,étant donné que la radiotélégraphie est moins
sensible au brouillage et constitue le moyen le plus efficace en
cas d'urgence ou de catastrophe, l'utilisation du code Morse
dans certaines zones par certains opérateurs pourrait être
utile dans la pratique et offrir parfois le seul moyen de
communication disponible.

13. 454 kHz 468 kHz 480 kHz : Radiotélégraphie de navires à


navires, avec en région 1 (Europe et Afrique): 458 kHz avec en
régions 2 et 3 (sauf Europe et Afrique) : 425 kHz.
500 kHz : Fréquence internationale de détresse en
radiotélégraphie morse. L’appel de routine, de sécurité et
d’urgence est autorisé entre l’heure H + 18 et H + 45 et entre
H + 48 et H + 15.
512 kHz : Radiotélégraphie de navires. Les stations de navires
peuvent utiliser cette fréquence comme fréquence d’appel
supplémentaire en radiotélégraphie morse lorsque la
fréquence 500 kHz est employée pour la détresse. Dans les
zones à fort trafic, la fréquence est utilisée pour l’appel de
routine.

14. profmarine.org [PDF] (http://www.profmarine.org/fichiers/AC_FS_


morse.pdf) [archive].
15. (en) « Read Admiral Jeremiah Denton POW in North Vietnam
TORTURE Morse code (https://www.youtube.com/watch?v=io
C_F8FvviM) [archive] », sur youtube.com, 4 avril 2018
(consulté le 5 novembre 2020)

16. Le code Morse américain a été utilisé pour la première fois sur
la ligne télégraphique Baltimore-Washington, cette ligne
télégraphique est construite entre Baltimore, Maryland, et
l'ancienne chambre de la Cour suprême dans le bâtiment du
Capitole à Washington. Le premier message public «Qu'est-ce
que Dieu a fait» fut envoyé le 24 mai 1844 par Samuel Morse à
Washington à Alfred Vail au «dépôt extérieur» de Baltimore
and Ohio Railroad (B&O) (maintenant le B&O Railroad
Museum) à Baltimore. Le message est un verset biblique des
Nombres 23:23, choisi par Annie Ellsworth, fille du gouverneur
du Connecticut. La bande originale en papier reçue par Alfred
Vail à Baltimore est exposée à la Bibliothèque du Congrès à
Washington.

17. (en) Code Morse de Samuel Morse, code Morse de la Navy ici (ht
tp://earlyradiohistory.us/1912code.htm) [archive].
18. Le code morse américain originel est évoqué par Edward
Everett Hale dans sa nouvelle The Dot and Line Alphabet,
parue en 1858 dans Atlantic Monthly. Il donne comme
exemple la séquence ... - . . ..... / .. . . . --
. - pour signifier STOP COMET, où l’on voit que la lettre O
était représentée par deux points séparés par un intervalle
(« space ») qui faisait partie intégrante du caractère, le C par
deux points, un intervalle et un point, et le P par cinq points.

19. (en) Union Internationale des Télécommunications,


Recommandation M.1677 « Morse Code ». [PDF] (http://www.god
freydykes.info/international%20morse%20code.pdf) [archive]
(2004). Consultée le 2 janvier 2008.

20. (en) « Morse Code - A Tribute to Morse Telegraphy! (http://ww


w.rogerwendell.com/morsecode.html) [archive] », sur
rogerwendell.com (consulté le 11 mai 2016).

21. Convention et règlements administratifs de l’Union


internationale des télécommunications — Recommandation
UIT, R M.1172 « Abréviations et signaux divers à employer
dans les radiocommunications du service mobile maritime. »

22. Représentation rythmique de la 5e symphonie de Beethoven


sur YouTube (https://www.youtube.com/watch?v=rRgXUFnfKI
Y) [archive].

23. Slim Gaillard - Communication sur YouTube (https://www.yout


ube.com/watch?v=teaxWYRH9A4) [archive].
24. Conférence de Berlin de 1906 (https://earlyradiohistory.us/190
6conv.htm#SR6) [archive].

25. Maurice G. Lafleur, Morten Due Joergensen, Matthew J. Sorell,


Peter Evans, David Porter, Pedro, « Où se trouve le code morse
dans Amarok ? (http://www.tubular.free.fr/faq.php?
nq=40) [archive] », sur Tubular Mailing List (consulté le
9 février 2014).

26. NOKIA ORIGINAL REAL TUNE sur YouTube (https://www.youtu


be.com/watch?v=yq0EmbY3XyI) [archive].

27. (en) « Nokia Mobile Phones Easter Egg - Messages in Morse


Code (http://www.eeggs.com/items/31136.html) [archive] »,
sur eeggs.com.

28. Photographie des pneus (https://upload.wikimedia.org/wikipe


dia/commons/3/37/Curiosity_wheel_pattern_morse_code.pn
g) .

Voir aussi

Bibliographie

(en) Radio Communication Laws Of The United States And The


International Radiotelegraphic Convention 1914 (http://www.earl
yradiohistory.us/1914reg.htm) [archive]
(fr) Manuel à l’usage des services mobile maritime (http://www.it
u.int/publ/R-SP-LM.MM/fr) [archive]
(fr) Conférence de Berlin de 1906 (https://earlyradiohistory.us/19
06conv.htm) [archive]
(fr) Nomenclature des stations côtières 2017 (http://www.itu.int/
pub/R-SP-LM.IV-2017/fr) [archive]

Articles connexes

Alphabet radio
Samuel Morse
Code Baudot
Sémaphore
Chiffre Pollux
Lampe Aldis
Télégraphe
Radioamateur
500 kHz (maritime et aéronautique)
Télégraphie sans fil
Radiotélégraphiste
Code frappé.

Liens externes
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Britannica (https://www.britannica.com/topic/International-M
orse-Code) [archive] · Gran Enciclopèdia Catalana (https://www.
enciclopedia.cat/EC-GEC-0044509.xml) [archive] ·
Nationalencyklopedin (https://www.ne.se/uppslagsverk/encyklo
pedi/l%C3%A5ng/morsealfabetet) [archive] · Store norske
leksikon (https://snl.no/morsetegn) [archive]

Notices d'autorité :
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(données (https://data.bnf.fr/ark:/12148/cb119589369) ) ·
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Israël (http://olduli.nli.org.il/F/?func=find-b&local_base=NLX10&find_
Traducteur de code Morse, audio et signal flash (https://morsec
odetranslator.co) [archive]( EN )
Convertisseur lexilogos en ligne (http://www.lexilogos.com/clav
ier/morse.htm) [archive]
Transcodeur (http://transcoder.stillnorth.net) [archive] :
Convertisseur de texte en code Morse (entre autres)
Video présentant l'alphabet (https://www.youtube.com/watch?v
=Z5uyK5MrsTs) [archive]

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