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Nous avons dans ce texte un double constat: Tout d'abord, on constate Les
professionnels de santé ne sont pas suffisament informer des dispositions legale
sur les soins palliatif et la fin de vie et les patients n'en ont pas non plus la
connaissance. Ensuite,Il perdure une grande inégalité d'accès aux soins palliatifs.
Ce texte veut nous faire savoir principalement que L' Aacademie national de
medecine (ANM) prévaut une réel mise en place des dispositions prévu par la loi,
sur la pratique des soins paliatifs et les modalité de sedations profonde et continu,
plutot qu'un renforcement de ces dispositifs. ( il est neccessaire de rappeler
l'enjeu des directives anticipées , mais aussi de mieu former les médecins et
informer davantage le public)
Tout d'abord, le texte nous montre bien que malgré le fait qu'un patient ne peut
pas bénéficier d'une euthanasie ou un suicide assisté en France, d'autres
alternatives peuvent lui etre proposé pour pallier à ses souffrances. la sédation
profonde et continue par exemple entrainent l'arret des traitement qui maintenait
en vie le patient et la poursuite des traitement analgésique jusqu'a son décès. On
voit bien que le médecin joue un role passif sur la fin de vie du patient, il ne peut
que stopper son traitement de maintien en vie mais ne peut pas lui donner la
mort directement. Les dipositif actuelles tiennent à permettre un
accompagnement des patient en fin de vie dans leur souffrance pour entretenir
leur dignité.
Toutefois l'auteur nous montre bein que la sedation profonde et contiunue n'est
autorisé que sous certaines conditions limitatives pour s'assurer que le patient est
bien en situation de fin de vie sans aucune issu comme le montre les termes
"affection grave", "incurable" qui illustre la fatalité, ou encore "pronostic vital
engagé à court terme" qui exige que le patient soit en phase avancé.
De plus, on constate que les directives anticipés ont été renforcé par la loi cleys
leonetti pour que la volonté du patient prime, il est libre de choisir d'accelerer sa
mort pour diminuer les souffrances ou de continuer les traitement de maintient
en vie. Les dispositif actuel en matière de fin de vie sont centré sur l'autonomie du
patient
Par ailleurs, L'Academie national de medecine (ANM) explique qu'il n'est pas dans
la mission du medecin de donner la mort. "donner la mort" equivaut à aller au
dela des dispositif actuel en legalisant l'euthanasie ou le suicide assisté soit en
donnant un role actif au medecin sur la fin de vie. on comprend bien que
l'Academie national de medecine (ANM) n'est pas en faveur d'un renforcement
des dispositions actuelles et favorise un role passif des medecins plutot qu'un role
actif sur la fin de vie du patient.
Pour finir, L'ANM propose d'evaluer les disposition mise en place de façon continu
afin de determiner si les dispositions sont suffisantes pour "permettre de faire
face à toutes les situations des personnes en fin de vie". Cette proposition serait
un appel de l'ANM à aller au dela des disposition actuelles si et seulement si
après évaluation celles ci ne s'avere pas suffisante pour repondre à toutes les
problematique de fin de vie . L'ANM ne s'oppose pas à un renforcement des
dispositions actuel seulement si apres avoir informer et former correctement les
acteurs a ces dernieres: elles sont apres verification et suivi insuffisante.