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La reproduction humaine est un ensemble des processus par lesquels un homme et une femme
engendre un nouvel individu. La reproduction dans l’espèce humaine est sexuée, c’est-à-dire qu’elle
repose sur la formation d’une cellule œuf résultant de la fécondation c’est-à-dire la fusion d’une
cellule reproductrice femelle, Ovule avec une cellule reproductrice mâle, le spermatozoïde.
Ces dernières années les aphrodisiaques ou médicaments améliorant l’érection chez l’homme sont
devenue populaire suite à l’augmentation de la prévalence des problèmes sexuels dans le monde.
Malheureusement, les aphrodisiaques disponibles sont détournés vers l’utilisation récréative. La
consommation de ces médicaments ne semble pas être formellement accompagnée d’un spécialiste.
Ils sont souvent obtenus sans prescription médicale ou sans ordonnance, ils sont en vente sur le
marché, les grandes artères et carrefours et aussi sur les réseaux sociaux.
De tout temps, l’homme n’a cessé de rechercher un remède pouvant améliorer la fonction sexuelle
et traiter les troubles sexuels. Cette obsession parcourt les âges et les civilisations. Que ce soit une
civilisation orientale ou occidentale, religieuse ou athée, la quête de l’homme pour une meilleurs
« virilité » a été objectif historique.
II. Développement
II.1. Définition et classification des aphrodisiaques.
Le terme aphrodisiaque est défini comme tout aliment ou drogue, dérivant des plantes, d’animaux
ou de minéraux qui éveille l’instinct sexuel, induit un désir vénérien et augmente le plaisir et les
performances. Un aphrodisiaque est donc classifiable en trois types selon son mode d’action.
Sur la libido
Sur la puissance
Sur le plaisir sexuel
Du fait de leur grande diversité chimique, il n’existe pas de classification universelle, cependant une
classification fonctionnelle permet de distinguer.
Les troubles sexuelles féminines ou dysfonction sexuelles féminines (DSF) touchent environ 40% des
femmes et regroupent différents troubles
Les dysfonctions sexuelles masculines correspondent à l’incapacité répétée d’avoir des relations
sexuelles normales. Ces troubles sexuelles sont en augmentation dans le monde entier notamment à
cause du vieillissement de la population.
Les dysfonctions sexuelles masculines telles que décrites dans le DSM-IV comprennent :
«Déficiences persistante ou répété d’idée imaginatives d’ordre sexuel et de désir d’activité sexuelle »
- Hyperactivité
- Hypoactivité
- Aversion sexuelle
Les troubles d’érection
- Dysfonction érectile « incapacité persistante et répète à atteindre ou à maintenir jusqu’à
l’accomplissement de l’acte sexuel une érection adéquate avec souffrance marqué ou
difficulté interpersonnelles »
Erection prolongé (priapisme)
Déformation de la verge en érection (congénitale)
Les troubles de l’éjaculation
Ejaculation prématurée « trouble persistante et répété lors de l’éjaculation. Stimulation
sexuelles minimes avant, pendant, ou juste après la pénétration et surtout avant que le sujet
en souhaite éjaculer. Cette estimation doit tenir compte de la durée de la phase d’excitation
et de l’âge.
- Ejaculation
- Absence d’éjaculation
- Ejaculation rétrograde.
Les troubles orgasmiques
« absence ou retard persistant ou répété de l’orgasme après une phase d’excitation sexuelle normale
lors d’une activité sexuelle qu’un professionnel de sante juge adéquate en intensité en durée et
quant à son orientation compte tenu de l’âge du sujet »
- Anorgasmie
- Orgasme retardé
- Orgasme diminué
Conclusion
En conclusion nous pouvons dire que l’utilisation excessive des aphrodisiaques sans avis d’un
spécialiste aura des conséquences graves à court et à long terme sur la santé humaine.
Au terme de ce travail, nous avons appris que malgré leurs effets secondaires, les aphrodisiaques
sont les premiers recours des personnes pour la résolution de leurs problèmes sexuels.
Etant donné qu’il soit nécessaire de satisfaire ses besoins sexuellement et que dans la plus part des
cas ces aphrodisiaques sont nocifs pour la santé, nous proposons les recommandations ci-dessous :
Introduction
II. Développement
chez l’homme.
Conclusion