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Examen Audit session rattrapage juin 2016

Q1 l’Audit est

A. Une branche de comptabilité


B. Une obligation légale
C. Une démarche de vérification v
D. Une démarche de contrôle stratégique
E. Aucune réponse
Q2. L’audit se pratique en se référant à des :
A. Norme v
B. Standards v
C. Procédures v
D. Principes v
E. Aucune réponse
Q3. Un audit est forcément un
A. Commissaire aux comptes
B. Certificateurs des comptes
C. Expert-comptable
D. Auditeur légale
E. Aucune réponse v
Q4. L’approche par les risques pour objectif de :
A. Eviter les Zones des risques
B. Guider le travail de l’auditeur v
C. Déterminer les éléments qui peuvent faire l’objectif d’un examen approfondi v
D. Réaliser un diagnostic financier
E. Aucune réponse
Q5. Lors de la phase de connaissance générale de l’entreprise, l’auditeur se préoccupe de l’examen :
A. Des comptes
B. Du contrôle interne
C. De la réglementation liée au secteur d’activité de l’entreprise v
D. De toute information susceptible d’orienter sa mission de vérification v
E. Aucune réponse
Q6. Au cours de l première phase d’une mission d’audit, l’auditeur s’intéresse :
A. Au risque lié au secteur d’activité de l’entreprise v
B. Risque de non détection
C. Au risque lié à la nature de cycle d’exploitation v
D. A l’analyse de vraisemblance
E. Aucune réponse
Q7. La troisième phase d’une démarche de l’audit est appelée
A. La revue analytique v
B. L’examen des comptes v
C. L’examen analytique v
D. L’examen limité
E. Aucune réponse
Q8. Lors de la phase d’évaluation du contrôle interne, l’auditeur se préoccupe d’analyse :
A. Le risque lié à la réparation des tâches v
B. Le risque lié à détection
C. Le risque de liquidité
D. Les risques liés aux procédures v
E. Aucune réponse
Q9. Le contrôle interne s’inscrit dans la cadre d’une :
A. Politique globale d’audit interne
B. Démarché de prévention des risques
C. Démarché de maîtrise des risques v
D. Mission de commissaire aux comptes
E. Aucune réponse

Q10. Dans le cadre de l’audit financier, on peut s’intéresser à la vérification de la réalisation :

A. Des immobilisations financières v


B. Des immobilisations corporelles v
C. De l’actif circulant v
D. Du passif circulant v
E. Aucune réponse
Q11. Les quelles des éléments ci dissous ne peuvent pas fait l’objet d’une circularsisation :
A. Créance clients v
B. Crédits fournisseurs v
C. Provisions pour risque et charge
D. Provisions pour dépréciations
E. Amortissement d’exploitation
Q12. Une mission d’audit peut se réaliser :
A. Sans tout contrôler v
B. Sans tout vérifier v
C. Sans planification
D. Sans respecter les normes d’audit
E. Aucune réponse

Q13. La désignation d’un commissaire aux comptes pour intérêt de :

A. Protéger les intérêts des actionnaires et des investisseurs v


B. Garantir une information objective aux parties prenantes v
C. Accompagner et assister les dirigeants aux élaborer des comptes sincères et réguliers
D. Réaliser un audit social
E. Aucune réponse
Q14. Lors de la mission d’audit financier, un auditeur a pour objectif principal de :
A. Elaborer des comptes réguliers et sincères
B. S’assurer la régularité et la sincérité des états de synthèses v
C. Améliorer la gestion
D. Détecter les fraudes
E. Détecter les erreurs
Q15. Afin de vérifier des informations financières, l’auditeur peut être amené à comparer entre la volume de la production :
A. Le chiffre d’affaire en volume v
B. Les achats de MP en volume v
C. Les stocks des PF en volume v
D. La capacité de production v
E. Aucune réponse
Q16. Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur peut éventuellement faire appel :
A. A une circularisation auprès des clients et fournisseurs v
B. A une circularisation auprès les organismes sociaux v
C. A une circularisation auprès des banques v
D. Aux apports d’audit antérieurs v
E. Aucune réponse
Q17. Le montant des provisions constaté peut susciter une attention particulière de la part de l’auditeur parce qu’il peut s’agir d’un risque de :
A. Surestimation des charges d’exploitation v
B. Sous-estimation des charges d’exploitation v
C. Surestimation du résultat d’exploitation v
D. Sous-estimation du résultat d’exploitation v
E. Aucune réponse
Q18. L’audit marketing peut porter sur la comparaison du chiffra d’affaire avec :

A. Le budget de publicité v
B. La forme juridique de l’entreprise
C. Le marketing mix v
D. La rémunération des forces des ventes v
E. Aucune réponse
Q19. Dans le cadre de l’audit social ; on peut s’intéresser :
A. Au budget de la formation v
B. Au programme de la formation v
C. A L’efficacité de la formation
D. A l’équipe de la formation
E. Aucune réponse
Partie II

Mery S.A est une entreprise agroalimentaire, elle réalise l’essentiel de son chiffre d’affaire au niveau régional.

Le secteur d’activité se caractérise par une fort concurrence est une baisse continue des marges suite à la pénurie à des MP ,

De ce fait l’entreprise n’arrive pas à honorer ses engagements vis-à-vis de ses clients.

Dans le tableau ci-dessous. On note élément liés à la situation financière de l’entreprise MERYSA (en milliers) :

Eléments 2015 2014


Actif immobilisé 300 000 229 000
Créances clients 21 000 28 000
Trésorerie actif 165 285
Capital social 80 000 80 000
Réserve 4 000 4 000
Dettes de financement 207 000 107 000
Dettes fournisseurs 16 753 16 386
Trésorerie passif 110 333

Résultat net 20 090 21 000


C.A 265 000 277 002
Q20. La lumière des informations ci-dessous, en tent qu’auditeur, vous pouvez mettre en évidence, pour l’exercice 2015,

Les risques de

A. Trésorerie v
B. Sous activité v
C. Suractivité
D. Dépendance vis-à-vis des clients v
E. Dépendance vis-à-vis des fournisseurs v

Q21. Sur la base des informations financières de l’entreprise MERY S.A vous pouvons considérer que

A. L’évolution des emprunts et celle des immobilisations sont cohérentes v


B. L’évolution du résultat net et celle du CA sont proportionnelles v
C. La stagnation de niveau de réserves n’est pas normale
D. La stagnation du niveau du niveau du capital n’est pas normale
E. Aucune réponse

Q22. L’auditeur a soulevé, lors d’un entretien avec le DG que la position de l’entreprise MERY A.S sur le marché continue à

Sa dégradation au cours de 2015 cette situation peut

A. Compromettre le principe de la continuité d’exploitation v


B. Compromettre le principe de la propriété
C. Compromettre le principe la réalité
D. Entraîne une baisse du CA et de part de marché en 2016 v
E. Aucune réponse

Q23. Au cours de l’exercice 2015, les dirigeants ont arrêté les comptes annuelles de l’exercice après avoir procéder à une évaluation correctes des immobilisations
ainsi qu’une évaluation forfaitaire des créances clients dans cette situation, il s’agit :

A. Du respect du principe de la réalité


B. Du respect du principe d’évaluation correcte
C. Du respect du principe de la prudence
D. D’une erreur v
E. D’une fraude

Q24. Lors de la rédaction de son rapport mission de son de fin de l’auditeur peut éventuellement formuler pour l’entreprise
MERY S.A les recommandations suivantes

A. L’augmentation du capital de production


B. La recherche des nouveaux fournisseurs l’international v
C. La recherche des nouveaux clients l’international
D. Faire appel à la bourse pour bénéficier d’un financement supplémentaire
E. Aucune réponse

Q25. Le CAC se l’entreprise MERY S.A peut éventuellement refuser de certifier les comptes de 2015 dans

A. Les cas où on lui refusé l’accés à toutes les informations dont il aura besoin pour accomplir sa mission v
B. Le cas où les principes comptable ne sont pas respectés v
C. Lorsque les comptes sincères et régulier
D. Lorsque l’entreprise n’en déclare pas la totalité des produits et charges v
E. Aucune réponse

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