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➔ Formation d’agglutinats
Dans les techniques immunologiques ; pour quantifier il faut faire des dilutions (tjrs) => la dilution est la base da la quantification
Si on obtient une image d’agglutination = il s’agit d’une A la suite des dilutions, on n’a plus assez d’anticorps ; les
réaction positive ; l’Ag existe chez cette bactérie bactéries restent en suspension → milieu trouble ;⇒ Plus on
effectue des dilutions plus la turbidité du milieu augmente
o Groupages sanguins (Anti-D pour savoir le rhésus)
Titre = 1/La plus grande dilution entrainant une réaction
positive ; ordre de grandeur pour comparer les prélèvements
- Recherche d’Anticorps
o Epreuve à l’antigène tamponné EAT ou épreuve au rose bengale, Bengtest… =
recherche d’anticorps anti-Brucella (Test réalisé à l’école lors de la recherche de
brucellose par exemple)
o Recherche d’Ac anti-mycoplasmes aviaires (IRVT centre de référence de
détection de mycoplasmes par la sérologie en Tunisie)
o Recherche d’Ac anti-Salmonella aviaires, …
➔ Solution tamponnée de
brucella inactivée colorée en rose
II. Agglutination indirecte ou passive : utilisation d’intermédiaires ; soit des billes de latex sur lesquels on fait adsorber les
Anticorps ou les Antigènes (labo qui fabrique les kits de réactifs,..), soit des GR
Bovins 1 :
• Pour un sérum d’un animal accompagné d’antigène (bactéries
inactivées) et du complément ; lors de présence d’anticorps anti-
Brucella ; le complément se trouve face à ces bactéries et leurs
Ces virus possèdent des protéines qui leur donne la propriété anticorps spécifiques → activation de la voie classique du
d’hémagglutination : complément ⇒ Lyse de la bactérie
- Hémagglutinine (chez virus influenza aviaire on peut la retrouver • Dans un deuxième temps (après incubation) on ajoute des couples
indépendante) hémolytiques (des Ac fixés a des Gr) ; le complément ayant été
- Neuraminidase consommé précédemment → Absence d’hémolyse, anticorps + ⇒
Pour la maladie de Newcastle c’est la même protéine qui joue le rôle de Animal infecté
neuraminidase et d’hémagglutinine
Bovins 2 : un témoin sérum
Etapes pré-analytiques • En absence d’Ac anti-Brucella ; le complément ne se sera pas activé
1. Inoculation • Suite a l’ajout du couple hémolytique ; le complément étant intact il
On recourt à des Œufs embryonnées contenant un va avoir lyse des GR → Hémolyse, anticorps - ⇒ Animal indemne
embryon vivant âgés de 9 à 11 j pour multiplier le
virus (parce que le prélèvement d’origine ne contient
pas assez de virus et on a besoin d’une quantité
importante pour réaliser l’agglutination, la
multiplication du virus se fait dans des œufs embryonnés ou
dans des cellules [cellules de foie d’embryon de poulet, Vero])
SPF œuf embryonnée Specified Pathogen Free (ne contient
aucun pathogène spécifique aux volailles)
Endroit particulier pour l’inoculation varient selon les virus recherchés
Par exemple :
- Pour les virus influenza et
maladie de Newcastle on
va inoculer la cavité
allantoïdienne,
- Pour les herpes virus on
les inocule au niveau du
sac vitellin
2. Colmatage
3. Incubation 2 à 7 jours à 37°C
A partir de 2 jours, on observe quotidiennement la viabilité des
embryons ; on regarde ce qui se passe avec le virage des œufs ; on
va observer l’œuf sous une source lumineuse pour vérifier la
mortalité embryonnaire
(Lorsqu’on fait bouger l’œuf,
➢ Si l’embryon bouge → il est encore vivant, on le retient,
➢ Si l’embryon est devenu sombre → Il est mort, on passe au
prélèvement du liquide allantoïdien a 7 jours au maximum)
⇒ on utilise les techniques d’hémagglutination HA et de
l’inhibition de l’hémagglutination IHA sur le prélèvement
[Globules rouges de poulets GRP] (lors d’autre épreuve, on prélève
l’organe/structure où on a fait l’injection)
Matériel :
• Des plaques en polystyrènes de micro-titration ou des
plaques de dilutions (96 puits) (fond rond ou en V)
• Echantillon à tester : Liquide allantoïdien
• Globules rouges de poulet concentré a 1% lavé avec
PBS (liquide salin comme eau oxygénée)
Choix de la technique :
• Rapide
• Sensible
• Peu couteuse
• Lecture facile
Principe et protocole des test :
Protocole : dilution au ½
On étudie toujours le témoin avant les échantillons
• Témoin sérum 1 : hémolyse → témoin sérum valide
• S1 : lors d’absence d’hémolyse on a Anticorps anti-pathologie
recherchée puis il n’y a plus suffisamment d’Ac → hémolyse
• S2 : témoin sérum valide ; absence d’hémolyse puis hémolyse →
titre = 256
• S3 : témoin sérum valide , absence d’hémolyse titre = 2
• S5 : il faut un deuxième prélèvement
• S6 : titre < 2
• S7 : témoin négatif : absence d’hémolyse ; un deuxième
prélèvement pour le témoin et on refait l’expérience
La formule est applicable seulement en cas de brucellose
Principe
On va faire entrer en contact le virus avec les On met les GR utilisé dans une solution
GR, si le virus possède la propriété On va faire entrer en contact un Anticorps de PBS : pour démontrer qu’il s’agit de
hémagglutinants il y aura une réaction spécifique pour un certain virus avec un virus GR de bonne qualité ne portant aucune
d’hémagglutination = liquide rose ⇒ on hémagglutinants qu’on veut identifier ; il y a anomalie
confirme avoir un virus hémagglutinants formation de complexe immuns entre le virus et
l’Anticorps spécifique ; il s’agit d’une réaction → si on obtient une solution rose ⇒ il a eu
→ on passe alors à la réaction d’inhibition de d’inhibition d’hémagglutination = formation de hémolyse = les GR sont défectueux
l’hémagglutination pour savoir qui est ce virus bouton de globules rouges