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Didactique Selya L1it 2023
Didactique Selya L1it 2023
I. Introduction
Note de l’UE Didactique de l’Informatique, rassemblée par l’Assistant SELYA KIYENGO Philippe-Martin
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L’étudiant à la (l’) :
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c. Présence
La présence compte 5% de la note finale, permet d’évaluer la participation de
l’étudiant à l’UE.
d. Note non présentielle.
Cette note, qui compte 20% de la note finale, permet d’évaluer la capacité de l’étudiant
à:
VII. Contact
Nom de l’enseignant : SELYA KIYENGO Philippe-Martin
Grade statutaire : Assistant du premier mandat
Téléphone : +243816364843
E-mail :selyakng@gmail.com
Disponibilité :
VII. Bibliographie
- ASTOURIC, A., 2007. Réussir vos interventions de formation, les
fondamentaux de la pédagogie des adultes. Chronique sociale, Lyon (France)
160 p.
- BECKERS, J., 2002. Comment former les enseignants à l’évaluation des
compétences ? in BIPOUPOUT, J-C., BOULHAN, N., DIALLO, I.N., MANDA, K.
T-M., ROEGIERS, X. et
- BIPOUPOUT, J-C., BOULHAN, N., DIALLO, I.N., MANDA, K. T-M.,
ROEGIERS, X. et ZIDA. T.C., 2008. Former pour changer l’école. La formation
des enseignants et des autres acteurs dans le cadre de la pédagogie de
l’intégration. Editions Edicef –OIF, Vanves, 254 p.
- CABINET DU MINEPSP, Calendrier scolaire 2008-2009.
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1.0. Introduction
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l’apprenant à mieux saisir son milieu pour mieux s’en servir. C’est pour cela que la
pédagogie actuelle l’appelle « facilitateur ».
Modifier
Enseigner c’est provoquer un changement entre un état initial de l’apprenant et
son état terminal à l’issue de l’enseignement. Cette modification se caractérise par un
bénéfice en termes de connaissances nouvelles d’éveil de l’esprit et de renforcement
des aptitudes à réfléchir, à analyser, à apprécier ou à évaluer les situations
significatives.
Démarches
Enseigner c’est mener de démarches liées aux objectifs à atteindre, à
l’information, aux techniques opératoires et résultat.
Les objectifs pédagogiques : toutes les démarches didactiques menées par
l’enseignant doivent conduire vers la réalisation des objectifs assignés au cours ou
à la leçon ;
L’information : tout enseignement doit comporter obligatoirement une information
nouvelle que l’enseignant adaptera au niveau d’études et à l’âge des apprenants.
Cette information se veut utile et structurée pour éviter aux élèves l’ennuyeuse
corvée d’apprendre pour apprendre ou pour avoir des points.
Les techniques opératoires : c’est l’ensemble de stratégies et de formules
pédagogiques qu’un enseignant met en marche pour donner son information pour
que celle-ci soit comptée convenablement et sans beaucoup de peines. Ainsi
donc, l’utilisation des matériels didactiques, la mise en place des élèves, les visites
guidées, les schémas, les tableaux tracés entrent dans ce cadre.
Les aptitudes : enseigner c’est provoquer le déclenchement et la mise en route des
capacités intellectuelles, psycho-motrice de l’apprenant. C’est chaque fois lancer
des coups des ondes et de faire des incursions dans l’esprit d’élève.
L’enseignement-apprentissage
L’action didactique est essentiellement une situation d’apprentissage de l’élève
guidé et éclairé par l’enseignement du professeur. C’est pourquoi on parle du
processus enseignement-apprentissage.
En effet, au cours d’une action didactique, les élèves apprennent et l’enseignant
organise les conditions d’apprentissage de ses élèves. L’enseignant devient
facilitateur et joue même le rôle de médiateur. Nous considérons ici l’apprentissage
comme une acquisition, une modification plus ou moins durable d’un nouveau
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1. L'ENSEIGNANT ORGANISATEUR
2. L'ENSEIGNANT MEDIATEUR
3. L'ENSEIGNANT COMMUNICATEUR
1.2.3.1. L'ENSEIGNANT ORGANISATEUR
- Analyse les données à sa disposition:
connaissance de ses élèves
acquis de ses élèves (conceptions, croyances, acquisitions
d'ordre cognitif, apprentissages déjà réalisés….) · apprentissages
prévus dans la classe
- en fonction de ces données, il choisit l'objectif, donc l'obstacle à franchir par les
élèves;
- organise le dispositif en définissant :
o la tâche
o le matériel
o les groupes s'il y en a plusieurs, ou la manière de les déterminer
o la durée
o les consignes de travail précisant :
le sens et la finalité de l'activité
les conditions de réalisation (durée, matériel,
procédures, aides possibles, . . ., aides interdites,
nature et forme de la production attendue, critères
d'évaluation…..)
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Tout ce dispositif est conçu de telle manière qu'il y ait confrontation de points
de vue et de conceptions entre les enfants concernés.
action sur les prises de paroles des élèves: l'enseignant reformule, acquiesce
et encourage à prendre la parole; il canalise les propositions des élèves.
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- prennent conscience du
problème
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Elle est fondée sur l’induction ou raisonnement inductif. L’induction est une
opération mentale qui conclue de quelques cas particuliers au général, à la règle, à la
loi et à la formule. Par exemple, on peut utiliser cette méthode pour l’étude de système
de numération
La méthode déductive
Cette méthode est fondée sur la déduction. La déduction est une opération
mentale qui conclut de la règle générale, de la loi, de la formule pour arriver à des cas
particuliers à des exemples. On peut retenir le même exemple cité ci-haut pour
illustration.
Il est aussi conseillé au cours d’une leçon, de combiner les deux méthodes.
Dans ce cas on parlera de la méthode inducto-déductive.
La méthode par analogie ou méthode transductive
Elle est fondée sur la transduction. Le raisonnement transductif consiste à partir
des cas particuliers déjà connus par les élèves à d’autres cas particuliers en
établissant des ressemblances ou des analogies. Cette méthode est très nécessaire
pour l’introduction des nouvelles leçons. Elle a l’avantage de faciliter la compréhension
des nouvelles leçons ou notions et d’habituer les élèves à faire des comparaisons.
La méthode démonstrative
Il s‘agit d’une méthode plus utilisée en mathématique et particulièrement en
géométrie pour prouver les théorèmes. On peut l’utiliser en informatique au cours des
leçons d’algorithme pour prouver la véracité des instructions à utiliser.
La méthode analytique
Cette méthode se fonde sur l’analyse. L’analyse consiste à décomposer un tout
en ses différentes parties et à étudier chaque partie en détail. Par exemple, on peut
étudier les éléments d’un ordinateur.
La méthode synthétique
Elle consiste à constituer un tout à partir de ses composantes. On peut retenir
le même exemple cité ci-haut en commençant par l’étude des éléments pour constituer
la formule.
Au cours d’une même leçon, ces deux méthodes se complètent et forment une
méthode analytico - synthétique.
On parle aussi de la méthode intuitive
En fait, elle complète les autres méthodes étudiées. L’intuition c’est l’acte le plus
spontané de l’intelligence humaine. Celui par lequel l’esprit saisit une réalité sans
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effort, sans intermédiaire, sans hésitation. C’est une perception immédiate qui se fait
d’un seul coup d’œil en quelque sorte. S’agit-il d’une réalité matérielle ? Les sens la
perçoivent aussi tôt : c’est le cas le plus simple, le plus familial, le plus facile à
remarquer. S’agit-il d’une idée, d’une vérité, d’une réalité qui ne tombe pas sous les
sens ? Nous disons encore que nous les saisissons pour l’intuition, lorsqu’il suffit à
notre esprit qu’elles se présentent à lui pour qu’il les affirme et les comprenne sans le
secours du raisonnement et de la discussion.
La méthode intuitive est celle qui en tout enseignement, fait appel à cette force,
à ce coup d’œil de l’esprit, à cet élan spontané d’intelligence vers la vérité. Elle consiste
non dans l’application de tel ou tel autre procédé mais dans l’intention, dans l’habitude
générale de faire agir, de laisser agir l’esprit de l’enfant. Faire en sorte que l’élève ne
subisse pas l’instruction mais qu’il y prenne une part active. Au lieu d’avoir à le faire
avancer malgré lui en le traînant par la main, vous le verrez marcher joyeusement avec
vous.
NB : Aucune méthode n’est absolument meilleure par rapport aux autres.
A part les méthodes d’enseignement, il existe les formes, les procédés et même les
modes d’enseignement qu’il convient de mettre en pratique dans l’enseignement
commercial.
a) Les formes d’enseignement
Par forme d’enseignement, on entend l’aspect que prend une leçon ou un
enseignement selon la part d’activité prise par l’enseignant ou l’élève dans
l’élaboration de la matière. Il existe plusieurs formes d’enseignement :
La forme expositive
L’enseignant est beaucoup plus actif que les élèves qui ne font que noter. Cette
forme est appelée encore dogmatique, magistral ou ex-cathedra. Elle n’est pas
appropriée pour l’enseignement de l’informatique. Cependant elle convient pour
certaines leçons (théoriques) si on la combine avec la forme interrogative.
La forme interrogative ou maïeutique ou encore socratique
Cette forme se présente comme une sorte de dialogue, l’enseignant, tout
comme les élèves sont actifs. La combinaison de ces deux formes donne la forme
expo-interrogative.
n’est plus qu’un conseiller. Les élèves peuvent travailler individuellement ou par
équipe. Il évitera que les élèves travaillent seuls pendant que lui s’occupe des lectures,
des corrections des devoirs, de communication téléphonique… Bref, la distraction.
b) Procédés d’enseignement
Sont des moyens pratiques, les moyens particuliers que l’on peut utiliser à
l’intérieur d’une méthode soit pour faciliter une meilleure compréhension de la matière,
soit pour contrôler l’acquisition de la matière, soit encore pour permettre aux élèves de
conserver la matière acquise ou les amener à appliquer une connaissance déjà
acquise. Il en existe plusieurs sortes comme déjà étudié dans le cours de didactique
générale
Le procédé d’acquisition ou d’exposition
Sont utilisés pour permettre l’acquisition ou l’exposition de matières.
L’enseignant l’utilise en faisant recours à l’intuition en utilisant le matériel didactique, à
la description, à la comparaison, à la narration ou analogie, à la manipulation, … Tout
ceci facilite l’acquisition des matières par les élèves.
Le procédé de conservation
Ce sont les moyens que l’enseignant utilise pour que l’élève puisse conserver
le plus longtemps possible ce qu’il a acquis. Les répétitions, les révisions,
récapitulation, les interrogations écrites et orales, la mémorisation caractérisent ce
procédé.
Le procédé d’application
Il s’agit d’exercer l’élève à concrétiser l’enseignement, à transférer les acquis.
C’est le cas de transposition, reproduction, invention, imitation, devoirs …
Le procédé de contrôle
C’est pour vérifier si les élèves ont acquis quelque chose de ce qu’ils ont appris.
C’est la raison des interrogations de contrôle ou évaluation, examen, ainsi que les
devoirs scolaires.
c) Les modes d’enseignement
Par mode d’enseignement, on entend la manière dont l’enseignant distribue les
connaissances aux élèves selon leur groupement.
On distingue :
Le mode simultané ou collectif
Ici, l’enseignant s’adresse à tous les élèves au même moment.
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Le mode individuel
Il s’agit ici de s’adresser à un élève en particulier qui éprouve des difficultés.
Ce mode n’est pas à confondre avec l’enseignement individualisé dont le souci
est d’adapter l’enseignement aux capacités de chaque élève. C’est un nouveau
système d’enseignement qui est très couteux. L’inconvénient de ce mode est la perte
du temps et l’ennui que cet enseignement cause aux autres élèves avertis déjà sur les
notions qu’explique l’enseignant.
Le mode mutuel
Ici, l’enseignant demande à un élève qui a bien compris d’expliquer la matière
aux autres sous sa surveillance.
NB : Au cours d’une leçon, l’enseignant peut faire recourt à tous ces modes sans pour
autant oublier le respect du temps lui imparti.
1.2. LES MOYENS INTUITIFS
En nous référent à LEIBNIZ « rien n’est dans l’esprit qu’il ne soit passé par le
sens ». L’enseignement informatique demande donc l’utilisation des matériels
didactiques et d’éviter des imaginations lorsque la possibilité du concret ou de semi-
concret est donnée.
1.3. DOCUMENTS PEDAGOGIQUES
L’action didactique exige la possession et la tenue correcte d’un certain nombre
de documents. Les documents pédagogiques doivent être tenus régulièrement et mis
à jour et seront présentés aux inspecteurs ou toute autre autorité scolaire à sa
demande.
Dans l’ordre de succession, nous citons :
Le programme scolaire ;
Le calendrier scolaire ;
Le journal de classe ;
La prévision des matières ;
Les fiches de préparation ;
Les manuels scolaires recommandés ;
Le cahier de questionnaires ;
Le cahier des côtes ou des points ;
Les cahiers des notes et journaux de classe des élèves ;
Pour les stagiaires, le cahier de stage appelé cahier de bord.
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a. Le programme scolaire
Les programmes et les manuels sont intimement interdépendants et pourtant
bien distincts. Les programmes sont décidés par le Ministre de l’enseignement
primaire, secondaire et professionnel et soumis à la main mise de l’autorité politique
du pays.
Les auteurs et éditeurs de manuels vont aider les enseignants à les mettre en
œuvre : ils leur confèrent un sens et un contenu scientifique, les éclairent d’un point
de vue didactique et les organisent en séquences de cours. Ainsi, ils donnent la
chaire au squelette du programme.
*Consultés :
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jour, la date, l’heure, la branche ou discipline, sujet de révision, sujet du jour, n˚ fiche,
éventuellement la tâche à imposer aux élèves et observation.
Modèle
Jour & Heure Classe Branche Sujet de Sujet Tâche N˚ Obs
date ou révision de la imposée fiche
Discipline leçon
e. La fiche préparation
Dans chaque branche, il existe des leçons types qu’il convient de préparer en
détail pour faciliter les autres leçons semblables ultérieurement. Chaque école a son
modèle de fiche de préparation mais les éléments importants doivent se retrouver dans
tous les modèles.
La fiche de préparation comprend d’abord l’en-tête qui donne les
renseignements suivants : école ; classe ; branche ou discipline ; sujet de révision ;
sujet de la leçon ; référence bibliographiques ; objectif opérationnel ; date et heure,
numéro de la fiche et nom du titulaire ou enseignant.
La fiche sera ensuite divisée à 3 ou 4 colonnes. Les deux colonnes principales
sont : méthodes et procédés, matière à enseigner, on peut alors éventuellement
ajouter la colonne de Timing et l’Observation.
Une fiche de préparation constitue un document indispensable pour tout
enseignant. Elle est en effet un document qui trace la marche générale à suivre pour
une leçon donnée, la procédure que devra adopter l’enseignant afin d’atteindre les
objectifs fixés. Il est parfois recommandé à l’enseignant d’indiquer la stratégie
d’enseignement qu’il doit adopter à l’intérieur de la fiche (méthodes, formes, procédés
et modes d’enseignement).
L’étude détaillée de la fiche de préparation sera abordée au deuxième point de
ce chapitre.
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La dictée du résumé n’est autorisée que dans les classes terminales (5eme et
6eme) car on estime qu’à ce niveau les élèves peuvent bien écrire. Cependant,
L’enseignant notera au tableau les mots qui présentent des difficultés orthographiques
ou ceux qui ne sont pas familiers.
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3.1. Historique
La Pédagogie par objectifs trouve son origine aux Etats – Unis dans un
contexte socioéconomique de rationalisation des processus de production industrielle
(Taylor) notamment dans l’industrie automobile. Cette méthode de travail consiste à
spécialiser une tâche à l'extrême. La mise en œuvre consiste à faire des actions
répétitives simples dans un processus de production. Ce système est bien mis en
évidence dans les procédés de travail à la chaîne (production automobile Ford, 1920).
L’idée prônée par Ralph Tyler (1935), initiateur de la pédagogie par Objectifs,
est de proposer une organisation scientifique et rationnelle de l’éducation. Celle-ci doit
adapter l’homme aux besoins et valeurs de la société et les traduire en objectifs. Il faut
sortir des généralités grandiloquentes et infécondes en matière d’action éducative. Il
faut une formulation claire des objectifs pour pouvoir les évaluer et donc pour contrôler
l’enseignement. Les objectifs doivent être définis en termes de comportements
attendus, en termes de réactions externes à la conscience. Les formulations renvoient
à des activités vues du point de vue de l’élève et non du point de vue du projet de
l’enseignant. La formation est d’autant plus efficace si l’on nomme le résultat attendu,
si l’on dit ce que l’on attend exactement que l’apprenant fasse à l’issue de la formation,
dans des termes précis et sous forme de comportement observable.
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Exemple : « Je veux que les jeunes comprennent l’importance de l’argent dans la vie
quotidienne », cette phrase prononcée par un formateur de jeunes adultes exprime
une intention pédagogique. « Le jeune doit être capable d’établir un budget
prévisionnel équilibré à partir des informations suivantes… » est un objectif.
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Le but :
L’objectif général :
Exemples :
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Il est énoncé à l’aide d’un verbe d’action (différencier, nommer, expliquer, calculer,
sauter, grimper…) et il est observable, mesurable et univoque.
Exemples :
b) Le seuil de réussite : l’élève sera capable de réussir 8 lancers de pénalité sur 10.
L’objectif intermédiaire :
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Les richesses
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Les limites
- Une entrée étroite par les objectifs peut isoler le comportement du contexte
social dans lequel il est produit
- Un trop grand découpage des contenus est réducteur et contribue à une perte
de sens
3.4. Lexique des principaux termes utilisés dans la PPO (d’après …. Le Harmattan
1994 et sources diverses)
1. Finalité
Une finalité est une affirmation de principe à travers laquelle une société (ou
un groupe social) identifie et véhicule ses valeurs. Elle fournit des lignes directrices à
un système éducatif.
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3. Référentiel
Une compétence est l’aptitude à réaliser une action dans des conditions
observables, selon des exigences définies.
5. Capacités
6. Capacité transversale
7. Taxonomie
C’est une classification qui instaure un ordre entre les éléments, elle se veut
exhaustive, les classes sont mutuellement exclusives. Par exemple, la taxonomie de
Bloom définit 6 grandes catégories d’objectifs organisées du plus simple au plus
complexe : Connaître (mémoriser), Comprendre (reformuler, reconnaître), Appliquer
(pouvoir utiliser), Analyser (décomposer en parties, comprendre les relations),
Synthétiser (organiser un ensemble cohérent), Evaluer (fonder un jugement en
fonction de critères).
8. Savoirs
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10. Pré-requis
Si l'on ne sait pas où l'on va, il y a risque de se retrouver ailleurs. Et, plus les
objectifs sont formulés de façon vague au départ, plus ils donnent lieu I des
interprétations multiples, voir des déviations.
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d'atteindre ces objectifs était le principal. Ainsi, il fallait axer le processus pédagogique
sur la conception de tâches permettant de conduire l'élève, lentement mais surement,
vers la réalisation des objectifs correspondant à son programme d'étude.
Dans sa taxonomie, Bloom a classifié les objectifs pédagogiques sous le domaine
cognitif en six niveaux dont chaque niveau supérieur englobant les niveaux
précédents. Les éléments de ladite taxonomie se présentent comme suit :
1. Connaissance : arranger, définir, dupliquer, étiqueter, lister, mémoriser...
2. Compréhension : classifier, décrire, discuter, expliquer, exprimer...
3. Application : appliquer, choisir, démontrer, employer, illustrer, écrire...
4. Analyse : analyser, estimer, calculer, catégoriser, comparer, contraster...
5. Synthèse : arranger, assembler, collecter, composer, construire, créer...
6. Évaluation : arranger, argumenter, évaluer, rattacher, choisir, comparer...
Cette taxonomie est proposée comme une aide aux enseignants dans la
formulation de leurs objectifs d'enseignement et pour des questions qui permettent de
situer le niveau de compréhension des élèves. Par exemple, une question peut servir
à déterminer qu'un élève est compétent dans la connaissance des faits, la
compréhension, l'application, l'analyse, la synthèse et l'évaluation. En structurant les
questions, les enseignants sont à même de mieux connaître les faiblesses et les forces
des élèves, ce qui permet de favoriser la progression de l'apprentissage vers des
niveaux supérieurs.
Les objectifs auxquels peuvent être associés des activités d'apprentissage sont
divisés en trois types suivant les domaines cognitifs, affectifs ou socio- affectifs et
psychomoteurs ou gestuels.
Dans son travail, Camille SESEP N'SIAL (2007) qualifie les objectifs cognitifs
comme étant ce qui visent l'acquisition du savoir en termes de connaissances
théoriques de notions, de concepts, d'idées, de principes, d'opération etc.
Les objectifs cognitifs sont des objectifs qui portent sur les connaissances dans
un domaine ou contenu disciplinaire. Un objectif cognitif peut être défini d'autre part
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comme étant une acquisition d'un savoir (connaissance). Par exemple : l'élève sera
capable de citer les différentes sortes d'un climat.
Dans la présente étude, nous retenons les trois types d'objectifs selon
l'approche par objectifs en termes de savoir, savoir-être et savoir-faire. Le premier
correspond aux connaissances de l'élève ; le second correspond à ses compétences
pratiques, à la maitrise par l'expérience de l'exercice d'une activité ; et le troisième
correspond à sa capacité de produire les actions et des réactions adaptées dans sa
société et son environnement.
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Prof :…………………..
Objectif Opérationnel :
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………..
I. INTRODUCTION
1. REVISION :
2. MOTIVATION :
3. ANNONCE DU
SUJET :
4. ANNONCE DE
L’OBJ.OP :
II. DEVELOPPEMENT
III. SYNTHESE
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V. AUTO CRITIQUE
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A l’issue de cette leçon qui porte sur l’établissement du bilan, ¾ de mes élèves
seront capables de dresser correctement le bilan initial en se référant aux notes du
cours endéans 10 minutes.
B. LE CORPS
1. Introduction
L’introduction d’une leçon constitue un moment où l’enseignant prépare les
élèves à acquérir la nouvelle leçon d’une manière aisée. Cette introduction comprend
le rappel ou la révision, la motivation ou la transition, l’annonce du sujet suivi de
l’inscription au journal.
La révision ou le rappel
Dans cette partie, l’enseignant fait le rappel de notions étudiées précédemment
sur base des questions sélectionnées, pertinentes qu’il adresse aux élèves pour
rafraichir leur mémoire.
L’enseignant doit éviter des questions suscitant des réponses collectives
avec comme conséquence le dérangement en classe. L’enseignant doit désigner
l’élève qui devra répondre à chaque question. La révision doit toujours avoir un lieu
avec la leçon du jour.
La motivation ou transition
Il s’agit du moment où l’enseignant cherche à formuler le sujet du jour en faisant
participer activement les élèves. Il est souhaitable que les élèves découvrent eux-
mêmes le sujet du jour à partir des questions bien organisées posées par l’enseignant.
Cette motivation se fait en exploitant soit la matière précédente, soit le prérequis des
élèves, soit le vécu quotidien des élèves.
L’annonce du sujet
Sera faite par l’enseignant de manière claire et précise. (Par exemple : à cette
heure, nous allons étudier le 4eme principe de la comptabilité). Il notera le sujet au
tableau et ordonnera aux élèves de le mentionner dans les journaux de classe. Puis il
va annoncer l’objectif de la leçon de manière claire en attirant l’attention des élèves.
2. Le développement (leçon proprement dite).
Le développement de la leçon qui est la partie de la leçon proprement dite,
consiste au moment où l’enseignant étale sa matière en veillant à l’application des
méthodes et des stratégies de l’enseignement de façon à stimuler un climat d’échange.
Il veillera au maintien de la discipline. C’est la partie dite analyse de la leçon où
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l’enseignant devra respecter une marche à suivre selon qu’il s’agit d’une leçon
théorique ou d’une leçon pratique qui porte sur les exercices à résoudre.
Dans cette phase, la personnalité de l’enseignant, sa motivation, sa formation
intégrale, sa maîtrise de la matière, son autorité… sont des éléments essentiels pour
réussir sa leçon.
Pour ce faire, les conseils pratiques peuvent être formulés à son égard de la
manière suivante :
Eviter des tournures françaises ou anglaises inutiles, exposer la matière d’une
manière claire et simple ;
Elaborer si possible le résumé au fur et à mesure en faisant participer les élèves
en appliquant la forme expo - interrogative ou la forme interrogative et pratique
pour des leçons d’exercice ; (ex. journalisation, calcul de l’escompte…)
Orienter la question à toute la classe et ne pas s’intéresser seulement à un seul
élève ou à une seule catégorie d’élèves ;
Créer un climat de détente dans la salle de classe ;
Laisser les élèves exprimer leurs idées clairement en posant telle ou telle autre
question ;
Les idées des élèves doivent faire l’objet d’une exploitation minutieuse avec
l’approche participative ;
Interdire les réponses collectives ;
Accorder une considération équitable à tous les élèves de la classe, éviter donc
la partialité c.à.d. bien gérer ses sentiments ;
Soigner l’écriture et écrire correctement au tableau de manière lisible pour éviter
le dérangement ;
Maintenir l’ordre au tableau c.à.d. le subdiviser en au moins 3 parties et écrire
de gauche à droite selon la disposition des élèves. Le titre de la leçon doit se
trouver au milieu, n’effacer qu’avec le frottoir, éviter de déplacer les élèves pour
essuyer les écrits ;
Ne pas tourner le dos aux élèves lorsqu’on transcrit au tableau afin de les
contrôler, (il faut prendre la position dite pédagogique) ;
Ne pas effacer le titre de la leçon du jour, la date et l’intitulé du cours du début
jusqu’à la fin de la leçon ;
Ne rester jamais attaché au tableau, il faut parfois circuler dans la salle ;
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NB : Pour la critique des leçons des stagiaires, il existe une fiche d’évaluation ou
d’appréciation des leçons qui doit être portée à la connaissance des stagiaires. La
critique avec le stagiaire se fait dans 48h et l’étudiant devra éviter de polémiquer avec
ses inspecteurs. Il recevra avec politesse les remarques formulées et les notera dans
son cahier de critiques.
Raison par laquelle, il est exigeant dans cette étude, d'aligner ces limites, afin
d'aborder une nouvelle notion que nous voulons proposer aux enseignants de la
Commune de Makala en particulier et ceux de la ville de Kinshasa en général. A cet
effet, plusieurs limites ont été identifiées, parmi lesquels nous alignons ce que Diem
QUYEM NGUYENI & Jean-Guy BLAIS (2007), et Blandine BUFFAULT & al (2011)
découvrent dans leurs études :
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A travers ces différents défauts, les chercheurs en Sciences de l'Education ont mis
en exergue de nouvelles pistes de réflexions et d'action pour sortir de ces impasses :
l'approche par compétences revient en force et devient de plus en plus courante dans
la littérature en éducation (enseignement).
3.6. Evaluation
L’enseignant doit appliquer les différentes sortes d’évaluation : prédictive,
sommative et formative.
Évaluation prédictive
Elle se fait avant de commencer l’action didactique, avant d’amorcer un
programme. Elle permet de répondre à la question de savoir si l’élève sera capable de
comprendre et d’assimiler ce qui est prévu dans le programme ou dans une leçon.
Évaluation formative
Elle se réalise pendant le processus enseignement- apprentissage.
L’enseignant doit s’assurer que les élèves le suivent, qu’ils n’ont pas des difficultés
pouvant les empêcher de comprendre la suite. Ici, l’enseignant ne cote pas et doit
éviter de coter lorsqu’il constate que les élèves échouent.
Évaluation sommative
Elle se fait à la fin du processus enseignement-apprentissage. Il s’agit d’établir
un bilan. Cette évaluation se traduit par un Score ou une cote. Elle permet à la fin de
compte, de se prononcer sur la valeur de l’apprentissage. L’évaluation constitue une
étape par laquelle l’enseignant juge son action pédagogique c.à.d. l’atteinte des
objectifs.
Pour être objectif, l’évaluation doit porter sur la matière effectivement enseignée
et même bien assimilée par les élèves. En outre, elle doit être réalisée dans des
conditions normales à l’abri de toute ambigüité. Les questions de l’enseignant devront
être claires, concises et précises et doivent être univoques c.à.d. portées sur une
seule tâche à accomplir par l’élève. Il faut survoler toutes les parties de la matière sur
laquelle porte l’évaluation. Déterminer l’échéance dès le départ et la pondération et
autres consignes nécessaires.
Il existe une discipline appelée la docimologie (étude des moyens de contrôle
des connaissances en éducation) qui offre les techniques ou principes relatifs à la
composition d’un questionnaire.
Comportement de l’évaluateur pendant l’évaluation
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La délibération
Elle constitue le moment auquel l’enseignant fait l’appréciation de résultat
individuel ou collectif dans le but de pouvoir sauver certaines situations.
A cet effet, il devra fixer des critères objectifs pour y parvenir. Ainsi, la
délibération peut être individuelle ou collective. Les critères que peut se fixer un
enseignant pour une délibération individuelle sont notamment : la régularité de l’élève
au cours ou ses motivations. Pour la délibération collective, celle-ci peut se faire au
regard d’un certain niveau de réussite atteint par les élèves dans l’ensemble.
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a) OBJECTIF
b.1. Situation
L’APS est une approche qui se fonde sur le principe selon lequel une personne
construit sa compétence, l’adapte et la développe en situations et en actions en
s’appuyant sur ses propres expériences et connaissances plus anciennes, comme sur
celles des autres.
b.3. Compétence
b.3.1. Définition
La compétence est un aboutissement d’un traitement achevé, réussi et
socialement acceptable des situations d’une même famille par une personne ou un
collectif de personnes. D’une manière simple, la compétence se traduit par la capacité
à effectuer certaines tâches complexes.
b.3.2. Caractéristiques
Une compétence est caractérisée par :
- le traitement complet de la situation;
- le traitement réussi ;
- le traitement et le résultat socialement acceptables ;
- son application à des traitements semblables.
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d. AVANTAGES DE L’APS
a) Objectif
S’approprier les techniques de mise en activités des élèves.
b) Tableau de spécification
Le tableau de spécification est un tableau qui décrit les différentes actions que
l’apprenant pose en utilisant les savoirs essentiels en vue de traiter une situation.
c) Analyse mathétique
L’analyse mathétique est une hiérarchisation des actions à mener dans un
ordre logique lors du traitement d’une situation.
1. Verbe d’action
Un verbe d’action est celui qui exprime une action exercée sur un savoir
essentiel.
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2. Taxonomie
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Les indicateurs sont des valeurs qui précisent les critères de correction dans
une évaluation. Ils sont spécifiques à chaque situation.
h.4 Dimensions sur lesquelles porte l’évaluation des apprentissages des élèves
Dans les nouveaux programmes éducatifs, l’évaluation des apprentissages
porte sur deux dimensions la vérification de la maitrise des savoirs essentiels et la
vérification de la compétence de l’élève.
- Exemples d’items. Quelques exemples d’items sont proposés pour permettre
à l’enseignant de vérifier dans quelle mesure l’élève maitrise les savoirs
essentiels décrits dans l’activité.
- Traitement de la situation. Des activités sont également proposées pour
vérifier
dansquellemesurel’élèvesemontrecapabledetraiterlasituationouuneautre
situation proche de celle qui a été proposée dans l’activité.
TD2 : Création d’une matrice
V4. ORGANISATION DES PROGRAMMES EDUCATIFS DU DOMAINE
D’APPRENTISSAGE DES SCIENCES
a) Objectif du thème
S’approprier les contenus des Programmes éducatifs du DAS par les participants.
b. Identification de la structure des programmes éducatifs du DAS et de leurs
guides
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Les programmes du DAS ont été élaborés suivant « l’approche par les situations ».
Cette approche permet aux élèves d’acquérir des connaissances et de développer des
compétences par le traitement des situations. L’élève est donc au centre de toute
action d’apprentissage et l’enseignant joue le rôle de facilitateur.
a) Objectif
Élaborer la fiche d’exploitation d’une matrice par sous-domaine et animer une
séquence didactique
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Ici nous allons choisir deux matrices au hasard et deux étudiants vont animer une
séquence didactique.
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BIBLIOGRAPHIE
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