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Qui Sont Ces Mai0302tres
Qui Sont Ces Mai0302tres
BOUDDHA : Siddhârta Gautama Sakyamuni, dit le Sage, fils de Tara (Maya ou Rohini), la Vierge fécondée
par un éléphant, et de Soma (Chandra ou Candra), qui naquit un 25 décembre (quatre jours après le
solstice d’hiver officiel) et qui deviendra le célèbre Illuminé de l’Orient, fondateur présumé
du Bouddhisme. Dans le Bouddhisme, il s’agit du prince qui vécut entre 583 et 463 av. J.-
C. et qui représente le fondateur du Bouddhisme. On l’appelle l’Éveillé ou l’Illuminé parce
qu’il voit la Lumière intérieure. Il fit descendre sur la Terre la Force divine par la Volonté-
Sagesse, symbolisée par l’Illumination sous le Figuier. Il vint notamment enseigner
l’innocuité et la compassion pour mettre fin aux sacrifices d’animaux. Il serait une
incarnation de Vishnou, ce qui donne un exemple typique de l’aptitude de l’Hindouisme à
intégrer des éléments religieux hétérogènes. Recteur astral, il est associé à la planète Mercure. En Inde,
on le considère comme une incarnation de Vishnou. Dans la Tradition bouddhique, Siddhârta désigne un
Rishi, père d’Anjana, appelé le Bœuf sublime. On l’associe à Jupiter, qui règne sur l’oreille droite. Ce
disciple de Sanat Kumara, serviteur de la Mère divine, atteint l’illumination du Bouddha il y a vingt siècles,
suite à une méditation de 49 jours sous le Figuier sacré. Il remplit désormais la fonction de Seigneur du
Monde (premier janvier 1956), soutenant par sa Triple Flamme, au niveau causal, l’Étincelle et la
conscience divine des êtres évoluants sur la terre et qui s’engagent sur la Voie de l’Accomplissement
christique personnel. Il a subi une spirale de vie de plus de mille incarnations pour atteindre l’expérience
et l’expertise pour accéder à ce poste prestigieux. Messager du plan de l’Esprit, il imprègne la planète de
son âme qui brûle sur l’autel de Shamballah.
Depuis l’activation des Douze Rayons planétaires, cet être rempli de compassion, d’engagement et
de zèle spirituel, occupe la fonction d’Hiérarque du Huitième Rayon, soit le Rayon des Coordinateurs
divins. Il aurait établi sa résidence éthérique dans la région des Cinq Lacs, au mont Fuji, au Japon, mais il
partagerait son temps dans un autre centre situé aux États-Unis, à la lisière septentrionale du Parc
national de Yellowstone. On peut le considérer comme le Dieu de la Terre. Ainsi, dans la spiritualité
contemporaine, il serait devenu le nouveau Logos planétaire, en remplacement de Sanat Kumara,
désormais affecté à des fonctions supérieures. En songe, il se placerait à la droite du candidat, laissant la
gauche à Sanat Kumara. Il porte un sceptre de Lumière dorée pour toucher le chakra laryngien.
Avec le temps, le mot bouddha devint un terme générique pour témoigner de l’état d’Illumination à
laquelle un être parvient lorsqu’il a passé avec succès certaines initiations précises dans la
maîtrise du Feu sacré. Il doit notamment détenir la maîtrise des Sept Rayons du Saint-
Esprit et des Cinq Rayons secrets, savoir amener Kundalini à se dresser jusqu’au sommet
de la Conscience, maîtriser les Sept Rayons dans le Sept, multipliés par le pouvoir du Dix.
DJWAL KHUL : Aussi appelé Bai Ben-Jamin, ce Maître qui compléta sa Libération transcendantale sous la
direction de Kuthumi. Il fit partie de la Société théosophique dans sa jeunesse. Appelé le Tibétain, il fit
preuve d’une grande érudition, semblant en connaître davantage sur les Sept Rayons et la
Hiérarchie spirituelle que tous ses pairs. Dans une incarnation antérieure, il avait vécu en
Lémurie et, avant son effondrement, il avait accompagné le Seigneur Himalaya, qui
transportait ses trésors au cœur de l’Asie pour le préserver. Il s’incarna à de nombreuses
reprises dans les montagnes orientales pour vivres dans les grandes lamaseries. Il apparut
également sous la forme de Kleinias, cet élève favori de Pythagore, et sous la forme du
premier disciple de Gautama Bouddha. On dit qu’il s’incarna aussi sous les traits d’Aryasanga
qui traduisit en anglais les Sutras de Patanjali de Sankarâchârya. Plus tard, il transmit une
version modifiée à Mme Alice Ailey qu’il avait commencé à inspirer en 1919. Dans sa dernière incarnation,
il œuvra avec El Morya et Kuthumi pour faire naître la Théosophie.
Djwal Khul accepta de bon gré de les servir de toutes les façons, peu importait ce qu’il y avait à
faire, d’où il reçut ce titre élogieux de Messager des Maîtres. Il travailla toujours à l’arrière-plan, évitant
autant qu’il était possible de s’attirer de la reconnaissance. Il fournit une large part des informations de
La Doctrine secrète. Il aurait pu faire son ascension au moment où il travaillait avec El Morya et
Kuthumi, mais il la retarda pour servir en relation avec la Société secrète qu’ils avaient choisi de fonder.
Adepte du Deuxième Rayon, il obtint sa Maîtrise totale à la fin du XIXe siècle. Aux côtés de Kuthumi et de
Morya, il collabore encore diligemment à l’Illumination de l’Humanité, émettant un rayon platine argenté.
Désormais, il enseigne pour faire comprendre la portée spirituelle de la Loi et il veille à augmenter
le Savoir des êtres humains. Il devient un assistant précieux pour ceux qui cherchent la Vérité et qui
désirent guérir leurs semblables pour la seule raison que le bien-être et la réalisation de l’espèce humaine
leur tient à cœur. Il collabore notamment avec la Croix Rouge et d’autres associations philanthropiques.
Assez souvent, il prend la relève de certains Maîtres en leur absence ou pour les soulager dans leurs
tâches. Il travaille avec les Devas de la Santé et avec d’autres groupes déviques. Il s’identifie à l’image
de la Main tenant une torche (un flambeau).
HILARION : Entité qui s’incarna notamment sous la forme de Paul, l’apôtre, puis sous celle d’un ermite.
Ermite et guérisseur, né à Tabatha, non loin de Gaza, disciple de saint Antoine, il aurait vécu de 291 à
371, alors qu’il accéda à la Maîtrise spirituelle. Depuis, Chochan du Cinquième Rayon, l’un
des Seigneurs de la Manifestation, il œuvre souvent avec Raphaël. Il prépara sa mission
actuelle en séjournant 20 ans dans le désert. Il étudia à Alexandrie, où il fut converti par un
philosophe chrétien, d’où il reçut le baptême à l’âge de 15 ans. D’un voyage qu’il fit en
Thébaïde, où il avait pu voir Antoine à l’œuvre, au désert, il en revint décidé à suivre son
exemple. Il distribua ses biens aux pauvres et alla d’abord s’établir dans une île
marécageuse, avant d’introduire la vie érémitique, telle qu’on la pratiquait dans le désert
d’Égypte, en Palestine et en Syrie. N’ayant pu trouver l’oubli qu’il avait cherché à Alexandrie,
en Grèce, en Dalmatie et en Sicile, où sa réputation l’accompagnait, il finit ses jours en paix dans les
montagnes de l’île de Chypre, à douze milles du rivage, dans une retraite escarpée. Capable de chasser
les démons, il intégra les dons de la thérapie, de l’intégrité, de la musique, de la science et de la vision
subtile. Il transita à l’âge avancé de 90 ans, faisant son ascension en Terre Sainte, sous la forme de
l’apôtre Paul.
Dans la spiritualité contemporaine, il figure le nouveau Recteur du Cinquième Rayon, associé au
centre frontal, celui de la Science de toute chose, de couleur orangé, en remplacement du Seigneur Ling.
Aide guérisseur, ennemi du scepticisme et du cynisme, il est étroitement associé à Raphaël et à Marie. Il
aurait établi sa retraite éthérique au-dessus de la Crête, en Grèce, dans le Temple de la Vérité, servant
avec la Fraternité de la Vérité.
LANTO : Un Grand Maître chinois qui vécut autour du IVe siècle av. J.-C. Cette grande
lumière de la Chine ancienne sert comme l’un des principaux savants d‘Amérique. La dévotion
à la parole de sagesse et à la parole de connaissance de ce sage silencieux, qui a accédé au
statut de Bouddha, présente des yeux de feu. Par son dévouement et sa stature, ajoutés aux
dons qu’il a reçus du Saint-Esprit, il s’est qualifié pour initier les évolutions de la Terre. On dit
qu’il a accompli une tâche qui dépassa celle de tous les autres Maîtres de la Terre. Ainsi, il
développa une telle lumière au niveau du cœur qu’elle brillait comme un Soleil d’or à travers sa chair. On
peut le reconnaître à sa tunique de lumière turquoise. Il confère le bâtonnet de couleur d’eau qu’il place
dans le thymus, permettant au cœur de se régler sur le Rythme de toute la Création.
Cet Hiérarque du Deuxième Rayon aurait établi sa retraite éthérique au Grand Teuton, dans le
Wyoming, près de la Californie, aux États-Unis Ce Maître réalisé, qui diffuse la sublimité de l’Esprit de
Dieu par portions, a longtemps enseigné la Voie ancienne de la Réalisation christique universelle qui a fait
de l’Âge d’or chinois un phénomène si mémorable pour l’ensemble de l’humanité. Il transmet les
vibrations de Maitreya, le Bouddha qui vient et est venu, et qui est mis en lumière par le Hiérarque de la
Retraite éthérique du Royal Teton, le Maître réalisé Confucius.
MAHA CHOCHAN : Expression emprunté à la Tradition védique qui désigne, dans la spiritualité
contemporaine, l’Esprit-Saint en tant qu’aspect Intelligence de Dieu et qui établir un lien entre l’Intellect et
l’Intelligence par l’Âme universelle ou le Libérateur du Feu sacré des Sept Rayons. En soi, le
mot sanscrit Chochan ou Chohan identifie un Constructeur de la Forme, un équivalent des
Élohim dans la Bible ou la Cabale. On parle surtout de Dhyan-Chochans, soit de Divins
Constructeurs. Dans la spiritualité contemporaine, on les associe aux Régents des Sept
Rayons cosmiques que l’on identifie tantôt comme El Morya Khan, Lanto, Paul le Vénitien,
Sérapis Bey, Hilarion, Nada et Saint-Germain ou El Morya Khan, Kuthumi, Sérapis Bey, Paul le
Vénitien, Hilarion, Sanandâ (Jésus), Saint-Germain et, parfois, Djwal Khul.
Dans le cas particulier qui nous intéresse, le Maha Cochan désigne Maha Saib, un berger des
collines de l’Inde, qui, dit-on, s’incarna notamment comme Homère (le poète grec). On le considère
comme le Maître de la Science sacrée, de la Civilisation et de l’Éducation et comme la Flamme du
Réconfort et de l’Illumination. Il aurait établi sa retraite éthérique au Temple de la Consolation cosmique
au Sri Lanka. Décrit comme le Cœur de Feu blanc de tous les Rayons, il pourrait conférer les Neuf
Présents multipliés par la Flamme triple et par libre arbitre, ainsi que l’innocuité. Pouvant agir sur la
respiration, il initie à la Maîtrise des chakras et élève la conscience au niveau de l’Omnipotence dans le
Ciel et sur la Terre.
MORYA (EL) : Le Chochan ou Seigneur du Premier Rayon cosmique, celui de la Volonté divine. Il
manifeste de façon visible, tangible et palpable la Volonté de Dieu pour la planète et son évolution. Il
s’incarna comme Abraham, Moïse et Mayon-Hotep, Melchior, un Mage d’Orient qui visita Jésus à sa
naissance, Thomas Becket, Thomas Moore, Akbar (empereur de Mongolie), le roi Arthur,
Thomas Becket, Thomas Moore. Enfin, dans son incarnation d’El Morya Khan, le Mahatma de
l’Himavat, il fit son ascension vers le cœur de Dieu en 1898. Il avait fondé la Société
théosophique un peu avant, soit en 1875. C’est lui qui forma les Maîtres Kuthumi et Djwal
Khul et qui révéla le Sentier spirituel à Mme Helena Blavatsky. Depuis, il a établi sa retraite
éthérique dans le Temple de la Volonté divine, à Darjeeling, en Inde, mais il intervient
également au mont Shasta, aux États-Unis. Ce Maître de Shangri-la ou Shamballah habite un
prodigieux palais d’albâtre, où il régit un Rayon d’une énergie bien particulière. Cet être de haute stature,
aux yeux bruns, ressemble à un moine zen. Il porte sur la tête un turban blanc et doré et il est revêtu
d’une tunique bleue, partiellement recouverte d’une cape blanche lumineuse. Il anime le Cœur de
diamant aux facettes infinies. Quand il reçoit, il invite à s’asseoir sur un coussin d’énergie de flamme
bleue, symbole du pouvoir divin, du commandement, de l’harmonie, de la vérité, de la puissance de la
parole énoncée ou silencieuse, de la catharsis mentale (guérison). Pour le rencontrer, il faut pondérer
l’amour et la compassion. On le dit ferme et sévère à l’excès. Il œuvre à dépouiller l’Humanité de ses
masques par une force qui doit parfois être rude, présentée d’une main solide, afin de produire la
résurrection de la vraie liberté. Ce Maître inspire la mission de l’heure qui est le rayonnement et
l’unification par la libération de tous les carcans doctrinaux. Il n’impose aucune foi, n’applique aucune
sentence, mais il veut remettre dans la main de chacun la barre de son navire. S’étant déjà incarné à
nombre de reprises, il a commis des erreurs qu’il répare en aidant les êtres humains à retrouver la
mémoire de leur origine. Il établit des connexions entre les réseaux de Lumière à partir de spécificités de
l’énergie que le Sans-Nom dispense en son cœur de Shamballah. À cette fin, il a créé des Ambassades
principales de la Lumière qui agissent en tant qu’émetteurs-récepteurs de la Lumière suprême. Inutile de
connaître leur localisation, ceux qui ont besoin de s’y rendre s’y propulsent instinctivement d’eux-mêmes
le temps qu’il faut, en gardant rarement conscience. Ces Ambassades travaillent avec les responsables
des grandes religions et des Ordres initiatiques, en synchronisation fréquente avec les Frères des Mondes
intérieurs. Elles guident les grands mouvements de la civilisation dans toutes les affaires du monde,
favorisant leur montée et leur déclin, les migrations des peuples (selon les nécessités karmiques), les
découvertes capitales, les grands renouveaux de pensée et l’ajustement des religions révélées. Dans tout
domaine, elles peuvent faire surgir des porteurs d’espoir, aussi importants que les Sages et les prophètes.
Ces Ambassades servent à régulariser les civilisations humaines. Dans leurs interventions,
elles ne jouent pas aux dés, mais elles se contentent de faire appliquer la simple loi des
équilibres et des alternances. Elles ne décident de rien, mais facilitent la mise en place de
ce qui est déjà réalisé dans la Conscience cosmique. Morya a développé l’amour à un point
considérable de volonté, caressant ou secouant, pour exprimer son attente et accorder son
pardon. Maîtrisant le temps et l’espace, il guide les Gardiens de la Flamme, leur livrant les
enseignements fondamentaux les plus avancés sur la Loi cosmique. Il détient la Puissance,
le Bon Vouloir et la Foi. Autrement dit, il confirme la foi dans la Volonté de Dieu et il donne le Mot de
Sagesse. Chef du Conseil de Darjeeling, Siège de la Grande Fraternité blanche, il agit comme Gardien de
l’évolution du continent asiatique et du Gouvernement du Monde.
NADA : Dans la Tradition védique, il s’agit de Dieu en tant que Son interne et transformateur. C’est le
Premier Corps causal intermédiaire, produit par le shabda manifesté, c’est-à-dire le mantra. Il figure
l’Union de Shiva et de sa Shakti (Lakshmi) dans la Création. En ce sens, le Son comprend
quatre stades : Para, Pashyanti, Madhyama et Vaikari. Ses quatre déités sont : Maha,
Shunddhavidya, Mahesha et Sadashiva. Voilà le Premier Mouvement produit dans la
Conscience cosmique idéante, conduisant au Brahman. C’est le Son primordial, le Verbe, le
Logos, la Manifestation du Son exprimant une relation. Il établit un lien avec le Sadkhya-
tattva. Ce mot réfère également au son entendu à l’intérieur de soi, la voie qui appelle et
dicte ce qu’on doit faire ou éviter de faire.
Dans la spiritualité contemporaine, ce nom renvoie au Maître du Sixième Rayon cosmique, Chef du
Troisième Rayon du Conseil karmique. Il s’agit d’un Maître ascensionné, une entité féminine, qui fit
connaître le Maître Saint-Germain. Elle est considérée comme la Flamme jumelle de Jésus (Sananda).
Elle agit au niveau du sixième chakra appelé Ardhamatra. Elle est l’une des Instructrices du Conclave. On
l’appelle souvent Dame Nada.
SANAT KUMARA : Dans la Tradition hindoue, le Kumara du Septième Rayon divin et Hiérarque de Vénus,
appelé la Jeunesse éternelle, l’Adolescent éternellement vierge, le Jeune homme aux étés infinis ou le
Jeune aux seize étés. Il s’agit de l’un des sept Kumaras, l’Ancien des Jours dont parle le prophète Daniel
dans l’Ancien Testament. Il est venu sur la Terre il y a des siècles, avec les Seigneurs de la Flamme, pour
garder la Triple Flamme de la vie au nom des Flammes jumelles après leur expulsion du jardin d’Éden. Il
avait établi sa retraite éthérique en Shamballah, sur une île de la mer de Gobi, maintenant devenu le
désert du même nom. Il fut le premier à répondre à l’appel de Gautama Bouddha, suivi
par le Seigneur Maitreya et par Jésus, de venir l’assister dans son œuvre spirituelle
d’illumination de la planète Terre.
On peut reconnaître ce Grand Seigneur dans les noms de Karttikeya, Skanda,
Kumara et Ahura Mazda. Il émet un rayonnement d’amour de couleur blanche, teintée de
rubis et de rosé. Ce Kumara a occupé le poste de Seigneur du Monde ou Logos de la Terre
jusqu’à ce que son disciple, Bouddha, ait atteint la stature nécessaire pour le remplacer.
Sur Terre, le Logos planétaire s’exprime d’abord par quatre avatars qui figurent les quatre globes
planétaires de la chaîne d’un schème et qui incorporent quatre des principes divins. Premier Gardien de la
planète Terre, il a probablement assisté l’Humanité dans son évolution plus longtemps que n’importe quel
autre Maître. Certains ont vu en lui le Lucifer des Chrétiens et le faisaient habiter au Pôle Nord ou en
Agartha. En 1956, il fut promu Seigneur Recteur du Monde et il retourna vers sa Flamme jumelle, dans le
Palais de la Lumière, sur sa planète d’origine. Ayant accédé au rang des Archanges, il porte désormais le
nom de Kumraël. Dans un songe ou une apparition, il se place à la gauche d’un sujet, tandis que Bouddha
occupe la droite. Il porte alors un sceptre de Lumière dorée pour toucher le chakra coronal.
SERAPIS BEY : Un Maître réalisé, à l’origine membre des Séraphins, Hiérarque du Temple de l’Ascension,
à Louxor, en Égypte, il devint le Seigneur du quatrième Rayon divin et le Grand Directeur divin du Conseil
de Darjeeling, un des grands Instructeurs de l’Ascension sur la Terre. Connu
comme le Grand Disciplinaire, il supervise et entraîne des candidats désireux de
réaliser leur transformation dans la Lumière de vie. On dit qu’il s’incarna comme
Grand Prêtre du Temple de l’Ascension, en Atlantide, il y environ 11 500 ans;
puis sous la forme du pharaon Amenhotep III, dit le Magnifique, entre 1417 et
1379 av. J.-C.; aussi comme Léonidas, roi de Sparte, vers 480 avant notre ère.
Il fit son ascension personnelle vers 400 av. J.-C. Il enseigna à vivre pleinement
la vie en se concentrant sur l’ici et le maintenant (l’immédiateté) et à accélérer sa transformation
consciente dans la Réalité supérieure, ce qui est le but éternel de l’âme.
PAUL LE VÉNITIEN : Paolo Voliari, dit Paolo Veronese, vécut de 1528 à 1588, reconnu comme un
maître-peintre de la Renaissance italienne. Il considérait la beauté comme le plus puissant catalyseur de
l’Illumination. Il fut préalablement Chef des affaires culturelles dans le Gouvernement atlante qui établit
un Foyer de la Flamme de la Liberté au Pérou, donnant son impulsion à la civilisation inca.
Ensuite, artiste de ce même empire, il utilisa des peintures qui ne se ternissaient pas. Il
s’incarna encore comme un maître égyptien de l’architecture ésotérique et il travailla avec El
Morya (alors maître-maçon) à l’époque de la construction des pyramides. Il fit son ascension
le 19 avril 1588 dans le Château de la Liberté, dans le sud de la France, près de Marseille.
Du reste, jusqu’à récemment, Maître du Troisième Rayon divin, il y maintient sa retraite
éthérique, au-dessus du Rhône. Mais, comme Recteur des Arts, il vient d’accéder au rang de
Seigneur du Quatrième Rayon divin, celui de l’Harmonie et du Verbe créateur, associé à la
couleur verte. Il est parrainé par la Déesse de la Liberté qui apporta la Flamme de
l’Émancipation du Temple du Soleil en Atlantide. À titre de Maître réalisé et de Recteur de la
Flamme rose de l’Adoration, il confère l’initiation de l’Amour et le discernement des Esprits et
il équilibre le chakra cardiaque. Ce faisant, il aide à développer la tolérance et l’acceptation
mutuelle. Il entraîne les élémentaux. Il deviendra le prochain Maha Chochan quand le
représentant du Saint-Esprit, pour la Terre, quittera son office. Il officie régulièrement dans le Temple du
Soleil, au-dessus de Manhattan, à New York. Il rayonne des énergies de l’amour, de la créativité, de la
beauté et de la charité.
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l’auteur, Bertrand Duhaime (Douraganandâ), la source, www.lavoie-voixdessages.com, et d'y joindre la présente directive, en tête ou
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