INTRODUCTION

A. Définition

Plus d’une définition existe en éthique et déontologie professionnelle, pour notre part, il agit
d’une branche des sciences sociales qui étudie « les embles des principes et règles de
conduite à tenir dans la vie professionnelle en vie de la bonne marche de cette dernier »
autrement dit l’étude des vertus et devoir dans les mulier professionnelle à l’encore des
valeurs morales et devoir propre professionnelle donc une partie de l’éthique et
déontologie. L’emble des valeurs partager sur les biens à faire et les maux à éviter dans le
milieu professionnelle et publique.

Et, la déontologie du grec Déon ou du latin dénotons et logos, renvoie à l’étude de ce qu’il
faut faire ou des devoirs à remplir ou encore l’ensemble de devoir que les agents d’une
profession doivent remplir enfin de garantir une pratique enforme au code (kananga,2020,
P13) ou aux loi et coutume de ladite profession, OTEMA et PALUKU 2012, P10

B. OBJECTIF DU COURS

B1. Objectifs : la finalité ultime de ce cours et de préparé l’étudiant finaliste à une carrier
professionnelle moins conflictuelle. Il est question de l’exhorté que la vie professionnelle
est un terrain plein d’obstacles, la compétence au les savoir n’est suffi pas à lui seul faudra-t-
il encore qu’il soit accompagné du savoir être de bonne manier, de la sagesse, de la
retenue… () de façon générale nous espérons qu’à l’usus de l’enseignement, l’étudiant aura
à justifier son conduit elle est incorruptible des valeurs social (ngoma, b,2015).

B2. IMPORTANCE DU COURS

L’intérêt au l’importance de ce cours réside dans le fait que la réussite des activités
professionnelles voir même la bonne gouvernance des états est fracture de la civilisation du
savoir-faire et du savoir être. Autrement les futurs agents de professionnelle doivent être
avertie que le respect de valeur moral et devoir à remplir dans la vie en général et
professionnelle en particule est une condition nécessaire pour la prospérité de l’entreprise
et par voie de….le

C. CONTENU OU OBJECT DU COURS

La diversité des activités professionnelle au monde fait qu’il existe également autan
d’éthique et déontologie professionnelle, ainsi on parlera par exemple l’éthique et
déontologie des enseignant et avocats médical ,professoral ,pastoral ,des
informaticiens ,banquer ,mental… cependant dans cette enseignement nous transmettons à
nos étudiant finaliste des notion de l’éthique et déontologie professionnelle qui leurs
 permettrons de mieux s’intègre et s’adapter dans n’importe quel milieux professionnelle qui
sera à leurs porté après leur études supérieurs.

Ainsi……de ce cours et constitue des principes et des règles communes aux activités
professionnelles, une attention a été accorder sur la déontologie informatique parce que
nous dispenseront c cours dans filière informatique.

Les métiers fondamental d’éthique et déontologie professionnelle sont encadrer par la

généralité sur la précision de concept éthique, déontologie, professionnelle et achat de
l’état ainsi que les conditions de succès des notion transmis à nos apprenants.

D. Domaine ou Champ d’action

Toute activité professionnelle a besoin de l’éthique et déontologie professionnelle car y

est presque comme une cure sociale incontournable (Kinshasa ,01/2020,P11).en effet, par
tout où l’homme se trouve, le mal ne manque pas et l’éthique est là pour servir de garde-fou
au niveau de la conscience .

E. Discipline sœurs.

L’enseignement d’éthique et déontologie professionnelle intègre des notions se

plusieurs autres branches qui sont sœurs ; nous citons principalement : le droit, la morale, la
philosophie, la sociologie et la psychologie.

E.1. La morale

La morale ou tout que partie de la philosophie qui s’utérine au bienfondé de faire le bien
et d’éviter le mal, elle constitue la base même de cet enseignement ; c’est en fait, une partie
de celle-ci adaptée ou appliquée en milieu professionnel.

Dans le même ordre d’idée, le respect des valeurs religieuses est de matières à éviter les
croyants, sauf exception, à avoir des problèmes dans la vie professionnelle. Inversement,
quelqu’un qui se dit spirituel, si sa conduite est en marge des règles de connaissance sociale,
et risque de créer le scandale dans son milieu de vie et dans son milieu professionnel s’il en
a. Autrement dit , les règles de la religion, de la spiritualité peuvent aider l’agent à être
modèle dans le dans son milieu professionnel ,de même ,l’éthique aide le croyant à bien
vivre sa foi.

E.2. La philosophie

Considérée comme la mère des services, elle s’avère utile dans la réussite de la vie
professionnelle car, dans ce milieu, il faut apprécier, le bienfondé ou sinon de l’autre qu’on
compte poser dans le cadre de la profession selon votre position dans l’entreprise (propriété,
haut cadre, collaborateur, subalterne ou agent d’exécution).

Les conséquences de mon agissement seront-elles positives ou négatives dans mon milieu
professionnel ?

E.3. La sociologie et la psychologie

Le milieu professionnel est par essence ,un milieu social ,par conséquent ,quiconque
aimerait exercer une activité professionnelle doit avoir les touts de savoir vivre au société et de
savoir supporter les autres Ainsi ,des principes éthique de retenue ,tolérance ,sociabilité ,la
bienfaisance …tirent leur origine de la psychologie sociale et de la sociologie.

E.4. Le droit

Les notions juridiques ne doivent pas passer outre dans un cours d’éthique et
déontologie professionnelle pour la simple raison qu’une entité professionnelle ne peut évoluer
en marge du droit . Pendant que l’éthique ou la morale figure parmi les fauteurs, sinon les
sources maternelles du droit, le droit à son tour, vient s’intégrer dans l’éthique et déontologie
professionnelle à travers le code de déontologie ou d’éthique telle ou telle profession.
 Chap. I. Généralités sur l’éthique et déontologie professionnelle

II. Compétence professionnelle

La compétence professionnelle n’est rien et autre que le savoir-faire professionnel,

L’optique qu’un agent d’être à hauteur d’exécuter les taches lui d’évoluer. Elle est nécessaire
dans la vie professionnelle.

Celle-ci s’acquiert par la formation théorique et pratique mais aussi par l’expérience cependant,
l’expérience peut s’ouvrir à la longue dépasse par rapport à l’évolution de la réalité
professionnelle l’impactée constamment par les NTIC.

Attention dans ce cours, compétence professionnelle qui a le sens de savoir faire dans la
profession n’est pas de confondre avec la notion de compétence en droit administratif. En droit
administratif, la compétence est d’attribution, elle renvoie au pouvoir reconnu à poser un acte
administratif valide et, elle est une notion quadripôle ;

 Compétence matérielle (la matrice concernée par l’acte posé).

 Territoriale : le ressert dans lequel l’autorité est fiabilité à poser un acte
administrativement valable.
 Temporelle (le nomment dans lequel l’auteur de l’acte aurait le pouvoir d’agir).
III. Agent de l’Etat

En nous référant au décret-loi portant code de conduite de l’agent, est agent de

l’Etat :<<tout personne qui exerce une activité publique de l’Etat et ou rémunérée par ce
dernier >> (PALUKU et OTEMA ,2021, p5). Ce décret-loi cite notamment :

1. Le président de la République, chef de l’Etat.

2. Les membres du parlement (sénateur et dépité) ;
3. Les membres du gouvernement.
4. Les ambassadeurs et envoyés extraordinaires
5. Les magistrats de cours et turbinaux
6. Les autorités chargées de l’administration des inscriptions territoriales et les
membres des assemblées des entités administratives (territoriales) décentralisation.
7. Le personnel politique et administratif des cabinets de ministres ;
8. Les agents de l’administration de tous les ministères.
9. Le personnel politique et administratif de l’administration du parlement ;
10. Le personnel politique et administratif de la présidence de la république ;
11. Les magistrats et le personnel administratif de la cour des comptes ;
12. Le personnel de l’administration des services de sécurité ;
 13. Le personnel civil et militaire aura au sens des FARDC ;
14. Le personnel civil et militaire attache à la police nationale congolaise ;
15. Les mandataires actifs et non actifs dans les institutions de droit public et des
organismes publics ainsi que les entreprises d’économie mixte ;
16. Le personnel des institutions de droit public, des entreprises publiques et organismes
publics personnalisés ;
17. Les employés des entreprises privées ou d’économie mixte exerçant une activité
publique pour le compte de l’Etat.

De ce qui précèdes, si tout fonctionnaire ou agent de carrière des services publics

de l’Etat est agent de l’Etat, l’inverse, pas forcément.

Le fonctionnaire doit répondre aux critères minimums ci-après : la nomination

officielle donnant lieu à un numéro matricule, l’affectation à un poste précis ou la
titularisation et l’exerce d’une fonction permanente (faire carrière).

IV. Valeurs et Normes éthique

A. La valeur morale

La valeur morale de l’acte est ce en quoi il est estimé et mérité estime considération
parce qu’il est bon, parce qu’en le posant, un sujet ou son acteur réalise le but de la vie
humaine, pose un acte socialement admis dans son milieu de vie. Elle est ainsi une notion liée
au temps et à l’espace .Néanmoins ,l’on peut tenter de dire qu’il existe des actes faisant partie
de la valeur morale universelle. Exemple le respect de la vie humaine ,que la constitution de la
RDC du 18/02/2006 déclaré sacrée. D’autres valeurs morales sont notamment : le respect de
l’autorité, l’obéissance, la solidarité et l’hospitalité, le respect de bien commun. Concrètement,
l’ensemble des obligations de conscience ou devoirs forment les valeurs morales.

Notons que le devoir ou obligation dont la sanction en cas de non-respect est la propre
conscience de l’auteur s’oppose à l’obligation juridique punissable en droit positif.

B. La norme de moralité

La norme de moralité ou norme du bien est la valeur morale à laquelle sont referees
toutes les autres (Kinanga, M, (2020), P14). Dans ce sens, elle est une véritable hauteur du droit,
Mais la question qui reste à poser est celle de savoir, comment reconnaître qu’un acte ou un
principe est moral ?

Le profession Kinanga Mosala nous fournit les critères suivants por reconnaître un tel
acte :
  La conformité à une loi positive, à une loi divine : La croyance selon laquelle les
lois murales viennent de bien, mais attention il nous semble que la murale est
plus humaine que spirituelle.
 La conformité à la raison : c’est-à-dire, suivant le bon sens.
 La vertu, suivant la logique d’Aristote, une conduite sui répond au juste milieu et
non plus la vertu tournée vers l’idée et absolue. Dans cette optique, la prudence,
le courage, la tempérance, la justice sont considérées ces verres comme
cardinales ;
 Le bonheur : un état durable de satisfaction complexe qui se distingue du plaisir
ponctuel et de la loi passagère.
 L’utile : Pour le philosophe John Tutoriel, le critère de moralité réside dans l’utile,
en revanche, pour Kaut, la raison morale est indépendante du profit.
 La conformité à l’ordre de l’univers : Agir moralement signifie ses conforme où
l’ordre de la nature, celui du cosmos.
 La liberté : Le choix rationnellement fondé, constitué, dans l’éthique de la liberté,
le critère de moralité.
 Le devoir : L’agir moral est un impératif qui, pour Kant se vent catégorique et se
formule par :<<Agir uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir
en même temps qui elle devienne une loi universelle >>.
 La charité et l’amour : Pour le chrétien, agir moralement, c’est pratiquer la
charité et l’amour, aimer son prochain constitue le plus grand commandement
nous laisser par le christ, nous y revenons dans la section suivante consacrée à
l’historique de l'éthique et déontologie professionnelle.

Section II Historique de l’éthique et déontologie professionnelle

Les considérations d’ordre éthique et déontologique remontent de la période aurait la

lettre et évoluent au fil du temps. Dans les pages qui suivent nous abordons l’évolution sus-
indiquée en trois grandes périodes : Préhistoire, l’antiquité, le temps moderne et l’époque
contemporaine.

I.