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CM SOCIALE OPTION

Sujet de réflexion générale sur un sujet d’actualité ; avec sous questions pour guider les réponses.

Pas de par cœur donc les doc manuscrits sont autorisés

INTRO : réflexion / échange

Qu° activité, formation, valoriser activités…

Élaboration portefeuille de compétences, formation tout au long de la vie

Aspects règlementaires et législatifs de la formation profL (loi travail, loi ORE …)

Outils techniques sur ces qu° là

Projets de réforme du titre de psycho (thèse d’exercice à Bac + 6) pour certains, l’argument est celui
d’une distinction par / autres métiers (paramédical et médico-social)

Csq : moins de prof dispo pour les étudiants de licence (car moyens constants  : les profs sont occupés
à encadrer la 6ème année…)

Adeli délivre titre àp licence + master + stage

Donc sol° ? Entrée en master psycho avec autre licence que celle de psycho ; supprimer l’obligation
d’avoir une licence de psycho pour aller en master psycho ; il y aurait des attendus (on sait que ce
sera dur si les gens n’ont pas ça comme connaissances …moins couperets), des « pré-requis » (= niv
de connaissance qui est nécessaire pour continuer plus loin), une culture générale de la discipline

Ces attendus doivent être visibles.

Professions règlementées : un ou des métiers avec éthique, critère d’entrée & d’évolution : aspect
défensifs (droits, rémunération, …) ; ex. artisans, notaires, taxi …

Définition « compétence » : être capable de combiner ressources plus ou moins complexes pour
mener à bien une activité pro ou pas

Sont exprimées avec un verbe

Activité = succession de tâches concrètes visant à produire un bien ou un service (cf. auteurs Tardif)

Ne s’exprime pas avec un verbe genre « je nettoie… »

Doit exprimer clairement ce qui est livrable et en direction de qui ; ce qui se fait réellement.

(En RH, sc éco la déf° est un peu # : même coutumes, mêmes tenues…)

En psycho activité = suite d’actions avec représentation mentale de ce qui est fait. Représentation
mentale donc il peut donc y avoir débat sur ce qui fait le métier (« ça c’est pas mon activité » ; quand
bien même un des membres d’une équipe voudraient se lancer dans une nouvelle activité, il y a
régul° par le collIF qui renforce la norme sur ce qui doit être fait)

Càd on définit gestes, processus et résultat de l’activité ; ils va y avoir débat sur ce qui est acceptable
ou pas en termes de livrable (ex. info collIVE en face à face ou à distance)

Activité est dans le réel mais également contrainte par un cadre prescrit.

Leplat : Il y a activité de travail quand il y a réponse et structuration des taches dont l’aspect
descriptif est plus ou moins détaillé et contraignant, négociable localement ; si on retire la négo° on
ne parle pas d’activité de travail : c’est juste une accumulation de tâches et qui conduit à la perte de
sens.

Le cœur de la régul° de l’activité c’est la discussion dans le collIF 

C’est un des enjeux du TW et des open space :W en silo, absence de dialogue entre les services….

Le cadre prescrit c’est la tâche.

Tâche en psycho = ensemble de régulations menées par indiv pour mener à bien activité. Cf.
échanges, dialogue, arbitrage

= ensemble de buts et de procédures donc perf exigées, y compris normes de qualité.

=Objectifs, moyens et cond° de réalisation

Ces déf° sont celles en psycho (# en éco qui prennent moins bien en compte les aléas)

C’est en qqsorte le travail modèle (Leplat)

Dans les services RH peu de personnes se préoccupent de l’activité réelle. Sauf quand RPS ou conflit.

Ex. du métier d’enseignant chercheur :

5 missions (et décomposition en activités puis déf° compétence en relation) :

 Enseignement
 Orientation et insertion
 Recherche
 Administration de l’étblmt
 Vulgarisation et diffusion des savoirs dans la Sté
Le boterf

Compétences que l’on a

Etre compétent : capaT à s’adapter à un contexte particulier, faire des arbitrages en fct° du
contexte (temps, qualité attendue, ressources matériel, faire avec les autres entre autres savoir
synthétiser et aller à l’essentiel….) : utiliser des ressources et détourner des ressources pour
répondre aux attentes ou pour dépanner qqun ; connaissances en tant que ressources ne servent
souvent pas tout de suite mais elles peuvent être réactivées

Notion régulation par les pairs

Services et personnes travaillant sur activité péda : ingé pédagogique ; pb : peu sont formés à
l’analyse de l’activité

(pour aider les prof à décrire le diplôme par compétences)

Poste de W = regroupement de tâches dans un contexte / entité / site donné

C’est du prescrit : comment la personne va réaliser des actions dans une entité adiIVE donnée.

Ex. un poste d’ingé réseau dans le privé ou à l’UGA va être légèrement # : tâches annexes

Hiérarchisation : emploi type, emplois et poste de travail

Tâches regroupées sur # sites, # postes : on peut définir un emploi type

Un emploi type c’est la déf° des tâches confiées avec ce qui est régulier (ex. Travailleurs sociaux) ou
annexe selon le contexte (moniteur éduc, AS, ES…), ce sont les emplois

Tâches confiées de base (prévues) + tâches complémentaires (font varier les emplois type d’un site à
l’autre > notion de poste de W) ; ça n’est pas pareil d’être employé de restau dans un collège ou dans
un hôpital)

Referens : référentiel d’activité du public (qui décrit des tâches)

Ex : Emploi type : métiers de la psycho ; Emplois : neuropsychologue ; Poste de W : neuropsy
enfant / neuropsy ado

Réf d’emploi type : Méthode ETED (emploi types étudiés dans la dynamique)

L’emploi type (N Mandon) a un rôle socio prodIF et inclut des info° :

 Champ / domaine d’intervention (ex. santé, social ….)


 Position d’interface (prévue), quelles sont les relations avec les autres acteurs ; cf. échange
d’info° avec autres acteurs
 Spécificités des démarches (dans les process qu’on soit par ex dans le public ou le privé ça va
changer les démarches dans certains domaines)
Questions : est ce qu’on a besoin d’avoir des distinctions aussi fines ? Est-ce qu’il suffit de cumuler
plusieurs postes de travail pour dire que le commun fait un métier ?

Descolonge : confusion emploi, métiers, postes et ?? (info à vérifier…)

Il renvoit à la sociologie : DUBAR qui déf la prof° ainsi : forme historique d’orga° sociale, d’attribution
d’identité et de régul° du marché du W 

Descolonge ajoute la notion d’Art avec savoir-faire spéIQ

Souci si être psy = cumuler les techniques enseignées par ailleurs… ex. DU qui forment les AS au
mindfulness ; or technique utilsiée en psycho aussi … On perd la notion d’Art à force d’être trop dans
l’accumulation de techniques. Mieux vaut former à une façon d’être. C’est ce qui fait la #entre une
prof° et un métier technique non reconnu

Comment passer de poste de W à métier ? Latreille énonce des critères en citant 3 cond° :

 Formation spéIQ
 Reconnaissance par autrui
 Regroupement des personnes concernées dc existence de réseau

 Psycho est dans un entre deux : entre métier (formation spéIQ) et prof° (identité affichée et
reconnue par l’extN avec défense d’entrée dans le métier ; nb quantité de gens qui sortent,
regul° concernant les installations et les entrées dans le métiers comme en médecine avec
numerus clausus …)
Difficulté pour y arriver : scission entre profL et enseignant chercheurs pour créer un conseil de
l’ordre…si régul° à l’entrée, moins besoin de postes d’enseignants chercheurs…

Autre distinction entre prof° et métiers : approches francophone et anglo saxonne

Anglo saxon
Prof « Job » commuT constituée

Métier « occupation » Au départ pouvoir de se syndiquer (=en anglais) +


taft hartley act qui est une jurisprudence. C’est une asso° de profL
ayant ddé d’instituer métiers en prof° : certif° formation et règles
déontologiques modalités régulées entrées et sortie
Texte de loi : Loi Travail / loi Penicaud (2018 771 du 5/0918)

LOI n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel (1) -
Légifrance (legifrance.gouv.fr)

On y retrouve enjeux métiers, certif°, valorisation compétences …

Plan de ce chapitre :

 D’où elle vient ?


 Contenu de la loi et son éval° (rapport parlementaire de 2022)

3 paquets réglementaires dans cette loi

1 : déf ce qu’est une compétence càd sécu° des parcours profL et montée en compétences des pop°

2 : réforme assurance chômage

3 : dispo° relatives à l’emploi (=T entre salariés, handicap …).

Qu’est-ce que veut dire : est ce que c’est une certification profL ? > obligation d’une formation
continue (ex. médecin) ; en psycho ça n’est pas le cas … donc ça n’est pas une prof°

(voir débats sur l’AEPU concernant le conseil de l’ordre en psycho)

Financement formation profL :

- Collecte sur un % de la masse salariale versée par les entreprises. Historiquement dispatché
dans les CFA et les OPCA + abondement de la formation des ddeurs d’emploi et travailleurs
handicapés
- Le DIF (montant en heures cumulées par chaque salarié – on finançait en gros)

Pb du DIF : financement d’un nombre d’heures qui était non transférable par ex du privé au public.
Standardisation : transformé en CPF (en 2014) qui a préfiguré la mise en place de la loi travail : droit
indivL permanent + monétarisation (hors coût horaire formation #d’un centre de formation à l’autre)

On cotise 500€ / an ; plafonné au bout de 10 ans. Si employeur n’a pas fait d’entretien d’éval il doit
donner plus à son salarié. Sauf pers peu qualifié ou pers handicapée (800 € / an et plafonnent moins
vite) 

Droits consultables sur moncompteformation


Loi Pénicaud durcit ces écrits car désormais ne sont finançables que les formations ayant un certain
niveau de qualité et une reconnaissance profL càd la valeur que le terrain accorde à une formation
(ex. licence proL peut se vendre 7500 € à une entreprise qui veut payer par ses fonds propres ou son
organisme partiaire … elle veut justifier d’avoir utilisé son crédit formation… or le public a voté un
tarif et ne peut pas facture plus)

Stat : les formations les plus ddées : le permis de conduire (seules les très grosses auto écoles ont fait
les démarches pour être habilitées) et les langues

Le CPF ne nécessite pas l’accord de l’employeur si c’est du temps persoL (du moment que la
formation est reconnue et inscrite sur mon compte formation). En plus l’employeur ne peut pas
obliger un employé à utiliser son CPF = libre choix de l’indiv. Ça veut dire que les employés doivent
avoir une stratégie > réforme orga° territoriale de l’orientation et l’insertion.

Avant la loi Pénicaud le salarié faisait un bilan de compétences dans cette situation là (contrat
tripartite entre employeur salarié et pôle emploi). Le droit au bilan de compétence était un droit à
part.

Depuis CPF, le bilan de compétence est finançable par le CPF. Plus besoin de passer par négo° avec
Pôle emploi et employeur. Csq : augmentation coût bilan de compétence : ça mange bcp
l’enveloppe…c’est l’inconvénient.

5 opérateurs nationaux autorisés à candidater pour devenir opérateur de conseils en évol° profL :
Cap emploi, APEC, CIBC ….+ opérateurs tiers qui ont demandé un agrément

En AURA par ex. groupement des CIBC ont pris le marché ; l’APEC s’est retirée pour se concentrer sur
d’autres missions

Nouveauté du CPF : bureautique et langue OK pour prise en charge (au temps du DIF ça n’était pas
possible) + formations au socle commun de compétences profL (écriture, CNIL, …)

Une particularité : le CPF de transition profL pour les personnes dont l’emploi est menacé
(licenciement éco…). Il permet d’abonder les droits (valoriser les projets de transition profL pour aller
vers l’entreprenariat…)

Qu° : est-ce que c’est normal que les salariés se forment au PSC1, SST (Salarié sauveteur secouriste
du travail) … sur leur CPF ? non ! Mobiliser le CPF de façon déguisée pour des obligations employeurs
OPCA transformés en OPCO (fusion des OPCA ) : collectent et redistribuent de l’argent pour les
actions de formation (réduction du nbre d’interlocuteurs :

OPCA étaient nombreux et faisaient relativement ce qu’ils voulaient …> centralisation > moins
d’interlocuteurs …

 Augmentation Contrôle
 Exigence de qualité (certification qualité des organismes de formation par qualiopi),
certification des diplômes enregistrés dans RNCP ou RS (RNCP pour formation profL initiale
d’entrée dans les métiers et le RSpéIQ qui ressence des formations complémentaires aux
métiers) ; les formations non inscrites au RNCP et au RS ne sont pas finançables. C’est
l’agence « France Compétences » qui se charge de ces certifications : pilote tte la pol
publique de formation pro sur la gestion des compétences.
Dans ancien syst OPCA collectaient et décidaient de financer ou pas la formation. Désormais
un orga nal qui selon critères reconnait ou pas des formations. La Caisse des dépôts gère les
versement de la formation proL à destination des organismes (avant OPCA touchaient un
partie de l’argent) – recentralisation du financement et du contrôle 

Dans les ppaux critères de la certification il y a :


- Besoins des milieux socio-économiques donc taux d’insertion
- Compétences visées (formations écrites en compétence selon modèle Fce
compétences)
- Existence des processus de qualité

Dossiers à déposer pour RS (peu à peu mis en place dans RNCP) :


- Référentiel d’activité
- Ref de compétences (ressources fournies pour mener à bien activités)
- Réf d’éval précise situation dans lesquelles sont mis les apprenants pour mener à
bien activités visées

Changement formation profL préfigure changement universitaires - Risque : réduction des filières
généralistes à bac + 1 à bac + 3

6 critères qualité des organismes de formation pour qu’ils puissent être financés  :

- Identification précise des objectifs de la formation et son adaptation au public formé


- Adaptation des dispoIF d’accueil, de suivi péda et d’évaluation au public de stagiaires
- Adéquation des moyens péda techniques et d’encadrement à l’offre de formation
- Qualification profL et la formation continue des persoL chargés des formations
- Condition d’info du public sur l’offre de formation, ses délais d’accès et les résultats obtenus
- Prise en compte des appréciations rendues par les stagiaires

Evo° société vers une montée en puissance des compétences


Certaines choses ne sont plus garanties par le niveau d’étude…un jour peut être des organismes extR
vont attester le niveau de base acquis… pb : ce sont des certifications privées hors de prix …

De plus en plus idée de recréer de filières de formation sur un continuum bac -3 à bac +3 organisées
par entreprises, lycées et univT

Ex. Formation : l’école «privée et gratuite» de Schneider Electric forme depuis 1930 - Le Parisien

Les formations de l'École Schneider Electric - Professionnels | Schneider Electric France (se.com)

Le modèle n’est plus un modèle de formation longue (jusqu’en master)

Plutôt FC avec formation complémentaire, tout au long de la vie formation certifiante tous les 2 ou 3
ans

Enjeu : conseil en évolution profL (conseil plutôt utiliser notre CPF pour compétences certifiante que
pour connaissance qu’on veut avoir gratos ailleurs : MOOC…)

Retenir : plusieurs types de parcours peuvent mener à un métier ; enjeu : reconnaître les
apprentissages non formels et non académique

Regul° utile uniquement sur métiers ou apprentissage par essai erreur ne pose pas de pb

Séance sur un exam blanc :

Retenir : Vrai cœur de la réforme : reconnaissance connaissances et compétences. Ça nécessite :

Inventaire

- métiers et activités menées au sein des métiers,


- connaissances et compétences permettant de réaliser ces activités
- formations actuelles et à venir

Subsistent deux modèles de l’ APC - Approches par compétences : Tardif ; l’anglo saxon et Le Boterf
avec un modèle universitaire plus classique

Cpdt divergences sur l’aspect péda qui ne sont pas conciliable pour créer une formation écrite en
compétence. Ces modèles s’affrontent sur des conceptions péda autour des compétences

Csq : pb avec les équivalences.

Le Boterf : déf des activités proL visées puis quel contenu on met (lui critique les approches
programmes et donc Tardif)
Tardif : approche programme : d’abord quelle activité visée qui je suis en poste mais va piocher de
partout des briques de formation élémentaire (modules, UE, ressources…dispo) ; ex. brique
« médecine » du cerveau pour les étudiants de psycho

Approche duale des compétences (proposée par Le


Boterf https://journals.openedition.org/ethiquepublique/2934#tocto1n4 ) générée par France
compétence (tab admin d’écriture des certifications profL)

Le domaine des APC existe et génère bcp de littérature scIQ depuis 50 ans. Cpdt rien d’applicable, de
précis et aucun consensus n’est sorti : guerres intestines … hormis le Labset qui tente un truc
intégratif

Approche adéquationniste (qques test psychotechniques et petites formations) : le grand pour la


mise en rayon, le mince pour la mine…)

Puis

OST s’essouffle dans les 70 (début effet Md°, crise éco et pétrolière, syndicats contre l’aliénation…) ;
chômage de masse > on se rend compte que c’est difficile de transférer ses compétences d’une usine
à l’autre quand on est trop spécialisé sur un poste > besoin de tracer et reconnaître les compétences

2 aspects sur les compétences

 adIF
 Théorique : notions formation, compétences, ergo cog, sciences de l’éduc°… fin des savoirs
faire purs : savoirs et savoirs-être ajoutés

En //, dans les années 70, mise en place de la GPEC (gestion prévi des emplois et des compétences)
qui vise 2 choses :

 Carto des compétences présentes dans l’entreprise à un instant


 Assurer une veille sur les compétences nécessaires à C M et LT liée à l’évo° des techno, des
matR premières, niveau de formation des pop° qu’on embauche, de la raréfaction de
certaines compétences spéIQ dans la pop° qu’on peut embaucher.

(ex. passer du métallique au plastique pour les fermeture éclairs)

Pb actuel : maintenir les compétences (turn over) ; génération compétences transversales fortes
mais pas de spé° sur le poste > on perd en permanence compétences en qu° qui ne sont pas
transférées…
Compétences deviennent importantes car les gens ont « goûté » au chômage.

Notion compétence devient centrale avec notions savoir, savoir être et savoir faire

France compétences (centralise l’argent de la FP par la caisse des dépôts entre autres)
Agacée par le fait que ces 2 modèles existent et sort un modèle inspiré des 2 modèles et sort un
modèle simplissime à 3 colonnes
Rôle de Fce compétences ? rôle prescriptif : Ref d’activité rédigée avec un gérondif (rédaction du
CDC avec un client…), référentiel de compétence rédigé avec verbe d’action (reformuler les besoins
du client par ex.) et référentiel d’éval avec critères précisant quelle est la structure du jury
(forcément mixe profL / formateur), déroulé précis , critère de la grille de notation, cond° d’appel de
la décision, durée de validité de la certification

Modèle Le Boterf Modèle Tardif


Agir en professionnel compétent et avec éthique
(openedition.org)
Pas de nom donné au modèle mais explique que
son modèle explique comment agir avec
pertinence et compétence

Ce sont des modèles descriptifs.


Certains les considèrent comme idéologiques.

Ressources

Internes :
Connaissances (sous-entendu : on les utilise pour
autre chose) ppalmt ;

Savoirs théoriques ;

Outils (même si je ne sais pas l’utiliser je sais au


moins à quoi il sert) ;

Habiletés càd capaT intrinsèques à l’indiv (ex.


reflexes) ;

Shèmes opératoires (= synthèses de succession


d’actions et de gestes qu’on a enregistré qui
permettent d’agir + vite) ;

Leçons de l’expérience (échecs qui imposent


introspection et ancienneté) permettant
d’éliminer certaines HP de W pour aller plus vite.
Pour le partager : REX (retour d’expé, souvent
quand on a évité une catastrophe), analyse de
pratique (visant à interroger les processus, les
arbres de décision) ou supervision ;
Qualités personnelles (éducation : parents,
école)

Externes :
Tt ce qui peut être accumulé comme
connaissances que l’indiv ne connaît pas par
cœur comme : outils de recherche, indexation,
ttt des savoirs, … dans lesquels l’indiv peut aller
piocher (Gestion extN de doc, bbq,
organigrammes, …)

Ce qui permet de relier intN et extN :


technologie
Avec une difficulté : celle de se noyer dans tous
les doc, dans toutes les connaissances
accessibles

Qu° : comment l’entreprise reconnait ce que


qqun est en capaT de mettre en œuvre ? et
comment faire face à la ccrce avec les
diplômes ?

Ces ressources internes et extN permettent de


guider l’indiv. Plusieurs types de guidages (=
feedback) :

Emotionnel : ce que les gens nomment


« intuition ». Quand au fond de soi on se dit par
ex. « ça va mal finir » ; savoir écouter ce ressenti
est important

Cognitif : transmission de connaissances et


retour sur connaissances nécessaires.
Intelligence cristallisée, attention (par ex. trier
l’info nécessaire et prioritaire), apprendre des
formes de raisonnement (ex. hypothético
déductif), intuition intellL :

Selon les règles profL : concerne les règles du


métier et du collIF de W. Ces règles sont définies
collectivement (pas uniquement par l’indiv ou
son mentor). En psycho les règles du métier sont
données par le code de déontologie. Le
psychologue n’est pas soumis au profL
opposable (comme les TS ou les médecins par
ex.). Dans une équipe pluridisciplinaire les règles
de fctnt vont donc glisser et dépendre d’un collIF
à un autre. Au-delà de l’aspect légal et
déontologique il y a un guidage donné par la
hiérarchie et srtt pas les anciens.
Pb posé : quand Dir° change règles d’usage
peuvent changer …. On peut revenir à la loi, à la
règle…. > RPS !

Guidage éthique : surpasse guidage


règlementaire et déontologique. Ethique est
persoL, et sous pression des gens sont capables
de ne plus questionner leur éthique.

Ces guidages permettent de mettre en place une


pratique professionnelle

Les gens ont un style de pratique profL qui vise


les résultats pour des destinataires (on n’est pas
compétents pour être compétents). Pratique
profL génère une activité profL (fournir pduit /
sce avec critères de qualité)
Pratique profL, si elle est amenée de manière
pertinente permet de mener des activités dans
des situations contextualisées. Pour chacune de
ces activités concrètes j’ai des critères de
réalisation de l’activité. (« en interrogeant…. »
par ex. « pour vérifier que… »). Ces critères
doivent donner les étapes dans l’ordre pour
mener à bien l’activité. Parfois quand on est
pressé on peut avoir tendance à vouloir s’asseoir
sur le critère x ou y (car chaque critère ajoute
complexité, source de conflit - ça saoule, on a
envie de les lâcher-, délais, compétences…)
…. c’est le rôle du collIF et de la supervision de
nous aider à y voir clair dans ces critères.
Les critères respectés devraient conduire aux
résultats souhaités.
Delta entre résultats souhaités tels que décrits
dans l’activité et les résultats réellement
obtenus est appelé « performance »

Comment j’amène le profL a acquérir ces ressources, à bénéficier du guidage, à tester des pratiques
profL ?

Méthode des apprentissages critiques : on met les apprenants dans des situations qui sortent de
l’ordinaire et qui nécessitent des arbitrages (par ex. un enfant qui explose) en mode « simulation ».

Certif profL : critères pour dire OK ou recalé (donc il n’y a pas de compensation !)

On peut compenser uniquement les ressources par contre pas la mise en situation finale !
On arrive à un double modèle : diplomation et certification (profL) ; comme un avocat qui va passer
l’exam du barreau

Le Boterf :

Débats non arbitrés en psycho…

Eduquer tout le monde aux interactions humaines ? compétences de base dans la pop° ou


uniquement traiter les personnes en souffrance ?

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