Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Chargé de cours :
Jonas SAWADOGO
Inspecteur de Techniques tertiaires
Téléphone : 70 24 08 23 / 78 16 48 39
Unité : UE2 Intitulé du Cours : Rédaction Administrative
I. DEFINITIONS
2. Objet.
- la vie sociale a ses propres règles fondées sur la coutume et les textes ;
- la profession a aussi ses règles fondées sur les coutumes et sur les textes ;
- le comportement individuel s'inscrit à la fois dans la vie sociale et dans la
vie professionnelle.
L'individu doit respecter les règles tant sociales que professionnelles. Celui qui
les enfreint risque d'être banni de la société, que ces règles soient écrites ou non.
L’objet de la déontologie n’est donc pas de fonder philosophiquement la notion
d’obligation, ni de comprendre en quoi un devoir est un devoir, mais
d’inventorier très concrètement les obligations qui incombent à un
professionnel dans l’exercice de sa tâche. C’est ce sens que retiennent,
aujourd’hui, aussi bien les dictionnaires spécialisés que les dictionnaires
généralistes. La déontologie, écrit par exemple Le Petit Larousse est « l’ensemble
des règles et des devoirs qui régissent une profession, la conduite de ceux qui
l’exercent, les rapports entre ceux-ci et leurs clients ou le public ».
3. Nécessité
Cependant, le droit professionnel l'a reprise à son compte et elle est ainsi
devenue les devoirs qu'impose à des professionnels l'exercice même de leur
métier. Puisque toute profession impose des devoirs à ceux qui l'exercent, toute
profession a donc une déontologie.
Les fonctionnaires sont régies par la Loi n° 081-2015/AN portant Statut Général
de la Fonction Publique d’Etat du 24 novembre 2015, les travailleurs du privé
par la Loi n° 28-2008/AN du 13 mai 2008 portant Code de travail au Burkina
Faso et la Loi n° 033-2008/AN du 22 mai 2008 portant régime juridique
applicable aux emplois et aux agents des établissements publics d’Etat ;
L'État (du latin status, être debout) désigne la personne morale de droit
public qui, sur le plan juridique, représente une collectivité, un peuple ou une
nation, à l'intérieur ou à l'extérieur d'un territoire déterminé sur lequel elle
exerce le pouvoir suprême, la souveraineté (principe de l'autorité suprême,
attribut essentiel de l'É tat).
L'É tat est la forme la plus élaborée de la vie commune d'une société humaine. Il
exerce son pouvoir par le biais du gouvernement. L'É tat dispose d'un certain
nombre de monopoles comme l'utilisation légitimée de la contrainte physique
(pour faire respecter la loi), la collecte des impô ts...
Il y a lieu de rappeler que, par extension, l'É tat désigne également l'ensemble
des institutions et des services qui permettent de gouverner et d'administrer
un pays : ministères, directions, préfectures, administrations déconcentrées ou
décentralisées.
La Constitution est la Loi fondamentale d’un Etat qui définit les droits et les
libertés des citoyens ainsi que l’organisation et les séparations du pouvoir
politique (législatif, exécutif, judiciaire). Elle précise l’articulation et le
fonctionnement des différentes institutions qui composent l’Etat (Conseil
constitutionnel, Parlement, Gouvernement, Administration, …).
Au Burkina Faso, comme dans la plupart des É tats, le pouvoir exécutif est
détenu par le Président de la République, le Premier ministre, les présidents
d’institution et le gouvernement.
Le pouvoir législatif est en général chargé de voter la loi, consentir l’impô t (le
budget de l'É tat en découle) et de contrô ler l'action du pouvoir exécutif. Il est
exercé au Burkina Faso par les Députés (Parlement ou Assemblée Nationale ou
Conseil National de Transition sous la transition).
Toutes les institutions de l’Etat découlent de ces trois pouvoirs. Les institutions
du Burkina sont entre autres : la présidence du Faso, le premier ministère, le
parlement, la Haute Cour de Justice, le Conseil Economique et Social, le Conseil
Dans le contexte qui nous intéresse, le mot administration peut revêtir deux
sens différents.
1
L’administration assure des services considérés comme utiles à la société et non rentables . Ils peuvent ê tre non rentables par nature
ou parce qu’on considè re qu’ils ne doivent pas ê tre entiè rement ou uniquement fondé s sur le principe de rentabilité (ex : l’enseignement).
L’inté rê t gé né ral a donc un pé rimè tre variable et dé pend de la dé finition qu’en font la population et les pouvoirs politiques à un moment
pré cis.
A ces fonctions publiques, il faut ajouter les statuts particuliers comme celui de
la magistrature.
- Activité
congé annuel,
autorisation d'absence,
congé de maladie,
congé de maternité,
congé pour examen ou concours,
Le temps passé dans les situations ci-dessus est valable, dans les conditions
prévues au présent titre, pour l'avancement d'échelon et entre en ligne de
compte dans le minimum d'ancienneté exigée pour prétendre à un avancement
de classe ou à un concours professionnel.
- Mise à disposition
- Détachement
Le détachement d'un fonctionnaire ne peut avoir lieu que dans les cas suivants :
- Disponibilité,
La disponibilité pour exercer une activité dans une entreprise privée peut être
accordée dans les conditions suivantes :
Le fonctionnaire est placé dans la position dite sous les drapeaux s’il est :
le profil du travailleur au privé comme au public est décrit avec précision. Ces
textes permettent de débarrasser de l’administration des parasites qui sont
nuisibles et qui porte atteinte au bon fonctionnement du service public ainsi
qu’à l’a réalisation du service de l’intérêt général.
2
Article 58 : Est puni d’une peine d’emprisonnement de cinq ans à dix ans et d’une amende de trois cent mille
(300 000) à un million cinq cent mille (1 500 000) francs CFA, tout agent public exerçant des activités
commerciales ou lucratives autres que la commercialisation de ses productions agro-pastorales non
industrielles, littéraires, scientifiques et artistiques. En outre, la confiscation des moyens de ce commerce ou
activité lucrative est prononcée.
3
La question des dons, cadeaux et avantages en natures accordés aux agents publics est régie par les articles 31,
32, 33 et 67 de la loi portant prévention et répression de la corruption du 03 mars 2015. Ces articles sont
complétés par le décret n° 2016-514/PRES/PM/MJDHPC portant fixation du seuil des dons, cadeaux et
avantages en nature non soumis à déclaration et les modalités de remise à l’autorité publique des dons, cadeaux
et autres avantages en nature non soumis à déclaration.
Principe : Il est interdit aux agents publics de recevoir des dons, cadeaux et tous autres avantages en nature
dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leur fonction. Mais au-delà de ce principe, il y a des exceptions.
L’article 2 du décret portant fixation du seuil des cadeaux… fixe la marge de tolérance de la valeur des dons et
cadeaux offerts à l’agent public à trente-cinq mille (35.000) francs CFA. Toutefois, il est interdit à un agent public
de recevoir plus d’un cadeau mineur émanant d’une même personne au cours de la même année. Si le cadeau
dépasse 35 000 F et vous n’avez pas la possibilité de refuser, il faut informer le supérieur hiérarchique et l’ASCE
LC pour la gestion de la destination finale dudit cadeau.
4
EXTRAIT DE LA CONSTITUTION DU 2 juin 1991
Article 1 :
Tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droits. Tous ont une égale vocation à jouir de tous les droits et de
toutes les libertés garantis par la présente Constitution.
Les discriminations de toutes sortes, notamment celles fondées sur la race, l’ethnie, la région, la couleur, le sexe,
la langue, la religion, la caste, les opinions politiques, la fortune et la naissance, sont prohibées.
Article 2
La protection de la vie, la sû reté, et l’intégrité physique sont garanties.
Sont interdits et punis par la loi, l’esclavage, les pratiques esclavagistes, les traitements inhumains et cruels,
dégradants et humiliants, la torture physique ou morale, les sévices et les mauvais traitements infligés aux
enfants et toutes les formes d’avilissement de l’Homme
Article 3
Nul ne peut être privé de sa liberté s’il n’est poursuivi pour des faits prévus et punis par la loi.
Nul ne peut être arrêté, gardé, déporté ou exilé qu’en vertu de la loi.
Article 4
Tous les Burkinabè et toute personne vivant au Burkina Faso bénéficient d’une égale protection de la loi. Tous
ont droit à ce que leur cause soit entendue par une juridiction indépendante et impartiale. Tout prévenu est
présumé innocent jusqu’à ce que sa culpabilité soit établie. Le droit à la défense y compris celui de choisir
librement son défenseur est garanti devant toutes les juridictions.
Article 5
Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle
n’ordonne pas.
La loi pénale n’a pas d’effet rétroactif. Nul ne peut être jugé et puni qu’en vertu d’une loi promulguée et publiée
antérieurement au fait punissable. La peine est personnelle et individuelle.
Article 6
La demeure, le domicile, la vie privée et familiale, le secret de la correspondance de toute personne sont
inviolables. Il ne peut y être porté atteinte que selon les formes et dans les cas prévus par la loi.
Article 7
La liberté de croyance, de non croyance, de conscience, d’opinion religieuse, philosophique, d’exercice de culte, la
liberté de réunion, la pratique libre de la coutume ainsi que la liberté de cortège et de manifestation sont
garanties par la présente Constitution, sous réserve du respect de la loi, de l’ordre public, des bonnes mœurs et
de la personne humaine.
Article 8
Les libertés d’opinion, de presse et le droit à l’information sont garantis. Toute personne a le droit d’exprimer et
de diffuser ses opinions dans le cadre des lois et règlements en vigueur.
Par ailleurs, il est important de relever que les règles déontologiques applicables
aux agents publics de l’Etat se fondent sur des principes de base et sur des
valeurs.
La responsabilité : l’agent, quel que soit son rang dans la hiérarchie, est
responsable de ses décisions et de ses actes ainsi que de l’utilisation
judicieuse des ressources et de l’information mises à sa disposition. Il est
tenu de rendre compte de sa gestion et en retour ses collaborateurs doivent
être en mesure de lui en demander.
B. Les valeurs
la certitude et la vérifiabilité
Toute information transmise par l’Administration doit pouvoir être certaine et
se vérifier a posteriori par le destinataire ; elle demande donc à être
soigneusement vérifiée et assurée par l’émetteur, avant toute transmission ;
l’exactitude
A la vérification, le destinataire de l’information administrative ne devrait pas
constater qu’elle est fausse, tronquée ou approximative ;
l’utilité
L’information administrative est utilitaire en ce qu’elle vise toujours à guider
une action, à résoudre un problème, à répondre à une sollicitation, etc.
la nécessité
Une information ne doit être transmise par l’Administration (ou à
l’Administration) que si elle est nécessaire ;
la suffisance
L’information administrative doit être complète quelles que soient son étendue
et sa complexité. Sa formulation doit être telle qu’elle se comprenne par elle-
même ;
1. La dignité
2. Le respect de la hiérarchie
Exemples :
Exemple :
4. L’objectivité
Exemples :
5. La courtoisie
Exemples :
Tout rédacteur d’un texte professionnel doit respecter les valeurs éthiques de
réserve et de discrétion. Celles-ci se traduisent par :
7. La prudence
Exemples :
8. La précision et l’exactitude
9. La clarté et la concision
Cette caractéristique se réalise par le choix du mot juste, les phrases ni trop
courtes, ni trop longues, plutô t bien formulées et qui vont droit à l’essentiel ; le
lecteur doit trouver rapidement tous les éléments qui lui sont utiles. Ce sont ces
traits de clarté et de concision qui confèrent son efficacité à l’écrit professionnel.
10. L’homogénéité
GRH-CE Rédaction administrative Page 34
Le caractère homogène du document administratif découle du respect par tout
rédacteur des 9 autres normes de rédaction ci-haut énumérées. L’homogénéité
du langage administratif cache la personne du rédacteur et affirme la supériorité
et la permanence de l’Administration.
I- LA PHASE DE LA PRÉPARATION
1. Le style
2. Le ton
I- LA PHASE DE LA PRÉPARATION
Tout texte administratif, même très court, doit être structuré suivant un
plan logique qui en facilite la compréhension. Le plan permet la
démonstration, l’argumentation, et la conduite du lecteur vers une
conclusion voulue.
C’est un travail essentiel, car c’est de lui que découlent en grande partie la
valeur et la portée de la rédaction.
b- Le corps du sujet
Le développement doit :
c- La conclusion
Comme l’introduction, elle doit être brève. Elle doit tirer les conséquences
de ce qui est dit dans le corps du sujet : décision, attente, etc. Cette
conclusion doit être soignée tant dans le fond que dans la forme car le
lecteur reste toujours sous l’impression des dernières phrases.
Le Directeur Général
Monsieur,
Vous voudriez bien lui présenter les véhicules de votre parc et lui remettre, dûment remplis
et certifiés exacts, les formulaires d’inventaire ci-joints en triple exemplaires.
Pascal B. ZANGRE
1. Le ton
Après avoir déterminé le ton qu’il convient d’adopter, et qui est intimement lié à
l’expression du texte, il faudra s’efforcer de choisir un rythme (lent ou rapide) de
phrase correspondant aux intentions de la pensée que l’on veut développer.
2. Le style
Il faudra également choisir entre le style direct et le style indirect, les deux
formes peuvent d’ailleurs être mélangées, sans inconvénient et même avec
avantage. Il en est de même pour la forme personnelle et la forme
impersonnelle.
Le pluriel de majesté ne sera employé que dans les actes solennels ou dans des
ouvrages dogmatiques.
6
Pour ne rien dire au sujet de
Sur un document émanant des plus hautes autorités de l’É tat, elle est le plus
souvent centrée au milieu de la ligne.
b- Le timbre
d- Le « sous-couvert »
e- La signature
La signature est l’un des éléments essentiels des documents administratifs : elle
constitue la condition même de la validité des actes administratifs. Elle se
compose du paraphe, des prénom et nom du signataire, éventuellement
GRH-CE Rédaction administrative Page 47
précédés de la qualité de celui-ci7. La signature se place au bas du texte,
excentrée vers la droite. Elle est une condition d’authenticité et de validité
juridique du document administratif. Le titre de distinction honorifique, s’il
existe, accompagne le nom sous le paraphe.
Pour être valable, la signature doit être de l’autorité compétente, c’est-à -dire
celle à qui la compétence a été attribuée par la loi et les règlements, cette
compétence s’exerçant dans des conditions précises.
L’autorité qualifiée pour signer un document peut, pour une raison ou pour une
autre, donner un ordre verbal ou écrit à un de ses agents de signer ce document.
La qualité de l’expéditeur qui figure dans la suscription ou en en-tête reste bien
7
La qualité du signataire est en gras, son prénom et nom en gras et souligné.
Pour le… (Qualité de l’autorité délégante) et par délégation (P/D), le… (Qualité
du délégataire).
. Paraphe
. Prénom et nom
Ou
. Prénom et nom
Ou
. Paraphe
. Prénom et nom
NB : dans un document signé par ordre, par délégation ou par intérim, la qualité
de l’expéditeur dans la suscription reste celle de l’autorité titulaire du poste.
f- Le numéro d’enregistrement
Exemple : n° 2020-0001/MATD-CS/SG/DGLP/DLP/SI
Le n° d’ordre est placé d’ordinaire sous le timbre, mais il est souvent énoncé en
même temps que la nature du document.
Cette mention est surtout utile pour le service émetteur au cas où des
corrections doivent être apportées soit sur le fond, soit sur la forme. Il est alors
facile de les faire apporter par le responsable de l’erreur. Elle devrait être exigée
par tout supérieur de ses collaborateurs dans les lettres entre services.
Ici intervient la notion de responsabilité des agents vis-à -vis de leur supérieur
hiérarchique (responsabilité interne uniquement), qui dispose là d’un moyen
d’appréciation de la qualité du travail de ses collaborateurs. Cette mention est
placée au-dessus du timbre, mais on la trouve parfois sous le timbre. Elle
comprend les initiales du rédacteur séparées de celles de la secrétaire par une
barre ou un point.
i. L’objet
Mention très brève de la matière traitée dans le document, elle se place au-
dessus du corps de la lettre et donc sous le timbre et le numéro
d’enregistrement, mais quelques lignes plus bas que la suscription.
j. Le cachet
a. La référence
Cette mention a pour but d’attirer l’attention du destinataire sur les documents
annexes transmis avec la lettre. Elle indique soit uniquement le nombre de
pièces, soit également leur désignation succincte. Elle est :
c. Les ampliations
N° 2012-34/MAD
Ouagadougou, le 24 juin 2012
Le Ministre
Aà
Madame le Préfet
KOMKI-IPALA
01 BP 1154 OUAGADOUGOU 01
En réponse à votre lettre citée en référence, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance que
les sieurs Bouda Timbi et Koala Isaac, Secrétaires d’Administration issus de la promotion 2010–2012
de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (E.N.A.M.) seront à votre disposition à
compter du 20 juillet 2012.
Ampliations :
- DRH 1
- SG 1
Boubakar TINDANO
F A
INITIALES REDACTEUR - SECRET APPELLATION DE L’ÉTAT
DEVISE
RED./DACTYLO.
B
TIMBRE DU SERVICE
E
LE LIEU ET LA DATE
D
NUMÉRO
D’ENREGISTREMENT
C
RÉCLAME OU SUSCRIPTION OU
VEDETTE
G OBJET
CORPS DE LA LETTRE
K L
AMPLIATIONS ATTACHE ET SIGNATURE
(S’il y a lieu)
GRH-CE Rédaction administrative Page 58
EMPLOI DES EXPRESSIONS ET TOURNURES EN RELATION AVEC LA HIÉRARCHIE ADMINISTRATIVE
La lettre entre services est, comme son nom l’indique, la lettre adressée par un
service administratif à un autre service administratif relevant d’un même É tat
ou d’une même structure.
J’ai pris bonne note de votre demande du… relative à ….. J’ai soumis la
question que vous m’avez posée à l’étude de mes services et je ne
manquerai pas de vous informer de la suite qui pourra lui être donnée.
Par lettre n°… du…, vous m’avez demandé… J’ai l’honneur de vous faire
connaître que ces pièces vous ont été adressées sous bordereau (sous pli
n°…) du… Elles devraient donc vous parvenir incessamment.
J’ai pris bonne note de votre réclamation en date du… relative à … Cette
affaire a retenu toute mon attention et recevra, après étude, la suite
conséquente dont je ne manquerai pas de faire part dans les meilleurs
délais.
Par lettre n°… du… vous m’avez adressé (par erreur), … J’ai l’honneur de
vous faire connaître que votre demande a été transmise à … compétent pour
traiter cette affaire, sous bordereau n°… en date du… Vous voudrez bien
prendre contact avec ce service pour toute information complémentaire.
b. La lettre de transmission
d. La lettre de rappel
Mais il arrive qu’en lieu et place de la lettre de rappel, une copie de la lettre
restée sans suite frappée de la mention « RAPPEL » soit envoyée au destinataire.
Si cette pratique offre l’avantage de la rapidité d’exécution, elle est moins
courtoise que la lettre de rappel et doit donc être utilisée avec discernement, en
fonction de la qualité du destinataire.
Observations :
. Une lettre à forme personnelle provenant d’un service et dont l’objet serait
administratif ne se différencierait de la lettre entre services que par ses formules
d’appel et de courtoisie.
Une lettre personnelle, dans sa forme la plus simple, comporte cinq (5)
éléments :
- le lieu et la date,
- la formule d’appel,
- le corps de la lettre,
- la formule de courtoisie,
- la signature.
Personnes privées
Autorités religieuses
Autorités politiques
Autorités militaires
Entre É tats africains, les chefs d’É tat amis ou membres d’une même
organisation s’adressent leur « haute et fraternelle considération » ou
« très haute et fraternelle considération ».
Exemples :
Mise en page 1
8
(1) : Formule adressée aux chefs d’États, ministres, anciens ministres, présidents et vice-présidents de
l’Assemblée nationale, de la Cour de Cassation, du Conseil d’Etat, du Conseil Constitutionnel, de la Cour des
Comptes, de la Haute-Cour de Justice, Ambassadeurs
GRH-CE Rédaction administrative Page 69
Nom, Prénom,
N° matricule
Fonction
Lieu de service
Adresse (téléphone, BP, Email, adresse
géographique)
Réclame ou suscription
Objet :
Formule d’appel
Formule de courtoisie
Signature
Corps de la lettre
Mise en page 2
N° d’enregistrement
Réclame ou suscription ou
vedette
Objet :
Réf. : (s’il y a lieu)
Pièces jointes : (s’il y a lieu)
Formule d’appel
Formule de
politesse Corps de la lettre
Attache et signature
Ampliation
s :
(s’il ya lieu)
A
Monsieur Eric Zida, sous couvert de
Monsieur le Proviseur du Lycée
Départemental de Fada
Monsieur,
Par lettre citée en référence ci-dessus, vous avez sollicité, pour des motifs d’ordre
familial et de santé, votre affectation dans la Région du Centre et de préférence au Lycée Technique
de Ouagadougou.
J’ai l’honneur de vous faire connaître que par le jeu des vacances de poste, seul le
Lycée Départemental de Saaba disposera à la prochaine rentrée des classes d’un poste
correspondant à votre qualification et qui pourrait vous être attribué.
En conséquence, vous voudriez bien me faire connaître dans les meilleurs délais,
votre acceptation éventuelle de la proposition.
Veuillez croire, Monsieur, à l’assurance de ma considération distinguée.
Timbre du service
Lieu et date
N° d’enregistrement
Suscription
Objet :
Corps de la lettre
Attache et signature
Ampliations (s‘il ya
lieu)
SO/TL
MINISTERE DE L’ADMINISTRATION BURKINA FASO
ET DE LA DECENRALISATION Unité - Progrès – Justice
--------------
N° 2012-34/MAD
Ouagadougou, le 24 juin 2012
Le Ministre
Le Ministre
B. TINDANO
Le T.O. fait donc appel « au style télégraphique » c’est-à -dire à un style qui
élimine tous les éléments annexes de la phrase normale pour n’en garder
que les mots-clés, strictement indispensables à la compréhension correcte
du texte.
La ponctuation est remplacée par le mot STOP qui marque le passage d’une
idée à une autre sans erreur possible. Exemple :
Il reste entendu que les TIC permettent d’avoir des textes mieux élaborés au
moindre coû t.
Il est classé par ordre chronologique comme les autres documents administratifs.
BORDEREAU D’ENVOI
Des pièces transmises par le Directeur régional
de l’Enseignement secondaire du centre.
//-]
Monsieur le proviseur de lycée Mixte de Gounghin
OUAGADOUGOU
NBRE DE
NATURE OBSERVATIONS
PIECES
TOTAL 01
DESTINATAIRE
Secrétariat Intendance
Service des archives service des statistiques
Jean-Louis SEOGO
Chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques
BORDEREAU D’ENVOI
Direction générale
Secrétariat général
Direction académique
Direction du campus
Département sciences de
gestion
Département sciences et
technologie
NATURE NOMBRE DE OBSERVATION
PIECES
TOTAL
01
Le Directeur Général
1. La note de service
2. La circulaire
1. La note de service
Elle est établie sur papier à en-tête du service et comporte l’essentiel des
mentions figurant sur la lettre entre services et avec la même disposition :
É tant considéré que cette note doit être classée dans le recueil des
instructions permanentes, le numéro d’enregistrement est suivi de sigles et
numéros correspondant au plan de classement du recueil et à la rubrique
sous laquelle le document doit être classé.
Pays / devise
Lieu et date
9
5
4
6
Observations :
A
Messieurs les chefs de service
NOTE DE SERVICE
Le Directeur Général
B. ZONGO
hh/as
MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS BURKINA FASO
SECONDAIRE ET SUPERIEUR Unité - Progrès - Justice
----------------------------------
UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU
Comme suite aux réclamations formulées par plusieurs chargés de cours vacataires auprès de la
direction des études et du service financier, il m’est apparu nécessaire de préciser la procédure en
vigueur pour l’évaluation et le règlement des indemnités de vacation dues aux chargés de cours à
l’Université de Ouagadougou :
Le Président
A. SANFO
Chevalier de l’ordre des palmes académiques
Ampliations
- Secrétaire Général.…2
- Services Financiers… 2
- Intéressés……………..45
Par ailleurs, elle est interprétative, mais pour clarifier le sens d’une
procédure, sans ajouter des éléments nouveaux au texte législatif ou
réglementaire qui la motive, au risque d’empiéter illégalement sur ce
domaine.
La circulaire peut aussi être prise pour définir les modalités pratiques de
l’action administrative face à des situations concrètes ou des éléments de
fait nouveaux.
- circulaire présidentielle,
- circulaire ministérielle ou interministérielle,
- circulaire provinciale, préfectorale,
- etc.
La lettre-circulaire est :
Le Président du Faso
A
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Messieurs les Ministres délégués
Le Ministre de l’administration
territoriale et de la décentralisation
À
Mesdames et Messieurs les Gouverneurs,
N° 2009- 15 /MEF
LE MINISTRE
A
Mesdames et Messieurs les Directeurs
Généraux des Sociétés d’Etat
Il m’est revenu que des conventions sont passées entre des Sociétés d’Etat et des organismes
privés sans qu’un cahier de charge précisant l’utilisation des fonds décaissés soit annexé auxdites
conventions. Cette pratique rend difficiles les contrôles financiers dont sont chargés les services de
mon département.
Aussi ai-je l’honneur de porter à votre connaissance que j’ai donné instruction à la Direction
Générale des marchés Publics pour qu’aucun financement ne soit encore octroyé à une Société d’Etat
à laquelle il viendrait encore à être reprochées de telles irrégularités.
Je vous serais obligé de veiller à ce que les termes de la présente lettre soient bien compris de tous
les partenaires et collaborateurs des Sociétés d’Etats.
Signature
Prénom+nom
Cette pratique est fréquente, particulièrement dans les É tats africains, mais
elle est déconseillée.
I. LA NOTE ADMINISTRATIVE
II. LE COMPTE RENDU
1. Définition et caractéristiques
2. Typologie des comptes rendus
III. LE PROCES VERBAL
1. Définition et caractéristiques
2. Typologie des procès-verbaux
IV. LE RAPPORT
1. Définition et caractéristiques
2. Typologie des comptes rendus
a. LA NOTE ADMINISTRATIVE
- PRESENTATION
Destinée au public, c'est alors une note d'information ; elle peut alors
prendre la forme d'une lettre : lettre administrative ou lettre à forme
personnelle.
Les Chefs de service sont informés que, durant le mois de décembre, les
frais de mission sont seulement réglés à l’arrivée et non au départ après
émargement sur les fiches fournies par la DAF.
Albert OUEDRAOGO
b. LE COMPTE RENDU
1. Définition et caractéristiques
- l’usage du service qui veut que soit gardée trace écrite de toute
mission particulière comme de l’activité générale ;
Ils sont ceux que le rédacteur établit, de son propre gré ou sur ordre, pour
relater un fait ou une situation à un supérieur et pour en garder une trace
écrite. Les CRH regroupent les CR d’activités, les CR de mission et les CR
d’accidents.
- le timbre
Exemples :
. COMPTE RENDU
de l’activité de monsieur X, inspecteur de…
pour la période du 1er au 31 décembre 2013.
. COMPTE RENDU
de la mission effectuée du 1er au 31 décembre 2013
dans la province du Yatenga
4. Illustration/mise en page
4.1. Le CR de mission
Comme suite à vos instructions, j’ai l’honneur de vous rendre compte ci-après de la mission de
contrô le que j’ai effectuée du 19 au 23 avril 2014 dans la province du Ganzourgou.
J’ai été accompagné dans cette tournée par Madame Paule Sanou, responsable de la santé
bovine, qui m’avait signalé les zones critiques à visiter en priorité : Zam, Duna, Tibin, jusqu’à
l’entrée de la province du Kouritenga.
L’insuffisance des pluies de la dernière saison hivernale et l’état médiocre des pâ turages que
nous avons pu constater laissent redouter des moments très difficiles si les pluies commençantes
ne se poursuivaient pas.
Le bétail sédentaire que nous avons pu examiner dans la zone nord-est, constitué surtout
d’ovins et de caprins, semble en meilleur état en raison de la nourriture complémentaire fournie
par les résidus de culture, mais l’effectif en est beaucoup plus restreint.
Un rapport plus précis et argumenté de cette mission vous sera soumis dans les prochains
jours, dès que j’aurais pu exploiter de façon plus approfondie les notes recueillies au cours de cette
tournée et les comparer aux résultats de la tournée effectuée dans la même province en février
2007
L’inspecteur des services vétérinaires
I. KONE
VI.3.1. Le CR intégral
Il se caractérise par sa stricte fidélité au déroulement de la
réunion : restitution des faits dans leur chronologie, relation des échanges
en faisant parler directement les participants, suivant le mot à mot des
débats. Ce type de CR est difficile parce qu’il exige une extrême rapidité
dans la prise de notes. On ne peut le réussir que par les notes
sténographiques, sténotypiques ou par l’enregistrement au magnétophone.
Le CR intégral ou CR sténographique est rarement demandé dans
l’administration.
III.3.2. Le CR analytique
Il est bref comparativement au CR intégral. Il écarte l’accessoire et ne
retient que l’essentiel des échanges, tout en restant objectif et non
interprétatif. Le CR analytique est rédigé en style indirect : les intervenants
sont nommés, mais leurs propos sont intégrés dans les paroles de la
narration.
V. Eléments de structure
Le titre : il se compose de la mention COMPTE RENDU, suivie de la
nature, de la date et de l’objet de la réunion (si celui-ci n’est pas isolé).
Exemple :
Etaient absents :
Quand l’effectif des participants est très élevé ou quand leur liste est
homogène (les chefs de services d’un ministère par exemple), on indiquera
simplement que « tous les intéressés étaient présents, sauf… » (Désigner
nominativement les absents). Même quand on ne cite pas les participants,
on peut nommer les personnalités marquantes.
N. KINDA
Faire remarquer
Dégager
Suggérer
Confirmer Nier
Appuyer Rétorquer
Acquiescer Infirmer
Approuver Objecter
Privilégier
Plaider pour
1. Définition et caractéristiques
Dans son sens 1er, le procès-verbal est un document écrit, produit dans une
circonstance civile ou pénale par un agent de l’autorité, lequel relate ce qu’il
a fait, ce qu’il a vu ou entendu, dans l’exercice de ses fonctions. Le procès-
verbal est donc un compte rendu, sauf qu’il n’est établi que par des agents
habiletés à le faire, qu’il a une valeur juridique et qu’il est destiné à faire foi
jusqu’à l’administration de la preuve contraire.
2.1.1. Définition :
2.1.2. Présentation
Exemple :
Exemple :
L’an deux mil dix et le … (date), nous, Eric Zida, gendarme de…, agissant en
vertu d’une réquisition de M. le Gouverneur de la Région du Centre, nous
sommes rendu dans le département de…pour y entendre M…, commerçant
domicilié dans ledit département, lequel nous a déclaré ce qui suit : ..............
Vient donc la relation des propos entendus, des constatations faites, des
opérations accomplies avec mention de l’identité et de l’adresse des
personnes mises en cause ou entendues et des témoins cités. La relation
« En foi de quoi nous avons établi le présent procès-verbal et signé avec les
témoins, après en avoir donné lecture à ceux-ci ». La formule est souvent
schématisée en :
Si des ratures ont été faites sur le PV, elles seront signalées et approuvées
en marge, puis mentionnées et comptabilisées à la fin du PV. L’agent
verbalisateur signera et fera signer la ou les personnes en cause ou les
témoins. Chaque signature sera précédée de la mention de la qualité qui
permet au signataire d’intervenir dans le PV. (L’agent verbalisateur,
témoins, déclarant…).
Exemple :
« Fait à………………………….le…………………………………….. »
2.2.1. Définition
2.2.2. Présentation
2.3.1. Définition
2.3.2. Présentation
le timbre du service ;
le titre PROCES-VERBAL, suivi de la désignation de l’objet :
Exemple : PROCES-VERBAL
de la réunion du conseil de discipline ;
Date et lieu
1. Le timbre.
GRH-CE Rédaction administrative Page 116
2. Au milieu, le titre PROCES-VERBAL avec l’indication de l’objet.
3. Préambule (en toutes lettres) précisant la position complète dans le
temps et dans l’espace de la réunion.
4. Désignation des membres présents (et éventuellement absents,
excusés) avec indication de leurs qualités en séance, secrétariat y
compris. Cette indication est importante quand la règle du quorum
doit intervenir dans la prise de décision.
5. L’ordre du jour.
6. Relation chronologique er ordonnée des diverses interventions
importantes, avec indication du déroulement des scrutins.
7. Conclusion du PV : celle-ci indique (aussi) la date de la prochaine
réunion s’il y a lieu.
8. Signature du rédacteur.
9. Le visa de l’autorité responsable (le plus souvent le président de
séance), et des membres
2.3.3.2.. Illustrations
Le PV de passation de service
N° 2012-02/MEFP/CNM/DE
PROCES-VERBAL
de passation de service
Y. DAH P. KY
D. OUEDRAOGO
L’an deux mil neuf et le douze avril à neuf heures s’est tenue à …
(lieu), sous la présidence de Monsieur…(nom et fonction), la réunion de
concertation de la Commission Provinciale de Développement
Economique et Social de…
- M. (nom et fonction)
- Mme……………....
- M………………….
Etaient absents :
- M…………………
- Mme……………… (excusée)
1.
2.
3.
4. Divers
1. Définition
Le rapport est un document de communication interne par lequel un agent
renseigne un supérieur hiérarchique. Il rend compte d’une question
importante et complexe en exposant objectivement les faits ; cependant il
va au-delà de ce simple niveau de relation pour porter sur lesdits faits des
commentaires, pour dégager des orientations et faire des propositions
d’attitudes et d’actions. Le rapport est donc un document d’aide à la
décision. Il doit être précis, exact, complet et solidement argumenté.
Il est un écrit qui rapporte les résultats d’un travail de recherche sur une
question donnée. Il requiert du rédacteur une bonne connaissance et une
étude approfondie du sujet traité. Le document doit exposer des éléments
significatifs, il doit être ponctué de commentaires et formuler des
propositions.
Le rapport de mission porte lui sur une mission ordinaire donnée, située
dans le temps. Les faits retenus doivent être clairement et méthodiquement
3. L’élaboration du rapport
3.3.1. L’introduction
Elle est brève et consiste à présenter le rapport dans ses motifs, son
objet (en délimitant le problème traité), ses circonstances de temps et de
lieu, sa destination (information, demande d’instruction, prise de décision).
3.3.2. Le développement
3.3.3. La conclusion
4. Présentation du rapport
- le lieu et la date ;
Exemple :
RAPPORT
Objet :
Le titre peut cependant être impersonnel et ne pas mentionner
de destinataire. Le texte commence sous le titre pour les rapports courts. Le
rapport ne comporte ni formule d’appel, ni formule de courtoisie.
Lieu,……
date…...................
RAPPORT
A
Monsieur le………..
Objet :
1. Introduction
. J’ai l’honneur de….
. Comme suite à votre instruction….
2. Développement
. Exposé des faits
. Interprétation, raisonnement et commentaires
. Propositions
Le développement sera structuré de façon plus ou moins apparente
(parties, sous-parties)
en fonction de son volume.
3. Conclusion
Résumé des propositions présentées (important surtout dans un rapport
long) et, s’il ya lieu, demande d’instruction.
Qualité du signataire
Signature
TITRE
Selon Monsieur Zina, tout le problème serait venu du fait que depuis un
certain temps, madame Boly ferait preuve d’insubordination et n’aurait plus
aucun égard pour le supérieur hiérarchique qu’il est : elle refuserait d’exécuter
certaines tâ ches à elle confiées ; et si elle se résigne à les exécuter, elle le ferait
avec une négligence qu’aucun responsable ne saurait tolérer. Pour Madame Boly,
toute la relation faite par Monsieur Zina ne serait que pure calomnie et plutô t
règlement de compte ; en effet, a-t-elle déclaré, celui-ci aurait échoué dans sa
tentative d’abuser de son statut de supérieur hiérarchique pour lui exiger des
faveurs qui n’ont rien à voir avec ses devoirs de subalterne.
Monsieur le Directeur Général, quelles que soient les raisons avancées par
l’un et l’autre des deux protagonistes, j’estime que leur conduite est en elle-même
fort regrettable ; en effet, il me semble inadmissible que le service devienne le
prétexte à des comportements aussi peu honorables et de nature à ternir l’image
de marque de notre entreprise.
Relation de faits constatés par une personne Etude de faits, d’une situation en vue de
Exposé de faits constatés par une ou exposé de l’exécution d’un travail, d’une proposer au destinataire des mesures pour
NATURE
personne dans l’exercice de ses fonctions. mission dont la personne a été chargée où remédier aux difficultés ou irrégularités
dont elle tient à informer ses supérieurs. constatées.
ROLE Servir de preuve. Renseigner les absents. Aider à la prise de décision.
STYLE Fidèle, objectif et clair Fidèle, objectif et clair Objectif et clair
Une mise en page uniforme sur tout le document : une grandeur de caractères spécifique pour tous les titres, pour tous les
sous-titres, pour les têtes de paragraphes et pour le texte ;
Une logique constante pour la numérotation ;
les espacements entre les paragraphes harmonisés ;
les caractères gras ;
les soulignements ;
la mise en couleur ;
MISE EN PAGE les alignements à droite/gauche/centre ;
l’entête et le pied de page ;
une page de garde ;
des pages titres si nécessaire ;
Objectif du document pour le rapport et le compte rendu ;
Audience cible pour le rapport et le compte rendu ;
Présentation du contexte (politique, stratégique, technique) pour le rapport.
PAGE DE GARDE - Le timbre,
- Le logo du service,
- La devise,
- Le numéro d’enregistrement si nécessaire,
SIGNATURE Tout PV est un document officiel et doit Tout CR est un document officiel et doit Tout rapport est un document officiel et
donc être signé par le Président de séance donc être signé par le Président de séance doit donc être signé par son ou ses auteurs.
et le secrétaire de séance ainsi que et/ou le secrétaire de séance.
l’ensemble des participants (sous la
Sens ascendant
Modalités d’exécution
d’une tâche ou Instructions
d’utilisation d’un matériel
Comportement à
adopter dans une Consignes
situation donnée