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Seul un chevalier aimé des fées et

des héros de ce royaume pourra


lever le Mal pesant sur notre Noble
ville. Les Druides t’ont laissé une
aide non négligeable, au coeur de la
roche aux trèfles....

Maintenant que les maudits Moines *ouges


se sont cachés dans nos r*es,
Je ne sais désormais
à qui m* confier.
Car *e ces nobles figures
Ne sont que pales augures
Sache que
Se cach*nt
aujourd’huis
de trop nombreux *éides
Et notre presqu’ile sacrée,
salace et sans allié
Saura ‘t’elle déjouer

le Joux des Templiers ?


*ar désormais ces m*udits
*ar le Sort à Jamais
Le*r sévi*es à mots dits

Leur Mal est dès lors fa*t

Puisse qu’il leur est dédié

Un desti* si parfait
Alors ainsi, Maudits,

par Diable leur fut bannie

Un paradi* parfait

Que dieu leur est promis.

Par de là le lierre, observe et persevere,

Car au delà du rouge, et de bois le pourtour,

Porte(nt) le séjour

d’une réponse peut être....

“ Je ne peux désormais me fié


Qu’à nos chers écuyers
Nos nobles chevaliers
en Traîtres S’étant formés.
Ô Jeune Damoiseau
Mû toi en souriceau
Et même Porte de fer
Ne saura t’être ferme
Modestie je me fie

Avant que mort ne s’échut

Tout mon or fut fondu

Et par l’hostie je fus bénie

Dans cette collégiale sacrée

Cherche ma relique forgée

Par un maître guérandais

Lui donnant l’éclat doré.

Les deux lettres de son nom,

à cet orfèvre exemplaire,

accompagné du numéro,

du très fameux reliquaire.


Immaculée bâtisse,

tapie dans la cité

Au hasard tu tapisses

un très profond secret

Toi dont la sainte mère

Porte le nom bénie

dissimule en secret

une étape à franchir

Mon Maître,, Tristan de carné


Capitaine de la ville de Guérande

vient de tomber

sous le coup des Templiers

Morts sont nos Alliés..

Ma Vengeance sera grande

mais si j’échoue à l’effort

Dussè-je veiller son trésor.

Ainsi je resterai par le remords

A son tombeau jusqu’à la mort...

Mes Chers amis,

Jeunes écuyers du royaume de Bretagne,

Vous avez découvert que mon maître fut assassiné

par des chevaliers du temple,

rue des Capucins,

Surement dans le but de

Récupérer son Or

Seylement celui ci en

Fit don à l’église des années avant

Et offrit sa vie pour préserver celle des guérandais tout en améliorant leur confort.

Cependant, il semble que son héritier est conservé une ultime partie de sa fortune, car voici
un dernier message.

De petits écuyers

par l’odeur alléchés,


Ne peuvent s’empêcher

De chez moi s’empresser

Car des nombreux Magots

Ramenés sur Mon Ilôt

Sache que mon Graal Sacré

N’est qu’un Croissant Sucré.

En guise de récompense, voici un passe droit pour visiter le Musée de la Porte St Michel.

Lorsque tu avanceras après la maison


des suzettes
et de celles aux Sarrazins
Observe à ta dextre
Ces pêcheurs figés dans leur bois
Dans un trou de souris
La suite t’es déposé.
A Piriac les marins aiment à dirent

Que du temps du Roy Almanzor

Un serpent géant vint mourir

Et s’échoua autour du port

Encore aujourd’hui

Il protège de son corps

Le navire de celui

Qui s’abrite dans le port.

brave les interdits

depuis le pavillon bleu

déchiré vers les cieux

Marche aux pierres jaunis

trouve le buisson brandi

Et son message écrit.


Ici lors d’une bataille

Un fier navire impérial

sombra dans une faille

Dans son, combat final

Sur la place du marché

Son anQre git dréssé

Face au maitre olivier

Observe cette lettre fauté

Et la suite gravé

Sous les tuiles est posé

N’oublie pas de noter

La lettre

Moi,

Cap’tain Benny O’Rabbit

Seigneur de garennes

Maître de l’île de RaPaNui

Est dissimulé mon dernier trésor ici à Piriac.

Pour éclore ce Trésor

Trouve ce lieu où dort

Un fier cocher

De bois représenté

Dans sa cage il t’a laissé

Mon tout prochain secret


de mon fier Bâteau

je me rappelle ce moUsse

qui de ces Livres, dingot,

ne Levait sa frimousse.

pErdu dans ses pages

evitant les tapageS

il n’en fut pas Moins sAGe

mais devint trop curIeux

Qu’ils cèdent donc au tapage

les gUerriers et matelots

car lui de cEs histoires

reSterait le héros.

Son livre favori

Ségurand, le chevalier au dragon


Place où les huguenots
Ont leur rue de plein pied
Derrière ces barreaux
Sur son ancre appuyé
La dame de ces lieux
Veille sur les navires

Si tu suis la trace du meunier


A la sortie du quai
Tu verras qu’en ce nid
Le Goéland précède
L’allée de la panthère
Qui retient en son nom
L’air de son espèce

Retiens en la lettre et recherche

Retourne sur la place


De la dame pétrifié
Et dépasse d’en dessous
Dragon et chevalier
Dans une allée
Où les rieurs ailées
Ont nommé ce passage
Recherche un message
Qui est au mur est boûclé
Tu approches du but
Dans la rue du crépier
La ville a ses reflets
Sur les murs décorés
Observe donc l’étoile
Sa couleur est teintée
Comme ce p’tit polisson
Mais a une lettre prêt

RETIENZ LA

Tu y es désormais
C’est l’ultime vérité
Dans l’ancien mausolée
Du seigneur Tournemine
Est la derière Enigme
Cherche de rouge nacrée
Cette bannière étoilée
Un saint representé
Observe les reflets
D’une forme sacrée
Une seule chance t’es donnée

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