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DIVORCE JUDICIARE

Quand a Divorce judiciaire dans ce cadre l'un des conjoint où les deux  vouent
ou doivent ce basé sur des événements juridique pour justifier-leur demande de
divorce
à ce titre si le le coude à privé plusieurs situation qui permettre a la femme de
demander le divorce la discorde peux être sollicité par les deux parties la discorde
ou bien le chikak on vertu de l'article 94 des codes s cette situation exige d'un
existance d'un différentes qui risquerais de conduire le couple a la discorde dans
cas sur la base  des articles 95 et 96 du code  de la famille le tribunal doigts en plus
de la tentative de la conciliation et la nomination des arbitres procéder à une
enquête complémentaire par tout moyen qui juge adéquat en cas de  
désaccord des arbitres aussi en cas d'impossibilité  de conciliation et
lorsque la discorde persiste l'article 97 du code exige au tribunal de
dresser un procès-verbal de prononcer le divorce et de status et sur
les droits des conformément au atricles 83  84 85 du code a cet effet le
trubinal tient compte de la responsabilité de chacun des epoux dans les
causes de divorce pour évaluer la reparation du préjudice subit par
A rappler en fin que dans un delai maximum de 6 mois courant a
compter de la date de l'introduction de la demande un jugment de la
répudiation doit etre pronancer
Autre situation 
Le procès en divorce est à la base une action menée par le mari,
mais  L'épouse peut aussi demander le divorce judiciaire pour l'une
des causes suivantes :
1) le manquement de l'époux à l’une des conditions stipulées dans l'acte
de mariage ;
2) le préjudice subi ;
3) le défaut d'entretien ;
4) l’absence du conjoint ;
5) le vice rédhibitoire chez le conjoint ;
6) le serment de continence ou le délaissement.

 reference a l'article 98 du code du Code de la famille du 5 février 2004


le manquement de l'époux à l’une des conditions stipulées dans l'acte de mariage ;

L'un des conditions stipulées dans l'act de mariage comme un préjudice justifiant la
demande du divorce judiciare ainsi est considéré comme un préjudice justifiant la
demande des divorce judiciare tout acte comportement infamant ou contrairment
mœurs émanant de l'epoux portant un dommage materiel ou morale a l'epouse la
nettent dans l'incapacité du maintenir les liens conjugaux toutfois ces faits doivent
etre prouvé a defaut le jugment de divorce ne contiendra pas la part de
dédommagement du péjudice prétendu 

 reference a l'article 99 a 101 du Code de la famille du 5 février 2004


                                              le défaut d'entretien

L'epouse peut demander le divorce judiciare pour manquement de l'epoux a


l'obligation de La pention alimentaire exigible et du ddans le cas et suivant 
les disposition ci apré :

• Si l'epoux dispose des biens permettant de pélever la pension alimentaire 


    le tribunal décide de moyens d'exicution de ce prélevment et ne dons
    pas suite a la demande de Divorce judiciare 
Sont considérés comme vices rédhibitoires pouvant compromettre la vie
conjugale et permettant de demander d’y mettre fin :
1. les vices empêchant les rapports conjugaux;
2. les maladies mettant en danger la vie de l’autre époux ou sa santé et dont on
ne peut espérer la guérison dans le délai d’une année.
La recevabilité de la demande de mettre fin aux liens conjugaux, formulée par
l’un des époux pour vice rédhibitoire, est subordonnée aux conditions
suivantes :
1. si le conjoint qui demande le divorce n’avait pas pris connaissance du vice
dont est atteint l’autre conjoint, lors de la conclusion de l’acte de mariage;
2. si le demandeur n’a pas manifesté clairement son acceptation du vice
rédhibitoire après avoir pris connaissance de son caractère incurable.
Références: Articles 107 et 108 du Code de la famille du 5 février 2004
Les deux époux peuvent convenir de divorcer par Khol avec des conditions qui ne sont
pas incompatibles avec les dispositions du Code de la famille et ne portent pas
préjudice aux intérêts des enfants. Lorsque cet accord prend lieu, les deux parties ou
l’une d’elles soumettent la demande de divorce au tribunal accompagnée de
l’autorisation de l’instrumentaliser. Le consentement d’une femme majeure à la
compensation en vue d’obtenir son divorce par Khol est valable. Si le consentement
émane d’une femme mineure, le divorce est acquis et la mineure n’est tenue à la
compensation qu’avec l’accord de son représentant légal. L’épouse a droit à restitution
de la compensation si elle établit que son divorce par Khol est le résultat d’une
contrainte ou si elle a subi un préjudice qui lui a été porté par son époux. Dans tous les
cas, le divorce est acquis. Tout ce qui peut légalement faire l’objet d’une obligation,
peut valablement servir de contrepartie en matière de divorce par Khol sans toutefois,
que cela donne lieu de la part de l’époux à un abus ou un excès.

Références: de l’Article 114 à l’Article 119 du Code de la famille du 5 février 2004


Les deux époux peuvent convenir de divorcer par Khol. Si les deux époux conviennent du principe du
divorce par Khol sans se mettre d’accord sur la contrepartie, l’affaire est portée devant le tribunal en vue
d’une tentative de conciliation. Au cas où celle-ci s’avère impossible, le tribunal déclare valable le divorce
par Khol, après en avoir évalué la contrepartie, en tenant compte du montant du Sadaq, de la durée du
mariage, des causes de la demande du divorce par Khol et de la situation matérielle de l’épouse. Si l’épouse
persiste dans sa demande de divorce par Khol et que l’époux s’y refuse, elle peut recourir à la procédure de
discorde.

Références: de l’Article 115 à l’Article 120 du Code de la famille du 5 février 2004

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