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Matériaux de construction
Chapitre 1 - Généralités
Béton
Liants minéraux
On distingue 3 comportements
la chaux éteinte
C’est une réaction de carbonatation, l’eau sert a dissoudre le CO 2 qui réagit avec la chaux
Cette réaction est lente réaction car elle dépend de la teneur en CO 2 du milieu.
!
C’est cette réaction de carbonatation qui assure la consolidation et non la réaction
d’hydratation de la chaux vive en chaux éteinte (hydratée) qui la précède :
CaO + H2O Ca(OH)2
2CaO. SiO2
+ n H2O (CaO)x (SiO2)y n H2O
3CaO. SiO2
la chaux hydraulique
Chimiquement , c’est un mélange de ciment et de chaux éteinte
c-autres liants
le silicate de sodium
SiO2/Na2O ≈ 3,5
Mélangé à l’eau et dans certaine condition de pH, il développe de gel de
silice qui se comportent comme des liant
les géopolymères
Les matière première silico-aluminueuse (argile : métakaolin) amorphe
attaqué par une base forte NaOH, KOH se dissout et précipite sous forme
de zéolithe
Liants minéraux
A Savoir – définitions
1. Le clinker
(voir chapitre 2)
2. Le Ciment
(voir chapitre 2)
3. Le mortier
C’est le mélange de chaux et d’eau avant et après prise (définition rigoureuse)
les maçons appelle aussi par mortier le mélange eau - ciment - chaux
Liants minéraux
4. Le béton
C’est le mélange d’eau, ciment et agrégat (sable, gravier) pas de chaux
5. la prise pouzzolanique
L’effet pouzzolanique c’est l’attaque par la chaux ou de dérivés de chaux, de
phases riches en silice pour donner des hydrates qui font prise.
les produits a effet pouzzolanique sont riche en silice
ils doivent être très divisés granulométrie très fine
il doivent être amorphe
Ex : Silice, argile, fumée de silice. Le pouzzolane le plus rependu est le métakaolin
Coût / consommation des matériaux
Utilisation des matériaux
Les critères de choix des matériaux doivent tenir compte des facteurs
suivants :
•thermique
–isolation thermique
•phonique
•optique
Fonctions des matériaux de construction
Mécanique :
– résistance à la compression
– résistance à la tension
• durabilité–fluage
– relaxation
Considérations environnementales
• ni toxiques
• ni particulièrement polluants
MAIS
Considérations :
•Recyclabilité .
Fondation de la Mosquée Hassan II de Casablanca
Académie des Arts Traditionnels
Matériaux de construction
Chapitre 2 – Ciment, Granulat et Adjuvant
I. Introduction
Le Ciment
Le ciment est un liant hydraulique capable de faire prise dans
l’eau. Il se présente sous l’aspect d’une poudre très fine qui,
mélangée avec de l’eau forme une pâte faisant prise et
durcissant progressivement dans le temps. Ce durcissement
est dû à l’hydratation de certains de ces composés minéraux,
notamment des silicates et des aluminates de calcium. La
proportion de chaux et de silice réactive devant être au moins
de 50% de la masse du ciment.
20
Le ciment courant
II Le clinker
Le clinker
Le clinker c’est le produit obtenu en sortie de four après
cuisson à haute température d’un mélange de d’argile,
calcaire et matière de correction. On obtient un produit
partiellement fondu, partiellement amorphe sous forme
de nodules très durs qui sont broyé pour obtenir une
poudre CLINKER PORTLAND
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Le ciment courant
1 – composition du clinker
1. C3S
3. C3A
D’un point de vue chimique il n’est pas nécessaire pour la l’hydratation , il a
une prise très rapide et très exothermique , il a une influence négative sur
la prise des silicates de calcium
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Pour cela on ajoute des sulfate de calcium pour contrer cette effet
Le ciment courant
En présence de de Na il se forme une solution solide
0 < Na2O massique <1,9 forme cubique ( très réactive)
1,9 < Na2O massique < 3,7 mélange forme cubique et forme
orthorhombique
3,7 < Na2O massique < 4,65 forme orthorhombique
4. C4AF
mSiO2
La fraction siliceuse ou SR : SR =
mAl2O3 +mFe2O3
Selon la norme 1,7 < SR < 2,5 en réalité elle régalement 2 < SR < 2,5. Une
forte valeur de SR suggère que le clinker sera difficile à homogénéiser par
traitement thermique 29
Le ciment courant
mAl2O3
La fraction alumineuse ou AR : AR =
mFe2O3
Si LSF vaut 1 toute la chaux libre disparue mais il est compris entre 0,85 et 0,90
30
Le ciment courant
3 – Relation composition chimique composition
minéralogique
La quantité des différentes phases peut être calculée approximativement
à partir de la teneur en oxyde du clinker. Les formules recommandées
par ASTM (American society for testing and material ) sont pour une
fraction alumineuse ≥ 0,64, analogues à celles proposées par Bogue en
1924.
Silicates tricalcique C3S.
C3S = 4,071 CaO - (7,600 SiO2 + 6,718 Al2O3 + 1,430 Fe2O3 + 2,852 SO3)
Les formules de Bogue sont approximatives car basées sur les hypothèses
suivantes
3. Au dessus de 1300°C
‒ C3S apparait ce qui correspond aussi au début d’apparition de la phase
liquide
‒ Plus la température augmente plus C 3S et la phase liquide augmente
‒ Si l’on abaisse la température d’apparition de la phase liquide (action
d’ajout) on abaisse la température de clinkérisation
4. Refroidissement (brutal)
‒ Matrice vitreuse dans la quelle se trouve C3S et C2S
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Le ciment courant
(C3A), célite (C4AF) a un comportement propre vis à vis de l’eau , pris séparément
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Le ciment courant
L’aluminate tricalcique (C3A) seul réagit très vite avec l’eau, il peut causer un
phénomène de fausse prise . Cette réaction très exothermique conduit à un très faible
durcissement.
Associé au silicates de calcium et notamment à C3S il a un effet très favorable sur
le durcissement initial.
moins violente que pour C3A . Elle peut jouer un rôle de durcissement
intermédiaire . La couleur grise du ciment est due à la présence de cette phase.
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Le ciment courant
La magnésie (MgO) : elle existe souvent sous forme non combinée dans le
ciment portland, elle peut occasionnellement se substituer avec Si4+ etTi4+ au Fe3+
pour donner un dérivé de la brownmillerite Ca2AlFeO5 Sa présence en quantité
supérieure à 5% à des effets très défavorable
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Le ciment courant
les oxydes alcalin Na2O et K2O sont en général combinés à autres constituants. Il
peuvent réagir avec les agrégats ajoutés dans le béton, leur quantité est généralement
faible ≈ 1%.
les sulfates de calcium on d’abord été ajouté au ciment portland pour contrôler
le temps de prise, la vitesse de début de durcissement et le retrait au séchage. Pour
chaque type de ciment portland la quantité de SO3 est optimale
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Le ciment courant
6 – Grandeurs chimique utilisées pour
caractériser les impuretés
les résidus insolubles dans HCl concentré Il correspondent a une partie inerte
souvent liée a l’addition de gypse ou a la présence de silice non réagie. La quantité
arbitrairement tolérée est de l’ordre de 0,75 à 1,7% en poids.
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Le ciment courant
7 – Les différents types de ciment portland en fonction
des applications
Il est nécessaire de produire des ciments avec différentes . Ceci est obtenu en
modifiant les proportions des phases présentes dans le ciment. Pour ce faire on
changes la composition des matières premières et de certains paramètres du
processus tels que la température de calcination.
Pour obtenir une forte prise (strenght) de grandes quantités d’alite C3S et de
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Le ciment courant
Ciment portland à faible chaleur d’hydratation il est nécessaire pour
d’avoir une forte teneur de bélite C2S au moins 40% au dépend de l’alite
Plusieurs types de ciment portland sont distingués et les normes sont différentes
d’un pays a l’autre , on peut toujours distinguer 3 types :
1. Les ciments portland ordinaire
2. Les ciments portland à durcissement rapides (pour l’hivers et la restauration)
3.Les ciments portland résistant au sulfate (pour les sols humides )
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Le ciment courant
Les ciments portland (ou autres) doivent avoir posséder un certain nombres de
propriétés pour être acceptables. Ils doivent être travaillables (ouvrabilité )
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Le ciment courant
9 – Hydratation des ciments
Les principales phases du ciment C3S, C2S, C3A et C4AF ( pas des corps pure
2C3S+7HC3S2H4+3CH+chaleur
Les silicates de calcium hydraté CSH
• Principale phase de pâte ciment hydratée
• Structure variée, mal cristallisé
• regroupé sous le terme de CSH
• ils apportent en grande partie la résistance au béton
C6A 3
H32 + 2C3A + 4 H 3(C3A C 12H)
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Le ciment courant
5. L’hydratation de la chaux libre
C + H CH
Présente en grande quantité 2 à 3% la chaux libre est nuisible
•En contact avec l’eau forte effusion et augmentation de volume de 80%
•Un éclatement du béton (si le phénomène se produit après la prise et le
durcissement
•La présence de chaux dans le ciment modifie la cinétique de prise
La composition d’une pâte de ciment hydratée sous eau à la composition
suivante
• 55 - 65% de CSH
• 20 - 25% de CH
• 10 - 25% de sulfoaluminates et aluminates de chaux hydratés
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• 1 - 3% de clinker résiduel non hydraté ( le cœur des gros grains)
Le ciment courant
E/C théorique
•Selon le type de ciment le type de ciment l’eau chimiquement nécessaire pour
hydraté 100g est comprise entre 26 et 28g pour simplifier on prendra 30g
•E/C=0,30 est le E/C théorique
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Le ciment courant
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Le ciment courant
Cuisson – « clinkerisation »
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Le ciment courant
Cuisson – « clinkerisation »
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Le ciment courant
Cuisson – « clinkerisation »
Four Rotatif
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Le ciment courant
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Le ciment courant
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Le ciment courant
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Le ciment courant
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Le ciment courant
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Le ciment courant
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Le ciment courant
9 - Les caractéristiques physiques requises
1. La finesse : elle fait référence a la tailles moyennes des particules de
ciment
Plus les particules sont fines plus la résistance à la compression se développe tôt
Elle contribue aussi a l’ouvrabilité la travaillabilité du mortier
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Le ciment courant
La distribution des particules : est aussi un paramètre important elle varie
de 1 à200µm environ
2. La consistance normale
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Le ciment courant
3. Le temps de prise
Quand un ciment est mélangé avec de l ’eau ( 20 à35%) il se forme une pâte
qui a un comportement plastique qu’elle maintient pendant une période appelée
dormante après elle commence a ce rigidifier, elle devient de moins en moins
plastique puis perd tout sa plasticité pour devenir fragile sans dureté mesurable.
C’est la prise, elle résulte de tout une série de réaction entre le ciment et l’eau ( à
voir dans le chapitre prochain) Ce n’est pas un phénomène de séchage , il a
lieu même quand le ciment est maintenu sous l’eau. L’augmentation de la
résistance qui correspond au durcissent à lieu après.
Quand un ciment est mélangé avec de l ’eau ( 20 à35%) il se forme une pâte
qui a un comportement plastique qu’elle maintient pendant une période appelée
dormante après elle commence a ce rigidifier, elle devient de moins en moins
plastique puis perd tout sa plasticité pour devenir fragile sans dureté mesurable.
C’est la prise, elle résulte de tout une série de réaction entre le ciment et l’eau ( à
voir dans le chapitre prochain) Ce n’est pas un phénomène de séchage , il a
lieu même quand le ciment est maintenu sous l’eau. L’augmentation de la
résistance qui correspond au durcissent à lieu après.
4 cas de figure
1. au début quand le vitesse d’évaporation est supérieure à la vitesse de
coulage , des contraintes hydrostatiques apparaissent . Elle causent un retrait
de la surface vers le cœur susceptible de favoriser la fissuration ( effet du
vent) 67
Le ciment courant
2. Après cette période une expansion se produit pendant environ 20H elle reste
modeste 0,09%
4. le retrait du à la carbonatation
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Le ciment courant
6. Différent types de ciments courants
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Matériaux de construction
Chapitre 3 – Granulat
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Le granulat
Production des granulats
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Le granulat
1.1. Extraction et transport vers les unités de traitement
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Le granulat
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Le granulat
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Le granulat
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Le granulat
1.2. Traitement proprement dit
Une installation de carrière comprend plusieurs postes de
fabrication, constitués par une succession d’opérations de
Fragmentation (concassage) et de classement
(criblage) des matériaux, ainsi que des dispositifs de
manutention (engins sur pneus et bandes transporteuses).
Des stockages intermédiaires soit en trémies, soit en tas
au sol avec reprise par extracteurs en souterrain ou par
engins mobiles, assurent l’indépendance fonctionnelle des
postes de fabrication.
Les opérations de réduction volumétrique peuvent
éventuellement être complétées par un tri préalable
, éliminant les éléments stériles, terreux et friables, et par
des actions de lavage voire de débourbage, éliminant les
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éléments polluants argileux.
Le granulat
1.2.1 Concassage
Le concassage consiste à réduire la taille des morceaux
de roches. Le choix du type et de la taille d’un appareil de
concassage est fonction de la granularité d’entrée, de la
charge circulante, et du débit de sortie.
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Le granulat
1.2.3 Lavage
2. Protection de l’environnement
Les carrières sont souvent ressenties par le grand public au
travers des atteintes qu’elles portent à l’environnement, par
suite des nuisances qu’elles occasionnent et des
bouleversements des sols et des paysages, qu’elles
engendrent. Sous la pression des écologistes, les
producteurs de granulats se sont mobilisés ; des progrès
importants ont été accomplis en matière de réduction des
bruits, des vibrations et des poussières, de traitement des
eaux et des boues, de réhabilitation des sites de
production, etc.
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Le granulat
Par la loi, on définit les prescriptions administratives et
techniques qui doivent être respectées pour l’exploitation
d’une carrière, par exemple :
— obligation de faire une déclaration de début d’exploitation ;
— interdiction d’extraire dans le lit mineur des cours d’eau ;
— interdiction d’extraire à moins de 35 m des rives d’un cours
d’eau ;
— tenue de plans d’exploitation mis à jour au moins une fois
par an ;
— obligation de faire le nécessaire en matière de prévention
des risques de pollution des eaux et de l’air, et de nuisance
par le bruit et les vibrations ;
— obligation de remettre en état après exploitation.
Il convient enfin de rappeler que les granulats sont assujettis à
la taxe générale sur les activités polluantes depuis le 89 1er
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janvier 2000.
1éme année
Matériaux de construction :
Chapitre 4 : le Béton
• Les Romains connaissaient déjà une forme de béton, mais son principe
fut perdu jusqu'à sa redécouverte en 1756 par l'ingénieur britannique
John Smeaton.
• Un béton contient donc une part importante d'eau libre, ce qui conduit à
une utilisation non optimale de la poudre de ciment.
la méthode Baron ;
la méthode Bolomey ;
la méthode de Féret ;
la méthode de Faury ;
la méthode Dreux-Gorisse
4. Formulation d'un béton
• Le béton utilisé dans le bâtiment, ainsi que dans les travaux publics
comprend plusieurs catégories.
béton de ciment ;
béton silicate (Chaux)
béton de gypse (gypse) ;
béton asphalte.
5. Classification des bétons
• Les granulats utilisés pour le béton sont soit d'origine naturelle, soit
artificiels. Leur taille variable déterminera l'utilisation du béton (les gros
granulats pour le gros œuvre, les très fin pour le béton sophistiqué).
• Origine minéralogique
Parmi les granulats naturels, les plus utilisés pour le béton proviennent de
roches sédimentaires siliceuses ou calcaires, de roches métamorphiques
telles que les quartz et quartzites, ou de roches éruptives telles que les
basaltes, les granites, les porphyres.
6. Différents types de granulats
6.1. Les granulats naturels
• Granulats roulés et granulats de carrières
- les granulats alluvionnaires, dits roulés, dont la forme a été acquise par
l'érosion. Ces granulats sont lavés pour éliminer les particules
argileuses, nuisibles à la résistance du béton et criblés pour obtenir
différentes classes de dimension. Bien qu'on puisse trouver différentes
roches selon la région d'origine, les granulats utilisés pour le béton sont
le plus souvent siliceux, calcaires ou silico-calcaires ;
— domaine 1 : rupture de la
pâte et décohésion aux
interfaces pâte-granulats dans
l’auréole de transition (les
granulats sont peu mobilisés) ;
8. Formulation du béton
— domaine 2 : ruptures mixtes dans la pâte, décohésion et rupture de
granulats ;
— domaine 3 : ruptures dans la pâte et transgranulaire, aucun
contournement, tous les granulats sont mobilisés.
Remarque : ces trois principes sont valables pour la majorité des bétons. Toutefois,
la résistance n’est pas uniquement conditionnée par la qualité de la pâte. La
déformabilité de la pâte étant généralement plus grande que celle des granulats, le
rapport volumique pâte/granulats interviendra au second ordre
8. Essai de gâchage
8.1. Essais sur Béton frais
« Maladie du béton »
• Béton armé
- Le ciment armé a été inventé par Joseph Monier qui en a déposé les
brevets dès 1870.
- On peut citer aussi les barques de Lambot (1848) en ciment armé de 5 à
6 cm d'épaisseur et dont deux exemplaires existent toujours. On se
reportera pour plus de précision au livre Joseph Monier et la naissance
du ciment armé paru aux éditions du Linteau (Paris, 2001).
- L'inventeur officiel du béton armé est François Hennebique en 1886 qui
l'utilisa pour la construction en 1899 du premier pont civil en béton armé
de France, le pont Camille-de-Hogues à Châtellerault.
10. L'utilisation du béton
• Béton armé
• Béton armé
- Les armatures mises en œuvre peuvent être soit en acier doux (l'acier
doux offre une faible résistance à la traction et, généralement lisse, une
faible adhérence au béton, il n'est plus guère utilisé aujourd'hui en béton
armé que dans la confection des boucles de manutention prescellées
pour son aptitude aux pliages-dépliages successifs sans grosse perte de
résistance) soit en acier haute-adhérence (aciers HA anciennement
dénommés TOR).
10. L'utilisation du béton
• Béton précontraint
- Les aciers utilisés pour la mise en compression du béton sont des câbles
(à torons) ou des barres de très haute résistance à la rupture.
10. L'utilisation du béton
• Béton précontraint
- Selon que cette tension appliquée aux armatures est effectuée avant la
prise complète du béton ou postérieurement à celle-ci, on distingue la
précontrainte par pré-tension et la précontrainte par post-tension.
- L'équilibre des efforts est obtenu par un tracé judicieux des câbles de
précontrainte sur l'ensemble de la poutre ou de l'élément concerné de
telle sorte que les sections de béton restent (quasiment) entièrement
comprimées sous l'effet des différentes actions.
- Une autre option est dite de « poudre réactive » à structure fractale : les
grains qui le composent ont tous la même taille, et accessoirement la
propriété de présenter la même forme à différentes échelles (fractale).
L'organisation optimale des granulats au sein du béton lui octroie de
meilleures propriétés mécaniques.