EPB

M A G
#02 Le Magazine d’Euro-Plongée
Plongée Sous Marine-P.M.T-Formations-N1-N2-N3-N4-Initiateur-MF1-Explos-Bio-Nitrox

BIO:LA FAUNE NOCTURNE

L’INTERVIEW : STEPHANE
o n s ! ! !
é s o l u t i
n n e s r
B o ‘‘JE ME METS AU NITROX’’
A Votre Service :
-Une équipe de Moniteurs diplomés
-Trois Bateaux équipés
(80 plongeurs )
-40 équipements complets
pour la location
-Un local de 100m2 pour
entreposer le matériel,
toilettes,douches,Wc
-Une station de Gonflage
de 60m3 ( Air,Nitrox )
-Une vingtaine de sites
répertoriés, dont épaves
Baptèmes
EURO PLONGEE-
Randonnée Palmée
2170 ROUTE DE LA CORNICHE
Formations -N1-N2-N3-N4
PORT DE BOULOURIS
Initiateur, Mf1
Nitrox Base & Confirmé 83700 - SAINT RAPHAEL
Plongée Profonde TEL: +33 (0)4 94 19 03 26
Biologie Sous Marine - PORT- +33 (0)6 09 18 53 74
Photo Sous Marine www.europlongee.fr -
contact@europlongee.fr

ON GÉE
-PL
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EURO

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 Sommaire: Edito: #1
Page 1 - EDITO - SOMMAIRE- NEWS CONFIANCE !...
Page 2-3- L’INTERVIEW DU CHEF Contre vents et marées, notre
Page 4-5 - LE CALENDRIER DES STAGES petite entreprise EPB garde le
Page 6-7- BONNES RÉSOLUTIONS’’ JE ME METS AU NITROX cap et réagit dans le contexte
Page 8 BIO: LA FAUNE NOCTURNE actuel de crise pour conserver
Page 9 DIVERSIFICATION et développer l’image qu’elle

Breves de Paliers :
•SEB ... PARTI .... Sébastien a quitté EPB depuis le mois de
s’est constituée et la place
qu’elle occupe aujourd’hui.
En constante croissance
d’activité, nous restons donc
septembre 2008. Son avenir se poursuit désormais chez vigilants afin de vous offrir des
les pompiers. Son uniforme lui va merveilleusement bien
services toujours meilleurs, en
!!!!!!!!!!!!!!!!! Il a promis de revenir avec quelques collè-
gues pour faire un calendrier… nous attendons cela avec impa-
maintenant des coûts raison-
tience !! Tous nos souhaits de réussite à notre louloute. nables. (Il est à noter que nos
prix n’ont pas changé depuis 3
• ARRIVÉE DE ...... JEAN MARC • SALON DE LA PLONGÉE ans).
Présent au sein d’EPB depuis le 1er avril 2009, il a subit avec Nous serons présents au La stabilité d’EPB repose sur
succès l’épreuve de l’apéro (c’est tout de même un breton). Déjà salon de la plongée à Paris le soin que nous apportons aux
quelques surnoms : J-M du gonflage, Monsieur 32%. Rigueur, du 15 au 18 janvier. Vous améliorations de nos presta-
compétence, gentillesse. Ses résolutions pour 2010, encore plus pourrez nous retrouver sur le
tions et sur la confiance et la
de nitrox, du trimix, du recycleur et la préparation du BEES 2. stand Cressi N° D09. A très
Bienvenue dans l’équipe !!!!! bientôt !! fidélité de celles et ceux à qui
elles sont destinées.
• EUROPLONGÉE.... BONJOUR Forts de cette confiance et
Frédérique est toujours là pour vous répondre de sa voix douce et enchanteresse. Elle n’a pas
heureux de cette fidélité, nous
tout à fait renoncé à sa carrière de chanteuse mais préfère pour l’instant vous casser encore
un peu les oreilles. Heureusement, sous l’eau elle est muette !!!!
ne baisserons pas les palmes
et abordons une ANNEE 2010
• MICHOU........ AMOUREUX pleine d’émotions et de bon-
Mais fidèle au poste. Les outils bien à leur
heur partagés avec tous nos
place, le frigo bien rempli. Pour votre plus
grand plaisir voici la recette du taboulé fa-
amis plongeurs .
çon Michou : semoule, tomates, crevettes,
thon, maïs et … beaucoup d’amour. C’est BONNE ANNEE à TOUS !!!
vous dire comme nous nous régalons. Nous et BONNES PLONGEES !!!
aussi on t’aime !!!!
Stéphane BARRE
• A LA DOUCHE !!!
Vous les attendiez …. Elles sont arrivées
!!!! Deux douches extérieures viennent
compléter les aménagements des sanitaires.
ON COULE !!!!
C’est la mésaventure sous
ET UN ET DEUX … E3 • PNEUMATIQUE marine qui a failli arriver
De E2 à E3 il n’y avait Après le Katann, c’était au au Dauphin des Iles. Une
qu’un pas, et Jean-Etien-
tour du Petit Jaune de subir mauvaise rencontre avec
ne et Olivier l’on franchi
avec succès. Après une quelques transformations une bille de bois et le lende-
douloureuse semaine (en- …. La console à l’avant et main nous constations une
fin surtout pour nous) de bientôt un taud de soleil énooooooooooorme déchirure
préparation et d’examen, pour votre plus grand à l’avant du bateau. Le naufra-
nous avons pu fêter leurs confort … ge a été évité grâce aux talents
diplômes de MF1. Félicita- Et celui du pilote !!!! de pilote du grand chef. Un
tions à Jet et Olive !!!!!!
petit séjour au chantier naval
et le Dauphin nous est revenu
• LA FÉDÉRATION NELOS A BOULOURIS comme neuf … Ouf !!!
POUR LA 4éme ANNÉE
Nous avons encore eu le plaisir d’accueillir nos amis belges pen-
dant 4 jours, durant lesquels la Fédération NELOS forme ses
cadres. Bien sûr, du sérieux pendant le stage mais de la bonne
humeur et d’excellents moments passés en leur compagnie !!!
De quoi satisfaire notre fierté d’exporter notre savoir faire.

•Vous avez plongé avec eux … • DES NOUVELLES DU CHEF:

Un grand merci à ceux qui, tout au long de l’année, nous Il n’y a pas de raison qu’on
donnent un coup de main et plongent ou randonnent avec ne parle pas de lui. En pleine
vous : Mimi, Agnès, Nini, Julie, Marie-Aude, Chloé, Thiffaine, forme après toutes les plon-
Christelle, Jean-Etienne, Erick, Nicolas, Julien, Cédric, Hadrien, gées qu’il a faites cette année
Michel, Jean-Luc, Jeff, Olivier, Pierre C., Christophe, Martin, et … pacsé à la douce Claudie.
Raphaël, Claudie, Etienne, Hamed, Pépone, Nabil, Philippe, Eric Tous nos vœux de bonheur
V., Eric A., Jean-Pierre, Brigitte, Jean-Michel, Pierre L., Guy, chef !!!!
Béatrice,Patrick,Francis,François,Christian...
#2 L’INTERVIEW :
CAP SUR EURO-PLONGEE : L’INTERVIEW DU CHEF
Membre de l’équipe EURO-PLONGEE depuis 1992, Stéphane BARRE en a pris la direction en 2003,
Rencontre avec le Chef...
EPBMag : « 18 ans que vous plongez dans la baie de Saint
Raphaël, quel constat faites vous ? »
Stéphane Barré (SB) : « Le chef : Hormis l’année 1999 durant
laquelle nous avions constaté la mortalité massive des gor-
gones et des éponges, les fonds ne cessent d’être plus riches
tant au niveau de la flore que de la faune.
En témoigne la taille des gorgones bleues sur les sites entre
20 et 40 mètres, certaines dépassent les 150 centimètres. Les
éponges sont revenues mais n’ont pas encore atteint la taille
que j’ai connue à la fin des années 90. Quant à la faune cela
fait quelques années qu’elle s’est développée tant en quan-
tité qu’en diversité et aujourd’hui on observe les mérous, les
barracudas et les dentis sur la quasi-totalité des sites, quelle
que soit leur profondeur.
A noté qu’à la « voûte de corail » du Lion de mer le corail colo-
nise la totalité du mur et offre un spectacle éblouissant sur
près de 100 mètres de long »
EPBMag : « Comment expliquez vous ce développement
général ? »
SB : « Nous avons une Méditerranée à Saint Raphaël qui se
porte bien : la Posidonie y est très présente, pas de Collerpa
taxifolia, peu de pêcheurs et peu de chasseurs. Cela permet
d’offrir un écosystème sain et actif. De plus les secs qui bor-
dent la côte offrent un abri ainsi qu’un garde manger précieux
pour la faune »
EPBMag : « Pouvez vous jouer un rôle pour préserver cet
équilibre ? »
SB : « Oui, bien sûr. Tout d’abord, il est de notre devoir de
respecter la mer en se conduisant correctement.
Pas de pollution marine par le rejet de carburant (cales pro-
pres), aucun rejet de déchets tels que plastique, papier etc.
Ne rien prélever au fond hormis les photos et les souvenirs.
S’équilibrer en exploration afin d’éviter tout contact avec le
substrat, bien arrimer son manomètre et autres accessoires,
faire les exercices sur le sable, ne pas déranger les animaux et
ne pas les nourrir.
Ensuite il est de la responsabilité des clubs d’adopter des sites
en fonction des plongeurs et de leurs niveaux. Dans la baie
ainsi qu’au Lion de mer les clubs ont fixé des anneaux sur les
roches pour pouvoir amarrer les bateaux sans « envoyer «
l’ancre ravager les fonds à chaque rotation. »
EPBMag : « Etes vous les seuls (clubs) conscients de ces ef-
forts pour la préservation du milieu ? »
SB : « Non, bien entendu. Même si les actions ne sont pas
assez nombreuses et mettent du temps à se mettre en place,
Saint-Raphaël et la région ne sont pas en reste sur les moyens
mis en œuvre.D’une part sur le développement de la plongée
sur la commune : leur présence au salon de la plongée à Paris,
la création de Pass, de ‘‘pack’’ et des brochures d’informations
par les acteurs du tourisme tels que la Centrale de réservation
ou l’Office du tourisme.
D’autre part sur le plan environnemental en créant une
zone « Natura 2000 » qui entre dans la catégorie des aires
marines protégées. A ce titre la Commune de Saint-Raphaël
est à l’origine de la rédaction d’un document ayant pour
objectif de faire un état des lieux, et de fixer les enjeux, les
objectifs de gestion afin de maintenir la conservation des
habitats et des espèces.
N’oublions pas au niveau National la prolongation du mora-
toire sur l’interdiction de la pêche des espèces protégées.
Il est important de pouvoir continuer à voir les bancs de
barracudas tournoyer autour de nous, de rendre visite aux
mérous et de s’offrir un feu d’artifice de couleurs.»
EPBMag : « Des zones d’ombres dans ce paysage ? »
SB : « On peut se féliciter, sans y être pour grand-chose,
d’avoir passé une année sans méduses, tant mieux pour nos
baptêmes et nos randonnées palmées.
Par contre un phénomène s’est produit vers le 15 mai au mo-
ment du réchauffement brutal de l’eau. Il s’agit de l’appari-
tion d’un voile algal qui s’est développé d’un coup. Il est vrai
que certains sites ressemblaient à un décor d’Hallowen. Ce
voile brunâtre se développe au début du printemps, il est fa-
vorisé par des apports de sels nutritifs qui élèvent la salinité
de l’eau Les pluies importantes de fin 2008 et début 2009
en seraient la cause. Heureusement ce voile a disparu au fil
des mois sans causer de dégâts sur le peuplement benthique
(gorgones). Ce phénomène a déjà été observé en 95/96 et a
aussi été constaté cette année (2009) dans d’autres régions
de la Méditerranée et même jusqu’en Corse.
L’algue concernée pourrait être du genre Acinetospora, mais
il en existe d’autres espèces. Les identifier reste une affaire
de spécialiste. »
EPBMag : « Dans le dernier EPB Mag vous nous parliez de
nouveaux projets, ou en êtes vous ? »
SB :« D’autres projets sont nés mais de ce qui était prévu,
nous avons répondu au cahier des charges. Nous voulions
préserver notre petit coin paradisiaque tout en apportant
encore plus de confort aux plongeurs ainsi qu’aux moni-
teurs. Après la belle avancée en bois sur la plage
qui offre une plus grande surface disponible pour le rinçage,
séchage et stockage du matériel
Nous avons construit des sanitaires dignes de ce nom et
procédé à l’aménagement de coffres en aluminium qui per-
mettent le rangement des palmes et la pose des blocs afin
de s’équiper plus facilemefacilement ; d’autre part on pourra
désormais utiliser les nouvelles douches extérieures.
Pour les bateaux des aménagements en aluminium ont été
faits pour renforcer le Dauphin des Iles et le rendre plus
fonctionnel (davier, chaumards, capots moteurs … )
Les pneumatiques sont maintenant tous les deux équipés
de moteur 225 CV avec consoles à l’avant afin de libérer de
la place à l’arrière pour les plongeurs, et bien entendu de
VHF, de sondeurs et de tauds de soleil.
Le compresseur Nitrox à été changé, le nouveau est plus
 #3
puissant et les réserves de gaz en Nitrox sont passées de 4 x 80
litres à 8 tampons de 80 litres à 250 bars.
Depuis le départ de Sébastien Mondot fin 2008 nous avons
recruté un nouveau collaborateur en la personne de Jean-Marc
Peron, BEES 1 (entre autres).»

EPBMag : « Du mouvement dans le personnel ? »

SB: Depuis le départ de Sébastien Mondot fin 2008 nous avons

recruté un nouveau collaborateur en la personne de Jean-Marc
Peron, BEES 1 au savoir multiple et précieux.

EPBMag : « Et la diversification, clef de voûte de votre politi-

que commerciale »

SB : « La barre est tournée dans le même sens, aucune entre-

prise ne peut maintenir ses résultats sans innover ou aller de
l’avant en exploitant de nouveaux marchés. Pour EPB notre
partenariat avec les comités ou ligues de la FFESSM, les fédéra-
tions étrangères (Nelos) ainsi que les SDIS (pompiers) restent
un atout majeur. Nos investissements sont d’ailleurs souvent
orientés en fonction de ces derniers.
Les résultats le prouvent, qualité, confiance, compétitivité,
permettent de fidéliser notre clientèle, et le contexte actuel ne
nous fait rien regretter.
En dernier lieu, l’arrivée de Jean-Marc a amené du sang neuf et
comme je le disais précédemment il n’a pas en poche que son
BEES 1, en tout bien tout honneur c’est un amoureux des gaz
et des technologies, de pointe . Pour être plus clair son dada
c’est le nitrox, les recycleurs le trimix et les mélanges en déco.
Il va de soi que nous allons proposer ces prestations et allons
par conséquent nous équiper en matériels et lyres de gonflage.
Tout ceci correspond à une demande de certains plongeurs,
nous pourrons ainsi proposer du nitrox à plus de 40% (idéal
pour une déco en plongée .»profonde).»

EPBMag : « Des rêves ? »

SB : « Oui bien sûr. Entre autre, pour le plaisir d’entreprendre,

j’aurais aimé que nous puissions acquérir un hébergement pour
nos plongeurs nous même, mais les places (prix du m2) sont
trop chères pour des structures comme la nôtre.
Malgré tout nous sommes privilégiés à Boulouris car les hé-
bergements à proximité ne manquent pas et il est possible de
trouver son bonheur dans des prix allant de 30 à 60 euros en
pension complète.»

EPBMag : « Que souhaiter à EPB pour l’avenir ? »

SB:«Garder la joie et la dynamique qui nous animent, travailler

sérieusement avec le plaisir de vous faire plaisir.
Rester sur la base de ce que j’ai essayé de construire, un centre
où l’on se sent bien, pour vous « plongeurs » » comme pour
nous.»
#4
Lun Mar Mer
JANVIER
Jeu Ven
01
Sam Dim
02 03 PHOTOS
LES STAGES EURO-
04 05 06 07 08 09 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 31

FEVRIER
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01 02 03 04 05 06 07
08 09 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28

MARS
PLONGÉES PROFONDES
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01 02 03 04 05 06 07
08 09 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28 BIOLOGIE
29 30 31 SOUS MARINE

AVRIL
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01 02 03 04
05 06 07 08 09 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31

MAI NITROX BASE & CONFIRMÉ

Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01
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09 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
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30
JUIN NIVEAU 4
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01 02 03 04 05 06
INITIATEUR
07 08 09 10 11 12 13 MF1
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28 29 30

Euro-Plongée - 2170 Route de la Corniche - Port de Boulouris - 83700 - Saint Raphaël

 #5
-PLONGÉE 2010: JUILLET
Lun Mar Mer Jeu Ven
01 02
Sam Dim
03 04
NIVEAU 4 : Nous consulter 05 06 07 08 09 10 11

12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
INITIATEUR: Stage initial Stage final 26 27 28 29 30 31

AOUT
du 07/08 au 10/08 19/09 au 25/09 Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
02 03 04 05 06 07
01
08
09 10 11 12 13 14 15

MF1 : Stage initial & final 10/04 au 08/04 16

23
17
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Stage final 19/09 au 25/09 30 31
SEPTEMBRE
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
PHOTO: Nous consulter 01 02 03 04 05
06 07 08 09 10 11 12

-BIO animateur et initiateur: 13 14 15 16 17 18 19

20 21 22 23 24 25 26
du 17/07 au 24/07 27 28 29 30
BIO MF1 Nous consulter
OCTOBRE
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim

NITROX BASE ET CONFIRME, 04 05 06 07

01
08
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10

PLONGEE PROFONDE: 11
18
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du 17/05 au 21/05 25 26 27 28 29 30 31
du 31/05 au 04/06
du 07/06 au 10/06 NOVEMBRE
du 14/06 au 18/06 Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
du 21/06 au 25/06 01 02 03 04 05 06 07
du 12/09 au 18/09 08 09 10 11 12 13 14
du 20/09 au 24/09 15 16 17 18 19 20 21
du 04/10 au 08/10 22 23 24 25 26 27 28
29 30 31
du 11/10 au 16/10

ON GÉE
-PL É
DECEMBRE
i Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
EURO

t if x 01 02 03
r r o 04 05 06 07 08 09 10
ce it 11 12 13 14 15 16 17
n 18 19 20 21 22 23 24
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- tel : +33 (0)4 94 19 03 26 - Port - +33 (0)6 09 18 53 74-www.europlongee.fr - contact@europlongee.fr

#6 BONNES RÉSOLUTIONS !!!
‘‘JE ME METS AU NITROX !!! ‘‘
Prenant, à l’occasion de cette nouvelle année, de bonnes résolutions,
ça y est je me mets enfin au Nitrox..
ASTUCE :
En effet à l’époque des privations (alcools, cigarettes, Pour les mélanges entre 30 et 50 %
régimes drastiques …) du 1er janvier, pourquoi ne pas s’ac- il suffit de soustraire le pourcentage à
corderen contre partie un monde suroxygéné, apportant 70 pour obtenir la profondeur
confort, sécurité et nouvelles techniques. maximale d’utilisation
A l’ere où l’on taxe le carbone, EPB vous propose à un coût (cette méthode de dernière minute
bien moindre l’accès à l’oxygène en plongée. va dans le sens de la de sécurité)
Le Nitrox : considérant l’air comme un nitrox à 21%, on
peut adapter le mélange en fonction de la profondeur
maximum de la plongée. Le cantonnement à 32% et 40%
est un peu réducteur. Rappelons simplement que le mé-
lange sera d’autant plus pauvre que la profondeur atteinte
est grande.
Aussi les mélanges les plus riches, voir purs, seront utilisés
en déco grâce le plus souvent à une pony (3 à 6 litres) au
retour de plongée profonde (plus de 45 mètres).
Pour la formation, 2 à 6 plongées sont nécessaires. Le
nitrox base accessible dès le niveau 1 consistant, hormis
l’utilisation des mélanges en immersion, à l’analyse du gaz,
sa nomenclature sur le bloc de plongée ainsi que celui du
registre.
EPB et le Nitrox : déjà en place depuis 2004, EPB à une
grande expérience tant en formation qu’en exploration.
Les différents sites et les différents publics nous ont
fortement poussés à nous équiper, tant en petit matériel,
(pony, détendeurs 26/200, analyseur) qu’en gros matériel
(compresseur, bouteilles, tampons). Le projet de départ
était surtout basé sur un seul point : augmenter la sécu-
rité. Pour cette raison tous nos recyclages pompiers se font
au nitrox (mélange fond ou déco). Ainsi que les formations
N3 (coût offert dans la formation). En effet ces différents
stages nécessitant de multiples « yoyo »en font des plon-
gées plus saturantes et donc plus risquées. Il va de soi que
les moniteurs d’EPB plongent exclusivement au nitrox tout
au long de l’année. Aujourd’hui la sécurité n’est pas le seul
mot d’ordre, le confort et le plaisir en sont deux autres.
En effet les mélanges permettent aussi de faire durer les
plongées et surtout sur celles dites carrées entre 30 et 45
mètres (Péniches, Rubis…) :
40 mètres au nitrox 32 = profondeur équivalente à l’air
d’environ 33 mètres,
30 mètres au nitrox 40 = profondeur équivalente à l’air
d’environ 21 mètres
Mais ils offrent aussi un confort et une sécurité (autono-
mie) lors de plongées profondes qui se pratiquent en grand
nombre à EPB. A ce moment là c’est en déco qu’est utilisé
le nitrox. Parlons coût : à quoi servirait tout cela si ce
n’était pas abordable ?
-En formation, compter 10 euros de plus qu’une plongée
d’exploration
-En exploration, 1 euro de plus qu’une plongée à l’air
A noter que vous pouvez lors de ces plongées garder votre
matériel air.
Allez hop, vérification du pourcentage du mélange adapté
à la profondeur et c’est parti pour des plongées encore
plus belles.
CARNET INTIME DE JEFF :
Agé de 64 ans, faisant parti du Club de
plongée de Boulouris depuis 1992,
5380 plongées, E2,
Jeff est le Roi incontesté de l’exploration
JM
#7
Alors Jeff ce nitrox après sept mois de pratique ?
Jeff
Et bien tu as converti quelqu’un qui était sceptique !
JM
Tu avais des réticences à plonger au nitrox ?
Jeff
Non seulement j’avais des réticences mais je ne voulais pas
en entendre parler !
Je trouvais qu’après 40 ans de plongée, je n’en voyais
aucune utilité.
Je plongeais à l’air depuis tant d’années que je pensais que
la plongée au nitrox n’était pas pour moi, je ne me trouvais
nullement fatigué à l’issue des plongées, et trouvais leurs
profils de tout à fait acceptables.
Je dois même avouer que je dénigrais tous ces plongeurs
nitrox, je ne voyais en eux que des plongeurs quelque peu
«snob» qui voulaient seulement être dans l’air du temps et
suivre une mode.
JM
Et qu’est ce qui t’a convaincu de te rallier à cette pseudo
mode ?
Jeff
Des petits gars sympas qui m’ont expliqué avec simplicité et
efficacité comment utiliser les mélanges et m’ont poussé à
les essayer.
JM
Et après tes sept mois de plongée nitrox, quel est ton senti-
ment ?
Jeff
Tout d’abord je dois faire amende honorable envers tous
mes amis qui plongent au nitrox.
La formation que tu m’as inculquée, et la centaine de plon-
gées nitrox effectuées m’ont fait toucher du doigtl’arbitraire
du raisonnement que j’avais en tête.
Je me suis vite aperçu des immenses avantages du nitrox.
JM
Ah ! Et pour toi quels sont ces avantages ?
Jeff
Tout d’abord, j’ai remarqué que j’étais plus en forme après
les plongées (surtout à mon âge). Ensuite cela m’a permis
de faire des profils plus sécurisants et plus confortables.Au
début je faisais mes paliers comme pour une plongée à l’air,
mais j’ai vite acheté un ordinateur compatible «nitrox» et là,
j’ai particulièrement apprécié la conséquente réduction des
paliers !
J’ai aussi aimé le fait de pouvoir passer plus de temps dans la
zone lointaine.
JM
Que du bon en fait ! En conclusion, tu recommandes aux
«sceptiques» de venir au nitrox ?
Jeff
Non seulement je le leurs recommande, mais je pourrais dire
qu’à partir d’un certain âge, cela devrait être obligatoire ou
au moins vivement conseillé !
Et comme on dit : il n’y a que les imbéciles qui ne changent
pas d’avis !
#8 BIO SOUS MARINE
LA FAUNE NOCTURNE
PLONGEE DE NUIT Dans les plaisirs de la pratique de
la plongée, la plongée de nuit n’a pas de comptes à
rendre à celle de jour. Suivez-moi, je vous emmène au
lion de mer, circuit magique de ces immersions noc-
turnes.
Loin de moi l’idée de vous faire le tableau de l’organi-
sation de ce type de plongée (signes différents, phare,
durée, profondeurs, etc.), je préfère plutôt vous en
faire découvrir les merveilles et quelques secrets :
A Europlongée Boulouris, la plongée de nuit en été se
fait le vendredi soir, car la ville de St Raphael organise
un festival pyrotechnique et tire un feu d’artifice tous
les vendredis soir vers 22h30, au bonheur tout spécial
de la plongée nocturne s’ajoute, de retour sur le ba-
teau, celui d’un surprenant spectacle haut en couleurs
dans le ciel de notre baie de Saint-Raphael
OK. Tout est prêt : nous pouvons nous immerger. La
nuit, l’œil du plongeur doit s’adapter ; bien entendu
c’est plus facile à faire lorsque l’on connait ce que l’on
cherche. En premier lieu, je pars vers les gorgones
bleues au pied du bateau, en effet c’est plutôt à cet
endroit que l’on peut observer les gorgonocephales.
On les trouve principalement fixés sur les gorgones,
bien déployés en pleine action. Leur couleur crème
les met en valeur par rapport au rouge de la gorgone
éclairée. Le mouvement de leurs bras témoigne de
leur activité nocturne. En m’éloignant du mur, les cal-
mars s’agitent dans le faisceau des phares de plongée.
Attirés par la lumière, ces derniers viennent presque
au contact du plongeur qui peut observer de très près
leur ballet incessant.
Plusieurs fois, en m’éloignant dans la pente douce du
sable, j’ai pu apercevoir un sabre. Ce poisson peureux
très rare se cache en partie dans le sable lorsqu’il sort
la nuit pour chasser. Sa tête hostile surprend lorsqu’on
le voit pour la première fois.
Retour en direction de la voûte de corail : sur le che-
min une petite roche abrite quelques cérianthes qui
offrent des couleurs fluorescentes plus chatoyantes les
unes que les autres.
La voûte de corail et le canyon qui s’en éloigne a
toujours été un repère pour la grande cigale de mer.
Elle sort de nuit, arpente le tombant. Il n’est pas rare
d’en croiser une petite dizaine dans la même zone. On
les trouve souvent sur le madrépore rose violet qui
s’apparente à certaines couleurs de leur corps.
La langue de sable qu’il faut traverser pour rejoindre
le platier permet d’y observer les oursins de sable qui
le jour y sont enfouis. Plusieurs fois, ces dernières
plongées, j’y ai vu quelques pennatules. Celles-ci appa-
raissent plantées là, mais on les retrouve un peu plus
loin à la plongée suivante.
Arrivée sur le plateau à 15m sur le chemin de retour :
, l’octopus macropus déambule sur un territoire qu’il
semble bien connaitre. Il le partage avec quelques
seiches qui, immobiles, observent l’activité nocturne.
Vient le moment où il faut fouiner dans les trous,
c’est une véritable fourmilière. Objectif : trouver les
ormeaux, les ophiures, les petites cigales, ainsi que de
belles porcelaines.
De retour sous le bateau, extinction des phares de
plongée pour observer le phosphoplancton en suspen-
sion qui ressemble à un véritable feu d’artifice. Trois
minutes de palier de sécurité et nous retournons sur
le bateau pour assister au festival pyrotechnique de la
ville de St Raphael.
PARADE NOCTURNE
Que ce soit dans le sable, en pleine eau ou sur la
roche, la faune nocturne est active.
Dans le sable, ce sont par exemple les oursins de sable,
les pennatules et les sabres argentés qui sortent la
nuit. En pleine eau, les calmars, les congres et les
murènes chassent. Sur la roche, les cigales de mer, les
ophiures, les porcelaines, les poulpes à grands bras
sortent pour chercher leur nourriture, tandis que les
gorgonocéphales et les comatules se déploient la nuit.
L’OURSIN DES SABLES
L’oursin de sable vit,
L’oursin de sable vit, comme
son nom l’indique, dans le sable
à faible profondeur (de 0 à 50 mètres). Plus joliment
appelé « oursin cœur » pour sa forme vu de haut, cet
oursin de petite taille (3-4 cm) à l’aspect de fourrure
de couleur blanc gris et aux piquants courts et fins est
enfoui sous 10 cm de sable fin en journée et profite de
la nuit pour sortir.
Les PENNATULES
Les pennatules ou plumes
dLes pennatules ou plumes
de mer sont des animaux en
forme de petite fougère de couleur rougeâtre (40
cm), plantés verticalement dans des fonds sableux ou
vaseux. Cet animal est luminescent au niveau de ses
polypes. Eteignons nos lumières et observons : Indi-
vidus solitaires ou formant de véritables prairies, ils se
développent à des profondeurs de 10 à 100 m. Cette
espèce carnivore, porte d’un seul coté, des polypes
blancs à 8 tentacules pennés. Certains polypes sont
spécialisés dans la capture des aliments, ceux dépour-
vus de tentacules sont chargés de l’alimentation en
eau. L’orientation perpendiculaire au courant permet
de maximiser la surface de prédation. La structure
de l’animal lui permet de se courber et de s’orienter.
Rétractile, il peut se dissimuler dans le sédiment ou se
présenter sous une forme plus ou moins gonflée. Les
contractions et les expansions successives de son pied
en forme de bulbe permettent un creusement et un
enfoncement efficace dans les fonds sablo-vaseux
LE SABRE
Le sabre argenté présente un
corps extrêmement long (2m)
et fortement comprimé.
Il est marqué sur sa longueur
d’une ligne latérale enfoncée formant une nervure
rappelant le profil d’une lame de sabre. Sa tête est
BIO SOUS MARINE suite:
volumineuse, munie de grands yeux et d’une mâ-
choire impressionnante. Il est présent à partir de 60 m
jusqu’au moins 600 m. Il est observé moins profond à
la tombée de la nuit ou pendant la nuit. Actif préda-
teur aux yeux démesurés, il se nourrit de poissons, de
mollusques (notamment calmars) et de crustacés.
LE CALMAR
Mais comment doit-on
appeler ce mollusque
céphalopode ?
Calmar, calamar, encornet, casseron, chipiron, supion,
seiche de mer, selon les régions et leur destinée. Nous
sommes bien forcés d’écouter les naturalistes qui
l’appellent CALMAR.
Son corps est fuselé de couleur claire avec des taches
changeantes de brun à rouge. Il porte deux nageoi-
res latérales triangulaires formant un losange. Huit
tentacules entourent deux gros yeux très développés.
Deux longs bras rétractables servent pour chasser, ils
sont pourvus de tentacules. Sa fuite est souvent suivie
d’un jet d’encre. Son anatomie lui permet d’avancer
et de reculer, mais c’est surtout la contraction du
manteau provoquant un jet d’eau qui lui permet de
se propulser à grande vitesse. Il se nourrit surtout de
plancton, mais il est capable d’attraper des poissons,
le cannibalisme est aussi observé. Pour ce faire il
attrape ses proies avec ses longs bras, les emprisonne
et paralyse avec un puissant venin, ensuite il les dé-
chiquète avec ses mandibules. Les calmars se repro-
duisent lors de leur 3 ème année et se laissent mourir
ensuite. Pour les rencontrer sous l’eau dirigez votre
phare dans sa direction et il est en effet attiré par la
lumière de celui-ci, ce qui n’est pas sans rappeler la
pêche au lamparo.
LE PHOTOPLANCTON
Ces animaux invisibles de
jour ont la propriété
d’émettre une lumière l
a nuit lorsqu’ils sont dérangés. Pour les voir il suffit
d’éteindre son phare en remuant les bras près de
la surface. On peut même trouver avec un peu de
chance des bolinopsis (ctenophores luminescents),
animal gélatineux et translucides (attention animal
fragile).
PETITE ET GRANDE
CIGALE DE MER
Famille des crustacés, ses
antennes sont transformées
en palettes arrondies et
crénelées. Sa couleur est brune rougeâtre, des an-
neaux bleus sont visibles sur ses pattes. Les yeux
sont très écartés, brillants, que l’on discerne très bien
la nuit. Elles portent trois bandes rouges sur la face
dorsale. Visibles de quelques mètres à 50 mètres on
les trouve plus facilement dans les grottes et les ca-
#9
vités. Si la petite mesure au maximum 15 centimètres,
la grande peut atteindre 45 centimètres. Hormis cette
différence de taille, la grande cigale se distingue par la
bordure lisse de la première paire d’antennes ainsi que
par le bord arrondi de sa deuxième paire d’antennes.
L’origine de son nom vient du bruit qu’émettent ses
deux lobes en se frottant, lorsqu’on les sort de l’eau,
évoquant ainsi sa cousine terrestre. Elles se nourrissent
de mollusques et de vers. L’espèce est protégée sur le
territoire communautaire. Savez-vous reconnaître le
mâle de la femelle ? Facile, seule la femelle est pour-
vue de pinces sur sa 5ème paire de pattes. La jeune et la
vieille cigale se reconnaît aux algues qui colonisent sa
carapace, car elle ne mue plus.
OCTOPUS MACROPUS
Mollusque céphalopode à longs
bras. A ne pas confondre avec
l’octopus vulgaris…..
De nuit de couleur rouge ponctuée
de taches blanches phosphorescentes
. Son corps est formé d’un manteau
peu développé mais par contre
il possède 8 longs bras démesurés.
Le sexe se différencie uniquement par la taille des ven-
touses, plus grosses chez le mâle que chez la femelle.
Le saviez-vous, poulpe vient du grec « polypous » qui
veut dire aux pieds nombreux :
Octopus = 8 pieds
Macropus = grands pieds.
Il possède un bec de perroquet corné capable de mordre
avec vigueur. De plus sa salive est toxique et paralyse
les proies (cephalotoxine).
Son régime alimentaire est constitué de bivalves, de
crustacés, de poissons et d’autres poulpes. La femelle
pond une centaine d’œufs qui tapissent le plafond de
son gîte. Elle les surveille et les ventile pendant deux
mois puis meurt d’épuisement après l’éclosion.
Camouflage et homochromie : les brusques change-
ments de couleur sont dus aux variations de taille des
chromophores sous contrôle nerveux.
LE CONGRE
Contrairement à la murène,
le congre sort chasser la nuit.
De jour il se cache dans les
anfractuosités de la roche.
Le congre profite du sommeil des petits poissons pour
se nourrir. Il s’approche doucement, en même temps
qu’il avance sur sa proie, il ouvre sa gueule et crée une
dépression. Il n’est pas rare qu’il profite du phare du
plongeur pour se mettre en quête de proies plus faciles
car mieux éclairées.
 DIVERSIFICATION :
•
SDIS, FEDERATIONS ETRANGERES, COMITES DEPARTEMENTAUX, GROUPES ET COLLECTIVITES
La Ligue d’Auvergne
La collaboration avec la Ligue d’Auvergne s’est déve-
loppée encore plus cette année. Nous remercions leurs
dirigeants ainsi que les différents clubs de la Région RABA
qui participent à ce développement par l’organisation de
sorties techniques et d’exploration dans notre centre.
Recycleur, Trimix
Le chef vous en a déjà parlé dans son interview, l’arrivée
de Jean-Marc, notre nouveau collaborateur, rime aussi
avec trimix et recycleur. Des formations, des initiations,
bref plein de nouveautés …..
Les Fédérations belges à Boulouris
Depuis déjà 6 ans la Fédération belge NELOS nous sollici-
te pour organiser à Europlongée leur stage de formation
de leurs cadres. Cette manifestation de grande ampleur,
où était présente en tant qu’observateur d’autres Fédé-
rations voisines (hollandaise et belge) a séduit la LIFRAS
(fédération belge) que nous recevrons fin septembre
2010. Nous les remercions par avance.
Un nouveau SDIS …
44, 43, 36, 37, 28, 18. Ce ne sont pas les numéros gagnants
du loto mais les départements dont nous recevons les
SDIS (service départemental d’incendie et de secours).
Nous avons eu le plaisir cette année d’accueillir un nou-
veau SDIS, le numéro un (l’Ain). Bienvenue à eux !!!!!!!
www.europlongee.fr
Le Comité RABA
Comme par la passé, un stage final MF1 est organisé par
le Comité RABA du 19 eu 25 septembre. Mais la collabo-
ration ne s’arrête pas là en 2010. En effet un stage final
mais aussi initial MF1 sera organisé du 10 au 18 avril.
Merci de leur confiance et bonne chance aux candidats
(inscriptions ouvertes à tous : voir Frédérique).
Rando palmée
Plus de 2000 randonneurs sont venus découvrir nos ma-
gnifiques sites au travers d’Europlongée. Les nombreux
petits coins de paradis de Saint-Raphaël offrent des abris
permanents pour la pratique de l’activité (le Lion de mer,
l’Ile d’Or, l’Ile des Vieilles. Un merci tout particulier à
Alexis et Raphaël de l’UFCV qui ont largement participé à
l’évolution de la rando palmée.
Individuels
Europlongée est ouvert sans interruption pour recevoir
les différents groupes de plongeurs au cours de l’année.
Si ces groupes représentent une partie important de no-
tre activité, il va sans dire que les mois de juillet et d’août
restent la période privilégiée pour recevoir les nombreux
plongeurs dits « individuels ». 2009 aura été l’année
record à Europlongée pour les formations aux différents
niveaux et les baptêmes. Nous les remercions de leur
fidélité depuis toutes ces années et des merveilleux mo-
ments passés ensemble.
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