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APROCHE URBAINE

1-1 la situation géographique de bab ezzouar :

Carte de situation

Le nouveau découpage administratif de 1984, a donnée naissance a 48 wilayas et


1541 communes, et ainsi, bab ezzouar devient chef lieu de commune alors qu’elle
dépendait au préalable de la daïra de dar el baida et de la commune de bordj el
kiffan, deux communes mères de l’actuelle commune de Bab–ezzouar qui s’étend
sur une superficie de 822,8 ha (selon le POS U52 de bab ezzouar).
De part la situation elle constitue la porte d’entré EST de la capitale et se trouve a
15km de son centre, et a 5km de l’aéroport international de dar el baida.

Elle a pour limites :


La commune de BORDJ EL KIFFAN au nord
La commune de OUED SAMAR au sud
La commune de MOUHAMADIA a l’ouest
La commune de dar el baida A l’est

La route nationale N°5


La route nationale N°5
1-2 ACCESSIBILITE
Notre site jouit d’une accessibilité aisée du fait de
la présence de plusieurs axes de dessertes tels
que :
La route nationale N°5 au nord, l’axe autoroutier en
direction d’Alger et l’aéroport a l’est.
La route RN24, le chemin reliant bordj El kiffan et el
Harrach en passant par la cité universitaire d’el Allia

Axe autoroutier en direction d’Alger


APROCHE URBAINE

1-3Aperçus historique :
1) Apparition du noyau1870 :

Le développement urbain
d’Alger vers l’est a permis la
naissance de plusieurs noyaux
(actuellement villes)
périphériques, et s’étend le
long d’un parcours
(actuellement la RN 5) qui relie
ALGER a l’est (Constantine, tizi
ouzou) car il ne présente
aucune contrainte physique. Ce
dernier a engendré la
naissance d’un nouveau noyau
apparu sur des terres agricoles, Apparition du noyau 1870
appelées bab ezzouar.

2) période entre 1870/1962:


Bab Ezzouar n’a pas connue
de grandes modifications entre
1870 et1962, malgré sa
localisation stratégique et son
importante vocation agricole.
Elle a toujours gardé le
caractère agricole avec un
noyau initial.
Le noyau initial comporte un
ensemble de maisons
individuelles de R et R+1 sur la
RN5 ainsi que deux anciens
quartiers datant de la période
coloniale (1) :

Ø Quartier MAHMOUD : il
est constitué de 370logts et
quelques commerces qui
sont situés au Nord.

Ø Quartier SIDI
MAHAMED : comporte
475logts situés a l’ouest
(carrefour de Bab Ezzouar
(2).
1-d’après des études de CNERU.
2- POS U45, U52.
3- SOURCE : PGA 97, CARTES D’ACL
DE BAB EZZOUAR 1995
APROCHE URBAINE

Carte de la Période entre 1870/1962


APROCHE URBAINE

3) La période entre 1962-1984 :

Durant l’année 1962 jusqu’a


1975 les espaces de bab
ezzouar ont gardé les
mêmes affectations que
celles de la période coloniale
qui étaient marquées par
sentence en matière
d’urbanisme.

A partir des années 70


l’urbanisation de bab ezzouar
a pris de l’importance et cela
avec la création de
l’université des sciences et de
la technologie USTHB, des
deux cités universitaires ainsi
que le lancement des ZHUN,
qui ont donné :

Ø La cité du 8MAI 1945


réalisée entre
1978/1985, située sur
la partie nord de la
commune et
composée
d’immeubles de type
tours et barres.

Ø La cité RABIA TAHAR


réalisée entre 1979-
198 4et Composée d’immeubles de type tours,
barres et des pavillons
Carte de la Période entre 1870/1962

Ø La cité 5 JUILLET réalisée entre 1980-1984 et Composée d’immeubles de


type barres.

Ø Cité EL DJORF réalisée entre 1980-1985 composée d’immeubles de type


tours et barres.

4- SOURCE : PGA 97, CARTES D’ACL DE BAB


EZZOUAR 1995
APROCHE URBAINE

4) la période entre 1984-1995 :


Après 1984, bab ezzouar a
connu un développement
urbain important, et cela avec
L’achèvement de la cité el
DJORF, le lancement de
l’autoroute et, la création de
nouvelles Cités telles que :

Ø la Cité SOUMAM : 1025


logements réalises
entre 1985-1990. Elle
est caractérisée par
des Immeubles tours et
barres.

Ø la Cité 498 logements :


réalisée entre 1989-
1995, comportant de
grands immeubles
tours, et barres.

Ø La Cité Ismail MIFSAH :


2068 logements,
réalisée entre
1989/1999 et
caractérisée par de
grands immeubles entre
4 à 9 niveaux de
hauteurs.

Ø La Cité 1080 logements


réalisée entre 1990et
1997 cette cité n’est pas
totalement achevée. Carte de La période entre 1984-1995

Ø La Cité des 1200 logements réalisée entre 1990 et 1998.

Ø Après 1989, il y a eu naissance anarchique de lotissements, suite a


l’ouverture d’un marché foncier désordonné, Alors qu’avant 1989,
l’urbanisation était maîtrisée par l’état.

Ø Parmi les premiers lotissements construits on retrouve le lotissement DOUZI,


réalisé entre 1983 et 1995 dans le nord de Bab ezzouar.
Il est composé de DOUZI 1 ET DOUZI 2

5- SOURCE : PGA 97, CARTES D’ACL DE BAB


EZZOUAR 1995
APROCHE URBAINE

5) Période actuelle :

Aujourd’hui, le processus d’urbanisation de Bab ezzouar est en cours de


développement. C e dernier a engendré le passage du type cité (tours et barres)
vers le type lotissement.

Ces lotissements sont en croissance, une croissance qui s’impose dans toute la
commune de Bab ezzouar et qui a donné de nouveaux lotissements comme :

Ø DOUZI 3

Ø BOUSHKI A divisé en
700 lots

Ø BOUSHKI B divisé en
350 lots

Ø BOUSHKI C ,
BOUSHKI D,
BOUSHKI E,
BOUSHKI F

Ø LOTISSEMENT
SOCIAL EST 602 lots

Ainsi que des nouvelles


affectations :

Ø TOURS ADL
Ø HOTEL MERCURE

1-4 donnée physique du


site :

1- climatologie :
Le climat de Bab Ezzouar est
de type méditerranéen
caractérisé par des hivers
froids et humides et des étés chauds. Carte de la Période actuelle
Les vents dominants sont les vents de l’ouest apportant des pluies.
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2-la topographie :
La topographie du site est caractérisée par
des pentes très douces ne dépassant pas 8
%, et se trouve orienté du nord vers le sud
en forme de croissant.

3- géotechniques du sol :
La zone de Bab Ezzouar présente trois
types de terrains :

Terrain favorable :

terrain qui comporte des sables argileux,


des dunes consolidées et des dépôts ce
qui donnera une bonne assiette de Carte Des Pentes
fondations.

Ø Terrain a propriété variable :

Composé de marne et de cailloux,


nécessitant une étude géologique plus
détaillée afin de déterminer leurs
caractéristiques mécaniques
.

Ø Terrain défavorable :

Terrains marécageux défavorables a la


construction couvrant une grande
surface à la partie sud de Bab Ezzouar
(l’USTHB cité Rabia Tahar, 5 juillet,
Soummam).
Carte géotechnique

1-5-La population :

La population de Bab Ezzouar est particulièrement caractérisée par sa mobilité due à


l’éloignement de la population de son lieu de travail, ce qui engendre un important
flux qui va se répercuter sur les modes de transports.

Cette population s’est accrue rapidement : elle était de 7500 habitants en 1977, est
passé à 55883 habitants au recensement général de la population et de l’habitat de
1987, ensuite à 90028 en 1998. Cette augmentation est due a des flux migratoires
issus de la croissance de l’agglomération algéroise surtout après l’achèvement des
premiers programmes d’habitats collectifs (ZHUN).
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1-6- Cadre bâtis :

1- Lecture des gabarits :


La commune de Bab Ezzouar
est constituée
essentiellement de trois types
morphologiques de :

Ø R à R+2 étages
habitat individuel.

Ø R+3 à R+5 étages


type barre.

Ø R+6 à R+9 étages


type tours.

Ø Exceptionnellement
R+11étages pour une
seule des cités 498
logements et R+14
étages pour l’hôtel
Mercure et les tours
ADL.

2-Etat du bâti :
2-1- Habitat :

Dans notre étude du bâti


nous constatons que l’état
des habitations varie selon
leurs typologies :
Carte des gabarits
Ø Anciens tissu (anciens quartiers) : sont en moyennes et mauvaises
dégradations excepté quelque quartiers.

Ø Tissu récent : constitué par de grands ensembles (type barres), et des


lotissements. Leur état ne présentant pas de vétuste donc considérés en bon
état.

Remarque :
Les bidons sont par définition des constructions précaires .
Ø durant notre étude nous avons pu déterminer un problème, lié aux grands
ensembles d’ordre esthétique au niveau des façades (tours, et barres). ce
problème est dû à la négligence des travaux de finitions, a l’absence de tout
entretien, et la fragilité des matériaux, ce qui nous conduit a constater une
dégradation des façades et des parties communes (halle d’entrée, escalier,
caves)
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Ex : cité 2068 logement Cité EL DJORFF

2-2Équipements :
Tous les équipements sont en bon état, exceptée l’école de la Cité1200 logements,
le marché et la bibliothèque de la cité5 juillet qui sont dégradés.
Le problème majeur que présentent les équipements c’est leur absence ou leur
insuffisance d’où la surcharge des équipements existants.

3-structure urbaine :
Pour cette phase analytique qui porte sur la structure urbaine de Bab Ezzouar, nous
avons opté pour la méthode de KEVIN LYNCH, parce que les principes qui
caractérisent l’image de la ville selon K LYNCH, peuvent mieux nous aider dans
notre analyse et faire ressortir les caractéristique de l’image de la ville de BAB
EZZOUAR.
Pour mieux comprendre cette méthode nous devons définir en premier lieu
l’imagibilité. Selon lynch chaque ville a sa propre identité et sa propre image mentale
(imagibilité). Et chaque ville est caractérisée selon cinq principes, qui sont :les
voies,les limites, les quartiers, les nœuds, et les repères.

L’imagibilité :

Pour Lynch l’imagibilité est la Capacité de l’objet à provoquer une forte image
chez n’importe quel observateur. Pour les gens c’est cette forme, cette couleur
ou cette disposition qui facilite la création d’image mentale de l’environnement
vivement identifié.

1-les voies :

Selon KEVIN LYNCH


« Les voies sont des chenaux le long desquels
l’observateur se déplace habituellement,
occasionnellement ou potentiellement. Ce peut être
des rues, des allées piétonnières, des voies de
métropolitain, des canaux, des voies de chemins de
fer. »

1-1 Axe structurant est-ouest RN 5 :


Représente l’axe colonial qui permet d’appréhender la
ville et d’en relier les différents quartiers, il joue un triple
rôle de desserte régionale, urbaine et locale ; La route nationale N : 05
les piétons la traversent par nécessité par tous points.

1-2 Axe structurant RN5 est : La route nationale N : 05


Voie rapide desservant DAR EL BEIDA et l’aéroport
HOUARI BOUMEDIENE.

1-3 Axe structurant La RN24E :


Axe de centralité, servant principalement a la desserte
des cités riveraines en les reliant a la commune de
BORDJ EL KIFFAN par le biais de la RN24.
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1-4 Axe structurant du boulevard SMAIL Boulevard de l université


YAFSSAH (boulevard de l université) : Boulevard de l université
Axe de centralité qui relie la RN5 a la RN5 Est en
passent par l’université USTHB et l’hôtel
MERCURE.

1-5 Axes secondaires :


Ø voie qui relie la RN5 a oued smar (qui
traverse l’université et la cité universitaire)
Ø voie qui relie la rocade nord a la RN24 Voie qui relie la RN5 a oued
(passant par la cité SORECAL et cité 8 MAI 1945). smar
Conclusion :
Voie
L’image des voies à Bab Ezzouar sont d’une manière quietrelie
claire la RN5
ambiguë a oued
à cause : smar
Ø De leurs dimensions
Ø De la forme de la structure viaire
Ø Les moments séquentiels trop longs qui suggère une monotonie et une
fatigue lors de l’utilisation.

2-Les limites :
« Les limites sont les éléments linéaires que l’observateur ne considère pas
comme des voies. Ce sont les frontières entre deux phases, les solutions de
continuité linéaire : rivages, tranchées de voies ferrées, l’imite d’extension, murs.
De telles limites peuvent être des barrières, plus au moins franchissables, qui
isolent une région d’une autre ; ou bien elles peuvent être des coutures, lignes le
long desquelles deux régions se relient et se
joignent l’une à l’autre. »

La RN24 : Sépart la commune de BAB EZZOUAR


a la commune de BORDJ EL KIFFAN
La RN est (dar elbeida et bordj el kiffan) :
Sépare la commune de BAB ELZOUAR a la
commune de BORDJ EL KIFFAN et DAR EL
BEIDA.
La voie ferré de BAB ELZOUAR : Elle se trouve
La voie ferré de BAB
entre la commune de BAB ELZOUAR et
ELZOUAR
la commune de OUED SMAR. Cette voie ferrée La voie ferré de BAB
représente un vrai obstacle pour le développement urbain de ces deux communes.
ELZOUAR
L’université USTHB : Elle est considérée comme limite pour les habitant de BAB
EZZOUAR

Conclusion :
Le problème des voies périphériques à grandes circulations (autoroute) empêchent
le tissu urbain de cette aire de ce développer et de se mêler avec son
environnement, ce qui représentent de véritables coupures.
Aux yeux des habitants les limites sont perceptibles au sein du quartier comme étant
des voies mais à une grande échelle les limites deviennent des espaces inoccupés
et vides.
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3-Les quartiers :
Selon Kevin Lynch :
« Les quartiers sont des parties de la ville d’une taille assez grande, quand ils se
représente comme un espace à deux dimensions, ou un observateur peut pénétrer
par la pensée, et qui se reconnaissent parce qu’elles ont un caractère général qui
permet de les identifier. Cette identification est toujours possible quand on est à
l’intérieur, et si les quartiers se reconnaissent du dehors, on les utilise à l’extérieur
comme référence.

C’est de cette manière que dans une certaine


mesure la plupart des gens structurent leur ville,
avec des variété entre les individus suivant ce
qui sont les voies ou les quartiers, qui sont les
éléments prédominant. »

3-1 Ancien quartiers :

Ø Quartier MAHMOUD
Ø Quartier SIDI MAHAMED Quartier MAHMOUD

3-2 Grands ensembles types tours et barre :

Ø Cité SOUMAM : 1025 logements


Ø Cité des 1200 logements
Ø Cité 1080 logements Cité SOUMAM
Ø Cité Ismail YAFSAH : 2068logemments
Ø Cité 498 logements
Ø Cité EL DJORF
Ø Cité 5 JUILLET
Ø Cité RABIA TAHAR Cité SOUMAM
Ø Cité du 8MAI 1945 Cité RABIA TAHAR

Conclusion :
La plupart des quartiers de Bab Ezzouar ont des
frontières bien claires et lisibles qui se caractérisent
par les voies (selon leur hiérarchie) mais ce qui est
ambigu c’est de reconnaître et de différencier le lieu Cité EL DJORF
ou l’on se trouve. Si on ne connaît pas ces endroit
la on pourrai facilement se perdre. D’autant plus
que les équipements administratifs sont dissimulés
dans les cités.
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4-Les nœuds :
Cité RABIA TAHAR
« Les nœuds sont les lieux stratégiques d’une ville, pénétrable par un observateur,
points focaux intenses auxquels il voyage, ou jonctions de voies où l'on doit prendre
des décisions (de direction notamment, mais aussi de mode de transport : ainsi les
stations de métro, les gares sont des nœuds), contrainte qui rend les voyageurs plus
attentifs (et donc plus sensibles à ce qui est placé là). La force de l'impression
visuelle faite par le nœud dépend de la vigueur de leur forme, de la clarté des
liaisons entre les différentes voies et de la particularité des bâtiments qui sont là ».

1 ER Nœud :

Le nœud ici est représenté par l’arrêt du transport public a côté du pont de BAB
EZZOUAR, la plupart des gens se réfère directement a cette partie de la ville, de
plus elle représente la partie coloniale de la ville. Cette route est bordée par des
habitations et une lecture claire est possible

2 eme Nœud : c’est l’intersection entre le boulevard


de l’université et la RN5. 1 ER Nœud

3 eme nœud : l’intersection entre le boulevard


de l’université et la voie N : 01

4 eme nœud : c’est l’intersection entre le boulevard 1 ER Nœud


de l’université et la RN5 et qui mène vers la rocade sud.

2 eme Nœud

2 eme Nœud 3 eme nœud

Conclusion :
Le problème posé par les nœuds est que les éléments placés sur ce composant sont
la plupart du temps inexistant et si il y sont manque affreusement d’imagibilité.
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5-Les points de repères:


« Ce sont des références simples, qui permettent aux habitués de la ville de se
eme
guider. Ils se présentent en "grappes", un détail clé en faisant anticiper un autre : 3la nœud
reconnaissance de ces indications assure efficacité fonctionnelle (on se repère) et
sécurité émotionnelle (on est rassuré).
La singularité d'un point de repère est donnée par une forme claire, un contraste
avec l'arrière plan, une localisation qui ressort (à cause de la grande taille, du
contraste local : un bâtiment en retrait par exemple).
Se sont habituellement des immeubles, enseignes ou des boutiques.
Certains points de repères sont des objets éloignés, ils peuvent être situés à
l’intérieur de la ville ou à une distance telle que, dans la pratique, ils symbolisent une
direction constante.
Même un point mobile comme le soleil, dont le mouvement est suffisamment lent et
régulier, peut servir de point de repère.
D’autres points de repères ont surtout une utilité locale, ce sont les signaux
innombrables, vitrines de boutiques, arbres, poignées de portes, et autres détails du
paysage urbain.
Ces informations sont fréquemment employées
pour identifier et même pour structurer, et il
semble qu’on leur fait de plus en plus confiance L’université USTHB
au fur et à mesure q’un trajet devient plus
familier. »

1-L’université USTHB : forme un repère


important a l’échelle de la commune et a l’échelle
nationale par le nombre conséquent des étudiants qui y viennent, s’y repèrent
grâce aux différents
pavillons qui la constituent, s’orientent selon ses L’université USTHB
accès et les arrêts qui sont proches.

2-L’hôtel mercure est considère comme un repère


vu sa hauteur (une tour) et son influence sur
l’économie de la Daïra, sa situation le place
comme adjacent à l’autoroute et l’aéroport.
Malheureusement à l’échelle de la ville il n’est pas
mis en valeur par un tracé particulier. L’hôtel mercure
L’hôtel mercure

3- les cités des grands ensembles ou l’on trouve de différents traitement de


façades et de différentes formes des constructions qui leur donnent leurs propres
typologies est deviennent de repères pour les habitants.
Dans ce cas toute une rue est devenue repère de part les activités qui s’y
déroulent.
APROCHE URBAINE

4-La mosquée de la Cité RABIA TAHAR est


devenue un repère

5-le pont de Bab Ezzouar incontournable pour les


usagers qui sont l’extra-muros.

La mosquée de la Cité
RABIA TAHAR
1-7Problématique générale
La commune de Bab Ezzouar est le résultat d’un processus d’urbanisation qui
répond à un besoin primordial celui de« Loger » causé par des contraintes, des
choix, des décisions politiques et démographiques. La mosquée de la Cité RABIA
Ce processus a donné un système de zoning pour les villes périphériques qui TAHAR
sont
devenues des cités dortoirs, ce qui est le cas de Bab Ezzouar, étant comme satellite
a la capitale d’Alger et autres communes.
Les grands ensembles constituent la majorité des entités morphologiques de
Bab Ezzouar et se caractérisent sur le plan architectural par la répétitivité, la
typification barres et tours.
Ces ensembles ont crée un désordre dans la structure et ainsi qu’un manque
d’équipements et d’activités qui ont du être crée au fur et à mesure par les usagers
par besoin.
En effet Bab Ezzouar reste dans le cadre d’une décision qui est l’élargissement et la
croissance de la ville d’Alger vers l’est comme réponse sans lendemain à des
problèmes immédiats en croissance non contrôlée.

1)- Comment donner ou plus exactement retrouver une vie communautaire dans la
commune de BAB EZZOUAR au sein de sa structure désordonnée ? Et sur quelle
éléments urbains pouvons nous, nous baser pour y arriver ?

2)– comment peut on créer une centralité, un pôle urbain attractif qui regroupe une
grandes majorité des fonctions, dans une ville déjà existante et qui est
désordonné ?et comment intervenir et mettre en relation le nouveau noyau avec les
anciennes entités et la structure de la ville de Bab Ezzouar ?

1-8Problématiques spécifiques :
L’espace urbain bâti et non bâti de Bab Ezzouar qui est issu des grandes opérations
de constructions a exigé la création de cités dortoirs et a cumule un nombre
important d’activités posant une série de problèmes :

1-le zoning :
APROCHE URBAINE

Durant notre analyse de Bab Ezzouar, nous avons constaté que cette région est
formée de plusieurs cités satellites indépendantes qui lui donnent un système de
zoning et donc notre objectif sera de les relier.

2-Absence de centralité :
L’absence totale d’un pôle central qui doit regrouper toutes les activités et les
fonctions.

3-les grands ensembles :


Les grands ensembles se caractérisent par la répétitivité, la typification barres et
tours. Pour cette raison il faut revaloriser les quartiers (espaces verts, les rues…etc.)

4-la monotonie :
L’un des problèmes de Bab Ezzouar est de La difficulté de faire la distinction entre la
typologie des barres et tours.

5-Les espaces publiques:


La ville de BAB EZZOUAR est pauvre en espaces public (places, espaces verts,
terrains de jeux), et l’insuffisance d’éclairage public, Ce qui nous impose a revoir
l’organisation spatiale de la ville.

6-l’insecurite :
Les habitants sont menacés par la présence de la ligne électrique de haute tension
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