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1-1.1Objet
Le présent fascicule constitue le premier document du cahier des prescriptions communes applicables aux
travaux routiers courants.
Il a pour objet de fixer les clauses techniques communes applicables aux travaux routiers courants quel qu’en
soit la nature (terrassements, ouvrages d’assainissement et de soutènement, chaussées etc...)
Les clauses techniques communes applicables aux travaux d’une même nature (terrassements, ouvrages
d’assainissement et de soutènement, chaussées etc.) font l’objet de fascicules successifs dont l’ensemble
constitue, avec le présent fascicule et le fascicule des clauses financières communes, le cahier des prescriptions
communes applicables aux travaux routiers courants.
Ce fascicule constitue après les documents généraux de base, le premier texte spécial de référence pour tous
les marchés de travaux routiers courants.
1-1.3 Définitions
Dans l’ensemble des documents constitutifs des marches passés pour l’exécution des travaux routiers du
Ministère de l’Equipement, du Transport et de la Logistique, les termes suivants ont la définition ci-après :
Maître d’ouvrage : Personne morale, pour laquelle l'ouvrage est construit. Responsable principal de l'ouvrage,
il lui appartient, après s'être assuré de la faisabilité et de l'opportunité de l'opération envisagée, d'en
déterminer la localisation, d'en définir le programme, d'en arrêter l'enveloppe financière prévisionnelle, d'en
assurer le financement, de choisir le processus selon lequel l'ouvrage sera réalisé et de conclure, avec les
maîtres d'œuvre et entrepreneurs qu'il choisit, les contrats ayant pour objet les études et l'exécution des
travaux.
Maître d’œuvre : Personne physique ou morale, publique ou privée, qui, en raison de sa compétence
technique, est chargée par le maître de l’ouvrage ou son mandataire, afin d’assurer la conformité technique et
économique de la réalisation du projet objet du marché, de diriger l’exécution des marchés de travaux, de lui
proposer leur règlement et de l’assister lors des opérations de réception ainsi que pendant la période de
garantie de parfait achèvement. Les documents particuliers du marché mentionnent le nom et l’adresse du
maître d’œuvre. Si le maître d’œuvre est une personne morale, il désigne la personne physique qui a seule
qualité pour le représenter, notamment pour signer les ordres de service.
Ouvrage : Résultat d’un ensemble de travaux de bâtiment ou de génie civil destiné à remplir par lui-même une
fonction économique ou technique.
Plan d'Assurance Qualité (PAQ): document décrivant les dispositions spécifiques en matière d'assurance de la
qualité prises par un organisme pour répondre aux exigences relatives à un produit et/ou un service particulier.
SOPAQ : Schéma d'organisation prévisionnel du plan d'assurance de la qualité établi par le fournisseur et joint
au dossier de remise des offres.
Procédure d'exécution : Document décrivant les moyens, les matériaux ou produits, les méthodes ou modes
opératoires et les contrôles nécessaires à la réalisation d'une tâche ou d'une partie d'Ouvrage donnée.
Contrôle intérieur : Ensemble des contrôles réalisés par l’Entrepreneur, dans le cadre de son Plan d’Assurance
Qualité, et sous sa responsabilité. Ce contrôle comprend le « contrôle interne » et le « contrôle externe ».
Contrôle Interne : Contrôle réalisé par l’Entrepreneur de ses propres tâches. Il est exécuté par l’équipe de
production.
Contrôle Externe : Contrôle réalisé par l’Entrepreneur ou une tierce partie indépendante de la production. Ses
points de contrôle définis dans le plan d’assurance qualité sont dénommés « points critiques ».
Contrôle Extérieur : Contrôle réalisé par le Maitre d’Ouvrage et/ou Maître d’œuvre en vue d’accepter une
méthode (procédure), fourniture, un produit, un ouvrage ou une partie d’ouvrage. Ses points de contrôle sont
dénommés « points d’arrêt ».
Point critique : Point sensible qui nécessite une information préalable du maitre d’ouvrage et/ou maître
d’œuvre et donne lieu à l’établissement d’un document de suivi.
Point d’arrêt : Point critique pour lequel un accord formel du maitre d’ouvrage et/ou maître d’œuvre est
nécessaire pour la poursuite de l’exécution (habituellement, signature d'une fiche de levée de point d'arrêt).
Plan de contrôle : Document décrivant les dispositions spécifiques mises en œuvre pour effectuer le contrôle
du produit ou du service considéré.
Dans le cas où le CPS ne fixe pas la provenance des matériaux et produits ou ne soumet pas celle-là à
l’agrément du maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre, l’Entrepreneur a le choix de cette provenance sous
réserve que le dits matériaux ou produits répondent aux conditions fixées par le marché.
Si au cours des travaux l’Entrepreneur demande à modifier la provenance de certains matériaux ou produits
fixés par le marché, le maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre peut lui en donner l’autorisation à condition que
la qualité des matériaux ou produit de la nouvelle provenance soit au moins égale à celle initialement prévue.
L’autorisation précise si, la substitution proposée, donne lieu à l’application de nouveaux prix en basse qui
seront fixés conformément à l’article 29 du CCAG.
Si les normes prescrites ne peuvent être respectées, l’Entrepreneur devra en informer immédiatement le
maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre et devra proposer de nouvelles provenances satisfaisant à ces
exigences.
Il supporte également, sans recours contre l’administration, la charge des dommages entraînés par l’extraction
des matériaux, l’établissement des chemins de desserte et, d’une façon générale, par les travaux
d’aménagement nécessaires à l’exploitation des carrières et des lieux d’extraction ou d’emprunt.
L’Entrepreneur est tenu de se conformer aux lois et règlements concernant les extractions et emprunts de
matériaux et la protection de l’environnement. Il est notamment tenu le cas échéant, de se pouvoir des
autorisations nécessaires.
Les mesures qu’il doit prendre à cet effet et le délai dans lequel les matériaux ou produits doivent être enlevés
du chantier, sont prescrites par les fascicules particuliers ou par des ordres de service délivrés par Maitre
d’ouvrage et/ou maître d’œuvre.
Le pesage des matériaux et produits, lorsqu’il est prévu, est effectué contradictoirement sur le bascules
vérifiées par les services compétents. Pour les matériaux et produits faisant l’objet de bons de livraison, les
indications portées sur ces derniers peuvent être retenues ; toutefois, le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre
d’œuvre se réserve toujours le droit de faire procéder à une vérification contradictoire sur bascule.
Pour certains matériaux, les fascicules du CPC et le CPS pourront imposer la mise en magasin ou en silo. Cette
disposition s’appliquera notamment aux liants hydrauliques.
Sauf disposition contraire du CPS, la préparation des aires, des magasins et silos incombe à l’Entrepreneur.
Si cette prise en charge doit faire l’objet d’un procès-verbal contradictoire portant sur les quantités prises en
charge.
Quel que soit le lieu et le mode de livraison des matériaux ou produits, l’Entrepreneur esttenu à partir de l’avis
qui lui en est donné de procéder aux opérations de prise en charge, de manutention et de transport jusqu’à la
mise en dépôt ou à pied d’œuvre dans les conditions et délais prescrites par le CPS. En cas le retard résultant
de son fait, l’Entrepreneur assume la charge des frais et pénalités qui en découle.
Les matériaux et produits pris en charge par l’Entrepreneur sont réputés satisfaire aux spécifications prévues
sauf preuve du contraire à établir par lui avant leur mise en œuvre.
En l’absence de stipulations particulières du CPS, les frais résultant des prestationsprévues par le présent article
sont inclus dans les prix du marché.
L’entrepreneur a l’obligation de signaler par écrit au maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre, avant toute
exécution, les erreurs, omissions ou contradictions que peuvent comporter ces documents et qui sont
facilement décelables pour un homme de l’art.
L’établissement des plans des ouvrages provisoires tels que : coffrages, échafaudages, cintresetc., est à la
charge de l’Entrepreneur. A cet effet, l’Entrepreneur fait sur place tous les relevés nécessaires et demeure
responsable des conséquences de toute erreur de mesure. Il doit établir éventuellement les calculs de stabilité
et de résistance de ces ouvrages provisoires.
Ces plans, dessins et notes de calculs sont soumis en trois (3) exemplaires au visa du Maitre d’ouvrage et/ou
Maitre d’œuvre si le CPS le prescrit. Ce visa n’atténue en rien la responsabilité de l’Entrepreneur.
Dans ce cas, le CPS fixe les délais impartis tant à l’Entrepreneur pour l’établissement des plans, dessins
d’exécution et notes de calculs qu’au maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre, pour les examiner et faire
connaître les résultats de cet examen.
1-3.3Piquetage général
Le piquetage général a pour objet de reporter sur le terrain les ouvrages définis par le plangénéral
d’implantation, il est effectué dans les conditions fixées par les fascicules particuliers du CPC et par le CPS.
Si ce piquetage général n’existe pas au moment du démarrage des travaux, il sera effectuécontradictoirement
entre le maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre et l’Entrepreneur avant le commencement des travaux. Sauf
disposition contraire du CPS, il incombe au maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre.
Il est procédé à un piquetage spécial de ces ouvrages s’il n’a pas été exécuté avant la passation du marché, il
est effectué soit en même temps que le piquetage général, soit ultérieurement et selon les conditions fixées
par le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre. Sauf disposition contraire du CPS, il incombe à l’administration.
Si les canalisations ou ouvrages souterrains non signalés par l’administration sont découverts en cours
d’exécution des travaux, l’Entrepreneur en informe par écrit le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre, il est
alors procédé contradictoirement à leur relevé.
L’Entrepreneur doit surseoir aux travaux adjacents jusqu’à la décision de le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre
d’œuvre relative aux mesure à prendre pour la poursuite des travaux. Il fournit des propositions à cet effet si le
Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre le lui demande.
Les procès-verbaux de piquetage sont dressés par le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre et notifiés
àl’Entrepreneur.
L’Entrepreneur est tenu de veiller à la conservation des piquets et de les rétablir ou de lesremplacer en cas de
besoin, soit à leur emplacement primitif, soit en un autre point si l’avancement des travaux l’exige et en tenant
compte des prescriptions précédentes.
Un délai fixé par le CPS est accordé à l’Entrepreneur pour vérifier que ces plans et dessins concordent avec les
constatations faites au cours des opérations de piquetage.
Si des erreurs sont relevées et signalées, il est procédé à une nouvelle vérification contradictoire des parties
litigieuses.
Lorsque l’administration intéressée (ou le Service Public intéressé) aura procédé au piquetage, l’Entrepreneur
ne pourra, dans l’exécution de ses travaux, approcher à moins de quatre-vingt (80) centimètres d’une des
canalisations ou câbles sans avoir prévenu au plus tard quarante-huit (48) heures à l’avance, l’administration
ou le service public compétent de son intention.
L’Entrepreneur devra se conformer aux prescriptions qui lui seront imposées par le représentant de
l’administration intéressée (ou du service public intéressé) en vue de la préservation de la canalisation ou du
câble.
Faute par lui de se conformer à ces prescriptions, il sera en particulier rendu entièrement responsable des
dégâts matériels causés aux canalisations ou aux câbles.
1-3.9 Cas particulier des travaux intéressant les câbles souterrains des réseaux télécom
Pour ce qui concerne les réseaux souterrains de communication, l’Entrepreneur sera tenu, en outre, s’il en est
requis par l’opérateur Telecom, de conclure avec celui-ci un accord spécial pour l’exécution des travaux de
terrassements et de maçonnerie intéressant les câbles souterrains de télécommunication et pour la
manutention de ceux-ci.
Si l’opérateur ne juge pas à propos de conclure avec l’Entrepreneur l’accord spécial prévu à l’alinéa précèdent,
celui-ci devra supporter, sans indemnités, l’exécution sur ses chantiers, par une autre entreprise, des travaux
intéressant les câbles, les prix du bordereau tenant compte de cette sujétion.
Ce programme sera présenté sous forme d’un planning classique et fera ressortir les délais d’exécution par
phase de travaux. Il sera établi en fonction du délai d’exécution fixé au CPS.
Les méthodes, les rendements et les moyens en personnel et matériel sur la base desquels il sera établi,
devront être indiqués ; si ces bases diffèrent de celles éventuellement donnés par un sous détail de prix,
l’Entrepreneur ne pourra tirer aucun argument pour élever une éventuelle réclamation étant seul responsable
de l’établissement de ses sous détails et du programme de travaux compatibles avec les délais contractuels.
Ce programme définira avec précision les interruptions de circulation éventuelles résultant des dispositions
qu’il contient. Il devra en outre tenir compte d’une façon réaliste des risques météorologiques et des us et
coutumes.
Le CPS précise les conditions de la mise à la disposition de ces terrains et de leur remise en état en fin de
chantier. A défaut, l’Entrepreneur se procure, à ses frais et risques, les terrains dont il peut avoir besoin.
Pour l’usage des dépendances du domaine public qui ne sont pas mises à sa disposition par le CPS
l’Entrepreneur est soumis aux règles communes.
Le CPS détermine, le cas échéant, les installations et matériels mis à la disposition del’Entrepreneur par
l’administration, ainsi que les conditions de cette mise à disposition, de l’utilisation et de la restitution de ces
installations et matériels.
Dans tous les cas, et sauf dispositions particulières du CPS l’entrepreneur à la charge, même en l’absence d’un
prix spécial, de l’établissement et de l’entretien des installations de chantier, des chemins de service et des
voies de desserte qui ne sont pas ouvertes à la circulation publique ainsi que des indemnités y relatives.
Si les chantiers ne sont d’un accès facile que par voie d’eau, l’Entrepreneur doit mettre une embarcation armée
à la disposition des ingénieurs ou de leurs agents chaque fois que ceux-ci le lui demandent.
Les dépenses correspondantes suivant les précisions du CPS, sont à lacharge de l’Entrepreneur.
L’Entrepreneur fournira notamment toutes précisions utiles concernant le matériel et le personnel qu’il compte
utiliser sur le chantier.
Le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre pourra exiger que soient modifiées ou complétées, les dispositions
envisagées si celles-ci paraissent insuffisantes, ou si, à l’expérience elles ne donnent pas satisfaction.
Il est spécifié que l’agrément donné par le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre aux moyens et procédés
d’exécution ne diminuera en rien la responsabilité de l’Entrepreneur quant aux conséquences dommageables
que leur utilisation pourra avoir tant à l’égard des tiers qu’à l’égard de l’Administration et quant aux respects
de délais.
Pour les installations de chantier, l’Entrepreneur devra faire toutes propositions concernant les routes d’accès
et les dispositions relatives aux plates-formes de stockage et de pré stockage des matériaux.
L’Entrepreneur mettra à la disposition du maitre d’ouvrage et/ou maitre d’oeuvre un local de chantier et un
local à usage de laboratoire si le CPS le prévoit.
• l’état d’avancement des travaux de différentes natures : terrassements, chaussées, ouvrages etc...
• Les opérations de contrôle ou de réception dont l’inscription est explicitement prévue par les
fascicules du CPC et le CPS
• Toutes demandes, suggestions et remarques faites par l’Entrepreneur ou les ingénieurs aux cours de
leurs visites.
• Tous incidents soit dans la marche des travaux ou la tenue du chantier, soit dans le comportement du
personnel de l’entreprise ou de l’administration.
• Les intempéries.
• D’une façon générale, toutes observations ayant une incidence sur le déroulement des travaux.
Ce cahier est signé au moins une fois par semaine par les représentants de l’Entrepreneur et de l’Ingénieur. Il
est visé périodiquement par le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre lors de ses visites de chantier.
Les mentions portées sur le cahier de chantier sont recevables dans la limite des attributions des signataires et
ne peuvent en aucun cas se substituer aux ordres de service. Il est placé sous la garde du représentant de
l’Entrepreneur et remis à l’administration en fin de chantier.
L’Entrepreneur sera soumis pour tout ce qui concerne la sécurité aux règlements envigueur sur l’emploi des
explosifs.
Le CPS défini s’il y a lieu, les zones dans lesquelles l’emploi de l’explosif est soumis àrestrictions ou est interdit,
mais en tout état de cause, l’Entrepreneur doit limiter l’emploi des explosifs en fonction des inconvénients qui
pourraient en résulter pour l’ouvrage à construire compte tenu de sa destination et de sa nature.
Il assure notamment l’éclairage et le gardiennage de ses chantiers ainsi que leursignalisation dans les
conditions définies à l’article 1-4.7 du présent fascicule. Il assure également, en tant que de besoin, la clôture
de ses chantiers.
Il doit prendre le cas échéant, toutes les précautions nécessaires pour éviter que les travaux ne soient une
cause de danger pour la circulation publique, si celle-ci n’a pas été déviée.
Les points de passage dangereux le long et à la traversée des voies de communications doivent être protégés
par des gardes corps provisoires ou tout autre dispositif approprié. Ils doivent être éclairés et, au besoin,
gardés.
Sauf dispositions contraires du CPS, toutes les mesures d’ordre et de sécurité prévues ci-dessus sont à la charge
de l’Entrepreneur, compte tenu, en ce qui concerne la signalisation des dispositions de l’article 1-4.7 ci-après.
En cas de carence de l’Entrepreneur, les autorités compétentes ou l’administration peuvent prendre aux frais
de l’Entrepreneur, les mesures nécessaires, après mise en demeures de celui-ci restée sans effet.
En cas d’urgence ou de danger, ces mesures peuvent être prises sans mise en demeure préalable.
L’intervention des autorités compétentes, ou de l’administration ne dégage pas pour autant la responsabilité
de l’Entrepreneur.
Lorsque les travaux intéressent la circulation routière, ferroviaire, fluviale, maritime ou aérienne, le CPS précise
le ou les services ayant la charge de celle-ci. Ce ou ces services sont désignés dans le présent article par les
La signalisation intéressant la circulation publique doit être conforme aux instructions réglementaires en la
matière. Elle est réalisée sous le contrôle des services compétents par l’Entrepreneur, conformément aux plans
notifiés par l’administration et avec des panneaux et dispositifs agréés par elle. L’Entrepreneur à sa charge la
fourniture la mise en place et l’entretien des panneaux et dispositifs de signalisation, sauf dispositions
différentes du CPS.
Si l’exécution des travaux nécessite une déviation de l circulation, l’Entrepreneur a la charge, dans les mêmes
conditions de la signalisation aux extrémités des sections où la circulation est interrompue et de la signalisation
des itinéraires déviés définis dans le CPS.
La police de la circulation aux abords des chantiers ou aux extrémités des sections ou la circulation est
interrompue et le long des itinéraires déviés incombe aux services compétents. Mais sur demande de
l’administration, l’Entrepreneur doit mettre à la disposition des services compétents le personnel auxiliaire
nécessaire notamment pour assurer le pilotage des usages de la route.
Les dépenses correspondantes sont réputées incluses dans les prix du marché sauf stipulation contraire du CPS.
L’Entrepreneur doit informer, par écrit, les services compétents au moins dix jours à l’avance de la date du
commencement des travaux en mentionnant, le cas échéant, le caractère mobile du chantier.
L’Entrepreneur doit, par écrit, dans les mêmes formes, informer les services compétents du repliement ou du
déplacement du chantier.
1-4.8 Sujétions spéciales pour les travaux exécutes à proximité des lieux habites
Lorsque les travaux sont exécutés à proximité des lieux habités, l’Entrepreneur doit prendre à ses frais et
risques, les mesures nécessaires pour réduire dans toute la mesure du possible, la gêne imposée aux usagers,
aux riverains des voies publiques et aux voisins, notamment celles causées par les difficultés d’accès, le bruit
des engins, les fumées et les poussières.
Avant toutes démolitions de clôtures quelles qu’elles soient (haies, palissades, barbelés, etc...) l’Entrepreneur
devra établir à ses frais une clôture provisoire destiné à se substituer pendant la durée des travaux à la clôture
démolie.
Le CPS précise si les matériaux et les produits provenant de délais de démolition ou de démontage seront
déposés avec soins et tirés en vue d’être réutilisés. A défaut, les produits de la démolition seront évacués à la
décharge publique aux frais de l’Entrepreneur.
De même, si ces transports ou ces circulations sont effectués en infraction aux prescriptions du code de la
route ou des arrêtés, pris par les autorités compétentes, intéressant la conservation des voies publiques,
l’Entrepreneur supporte seul la charge des réparations.
Si les conditions d’usage des voies publiques intéressées par ces transports et circulations sont modifiées par
un acte réglementaire, et si l’Entrepreneur estime que ces modifications lui portent un préjudice imprévu, il
doit, sous peine de ne pouvoir obtenir réparation de ce préjudice, en présenter l’observation écrite et motivée
à le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre dès qu’il a connaissance des modifications et, en tout cas, avant
l’achèvement des transports ou des circulations en cause.
Durant les travaux l’Entrepreneur ne peut faire subir aux ouvrages qu’il construit décharges supérieures à
celles pour lesquelles ils sont projetés. Il supporte seul les frais et réparations de dégâts ainsi causés à ces
ouvrages.
L’Entrepreneur prendra toutes précautions pour empêcher toutes chutes de matériaux et limiter, dans la
mesure du possible, les dépôts de boues sur les voies publiques empruntées par son matériel. Il effectuera en
permanence les nettoyages et ébouages nécessaires, les dépenses correspondantes étant entièrement à sa
charge.
1-4.11 Désordres, dégradations et préjudices causés par la conduite et les modalités d’exécution
des travaux
Si la conduite ou les modalités d’exécution des travaux entraînent des désordres ou desdommages aux
personnes ou aux biens autres que les dégradations aux voies publiques visées à l’article précédent, la
responsabilité de l’Entrepreneur est engagée.
Celui-ci ne peut dégager sa responsabilité qu’autant qu’il apporte la preuve que la conduite ou les modalités
d’exécution des travaux mis en cause résultent d’une manière impérative des dispositions du marché ou
d’ordres de service du Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre maintenus malgré les réserves qu’il a faites.
Lorsque le piquetage spécial prévu à 1-3.4 du présent fascicule a été effectué conformément aux dispositions
dudit article, l’Entrepreneur est responsable des dégâts éventuellement causés aux canalisations, câbles et
ouvrages souterrains par la conduite ou les modalités d’exécution des travaux.
Le maître d’ouvrage et/ou maître d’œuvre, peut prendre, en cas d’urgence, sans mise en demeure préalable,
les mesures nécessaires aux frais de l’Entrepreneur.
Les chaussées devront être livrées parfaitement propres et en état de recevoir, sans préparation
complémentaire, l'application de peinture de la signalisation horizontale.
Pour ce nettoyage général, l'Entrepreneur devra disposer du matériel suivant et du personnel correspondant :
Au cas où les chaussées avoisinantes de l’ouvrage, auraient été souillées par des dépôts superficiels de liant
bitumineux, l’Entrepreneur aura la charge de les éliminer par un procédé de décapage préalablement agrée par
le maitre d’ouvrage et/ou Maître d’œuvre.
Dans le cas où le nettoyage ne serait pas réalisé correctement et après mise en demeure de l'Entreprise, le
maître d’ouvrage et/ou Maître d’œuvre fera réaliser le nettoyage par une autre Entreprise aux frais exclusifs du
titulaire du marché.
1-5.1 Principes
Le contrôle de la conformité des matériaux, produits et ouvrages, aux stipulations du marché est une
prérogative constante du Maître d’ouvrage et/ou maître d'couvre. Celui-ci l'exerce dans le cadre de l'activité du
contrôle extérieur.
Toutefois, la maîtrise de la qualité implique des activités de la part de l’Entrepreneur et de la part du maitre
d’ouvrage et/ou maître d'œuvre, la répartition des tâches et des responsabilités étant précisée dans le marché.
Chacun des intervenants d'un projet décline sa propre démarche qualité à travers :
• Un référentiel managérial (RM) pour l'équipe en charge du projet dumaitre d’ouvrage et/ou maître
d'œuvre ;
• Un plan d'assurance de la qualité (PAQ) de l’Entrepreneur, conforme aux dispositions du CPS.
Ce système de management de la qualité est modulé et ciblé selon les enjeux et les risques des différents
intervenants et du type de projet (complexité, maturité de la technologie, etc...).
Les documents élaborés doivent être au mieux simples, précis et efficaces pour une meilleure maîtrise de ce
domaine.
Une fois établi, le référentiel managérial du maitre d’ouvrage et/ou maître d'œuvre ainsi que les PAQ de
l’Entrepreneurs et/ou fournisseurs doivent être respectés et leur mise en œuvre est contrôlée de façon
périodique à travers des missions d'audits.
PAQ Genre A: L’entrepreneur et/ou fournisseur apporte la preuve qu'il est en mesure de réaliser les ouvrages
tel que cela est prévu par le CPS. A cet effet, il présente, pendant la période de préparation, un plan
d'assurance qualité simplifié décrivant l'organisation générale du chantier, la consistance de ses installations,
les ressources humaines et matérielles, la provenance des matériaux et produits qu'il emploiera ainsi que le
programme de réalisation des travaux.
Le maitre d’ouvrage et/ou maître d'œuvre assure, sous sa responsabilité, le contrôle de conformité des
produits et ouvrages livrés aux stipulations du CPS.
Le maître d’ouvrage et/ou maître d'œuvre assure sous sa responsabilité, le contrôle de conformité des produits
livrés aux stipulations du CPS.
PAQ Genre C : Outre ce qui est décrit dans le genre B, le PAQ de genre C comprend un contrôle externe de la
qualité effectué par l’Entrepreneur et/ou fournisseur, indépendamment de la chaîne de production, ayant pour
objectif de contrôler la conformité des produits et ouvrages livrés.
Le Maître d’ouvrage et/ou maitre d'œuvre s'assure du bon fonctionnement du contrôle externe en effectuant
des contrôles inopinés et réalise les contrôles de conformité qui sont contractuellement à sa charge.
Le genre de PAQ retenu par le maître d'ouvrage est indiqué dans le dossier de consultation des entreprises
(DCE). Pour les PAQ de genre B et C, l’Entrepreneur est tenu de joindre à son offre son SOPAQ contenant les
dispositions sur lesquelles il s'engage et qui seront reprises dans le PAQ établi pendant la période de
préparation.
De plus, l'introduction du PAQ d'un niveau donné dépend également des contraintes liées à la réalisation, voire
de la complexité du projet. Ainsi, plus le niveau du PAQ est élevé, plus le risque d'obtenir des produits
défectueux diminue ainsi que leurs conséquences sur les coûts et les délais.
Dans tous les cas le CPS, précise le niveau de PAQ retenu en fonction du projet. Ainsi, Le choix du genre de PAQ
à appliquer à un ouvrage s'effectue en fonction de la nécessité pour l’Entrepreneur d'assurer un suivi de la
qualité des produits au cours de la production (contrôle interne), de tenir une cadence élevée de la production
et de son aptitude à réaliser tout ou partie des contrôles de conformité (contrôle externe).
· Le PAQ de genre As'applique aux ouvrages pour lesquels les matériaux et fournitures préalablement
agréés par le maître d'œuvre ne subissent pas de transformation sur le chantier (ex. pose de
conduites, plantations, etc.) et sont mis en œuvre sans l'exécution d'épreuves préalables ;
· Le PAQ de genre B s'applique aux ouvrages pour lesquels les matériaux et fournitures préalablement
agréés par le maître d'œuvre subissent, avant leur mise en œuvre, une transformation sur le
chantierpour laquelle il est nécessaire d'effectuer des épreuves préalables ainsi qu'un suivi de la
qualité de la mise en œuvre (ex. mise en remblai) et/ou de la fabrication (ex : fabrication et mise en
œuvre de bétons de ciment ou de matériaux enrobés). Il implique la mise en place par les fournisseurs
d'un contrôle interne de la chaîne de production, le contrôle de conformité étant réalisé par le maître
d'œuvre travaux.
Le genre du PAQ à appliquer à chaque type d'ouvrages est défini par le Programme du maître d'ouvrage.
1-5.4.1Initialisation
Le maître d'œuvre travaux reçoit le programme du maître d'ouvrage qui définit les niveaux du PAQ retenu pour
laréalisation des différentes composantes du projet qui figureront dans les DCE.
Parallèlement, le fournisseur joint à son offre, si requis, le SOPAQ établi conformément au modèle joint en
annexedu dossier de consultation des entreprises et dont le contenu dépend du genre de PAQ fixé par le DCE.
Cette activité du processus est identique pour les trois niveaux de contrôle de la qualité.
1-5.4.2Planification
Pendant la période de préparation, le maître d'œuvre travaux établit :
De plus, la maîtrise d'œuvre Travaux examine et vise l'ensemble des documents contractuels remis par le
fournisseur au cours de la période de préparation du marché. Les documents concernés sont :
- PAQ genre A et B, le fournisseur effectue les essais d'agrément des matériaux et transmet les résultats à la
maîtrise d'œuvre avec la demande d'agrément. Ce dernier peut, s'il l'estime nécessaire, procéder à ses propres
vérifications avant de se prononcer sur cette demande.
La réception des matériaux à la livraison, avant leur utilisation, est prononcée par la maîtrise d'œuvre sur la
base des résultats d'essais du contrôle extérieur, qui doivent satisfaire aux spécifications contractuelles.
- PAQ genre C, les essais d'agrément et de réception des matériaux sont effectués par le contrôle externe du
fournisseur. Le maître d'œuvre procède, s'il l'estime nécessaire, à ses propres vérifications avant de se
prononcer sur la demande d'agrément. En outre, il peut procéder à des contrôles inopinés avant l'utilisation
des matériaux approvisionnés.
Les demandes d'agrément sont répertoriées sur un Registre de délivrance des agrémentsqui outre la nature de
l'agrément, mentionne la date de dépôt de la demande, le délai imparti au maître d'œuvre pour son examen et
la date de la délivrance ou de refus de l'agrément.
b- Production
1- Acceptation et réglage des matériels
Quel que soit le genre de PAQ, le fournisseur soumet les matériels qu'il compte utiliser à l'acceptation du
maitre d’ouvrage et/ou maître d'œuvre. Il procède, sous la supervision du représentant du maitre d’ouvrage
et/ou maître d'œuvre, aux opérations de réglage.
Dans le cas d'un PAQ genre B et d'un PAQ genre C, le fournisseur établit les procédures d'exécution et de
contrôle. Les procédures doivent recevoir le visa de la maîtrise d'œuvre travaux avant le commencement
effectif de la tâche.
Le fournisseur réalise si requis par le contrat, les Epreuves préalables (épreuves de convenance, planches
d'essais et de référence) destinées à s'assurer que les moyens qu'il utilise sont aptes à obtenir la qualité
requise. Si le résultat est concluant, elles donnent lieu à l'établissement d'une fiche de levée de point d'arrêt.
3- En cours de production
Le fournisseur émet les fiches de suivi de déroulement des activités spécifiées par les procédures d'exécution.
De plus pour un :
- PAQ de genre A et B : le fournisseur doit attendre que le maître d'œuvre ait effectué le contrôle de
conformité de la tâche terminée avant de passer à l'exécution de la tâche suivante.
- PAQ de genre C : le fournisseur poursuit la production après avoir effectué les opérations de contrôle externe
prévues par le contrat. Il n'est tenu de l'arrêter que lorsqu'il atteint un point d'arrêt spécifié au contrat ou par
le PAQ. Il ne peut poursuivre celle-ci qu'après la levée du point d'arrêt par le représentant du maître d'œuvre
travaux. En cas de non satisfaction à une exigence spécifiée, le fournisseur doit ouvrir une fiche de non-
conformité qui donne lieu à un traitement débouchant sur des mesures curatives et au besoin sur des actions
correctives.
1-Contrôle de l’Entrepreneur
• PAQ genre A et B :le maitre d’ouvrage et/ou maître d'œuvre réalise tous les contrôles visuels, essais et
mesures prévus par le contrat pour s'assurer de la conformité des ouvrages aux spécifications. Si les
résultats sont conformes aux spécifications, il lève le point d'arrêt.
• PAQ genre C :le maitre d’ouvrage et/ou maître d'œuvre effectue des contrôles inopinés pour la
validation des résultats des contrôles effectués par le contrôle intérieur, auxquels s'ajoutent les
contrôles de conformité mis à sa charge par les dispositions contractuelles.
Il informe l’Entrepreneur du résultat des contrôles effectués et l'invite, à ouvrir des fiches de non-conformités
lorsque les spécifications ne sont pas respectées. Au besoin, en cas de défaillance de l’Entrepreneur, il ouvre les
dites fiches de non-conformités.
Toute non-conformité décelée, fait immédiatement l'objet d'un traitement adapté conformément aux
dispositions du PAQ de l’Entrepreneur. Un suivi mensuel du traitement des non conformités ouvertes est
assuré par le maître d'œuvre jusqu'à leur fermeture.
3- Audits de la qualité
Des audits de qualité des produits destinés à s'assurer de la conformité de l'ouvrage aux exigences spécifiées
(qualité requise) et à l'usage attendu (qualité d'usage) sont diligentés par le maitre d’ouvrage et/ou maître
d’œuvre, lorsque requis par le programme du maitre d’ouvrage et/oumaître d'œuvre, quel que soit le genre du
PAQ défini au contrat.
Ils sont conduits conformément aux dispositions fixées par le CPS pour la réalisation des audits des opérations
de construction des infrastructures autoroutières.
1-5.4.5 Finalisation
1- Réception provisoire
Pour tous les niveaux de système de management de la qualité, le fournisseur présente une demande de
réception des ouvrages et le maître d'œuvre effectue les opérations préalables à la réception selon les
dispositions du CCAG. Avant de prononcer la réception provisoire, le maitre d’ouvrage et/ou maître d’œuvre
s'assure notamment que toutes les non-conformités sont fermées.
2- Audit d'achèvement
Après la réception provisoire et l'établissement du décompte définitif, un audit d'achèvement est diligenté par
le maître d'ouvrage conformément aux dispositions du CPS pour la réalisation des audits des opérations de
construction des infrastructures autoroutières.
Le déroulement des activités de management de la qualité, pour la phase de réalisation d'un projet, est décrit
dans annexes 1, 2 et 3 en fonction du niveau du système de contrôle choisi (PAQ genre A, B ou C).
Le CPS ou les ordres de services du maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre désignent s’il y a lieu les ouvrages
ou parties d’ouvrages dont maitre d’ouvrage et/ou maitre d’œuvre se réserve le droit de prendre possession
avant l’achèvement des travaux. Prise de possession qui donne lieu à une réception provisoire partielle. Les
modalités en sont fixées éventuellement par le CPS.
Le CPS désigné éventuellement certains ouvrages ou parties d’ouvrages dont l’administration se réserve le droit
de disposer avant l’achèvement des travaux. Cette mise à disposition d’ouvrages ou de parties d’ouvrages peut
également intervenir par ordre de service de Maitre d’ouvrage et/ou maître d’œuvre.
La mise à disposition d’ouvrages ou de parties d’ouvrages n’est pas précédée d’une réception provisoire
partielle, mais fait l’objet d’un état des lieux dressé contradictoirement entre le Maitre d’ouvrage et/ou Maitre
d’œuvre et l’Entrepreneur.
L’Entrepreneur a le droit de suivre les travaux non compris dans son marché et intéressant les ouvrages ou
parties d’ouvrages mis à la disposition de l’administration. Il a également le droit de faire des réserves s’il
estime que les travaux entrepris sur les ouvrages considérés excèdent les possibilités de ces ouvrages. Ces
réserves adressées au Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre doivent être écrites et motivées.
L’Entrepreneur devra soumettre à l’agrément du Maitre d’ouvrage et/ou Maitre d’œuvre, la minute du dossier
qu’il se propose d’établir, un mois avant la date prévue pour la réception définitive. Le dossier définitif ne sera
établi qu’après l’agrément de celui-ci.
Les plans seront pliés au format 21X31 et encartés sous chemise cartonnée.
Dans le cas où les plans d’exécution ont été établis par l’administration, l’Entrepreneurdevra annoter ces plans
des modifications intervenues en cours de travaux et les remettre à celle-ci en un exemplaire avant la
réception définitive. Il en sera notamment ainsi du plan d’exécution des fondations de l’ouvrage qui devra être
corrigé en fonction des côtes relevées contradictoirement lors de la réception des fouille.
• Organigramme de chantier
III-Exécution des travaux
• Provenance et qualité des • Agrément de la provenance et
matériaux qualité des matériaux
Approvisionnements
• Réception des fournitures et
matériaux
• Acceptation des matériels et
• Epreuves préalables (si requises) Production
ateliers de production
• Demande de levée de point
d’arrêt
• Levée de point d’arrêt
IV-Contrôles
• Contrôle de conformité
• Audit (si requis)
• Opérations préalables à la
• Demande de réception V-Finalisation
réception provisoire
• Procès-verbal de réception
Réception des ouvrages provisoire PVRP
• Audit d’achèvement
V-Finalisation •
• Opérations préalables à la
réception provisoire
• Demande de réception Réception des ouvrages • Procès-verbal de réception
provisoire PVRP
• Audit d’achèvement
• Opérations préalables à la
V-Finalisation réception provisoire
• Demande de réception • Procès-verbal de réception
provisoire PVRP
Réception des ouvrages
• Audit d’achèvement