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13 avril 2017
Immeuble « La Vigie » 20 quai Malbert CS 42905 29229 BREST cedex 2 Tél. 02 98 46 38 39 Fax. 02 98 46 46 64
20 Quai MALBERT
CS 42905
29229 BREST Cedex 2
Il est interdit de reproduire intégralement ou partiellement sous quelque support que ce soit le
présent ouvrage (art. L 122-4 et L 122-5 du Code de la propriété intellectuelle) sans
l'autorisation de l'éditeur.
TABLE DES MATIÈRES
i TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
ii TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
iii TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
iv TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
v TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
vi TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
vii TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
viii TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
ix TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
x TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
xi TOPOGRAPHIE
TABLE DES MATIÈRES
xii TOPOGRAPHIE
LES LECTURES DE CARNETS
1 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS
2 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Généralités
I.1. GÉNÉRALITÉS
Les lectures de carnets permettent de transformer un carnet terrain d’un format particulier vers le
format GéoBase COVADIS reconnu par les fonctions de calcul et l’éditeur de GéoBases. Cette
transformation s’opère soit depuis l’éditeur de GéoBases soit depuis le menu COV.CALCULS de
COVADIS.
Cette transformation s’effectue dans une fenêtre permettant de sélectionner le carnet brut, le fichier
de paramétrage, la GéoBase résultante et la table de codes si vous souhaitez interpréter les codes
au cours de cette opération. Vous pouvez aussi choisir un appareil de levé qui sera placé en début
de GéoBase pour corriger une erreur de collimation verticale ou une constante de prisme. Si aucun
appareil n’est indiqué, l’appareil standard (ni collimation verticale, ni constante de prisme) sera
utilisé par défaut lors des calculs.
Etant donné la diversité des formats de stockage des informations de levé, plusieurs fichiers de
paramétrage sont prévus. Les paramètres contenus dans ces fichiers fournis par défaut ne
correspondent pas forcément à la façon dont vous avez configuré votre instrument. Il est donc
important de connaître les spécificités de chaque instrument et de savoir modifier un fichier de
paramétrage.
Ce chapitre passe en revue les différents formats de stockage pris en compte ainsi que les
possibilités de paramétrage de COVADIS CALCULS TOPO.
REMARQUE :
Lorsque vous faites une lecture de carnet depuis l’éditeur de GéoBase, vous pouvez compléter la GéoBase courante ou créer une
nouvelle GéoBase.
3 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble GDM
3. Mesure
5=102 label pour le matricule : 5 matricule du point : 102
4=12 label pour le code du point : 4 code : 12
6=1.452 label pour la hauteur de prisme : 6 valeur : 1.452 m
7=378.4589 label pour l’angle horizontal (position I) : 7 valeur : 378.4589 gr
8=99.6878 label pour l’angle vertical (position I) : 8 valeur : 99.6878 gr
9=78.587 label pour la distance inclinée : 9 valeur : 78.587 m
10=0.385 label pour la dénivelée : 10 valeur : 0.385 m
11=78.586 label pour la distance horizontale : 11 valeur : 78.586 m
17=178.4589 label pour l’angle horizontal (position II) : 17 valeur : 178.4589 gr
18=300.3122 label pour l’angle vertical (position II) : 18 valeur : 300.3122 gr
4 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble GDM
6. Labels personnalisables
Les labels à partir de 90 sont personnalisables. Ils peuvent ainsi être utilisés pour :
• indiquer que le point rayonné associé à la mesure courante ne devra pas être calculé en Z,
• donner le code symbole à affecter à toutes les mesures suivantes (jusqu’à ce qu’un nouveau code soit donné),
• définir un label (104 par exemple) pour la codification propre au GéodatWin ®.
REMARQUES :
Pour chaque groupe de données, le label 4 peut contenir un numéro de symbole (ex : 4=10) ou une codification étendue
(ex : 4=100.2.12) qui inclut les excentrements.
Plusieurs données de type 4 peuvent être indiquées pour une même mesure. Pour spécifier, par exemple, le code symbole
associé à une mesure ainsi que plusieurs commandes de codification étendue.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans les options des calculs
(fichier CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil
sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à
toutes les observations du fichier. Les calculs topométriques
utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la
collimation verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone
d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ». Il est possible d’éditer directement le fichier en
utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la zone d’édition correspondante. Cette façon
de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage (un fichier par format de carnet) à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Une case de dialogue de sélection de fichier apparaît alors.
Le bouton « Modifier » permet de changer les paramètres contenus dans le fichier ‘ini’. (cf. § I.2.3 pour les détails).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
5 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble GDM
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage et de
revenir au dialogue de lecture du carnet.
6 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble GDM
3. Paramètres généraux
Si l’opérateur n’a pas utilisé le label 62 pour différencier les mesures et les références lors du levé, deux zones d’édition ont été
prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant l’ensemble des données fournies avec la mesure (hauteur de prisme,
angle horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules. Voici quelques exemples de listes de matricules :
1000;1001;1004 ............................................. seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ......................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Les différents paramètres de cette liste permettent d’indiquer au programme de décodage du fichier carnet :
• les labels associés aux commandes de levé,
• les symboles à utiliser par défaut pour les différents éléments de la GéoBase (si aucun autre code symbole n’est fourni dans le
groupe de données).
Pour les carnets Trimble GDM, deux nouvelles commandes peuvent être définies :
• « Point sans altitude » : qui indique que le point associé à la station, référence, ou mesure possèdera une altitude invariante et
sans valeur. Par exemple, si le label utilisé pour indiquer un point sans altitude est 95, le groupe de données d’une mesure pourrait
être :
5=132 (matricule du point = 132)
95=0 (point sans altitude, la donnée 0 est sans importance)
6=1.600 (hauteur de prisme = 1.600 m)
7=135.2564 (angle horizontal = 135.2564 gr)
8=99.2568 (angle vertical = 99.2568 gr)
9=78.562 (distance inclinée = 78.562 m)
4=10 (code du symbole = 10)
• « Symbole courant » : permet d’indiquer que toutes les mesures qui suivent auront automatiquement le code symbole associé
à ce label sauf si le label 4 est utilisé pour indiquer un code symbole spécifique. Par exemple si le label utilisé pour le symbole
courant est 91, la ligne de donnée 91=12 indique que le code symbole 12 sera affecté à toutes les mesures suivantes tant qu’un
nouveau label 91 ne sera pas utilisé pour changer le code du symbole courant (91=15). Vous pouvez désactiver le symbole
courant avec la valeur 0 (91=0).
.
.
.
91=12 (symbole courant = 12)
5=100
. (point 100 avec code symbole 12)
.
.
5=101
4=20 (point 101 avec code symbole 20)
.
.
.
5=102 (point 102 avec code symbole 12)
.
.
.
91=0 (désactivation du symbole courant)
Un code symbole peut être automatiquement affecté par défaut à tous les éléments d’une GéoBase donnant lieu à la création d’un
point après calcul (stations, références et mesures). Le code symbole sera affecté uniquement si aucune donnée spécifique n’est
indiquée (label 4) et à condition que le symbole courant ne soit pas défini.
7 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble GDM
Pour modifier un label de commande ou un code symbole par défaut, il suffit de cliquer l’élément correspondant dans la liste,
d’entrer la nouvelle valeur dans la zone de saisie prévue à cet effet, puis de cliquer sur le bouton « Modifier » pour mettre à jour la
liste.
REMARQUE :
Le paramétrage du carnet Trimble GDM permet d’étendre (nouveaux labels) et de simplifier (symboles par défaut et courants)
les possibilités de saisie.
5. Les excentrements
Les excentrements sont des valeurs numériques (distances) saisies pendant la phase de levé destinées à modifier la position d’un
point. Ils sont de trois types : radiaux, tangentiels et verticaux. Un excentrement radial modifie la distance horizontale entre l’appareil
et le point réellement levé. Un excentrement tangentiel affecte l’angle horizontal (recalculé avec la distance perpendiculaire à la
visée) et dans une moindre mesure l’angle vertical. Un excentrement vertical modifie soit la hauteur de prisme soit la hauteur
d’instrument selon qu’il s’applique à une mesure ou à une station.
La plupart des appareils de levé intègre déjà ces excentrements dans les observations. Si toutefois ce n’était pas le cas, vous avez la
possibilité d’utiliser les labels 70 ou 72 pour un excentrement radial et les labels 71 ou 73 pour un excentrement tangentiel. Une
autre possibilité est d’utiliser le label 4 suivi d’un code désignant le type d’excentrement puis de la valeur d’excentrement.
Exemple : 4 = <code>.<valeur>
Le croquis ci-contre illustre les effets des excentrements radiaux et tangentiels sur
Av une observation.
Av’
M Soient le point M réellement levé et le point M’ qui n’a pas pu être visé pour une
ER
Di raison quelconque (épaisseur du prisme, visibilité …). Sur le terrain les valeurs ER
Di’ et ET ont été mesurées. ER correspond à l’excentrement radial et ET à
O
l’excentrement tangentiel. Pendant les calculs, le logiciel recalculera l’angle
Dh M’
horizontal, l’angle vertical et la distance inclinée pour tenir compte de ces
Dh’ excentrements. Tout se passe comme si le point inaccessible avait été réellement
levé.
ET
6. Codes des champs
Cet onglet permet de spécifier l’unité des valeurs des
excentrements ainsi que d’éventuelles valeurs par défaut
(en l’absence de valeur saisie sur le terrain). Si dans le
carnet brut, les valeurs sont données en mètres, il faudra
indiquer la lettre m dans la zone intitulée « Unité de la
donnée ». Si les excentrements sont donnés en
centimètres saisissez cm (mm s’il s’agit de millimètres)
et appuyez sur le bouton « Modifier ! » pour valider la
saisie.
Si vos conventions de signe sont différentes de celles utilisées par défaut, vous devrez éditer le fichier de paramétrage afin de
modifier les valeurs des variables SigneExcRad, SigneExcTan, SigneExcVer. Les valeurs acceptées sont 0 ou 1 selon le sens
dans lequel sont comptés les excentres. La valeur 1 correspondant à la convention exposée plus haut.
8 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble GDM
7. Exemple de transformation
9 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble Zeiss®
10 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble Zeiss®
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35
1 0 2 4 1 0 1 2 2 4 1 6 3 0 ARBRE
Numéro
Ligne Identifiant
Espace Espace
36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81
E 1 4 2 . 1 6 3 Hz 2 1 2 . 4 1 6 3 V1 99 . 4101
Code 1 Mesure 1 Code 2 Mesure 2 Code 3 Mesure 3
Espace Espace Espace Espace Espace Espace
Chaque ligne a la même disposition : un numéro de ligne, un identifiant, trois codes suivis chacun de la mesure correspondante.
L’identifiant (position 9 à 35) permet de définir deux types de lignes :
• Les lignes de données dont l’identifiant unique est défini par la variable Zeiss.SaisieMan du fichier de paramétrage
Zeiss.ini. Ces lignes servent le plus souvent à fixer les hauteurs de prisme ou d’instrument. Les unités saisies lors du paramétrage
doivent correspondre aux valeurs contenues dans le fichier brut.
• Les lignes de mesures dont l’identifiant contient des informations relatives au point : un numéro, un code de commande, un
code de levé, une hauteur appareil ou une hauteur de prisme et éventuellement un commentaire. Le nombre et la disposition de
ces informations sont définis dans le fichier de paramétrage Zeiss.ini.
11 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble Zeiss®
For M5|Adr 23|IP1 1035B |SD 48.1806 m |Hz 67.67295 gon |V1 102.90622 gon |
For M5|Adr 24|IP1 1034B |SD 10.0310 m |Hz 100.58561 gon |V1 103.93380 gon |
For M5|Adr 25|TI COMPENS. PT ISOLE: e=libre | | | |
For M5|Adr 26|TI Ecart-Type avant comp. |sk 0.0010 m |sa 0.00030 gon | |
For M5|Adr 27|TI Ecart-Type avant comp. |sl 0 ppm | |sp 0.0000 m |
For M5|Adr 28|IP1 130B |vl -0.0017 m |va -0.00023 gon |vq -0.0002 m |
For M5|Adr 29|IP1 1036B |vl 0.0051 m |va 0.00086 gon |vq 0.0012 m |
For M5|Adr 30|IP1 1035B |vl -0.0077 m |va -0.00063 gon |vq -0.0005 m |
For M5|Adr 31|IP1 1s |X 710489.4954 m |Y 1615986.5463 m | |
For M5|Adr 32|IP1 1s |sx 0.0012 m |sy 0.0045 m | |
For M5|Adr 33|IP1 1s |e 0.999915 |Om 140.33848 gon |hi 1.7000 m |
For M5|Adr 34|IP1 1s |sm 0.000031 |so 0.00127 gon | |
For M5|Adr 35|TI STATIONNEMENT ALTIM | | | |
For M5|Adr 36|IP1 1RN |X 0.0000 m |Y 0.0000 m |Z 46.9700 m |
For M5|Adr 37|IP1 1RN |SD 17.4136 m |Hz 255.81439 gon |V1 97.88048 gon |
For M5|Adr 38|TI Distance pour unite poids |SD 30 m | | |
For M5|Adr 39|IP1 1RN | | |vz 0.0000 m |
For M5|Adr 40|IP1 1s |X 710489.4954 m |Y 1615986.5463 m |Z 45.9403 m |
For M5|Adr 41|IP1 1s | | |sz 0.0000 m |
Chaque paramètre est défini par sa première et sa dernière colonne. Dans l’exemple ci-dessus, la valeur du numéro de point
correspond aux colonnes 1 à 5. Il faut donc attribuer la valeur 1-5 au paramètre Zeiss.Numero. La valeur 0-0 signifie qu’il n’y a
pas de valeur. Il est possible d’affecter les mêmes colonnes pour plusieurs données. Cela permet d’avoir un code de commande
identique au code symbole sans le répéter.
Zeiss.SaisieMan=SAISIE VALEURS
1 0 2 4 1 0 1 2 2 4 1 6 3 0 ARBRE Zeiss.Numero=1-5
Zeiss.Type=6-7
Numéro Code Hauteur Commentaire Zeiss.CodePt=8-11
point point prisme Zeiss.Hp=12-15
Code Zeiss.Comment=16 -27
commande
12 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble Zeiss®
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de GéoBases. Vous pouvez alors compléter la
GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
13 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble Zeiss®
2. Le menu Options
Ce menu permet de décrire, dans la zone des 27 caractères, la position des différentes
informations qui y sont rencontrées. Par exemple, le numéro du point sera positionné
entre les caractères 1 et 5.
La zone d’édition intitulée « Définition d’une ligne de données » permet de saisir
une chaîne de caractères indiquant une entrée manuelle sur le terrain. Si cette chaîne
de caractères est trouvée dans la zone des 27 caractères l’interprétation par
découpage de la zone des 27 caractères est ignorée et seules les informations saisies
par l’opérateur (en général une hauteur de prisme ou une hauteur d’instrument) sont
prises en compte.
3. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors
du levé pour les mesures des références dans le carnet, deux zones d’édition ont été
prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en
références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont
les matricules sont spécifiés dans cette zone de saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données
fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Chaque ligne de mesure est définie par un code de commande dont l’emplacement à l’intérieur de l’identifiant est spécifié dans le
fichier de paramétrage Zeiss.ini par le paramètre Zeiss.Type.
Les différentes commandes pour lesquelles il est possible de fixer un code sont :
• « Station » : permet d’indiquer le code carnet utilisé lors de la saisie d’une station. Par défaut, le programme considère que le
code de commande d’une station est 10. La saisie du code carnet correspondant à une station est impérative.
• « Référence » : permet d’indiquer le code utilisé dans le carnet pour indiquer une référence. Seule la mesure suivante sera
interprétée comme étant une référence.
• « Référence angulaire » : cette commande est identique à la précédente, mais l’angle vertical et la distance inclinée,
n’apparaîtront pas dans la GéoBase.
• « Mesure » : permet d’indiquer le code utilisé dans le carnet pour signaler une mesure. Le code de commande
par défaut est 51.
• « Point sans altitude » : permet d’indiquer le code utilisé dans le carnet pour signaler que le point correspondant sera sans
altitude significative. Dans ce cas, lors de la lecture du carnet, le programme va créer automatiquement un point sans altitude.
Le code de commande par défaut est 11.
Pour augmenter les possibilités de paramétrage des carnets Zeiss®, il est possible de définir plusieurs codes pour une même
commande. Pour cela, il suffit de sélectionner la commande dans la liste puis de cliquer sur le bouton « Ajouter ».
Le bouton « Supprimer » permet d’enlever une occurrence de commande multiple de la liste.
REMARQUE :
Il est impératif de ne jamais utiliser plusieurs fois le même code pour deux commandes différentes, l’interprétation par le
programme étant, dans ce cas, totalement aléatoire.
14 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble Zeiss®
5. Commandes du levé
Cet onglet permet de spécifier l’unité des valeurs des excentrements. Si dans le carnet brut, les valeurs sont données en mètres, il
faudra indiquer la lettre m dans la zone intitulée « Unité de la donnée ». Si les excentrements sont donnés en centimètres saisissez
cm, mm s’il s’agit de millimètres et appuyez sur le bouton modifier pour valider la saisie.
15 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble JobXML®
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les observations
du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale ou une
constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de GéoBases. Vous pouvez alors compléter la
GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
16 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble JobXML®
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du menu
pour créer un nouveau fichier de paramétrage sans
nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet de
quitter le dialogue de paramétrage du driver et de
revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Le menu Options
Ce menu donne accès à la définition des attributs de codes contenus dans le fichier d’extension fxl de l’appareil assimilable à la
table de codes de l’appareil.
« Fusionner les références multiples successives » :
Cette case à cocher simplifie la GéoBase en conservant la ligne
la plus complète correspondant à la visée d’orientation de la
station.
« Supprimer les espaces dans les liaisons » :
Dans le fichier JobXML, les codes sont séparés par un espace.
Les codes de contrôle (équivalents des suffixes de liaison
COVADIS) sont également séparés par un espace. Cette case à
cocher permet de recoller le code de contrôle au code de liaison.
Le bouton est utilisé pour indiquer le fichier d’extension fxl à
importer. La question suivante vous est posée :
17 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Trimble JobXML®
3. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures numérotées de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Indiquez ici les codes par défaut pour les mises en station, les références, les mesures et les points sans altitude.
REMARQUE :
Il est impératif de ne jamais utiliser plusieurs fois le même code pour deux commandes différentes, l’interprétation par le
programme étant, dans ce cas, totalement aléatoire.
18 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets LandXML®
La norme LandXML permet de stocker les informations de carnet. Cette nouvelle commande effectue la conversion d’un carnet de
ce format au format GéoBase. Leica utilise également ce format étendu par une partie HexagonLandXML.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
19 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets LandXML®
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du menu
pour créer un nouveau fichier de paramétrage sans
nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet de
quitter le dialogue de paramétrage du driver et de
revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Le menu Options
Ce menu donne accès à la définition des attributs de codes pour les carnets spécifiques LandXML de Leica.
« Transformer les excentres d’appareil en commentaire » : cochez cette case si les angles et distances tiennent déjà compte
de excentres.
« Utiliser tous les attributs de code comme paramètres de commande » : si cette case n’est pas cochée, seuls les attributs
définis dans la liste seront utilisé comme paramètres de code.
Pour définir des attributs comme paramètres, utilisez le bouton .
Le bouton efface la ligne et le bouton met à jour la ligne
courante avec les valeurs contenues dans les champs d’édition.
Le numéro de paramètre est important. Par exemple, sur le terrain le
code 100 est utilisé avec les attributs « Attribut1 » = 0.5 et
« Attribut2 » = 6.
L’image suivante illustre une partie du fichier LandXML :
20 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets LandXML®
3. Paramètres généraux
La position des codes, avant ou après la mesure, ne concerne que les codes libres saisis sur le terrain. En effet les autres codes sont
directement stockés sur le point dans le fichier LandXML.
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures numérotées de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Indiquez ici les codes par défaut pour les mises en station, les références, les mesures et les points sans altitude.
REMARQUE :
Il est impératif de ne jamais utiliser plusieurs fois le même code pour deux commandes différentes, l’interprétation par le
programme étant, dans ce cas, totalement aléatoire.
21 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Wild®/Leica
REMARQUE :
Pour les stations de la série TPS1200, vous pouvez utiliser le fichier de format Leica\TPS1200\Format pour
LGO\COVADIS.FRT du CD d’installation dans Leica Geo Office pour vider directement au format GéoBase COVADIS.
1. Ligne de commande
Une ligne de commande contient toujours au moins un champ dont les deux premiers caractères sont 41. Les quatre caractères
suivants indiquent le numéro de la ligne dans le carnet et ne sont pas utilisés. Après le caractère ‘+’ vient le code de la commande.
C’est ce code qui doit être spécifié lors du paramétrage pour que le programme puisse interpréter correctement la commande.
Exemples :
• 410001+00000009 42....+00009866
Le code 00000009 indique, s’il est associé à la commande « Commentaire », qu’il s’agit d’une ligne de commentaire, et
que le champ 42 contient ce commentaire (dans cet exemple, 9866 est le numéro du dossier).
• 410003+00000002 42....+00001270
Le code 00000002 indique, s’il est associé à la commande « Hauteur de prisme », qu’il s’agit d’une nouvelle hauteur de
prisme à appliquer aux mesures suivantes, le champ 42 contenant la hauteur de prisme (ici en millimètres).
• 410004+00000010 42....+00000STA
Le code 00000010 indique, s’il est associé à la commande « Symbole du point suivant », que l’élément précédent ou
suivant (selon la position des codes) doit prendre STA comme code symbole.
• 410005+00000003
Le code 00000003 indique, s’il est associé à la commande « Référence », que la mesure précédente ou suivante (selon la
position des codes) est une référence.
• 410006+0000S105
Le code 0000S105, s’il ne correspond à aucune commande, indique que l’élément précédent ou suivant (selon la position des
codes) doit prendre S105 comme code symbole.
REMARQUE :
En fonction des personnalisations des carnets Leica®, certains codes de commande (Référence, Symbole du point suivant, Point
sans altitude) peuvent être placés avant ou après l’élément auquel ils se rapportent (mesure ou station). Il faudra donc faire très
attention aux paramètres choisis afin que le carnet puisse être interprété correctement.
22 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Wild®/Leica
2. Ligne de mesure
Une ligne de mesure contient toujours au moins un champ dont les deux premiers caractères sont 11. Les quatre caractères suivants
indiquent le numéro de la ligne dans le carnet et ne sont pas utilisés. Le septième caractère n’est jamais utilisé lui non plus, par
contre, les huit (ou seize) suivants correspondent au matricule du point associé à la mesure.
Les autres champs rencontrés dans les lignes de mesure sont essentiellement les suivants :
• 21… : angle horizontal mesuré.
• 22… : angle vertical mesuré.
• 31… : distance inclinée mesurée.
• 81… : abscisse (X) d’un point connu ou GPS.
• 82… : ordonnée (Y) d’un point connu ou GPS.
• 83… : altitude (Z) d’un point connu ou GPS.
• 87… : hauteur de prisme utilisée pour la mesure.
Le programme effectue toutes les conversions nécessaires pour ramener les observations dans les unités de la GéoBase, c’est-à- dire
les mètres et les grades.
Exemples :
110004+00006002 21.102+39999980 22.102+10449760 31..00+00077712
110005+00000001 21.102+00316450 22.102+10450460 31..00+00069333
...
110106+00006521 21.322+34542650 22 322+09964900 31 00+00043672 81.00+09967687 82.00+11031424 83..00+00000525
110107+00006522 21.322+12545658 22 322+09945856 31 00+00050215 81.00+09965465 82.00+11041515 83..00+00001256
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <SHIFT> + <CTRL> et un clic droit de la souris
dans la zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin pour plus de détails).
23 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Wild®/Leica
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
REMARQUE :
Pour que les HP87 soit prises en compte, il est nécessaire que l’option
«Hauteur de prisme = code de champ 87 » soit cochée dans les paramètres
spécifiques des carnets Leica affichés ci-contre.
24 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Wild®/Leica
L’ordre de priorité d’affectation des hauteurs de prisme sur une mesure est dicté par la logique.
1) Le programme affectera d’abord la dernière valeur saisie entre HPP et HPR non nulle (si l’une d’elles existe).
2) En l’absence de cette valeur, le programme tentera (voir la remarque précédente) d’affecter la valeur HP87.
3) Ensuite et toujours en l’absence de valeur, le programme affecte, si elle existe, la valeur de HPC.
4) Enfin, la valeur nulle sera affectée si aucune des recherches précédentes n’a abouti.
Toujours sur une ligne de mesure, les champs 71 à 79 peuvent être présents. Il est alors possible d’interpréter les valeurs de ces
champs soit comme des commentaires soit comme des commandes de codification.
3. Paramètres généraux
Selon le paramétrage de l’appareil, certains codes de commande (Référence, Symbole du point suivant, Point sans altitude) peuvent
être placés avant ou après l’élément auquel ils se rapportent (mesure ou station). Veuillez donc indiquer la position du code en
sélectionnant le bouton radio () correspondant : code avant ou après la mesure.
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Les lignes de mesure (celles commençant par 11) sont automatiquement interprétées lors de la lecture. Pour les autres lignes (les
commandes), il faut spécifier les codes de commande et la nature des informations stockées (mise en station, référence, hauteur de
prisme, point sans altitude, etc.).
Les différents paramètres de la liste permettent :
• de reconnaître les codes associés aux commandes,
• d’associer les symboles à utiliser par défaut pour les différents éléments de la GéoBase (si aucun autre code symbole n’est
indiqué explicitement à l’aide des commandes Symbole du point suivant et Symbole courant).
REMARQUE :
Les codes des commandes des carnets Wild®/Leica peuvent être numériques ou alphanumériques mais leur longueur doit toujours
être de 8 ou de 16 caractères mais pas les deux dans le même fichier. Exemples pour une station : 00000001 ou
000000000STATION ou station_ …
25 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Wild®/Leica
• « Hauteur prisme » : commande obligatoire, permet d’indiquer quel code carnet correspond à la hauteur de prisme courante.
Cette hauteur de prisme sera utilisée jusqu’à ce qu’une nouvelle valeur soit donnée.
Les mesures pour lesquelles le champ 87 est présent ne tiendront pas compte de la hauteur de prisme courante ainsi que les
mesures affectées par la commande hauteur de prisme ponctuelle.
Le programme considère par défaut que la hauteur de prisme est donnée dans le champ 42.
• « Hauteur prisme ponctuelle » : permet d’indiquer quel code est utilisé dans le carnet pour spécifier une hauteur de prisme
qui ne sera appliquée qu’à la mesure suivante ou précédente, en fonction de la position des codes dans le carnet (avant ou après
les mesures).
• « Point sans altitude » : permet d’indiquer quel code est utilisé dans le carnet pour signaler que le point correspondant à la
mesure précédente ou suivante (selon la position des codes) sera sans altitude significative. Dans ce cas, lors de la lecture du
carnet, le programme va créer automatiquement un point sans altitude mais avec cette altitude déclarée constante.
• « Commentaire » : permet d’indiquer quel code est utilisé lors de la saisie d’un commentaire dans le carnet. Le programme
considère que tous les champs qui suivent le champ 41 font partie du commentaire.
• « Symbole du point suivant » : permet d’indiquer quel code est utilisé dans le carnet pour spécifier le code symbolique associé
à la mesure précédente ou suivante, en fonction de la position des codes dans le carnet (avant ou après les mesures). Le
programme considère par défaut que le nom du symbole est donné dans le champ 42.
• « Symbole courant » : permet de spécifier quel code est employé dans le carnet pour spécifier le code symbolique de toutes les
mesures suivantes.
Le programme considère par défaut que le nom du symbole courant est donné dans le champ 42.
Le symbole courant restera valable jusqu’à ce qu’une nouvelle valeur, une valeur nulle (00000000, ou pas de champ 42) ne soit
donnée.
Si une commande définissant le symbole du point suivant (ou précédent) est associée à une mesure, le symbole courant sera
ignoré.
• « Excentrement … » : permet d’affecter un code carnet à chaque type d’excentrement (tangentiel, radial et vertical).
Pour modifier un code de commande ou un code symbole par défaut, il suffit de cliquer l’élément correspondant dans la liste, d’entrer
la nouvelle valeur dans la zone de saisie prévue à cet effet, puis de cliquer sur le bouton « Modifier » pour mettre à jour la liste.
Pour augmenter les possibilités de paramétrage des carnets Wild ®, il est possible de définir plusieurs codes pour une même
commande. Pour cela, il suffit de sélectionner la commande dans la liste puis de cliquer sur le bouton « Ajouter ».
Le bouton « Supprimer » permet d’enlever une occurrence de commande multiple de la liste.
REMARQUE :
Il est impératif qu’à un code ne corresponde qu’une commande, l’interprétation par le programme étant, dans le cas contraire,
totalement aléatoire. La réciproque est fausse.
5. Les excentrements
Les excentrements permettent de lever un point inaccessible en visant un point proche et en mesurant ER et ET comme indiqué sur
le schéma ci-dessous. Les excentrements sont de trois types : radiaux, tangentiels et verticaux. Pendant les calculs, un excentrement
radial ER modifiera la distance horizontale entre l’appareil et le point réellement levé, un excentrement tangentiel affectera l’angle
horizontal et dans une moindre mesure l’angle vertical, un excentrement vertical modifiera soit la hauteur de prisme (excentrement
portant sur une observation) soit la hauteur d’instrument (excentrement portant sur une station).
Vous indiquerez un code carnet pour chaque type d’excentrement. Par exemple, les excentrements radiaux pourront être identifiés
par le code carnet 00000010.
Le croquis ci-contre illustre les effets des excentrements radiaux et tangentiels sur
Av une observation.
M Soient le point M réellement levé et le point M’ qui n’a pas pu être visé pour une
Av’ ER
Di raison quelconque (épaisseur du prisme, visibilité …). Sur le terrain les valeurs ER
Di’ et ET ont été mesurées. ER correspond à l’excentrement radial et ET à
O
l’excentrement tangentiel. Pendant les calculs, le logiciel recalculera l’angle
Dh M’
horizontal, l’angle vertical et la distance inclinée pour tenir compte de ces
Dh’ excentrements. Tout se passe comme si le point inaccessible avait été réellement
levé.
ET
26 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Wild®/Leica
REMARQUE :
Les unités autorisées sont ‘m’, ‘cm’ et ‘mm’ (pour les hauteurs d’instrument et de prisme ainsi que les excentrements).
Exemple de transformation
410001+00000009 42....+00009866
410002+00000001 42....+00006001 43....+00001547
410003+00000002 42....+00001270
110004+00006002 21.102+39999980 22.102+10449760 31..00+00077712 51....+0000+000
110005+00000001 21.102+00316450 22.102+10450460 31..00+00069333 51....+0000+000
110006+00000002 21.102+00675180 22.102+10435780 31..00+00061295 51....+0000+000
410157+00000009 42....+00009870
410158+00000001 42....+00005001 43....+00001530
410159+00000002 42....+00001270
110160+00000001 21.102+39999990 22.102+09096790 31..00+00039712 51....+0000+000
110161+00000002 21.102+36772330 22.102+09248140 31..00+00043510 51....+0000+000
110162+00000003 21.102+31132870 22.102+10295510 31..00+00018631 51....+0000+000
110163+00000004 21.102+01760990 22.102+10089650 31..00+00008460 51....+0000+000
27 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Psion®
28 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Psion®
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
29 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Psion®
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence
angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les
mesures des références dans le carnet, deux zones
d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules
des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Le tableau suivant indique quels sont les éléments paramétrables :
Eléments Affectation d’un code carnet Affectation d’un symbole par défaut
Station - OUI
Référence - OUI
Référence angulaire OUI -
Hauteur de prisme - -
Hauteur de prisme ponctuelle - -
Point sans altitude OUI OUI
Commentaire - -
Mesure - OUI
Point - OUI
Symbole du point suivant OUI -
Symbole courant OUI -
Excentrements (ET, EV, ER) - -
30 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Atlas
9 : En-tête
Deux espaces
Version
Commentaire
0 : Point de Station
Numéro de Station
Code
Hauteur d'instrument
Numéro de référence arrière
Angle sur référence arrière
Date et heure
1 : Point de station XYZ
Numéro de la station
Code
X, Y et Z
Date et heure
2 : Visée sur un point, une référence, avec ou sans distance
Numéro de point
Code
Distance suivant la pente
Angle horizontal
Angle vertical
Hauteur de prisme
Date Heure
3 : Point de détail XYZ
Numéro du point
Code
X, Y et Z
Date heure
4 : Point XYZ chargé dans l'appareil (implantation)
Numéro du point
Code
X, Y et Z
Date heure
5 : Point de contrôle (Uniquement si la version de l'en-tête est NS002)
Numéro de point
Code
Distance suivant la pente
Angle horizontal
Angle vertical
Nombre de déterminations de HA
Hauteur de prisme
6 : Point de détail XYZ (Uniquement si la version de l'en-tête est NS002)
Numéro du point
Code
X, Y et Z
31 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Atlas
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans les options des calculs
(fichier CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil
sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à
toutes les observations du fichier. Les calculs topométriques
utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la
collimation verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
32 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Atlas
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence
angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour
les mesures des références dans le carnet, deux
zones d’édition ont été prévues pour indiquer les
matricules des mesures qui doivent être trans-
formées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone
de saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme,
angle horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules
sont indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront
conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
33 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Atlas
3. Commandes du levé
Le tableau suivant indique quels sont les éléments paramétrables :
Eléments Affectation d’un code carnet Affectation d’un symbole par défaut
Station - OUI
Référence - OUI
Référence angulaire OUI -
Hauteur de prisme - -
Hauteur de prisme ponctuelle - -
Point sans altitude OUI OUI
Commentaire - -
Mesure - OUI
Point - OUI
Symbole du point suivant OUI -
Symbole courant OUI -
Excentrement radial OUI -
Excentrement tangentiel OUI -
Excentrement vertical OUI -
4. Les excentrements
Les excentrements permettent de lever un point inaccessible en visant un point proche et en mesurant ER et ET comme indiqué sur
le schéma ci-dessous. Les excentrements sont de trois types : radiaux, tangentiels et verticaux. Pendant les calculs, un excentrement
radial ER modifiera la distance horizontale entre l’appareil et le point réellement levé, un excentrement tangentiel affectera l’angle
horizontal et dans une moindre mesure l’angle vertical, un excentrement vertical modifiera soit la hauteur de prisme (excentrement
portant sur une observation) soit la hauteur d’instrument (excentrement portant sur une station).
Vous indiquerez un code carnet pour chaque type d’excentrement. Le croquis ci-
Av contre illustre les effets des excentrements radiaux et tangentiels sur une observation.
Av’
M Soient le point M réellement levé et le point M’ qui n’a pas pu être visé pour une
ER
Di raison quelconque (épaisseur du prisme, visibilité …). Sur le terrain les valeurs ER
Di’ et ET ont été mesurées. ER correspond à l’excentrement radial et ET à
O
l’excentrement tangentiel. Pendant les calculs, le logiciel recalculera l’angle
Dh M’
horizontal, l’angle vertical et la distance inclinée pour tenir compte de ces
Dh’ excentrements. Tout se passe comme si le point inaccessible avait été réellement
levé.
ET 5. Codes des champs
L’onglet « Codes des champs » offre la possibilité
d’indiquer les unités utilisées pour les excentrements.
REMARQUE :
Seules les valeurs ‘m’, ‘cm’ et ‘mm’ sont autorisées
pour les unités.
34 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Khéops
35 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Khéops
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
36 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Nikon®/Khéops
37 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Sokkia®
Où :
• Axx : désigne une chaîne de caractères d’une longueur maximale de xx caractères,
• Ixx : désigne un nombre entier composé de xx chiffres au maximum,
• Rxx : désigne un nombre réel d’une longueur totale n’excédant pas xx caractères.
38 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Sokkia®
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
39 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Sokkia®
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de para-
métrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence
angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les
mesures des références dans le carnet, deux zones
d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
40 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Sokkia®
3. Commandes du levé
41 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets TopCon® GT7
Pour les appareils de la gamme TopCon® le logiciel utilisé pour le vidage (Transtop.exe) prévoit une conversion du format
TopCon vers le format GéoBase COVADIS.
42 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets TopCon® GT7
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale
ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage (un fichier par format de carnet) à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Une case de dialogue de sélection de fichier apparaît alors.
Le bouton modifier permet de changer les paramètres contenus dans le fichier ‘ini’. (Voir le paragraphe suivant pour les détails.)
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
43 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets TopCon® GT7
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Le tableau suivant indique quels sont les éléments paramétrables :
Eléments Affectation d’un code carnet Affectation d’un symbole par défaut
Station - OUI
Référence OUI OUI
Référence angulaire - OUI
Hauteur de prisme - -
Hauteur de prisme ponctuelle - -
Point sans altitude - -
Commentaire - -
Mesure - OUI
Point - -
Symbole du point suivant - -
Symbole courant - -
Excentrements (ER, ET, EV) - -
44 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets X-Pad Raw®
JOB : informations relatives au Job DAT : système de référence pour les coordonnées cartographiques
FV : version du fichier NM : nom du système de référence
DT : date du levé SX : translation en x
HM : heure du levé SY : translation en y
NM : nom du Job SZ : translation en z
CR : équipe terrain RX : rotation en x
NT : commentaires RY : rotation en y
RZ : rotation en z
UNM : unités de mesure SC : facteur d’échelle
AN : unité de mesure angulaire DT : type de système de référence
DS : unité de mesure des distances PX : rotation du point en x
SL : unité de mesure des pentes PY : rotation du point en y
PZ : rotation du point en z
DEC : précision pour chaque type de mesure
ELL : ellipsoïde
AN : angles
CD : coordonnées NM : nom de l’ellipsoïde
EL : élévation SA : demi-grand axe
DS : distances IF : inverse de l’aplatissement
AR : surfaces
SL : pentes GED : géoïde de référence en altitude
NM : nom du géoïde
CRD : paramétrage des coordonnées
NO : préfixe des coordonnées nord RED : Réduction des distances
ET : préfixe des coordonnées est SL : réduction du niveau de la mer
EL : préfixe de l’élévation AE : élévation moyenne
OR : ordre (nord/est ou est/nord) CN : réduction plane cartographique
SF : facteur d’échelle
LOC : localisation
HZ : localisation horizontale PNT : point topographique
VT : localisation verticale NM : matricule
CD : code
L1P : localisation d’un point unique NO : coordonnée nord
GP : nom du point de référence GPS ET : coordonnée est
LT : latitude du point de référence (en radians) EL : altitude
LN : longitude du point de référence (en radians) LT : latitude (en radians)
HT : altitude du point de référence LN : longitude (en radians)
LP : matricule du point local HT : hauteur de canne
NO : coordonnée nord TP : type de point
ET : coordonnée est NT : description
EL : altitude
NTE : commentaires
LCS : localisation dans un système cartographique DT : date du commentaire
NM : nom du système HM : heure du commentaire
PJ : projection NT : commentaire
DM : nom du système de référence
EP : ellipsoïde GPS : point mesuré au GPS
LT : latitude d’origine (en radians) DT : date de la mesure
LN : longitude d’origine (en radians) HM : heure de la mesure
FN : faux nord BS : nom du pivot de référence
FE : faux est PT : matricule
SC : facteur d’échelle CD : code
LT : latitude (en radians)
LN : longitude (en radians)
HT : hauteur de canne
AH : hauteur d’antenne du mobile
BH : hauteur d’antenne du pivot
US : heure de début de mesure
UE : heure de fin de mesure
NT : description
45 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets X-Pad Raw®
JOB,FV1.0,DT2011-11-04,HM09:57:12,NMTest.gfd,CR,NT
UNM,ANGON,DSMETER,SL%
DEC,AN4,CD3,EL3,DS3,AR2,SL2
CRD,NON,ETE,ELZ,OREN
LOC,HZSINGLE,VTLOCAL
L1P,GP100,LT0.802025941,LN0.218072211,HT71.3043,LP100,NO0.0000,ET0.0000,EL0.0000
PNT,NM100,CD,NO0.0000,ET0.0000,EL0.0000,LT0.802025941,LN0.218072211,HT71.3043,TPGPS_POI
NT,NT
PNT,NM101,CDCODE,NO0.7909,ET12.3152,EL-
0.4257,LT0.802026065,LN0.218074984,HT70.8787,TPGPS_POINT,NT
PNT,NMOFS_0001,CD--,NO-1.6844,ET4.7078,EL0.7872,LT0.802025676,LN0.218073271,HT72.0915,
TPGPS_HIDDEN_DISTDIST,NT-------
PNT,NMOFS_0002,CDYY,NO-5.4806,ET-7.3232,EL1.5743,LT0.802025080,LN0.218070563,HT72.8787,
TPGPS_HIDDEN_ALIGNOFF,NTdesc yy
GPS,DT2011-11-
04,HM16:10:49,BS0209,PT100,CD,LT0.802025941,LN0.218072211,HT71.3043,AH2.0000,NT
QTY,EP3,GP7,GS6,GA0,HD0.800,VD1.400,PD1.600,GD0.000,PH0.0500,PV0.0000,FQRTK_FIXED
COV,XX0.000000000,XY0.000000000,XZ0.000000000,YY0.000000000,YZ0.000000000,ZZ0.000000000
GPS,DT2011-11-
04,HM16:11:20,BS0209,PT101,CDCODE,LT0.802026065,LN0.218074984,HT70.8787,AH2.0000,NT
QTY,EP3,GP6,GS4,GA0,HD1.100,VD2.100,PD2.300,GD0.000,PH3.1750,PV0.0000,FQRTK_FLOAT
COV,XX0.000000000,XY0.000000000,XZ0.000000000,YY0.000000000,YZ0.000000000,ZZ0.000000000
NTE,DT2011-11-04,HM16:11:40,NTtest
GPD,DT2011-11-
04,HM16:13:02,PTOFS_0001,CDCode,R1100,D15.0000,V11.0000,R2101,D28.0000,V21.0000,
NTDescription estesa
GPO,DT2011-11-
04,HM17:13:13,PTOFS_0002,CDCode,R1100,R2101,RPN,DS20.0000,OF5.0000,HD2.0000,
NTDescription estesa
46 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets X-Pad Raw®
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans les options des calculs
(fichier CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil
sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
47 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets X-Pad Raw®
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du menu pour
créer un nouveau fichier de paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un fichier
de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un fichier
autre que le fichier de paramétrage courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet de
quitter le dialogue de paramétrage du driver et de revenir
au dialogue de lecture du carnet.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire
n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des
références dans le carnet, deux zones d’édition ont été
prévues pour indiquer les matricules des mesures qui
doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
48 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Topojis®-Pc
Les combinaisons d’enregistrement entre la distance horizontale, la distance inclinée, la dénivelée et l’angle vertical sont acceptées
et traduites au format GéoBase.
Exemples :
#:S,M=ST.20,HT=1.66,C=1
Station ST.20 ayant pour hauteur d’instrument 1.66 m et pour code symbole 1.
#:V,M=R.99,AH=356.2565,C=7
Référence R.99 visée avec un angle horizontal de 356.2565 gr et de code symbole 7.
#:v,M=1201,HV=1.458,AH=256.2548,AV=99.8896,DI=50.325,C=10,PV=0
Mesure 1201 avec une hauteur de prisme de 1.458 m, un angle horizontal de 256.2548 gr, un angle vertical de 99.8896 gr,
une distance inclinée de 50.325 m, un code symbole égal à 10 et sans calcul d’altitude.
49 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture des carnets Topojis®-Pc
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les observations
du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale ou une
constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
4. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
REMARQUE :
Dans certains pseudo-formats Topojis, les caractères « # : » n’apparaissent pas en début de ligne. COVADIS permet tout de
même de lire ces fichiers.
50 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Lecture de fichiers au format séparateur
1. Appareil
Cette case à cocher vous donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans le fichier CalTopo.ini. Si la case
est cochée, une ligne appareil sera ajoutée en début de GéoBase
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier de points à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il
est possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans
la zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
REMARQUE :
Les séparateurs de codes et de paramètres doivent être différents du séparateur d’information du fichier brut et de la virgule.
REMARQUE :
Les séparateurs de codes et de paramètres doivent être
différents de la virgule.
51 COVADIS CALCUL
LES LECTURES DE CARNETS Importation depuis une base de données
Cette fonction est disponible dans le menu Lecture de l’éditeur de GéoBase. Le choix de la base de données Access ainsi que le
paramétrage de l’importation sont réalisés dans les options des calculs topométriques (cf. § IV.4).
Le but de cette fonction est d’ajouter à la GéoBase courante les coordonnées des stations et références extraites de la base de données.
Le lien entre les stations et références avec les coordonnées présentes dans la base de données s’effectue par le matricule. Il est donc
très important d’immatriculer, lors du levé, une station ou une référence de manière unique.
Si la station ou la référence n’existe pas dans la base de données, le message ci-
contre est affiché. Il sera répété sur les stations ou références suivantes non
présentes dans la base de données. Le fait de cliquer sur « Annuler » empêche
la réapparition du message.
Cette fonction est disponible dans le menu Lecture de l’éditeur de GéoBase et permet de créer les fichiers PTS à partir de la base
de données Leica (*.XCF).
Avant toute chose, le répertoire Leica Nova du DVD d’installation contient deux sous-répertoires correspondant aux version 32 bits
et 64 bits de Windows. Copier le sous répertoire adéquat sur le disque dur. Idéalement, choisissez un des emplacements approuvés
d’AutoCAD. Ce répertoire contient l’exécutable (ExtractNova.exe) et les DLLs nécessaire à la création des fichiers scans (*.PTS).
Au premier lancement de la commande, le chemin vers l’exécutable est demandé. Ensuite indiquez la base de données Leica
correspondant à la Géobase courante.
Les fichiers scans (*.PTS) sont alors créés dans le répertoire des fichiers scan binaires (*.SDB).
Extrait du contenu d’un fichier PTS :
3127
19983.923937 20003.662349 102.224117 -1812 0 0 0
19983.921770 20003.660882 102.219052 -1813 0 0 0
19983.922503 20003.661376 102.213912 -1813 0 0 0
19983.923237 20003.661872 102.208772 -1816 0 0 0
19983.923887 20003.662314 102.203630 -1818 0 0 0
19983.923546 20003.662084 102.198511 -1817 0 0 0
19983.921383 20003.660625 102.193434 -1813 0 0 0
19983.922951 20003.661682 102.188266 -1811 0 0 0
19983.923441 20003.662013 102.183134 -1815 0 0 0
19983.923685 20003.662179 102.178021 -1817 0 0 0
19983.923016 20003.661732 102.172947 -1817 0 0 0
La première ligne de ce fichier contient le nombre de points contenus dans le scan. Sur chaque ligne suivante, les coordonnées et
quatre autres nombres. La couleur des points n’est pas initialisée, ces derniers seront donc monochromes.
Si les stations de levé sont recalculées suite à un cheminement par exemple, une commande du menu Calculs de l’éditeur de
GéoBase permet de recalculer les coordonnées présentes dans les fichiers PTS (cf. § V.12).
52 COVADIS CALCUL
EXPORTATIONS DE CARNETS
53 COVADIS CALCUL
EXPORTATIONS DE CARNETS
54 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format GéoBase
II.1. GÉNÉRALITÉS
Ce chapitre traite des possibilités d’exportation des coordonnées calculées présentes dans une GéoBase.
Ces commandes sont exécutables soit à partir du sous-menu Exportation carnet du menu Cov.Calculs
soit directement depuis l’éditeur de GéoBases comme montré ci-contre.
Les fichiers ainsi obtenus peuvent servir pour le chargement des appareils de terrain en vue d’une
implantation ou comme fichier de points en entrée dans un logiciel de dessin.
Les possibilités de formats sont : GéoBase, fichier avec séparateur, fichier colonné, fichier au format
Topojis®-Pc, fichier au format Wild/Leica, fichier au format Geotronics/Spectra Precision ou fichier au
format Sokkia. En fonction du format de sortie choisi, des paramétrages peuvent être demandés. Les
paragraphes suivants traitent chaque format en détails.
55 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Séparateur
56 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Colonné
57 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Topojis®-Pc
Le groupe d’éléments Paramètres pour l’écriture vous permet de spécifier différentes options :
« Supprimer les radicaux alphanumériques » : si les matricules des points sélectionnés pour l’écriture du fichier
contiennent des radicaux, ceux-ci seront automatiquement supprimés si cette case est cochée. Par exemple, le matricule du
point EU.123 sera transformé en 123 dans le fichier.
« Supprimer les points d’altitude nulle » : si cette case est cochée, les points sans altitude seront automatiquement omis
lors de l’écriture du fichier.
• « Alignements dans les colonnes » : ce sous-groupe de paramètres permet d’indiquer les côtés d’alignement des matricules
et codes symboles dans leurs colonnes respectives. Cliquez sur les boutons pour sélectionner les modes d’alignement désirés.
58 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Wild®/Leica®
Si la case « Ecrire la ligne de fin de fichier » (! ----+) est cochée, cette séquence de caractères (nécessaire à certains systèmes)
sera automatiquement écrite à la fin du fichier de points.
59 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Trimble GDM
Décalage d’origine
Entrez dans les zones de saisie les valeurs à soustraire aux abscisses (X) et ordonnées (Y) de tous les points sélectionnés avant leur
écriture dans le fichier.
Ce décalage ne peut être utilisé qu’avec le format de données sur 8 caractères. Il est inutile si les coordonnées restent inférieures à
10000.0 et que le nombre de décimales n’est pas supérieur à 3.
Comme pour les formats vus précédemment, le menu « Fichier » permet de gérer différents fichiers de paramétrage.
L’appui sur le bouton libellé « Terminer » est équivalent à la sélection de l’option « Quitter » du menu, ainsi qu’à l’appui sur
l’icône de fermeture de la fenêtre .
60 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Sokkia
61 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation au format Dxf 12
2. Décalage d’origine
Entrez dans les zones de saisie les valeurs à soustraire aux abscisses (X) et ordonnées (Y) de tous les points sélectionnés avant leur
écriture dans le fichier.
Ce décalage est nécessaire pour le format SDR20 si le nombre de caractères pour les coordonnées est supérieur à 10.
« Supprimer les radicaux alphanumériques » : si les matricules des points sélectionnés pour l’écriture du fichier contiennent
des radicaux, ceux-ci seront automatiquement supprimés si cette case est cochée. Par exemple, le matricule du point EU.123
sera transformé en 123 dans le fichier.
« Supprimer les points d’altitude nulle » : si cette case est cochée, les points sans altitude seront automatiquement omis lors de
l’écriture du fichier.
« Combler les espaces avec des zéros dans le fichier de sortie » : remplace les espaces par des zéros.
« Ecrire le code symbole » : cochez cette case pour que le code symbole soit ajouté à la fin des lignes de données pour les
points qui en possèdent un.
• « Nombre de décimales » : utilisez cette liste jaillissante pour spécifier le nombre de décimales pour l’écriture des coordonnées
dans le fichier de points.
Utilisez cette possibilité d’exportation du menu Export de l’éditeur de GéoBase pour créer un fichier Dxf version 12 à partir des
points calculés dans une GéoBase. Le fichier obtenu est compatible avec AutoCAD ®.
REMARQUE :
S’il n’y a pas de point sélectionné dans l’éditeur de GéoBase le radio-bouton « Uniquement les points sélectionnés » n’est
pas disponible.
62 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS Exportation vers une base de données
2. Eléments à exporter
Des cases à cocher permettent d’inclure ou d’exclure des éléments du dessin :
• « Stations » : Insère un point dans le calque spécifié pour les stations. La couleur est celle du calque.
• « Références » : Insère un point dans le calque spécifié pour les références. La couleur est celle du calque. Si le point est
déjà inséré en tant que station il n’est pas inséré une seconde fois en tant que référence.
• « Points ray. » : Insère un point dans le calque spécifié pour les points de détail (Mesures). La couleur est celle du calque.
• « Visées Réf. » : Trace une ligne entre la station et le point de référence dans le calque spécifié. La couleur est celle du
calque.
• « Visées Pnt. » : Trace une ligne entre la station et le point de détail dans le calque spécifié. La couleur est celle du calque.
• « Flèches Réf. » : Dessine une flèche au milieu de la ligne station-référence dans le calque spécifié. La couleur est celle du
calque.
• « Flèches Pnt. » : Dessine une flèche au milieu de la ligne station-mesure dans le calque spécifié. La couleur est celle du
calque.
63 COVADIS CALCUL
EXPORTATION DE CARNETS
64 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES
65 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES
66 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Généralités
III.1. GÉNÉRALITES
Une GéoBase est un fichier texte (ASCII) contenant les informations de levé, de codification et les coordonnées des points dans un
format propre à COVADIS. Bien que ce fichier soit lisible et modifiable par tout éditeur de texte, un éditeur spécial (l’éditeur de
GéoBases) a été développé. Ce chapitre se propose de vous présenter les fonctionnalités propres à l’éditeur de GéoBase.
Chacun des calculs topométriques modifie la GéoBase courante (coordonnées des stations calculées, V0 des stations, coordonnées
des points de détail, …).
Chaque ligne d’une GéoBase définit un élément particulier (station, référence, mesure, point, commentaire, …) et est composée
d’un numéro de ligne, du type de l’élément décrit, et des paramètres associés à cet élément. La colonne symbole quant à elle ne sert
qu’à remplir l’attribut code des points topographiques et ne joue aucun rôle lors de la génération du dessin (codification).
Pour lancer l’éditeur de GéoBases, sélectionnez l’option « Edition GéoBase » dans le menu Cov.Calculs ou tapez GEOEDIT2
sur la ligne de commande d’AutoCAD®. La dernière GéoBase utilisée (lecture de fichier carnet ou calcul) peut être chargée
automatiquement au démarrage de l’éditeur (voir options de l’éditeur § IV.3.1).
Le nom de la GéoBase courante (actuellement chargée) est toujours affiché dans la barre de titre de la fenêtre, le caractère « »
indique, s’il est présent après le nom, que la GéoBase a été modifiée depuis le dernier enregistrement (ou depuis le chargement).
L’éditeur de GéoBases peut être décomposé en trois zones principales : la barre de menus, la barre d’outils et la liste d’affichage.
Ces différentes zones sont décrites plus loin dans ce chapitre.
Il est possible de personnaliser la taille et l’emplacement de la fenêtre de l’éditeur, la police d’affichage de la liste, le nombre de
décimales affichées ainsi que la largeur des colonnes de la liste. Des couleurs différentes peuvent être choisies pour chaque colonne
ou chaque type de lignes (voir les options § IV.3.5).
REMARQUES :
Les différents messages générés par l’éditeur de GéoBase sont envoyés dans la fenêtre de texte d’AutoCAD ® (erreur lors du
chargement, modifications d’éléments, résultats de calculs…).
A une ligne de la GéoBase correspond en général une ligne de la liste d’affichage dans l’éditeur de GéoBase. Ceci n’est pas
vrai pour les cheminements de plus de huit stations qui font l’objet de plusieurs lignes dans le fichier GéoBase.
Tous les calculs peuvent être effectués soit dans l’éditeur de GéoBases soit à partir du menu Cov.Calculs.
67 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Types d’éléments
Les différents types d’éléments qu’il est possible de rencontrer dans une GéoBase sont décrits ci-après. Les icônes situées sous les
titres correspondent aux boutons de la barre d’outils de l’éditeur de GéoBase.
68 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Types d’éléments
Syntaxes :
Mesure <matricule> <AH>
Mesure <matricule> <AH> <SY>
Mesure <matricule> <HP> <AH> <AV> <DI>
Mesure <matricule> <HP> <AH> <AV> <DI> <SY>
Exemples :
Mesure M.1 126.3887
Mesure M.1 126.3887 20
Mesure M.1 1.600 126.3887 99.6587 78.954
Mesure M.1 1.600 126.3887 99.6587 78.954 20
69 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Types d’éléments
REMARQUE :
Si un cheminement est composé de plus de huit stations, le programme écrira sa description sur plusieurs
lignes (pour des raisons de lisibilité) dans le fichier GéoBase. Le type et le matricule du cheminement
seront bien sûr les mêmes pour chaque ligne créée.
70 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Types d’éléments
71 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
La barre de menus contient les menus Fichier, Edition, Affichage, Lecture, Export, Calculs, Outils et Codification.
REMARQUE :
Les noms des huit dernières GéoBases utilisées sont proposés dans le menu. Il suffit de cliquer sur un nom pour ouvrir la GéoBase
correspondante.
72 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
73 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
74 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
Mesures Les lignes des mesures ne seront pas affichées dans la liste.
✓ Mesures Les lignes des mesures seront affichées dans la liste.
• « Tout afficher » : permet d’afficher l’intégralité des éléments de la GéoBase
• « Sélectionner… » : ouvre une boîte de dialogue permettant de sélectionner, en une
seule opération, les éléments à afficher et ceux à cacher.
• « Icônes des éléments » : permet de faire apparaître devant les éléments de la liste
l’icône qui les représente. Ceci permet de différencier beaucoup plus vite les types
d’éléments.
• « Constante de prisme » : affiche la colonne réservée aux constantes de prisme utilisées pour mesurer les distances.
• « Mise à jour de la colonne symbole » : Vous pouvez cocher cette option pour mettre à jour la colonne symbole des éléments
lorsque vous faites des modifications. Cette opération demandant beaucoup de temps, il est conseillé de la désactiver.
• « Fenêtre de texte » : affiche la fenêtre de texte d’AutoCAD® dans laquelle sont envoyés les différents messages générés par
l’éditeur de GéoBase sont envoyés dans la fenêtre de texte d’AutoCAD® (erreur lors du chargement, modifications d’éléments,
résultats de calculs…).
REMARQUES :
Ces options sont très intéressantes pour retrouver rapidement les éléments à modifier, ainsi que pour limiter la création d’un
fichier listing aux informations souhaitées (stations + références, par exemple) ou extraire un réseau de polygonales avec la
commande « Enregistrer Affichage sous… » du menu Fichier.
La couleur et la police de caractères des éléments présents dans la GéoBase peuvent être personnalisées (cf. § IV.3.5) pour
une visualisation optimale du contenu affiché.
L’importation depuis une base de données (cf. § IV.4 et § I.15) n’est disponible que dans l’éditeur
de GéoBase. Cette fonction recherche dans la base de données spécifiée les coordonnées des
stations et références d’après leur matricule, et les ajoute à la GéoBase.
75 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
• « Visualiser la polygonation » : permet de faire apparaître à l’écran un croquis des visées avant tout calcul. Les points sont
calculés de proche en proche. Il est donc nécessaire de connaître au moins un point dont les coordonnées seront fixées et une
orientation (V0 ou deux points connus).
Il est possible d’afficher les matricules des points et les flèches indiquant le sens des visées. Une liste déroulante contient les
matricules des points qui n’ont pu être calculés.
Les coordonnées approximatives des points s’affichent quand le curseur de la souris passe dessus. La molette de la souris sert à
zoomer (rotation de la molette) et à se déplacer (rester appuyé et glisser).
Les stations et les références sont représentées avec des couleurs différentes selon qu’elles sont connues ou calculées.
Le bouton « Terminer » ferme la fenêtre d’affichage et retourne dans l’éditeur de GéoBase. Bien entendu, les coordonnées
approximatives des points n’ont pas été enregistrées dans la GéoBase. La taille de la fenêtre est identique à celle de l’éditeur de
GéoBase.
• « Cheminements auto. » : permet de rechercher des définitions de cheminements à partir des visées. La boîte de dialogue ci-
contre permet de donner un radical aux cheminements à créer et de choisir l’indice pour le premier cheminement. Il est aussi
possible de supprimer les cheminements existants.
Le principe de cette recherche est d’essayer de créer des cheminements encadrés
les plus courts possibles entre deux points connus. Les conditions sont identiques
à celles de la visualisation de la polygonation (minimum d’une station connue et
fixe en coordonnées et V0 connu).
Les mesures utilisées dans les définitions de cheminements sont automatiquement
transformées en références.
76 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
• « Créer tous les points » : permet de créer tous les points avec des coordonnées nulles. Le symbole rattaché à la mesure est
associé au point. Cette commande est utile pour savoir si tous les points rayonnés ont été calculés.
• « Contrôle des points doubles (code) » : permet de supprimer les points doubles ayant le même code (cf. § III.10).
• « Élimination des points doubles (matricule) » : permet de supprimer les points doubles de matricule (cf. § III.11).
• « Points triés à la fin » : permet de trier tous les points existants en fin de GéoBase. Le tri s’effectue sur le matricule. Cette opération
n’est pas conseillée s’il s’agit d’un levé en coordonnées (GPS…) codé car cela détruirait l’ordre du levé.
• « Points triés selon altitude » : permet de trier tous les points existants selon une altitude croissante. Cette opération n’est pas
conseillée s’il s’agit d’un levé GPS codé car cela détruirait l’ordre du levé.
• « Contrôle de précision (Arrêté 16.09.2003) » : effectue un contrôle du levé en application de l’Arrêté du 16 Septembre 2003
(cf. § III.12). Cet arrêté remplace les tolérances de 1980 et 1988.
• « Changement de système » : Cette nouvelle fonction permet de recalculer les coordonnées des points dans un nouveau
système de projection. Le paramétrage de la boîte de dialogue est expliqué au paragraphe III.13.
• « Réduction des reprises » : Il est parfois impossible de faire les
observations d’une station en une seule fois. L’équipe de levé revient
donc et effectue une reprise. Cela se traduira dans la GéoBase par deux
lignes de station de même matricule. La commande de réduction permet
de réduire ces deux reprises en une seule.
Vous pouvez cocher indifféremment une ou plusieurs des options
proposées dans le dialogue ci-contre, mais les règles suivantes sont
appliquées :
Seules les options cochées seront prises en compte.
Si vous cochez les trois premières options, le programme donne
priorité à la première puis à la seconde puis à la troisième
Vous pouvez demander d’effacer les stations et leurs
observations ayant fait l’objet d’une réduction.
Vous avez la possibilité de réduire les observations effectuées
en cercle à gauche. La moyenne avec les observations effectuées
en cercle à droite peut alors être effectuée.
Il est aussi possible d’intégrer les excentrements dans les
observations.
Les corrections d’appareils peuvent être intégrées dans les observations
77 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
• « Changement de Repère » :
Cette transformation effectue une translation et une
rotation planes à partir de deux points. Les points doivent
être connus en coordonnées dans les deux repères. Vous
pouvez choisir chacun des deux points par leur matricule,
les anciennes coordonnées étant recherchées dans la
GéoBase.
L’ensemble des fonctionnalités de cette boîte de dialogue facilite l’utilisation des données d’un levé de façade. Après chargement
du semis de points, vous obtenez un nuage de points disposés suivant le plan de la façade en vue de dessus
(schéma ). Vous pouvez projeter ces points sur le plan vertical de la façade (schéma ). Par une inversion des Y et des Z, vous
obtiendrez des points dans le plan XY (schéma ).
e
h 2 2 Projection perpendiculaire des points b
sur le plan de la façade
g
1 a b c d ef g h e h
z
y 1 2 y 1 2
y x x x
REMARQUE :
Vous pouvez également insérer le semis avec les véritables coordonnées et utiliser la commande Changement de repère du
menu Cov 2D/Points Topographiques qui est spécialisée dans le basculement de façade.
78 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre de menus
REMARQUE :
L’ordre des points dans la GéoBase et celui dans le fichier texte contenant les codes terrain doivent être identiques.
REMARQUE :
Cette commande n’est pas disponible dans le logiciel de Calculs Topométriques seul (sans AutoCAD ®).
79 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre d’outils
La barre d’outils est constituée par des boutons permettant d’accélérer l’accès aux commandes principales de l’éditeur de GéoBases.
Il est effectivement plus rapide de cliquer sur un bouton que de dérouler un (ou plusieurs) menu(s).
Sur chaque bouton est dessinée une icône symbolisant la commande associée. Lors du passage de la souris sur une icône, un message
(info bulle) est affiché pour rappeler la fonction du bouton.
Les dialogues affichés pour la création des nouveaux éléments sont décrits au paragraphe III.6.
Impression de listing
Ce bouton correspond à l’option « Imprimer le listing » du menu Fichier.
Modification d’éléments
Ce bouton permet de modifier l’élément sélectionné dans la liste d’affichage. Il est aussi possible d’activer la fonction en
effectuant un double clic sur l’élément dans la liste. Cette fonction est décrite en détail dans le paragraphe III.5.
80 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES La barre d’outils
81 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Modifications d’éléments
La modification d’un élément s’effectue dans une boîte de dialogue. Les points suivants sont communs à tous les éléments modifiés :
• Il est possible de déplacer un élément dans la GéoBase (et donc dans la liste d’affichage) en modifiant son numéro de ligne.
Cette opération doit être effectuée avec précaution car l’ordre dans lequel sont rencontrés les éléments lors des calculs est
déterminant pour les résultats.
• Chaque élément possède un matricule modifiable. Les matricules sont composés d’un radical alphanumérique facultatif
(3 caractères au maximum) et d’un indice numérique (de 1 à 999999). Le radical et l’indice peuvent être séparés par un point,
mais il n’est pas obligatoire (S1 et S.1 sont deux matricules différents). On dira que S.1 est un matricule pointé alors que S1 ne
l’est pas.
Exemples de matricules : 12, 1000, S.1, Ch.3, REF12, IGN.5645, P3.574…
• Suivant le type de l’élément et ses relations avec d’autres éléments, un ou plusieurs onglets seront ajoutés à la boîte de dialogue
de modification pour vous permettre de changer les informations rattachées à cet élément. Par exemple, si une station est aussi
connue en coordonnées, la boîte de dialogue de modification vous proposera un onglet pour la station levée et un onglet pour le
point associé.
Cliquez sur l’onglet « Visées » pour visualiser toutes les références et les
mesures visées depuis cette station. Cet onglet n’est disponible que pour les
stations n’ayant qu’une seule reprise.
Aucune modification n’est possible dans cet onglet.
REMARQUES :
Si la station a été reprise plusieurs fois, l’onglet « Station » sera
remplacé par plusieurs onglets « Reprise n », où n est l’indice de la
reprise.
Les propriétés des appareils ne sont pas modifiables. Seule la sélection
d’un autre appareil, défini dans les options, est autorisée.
La modification du matricule de la station n’entraîne pas automa-
tiquement la mise à jour du matricule du point associé. Ceci est
nécessaire pour pouvoir corriger d’éventuelles erreurs de saisie sur les
matricules.
La validation des modifications se fait par le bouton « OK ».
82 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Modifications d’éléments
Si la case « Seul l’angle horizontal est mesuré » est cochée, les zones de
saisie permettant d’entrer la hauteur de prisme, l’angle vertical et la distance
inclinée seront désactivées. De plus, ces données seront supprimées lors de la
validation du dialogue.
REMARQUES :
Il est possible, dans l’éditeur de GéoBases, de transformer une Référence en Mesure (et inversement) en sélectionnant
l’élément dans la liste d’affichage avec le bouton droit de la souris. Choisissez alors l’option du menu jaillissant correspondant
à l’opération à effectuer : « Mesure » pour transformer une référence en mesure ou « Référence » pour transformer
une mesure en référence.
Si une référence est visée par plusieurs stations, le dialogue de modification affichera un onglet pour chaque visée.
REMARQUE :
Il est possible, dans l’éditeur de GéoBases, de transformer une Lecture
arrière en Lecture avant (et inversement) en sélectionnant l’élément dans
la liste d’affichage avec le bouton droit de la souris. Choisissez alors l’option
du menu conceptuel correspondant à l’opération à effectuer : « LectAR »
pour transformer une lecture avant en lecture arrière ou « LectAV » pour
transformer une lecture arrière en lecture avant.
83 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Modifications d’éléments
REMARQUES :
Le type cheminement fermé n’est accessible que si l’option « Encadré » est sélectionnée.
Une station (+ reprise) ne peut apparaître que dans une des deux listes.
Il est possible d’inverser le sens d’un cheminement par le menu contextuel de l’éditeur de GéoBase.
84 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Modifications d’éléments
85 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Création d’un nouvel élément
86 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Création d’un nouvel élément
87 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Constantes de prisme
Jusqu’à présent, les constantes de prisme étaient gérées par l’intermédiaire des définitions d’appareils. En effet, si on avait utilisé un
mauvais prisme les distances enregistrées par l’appareil et donc lues dans la GéoBase devaient être corrigées. Pour ce faire, on
définissait un appareil avec une constante de prisme égale à la valeur dont il fallait corriger les distances. Cette correction s’appliquait
sur les mesures et références des stations rencontrées après la ligne appareil. Pour revenir à une correction nulle, il fallait insérer une
ligne appareil Standard ou supprimer la ligne d’appareil avec correction. Cette façon de faire, qui reste disponible, modifiait
temporairement les distances pour les calculs mais pas de façon définitive dans la GéoBase.
Un nouveau mécanisme est proposé dans cette version. On peut désormais affecter à chaque observation une valeur de constante de
prisme et corriger les distances en cas de modification de la valeur de la constante. C’est toujours la distance affichée qui est utilisée
lors des calculs.
REMARQUE :
Les lectures des carnets (Leica et Trimble GDM) ont été
modifiées pour récupérer la constante de prisme.
88 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Réimmatriculation des éléments
Il est possible de réimmatriculer les éléments de levé (stations, références, mesures et lectures de nivellement) ainsi que les points
de la GéoBase.
Pour ce faire, sélectionnez l’option « Réimmatriculer… » du menu
Outils, puis choisissez l’onglet du dialogue de paramétrage correspondant
à l’opération à effectuer (voir l’exemple ci-contre) :
• L’onglet « Éléments du levé » permet de réimmatriculer les stations,
les références, les mesures et les lectures de nivellement.
• L’onglet « Points connus en coordonnées » permet de réim-
matriculer les points d’appui et les points calculés.
1. Éléments à réimmatriculer
Ce groupe de paramètres vous permet de sélectionner les différents
types d’éléments à réimmatriculer (en cochant la case corres-
pondante), d’entrer les nouveaux radicaux alphanumériques des
matricules et, éventuellement, de spécifier les indices de départ pour
les nouveaux matricules.
2. Paramètres généraux
Vous devez préciser dans ce groupe de paramètres la plage des
numéros de lignes à traiter (premier et dernier numéros de lignes),
ainsi que le mode de traitement des éléments :
• « Mettre à jour uniquement les radicaux alphanumériques » : si cette case est cochée, seuls les radicaux des éléments
dont le type est sélectionné seront modifiés. Si elle n’est pas cochée, vous pourrez indiquer les indices de départ pour la
renumérotation (dans le premier groupe de paramètres), à condition que la case « Faire suivre … » ne soit pas cochée.
• « Faire suivre les indices pour tous les éléments traités en commençant par la valeur : » : cette case n’est intéressante
que si les radicaux alphanumériques ne sont pas utilisés pour les matricules des points (numérotation simple). Dans ce cas,
si cette case est cochée, les éléments seront réimmatriculés à partir de l’indice donné, celui-ci étant incrémenté pour chaque
nouvel élément rencontré dans la GéoBase, tous types confondus.
REMARQUES :
La réimmatriculation est toujours faite sur l’ensemble des lignes
sélectionnées (plage de valeurs) dans la GéoBase et non sur les seuls
éléments affichés.
Pour réimmatriculer des lectures de nivellement, il suffit de cocher
la case « Mesures » dans le groupe de paramètres Éléments à
réimmatriculer (de l’onglet « Éléments du levé »).
Lorsqu’un élément doit être réimmatriculé, le programme recherche
tous les autres éléments possédant le même matricule (avant
modification) puis affecte le nouveau matricule à tous ces éléments.
Ces éléments ne seront plus modifiés par la commande de
réimmatriculation en cours.
89 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Tester la cohérence
Li et Lj représentent des numéros de lignes dans la GéoBase. Si et Si+1 sont le nom d’une station d’un cheminement et la station
suivante. Ch.n représente le nom d’un cheminement.
90 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Contrôle des points doubles (code)
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘ptd’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
##############################################################################
# COVADIS CALCULS TOPOMETRIQUES - Traitement des points doubles #
##############################################################################
Nom de la GéoBase traitée : E:\COVADIS\Exemples\Calcul topométrique\Polygonales\Station.geo
Calculs effectués le : 27/10/2007 à 15:58:00
Tolérance sur les distances : 0.050 m.
Code pour les points doubles : 102
------------------------------------------------------------------------------------------------
| Point | X | Y | Z | dX m. | dY m. | dZ m. | Di m. |
------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.1 | 2189.998 | 1149.998 | 155.000 | -0.001 | -0.001 | 0.000 | 0.002 |
| C.2 | 2190.000 | 1150.000 | 154.999 | 0.001 | 0.001 | -0.001 | 0.001 |
| C.3 | 2190.000 | 1150.001 | 155.000 | 0.001 | 0.001 | 0.000 | 0.001 |
------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.3 | 2189.999 | 1150.000 | 155.000 |
--------------------------------------------------------
Cette fonction supprime ou passe en commentaire les anciens points (ceux qui ont servi à calculer le point moyen) selon le choix
fait dans les options des calculs topométriques.
Outre l’élimination des points doubles suite au calcul des points rayonnés, cette fonction peut également servir à comparer les points
d’un projet avec ceux réellement implantés donc relevés à condition qu’ils portent le même code.
91 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Élimination des points doubles (matricule)
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘ptd’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
##############################################################################
# COVADIS CALCULS TOPOMETRIQUES - Traitement des points doubles #
##############################################################################
Nom de la GéoBase traitée : E:\Geo200x-7\Levé.geo
Calculs effectués le : 06/09/2005 à 11:34:28
Tolérance sur les distances : 0.050 m.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| Point | X | Y | Z | dX m. | dY m. | dZ m. | Di m. |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.1 | 2189.9980 | 1149.9987 | 155.000 | -0.0007 | -0.0005 | 0.000 | 0.0008 |
| C.1 | 2189.9980 | 1149.9985 | 155.000 | -0.0006 | -0.0007 | 0.000 | 0.0010 |
| C.1 | 2190.0000 | 1150.0004 | 154.999 | 0.0013 | 0.0012 | -0.000 | 0.0018 |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.1 | 2189.9987 | 1149.9992 | 155.000 |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.2 | 2189.9980 | 1149.9987 | 155.000 | -0.0014 | -0.0007 | 0.000 | 0.0015 |
| C.2 | 2190.0001 | 1149.9989 | 155.000 | 0.0008 | -0.0005 | -0.000 | 0.0009 |
| C.2 | 2190.0000 | 1150.0006 | 155.000 | 0.0006 | 0.0012 | 0.000 | 0.0013 |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.2 | 2189.9994 | 1149.9994 | 155.000 |
----------------------------------------------------------
Cette fonction supprime ou passe en commentaire les anciens points (ceux qui ont servi à calculer le point moyen) selon le choix
fait dans les options des calculs topométriques.
Outre l’élimination des points doubles suite au calcul des points rayonnés, cette fonction peut également servir à comparer les points
d’un projet avec ceux réellement implantés donc relevés à condition qu’ils portent le même matricule.
92 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Contrôle de précision
Cette commande Contrôle de précision (Arrêté 16.09.2003) est accessible à partir du menu Outils de l’éditeur de GéoBase.
a) Le premier critère
L’écart moyen (la moyenne des écarts en position) ne doit pas être supérieur à la valeur limite calculée par :
b) Le second critère
Soit le premier seuil défini par :
Premier seuil = k . xx .1
1
en cm, k dépendant du type de contrôle
2C 2
Le nombre d’écarts dépassant le premier seuil doit être inférieur à l’entier immédiatement supérieur à :
N ' 0.01N 0.232 N
N’ dépend donc du nombre N de points de contrôle comme suit :
c) Le troisième critère
Aucun écart en position ne doit dépasser le second seuil défini par :
1
Second seuil = 1,5.k .xx .1 2
en cm, k dépendant du type de contrôle
2C
Si les trois critères sont respectés, le bouton <OK> est accessible et le listing peut être fourni. Dans le cas contraire, vous ne
pouvez produire de listing qu’en appuyant sur le bouton « Annuler » et la mention «ATTENTION : ECHEC DU CONTROLE
!» y figure.
93 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Contrôle de précision
REMARQUE :
La GéoBase en cours d’édition n’est pas modifiée par cette commande.
Exemple de listing :
Point Ex m. Ey m. Ez m. Epos m.
S.1 0.000 0.000 0.00000 0.000
S.9 -0.020 0.000 -0.03000 0.036
S.11 0.000 0.000 0.00000 0.000
SUCCES DU CONTROLE
94 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Changement de projection
3. Mode de fonctionnement
Vous pouvez utiliser cette boîte de dialogue selon deux modes
distincts.
• « Saisie manuelle des coordonnées » : vous spécifiez la
projection de départ, les coordonnées à transformer (Est, Nord
et Altitude) et la projection d’arrivée. L’action sur le bouton
« Calculer » affiche les coordonnées transformées dans le groupe « Coordonnées dans le système d’arrivée ».
• « Calcul de tous les points de la GéoBase courante » : la projection de départ
est celle de la GéoBase en cours. Choisissez la projection d’arrivée et appuyez sur
le bouton « Calculer ». Tous les points de la GéoBase sont transformés.
L’information sur le système de projection est inscrite dans la GéoBase. Un
contrôle de la latitude des points est effectué et le message ci-contre apparaît.
REMARQUE :
Vous n’avez pas accès au bouton « Calculer » si l’une des projections est « Aucune » (pas de projection).
4. Grilles et altitudes
Ce groupe d’options permet d’activer ou de désactiver l’utilisation des grilles planimétriques et altimétriques. Certaines
transformations, pour gagner en précision, utilisent des grilles fournissant des valeurs interpolées pour les paramètres de la
transformation. C’est notamment le cas pour les passages du Lambert Zones en Lambert 93.
« Tenir compte de l’altitude » : Si cette option est sélectionnée, l’altitude des points est utilisée lors des calculs. Dans ce cas,
il est possible d’utiliser la grille altimétrique permettant le calcul de la hauteur au-dessus de l’ellipsoïde à partir de l’altitude du
point.
« Utiliser la grille planimétrique » : Si cette case est cochée, la grille fournissant Tx, Ty et Tz est utilisée lors du passage des
coordonnées cartésiennes du système1 vers les coordonnées cartésiennes du système2. Sinon ce sont les paramètres standards
qui sont utilisés.
Le fait de n’utiliser aucune des grilles revient à effectuer la transformation standard dans le logiciel CIRCE de l’IGN (France).
95 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Changement de projection
REMARQUE :
Si le système de départ est NTF (projections Lambert zone), et le système d’arrivée RGF93 (projection Lambert 93), le
programme commence par calculer les coordonnées cartésiennes approchées dans le repère lié à l’ellipsoïde GRS 80 en appliquant
les paramètres standards (TX = -168, TY = -60 et TZ = 320). Ensuite, il effectue la transformation des coordonnées cartésienne
vers les coordonnées géographiques, ce qui donne un point d’entrée dans la grille. Il est ensuite possible d’obtenir des paramètres
TX, TY et TZ plus précis en appliquant l’interpolation bilinéaire.
96 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES Changement de projection
97 COVADIS CALCUL
L’ÉDITEUR DE GEOBASES
98 COVADIS CALCUL
LES OPTIONS DU CALCUL
99 COVADIS CALCUL
LES OPTIONS DU CALCUL
IV.1. GÉNÉRALITÉS
Les options des calculs topométriques COVADIS vous permettent de paramétrer le fonctionnement des différentes parties qui
composent ce module. Les différents paramétrages s’organisent en sept onglets :
• paramétrage des listings produits par les calculs,
• paramétrage du fonctionnement de l’éditeur de GéoBases,
• paramétrage de la base de données pour les coordonnées des stations et références,
• paramétrage des calculs de stations et de points,
• définition des instruments utilisés (collimation et constante de prisme),
• choix d’une projection et calcul des corrections relatives au chantier,
• paramétrage des tolérances pour le nivellement direct,
• paramétrage des tolérances pour le calcul de polygonales.
Cette commande est exécutable soit à partir du menu COV.CALCULS soit à partir du menu OUTILS de l’éditeur de GéoBases soit
encore en tapant la commande CALCOPT dans AutoCAD®. Tous ces paramètres sont stockés dans le fichier CalTopo.ini pour une
part et dans la GéoBase pour le reste (tolérances et corrections).
2. Nombres de décimales
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les nombres de
décimales à utiliser pour les différents types de données écrites
dans les fichiers listings.
Il suffit de sélectionner une nouvelle valeur dans une liste
jaillissante puis d’enregistrer la configuration pour que la
modification soit prise en compte pour les futurs listings créés.
3. Police de caractères
Le bouton « … » de ce groupe de paramètres vous permet de
sélectionner la police de caractères à utiliser dans les listings au format
RTF (et uniquement ceux-ci).
Sélectionnez d’abord le nom de la police, ensuite le style de celle-ci
puis terminez avec la hauteur des textes (taille en points). Cliquez sur
le bouton « OK » pour valider votre choix.
De retour dans l’onglet des paramètres généraux, vous pouvez
constater que la zone de prévisualisation de la police a été mise à jour
(en bas du groupe de paramètres).Vous pouvez taper un autre texte
d’exemple dans cette zone si vous le désirez.
Cet onglet vous permet de spécifier les caractéristiques des pages de listing à imprimer. En fonction du type de listing sélectionné
(format RTF ou autres), la page de propriétés sera différente.
1. Marges
Entrez, dans les zones de saisie, les marges (en millimètres)
à prendre en compte pour la mise en page, ou utilisez les
boutons prévus à cet effet à droite des zones d’édition.
2. A partir du bord
Ces deux paramètres permettent de spécifier la position des
premières lignes d’en-tête et de pied de page. Les valeurs
doivent être inférieures aux marges haute et basse.
3. Format du papier
Vous pouvez sélectionner dans la liste jaillissante le format du papier d’impression. Trois formats fixes sont proposés : A5, A4 et
A3, ainsi qu’un format utilisateur pour lequel vous devez spécifier la largeur et la hauteur à l’aide des deux paramètres prévus à cet
effet (les valeurs sont à donner en millimètres).
4. Orientation
Vous pouvez modifier l’orientation du papier en choisissant l’option qui vous convient.
REMARQUES :
Tous ces paramètres vous permettent de spécifier les informations relatives au format et à la mise en page des listings. Vous
devez donc faire attention à ce que les valeurs indiquées correspondent réellement au papier utilisé car les programmes de
création des fichiers listings n’effectuent aucun contrôle sur leur validité.
Il n’est pas possible de prévoir le nombre de lignes utiles dans un listing au format RTF, même connaissant tous les paramètres
de format, de mise en page et de police de caractères. Vous devrez donc indiquer le nombre de lignes maximum à utiliser
(entre la marge haute et la marge basse) dans les listings, à l’aide du paramètre « Nombre de lignes » accessible pour les
formats autres que RTF (voir ci-dessous).
1. Marges
Entrez, dans les zones de saisie, les marges à prendre en
compte pour la mise en page, ou utilisez les boutons prévus
à cet effet à droite des zones d’édition. Les marges à gauche
et à droite sont données en caractères (colonnes) alors que
les marges haute et basse sont données en lignes.
2. Format du papier
Le format du papier est à indiquer en nombre de colonnes
(largeur) et de lignes (hauteur). Le choix de l’orientation du
papier vous permet d’inverser les valeurs pour la largeur et
la hauteur du papier.
REMARQUES :
Tous ces paramètres vous permettent de spécifier les informations relatives au format et à la mise en page des listings. Vous
devez donc faire attention à ce que les valeurs indiquées correspondent réellement au papier utilisé car les programmes de
création des fichiers listings n’effectuent aucun contrôle sur leur validité.
Utilisez le paramètre « Hauteur » pour spécifier le nombre maximum de lignes imprimables (sans tenir compte des éventuelles
marges haute et basse) pour les fichiers au format RTF.
%d remplacé par le numéro du jour (01 - 31), %#d pour supprimer le 0 de début
&f remplacé par le nom du fichier listing
&p remplacé par le numéro de page
&P remplacé par le nombre total de pages
%A remplacé par le nom du jour, %a pour le nom abrégé (lun., mar., …)
%B remplacé par le nom du mois, %b pour le nom abrégé (jan., fév., …)
%c remplacé par la date et l’heure en format abrégé (jj/mm/aa hh:mm:ss)
%#c remplacé par la date et l’heure en format complet (jour mois année, hh:mm:ss)
%H remplacé par les heures (00 - 24), %#H pour supprimer le 0 de début
%I remplacé par les heures (00 - 12), %#I pour supprimer le 0 de début
%m remplacé par le mois (01 - 12), %#m pour supprimer le 0 de début
%M remplacé par les minutes (00 - 59), %#M pour supprimer le 0 de début
%S remplacé par les secondes (00 - 59), %#S pour supprimer le 0 de début
%x remplacé par la date au format abrégé (jj/mm/aa)
%#x remplacé par la date au format complet (jour mois année)
%X remplacé par l’heure au format standard (hh:mm:ss)
%y remplacé par l’année sans le siècle (00 - 99), %#y pour supprimer le 0 de début
%Y remplacé par l’année avec le siècle
&& remplacé par le caractère &
%% remplacé par le caractère %
&l indique que le texte qui suit sera aligné à gauche (défaut)
&c indique que le texte qui suit sera centré
&r indique que le texte qui suit sera aligné à droite
Nous pourrions ainsi avoir comme résultat, dans le cas d’un listing au format RTF :
Zones de texte
REMARQUE :
Les calculs utiliseront néanmoins toutes les décimales.
REMARQUE :
Pour des raisons de lisibilité il est préférable de choisir une police
isométrique (caractères de même largeur) telle que la police Courier. De
même, évitez les italiques.
• « Contrôler le V0 des stations d’appui » : Permet de calculer un V0 de contrôle sur la ou les stations d’appui du cheminement. Si
le contrôle est hors tolérance, un message d’erreur est affiché. Les stations d’appui sont la première et la dernière pour un
cheminement encadré.
• « Affecter le V0 de contrôle aux stations d’appui » : Si le V0 de contrôle est correct, affecte cette valeur aux stations d’appui avant
tout calcul de cheminement.
• « Recalculer le V0 des stations après calcul des cheminements » : Une fois le calcul du cheminement effectué, il est possible
de recalculer les V0 des stations intermédiaires (non d’appui) en utilisant les références connues en coordonnées.
• « Utiliser uniquement les visées du cheminement » : Si l’option précédente est activée, permet de n’utiliser que les visées arrière
et avant pour recalculer le V0 après calcul du cheminement (sinon toutes les références connues sont utilisées).
• « Tenir compte des rattachements altimétriques des stations » : Si cette option est cochée, l’altitude de toute station visant des
références dont le Z est fixe (i.e. visée sur un repère NGF) sera calculée par rattachement. L’altitude ainsi obtenue sera considérée
comme fixe et donnera lieu à une fermeture altimétrique. Le calcul du rattachement apparaît dans le listing.
• « Tenir compte des V0 présents sur les stations intermédiaires (réorientations ) » : Si cette option est cochée, toute station ayant
un V0 connu avant calcul sera considérée comme définitivement orientée. Cela implique qu’une fermeture angulaire sera
calculée.
• « Répartir la fermeture planimétrique par rapport aux longueurs des côtés » : Sinon la répartition se fait en parts égales, c’est-à-
dire par rapport au nombre de cotés du cheminement.
• « Utiliser la valeur du V0 de contrôle pour le calcul des points rayonnés » : Pour chaque station, un V0 de contrôle est
systématiquement calculé. Il est possible, grâce à cette option, d’affecter la valeur calculée à la station pour le calcul des points
rayonnés. La valeur utilisée pour le calcul des points rayonnés est de toute façon rappelée juste avant le tableau du calcul des
points.
• « HP = … interprété comme point sans altitude » : (avec HP = hauteur de prisme) : Les points dont l’altitude n’est pas à calculer
peuvent être signalés de plusieurs façons. Premièrement un code point sans Z peut être saisi sur le terrain lors du levé. Une
seconde façon de faire est de mettre une hauteur de prisme particulière à ces points. Dans la boîte de dialogue ci-dessus, c’est la
valeur zéro qui signifie que le point n’a pas d’altitude. Cette option n’est prise en compte que si la case est cochée.
• « Proposer aussi les points rayonnés » : Le calcul de triangulation propose par défaut tous les points calculables à partir de visées
d’intersection, de relèvement et de distance, ce qui inclut les points rayonnés (une visée d’intersection et une distance). Cette
option a pour but de filtrer ces points afin de ne pas surcharger la liste des points proposés.
• « Tenir compte de Hp » : Lors d’un calcul d’intersection vous pouvez tenir compte des hauteurs de prisme des visées en cochant
cette option.
• « Nom » :
Liste contenant tous les instruments définis et stockés dans
le fichier CalTopo.ini. Deux appareils ne peuvent avoir le
même nom. Un message d’avertissement apparaît alors.
• « Collimation verticale » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la valeur de la
collimation verticale exprimée en grades. Dans les calculs,
cette valeur s’ajoutera algébriquement aux angles verticaux.
• « Constante de prisme » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la valeur de la
constante de prisme exprimée en mètres. Dans les calculs,
cette valeur s’ajoutera algébriquement aux distances
inclinées.
• « Précision sur Ah » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la précision sur les
angles horizontaux exprimée en grades. Cette valeur sera
utilisée dans le calcul en bloc pour pondérer les observations d’angles horizontaux
par rapport aux autres observations.
• « Précision sur Av » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la précision sur les angles verticaux exprimée
en grades. Cette valeur sera utilisée dans le calcul en bloc pour pondérer les
observations d’angles verticaux par rapport aux autres observations.
• « Précision sur Di » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la précision sur les distances inclinées exprimées en mètres et ppm (parties par million).
Dans l’exemple affiché et pour une distance de 100 mètres la précision sera 0.005 + 0.000005 x 100 = 0.0055 mètres. Cette
valeur sera recalculée pour chaque visée et utilisée dans le calcul en bloc pour pondérer les observations de distances par rapport
aux autres.
Bouton servant à créer un nouvel appareil. Le programme donne un nom (Nouvel Appareil 1…) ainsi que des caractéristiques
par défaut que vous pouvez éventuellement modifier dans les différentes zones d’édition. Il est à noter qu’un contrôle sur le nom est
effectué. Il est donc impossible que deux appareils portent le même nom.
Bouton utilisé pour supprimer l’appareil en cours d’édition. L’ "Appareil Standard" ne peut être ni supprimé ni modifié.
• « Projection » :
Liste déroulante contenant les projections.
Le bouton permet de visualiser les caractéristiques de
la projection comme montré ci-contre. Il est rappelé le
système géodésique de référence et les paramètres
permettant de passer de l’ellipsoïde courant à l’ellipsoïde
international WGS 84. Tx, Ty, Tz (resp. Rx, Ry, Rz) sont
les translations exprimées en mètres (resp. rotations
exprimées en grades) des axes et d+1 est le facteur
d’homothétie. Vous pouvez créer vos propres projections
en cliquant sur le bouton . La projection ainsi créée a
les mêmes caractéristiques que la projection courante au
moment de la création. Cette manipulation s’adresse à des
spécialistes. Le bouton en forme de croix supprime (si
possible) la projection courante.
• « Calculer la correction pour chaque visée » :
Cette option permet, pour chaque distance observée, de
recalculer l’altération linéaire ainsi que la réduction à
l’ellipsoïde en utilisant les coordonnées de la station. Ceci
peut être nécessaire si l’étendue du chantier est importante
(les corrections n’étant plus homogènes sur l’ensemble du
chantier).
• « X moyen du chantier » :
Permet de saisir l’abscisse moyenne (en mètres) en vue
d’un calcul pour l’ensemble d’un chantier (bouton
« Calculer ! »). Dans ce cas, l’option « Calculer la
correction pour chaque visée » doit être désactivée.
• « Y moyen du chantier » :
Permet de saisir l’ordonnée moyenne (en mètres) en vue
d’un calcul pour l’ensemble d’un chantier (bouton
« Calculer ! »). Dans ce cas, l’option « Calculer la
correction pour chaque visée » doit être désactivée.
• « Altitude moyenne » :
Permet de saisir l’altitude moyenne (en mètres) en vue d’un
calcul pour l’ensemble d’un chantier (bouton
« Calculer ! »). Dans ce cas, l’option « Calculer la
correction pour chaque visée » doit être désactivée.
• « Altération linéaire » :
Zone d’édition de l’altération linéaire exprimée en mm/km.
Cette valeur est recalculée et mise à jour à chaque appui sur
le bouton . Le programme calcule, à partir des
coordonnées XY moyennes, les coordonnées
géographiques (longitude et latitude) correspondantes et un message d’erreur apparaît si le point moyen n’est pas dans le
domaine réservé à la projection.
Notez que si l’option « Calculer la correction pour chaque visée » est cochée, cette valeur est ignorée.
IV.7.3. Utilisation
Pour calculer les différentes corrections, vous devez :
• saisir les coordonnées moyennes du chantier,
• choisir la projection correspondant aux coordonnées saisies,
• appuyer sur les boutons puis « OK » pour enregistrer.
Vous pouvez également saisir les valeurs de l’altération linéaire et de réduction au niveau zéro ou encore demander le calcul pour
chaque visée.
REMARQUES :
Le choix d’une tolérance n’a de sens que dans le cas des
cheminements fermés ou encadrés. Pour un cheminement
lancé, aucune qualification de la fermeture n’est possible.
Les tolérances fournies correspondent au cas où le nombre
de dénivelées au kilomètre serait supérieur à 16.
2
• pour le nivellement ordinaire : T 36 N N
16
4
• Cas de visées réciproques : T 4 3 L 2 sin 2 i 40.L2 cos 2 i L
2
T Ti
2
(exprimée en centimètres), où Ti est la tolérance sur chaque dénivelée (visées réciproques obligatoires) ainsi que
la tolérance altimétrique des points de départ et d’arrivée.
Instruction du 1er juillet 1988 (11 G-1-88) canevas d’ensemble et cheminement de précision à longs cotés :
Canevas ordinaire Canevas de précision
Encadré
i n 1 i n 1
Fermeture plani.
i 0 i 0
Fermé
i n 1 i n 1
T 16n 40 Li en cm T 16n 5 Li en cm
2 2
i 0 i 0
Encadré
Fermeture angul.
T 1.4 n en mgr
où T représente la tolérance,
Li est la distance rectiligne entre le point d’arrivée du cheminement et chaque sommet, exprimée en kilomètres,
n est le nombre de côtés du cheminement.
i n 1 i n 1
Fermeture plani.
i 0 i 0
Fermé
i n 1 i n 1
T 160 L 260 Li 30 L en cm T 16n 160 Li en cm
2 2
i 0 i 0
Encadré
Fermeture angul.
T 10 n en mgr T 6 n en mgr
où T représente la tolérance,
Li est la distance rectiligne entre le point d’arrivée du cheminement et chaque sommet, exprimée en kilomètres,
L est la longueur du cheminement exprimée en kilomètres,
n est le nombre de côtés du cheminement.
V.1. GÉNÉRALITÉS
Ce chapitre traite des calculs topométriques réalisables avec COVADIS Topo Version 14. Le but des calculs topométriques est de
calculer les coordonnées des points levés relativement à un système géodésique et à une projection. L’utilisation de tolérances
paramétrables permet de contrôler la précision des points. Pour chaque calcul, un listing peut être produit, ce qui permet de garder
une trace de celui-ci.
Les calculs suivants peuvent être effectués avec COVADIS :
calcul des coordonnées d'un point par intersection de visées,
calcul des coordonnées de points par intersection de visées et d’un plan vertical,
calcul des coordonnées d'une station par relèvement,
calcul des coordonnées d'une station par recoupement,
calcul des coordonnées d’une station décalée (excentrée),
calcul des coordonnées d’un point par triangulation,
calcul du V0 de stations,
calcul de cheminements polygonaux et de points nodaux,
calcul en bloc d’un réseau d’observations tachéométriques,
calcul des points de détail (rayonnés),
recalcul des nuages de points (fichiers PTS),
calcul de nivellement direct simple
calcul de nivellement par double station de niveau.
Pour tous les calculs il est possible de séparer la planimétrie de l’altimétrie grâce aux cases à cocher « XY » et « Z ».
Les résultats des calculs sont affichés dans la fenêtre de texte d’AutoCAD®. Vous pouvez voir les listings en appuyant sur la touche
<F2> avant de sauvegarder un calcul.
Concernant les calculs d’intersection, de relèvement, de recoupement et de triangulation le principe est le suivant :
• Un calcul est tenté chaque fois que l’on ajoute une visée.
• Calcul du point approché m x, y et le v 0 approché de la station (relèvement, recoupement et triangulation uniquement) en
employant les visées les plus favorables parmi celles sélectionnées par l’utilisateur.
• S’il y a plus de visées sélectionnées que d’inconnues, la méthode des observations intermédiaires ou médiates (utilisant le
principe des moindres carrés) sera employée pour calculer les appoints dx , dy et dv0 (pour les relèvement, recoupement et
triangulation ). Le point M X , Y définitif sera calculé par :
X x dx
Y y dy
V0 v0 dv0
• Le calcul de l’altitude Z du point M suit les mêmes principes que le calcul en planimétrie. Si un angle vertical est mesuré,
l’altitude approchée z est d’abord calculée. Pour plus de deux angles verticaux mesurés, un calcul par la méthode des observations
intermédiaires est effectué pour arriver à l’altitude définitive.
• La méthode de calcul utilisée compense les inconnues (X, Y, Z, Vo) par l’intermédiaire des observations (ici les angles
horizontaux ou verticaux et les distances pour la triangulation) et permet d’extraire les erreurs moyennes quadratiques des
inconnues. Compte tenu du nombre souvent peu élevé d’observations, ces erreurs moyennes quadratiques sont à utiliser avec
précaution.
Les fonctions de calcul sont accessibles soit depuis le menu COV.CALCULS, soit directement depuis le menu Calculs de l’éditeur
de GéoBases.
Les options de COVADIS CALCUL (voir le chapitre IV) contiennent des paramètres pouvant influer sur les calculs. Il s’agit
essentiellement des paramètres de corrections et des contrôles de V0 de stations. Avant tout calcul, il est judicieux de vérifier que
les paramètres de corrections et tolérances sont corrects. Nous rappelons que ces paramètres (projection et tolérances) sont
enregistrés dans la GéoBase.
A l’issue du calcul des points rayonnés ou du calcul en bloc, la fonction « Chargement de semis » du menu COVADIS 2D permet
l’importation du semis de points dans AutoCAD® directement à partir de la GéoBase contenant les points calculés. Dans le cas où
des commandes de codification sont présentes, il existe une commande spécifique permettant de générer automatiquement le dessin
correspondant dans AutoCAD®. Cet aspect sera traité au chapitre suivant.
REMARQUE :
Si vous lancez les calculs depuis l’éditeur de GéoBase, vous n’aurez pas le bouton « GéoBase courante » permettant
d’indiquer la GéoBase de travail. C’est alors la GéoBase en cours d’édition qui fournit les éléments du calcul..
Les notations utilisées dans les différentes formules de ce chapitre sont les suivantes :
DI AB distance inclinée entre les points A et B,
DH B
A distance horizontale entre les points A et B,
G AB gisement de A vers B,
xA , y A , z A coordonnées approchées du point A
X A , YA , Z A coordonnées définitives du point A,
Vo A Vo de la station A,
DZ AB dénivelée entre les points A et B,
AH M
A angle horizontal lu depuis la station A sur le point M,
AV M
A angle vertical lu depuis la station A sur le point M.
REMARQUES :
En cas de visées surabondantes ( >2 ) le point est calculé par la méthode des moindres carrés.
L’altitude du point sera calculée si au moins une station est connue en Z et si l’angle vertical a été mesuré lors de la visée sur
le point.
Il est possible de calculer plusieurs points à la suite sans sortir de la commande. Ne pas oublier d’enregistrer le calcul avant
de passer au point suivant.
Vous pouvez tenir compte ou pas de la hauteur de prisme des visées (cf. options de COVADIS CALCUL)
DH AM
X B X A cos(GBM ) YB YA sin(GBM )
sin(G AM GBM )
G BM Vo B AH BM
G AM Vo A AH AM
avec :
x M X A DH AM sin(G AM )
y M Y A DH AM cos(G AM )
REMARQUE :
Selon l’option des calculs, la hauteur de prisme peut ne pas être prise en compte dans ce calcul (HP = 0 dans la formule).
En cas de visées surabondantes (>3) les coordonnées planimétriques de la station sont calculées par la méthode des moindres
carrés.
Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations. Il est ainsi possible de calculer
un appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point M par : Z M z M dz
La compensation permet le calcul d’erreurs moyennes quadratiques sur les inconnues (X, Y et éventuellement Z). Compte tenu
du nombre d’observations souvent peu élevé, ces EMQ sont à relativiser.
Calcul en planimétrie
Station Rep. X Y V0 AH El m
S.3 1 5856.015 3227.614 0.0999 143.4164 0.000
S.5 1 5976.996 3154.853 0.0999 323.4870 0.000
S.13 1 5896.211 3119.865 300.1000 121.1405 0.000
S.14 1 5959.433 3215.746 0.0999 254.2983 0.000
P approché : 5916.485 3178.358
P calculé : 5916.485 3178.358
EMQ (m) : 0.000 0.000
Calcul en altimétrie
Station Rep. Z HI HP Z Pt AV Ez m
S.3 1 102.703 1.671 1.500 103.361 99.6025 -0.000
S.5 1 102.001 1.673 1.500 103.361 98.8361 0.000
S.13 1 102.552 1.651 1.500 103.361 99.3234 0.000
S.14 1 102.809 1.597 1.500 103.361 99.4913 0.000
Z approché : 103.361
Z calculé : 103.361
EMQ (m) : 0.000
L’exemple de listing précédent présente un calcul d’intersection en mode RTF. Le premier tableau rend compte du calcul
planimétrique, le second rend compte du calcul altimétrique (avec compensation par la méthode des moindres carrés).
Il est possible de demander l’affichage des tolérances et corrections employées pour le calcul (voir § IV.2).
La colonne intitulée « El m » est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre
le point définitif et la visée d’intersection, exprimée en mètres.
La colonne intitulée « Ez m » est l’écart en altitude entre la visée d’intersection et le point définitif, exprimé en mètres.
Si vous avez demandé la mise à jour du journal (voir § IV.2) les lignes suivantes y seront écrites :
Le journal permet de conserver une trace succincte des calculs effectués sur une GéoBase.
La commande CALINTPL permet de calculer les coordonnées de points visés sans distance (Di = 0 dans la GéoBase) comme
intersection de la visée et d’un plan défini par deux points connus planimétriquement. Cette commande peut être également lancée
depuis l’éditeur de GéoBase par le menu Calculs de l’éditeur.
La boîte de dialogue ci-contre permet d’effectuer les
calculs.
• « GéoBase courante » : ce bouton permet de
charger une autre GéoBase et n’est disponible qu’en
dehors de l’éditeur de GéoBase. Si des changements
ont été faits sur la GéoBase courante, ceux-ci
pourront être sauvegardés et le fichier listing pourra
être créé. Le choix de la GéoBase à charger est
effectué à l’aide du dialogue de sélection de fichier.
• « Station visante » : sélectionnez dans cette liste
jaillissante la station ayant effectué les visées sans
distance. Ses stations doivent être connues en
planimétrie et leur V0 doit être calculé. Si vous
sélectionnez une station se trouvant dans le plan
d’intersection, le message suivant est affiché.
REMARQUES :
Les calculs sont effectués automatiquement à chaque sélection d’une station ou d’un des points définissant le plan.
La distance de la station au plan, la distance entre les deux points définissant le plan et le gisement du plan sont affichés dans
la partie médiane de la boîte de dialogue afin de vous aider dans la sélection de la station et des points.
Il est possible d’enchaîner plusieurs calculs à la suite car l’enregistrement d’un calcul met à jour la liste des points disponibles
pour définir le plan.
Vous pouvez tenir compte ou pas de la hauteur de prisme des visées (cf. options de COVADIS CALCUL)
Ce type de calculs est utilisé pour relever des pylônes électriques ou des façades de bâtiment lorsque les points ne sont pas
mesurés en distance.
DH SM
zM Z S HI HP na
tan( AVSM )
1er point Station
avec ZS, l’altitude de la station, HI et HP les hauteurs d’instrument
et de prisme. La correction de niveau apparent (na) est prise en
compte.
REMARQUE :
Point non Selon l’option des calculs, la hauteur de prisme peut ne pas être
calculé prise en compte dans ce calcul (HP = 0 dans la formule).
Matricule X Y Z Dh Code
630 5824.633 3461.467 101.674 203.6214
633 5927.791 3524.732 101.930 125.0963
638 6029.449 3587.077 98.283 137.3466
REMARQUES :
En cas de visées surabondantes (>3) les coordonnées planimétriques de la station sont calculées par la méthode des moindres
carrés.
L’altitude de la station sera calculée si au moins un point est connu en Z et si l’angle vertical a été mesuré.
Il est possible de calculer plusieurs stations, à la suite, dans la même commande.
GBM G AM et GCM G AM
• Une moyenne de toutes les déterminations est effectuée pour obtenir l’altitude approchée. La distance DH MP peut être calculée
avec les coordonnées des points M et P.
• Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations. Il est ainsi possible de calculer
un appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point M par :
Z M z M dz
REMARQUES :
Si les trois points visés et la station sont cocycliques, les résultats du calcul seront imprécis.
Aucune distance n’est requise pour ces calculs (visées sur clochers par exemple).
La compensation permet le calcul d’erreurs moyennes quadratiques sur les inconnues (X, Y, V0 et éventuellement Z). Compte
tenu du nombre d’observations souvent peu élevé, ces EMQ sont à relativiser.
Calcul en planimétrie
Matricule visée X Y V0 AH El m
R.1 5477.302 2977.797 399.7987 239.5680 -0.000
R.2 5342.248 3165.631 399.7987 281.6400 -0.003
R.3 5364.252 3309.198 399.8004 308.3290 0.004
R.4 5509.941 3428.027 399.8004 347.5175 -0.001
S.2 5770.275 3251.158 399.8004 112.5691 0.000
P approché : 5683.881 3268.159 399.7997
P calculé : 5683.887 3268.157 399.7999
EMQ (m/Gr) : 0.003 0.001 0.0003
Il est possible de demander l’affichage des tolérances et corrections employées pour le calcul (voir § V.2).
La colonne intitulée « El m » est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre
le point définitif et la visée de relèvement, exprimée en mètres.
La colonne intitulée « Ez m » est l’écart en altitude entre la visée de relèvement et le point définitif, exprimé en mètres.
Si vous avez demandé la mise à jour du journal (voir § IV.2) les lignes suivantes y seront écrites :
Le journal permet de conserver une trace succincte des calculs effectués sur une GéoBase.
REMARQUES :
Si les données du calcul le permettent, une altitude est calculée.
On peut enchaîner plusieurs calculs sans sortir de la commande (pensez à enregistrer chaque calcul).
Le principe des moindres carrés est utilisé pour plus de trois visées (deux visées de relèvement et une d’intersection).
• Si au moins l’un des points visés ou stations visantes est connu en Z, l’altitude du point M est calculée comme suit.
• Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations altimétriques. Il est ainsi possible
de calculer un appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point M par :
Z M z M dz
Calcul en planimétrie
Matricule visée R X Y V0 AH El m
S.3 5856.015 3227.614 300.0001 43.5164 0.0000
S.5 5976.996 3154.853 299.9999 223.5870 0.0000
S.14 5959.433 3215.746 299.9999 154.3983 -0.0000
S.3 1 5856.015 3227.614 0.0999 143.4164 0.0001
S.5 1 5976.996 3154.853 0.0999 323.4870 0.0001
P approché : 5916.485 3178.358 300.0000
P calculé : 5916.485 3178.358 300.0000
EMQ (m/Gr) : 0.000 0.000 0.0001
Il est possible de demander l’affichage des tolérances et corrections employées pour le calcul (voir § IV.2).
La colonne intitulée « El m » est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre
le point définitif et la visée (relèvement ou intersection), exprimée en mètres.
La colonne intitulée « Ez m » est l’écart en altitude entre la visée (relèvement ou intersection) et le point définitif, exprimé en
mètres.
Si vous avez demandé la mise à jour du journal (voir § IV.2) les lignes suivantes y seront écrites :
Le journal permet de conserver une trace succincte des calculs effectués sur une GéoBase.
Calcul en planimétrie
Matricule X Y Gi DH
St exc. S.1 5683.887 3268.157 312.5108 5.010
St calc. S.1b 5688.801 3267.179
• « Annuler » : cliquez sur ce bouton pour abandonner les calculs en cours. Une des options permet de produire un listing des
calculs enregistrés (voir le chapitre IV) sans toutefois altérer la GéoBase.
Le calcul de l’altitude du point s’effectue d’une façon analogue. Pour toutes les stations connues en altitude et pour lesquelles un
angle vertical a été mesuré, l’altitude est calculée par :
Une moyenne de toutes ces déterminations est effectuée pour obtenir l’altitude approchée de M. La distance DH SM peut être calculée
avec les coordonnées des points M et S.
Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations. Il est ainsi possible de calculer un
appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point par :
Z M z M dz
La compensation permet le calcul d’erreurs moyennes quadratiques sur les inconnues (X, Y et éventuellement Z). Compte tenu du
nombre d’observations souvent peu élevé, ces EMQ sont à relativiser.
Dans l’exemple précédent, les visées sont précédées d’une lettre indiquant s’il s’agit d’une visée d’intersection (I), de relèvement
(R) ou d’une distance (D). Le premier tableau rend compte du calcul en planimétrie et le second tableau rend compte du calcul
altimétrique.
La colonne intitulée El est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre le
point définitif et la visée de relèvement exprimé en mètres.
La colonne intitulée Ea est la différence entre l’angle horizontal mesuré et celui calculé à partir des coordonnées définitives. Dans
le cas d’une distance, il s’agit de l’écart en distance traduit en angle.
La colonne intitulée Ez est l’écart en altitude entre la visée de relèvement et le point définitif exprimé en mètres.
a. Pour chaque visée i, le programme calcule Voi (orientation calculée sur la visée i) par :
Voi GSRi AH Ri où G SRi est le gisement calculé par les coordonnées et AH Ri l’angle horizontal mesuré.
Vo
Vo DH
i
Ri
S
Calcul de la moyenne pondérée par les distances horizontales DH SRi issues des coordonnées si la case
DH Ri
S
« Pondérer par les distances » est cochée, sinon calcul de la moyenne arithmétique.
• Si la case « Forcer l’utilisation des références choisies » est cochée, le programme calcule le V0 en tenant compte de toutes
les références sélectionnées dans la liste. Dans ce cas, le calcul est terminé et la valeur calculée est affichée dans la zone d’édition
correspondante.
• Si la case « Forcer l’utilisation … » n’est pas cochée, le programme compare chaque écart V0i-V0 à la tolérance (fonction du
nombre de visées et du type de canevas). Si au moins une visée est hors tolérance, la visée entraînant le plus grand écart sera
supprimée de la liste des références à prendre en compte, puis le calcul sera réitéré à partir du point a.
REMARQUES :
Si l'utilisateur veut conserver toutes les visées, il peut utiliser une tolérance personnalisée suffisamment importante pour que
toutes les visées soient toujours prises en compte, ou cocher la case « Forcer l’utilisation des réf. choisies ».
Si des éléments du type Mesure doivent être utilisés pour le calcul du V0, ils doivent obligatoirement être préalablement
transformés en éléments de type Référence (voir le paragraphe III.3.3).
REMARQUES :
Pour les visées hors tolérance écartées du calcul, l’écart entre le V0i et le V0 final ainsi que la tolérance (fonction du nombre
de visées) sont rappelés en fin de listing.
Le programme compare, quand cela est possible, les distances horizontales et les dénivelées calculées (par les coordonnées)
avec les distances et dénivelées observées. Un message est affiché si l’écart est hors tolérance.
REMARQUES :
Pour le calcul des points nodaux, l’ordre des cheminements dans la
liste a de l’importance. En effet, si au moins deux cheminements en
antenne finissent par le même point, ce dernier sera calculé comme
point nodal
Toutes modifications, suppressions ou créations ne seront
sauvegardées dans le fichier GéoBase qu’une fois le calcul terminé.
2. L’onglet « Cheminement »
Cet onglet ressemble à la boîte de dialogue utilisée pour la création ou la
modification d’un cheminement.
• « Matricule » : permet de choisir le cheminement à modifier ou de
saisir le matricule du cheminement à créer.
• « En Antenne », « Encadré », ou « Fermé » : vous permet
de modifier ou de fixer le type du cheminement à modifier ou à créer.
• « Ajouter > », « Insérer > », « < Enlever », et « << Enlever
tout » : utilisez ces quatre boutons pour modifier ou créer la liste des
stations composant le cheminement considéré.
• « Nouveau » : permet de créer un nouveau cheminement.
• « Supprimer » : permet d’effacer la définition d’un cheminement de
la Géobase.
• « Enregistrer » : utilisez ce bouton pour valider les modifications apportées à un cheminement existant.
Rattachements altimétriques :
Un rattachement altimétrique a les caractéristiques suivantes :
• une ou plusieurs visées de référence sur des points connus et invariants en Z.
• la station ne doit pas posséder de Z constant, sinon cette valeur serait prioritaire.
• le calcul des rattachements doit être activé dans les options (onglet Calculs, groupe Cheminement).
Le programme calcule dans ces conditions l’altitude de la station et en tiendra compte dans le calcul de l’altitude des autres
points.
Si plusieurs visées permettent un rattachement, le programme calcule une moyenne et indique des écarts (détection de fautes
possibles à ce niveau…).
REMARQUE :
Une comparaison de l’altitude calculée par rattachement avec l’éventuelle altitude présente est effectuée. Un message
d’avertissement est affiché si la différence est trop importante.
Exemple :
Soit le cheminement 1-2-3-4-5-6-7-8-9 dont les points Z6 Z9
Z3
3, 6 et 9 possèdent une altitude invariante. 2 8
4 6 9
Le programme calcule les cheminements suivants : 1 3 5 7
• cheminement altimétrique 3-2-1 calculé en antenne,
REMARQUES :
Ce découpage est automatique. Vous devez supprimer ou rendre variable l’altitude des points intermédiaires (avec
l’éditeur de GéoBases) si vous souhaitez recalculer les altitudes de ces points.
Un contrôle des fermetures de chaque tronçon par rapport aux tolérances calculées est systématiquement effectué.
La répartition des fermetures altimétriques s’effectue par rapport aux distances cumulées.
K
Les poids de la pondération, sont calculés par : pi 2 avec K une constante arbitraire et Ti la tolérance planimétrique
Ti
pour chaque cheminement.
Le V0 définitif est obtenu à partir des V0 calculés dont le programme fait la moyenne pondérée (poids pi déjà rencontrés).
Le programme recalcule les cheminements en encadré avec le point nodal définitif comme dernier sommet.
REMARQUES :
Les coordonnées X, Y (éventuellement Z) et le V0 des stations d’appui doivent être connus.
Les cheminements en antenne ne peuvent avoir qu’un seul point invariant. Il s’agit du point de départ.
Les observations entre sommets polygonaux doivent être réciproques.
L’extrait de listing suivant concerne le calcul d’un point nodal. A la suite de ce calcul les cheminements C.1, C.2, C.3 et C.4 seront calculés en
considérant les coordonnées et le V0 de S.4 constants.
REMARQUE :
Plusieurs stations peuvent être calculées en même temps,
cela évite de lancer la commande plusieurs fois.
• « Stations calculables » : cette liste indique les matricules et reprises des stations disponibles pour le calcul.
• « Stations à calculer » : cette liste contient les matricules et reprises des stations à prendre en compte pour le calcul.
• et : ces deux boutons vous permettent d’ajouter une ou toutes les visées pour le calcul..
• et : ces deux boutons vous permettent d’enlever une ou toutes les visées du calcul.
• « Calculer » : permet d’effectuer le calcul des points rayonnés. L’onglet « Points rayonnés » apparaît automatiquement.
REMARQUES :
Pour une station, seules les Mesures sont calculées ;
les Références étant présumées connues en
coordonnées.
Les coordonnées calculées sont systématiquement
ajoutées en fin de GéoBase. Les points doubles sont
ainsi gardés et il convient de lancer l’élimination des
points doubles pour les contrôler.
Les points déclarés invariants dans la GéoBase avant
le calcul ne sont pas recalculés
Un contrôle du V0 des stations est réalisé avant de
calculer les points rayonnés.
REMARQUE :
A cause d’une limitation des outils de création des fichiers PTS, les points du nuage seront affichés en blanc.
Les calculs de nivellement sont séparés en deux commandes (CALNIVSM et CALNIVAR) selon que le cheminement est simple ou
en aller-retour. Dans les deux cas il est possible de traiter :
• les cheminements lancés (le point de départ doit être connu en Z),
• les cheminements encadrés fermés (retour sur le point de départ connu en Z),
• les cheminements encadrés (les deux extrémités sont différentes et connues en Z).
Le calcul des points de détail suit automatiquement celui des points du cheminement.
Les informations nécessaires dans la GéoBase sont de trois types :
• les lectures arrière (NivLectAR) qui débutent toute station de nivellement,
• les lectures avant (NivLectAV),
• les points connus (Point), qui peuvent être fixes ou non-fixes en Z.
REMARQUES :
Si un point est visé plusieurs fois dans une même station, seule la première occurrence rencontrée est prise en compte.
Dans la fenêtre de l’éditeur, les lectures arrière correspondent à la colonne de droite et les lectures avant à celle de gauche.
REMARQUES :
Pour un cheminement lancé, il n’y a pas de fermeture donc les dénivelées ne sont pas corrigées.
Lors de la constitution du cheminement, il est impossible de repasser par un point déjà sélectionné dans la liste.
Le numéro entre parenthèses placé avant le matricule du point correspond au numéro de ligne dans la GéoBase.
Pour un cheminement encadré ou fermé la fermeture F (reprise dans le listing) est calculée par :
N 1
F DZ ii 1 Z1 Z N cette fermeture ainsi que la tolérance calculée sont rappelées dans le listing.
i 1
Ce premier exemple correspond à un cheminement encadré. La fermeture, la tolérance calculée et la correction appliquée sur
chaque dénivelée sont rappelées en fin de tableau.
REMARQUES :
Dans les listings, les points du cheminement sont soit en gras (format RTF) soit précédés du caractère ‘*’ (format texte).
Les tolérances sont définies dans les options du calcul et sont stockées dans la GéoBase.
Pour un cheminement encadré ou fermé, la fermeture F figurant dans le listing est calculée par :
N 1
F DZmii 1 Z1 Z N cette fermeture ainsi que la tolérance calculée sont rappelées dans le listing.
i 1
Cet exemple correspond à un cheminement aller-retour encadré. Le premier tableau rappelle les observations tandis que le second
concerne le calcul lui-même. Les en-têtes des colonnes sont expliquées ci-dessous :
Calcul du cheminement
Matricule DZ 1 DZ 2 DZm DZc Z
2 10.050
3 0.750 10.800
1 0.492 0.490 0.491 0.491 10.541
16 0.110 10.651
7 0.200 0.200 0.200 0.200 10.741
10 0.300 0.300 0.300 0.300 11.040
19 0.310 11.350
14 0.460 0.460 0.460 0.460 11.500
13 0.550 0.550 0.550 0.550 12.050
Fermeture (m) : 0.001
Tolérance (m) : 0.013
Corr./portée (m) : -0.000
REMARQUES :
Dans les listings, les points du cheminement sont soit en gras (format RTF) soit précédés du caractère ‘*’ (format texte).
Les tolérances sont définies dans les options du calcul et sont stockées dans la GéoBase.
c) Equations d’observations
Chaque visée fournit une relation entre les Test de convergence
du calcul
valeurs observées et les inconnues
(coordonnées). Ces relations ne sont pas linéaires
car elles font intervenir des fonctions Coordonnées
trigonométriques. définitives et EMQ
En effectuant un développement limité de Taylor
d’ordre 1 autour des coordonnées approchées, le problème devient linéaire et donc beaucoup plus simple à résoudre.
Soit Lk F ( X i , Yi , X j , Y j ) la relation théorique, non linéaire, entre l’observation Lk et les inconnues Xi, Yi, Xj et Yj (Lk peut être un
angle horizontal ou une distance horizontale). Les points Pi et Pj représentent la station et le point visé de l’observation.
La linéarisation fournit une équation simplifiée de la forme:
Lk aX i bYi cX j dY j (1)
Or les valeurs théoriques L, Xi, Yi, Xj et Yj sont inconnues. Seule la valeur observée l et les coordonnées approchées xi, yi, xj et yj sont
connues. Soient dxi, dyi, dxj , dyj et dl les appoints (inconnus) tels que :
Lk l k dl k
X i xi dxi
Yi y i dy i
X j x j dx j
Y j y j dy j
soit encore :
dl k a.dxi b.dyi c.dx j d .dy j f k (2)
soit matriciellement :
dl M .dx F
Le programme calcule les coefficients a, b, c, d et fk. Chaque observation constitue ainsi une ligne dans les matrices M[a,b,c,d] et
F[fk]. Il y aura beaucoup plus d’équations que d’inconnues et on ne pourra pas résoudre d’une façon univoque ce système. Ces
équations sont multipliées par un coefficient de pondération pour se ramener à la même loi normale de distribution des erreurs
accidentelles.
Les poids des observations sont calculés à partir des précisions des instruments données dans le dialogue de paramétrage.
d) Equations normales
Ce sont les équations définitives obtenues en écrivant le principe des moindres carrés :
Cette condition est réalisée si chaque dérivée partielle par rapport aux inconnues est nulle. Soit encore :
dl k
2
0
dx i
Ceci produira autant de nouvelles équations linéaires qu’il y a d’inconnues dans le réseau. Ces équations sont dites normales. Les
inconnues ne sont plus les coordonnées mais les appoints. Les coefficients de ce système sont rangés dans la matrice normale N.
Une fois les appoints sur les inconnues calculés, les appoints sur les observations sont recalculés à l’aide des équations d’observations
(2).
p dl
2
Mq0
k k où n est le nombre d’observations, q le nombre d’inconnues et p k le poids de l’observation.
nq
COORDONNEES APPROCHEES
Station Rep. X Y Z V0 fxy fz
S.1 1 2000.000 1160.000 153.500 300.0000 N N
S.2 1 2069.999 1210.000 153.000 15.0010 N N
S.3 1 2150.000 1220.000 154.500 356.1000 N N
S.4 1 2260.000 1210.000 156.000 1.3576 N N
S.5 1 2340.000 1220.000 157.500 5.4501 N N
...
C.1 2189.998 1149.999 155.000 N N
R.4 2500.000 1200.000 O N
R.6 2450.000 1000.000 O N
R.5 2200.000 900.000 O N
Observations altimétriques :
Type Station Rep. Point Obser. Calc. Ec.(m)
ALTI S.1 1 S.2 100.3700 100.3704 -0.0004
ALTI S.1 1 S.7 99.6332 99.6335 -0.0003
ALTI S.2 1 S.1 99.7417 99.7421 -0.0004
ALTI S.2 1 S.3 98.8560 98.8563 -0.0003
ALTI S.3 1 S.2 101.1448 101.1452 -0.0004
ALTI S.3 1 S.4 99.1067 99.1072 -0.0005
ALTI S.3 1 C.1 100.8294 100.8297 -0.0003
...
ALTI S.8 1 C.1 100.7446 100.7449 -0.0003
ALTI S.7 1 S.8 99.6502 99.6505 -0.0003
ALTI S.7 1 S.1 100.4891 100.4894 -0.0003
Observations altimétriques :
Type Station Rep. Point Obser. Calc. Ec.(m) Poids
ALTI S.1 1 S.2 100.3700 100.3717 -0.0017 1.00
ALTI S.1 1 S.7 99.6332 99.6324 0.0008 1.00
ALTI S.2 1 S.1 99.7417 99.7408 0.0009 1.00
ALTI S.2 1 S.3 98.8560 98.8515 0.0045 1.00
...
ALTI S.8 1 C.1 100.7446 100.7359 0.0087 1.00
ALTI S.7 1 S.8 99.6502 99.6573 -0.0071 1.00
ALTI S.7 1 S.1 100.4891 100.4906 -0.0015 1.00
Ecart maximal en angle AV de S.9 1 sur S.8 = -0.0135 m.
Ecart maximal en angle AV de S.8 1 sur S.9 = 0.0129 m.
Ecart maximal en angle AV de S.10 1 sur S.12 = -0.0095 m.
VI. GÉOCODIFICATION
VI.1. GÉNÉRALITÉS
La géocodification COVADIS permet d’automatiser la création d’un plan topographique en codant les points lors du levé.
Le principe est de croiser une GéoBase (codée et préalablement calculée) avec une table de codes afin d’obtenir le dessin du levé.
La table de codes fait le lien entre les codes et les objets dessinés (calque, symbolique…).
Les caractéristiques principales de la codification COVADIS sont les suivantes :
• Codes alphanumériques : personnalisables et stockés dans une table de codes.
• Multicode : un point levé peut avoir plusieurs codes donc servir à plusieurs objets.
• Répétition automatique : vous dispense de ressaisir le dernier code utilisé si votre appareil de levé ne le propose pas.
Il existe dix familles de types de codes, détaillées dans le chapitre VII, se distinguant par la nature des objets AutoCAD® générés :
• Les points topographiques : insertion de points topographiques COVADIS.
• Les symboles : insertion de symboles sous la forme d’un bloc AutoCAD ®.
• Les polylignes : dessin de formes géométriques carrées, circulaires ou rectangulaires.
• Les liaisons : dessin de polylignes passant par des points levés.
• Les escaliers : dessin du contour et des marches d’escaliers.
• Les marquages : dessin de passages piétons et vélos en levant les quatre coins.
• Les textes : insertion de textes.
• Les attributs : pour gérer l’ajout ou l’occultation d’attributs sur les points topographiques ou les symboles.
• Les divers : regroupe les codes d’accrochage sur polyligne ou point topographique.
• Les constructions : permettent de construire géométriquement des points inaccessibles.
Un code terrain est une chaîne de caractères alphanumérique (Exemples : ar1, 45, trottoir, perp, 1, 0, 4512a). L’utilisateur choisira
les codes terrain les mieux adaptés aux possibilités de l’appareil de terrain utilisé (type de clavier, structure du fichier carnet), le but
étant de saisir un minimum de caractères sur le terrain afin de gagner du temps.
Les codes saisis peuvent être accompagnés de paramètres, d’un suffixe (pour les liaisons) ou d’un préfixe.
Un suffixe est un caractère, ajouté au code, qui indique le rôle du point dans la polyligne. Il y aura un caractère pour signaler le
début de la polyligne et un caractère différent pour les points suivants.
Le préfixe permet de modifier la position du point levé pour les codes Liaison, Symbole d’entrée et Construction perpendiculaire.
Les paramètres permettent de saisir des informations (le plus souvent relatives aux dimensions de l’objet levé) telles que le diamètre
d’un arbre, une largeur de marche, etc. Les paramètres sont généralement saisis sur le premier point.
Pratiquement, les codes sont écrits selon le carnet électronique soit dans des infos (Leica) soit dans une chaîne de caractères (Trimble
GDM et autres). Dans ce dernier cas, vous utiliserez un caractère spécial pour séparer les codes entre eux et un autre caractère pour
séparer les codes de leurs paramètres. Ce sont les séparateurs de codes et de paramètres.
REMARQUE :
Dans un fichier brut de carnet, les lignes de codes peuvent être placées avant ou après la ligne de mesure. Dans la GéoBase, les
codes apparaissent toujours avant la mesure sur laquelle ils portent.
Exemple : Lever un arbre et son entourage pour un appareil de type Trimble GDM.
Point levé et
codé 10;20+170
Représentation désirée : l’entourage est assimilable à un cercle de rayon 1.700 m ; l’arbre sera
représenté dans le dessin par un bloc AutoCAD ®.
Table de codes :
Les éléments suivants ont été définis :
- Le code 10, de type « Symbole non orienté » (page VII-7), permettra de lever l’arbre.
- Le code 20, de type « Cercle par centre+rayon ou centre+point » (page VII-25), servira
pour lever l’entourage. Le rayon du cercle sera le paramètre du code 20 en centimètres.
- Séparateur de codes : ;
1.700
- Séparateur de paramètres : ± (les deux caractères + et – sont séparateurs de paramètres)
Sur le terrain : il suffit à l’opérateur de lever le point au centre du parterre en le codant 10;20+170
Représentation désirée : le trottoir est une polyligne habillée d’une symbolique linéaire et l’avaloir est un symbole levé par deux
points.
Le levé : L’opérateur lève les points 1 à 5 avec les codes figurant sur le schéma ci-avant. La GéoBase résultante est :
…
000005 Liaison Code = 100 Débute la polyligne représentant le trottoir. Ce code s’applique à la mesure suivante donc au point 1.
000006 Mesure 1 HP = 1.600 , … Point 1.
000007 Mesure 2 HP = 1.600 , … Point 2. Puisque ce point n’est pas codé et que le code 10 est en répétition auto, le programme devrait lui
attribuer le code 100. Au lieu de cela il utilisera le code 103 pour continuer la polyligne et joindre 1 à 2.
000008 Sym_2Pt_EX Code = 20 Code pour débuter l’avaloir. S’applique à la mesure suivante donc au point 3.
000009 Liaison Code = 103 Code pour la polyligne. S’applique aussi au point 3. Le programme joindra 2 à 3.
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , … Point 3.
000011 Mesure 4 HP = 1.600 , … Point 4. Puisque ce point n’est pas codé, le code 10 se répète avec le suffixe 3. Le code 20 se répète également
sur ce point car il attend un second point de construction.
000012 Mesure 5 HP = 1.600 , … Point 5. Le code 10 se répète sur ce point avec le même suffixe. Le code 20 n’attend plus de point et ne se …
répète pas.
Si les codes 10 et 20 n’étaient pas déclarés en répétition, il aurait fallu coder ainsi :
…
000005 Liaison Code = 100
000006 Mesure 1 HP = 1.600 , …
000007 Liaison Code = 103
000008 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000009 Sym_2Pt_EX Code = 20
000010 Liaison Code = 103
000011 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000012 Sym_2Pt_EX Code = 20
000013 Liaison Code = 103
000014 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000015 Liaison Code = 103
000016 Mesure 5 HP = 1.600 , …
…
On constate que c’est plus long que la version avec répétition automatique.
La plupart des codes dessine un point topographique au point levé. Chaque code utilise la définition de point topographique (fichier
d’extension ‘bpt’) que vous lui avez spécifiée (cf. § VIII.5.3).
Le bloc point topographique inséré vérifie les règles suivantes :
• Règle n°1 : les points topographiques sont toujours insérés aux coordonnées présentes dans la GéoBase.
• Règle n°2 : un seul point topographique est inséré par matricule.
• Règle n°3 : si un point levé supporte plusieurs codes, le point topographique inséré est celui du premier code.
• Règle n°4 : un point réellement non codé (pas de répétition de code) utilisera le point topographique défini pour les points non
codés.
Exemple :
La façon de coder sur le terrain est alors différente ; ce qui est constatable dans l’extrait de la GéoBase fournie :
Dans la colonne du milieu figurent les codes supportés par les mesures. La notation (ra) signifie que le code concerné a été transmis
par répétition automatique.
Dans la colonne de droite est indiqué le point topographique utilisé.
Les points levés sur le terrain ne suffisent pas toujours à caler un objet. Par exemple, les bordures de trottoir sont levée par le fil
d’eau, les murs sont levés du côté public et non privé, etc.
La convention de levé, propre à chaque code (cf. § VIII.5.7), indique au programme comment dessiner les objets :
Objets levés par leur gauche (Sens Topo) Objets levés par leur droite (Sens Trigo)
Ces deux schémas illustrent un même levé avec des conventions différentes. Il est conseillé de choisir la même convention de levé
pour tous les codes même si le mélange des genres est possible.
Dans l’éditeur de GéoBase, les commandes de géocodification portent sur les observations (Mesure, Référence, Station ou Point)
immédiatement placées après. L’ordre des commandes par rapport aux observations sera toujours le même dans l’éditeur, quel que
soit l’ordre adopté sur le terrain (« code avant la mesure » ou « code après la mesure »).
Les commandes peuvent apparaître dans l’éditeur de GéoBase sous deux formes:
• Soit sous forme interprétée (Exemple : 000005 Liaison Code = 103, Epaisseur = 0.200 …).
• Soit sous forme non interprétée (Exemple : 000005 Commande 103+20 …).
Codification terrain :
Exemples :
Le point 1 est un point non codé qui utilise une définition de point topographique avec un attribut ALT. Les points 2 et 3, codés
10, utilisent une définition sans attribut ALT.
Codification terrain :
Codification terrain :
Exemple :
Les points 1 et 2, codés 9, définissent une base d’orientation, qu’adoptent les attributs du point topographique inséré au point 3.
Le point 4 permet de définir une nouvelle orientation (2 vers 4) qu’utilise le point 5.
GéoBase :
000001 Def_Ori_PT Code = 9
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Def_Ori_PT Code = 9 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 PT_Avec_Ori Code = 11 104.22
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , … 4
000007 Def_Ori_PT Code = 9 1
104.24
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 104.20
000009 PT_Avec_Ori Code = 11
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
Exemple :
Le point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des points topographiques.
Ainsi le point topographique orienté suivant est inséré sans orientation (parallèle au SCG).
GéoBase :
000001 Def_Ori_PT Code = 9
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
2
000003 Def_Ori_PT Code = 9
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 104.22
000005 PT_Avec_Ori Code = 11
4
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , … 1
000007 Annul_Ori_PT Code = 12 104.20 104.24
000008 PT_Avec_Ori Code = 11
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Cette notion d’orientation par deux points levés est moins pratique que l’orientation des points sur la polyligne la plus proche
ajoutée dans la version 10 de COVADIS.
Les symboles à l’échelle sont stockés dans les répertoires d’échelle (50, 100, 200…) de COVADIS. Ces symboles sont destinés à
être insérés dans un dessin avec les échelles en X et en Y égales à 1 car ils ont déjà la bonne taille pour l’impression à l’échelle
considérée.
Les symboles génériques sont stockés dans le répertoire « Générique » de COVADIS. Ils sont généralement définis dans un carré
de 1 mètre sur 1 mètre ou un cercle de diamètre égal à 1 mètre. Ces symboles sont, par exemple, utilisés pour dessiner des plaques
levées par trois points.
Il est évident que pour dessiner un symbole mesurant A par B avec un symbole
générique (a = 1 et b = 1) il faut avoir EchX = A et EchY = B.
Les symboles dits composés sont la superposition de deux symboles dont les points d’insertion sont superposés.
Nous verrons dans la suite chacun des types de code qui utilisent un symbole.
Codification terrain :
Exemple :
Les points 1 et 2 définissent une base d’orientation, qu’adopte le symbole orienté simple inséré au point 3.
Le point 4 permet de définir une nouvelle orientation (du point 2 vers le point 4) qu’adopte le symbole inséré au point 5.
GéoBase :
000001 Def_Ori_SY Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Def_Ori_SY Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Orienté Code = 20
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000007 Def_Ori_SY Code = 10
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000009 Sym_Orienté Code = 20
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
Exemple :
Le point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des symboles.
Ainsi le symbole orienté suivant est inséré sans orientation.
GéoBase :
000001 Déf_Ori_SY Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Déf_Ori_SY Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Orienté Code = 20
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000007 Annul_Ori_SY Code = 30
000008 Sym_Orienté Code = 20
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Exemple 1 :
1 arbre et une plaque ont été levés respectivement sur les points 1 et 2.
Pour l’arbre, aucun paramètre n’a été saisi, un symbole à l’échelle est utilisé.
2 paramètres ont été nécessaires pour dimensionner la plaque (utilisation d’un symbole générique).
Répétition automatique inactive.
GéoBase :
000001 Sym_sans_Ori Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_sans_Ori Code = 20 , EchX = 2.000 , EchY = 1.200
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
Exemple 2 :
Plaques levées sur les points 1, 2 et 3.
Saisie de 2 paramètres.
Répétition automatique activée (les paramètres sont aussi transmis).
GéoBase :
000001 Sym_sans_Ori Code = 10 , EchX = 2.000, EchY = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
L’orientation du symbole est celle du SCG sauf si le symbole doit s’orienter sur la polyligne la plus proche (cf. § VIII.5.4).
Codifications terrain :
2
- Aucun paramètre : <Code>
104.21
Nombre de points levés : 2 1
EchX = 2R, EchY = 2R
104.20
Seul le code est saisi, l’objet nécessite alors 2 points pour être levé.
Les facteurs d’échelle en X (EchX) et en Y (EchY) du symbole inséré
correspondent à 2 fois la distance 2D (2R) entre les 2 points levés.
2R
Le centre correspond au 1er point levé.
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Ray Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Cir_Ray Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Cir_Ray Code = 10 , EchX = 1.200
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Sym_Cir_Ray Code = 10 , EchX = 1.200
3
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 2
104.21 104.29
Exemple 2 : 1
Exemple identique au précédent. 104.20
1.200 4
Répétition automatique activée.
104.31
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Ray Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Sym_Cir_Ray Code = 10 , EchX = 1.200
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Codifications terrain :
Seul le code est saisi, l’objet nécessite alors 2 points pour être levé. 104.21
Les facteurs d’échelle en X (EchX) et en Y (EchY) du symbole inséré
correspondent à la distance 2D (D) entre les 2 points levés.
1
Le centre correspond au milieu des deux points levés.
104.20
Exemple 1 :
3 plaques circulaires ont été levées.
La 1ère est levée sur les points 1 et 2, aucun paramètre saisi.
Les 2ème et 3ème sont levées respectivement sur les points 3 et 4 avec saisie d’un paramètre.
Répétition automatique inactive.
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Cir_Dia Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Cir_Dia Code = 10 , EchX = 1.200
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Sym_Cir_Dia Code = 10 , EchX = 1.200
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 2 3
104.21 104.29
Exemple 2 :
Même exemple mais avec la répétition automatique activée (le diamètre
1 1.200
est également transmis sur le point 4). 4
104.20
104.31
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Sym_Cir_Dia Code = 10 , EchX = 1.200
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
1
3
Exemple 1 : 104.20
104.29
1 plaque circulaire levée sur 3 points.
Répétition automatique inactive.
GéoBase :
000001 Sym_Cir_3Pt Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Cir_3Pt Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Cir_3Pt Code = 10
2
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
104.21
Exemple 2 :
Exemple identique au précédent. 1
3
Répétition automatique activée. 104.20
104.29
GéoBase :
000001 Sym_Cir_3Pt Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
Exemple :
Le 1er symbole, levé au point 3, est dimensionné par 2 paramètres et adopte l’orientation définie par les points 1 et 2.
Les 2ème et 3ème objets, levés aux points 4 et 5, sont dimensionnés par un seul paramètre et adoptent l’orientation du SCG (car le
point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des symboles orientés).
REMARQUE :
Cette notion d’orientation par deux points levés est moins pratique que l’orientation des symboles sur la polyligne la plus
proche ajoutée dans la version 10 de COVADIS.
Exemple :
3 objets sont levés.
Le 1er, levé au point 3, est dimensionné par 1 paramètre et adopte l’orientation définie par les points 1 et 2.
Les 2ème et 3ème objets, levés aux points 4 et 5, ne sont pas dimensionnés (échelle = 1) et adoptent l’orientation du SCG (car le
point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des symboles orientés).
Répétition automatique activée.
GéoBase :
000001 Déf_Ori_SY Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Déf_Ori_SY Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Orienté Code = 20 , EchX = 1.200
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000007 Annul_Ori_SY Code = 30
000008 Sym_Orienté Code = 20
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Cette notion d’orientation par deux points levés est moins pratique que l’orientation des symboles sur la polyligne la plus
proche ajoutée dans la version 10 de COVADIS.
Codification terrain :
Exemples :
1 plaque carrée levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Car_Dia Code = 10 000001 Sym_Car_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Car_Dia Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Dans le cas où la répétition automatique est activée, le code ne se répète pas sur le point 3 car le code a besoin de 2 deux points
seulement. Il faudrait ressaisir le code 10 sur le point 3 pour débuter une nouvelle plaque.
Codification terrain :
Exemples :
1 plaque orientée par les points 1 et 2.
Répétition automatique inactive / active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Car_Dia Code = 10 000001 Sym_Car_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Car_Dia Code = 10 000002 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
Codifications terrain :
Par1 104.19
Exemples 1 :
1 plaque carrée levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pts Code = 10 000001 Sym_2Pts Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
1
000003 Sym_2Pts Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 104.21 2
104.19
Exemples 2 :
1 plaque carrée orientée selon 2 points.
Saisie d'un paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pts Code = 10 , Ech = 1.200 000001 Sym_2Pts Code = 10 , Ech = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_2Pts Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
1 1.200
104.21
2
1.200 104.19
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 plaque levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 2
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 120.30
000003 Sym_2Pt_EX Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
120.21
Exemples 2 :
1 plaque orientée selon 2 points.
Saisie d'un paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchX = 1.200 000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchX = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_2Pt_EX Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
2
120.30
1
120.21
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 plaque levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EY Code = 10 000001 Sym_2Pt_EY Code = 10 2
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 120.30
000003 Sym_2Pt_EY Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
120.21
Exemples 2 :
1 plaque orientée selon 2 points.
Saisie d'un paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchY = 1.200 000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchY = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_2Pt_EX Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
1.200
2
120.30
1
120.21
Codifications terrain :
Exemple 1 :
Plaque levée sur 2 points ( 1 et 2).
Saisie de deux paramètres.
Pas de répétition automatique.
1.200
GéoBase : 2
000001 Sym_3Pts_H Code = 10 , EchX = 2.000 , EchY = 1.200 104.21
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_3Pts_H Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
2.000
104.20
Exemple 2 :
Plaque levée sur 3 points (1, 2 et 3)
Saisie d’un paramètre.
Répétition automatique activée. 3
104.21
2
GéoBase : 104.21
000001 Sym_3Pts_H Code = 10 , EchX = 2.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , … 2.000
104.20
Codifications terrain :
Exemple 1 :
Plaque levée sur 2 points ( 1 et 2).
Saisie de 2 paramètres.
Pas de répétition automatique.
1.200
GéoBase : 2
000001 Sym_3Pts_D Code = 10 , EchX = 2.000 , EchY = 1.200 104.21
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_3Pts_D Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
2.000
104.20
Exemple 2 :
Plaque levée sur 3 points (1, 2 et 3)
Saisie d’un paramètre. 3
Répétition automatique activée. 104.21
2
104.21
GéoBase :
000001 Sym_3Pts_D Code = 10 , EchX = 2.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1 2.000
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.20
Symbole 1 Symbole 2
REMARQUE :
Pour illustrer notre propos, le symbole composé choisi est constitué d’un symbole -b-
générique (Symbole 1) et d’un symbole à l’échelle (Symbole 2).
-1- -a-
Codifications terrain :
Exemples :
Deux arbres levés aux points 1 et 2.
Saisie d’aucun paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Comp_1 Code = 10 000001 Sym_Comp_1 Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Comp_1 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
1
104.20
2
104.22
Symbole 1 Symbole 2
REMARQUE :
Pour illustrer notre propos, le symbole composé choisi est constitué d’un symbole -b-
générique (Symbole 1) et d’un symbole à l’échelle (Symbole 2).
-1- -a-
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 arbre levé sur les points 1 et 2.
Saisie d’aucun paramètre. 1
Répétition automatique inactive / active 2
104.20
104.21
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Comp_2 Code = 10 000001 Sym_Comp_2 Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Comp_2 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,…
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
Exemples 2 : 2
2 arbres levés aux points 1 et 2 avec un diamètre de tronc de 40 cm. 1
104.21
Saisie d’aucun paramètre. 104.20
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
Symbole 1 Symbole 2
REMARQUE :
-1-
Pour illustrer notre propos, le symbole composé choisi est constitué de deux symboles
génériques (Symbole 1 et Symbole 2).
-1- -1-
Codifications terrain :
3
- Aucun paramètre : <Code> 104.19
Nombre de points levés : 3 d2
2
Symbole 1 : EchX(1) = 2d1, EchY(1) = 2d1 d1
104.21
Symbole 2 : EchX(2) = 2d2, EchY(2) = 2d2 1
Seul le code est saisi, l’objet nécessite 3 points pour être levé. 104.20
Les facteurs d’échelle en X (EchX(1)) et en Y (EchY(1)) appliqués
au symbole 1 correspondent à 2 fois la distance 2D (d1) entre les 1 er
et 2ème points levés ; ceux (EchX(2) et EchY(2)) appliqués au
symbole 2 correspondent à 2 fois la distance 2D (d2) entre les 1 er et
3ème points. 2.d1
2.d2
Par1
Exemples 1 :
1 arbre levé sur les points 1, 2 et 3.
Aucune saisie de paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active 3
104.19
GéoBase : GéoBase :
2
000001 Sym_Comp_3 Code = 10 000001 Sym_Comp_3 Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.21
1
000003 Sym_Comp_3 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,…
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 000004 Mesure 3 HP = 1.600 ,… 104.20
000005 Sym_Comp_3 Code = 10
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
Exemples 2 :
2 arbres levés aux points 1 et 2 avec saisie de 2 paramètres (dimensionnement du
tronc et du feuillage).
GéoBase :
000001 Sym_Comp_3 Code = 10 , Ech1 = 0.400 , Ech2 = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Comp_3 Code = 10 , Ech1 = 0.400 , Ech2 = 1.200 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
104.21
104.20
Répétition automatique active :
GéoBase : 0.400
000001 Sym_Comp_3 Code = 10 , Ech1 = 0.400 , Ech2 = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 1.200
000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,…
Codifications terrain :
Dans tous les cas, les échelles en X et Y du second symbole (flèche) sont égales à 1.
2
- Aucun paramètre : <Code>
Symbole 1 : EchX(1) = EchY(1) = 1
Seul le code est saisi, l’objet nécessite 2 points levés.
Le symbole 2 est placé au milieu des deux piliers et est orienté
1
perpendiculairement aux deux points.
2
REMARQUES :
Le rôle du préfixe, pour ce code, est d’inverser la convention de levé, c’est-à-dire qu’avec le même code il est possible de
lever une entrée par sa droite (sens trigo sans préfixe ou sens topo avec préfixe) ou par sa gauche (sens trigo avec préfixe ou
sens topo sans préfixe).
Le fait de lever les points à l’extérieur des piliers facilite les éventuelles constructions à la perpendiculaire pour les arrivées
ou les départs de murs (cf. § VII.10.1).
Codifications terrain :
Une application possible de ce code est le levé d’un alignement d’arbres ou de plots.
1
Tous les codes de cette catégorie ont pour premier paramètre dans leur codification terrain le code de la liaison de base. Tous ces
types génèreront une polyligne dont les caractéristiques correspondent au paramétrage de cette liaison dans la table de codes. Si
l’opérateur n’indique aucun paramètre ou que le code de la liaison de base n’existe pas dans la table, la polyligne sera alors insérée
dans le calque 0 avec le type de ligne Continuous.
Codifications terrain :
Exemple 1 :
3 cercles ont été levés.
Le 1er est levé sur les points 1 et 2, seul le paramètre de la liaison de base (ici code 20#) est saisi.
Les 2ème et 3ème sont levés respectivement sur les points 3 et 4 avec saisie de deux paramètres.
Codifications terrain :
Exemple 1 :
3 cercles ont été levés.
Le 1er est levé sur les points 1 et 2, seul le paramètre de la liaison de base (ici code 20#) est saisi.
Les 2ème et 3ème sont levés respectivement sur les points 3 et 4 avec saisie de deux paramètres.
Exemple 2 :
Même exemple avec répétition automatique activée. 1 1.200
4
104.20
104.31
GéoBase :
000001 Cercle_D Code = 10 , Liaison = 20
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Cercle_D Code = 10 , Liaison = 20 , Diamètre = 1.200
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
Codification terrain :
Longueur(diagonale) = d 2
Le code et le paramètre de liaison de base sont saisis, l’objet 104.19
nécessite 2 points pour être levé.
La longueur de la diagonale du carré est la distance 2D (d) entre les 2 1
points levés.
104.21
Exemples :
1 carré levé sur 2 points avec saisie de la liaison de base (ici code 20#).
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 carré levé sur 2 points.
Saisie d’un paramètre (liaison de base code 20#).
104.21 2
104.19
Exemples 2 :
1 carré orienté selon 2 points.
Saisie de 2 paramètres.
Codifications terrain :
Hauteur = h 104.21
Exemple 1 :
Rectangle levé sur 2 points (1 et 2). Saisie de 3 paramètres (liaison de base code 20#).
Exemple 2 : 1
2.000
Rectangle levé sur 3 points (1, 2 et 3). Saisie de 2 paramètres. 104.20
Codifications terrain :
Exemple 1 :
Rectangle levé sur 2 points ( 1 et 2).
Saisie de 3 paramètres (liaison de base code 20#).
REMARQUE :
Dans la table de codes les liaisons sont facilement repérables. En effet, Un caractère dièse (#) est ajouté pour rappeler le suffixe.
Ainsi le code 10# sera décliné sur le terrain en 100, 101, … ou 10A selon le suffixe employé. Il existe 15 suffixes qui doivent
être différents (cf. § VIII.4.4 pour leur paramétrage).
Epaisseur de liaison :
Tous les types de symbolique COVADIS sont affectables à une liaison, mais ceux pour lesquels l’épaisseur est modifiable sont
les murs à grille (‘syg’), les murs simples (‘sym’), les objets mur/haie (‘dmu’) et les types de ligne AutoCAD®.
Il existe plusieurs façons de modifier une épaisseur de liaison.
La première est de donner l’épaisseur en paramètre du code sur un point de la liaison. Dans ce cas, l’épaisseur peut être négative
ce qui a pour effet de dessiner la symbolique de l’autre coté.
Vous pouvez également lever un point donnant l’épaisseur en utilisant le suffixe correspondant.
Si la polyligne est habillée d’un type de ligne AutoCAD ®, l’épaisseur correspond à un décalage de polyligne. Dans ce cas, le
décalage peut varier le long de la polyligne (cf. § VIII.5.5). Dans le cas contraire (symbolique COVADIS), c’est la dernière
épaisseur saisie qui sera adoptée.
Rôle des différents suffixes (entre parenthèses figure la valeur par défaut du suffixe) :
« Ouverture avec un segment rectiligne » (0) : permet de débuter une polyligne avec un segment rectiligne.
« Ouverture avec un segment d’arc » (1) : permet de débuter une polyligne avec un segment d’arc.
« Ouverture avec un segment lissé » (2) : permet de débuter une polyligne avec un segment lissé.
REMARQUE :
L’ouverture d’une liaison arrête si besoin la polyligne de même code ouverte précédemment. Toutes les liaisons en cours à la fin
de la génération du dessin sont automatiquement arrêtées.
Exemple :
Liaison de code 10# avec le suffixes 0 (ouverture rectiligne) et 3 (segment rectiligne).
REMARQUES :
La construction des arcs suit les mêmes règles que la commande polyligne d’AutoCAD ®, c’est-à-dire que l’arc sera tangent
au segment précédent.
Si on commence une liaison par un segment d’arc COVADIS attendra qu’une direction de tangence soit connue pour donner
une direction de départ à la polyligne. (cf. Exemple 2 ci-après).
Exemple 1 :
La liaison 10# est ouverte au point 1 par un segment rectiligne (suffixe = 0). Ce dernier indique la tangente pour le segment
d’arc suivant. Les tangentes sont continues aux points 2 et 3.
Exemple 2 :
La liaison 10# est ouverte au point 1 par un segment d’arc (suffixe = 1). Le segment rectiligne au point 3 impose une direction
de tangence aux segments d’arc précédents.
« Second point de l’arc » (5) : permet d’ajouter un segment d’arc passant par trois points.
REMARQUE :
Un point codé second point d’arc (suffixe = 5) sera transformé en segment d’arc (suffixe = 4) s’il n’est précédé d’un point codé
ouverture ou segment d’arc
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 par un segment d’arc (suffixe 1).
2 séquences de codes pour segment d’arc passant par 3 points concernent les points 1-2-3 et 3-4-5.
Les tangentes sont discontinues au point 3.
REMARQUES :
Les segments lissés créent des points supplémentaires afin de respecter la continuité des tangentes.
Les segments lissés sont représentés par deux segments d’arc et donnent la même géométrie que le lissage AutoCAD®.
Exemple :
La liaison 10# est composée de segments lissés. Les tangences sont respectées aux points 2 et 3.
REMARQUE :
La continuité des tangentes n’est pas perdue en utilisant un segment non dessiné alors qu’elle le serait si on réouvrait la liaison.
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 et comporte un segment non-dessiné au point 2.
« Point donnant l’épaisseur (Liaisons épaisses) » (8) : permet de donner l’épaisseur de la polyligne en levant un point.
La liaison 10# est ouverte au point 1 et est composée uniquement de segments rectilignes.
Le point 4 donne l’épaisseur de la liaison (distance entre 4 et la liaison) .
Au point 6, une autre liaison de même code est ouverte (ce qui clôt la liaison précédente). Aucune épaisseur ne lui est affectée.
GéoBase : 1
000001 Liaison Code = 100 4
104.20
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
104.23
000003 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 2.000 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000005 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 1.000 104.25
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.21
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Si le décalage variable n’est pas activé pour le code, c’est la dernière valeur de l’épaisseur qui est appliquée.
La liaison 10# est ouverte au point 1 avec une largeur de 0.5 m. L’épaisseur de la liaison varie au fur et à mesure du levé.
GéoBase : 1
000001 Liaison Code = 100 , Epaisseur = 0.500
4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 1.000 104.23
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 2.000 3
2
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.21
104.25
000007 Liaison Code = 103
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUES :
La valeur du décalage au point 4 est la même qu’au point 3 bien qu’elle ne soit pas précisée.
Le décalage variable ne fonctionne pas avec le point donnant l’épaisseur mais avec le paramètre saisi.
Il est également possible de lever l’axe et ne dessiner que les polylignes décalées des deux cotés (décalage bilatéral).
« Clore la liaison sur le premier point » (9) : permet de fermer la liaison ouverte sur le premier point de la liaison.
REMARQUE :
Pour que la liaison passe par le point 4 vérifiez le paramètre de la table concernant les codes de fermeture (cf. VIII.4.4), sinon il
serait nécessaire d’ajouter un code 103 avant le code 109 pour faire passer la liaison par le point 4.
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 et fermée au point 4.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 000001 Liaison Code = 100 1 4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
104.20 104.22
000003 Liaison Code = 103 000003 Liaison Code = 103
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 2 3
000005 Liaison Code = 103 000005 Mesure 3 HP = 1.600 , …
104.25 104.21
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 000006 Liaison Code = 109
000007 Liaison Code = 109 000007 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
« Point donnant la direction d’amorce (bâtiments) » (A) : permet d’ajouter une amorce à la liaison ouverte.
REMARQUES :
Un paramètre saisi est considéré comme la longueur de l’amorce et non plus l’épaisseur de la liaison. Par défaut, cette dernière
est fixée à 5 m (paramétrable cf. § VIII.4.4).
La direction de construction de l’amorce dépend du signe de sa longueur en adoptant la convention de levé inhérente au code
de la liaison (paramètre précisé dans la table de codes).
Une amorce sur un point intermédiaire double le segment d’amorce (utile pour les hachures de bâtiments).
Exemple :
Le point 2 de la liaison 10# est codé deux fois. Une fois pour faire passer la polyligne par le point 2 et une seconde
fois pour dessiner l’amorce.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 4.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 103 2
000004 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 4.000
1 104.25
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000006 Liaison Code = 103 104.20
000007 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 104.22
• 2nd cas : le point supportant ce type est également le premier ou le dernier point de la liaison. L’amorce est alors créée
perpendiculairement au premier ou dernier segment de la liaison suivant le cas.
Exemple :
Les points 1 et 3 de la liaison 10# supportent un code amorce.
Aucun paramètre n’a été saisi pour le point 3. La longueur de l’amorce sera donc de 5 m.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 3.000
000003 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2
000004 Liaison Code = 103
3.000 1 104.25
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
3
000006 Liaison Code = 103 104.20 5.000
000007 Liaison Code = 10A 104.22
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
• 3ème cas : le point supportant ce type est également un point de segment non-déssiné.
L’amorce est alors créée perpendiculairement au segment précédent si le point est le premier du segment non-dessiné,
sinon il s’agira du segment suivant.
Exemple :
Les points 2 et 3 de la liaison 10# supportent un code amorce. Le segment 2-3 n’est pas dessiné (code 107).
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 5.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 4.000
000003 Liaison Code = 107
000004 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 4.000 2 3
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
104.25 104.22
000006 Liaison Code = 103 1
000007 Liaison Code = 10A 4
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 104.20
000009 Liaison Code = 103 104.22
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
•4 ème
cas : le point codé amorce n’est pas un point de la liaison. L’amorce est alors dessinée comme dans l’exemple.
Exemple 1 :
Le point 3 est codé en amorce. L’amorce part de 2, et est dans le prolongement de 3 vers 2 sur 4 mètres.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 4.000
000003 Liaison Code = 103
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 2
000007 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 4.000
104.25
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 1 4
000009 Liaison Code = 103
104.20 3 104.22
000010 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
104.22
Exemple 2 :
Même exemple sans donner la longueur. Dans ce cas la longueur de l’amorce est égale à la distance 2-3
GéoBase : 3
000001 Liaison Code = 100 104.22
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
d 2
000003 Liaison Code = 103
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 104.25
000007 Liaison Code = 10A 1 d 4
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
104.20 104.22
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
« Fermer perpendiculairement (bâtiments) » (B) : permet de fermer perpendiculairement la liaison sur le premier point.
REMARQUE :
Pour que la liaison passe par le point 3 vérifiez le paramètre de la table concernant les codes de fermeture (cf. VIII.4.4), sinon il
aurait fallu mettre un code 103 avant le code 10B.
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 et est fermée perpendiculairement au point 3.
GéoBase :
3
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.22
000003 Liaison Code = 103
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 10B
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 1 2
104.20
104.25
« Tangente Avant (sauf premier point) » (C) : impose la direction d’arrivée d’un segment lissé sur le point codé.
« Tangente Après (sauf dernier point) » (D) : impose la direction de départ du point codé pour un segment lissé.
Exemple :
Liaison de code 10#.
La liaison 10# est en répétition automatique et est ouverte au point 1 par un segment lissé.
Le point 4 est codé Tangente Avant et le point 8 est codé Tangente Après. Les tangentes sont continues aux points 3 et 7.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 102
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 105
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 1
000005 Liaison Code = 105 104.20
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 4 2
000007 Liaison Code = 10C 3
104.22 104.25
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 5
104.21
000009 Liaison Code = 105 104.28
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , … 6 8
000011 Mesure 6 HP = 1.600 , … 7
104.27 104.32
000012 Mesure 7 HP = 1.600 , … 9
104.21
000013 Liaison Code = 10D
104.23
000014 Mesure 8 HP = 1.600 , …
000015 Liaison Code = 105
000016 Mesure 9 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
La polyligne ne passe pas par le point codé Tangente Avant ou Tangente Après.
« Point Topo uniquement » (E) : dessine le point topographique avec le paramétrage du code de la liaison.
Exemple :
Liaison de code 10# code le haut de talus, la liaison 20# code le bas de talus.
Le bas de talus doit être ouvert (ligne 000001) avant que le haut de talus ne l’utilise (ligne 000003). L’indication du bas de talus
n’est pas forcément sur le premier point. Sur le terrain, l’indication du bas de talus dans le code haut de talus (ligne 000003)
doit correspondre au deuxième paramètre du code haut de talus ; le premier paramètre étant nul. Il n’est pas nécessaire de
spécifier le caractère # mais l’accepte néanmoins. Les saisies terrain 100+0+20# et 100+0+20 sont équivalentes.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 100 , Bas Talus = 20
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 104
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Liaison Code = 104
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000009 Liaison Code = 104
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
000011 Liaison Code = 104
000012 Mesure 6 HP = 1.600 , …
000013 Liaison Code = 204
000014 Mesure 7 HP = 1.600 , …
000015 Liaison Code = 204
000016 Mesure 8 HP = 1.600 , …
000017 Liaison Code = 204
000018 Mesure 9 HP = 1.600 , …
000019 Liaison Code = 204
000020 Mesure 10 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Il est possible d’indiquer plusieurs bas de talus à condition de disposer de plusieurs codes bas de talus dans la table de codes.
Codifications terrain :
REMARQUE :
Ce code n’insère pas de point topographique.
Exemples :
Liaison de code 10#.
Code 20 : « Perpendiculaire au dernier segment ».
Convention de levé du code 20 : sens trigonométrique.
La liaison est ouverte au point 1.
GéoBase 2 (2 paramètres) :
000001 Liaison Code = 100 3
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.28
000003 Liaison Code = 103 2.000
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 1
000005 Perp_Segment Code = 20 , Déport = 2.000 , Prolongement = 1.200 2
104.20
000007 Liaison Code = 103 104.23
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , … 1.200
Codifications terrain :
REMARQUE :
Ce code n’insère pas de point topographique.
Exemples :
Liaison de code 10#.
Code 21 : « Prolongement de segment ».
Convention de levé du code 21 : sens trigonométrique.
La liaison est ouverte au point 1.
GéoBase 2 (2 paramètres) :
000001 Liaison Code = 100 4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.28
000003 Liaison Code = 103 2.000
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 1
000005 Prol_Segment Code = 21 , Prolongement = 1.200 , Déport = 2.000 2
104.20
000006 Liaison Code = 103 104.23
000007 Mesure 4 HP = 1.600 , … 1.200
Codifications terrain :
REMARQUE :
Ce code n’insère pas de point topographique.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Code 22 : « Intersection décalée ».
Convention de levé du code 22 : sens trigonométrique.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2 2.000
000003 Liaison Code = 103 104.23
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 4
2.000
000005 Prol_Segment Code = 22 , Décalage 1 = 2.000 , Décalage 2 = 2.000
1 104.28 5
000006 Liaison Code = 103
000007 Mesure 4 HP = 1.600 , … 104.20 104.25
000008 Mesure 5 HP = 1.600 , …
VII.4.6. Parallèle
Fonction : Permet de lever la parallèle à la liaison de base dont le code est indiqué dans le premier paramètre.
Intitulé GéoBase : Parallèle Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1> [<Par2>]
Codifications terrain :
A
- 1 paramètre : <Code> <Par1>
Nombre de points levés : 1 104.25
2 3
Par1 : code de la liaison de base. 104.23
Le code et un paramètre sont saisis ; un seul point de levé suffit. 104.28
4
Cette codification permet de construire la parallèle à la liaison de 1
104.25
base de code Par1 ou Par1# passant par le point (A) supportant le 104.20
code « Parallèle ». Liaison de code Par1 ou Par1#
REMARQUES :
Vous pouvez utiliser ce code à tout moment sur une liaison en cours de levé et plusieurs fois avec des décalages différents.
Si la liaison n’est pas en cours alors que vous essayez de la décaler, un message d’erreur sera produit.
Si dans la table de code vous ne spécifiez pas l’habillage du code, la parallèle adoptera celui de la liaison à décaler.
Exemple1 :
Parallèle (code 20) à la liaison 10# passant par le point 3.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 3
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
104.25
000003 Liaison Code = 103 2 4
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 104.23
000005 Parallèle Code = 20 , Liaison = 10 104.28
5
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
1
000007 Liaison Code = 103 104.25
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 104.20
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
Exemple2 :
Parallèle (code 20) à la liaison 10# avec un décalage saisi.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2.000
000003 Liaison Code = 103 2 3
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
104.23
000005 Parallèle Code = 20 , Liaison = 10 , Décalage = 2.000 104.28
4
000006 Liaison Code = 103
1
000007 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.25
000007 Liaison Code = 103 104.20
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Pour tous les types d’escalier, la polyligne matérialisant le contour et les lignes matérialisant les marches sont dessinées dans des
calques différents.
Codifications terrain :
Exemples :
Escalier régulier levé sur 3 points.
Saisie d’un paramètre correspondant au nombre de marches.
Codifications terrain :
Exemple :
Escalier avec seuil levé sur 3 points.
Saisie de 2 paramètres. 3
104.25
Répétition automatique active
2
GéoBase :
104.21
000001 Escalier_2 Code = 10 , Marches = 3 , Largeur = 0.300
0.300 1
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
0.900
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 104.20
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
Codifications terrain :
REMARQUE :
Si aucun paramètre n’est spécifié, le nombre de marches considéré sera 0 (pas de marche).
Exemple :
Escalier de forme quadrilatère levé sur 4 points.
Saisie d’un paramètre correspondant au nombre de marches.
3
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase : 104.23
000001 Escalier_3 Code = 10 , Marches = 7 000001 Escalier_3 Code = 10 , Marches = 7
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Escalier_3 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
4 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000005 Escalier_3 Code = 10 000005 Mesure 4 HP = 1.600 , ... 104.28 104.22
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 1
000007 Escalier_3 Code = 10
104.20
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
Codifications terrain :
REMARQUE :
Utiliser ce type est possible à tout moment de la phase de construction de la liaison. Une liaison est considérée en phase de
construction tant qu’une liaison de même code n’est pas ouverte ou tant qu’elle n’est pas close (utilisation des suffixes « Clore
la liaison sur le premier point » ou « Fermer perpendiculairement (bâtiments) »).
Exemple :
Escalier rattaché (de code 20) à une liaison (code 10#) à laquelle est affectée une symbolique.
Codifications terrain :
REMARQUES :
La largeur des marches est obligatoire et les marches sont parallèles au coté 1-2.
L’ordre des points 3 et 4 importe peu car le programme les replace de façon à ne pas avoir de quadrilatère croisé.
Exemple :
Escalier de forme quadrilatère levé par 4 points.
Saisie d’un paramètre correspondant à la largeur des marches.
4 2
104.28 104.22
1
104.20
REMARQUES :
Pour tous les types de marquage, les polylignes matérialisant le contour et celles matérialisant les marquages sont dessinées
dans des calques différents.
Seule la polyligne matérialisant le contour peut être en 3D.
Codification terrain :
0 paramètre : <Code>
Nombre de points levés : 1
Le code est saisi ; un seul point de levé suffit.
Le texte par défaut, spécifié dans la table de codes, est inséré selon les caractéristiques
précisées dans la table de codes (cf. § VIII.5.6).
Exemples :
3 textes non orientés « Maison ».
Saisie d’un paramètre.
REMARQUE :
Si vous ne précisez pas de texte sur le terrain, c’est le texte par défaut (spécifié dans la table pour ce code) qui sera utilisé.
Codification terrain :
0 paramètre : <Code>
Nombre de points levés : 2
Le code est saisi ; deux point levés sont nécessaires.
Le texte par défaut, spécifié dans la table de codes, est inséré selon les caractéristiques
précisées dans la table de codes (cf. § VIII.5.6).
l’orientation du texte.
Le texte spécifié en paramètre est inséré selon les caractéristiques
précisées dans la table de codes (cf. § VIII.5.6).
REMARQUES :
Si vous ne précisez pas de texte sur le premier point, c’est le texte par défaut (spécifié dans la table de codes) qui sera utilisé.
Si la répétition automatique n’est pas validée, le paramètre sur le second point (orientation) est ignoré.
Exemples :
2 textes orientés « Maison ».
Saisie d’un paramètre.
Pour la GéoBase 1 (répétition automatique inactive), le point 2 est considéré comme point d’orientation pur ; le texte paramétré en
ce point n’est donc pas considéré, contrairement à la GéoBase 2.
Codification terrain :
REMARQUE :
Ce code ne modifie que les attributs inhérents au bloc point topographique qui lui correspond.
Exemple :
Il s’agit de déplacer le matricule des points 1 et 3 dans le calque « Particulier ».
Dans la table de codes, l’attribut spécifié est MAT, le calque de destination « Particulier ».
Au point 2, le bloc point topographique spécifié pour les points non codés est inséré.
Au point 1 et 3, il s’agit du même bloc avec le matricule déplacé dans le calque Matricules déplacés dans
« Particulier ». le calque « Particulier »
1
GéoBase : 104.22
000001 Cache_Attribut Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000004 Cache_Attribut Code = 10
104.19
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
2
104.25
Codification terrain :
REMARQUE :
Il est possible de rendre l’attribut invisible en le précisant dans la table des codes.
Exemple :
Il s’agit d’ajouter à un symbole non-orienté un attribut, dont l’étiquette est « Réseau » et la
valeur est « EU 1 ».
Dans la table de codes, l’étiquette spécifiée est Réseau. EU 1
Le paramètre saisi sur le terrain est « EU 1 ».
Le symbole non-orienté (de code 20) est inséré au point 1. 1
104.22
3
GéoBase :
000001 Sym_sans_Ori Code = 20 104.19
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000004 Ajout_Attrib Code = 10 , Texte = <EU 1> 104.25
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
Codification terrain :
REMARQUE :
Il est possible de rendre l’attribut invisible en le précisant dans la table.
Exemple :
Il s’agit d’ajouter au point topographique 2 un attribut, dont l’étiquette est « Etat » et la
valeur est « correct ».
Dans la table de codes, l’étiquette spécifiée est Etat. 1
Le paramètre saisi sur le terrain est « correct ». 104.22
Au point 1 et 3, le bloc point topographique spécifié pour les points non codés est inséré.
Au point 2, il s’agit du même bloc avec un attribut supplémentaire.
3
correct 104.19
GéoBase : 2
000001 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000002 Attrib_Point Code = 10 , Texte = <correct> 104.25
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
VII.9. DIVERS
Codification terrain :
REMARQUE :
Ce code ne peut prendre en compte qu’un seul objet.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Suffixes : - « Ouverture avec un segment rectiligne » :0
- « Segment rectiligne » :3
« Raccroche point levé sur point le plus proche » de code 20.
L’utilisateur lève une liaison le matin et l’après-midi, il désire la continuer. Il faut donc se raccrocher sur le dernier point levé.
Les points 1, 2 et 3 de la liaison ont été levés le matin. Le point 3 doit être raccroché pour continuer la liaison.
Celui-ci est bien dans l’emprise du cercle de recherche centré sur le point 4 ; il est donc considéré comme le point le plus proche
précédemment levé.
Le point 3 applique le code 103 supporté par le point 4.
GéoBase : 5
1
000001 Liaison Code = 100 104.22
104.22
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 103
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103 2
3
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 104.25
000007 Liaison Code = 103 4 104.25
000008 Accro_Pt_Pro Code = 20 104.19
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
000010 Liaison Code = 103 Rayon de recherche maxi
000011 Mesure 5 HP = 1.600 , ...
Codification terrain :
REMARQUE :
La liaison peut être ouverte ou close.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Suffixes : - « Ouverture avec un segment rectiligne » :0
- « Segment rectiligne » :3
« Accrochage sur liaison proche » de code 20.
« Symbole non orienté simple » de code 30.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 5
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 1
104.22
000003 Liaison Code = 103 104.22 4
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103 104.19
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 2
000007 Sym_sans_Ori Code = 30 3
000008 Accro_Li_Pro Code = 20 , Liaison = 10 104.25
104.25
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
000010 Liaison Code = 103
000011 Mesure 5 HP = 1.600 , ...
Codification terrain :
REMARQUE :
Ce code ne peut prendre en compte qu’un seul objet.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Suffixes : - « Ouverture avec un segment rectiligne » :0
- « Segment rectiligne » :3
« Accrochage par matricule » de code 20.
« Symbole non orienté simple » de code 30.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 5 4
1
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.22 104.19
000003 Liaison Code = 103 104.22
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 2
000010 Liaison Code = 103 3
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , ... 104.25
104.25
000007 Sym_sans_Ori Code = 30
000008 Rappel_Point Code = 20 , Point = 3
000011 Mesure 5 HP = 1.600 , ...
Les trois codes de construction fournissent des coordonnées provisoires pour le ou les codes qui suivent immédiatement la
construction.
Codifications terrain :
REMARQUES :
Le point ainsi construit devient le point courant comme s’il avait été levé.
Ce code n’insère pas de point topographique.
Si vous préfixez ce code, ce sont les deux prochains points levés qui seront utilisés (voir exemple).
La convention de levé permet de choisir la position du point de construction par rapport aux point de base du calcul.
Exemple :
Le code perpendiculaire est 55, le code liaison est 10# et le code entrée est 20. La convention de levé pour ces trois codes est le
sens trigonométrique (objet levé par sa droite).
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 Epaisseur = 0.200 4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Perp_2Pts Code = -55 Déport = 0.100
000004 Liaison Code = 103
000005 Sym_Entrée Code = 20
000006 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000007 Sym_Entrée Code = 20
000008 Perp_2Pts Code = 55 Déport = 0.100
000009 Liaison Code = 100 Epaisseur = 0.200
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000011 Liaison Code = 103 2
000012 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Codifications terrain : d
d
- Aucun paramètre : <Code>
Le point de construction est le symétrique du point codé par rapport au 2
dernier point levé. 1
Const.1
- 1 paramètre : <Code> <Par1>
Par1> 0
Le point de construction est aligné avec le dernier point levé et le point
codé, et la distance au dernier point levé est Par1.
2
1
Exemple : Const.1
Levé d’un point inaccessible.
Code 20 : « Symétrique par rapport au dernier point levé ».
Code 10# bâtiment et code 20# le mur.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Liaison Code = 10A
000003 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 1m 4
000004 Liaison Code = 103 1
2
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000006 Liaison Code = 10A
000007 Symétrique Code = 20 , Distance = 1.000
000008 Liaison Code = 200 3
000009 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000010 Liaison Code =203
000011 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUES :
Le point ainsi construit devient le point courant comme s’il avait été levé. Cela explique pourquoi le code 10A (amorce de
bâtiment) apparaît avant le code de construction.
Si la distance est négative, le point est calculé du même coté que le point levé.
Const.1
Codifications terrain :
- 2 paramètres : <Code> <Par1> <Par2> d2
Par1 : distance au point 1. d1
2
Par2 : distance au point 2.
1
La solution retenue est fonction des signes des distances et de la 104.25
convention de levé du code. 104.20
REMARQUES :
Le point ainsi construit devient le point courant comme s’il avait été levé.
Si les distances Par1 et Par2 sont de même signe, le programme retient la solution en accord avec la convention de levé du
code. Dans le cas contraire le programme retient l’autre solution.
Exemple :
Code 23 : « Intersection par les distances » (convention de levé = sens trigo).
Code 10# bâtiment et code 20# le mur.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Liaison Code = 10A
000003 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 3m 3
2m
000004 Liaison Code = 103 1
000005 Inter_Dist Code = 23 , Distance 1 = 2.000 , Distance 2 = 3.000 2
000006 Liaison Code = 103
000007 Liaison Code = 200
000008 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000009 Liaison Code = 203
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , …
Dans cet exemple, le premier code 103 porte sur le point 2 tandis que le second code 103 porte sur le point construit par intersection.
Le mur part aussi (code 200) de ce point.
Si nous avions voulu l’autre solution (celle à droite de 2-3) il nous aurait suffi de changer le signe d’une des distances.
VIII.1. GÉNÉRALITÉS
La barre de menus contient les menus Fichier, Edition, Code Terrain et Table de codification.
REMARQUE :
Si la table de codes courante a été modifiée mais n’a pas été enregistrée lorsqu’une des options « Nouveau », « Ouvrir… » et
« Quitter » est sélectionnée, une boîte de dialogue vous propose d’effectuer une sauvegarde, ou d’annuler.
La barre d’outils est constituée par des boutons permettant d’accélérer l’accès aux commandes principales de l’éditeur de la table de codes.
Sur chaque bouton est dessiné un icône symbolisant la commande associée. Lors du passage de la souris sur une icône, un message
(info bulle) est affiché pour rappeler la fonction du bouton.
Aide
Cliquez sur ce bouton pour obtenir un descriptif du type du code courant.
VIII.4.1. Généralités
Les paramètres généraux sont valables pour tout ou partie des codes de la table.
Pour visualiser et modifier ceux-ci, sélectionner l’option « Paramètres généraux » dans le menu Table de Codification ou cliquer
sur le bouton .
Une boîte de dialogue comportant quatre onglets est affichée ; ces onglets sont développés ci-après.
REMARQUE :
Les séparateurs de paramètres et de codes sont à choisir parmi les éléments de la liste déroulante et doivent être évidemment
différents.
GéoBase : 6
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
5
000003 Liaison Code = -103 Epaisseur = 0.500
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Sym_Entrée Code = 20 4
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Sym_Entrée Code = 20
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000007 Liaison Code = -100 Epaisseur = 0.500
000008 Mesure 5 HP = 1.600 , … 3
000009 Liaison Code = 103
2
000010 Mesure 6 HP = 1.600 , …
Ils concernent :
La répétition automatique du code (cf. § VI.3).
L’unité par défaut (cf. § VIII.5.7).
La convention de levé (cf. § VI.5).
L’ensemble des paramètres relatifs à l’insertion
des points topographiques (cf. § VIII.5.3).
Il s’agit de définir :
Une valeur différente pour chacun des 15 suffixes
existants (cf. § VII.4.1). Les suffixes doivent être
tous différents. Un message est affiché dans le cas
contraire.
La flèche maximale (3D) : cette notion est
illustrée par le schéma suivant :
F1, f2, f3 flèche maximale (3D)
f1
f2
f3
REMARQUE :
AutoCAD® est dans l’impossibilité de construire une polyligne 3D avec des arcs normaux ou lissés; pour y remédier, COVADIS
construit une polyligne 3D, dont les sommets ont pour caractéristiques :
Leurs coordonnées planimétriques correspondent aux points issus du découpage de la polyligne 2D d’arcs normaux ou lissés en
segments, de sorte que les flèches soient au plus égales à la valeur de la flèche maximale.
Leurs altitudes sont calculées par interpolation linéaire selon la polyligne 2D d’arcs normaux ou lissés.
La longueur d’amorce par défaut : saisissez ici la valeur en mètres de l’amorce si non précisée sur le terrain.
Le déport par défaut : cette valeur est utilisée par le code de Construction perpendiculaire aux deux derniers points levés.
Le prolongement par défaut : cette valeur est utilisée par les codes Liaison prolongement de segment en l’absence d’une valeur saisie
sur le terrain.
Cochez la case « Faire passer la liaison … » si besoin pour les fermetures de liaison. La liaison ne passe pas par le point supportant
le code de fermeture si la case n’est pas cochée.
VIII.5.1. Généralités
Le paramétrage d’un code détermine à la fois la méthode de levé de l’objet et sa représentation dans le dessin.
Six aspects sont à envisager :
Le code, son type, sa répétition automatique et son commentaire.
L’insertion du point topographique correspondant.
La définition des symboles correspondant.
La définition de la symbolique associée.
Le paramétrage des textes.
Les unités.
Les cinq derniers aspects sont organisés par onglets dans l’éditeur de la table de codes.
En fonction du type de code choisi, tous les onglets ne sont pas actifs : un onglet sera alors actif ou inactif .
Les points topographiques sont insérés en 3D à condition que la case « Insérer en 3D » soit cochée, sinon ils sont insérés en 2D
(à z = 0). L’attribut altitude peut néanmoins avoir une valeur non nulle.
La case « Insérer premier point uniquement » est disponible pour les types de code nécessitant plusieurs points de construction.
Si elle est décochée, la case « Coter premier point uniquement » est validée et permet de renseigner l’attribut altitude
uniquement au point topographique correspondant au premier point de construction de l’objet.
La case « Orienter comme le symbole » n’est disponible que pour les codes de la famille symbole. Un point topographique ne
peut à la fois être orienté sur un symbole et sur une polyligne.
VIII.5.5. La symbolique
Le paramétrage relatif à l’onglet « Symbolique »
concerne neuf types de codes. En fonction du type, vous
avez accès à l’un des deux dialogues ci-après :
Cocher la case « Utilisation d’un fichier de
symbolique » pour habiller la liaison avec une
symbolique COVADIS, sinon un type de ligne
AutoCAD® sera utilisé.
Si la case est décochée, un type de ligne AutoCAD®
désigné dans la zone de texte « Type de ligne » sera
utilisé ; le bouton permet de sélectionner un des types
de ligne disponibles dans le dessin courant.
Si la case est cochée, la polyligne sera générée avec la symbolique COVADIS précisée dans la zone de texte « Nom » et recherchée
dans le répertoire de l’échelle courante au moment de la génération.
Le bouton permet de sélectionner le fichier de la symbolique à choisir parmi les cinq types suivants : symboliques linéaire
(‘syl’), bâtiment (‘syb’), mur simple (‘sym’), mur à grilles (‘syg’) ,les objets Mur/Haie (‘dmu’) et les objets Talus (‘syt’).
Attention, les symboliques de talus (‘syt’) se trouvent dans le répertoire Config de COVADIS et non pas dans les répertoires
d’échelle ! Un exemple de codification de talus est donné au chapitre VII paragraphe VII.4.2.
« Calque d’insertion » : Si le calque n’existe pas, il sera créé avec la couleur choisie dans la liste déroulante « Couleur ». Le bouton
permet de sélectionner un des calques existant dans le dessin.
La case « Couleur de l’objet (sinon du calque) » permet de donner aux objets une couleur propre différente de DuCalque.
Si la case « Insérer la symbolique en 3D » est cochée, les polylignes générées seront en 3D.
La case « Appliquer une largeur (sinon décalage) » permet de ne pas effectuer de décalage d’une polyligne mais lui applique
une largeur. Cela n’est pas disponible en 3D.
La case « Utiliser le positionnement (gauche, droite et centre) de la définition » n’est disponible que pour une symbolique
‘dmu’. Lorsque cette case est cochée, c’est le positionnement déclaré dans la symbolique Mur/Haie qui sera appliqué.
« Activer le décalage variable » : permet de dessiner des polylignes dont la largeur peut être modifiée au cours du levé. Cette
option n’est disponible que pour un habillage avec des types de ligne AutoCAD ®. Si cette case n’est pas cochée, c’est la dernière
largeur saisie qui sera affectée à l’ensemble de la polyligne.
« Décalage bilatéral (sinon unilatéral) » : permet de lever l’axe d’un chemin par exemple et de dessiner les deux polylignes
décalées représentant les bords du chemin. Ceci ne fonctionne que si l’habillage est un type de ligne AutoCAD ® et non une
symbolique COVADIS.
« Valeur par défaut de la largeur ou décalage en unité du code » : valeur prise par le paramètre du code de liaison exprimée
avec les unités spécifiées dans l’onglet de même nom. Cela permet de disposer, par exemple, d’un mur d’une largeur donnée sans
devoir la saisir sur le terrain.
Pour les types de code Escalier et Marquage, le dialogue
est légèrement différent. En effet, Vous ne pouvez plus
choisir le type de ligne ou la symbolique COVADIS. Par
contre, vous pouvez dessiner les polylignes de contour
des escaliers ou des passages piétons et vélos dans un
calque et dessiner les marches ou les bandes blanches
dans un autre.
Les décalages en X et en Y (sur le schéma : dx et dy), qui positionne le point d’insertion Point de base dy Point d’insertion
par rapport au point de base, correspondent aux zones de texte « dx » et « dy ». du texte (ici BC).
1
dx
Vous pouvez indiquer un « Texte par défaut » qui sera attribué au code si le texte
n’est pas saisi sur le terrain. Si le type de code est de la famille Attribut, la zone de
texte « Attribut » remplace le Texte par défaut et contient le nom de l’étiquette à ajouter ou à cacher.
La case « Insérer en 3D » cochée affecte l’altitude du point levé au texte.
La case « Point de base au milieu » est uniquement validée pour le type de code « Texte orienté par un second point » et permet
de positionner le point de base au milieu des 2 points.
Pour les types « ajoute Attribut à un point topo » et « ajoute Attribut à un symbole », l’attribut peut être rendu invisible si la case
« Attribut invisible » est cochée.
Si la case « Orienter sur la polyligne la plus proche » est cochée et qu’une polyligne passe dans le rayon de recherche
(cf. § VIII.4.2), le texte sera orienté selon la polyligne la plus proche.
IX.1. GÉNÉRALITÉS
Les autres aspects du traitement sont développés dans les paragraphes suivants.
• « Erreur 100 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Coordonnées manquantes. »
Explication : le point n’a pas de coordonnées planimétriques.
• « Erreur 101 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Coordonnées incohérentes. »
Explication : plusieurs points ayant ce numéro sont à des positions différentes (tolérance d’élimination des points doubles).
• « Erreur 200 Ligne <n° de ligne> : La commande <Commande> n'est pas dans la table de codes.»
Explication : le code-terrain n’existe pas dans la table de codes ; il s’agit soit d’une erreur de saisie de code, soit d’un oubli
de création du code dans la table.
• « Erreur 201 Ligne <n° de ligne> : Le type de la commande <Commande> ne correspond à celui dans la table. »
Explication : la table de codes utilisée pour l’interprétation des commandes lors de la lecture du carnet est différente de
celle utilisée pour la génération du dessin.
• « Erreur 202 Ligne <n° de ligne> : Le code-terrain est soit non présent dans la table, soit manque de paramètres obligatoires. »
Explication : le code-terrain n’est pas interprété par la table de codes.
• « Erreur 203 Point <n° de point> : Insertion de point, le fichier de définition (<nom du fichier>) n'existe pas. »
Explication : le fichier de définition (‘bpt’) du point topographique défini dans la table de codes n’existe pas à l’échelle courante.
• « Erreur 204 Point <n° de point> : Insertion de point, le fichier de définition (<nom du fichier>) n'est pas correct. »
Explication : le fichier de définition (‘bpt’) du point topographique existe mais n’est pas correctement formaté.
• « Erreur 205 Ligne <n° de ligne> : Code <code>, le bloc <nom bloc> n'a pas pu être inséré dans le dessin. »
Explication : le bloc n’est pas défini pour l’échelle courante.
• « Erreur 206 Ligne <n° de ligne> : Code <code>, la symbolique <nom du fichier> n'a pas été trouvée dans le répertoire de l'échelle. »
Explication : le nom du fichier de la symbolique indiqué dans la table de codes n’existe pas à l’échelle courante.
• « Erreur 207 Ligne <n° de ligne> : La liaison <code liaison> n'existe pas dans la table. »
Explication : le code-terrain n’existe pas dans la table de codes ; il s’agit soit d’une erreur de saisie de code, soit d’un oubli de
création du code dans la table.
Erreurs de codification :
• « Erreur 300 Ligne <n° de ligne> : Commande <Commande> pas assez de points. »
Explication : la commande n’a pas suffisamment de points de construction pour construire l’objet.
• « Erreur 301 Ligne <n° de ligne> : Les 2 premiers points de construction sont identiques. Impossible de dessiner ! »
Explication : le type de la commande exige que les deux premiers points de construction soient distincts.
• « Erreur 400 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : La liaison <code liaison> n'est pas ouverte. »
Explication : pour débuter toute liaison, il faut que le code du premier point supporte un suffixe « Ouverture avec un
segment… ».
Solution : au point début de liaison, modifier la commande dans la GéoBase pour transformer le suffixe « Segment… » du
code de liaison en un autre de type « Ouverture avec un segment… ».
• « Erreur 401 Ligne <n° de ligne> : La liaison <code liaison> n'a qu'un seul point et sera supprimée. »
Explication : la liaison de code <code liaison> ne possède qu’un point de construction et n’est donc pas générable ; aucune
polyligne ne peut être dessinée.
• « Erreur 402 Ligne <n° de ligne> : La liaison <code liaison> ne comporte aucun segment de points distincts. »
Explication : Tous les sommets de la polyligne sont confondus.
• « Erreur 403 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Liaison, impossible de fermer une liaison sans autre point. »
Explication : la liaison ne comporte qu’un seul segment ; dans ce cas, fermer sur le premier point n’est pas autorisé.
• « Erreur 404 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Point d'épaisseur rattaché à aucune liaison. »
Explication : à ce stade du traitement, la liaison pour laquelle s’applique le point d’épaisseur n’est pas ouverte.
Solution : avant de traiter cette commande, il est nécessaire d’ouvrir la liaison par un suffixe « Ouverture avec un
segment…».
• « Erreur 405 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : La liaison <code liaison> doit exister pour créer une amorce. »
Explication : une amorce ne peut être créée sur la liaison si celle-ci n’est pas ouverte.
Solution : avant de traiter cette commande, il est nécessaire au moins d’ouvrir la liaison par un suffixe « Ouverture avec un
segment…».
• « Erreur 406 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Parallele, la liaison porteuse n'est pas ouverte. »
Explication : à ce stade du traitement, la liaison dont le code est passé en paramètre n’est pas ouverte.
• « Erreur 407 Ligne <n° de ligne> : Commande Parallele, ni point levé, ni décalage -> ne sera pas tracée. »
Explication : si le point supportant la commande fait partie de la liaison et si la valeur du déport est nulle (ou si le 2 nd
paramètre de la commande n’est pas saisi), alors la commande ne sera pas considérée.
• « Erreur 408 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Parallèle, le code de la liaison porteuse n'est pas indiqué. »
Explication : la commande de type « Parallèle » doit être accompagnée d’un premier paramètre obligatoirement
renseigné.
Solution : double-cliquer sur la commande dans la GéoBase pour ajouter le code de la liaison porteuse dans la boîte de
dialogue d’édition.
• « Erreur 409 Ligne <n° de ligne> : Commande Parallèle, erreur dans le processus de décalage de la liaison porteuse 3D. »
Explication : la commande de type « Parallèle » appliquée à une liaison en 3D (entité polyligne 3D) a échoué.
• « Erreur 410 Ligne <n° de ligne> : Commande Parallèle, la liaison parallèle générée est une polyligne 2D, et non 3D. »
Explication : la commande de type « Parallèle » appliquée à une liaison en 3D (entité polyligne 3D) a construit soit une
polyligne dont le nombre de sommets est différent de la liaison porteuse, soit plusieurs polylignes. Dans ces
circonstances, la polyligne générée sera 2D.
• « Erreur 411 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande PerpenSegm, aucune liaison ouverte. »
Explication : à ce stade du traitement, toutes les liaisons sont fermées.
• « Erreur 412 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande PerpenSegm, la dernière liaison ouverte ne comporte qu'un point ! »
Explication : il faut au moins un segment pour construire une perpendiculaire.
• « Erreur 413 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande ProlonSegm, aucune liaison ouverte. »
Explication : à ce stade du traitement, toutes les liaisons sont fermées.
• « Erreur 414 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande ProlonSegm, la dernière liaison ouverte ne comporte qu'un point ! »
Explication : il faut au moins un segment pour en construire le prolongement.
• « Erreur 415 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Intersection, aucune liaison ouverte. »
Explication : à ce stade du traitement, toutes les liaisons sont fermées.
• « Erreur 416 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Intersection, la dernière liaison n'a qu'un point. »
Explication : la commande de type « intersection décalée » exige que la dernière liaison ouverte comporte au moins
un segment.
• « Erreur 417 Ligne <n° de ligne> : Commande Intersection, impossible les directions sont parallèles. »
Explication : les segments de la liaison ouverte avant et après la commande sont parallèles ; dans ces conditions,
impossible de calculer une intersection unique.
• « Erreur 418 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande AligneSegm, aucune liaison ouverte. »
Explication : à ce stade du traitement, toutes les liaisons sont fermées.
• « Erreur 419 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande AligneSegm, la dernière liaison ouverte ne comporte qu'un point ! »
Explication : à ce stade du traitement, la dernière liaison ouverte ne comporte pas de segment.
• « Erreur 500 Ligne <n° de ligne> : Commande de dessin, aucune liaison n'est indiquée en 1er paramètre. »
Explication : pour toutes commandes de type appartenant à la famille Polyligne (ou figure géométrique), il est conseillé
de renseigner le 1er paramètre correspondant à la liaison de base, sinon la figure géométrique sera insérée
dans le calque 0 et générée avec le type de ligne Continuous.
Solution : double-cliquer sur la commande dans la GéoBase pour ajouter le code de la liaison de base dans la boîte de
dialogue d’édition.
• « Erreur 600 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Accro_Pt_Pro, aucun point trouvé dans le rayon de recherche. »
Explication : la commande de type « raccroche point levé sur point le plus proche » ne détecte pas de points levés autour du
point supportant la commande à l’intérieur du « Rayon de recherche maxi » défini dans les paramètres généraux
de la table.
Solution : donner une plus grande valeur au paramètre « Rayon de recherche maxi ».
• « Erreur 601 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Rappel_Point, le matricule du point rappelé ne peut être vide. »
Explication : la commande de type « simule mesure sur point précédent » doit être accompagnée d’un paramètre
obligatoirement renseigné.
Solution : double-cliquer sur la commande dans la GéoBase pour ajouter le matricule du point dans la boîte de dialogue
d’édition.
• « Erreur 602 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Rappel_Point, le Point <n° de point> n'est pas levé. »
Explication : à ce stade du traitement, la commande « simule mesure sur point précédent » appelle un matricule de point qui
n’apparaît pas avant cette commande dans la GéoBase.
• « Erreur 603 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Accro_Li_Pro, le code de la liaison de rattachement ne peut être vide »
Explication : la commande de type « accrochage sur liaison proche » doit être accompagnée d’un paramètre obligatoirement
renseigné.
Solution : double-cliquer sur la commande dans la GéoBase pour ajouter le code de la liaison à rattacher dans la boîte de
dialogue d’édition.
• « Erreur 604 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Accro_Li_Pro, aucune liaison <code liaison> n'est actuellement ouverte »
Explication : la commande de type « accrochage sur liaison proche » appelle une liaison qui n’est pas en cours d’utilisation.
• « Erreur 605 Ligne <n° de ligne> : Commande Accro_Li_Pro, aucune liaison <code liaison> trouvée dans le rayon de recherche. »
Explication : la commande de type « accrochage sur liaison proche » ne détecte pas de liaison autour du point codé et dans le
« Rayon de recherche maxi » défini dans les paramètres généraux.
Solution : donner une plus grande valeur au paramètre « Rayon de recherche maxi ».
• « Erreur 606 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande PointSansOri, pas d'accrochage possible. »
Explication : la commande « PointSansOri » n’admet pas d’accrochage de type « raccroche point levé sur point le plus
proche », « accrochage sur liaison proche » et « simule mesure sur point précédent ».
• « Erreur 607 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande PointAvecOri, pas d'accrochage possible. »
Explication : la commande « PointAvecOri » n’admet pas d’accrochage de type « raccroche point levé sur point le plus
proche », « accrochage sur liaison proche » et « simule mesure sur point précédent ».
• « Erreur 608 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande OrientationPT, pas d'accrochage sur liaison possible. »
Explication : la commande « OrientationPT » n’admet pas d’accrochage de type « raccroche point levé sur point le plus
proche », « accrochage sur liaison proche » et « simule mesure sur point précédent ».
• « Erreur 609 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande OrientationSy, pas d'accrochage sur liaison possible. »
Explication : la commande « OrientationSy » n’admet pas d’accrochage de type « raccroche point levé sur point le plus
proche », « accrochage sur liaison proche » et « simule mesure sur point précédent ».
• « Erreur 700 Ligne <n° de ligne> : Commande Texte non orienté, manque le point levé. »
Explication : il faut au moins un point connu en coordonnées pour ce code.
• « Erreur 701 Ligne <n° de ligne> : Commande Texte orienté, pas assez de point pour orienter le texte. »
Explication : il faut au moins deux points pour orienter un texte.
• « Erreur 702 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande AddAttSy, pas de symbole pour recevoir cet attribut »
Explication : aucun symbole n’a été levé avant cette commande
• « Erreur 703 Point <n° de point> - Ligne <n° de ligne> : Commande Cache Attribut, l'attribut n'existe pas. »
Explication : l’étiquette de l’attribut précisée dans la table de codes n’existe pas dans la définition du bloc point topographique.
• « Erreur 800 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier, il manque des points de construction. »
Explication : la commande de la ligne <n° de ligne> n’a pas suffisamment de points pour construire l’escalier.
• « Erreur 802 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier, le nombre de marches n'est pas renseigné. »
Explication : il faut préciser le nombre de marches pour cet escalier.
• « Erreur 803 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier rattaché, la liaison de rattachement n'est pas renseignée. »
Explication : le 1er paramètre de la commande de type « Escalier par 2 points, rattaché à une liaison » doit être
obligatoirement renseigné.
• « Erreur 804 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier rattaché, la liaison indiquée (<code liaison>) n'existe pas dans la table de codes. »
Explication : le code de liaison indiqué en paramètre n’est pas présent dans la table de codes.
• « Erreur 805 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier rattaché, la liaison de rattachement <code liaison> n'est pas ouverte. »
Explication : la liaison de rattachement n’est pas encore ouverte ou a été fermée.
• « Erreur 806 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier rattaché, impossible de projeter les points levé sur la liaison indiquée. »
Explication : les points de l’escalier ne sont pas projetables sur la liaison de rattachement.
• « Erreur 807 Ligne <n° de ligne> : Commande Escalier rattaché, erreur dans le processus de construction des marches. »
Explication : un problème est apparu dans la construction des marches (décalages).
• « Erreur 808 Ligne <n° de ligne> : Commande Passage Piétons, il manque des points de construction. »
Explication : il faut 4 points pour construire un passage piétons.
• « Erreur 809 Ligne <n° de ligne> : Commande Passage Vélos, il manque des points de construction. »
Explication : il faut 4 points pour construire un passage vélos.
Exemple :
REMARQUE IMPORTANTE:
Dans l’hypothèse où vous traitiez les observations et les points alors que vous ne deviez traiter que les observations et si le dernier
code est en répétition automatique, il se répétera sur tous les points et donc sur tout le levé ! Il suffit de décocher le traitement des
points pour rétablir la situation.
Les palettes d’outils sont apparues dans AutoCAD® 2004. Ce sont des onglets contenant des icônes
sur lesquelles l’utilisateur clique afin de déclencher une action.
L’accès à la fenêtre qui gère les palettes s’effectue par le bouton de la barre d’outils Standard
d’AutoCAD® ou en tapant la commande _ToolPalettes ou encore par le menu
Outils/Palettes/Palettes d’outils (Ctrl+3 est le raccourci clavier). Lancer la commande ouvre ou
ferme la fenêtre contenant les palettes.
COVADIS version 15 propose deux commandes qui créent des palettes à partir d’une base d’articles
ou d’une table de codes.
Cela permet de dessiner plus facilement les objets à métrer ou les éléments d’un plan topo.
Seuls les codes qui dessinent des objets AutoCAD® de base (polylignes, textes, blocs…) auront un
outil associé.
Il y aura une palette par calque. Le nom des palettes peut être préfixé par le texte indiqué dans le
dialogue. Il est également possible de remplacer complètement les palettes existantes de même nom.
Les outils sont présentés avec une icône et un texte composé du code et de son commentaire. L’icône
représente le symbole ou une polyligne selon le cas. Le point d’interrogation jaune signifie qu’il
manque des propriétés de dessin au code correspondant. Dans ce cas, veuillez modifier la table de
codes et relancer la commande de création des palettes.
Un clic droit sur un outil affiche un menu
contextuel dans lequel vous avez accès aux
propriétés. Celles-ci ne sont pas modifiables
pour garder une certaine cohérence avec la table
de codes. Néanmoins, vous pouvez changer
d’image et de nom. Les propriétés affichées
dépendent du type d’objet dessiné (symbole,
polyligne…). Il est également possible de
copier les outils d’une palette dans une autre.
Les palettes représentent les familles principales et seuls les articles dessinant un objet AutoCAD ® fournissent un outil.
Pour créer un groupe, faites un clic droit dans la fenêtre d’affichage des palettes et l’option « Personnaliser… » ouvre une autre
fenêtre dans laquelle vous créerez vos groupes de palettes. Ensuite, faites glisser les palettes de la liste de droite dans le groupe
souhaité (la palette Espaces verts appartient au groupe COVADIS dans l’exemple ci-dessous).
Une fois le(s) groupe(s) créé(s) et rempli(s), fermez cette fenêtre et sélectionnez le groupe à afficher en faisant un clic droit dans la
barre de titre de la fenêtre qui affiche les palettes. Les noms des groupes sont proposés. Vous pouvez également afficher « Toutes
les palettes ».
REMARQUE :
Les palettes sont stockées dans le répertoire Support de COVADIS. Pour effacer d’un coup les palettes créées par la commande,
il suffit d’effacer les répertoires ToolPalette et RegisteredTools présents dans Support.
249 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE
250 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Généralités
X.1. GÉNÉRALITÉS
Le module DOCUMENT D’ARPENTAGE du menu COVADIS 2D permet d’importer les données en provenance de la DGI, de
monter le Document d’Arpentage selon les règles normalisées, puis de générer le fichier d’échange pour la DGI.
251 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Généralités
Le cas spécifique de la réunion de parcelle est traité sous forme d’un menu déroulant supplémentaire
et de sa barre d’outils correspondante.
252 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Configuration
X.2. CONFIGURATION
La commande Paramétrage général du module DOCUMENT D’ARPENTAGE regroupe tous les paramètres nécessaires aux
fonctions du module. Cela représente l’existant (cadastre actuel), les nouvelles informations (nouvelles divisions, lotissement), les
informations de construction et les éléments nécessaires à la production de la chemise verte.
253 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Configuration
• « Chemise verte : personne habilitée » : les champs saisis apparaîtront sur la 1ère
page de la chemise verte dans la section de la personne habilitée. Le champ
« Nom » apparaîtra uniquement sur l’extrait cadastral.
• « Éléments d’habillage » : calque d’insertion du cartouche de l’extrait cadastral
et nom du bloc de la flèche Nord.
• Le bouton permet de sélectionner le calque dans une case de dialogue
affichant l'ensemble des calques présents dans le dessin.
• « Format d’impression » : la chemise verte est générée sous forme de fichier
PDF. Il est possible de générer un fichier PDF complet intégrant le fond de la
chemise et les informations issues du DA, ou bien un fichier PDF simplifié qui
ne contient que les textes issus du DA et qu’il faut imprimer sur une chemise
verte vierge fournie par la DGI.
• « Format des fichiers » : le nom du fichier d’échange (DMPC), du fichier de
points et du rapport d’import peuvent être personnalisés. Les champs
paramétrique suivants doivent être saisies entre crochet [ ] pour récupérer
automatiquement les infos du DMPC en cours :
[COMM] : code INSEE de la commune
[FEUI] : numéro de la feuille
[SECT] : numéro de la section
[PARC] : numéro de la plus petite parcelle touchée par le DMPC
[DESSIN] : nom du fichier DWG en cours de travail.
254 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Importation Données DGI
Ces 3 commandes (boutons : ) du module DOCUMENT D’ARPENTAGE permettent d’importer les 3 sources de données
possibles en provenance de la DGI. Pour le PCI VECTEUR, 2 formats sont possibles - DXF ou EDIGéO - tandis que pour le PCI
RASTER, les fichiers fournis sont au format TIF.
Un second dialogue s’ouvre et vous permet de paramétrer l’import du fichier EDIGéO, par l’option 1 du menu Echange, sélectionner
le fichier précédent ‘.THF’ du lot de données EDIGéO.
255 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Importation Données DGI
En sélectionnant le 2ème onglet « Objets », COVADIS indique la liste de tous les objets trouvés dans le lot de données.
Chaque type d’objet est nommé, puis décrit complètement selon la norme PCI. Pour chaque type d’objet, il est possible de cocher
ou décocher la case correspondante « » pour l’importer ou pas dans le dessin.
En sélectionnant le 3ème onglet « Vue », COVADIS permet de visualiser le contenu de chaque fichier de données vectorielles. Faire
un clic droit dans l’arborescence sur « Données vectorielles » et choisir « Visualiser tout ».
256 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Importation Données DGI
En sélectionnant le 4ème onglet « Destination », COVADIS permet de paramétrer le fichier de configuration nécessaire à l’habillage
du plan après son import. Il est également possible de spécifier si chaque type d’objet doit être importé :
dans le même dessin, mais dans des calques différents,
ou dans un fichier ‘.dwg’ spécifique.
Une fois les objets à importer et leur habillage paramétrés, cliquez sur le bouton « Tout importer » pour lancer la conversion des
données EDIGéO dans le dessin courant.
257 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Importation Données DGI
258 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Cadastre existant
Ces 3 commandes (boutons : ) du module DOCUMENT D’ARPENTAGE permettent d’identifier la parcelle cadastrale
existante (contenance cadastrale …) qui sera divisée pour le DA. Ensuite les points de rattachement PCI pourront être positionnés
sur les sommets de la parcelle cadastrale, et/ou sur d’autres limites, bornes et points caractéristiques du cadastre.
Cette commande permet de fournir ou récupérer les informations cadastrales attachées à la parcelle mère.
1. Parcelle
2. DA
Chaque parcelle appartient à un DA. Si plusieurs parcelles appartiennent au même DA, il s’agit d’une division multi-parcellaire. Il
vaut mieux éviter de gérer plusieurs DA dans un même dessin. Il est préférable de créer autant de DWG que de DA à traiter.
Vous pouvez créer un nouveau DA en cliquant sur le bouton et le renommer en cliquant sur le bouton .
Cette commande (bouton : ) permet de modifier les informations saisies sur une parcelle existante. COVADIS demande de
sélectionner le texte de parcelle, puis affiche le dialogue précédent. Vous pouvez modifier toutes les informations souhaitées.
Cette commande (bouton : ) permet de positionner les points de rattachement cadastre. Ceux-ci peuvent se situer sur les sommets
de la parcelle cadastrale, ou bien sur n’importe quel autre sommet (angle de bâtiment, coin de mur…).
COVADIS demande de cliquer la position du nouveau point de rattachement, puis propose le numéro du point. Vous pouvez aussi
utiliser l’option <Polyligne> pour positionner automatiquement un point de rattachement sur chaque sommet de la polyligne
sélectionnée.
259 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage par intégration de levé (automatique)
Ces 2 commandes (boutons : ) du module DOCUMENT D’ARPENTAGE permettent d’extraire les données utiles d’un plan
topographique, puis de les réinsérer dans le DA. Enfin, il est possible de rajouter des points de calage levés.
1. Éléments de calage
• « Point de calage » : cliquer sur le
bouton , puis sélectionner les points
topographiques autres que les sommets
de parcelle, utiles au calage.
• « Segments des limites » : cliquer sur
le bouton , puis sélectionner la
polyligne représentant le contour de la
parcelle topographique qui servira au
calage.
Le bouton permet de faire un zoom
étendu sur les objets sélectionnés et
d’afficher les coordonnées des points de
calage et des sommets de la polyligne dans
la fenêtre de droite nommée « Objets
trouvés ».
2. Lotissement
• « Contour de lot, calque » : cliquer sur le bouton , puis sélectionner le calque des contours de lots => le nombre de polylignes
fermées apparaît en dessous (ici 13 Lots).
• « Identifiants, calque » : cliquer sur le bouton , puis sélectionner le calque des identifiants de lots => le nombre de textes
trouvés apparaît en dessous (ici 13 Identifiants).
Le bouton permet de faire un zoom étendu sur les lots sélectionnés et d’afficher les infos des lots (identifiants et surfaces) dans
la fenêtre de droite nommée « Objets trouvés ».
3. Ligne divisoire
• « Limites » : cliquer sur le bouton , puis sélectionner les polylignes représentant la (les) ligne(s) divisoire(s).
Le bouton permet de faire un zoom étendu sur les objets sélectionnés et d’afficher les coordonnées des points de calage et des
sommets des polylignes dans la fenêtre de droite nommée « Objets trouvés ».
4. Éléments graphiques
• « Bornes, calque » : cliquer sur le bouton , puis sélectionner le calque des bornes nouvelles => le nombre de bornes trouvées
apparaît en dessous (ici 14 Bornes).
• « Texte divers, calque » : cliquer sur le bouton , puis sélectionner le calque des textes que vous souhaitez transférer => le
nombre de textes trouvés apparaît en dessous (ici 78 Textes).
Le bouton permet de faire un zoom étendu sur les objets sélectionnés et d’afficher les coordonnées des bornes et le contenu du
texte ainsi que sa position dans la fenêtre de droite nommée « Objets trouvés ».
260 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage par intégration de levé (automatique)
1. Importation
COVADIS affiche un écran de confirmation indiquant le fichier d’origine, et le détail
des éléments qui seront importés.
2. Pré-calage
Une fois validé l’écran précédent, vous obtenez le plan topo inséré en relatif sur le cadastre. A la ligne de commande, vous disposez
des options suivantes :
Déplacer la souris ou [ptBase/2points/Rotation/Fin] <Fin> :
L’option « ptBase » permet de spécifier le point de base du déplacement ou de la rotation.
L’option « 2points » permet d’aligner le plan en spécifiant 2 points topo, puis leur position souhaitée sur le plan cadastral.
L’option « Rotation » permet de passer en mode rotation, COVADIS demande alors l’angle de rotation à appliquer.
L’option « Deplacer » permet de revenir en mode déplacement pour repositionner le plan topo.
Valider par « Fin » lorsque le plan topo est approximativement calé sur le fond de plan cadastral.
• Étape 1 :
Dans ce 1er écran, COVADIS a reconstitué les paires de points de calage cadastre et levés.
La première colonne permet de prendre en compte ou pas chaque paire de points. La transformation de Helmert est recalculée en
temps réel et l’EMQ est mise à jour.
Si un couple n’a pas été formé automatiquement, sélectionner le n° du point de rattachement dans la grille, puis cliquer sur le bouton
, COVADIS demande alors de spécifier à nouveau l’emplacement du point de rattachement (appuyer sur <Entrée>), puis de
sélectionner le point topographique que l’on souhaite lui associer.
Si au contraire un couple a été associé par erreur, sélectionner ce couple, puis cliquer sur le bouton pour le dissocier.
Le bouton permet d’imprimer le fichier calage courant (pour justifier de l’élimination de certains couples par exemple).
Lorsque tous les couples ont été correctement associés, cliquer sur le bouton « Suivant> » pour passer à l’étape 2.
261 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage par intégration de levé (automatique)
• Étape 2 :
Dans ce second écran sont affichés tous les points nouveaux correspondant aux extrémités des nouvelles limites de lot.
Cliquer sur le bouton « Suivant> » pour passer à l’étape 3.
• Étape 3 :
Dans cet écran sont affichées les lignes périmétriques. Ce sont les segments de la parcelle cadastrale sur lesquels seront projetés les
points nouveaux.
Cliquer sur le bouton « Suivant> » pour passer à l’étape 4.
262 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage par intégration de levé (automatique)
• Étape 4 :
Dans cet écran, COVADIS vous propose la liste des points périmétriques avec la ligne sur laquelle
ce point sera projeté, ainsi que la distance de projection.
COVADIS propose toujours la projection la plus proche, mais vous pouvez cliquer sur la projection
pour faire apparaître une liste déroulante permettant de ne pas projeter le point (et le conserver tel
quel), ainsi que tous les segments possibles des limites cadastrales avec leur distance de projection.
Lorsque toutes les projections sont correctes, cliquer sur le bouton « Suivant> » pour passer à l’étape 5.
• Étape 5 :
Dans ce dernier écran sont récapitulées les coordonnées des segments des nouvelles limites de lots.
Cliquer sur le bouton « Terminer> » pour valider l’adaptation.
263 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage par intégration de levé (semi-automatique)
La commande du module DOCUMENT D’ARPENTAGE permet de calculer la transformation de Helmert à partir des couples
{points calage cadastre - points topo}, puis d’appliquer cette transformation à tout le levé topo. Ensuite, la commande Points
nouveaux permet pour chaque point transformé de créer le point final projeté sur la limite périmétrique.
Cette commande permet de calculer la transformation de Helmert selon les couples de points constitués par correspondance de
leur indice.
1. Plan
2. Calage Helmert
3. Points à transformer
• « Grille d’infos » : pour tout point topo du dessin ne possédant pas le radical des points de rattachement au cadastre (« R. » par
défaut), il est possible de cocher ou pas la colonne « T », pour décider si on doit lui appliquer la transformation de Helmert. Les
points utilisés pour le calage ne peuvent pas être décochés.
4. Zoom
Les 3 boutons permettent d’effectuer un zoom arrière, un pan ou un zoom avant. Le bouton du pan est multi-
directionnel, on peut cliquer sur chacune des 4 flèches pour effectuer un déplacement de l’écran vers la gauche, la droite, le haut ou
le bas. Il est aussi possible de cliquer dans chacun des 4 coins pour se déplacer en diagonale.
Si certains points sont hors tolérance, il faut annuler le dialogue, puis supprimer ou renommer les points de calage hors tolérance, et
relancer la commande. Une fois la transformation de Helmert et les résidus acceptables, cliquez sur le bouton « Créer les points »
pour créer automatiquement tous les points transformés (radical « T. » par défaut)
264 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage par intégration de levé (semi-automatique)
Il est aussi possible de choisir le genre du point qui conditionnera le symbole inséré sur
ce point final.
Si le point sélectionné est un point intérieur au levé, il ne doit pas être projeté. Le point
final est identique au point transformé. Seule la transformation de Helmert est appliquée.
Lorsque la ligne de projection est demandée, il faut valider par <Entrée> pour faire
apparaître l’écran de création du point final.
Ici encore, le genre du point peut être sélectionné : borne, croix ou boulon. Ce genre
insère le symbole correspondant dans le dessin et le code correspondant sera écrit dans
le fichier d’échange final.
Cette commande Limite nouveau lot permet de dessiner une polyligne représentant la limite nouvelle qui doit s’appuyer sur
les points finaux adaptés précédemment créés et/ou les points de rattachement au PCI.
265 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage traditionnel par mesure de distance
Les points nouveaux sont les points supportant les segments de la limite nouvelle.
Les points de construction servent d’intermédiaire de calcul aux points nouveaux, mais ne supportent pas de limites nouvelles.
Une fois les points nouveaux construits, il faut les relier pour définir la nouvelle limite cadastrale.
La 1ère commande Point de construction permet de positionner les points de construction en indiquant les coordonnées ou en
cliquant directement leur position à l’écran.
La seconde icône est une liste déroulante permettant de choisir parmi les 4 méthodes celle que l’on souhaite utiliser.
1. 2 Cotes compensées
Cette fonction permet de créer un point de construction par mesure de distance à partir de 2 points connus (point de rattachement
cadastre, autre point de construction, ou point nouveau).
COVADIS demande de sélectionner le 1er point, puis de saisir la distance mesurée => un cercle rouge temporaire symbolise la
distance saisie. COVADIS demande de sélectionner le 2nd point, puis de saisir la distance mesurée à partir de ce point. COVADIS
demande alors l’option de compensation.
Sélectionnez le segment de compensation ou [Points/Alignement] <Alignement> :
• L’option « Alignement » indique que le point doit être construit exactement dans l’alignement des 2 points de base.
• Sinon, vous pouvez sélectionner le côté de parcelle auquel appartient le point construit (méthode à choisir de préférence).
266 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage traditionnel par mesure de distance
Dans l’exemple ci-dessus, les distances de 101.40 et 95.30 ont été mesurées depuis les points R.3 et R.6, mais le point est construit
sur la limite de parcelle R.1-R.8. En cliquant ce segment, COVADIS calcule les intersections des cercles fictifs de construction
avec ce segment et répartit l’écart de fermeture sur ce segment.
2. 2 distances mesurées
Cette fonction permet de créer un point de construction par mesure de distances à partir
de 2 points connus (point de rattachement cadastre, autre point de construction, ou point
nouveau), mais sans compensation. Il s’agit simplement de l’intersection de 2 cercles.
COVADIS demande de sélectionner le 1er point, puis de saisir la distance mesurée => un
cercle rouge temporaire symbolise la distance saisie.
COVADIS demande de sélectionner le 2nd point, puis de saisir la distance mesurée à partir
de ce point => un second cercle rouge est dessiné, ainsi que les 2 intersections possibles.
COVADIS demande alors de cliquer à proximité de l’intersection à conserver.
3. 3 distances mesurées
Cette fonction permet de construire un point de construction par mesure de distance à partir de 3 points connus (point de rattachement
cadastre, autre point de construction, ou point nouveau). Il s’agit de l’intersection compensée de 3 cercles.
COVADIS demande de sélectionner le 1er point, puis de saisir la distance mesurée => un cercle rouge symbolise la distance saisie.
COVADIS demande de sélectionner le 2nd point, puis de saisir la distance mesurée à partir de ce point => un 2 nd cercle rouge.
COVADIS demande de sélectionner le 3ème point, puis de saisir la distance mesurée à partir de ce point => un 3 ème cercle rouge.
Un écran de confirmation rappelle les 3 distances mesurées et permet de configurer les éléments de cotation à dessiner et le genre
(symbole) à associer au point.
267 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Montage traditionnel par mesure de distance
Cette fonction permet de créer un point de construction par mesure de distances cumulées
et décalages le long d’une ligne d’opération.
• « Ligne d’opération » : la distance graphique entre les 2 points est affichée, il faut
saisir la distance totale mesurée. L’écart à compenser est alors calculé.
• « Point en distance/décalage » : saisir la distance depuis le 1er point, l’écart compensé
proportionnel est calculé. Saisir le décalage (positif à droite, négatif à gauche) par
rapport à la ligne de base.
• Un carré vert marque le point sur la ligne et un carré rouge marque le point décalé.
• Choisir le genre du point et les éléments de cotation à dessiner.
• Cocher l’option « Construire aussi le point sur la ligne d’opération » pour que
COVADIS construise aussi le point à la distance compensée mais sans décalage. Pour
ce point choisir son type et son genre.
Cliquer sur « Créer le point » pour construire le(s) point(s). Le dialogue reste affiché et COVADIS vous invite à saisir une nouvelle
distance ainsi qu’un nouveau décalage afin de construire un autre point.
Lorsque tous les points ont été construits, sortir du dialogue par le bouton Quitter. COVADIS ajoute alors les cotes cumulées des
1er et 2nd points.
5. Prolongement
COVADIS demande de sélectionner le 1er puis le 2nd points, le segment est mis en
surbrillance, puis il faut sélectionner la ligne jusqu’à laquelle on souhaite prolonger le
segment. Une fois le segment sélectionné, l’écran s’affiche.
Cette commande Limite nouveau lot permet de dessiner une polyligne représentant la limite nouvelle qui doit s’appuyer sur
les points nouveaux précédemment créés et/ou les points de rattachement au PCI (sommets de parcelle déjà existants).
268 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Habillage
COVADIS demande le point d’insertion du symbole (utiliser le mode d’accrochage « Milieu » pour le positionner au milieu de la
limite nouvelle), puis indiquer un sommet de la limite. Les symboles non mitoyens sont placés à gauche par rapport à la direction
donnée depuis le 1er point vers le 2nd point.
Les signes de mitoyenneté sont toujours indicatifs et n’ont pas plus de valeur juridique que pour les DA manuels. Cependant, ils
seront présents dans le fichier d’échange et l’inspecteur du cadastre les récupère lors de l’import dans le logiciel de la DGI.
269 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Calcul des surfaces
Cette commande ID nouveau lot du module DOCUMENT D’ARPENTAGE permet d’identifier les nouveaux lots, de calculer les
surfaces compensées et d’éditer la chemise verte qui sera fournie à la DGI.
COVADIS demande de sélectionner le texte de la parcelle à diviser, puis affiche le dialogue suivant.
2. Situation ancienne
3. Situation nouvelle
270 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Calcul des surfaces
Il est possible d’écrire ou non les contenances cadastrales et de choisir le format d’écriture.
Il est possible d’écrire ou non le nom des propriétaires.
Il est possible d’écrire ou non la lettre A pour les parcelles arpentées
5. Arpentage de masse
L’arpentage de masse peut être mis en œuvre uniquement lorsque plusieurs parcelles initiales non réunies sont concernées, et
lorsqu’un lot arpenté recouvre au moins 2 parcelles en partie. Dans ce cas, le calcul de la surface de chacun des sous-lots se calcule
par une double compensation, ou compensation de masse.
Le principe :
- pour chaque parcelle, les lots sont compensés comme s’il
s’agissait d’une division sans arpentage=> on obtient une 1 ère
contenance (parcelle 371 : LotAa et LotBa, puis parcelle 372 :
LotAb et LotBb).
- Ensuite, on compare la somme des surfaces des lots Aa et Ab
que l’on compare à la surface arpentée du LotA. On répartit les
écarts => on obtient la surface finale de chaque lot. De même
pour les lots Ba et Bb.
Parcelle Lot SGra Comp SComp SCad Finale Lot Sous-lot SComp Comp SArp
371 Aa 1182 19 1201 1161 LotA Aa 1201 -40 1161
Ba 668 11 679 691 Ab 712 -23 689
1850 30 1880 1852 1913 -63 1850
372 Ab 701 11 712 689 LotB Ba 679 12 691
Bb 358 5 363 369 Bb 363 6 369
1059 16 1075 1058 1042 18 1060
Les calculs sont alors automatiquement effectués.
271 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Calcul des surfaces
272 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Extrait cadastral
Cette commande Mise en page – Extrait cadastral du module DOCUMENT D’ARPENTAGE permet de créer l’extrait
cadastral.
COVADIS demande de sélectionner le texte de la parcelle à diviser, puis affiche le dialogue suivant.
1. Format
Selon l’échelle du plan et la dimension de la parcelle, le format A4 ou A3, portrait ou paysage sera automatiquement choisi et pré
visualisé, mais vous pouvez choisir une autre échelle ou un autre format.
2. Certification
Les champs attributaires apparaissant sur le bloc d’extrait cadastral seront remplis par les informations saisies dans cet écran.
273 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Insertion PV normalisé
Cette commande a pour but de remplacer des textes entre crochets ( [ et ] ) d’un dessin servant de modèle par des valeurs contenues
dans un fichier texte. Le modèles est à confectionner parle géomètre car il lui est propre.
Exemple de modèle de PV :
Le fichier de données au format texte est produit peut être créé par un logiciel du type GéoSolution. Il comporte sur chaque ligne le
nom de la variable (ex : ProprieteNom0) suivi d’une tabulation puis de la valeur de la variable.
La commande ouvre le modèle, c’est-à-dire le fichier ‘dwg’, recherche les textes entre crochets, et si cette variable existe dans le
fichier de données la remplace par sa valeur.
Le contenu du dessin modèle est inséré dans le dessin courant et constitue un groupe nommé CovaPVNormGrp_ suivi d’un indice
pour différentier les groupes entre eux.
REMARQUES :
Il convient de créer plusieurs modèles, chacun correspondant à un nombre de propriétaires donné.
Le dessin modèle ne doit pas être ouvert dans AutoCAD® au moment de l’exécution de la commande pour qu’elle
fonctionne.
274 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Génération des fichiers d’échange
Cette commande du module DOCUMENT D’ARPENTAGE exporte le (ou les) fichier(s) nécessaire(s) à l’échange avec la DGI.
La commande affiche tous les éléments trouvés dans le dessin, regroupés par type.
Tous les points topo ayant le radical tel que paramétré (par défaut
T. et C.) sont listés.
Tous les points topo ayant le radical tel que paramétré (par défaut
A. et N.) sont listés.
5. Textes (TXT)
7. Points levés
Tous les blocs points topo autres que ceux déjà listés sont indiqués.
En cliquant sur le bouton il est possible de choisir pour chacun des éléments, s’il doit être exporté dans le fichier final.
8. En-tête du fichier DA
Dans l’entête informatif, en plus des informations que vous souhaitez inclure, des champs spécifiques permettent d’indiquer des
valeurs dépendantes du dessin. Pour indiquer un champ prédéfini, veuillez l’indiquer entre [ ]
[DATE] indique la date (format court) à laquelle a été généré le fichier : ex : 23/12/2005
[DATE_L] indique la date (format long) à laquelle a été généré le fichier : ex : 23 décembre 2005
[DATE_LJ] indique la date (format long avec le jour) à laquelle a été généré le fichier : ex : vendredi 23 décembre 2005
[HEURE] indique l’heure (format long) à laquelle a été généré le fichier : ex : 22:43:02
[HEURE2] indique l’heure (format court) à laquelle a été généré le fichier : ex : 22h43
[DESSIN] indique le nom du fichier DWG : ex : TEST DAN.dwg
[DESSIN_L] indique le nom complet du fichier DWG : ex : E:\DA_Num\DA\TEST DAN.dwg
[ECHELLE] indique l’échelle du plan : ex : 1/1000
[TYPE_PLAN] indique le type de plan (régulier ou non) : ex : Plan régulier
[TOLERANCE] indique la tolérance du plan : ex : 40 cm
[SOCIETE] indique le nom de la société saisi dans le paramétrage général.
[PARCELLE] indique les références cadastrales (section et n° parcelle) de(s) parcelle(s) concernées.
[COMMUNE] indique la commune du DMPC.
[PVDELIM_ESQUISSE] indique s’il s’agit d’un PV de délimitation ou d’une esquisse.
275 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Génération des fichiers d’échange
En validant par le bouton « Ecrire les fichiers », COVADIS génère le fichier d’échange pour le DA. Il s’appelle par défaut :
<nom du fichier dessin>_DA.TXT.
Si des points levés ont été détectés, COVADIS crée un second fichier <nom du fichier dessin>_DA_Points.TXT qui contient les
points levés sous la forme « Matricule X Y ».
Le fichier récapitulatif de l’import est également produit ce qui vous dispense de lancer la commande d’importation.
Ce (ou ces) fichier(s) doive(nt) être fournis(s) à la DGI. Ils permettent de mettre à jour la section cadastrale.
276 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Importation des fichiers d’échange
Cette commande du module DOCUMENT D’ARPENTAGE importe le (ou les) fichier(s) fourni(s) à la DGI afin de contrôler la
validité du DA transmis au cadastre.
Le principe est de commencer un nouveau dessin vierge, puis de recharger la feuille cadastrale (DXF, EDIGEO ou TIF), enfin, de
lancer la commande d’import.
Dans les versions précédentes de COVADIS, aucun contrôle de ces fichiers n’était effectué.
A partir de la version 13, le programme vérifie que le fichier DA et un fichier d’échange et
que le fichier de points contient des points. Le message ci-contre apparait si un fichier non
valide est sélectionné.
Ce contrôle permet de voir (et vérifier) ce que l’inspecteur du cadastre importera dans le logiciel PCI.
Le fichier récapitulatif peut également être fourni à la DGI afin de présenter tous les éléments présents dans le fichier d’échange.
277 COVADIS 2D
DOCUMENT D’ARPENTAGE NUMÉRIQUE Réunion de parcelles
Cette commande du module DOCUMENT D’ARPENTAGE gère la réunion préalable de parcelles mères.
Le principe est d’identifier les parcelles mères à réunir puis de lancer cette commande de réunion. COVADIS demande alors la
manière de sélectionner les parcelles mères concernées par la réunion
Sélection [Manuelle/Automatique] des parcelles pour la réunion <Automatique> :
• L’option « Manuelle » permet de sélectionner les parcelles une par une.
• L’option « Automatique » sélectionne toutes les parcelles mères identifiées dans le dessin.
Le dialogue suivant s’affiche :
1. Parcelles existantes
2. Réunion
Cliquer sur le bouton « Prévisualiser » pour évaluer la réunion qui sera créée ; le
contour de la réunion est mis en évidence par un trait épais de couleur magenta, tandis
que les limites internes communes entre parcelles sont biffées en vert.
278 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ
279 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Généralités / Import objets RFU-GéoFoncier
XI.1. GÉNÉRALITÉS
ATTENTION :
La commande « Assistant d’export GML… » est vouée à disparaitre au profit des nouvelles commandes : son utilisation est
déconseillée. Elle utilise un assistant en six étapes dont chacune fait l’objet d’un paragraphe en fin de chapitre.
Cette commande permet de dessiner, dans le calque « RFU_extraction », des objets RFU (limites et sommets) du portail
GéoFoncier directement dans le dessin.
Si votre dessin n’a pas de projection cartographique associée, le
programme demande d’affecter une projection avec la boîte de
dialogue ci-contre. Il est impératif d’avoir associé une projection au
dessin pour dessiner les objets RFU. Seules les projections utilisables
dans les zones couvertes par le portail GéoFoncier sont proposées.
280 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Import objets RFU-GéoFoncier
Si vous ne vous êtes pas encore authentifié, la boîte de dialogue ci-contre permet
de le faire. Saisir les cinq chiffres du numéro OGE et le mot de passe que vous
utilisez habituellement pour accéder au portail GéoFoncier. Le numéro OGE ne
peut avoir plus de cinq chiffres. Des zéro sont ajoutés au début du numéro si
besoin.
Cette authentification est valable pour ce dessin uniquement et jusqu’à sa
fermeture ou que vous vous déconnectiez avec la commande du menu. Le couple
utilisateur-mot de passe est utilisé par les requêtes http pour interroger le portail
et verser des objets RFU. Le numéro du géomètre sera écrit dans les objets RFU.
Il est possible que la commande échoue. Les raisons peuvent être l’absence de connexion internet, une erreur dans l’identification
(numéro ou mot de passe), la connexion au serveur qui n’est pas possible. Un message s’affiche alors soit dans une fenêtre soit dans
l’historique d’AutoCAD®.
Exemples de messages :
« Impossible d'établir une connexion avec le serveur »
« Erreur dans la lecture des capacités d'extraction RFU ! »
« Erreur dans la lecture de la réponse du portail GéoFoncier !»
Ensuite, le programme demande de cliquer le point autour duquel les objets RFU seront importés.
Indiquer le centre de la zone à extraire :
Une zone carrée de 250 mètres de côté environ (limite fixée par le portail GéoFoncier et fonction des droits accordés au logiciel de
DAO) est dessinée autour du curseur. Tous les objets RFU situés à l’intérieur de cette zone seront importés. Les sommets à l’extérieur
de la zone carrée mais sur une limite importée le seront également.
a) Les limites
Les limites sont représentées par des polylignes de couleur bleu avec une largeur de ligne de 0.30 mm. Cela permet de
mieux les voir quand l’affichage des épaisseurs de ligne d’AutoCAD ® est activé.
Des données étendues sont inscrites sur ces polylignes. Elles permettent une identification sans équivoque de la limite.
Exemple de données étendues (commande XDLIST des Express Tools) :
* Registered Application Name: COVA_APIRFU_DMPC
* Code 1000, ASCII string: 1074827
* Code 1000, ASCII string: 1046537
* Code 1000, ASCII string: 1046538
* Code 1000, ASCII string: LINESTRING(8.935041 41.673244,8.935016 41.673177)
* Code 1071, 32-bit signed long integer: 9581
* Code 1000, ASCII string: 2013-08-05 15:25:27.195747
* Code 1071, 32-bit signed long integer: 1
* Code 1000, ASCII string: 03664
* Code 1000, ASCII string: 2013-08-05
281 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Import objets RFU-GéoFoncier
b) Les sommets
Les sommets sont représentés, par défaut, par des symboles « GeoRond » de COVADIS. Un attribut « Nature » a été
ajouté afin de faciliter la visualisation de cette information dans la palette des propriétés ou en double-cliquant sur le
symbole. Selon le paramétrage des types, le symbole associé sera utilisé.
Des données étendues sont également ajoutées :
* Registered Application Name: COVA_APIRFU_DMPC
* Code 1000, ASCII string: 1046534
* Code 1000, ASCII string: POINT(8.934884 41.673251)
* Code 1071, 32-bit signed long integer: 9581
* Code 1000, ASCII string: 2013-08-05 15:25:28.434121
* Code 1071, 32-bit signed long integer: 1
* Code 1000, ASCII string: 03664
* Code 1000, ASCII string: Borne
* Code 1071, 32-bit signed long integer: 2
* Code 1040, Real number: 2193787.38
* Code 1040, Real number: 1180830.58
* Code 1000, ASCII string: RGF93CC42
* Code 1000, ASCII string: 2013-08-05
REMARQUES :
Si la zone de travail est plus vaste que la limite fixée par GéoFoncier, vous pouvez relancer la commande d’importation autant
de fois que nécessaire. Les objets déjà importés ne seront pas en double dans le dessin.
Le calque « RFU_extraction » est verrouillé à sa création afin de prévenir les déplacements accidentels de limites ou de
sommets.
282 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Informations sur un objet RFU
Utilisez cette commande pour visualiser les informations relatives à un objet RFU du dessin. Selon qu’il s’agisse d’un sommet ou
d’une limite, les informations affichées sont différentes.
Dans les deux cas, les informations affichées à gauche correspondent aux données étendues de l’objet (symbole ou polyligne). Dans
la barre de titre, entre parenthèses, figure la version RFU de l’objet dessiné. Seuls les objets avec la dernière version sont modifiables
en partie.
Dans la partie de droite, figure l’historique de l’objet fourni par le portail GéoFoncier. Les informations peuvent différer de la partie
de gauche, par exemple, si vous avez modifié la nature d’un sommet ou sa précision de rattachement auparavant.
Des liens sur les objets en relation permettent de naviguer de proche en proche.
La case à cocher dans le coin inférieur gauche permet de zoomer automatiquement sur l’objet édité.
A la fermeture de la fenêtre d’édition, la commande demande de sélectionner un objet afin de l’éditer. La touche <Echap> permet
de sortir de la commande.
283 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Export objets RFU-GéoFoncier
Cette commande met à jour le portail GéoFoncier directement à partir des nouvelles limites et/ou des nouveaux sommets dessinés
et/ou des objets modifiés (positionnement ou attributs).
De même que pour l’importation, il faut une projection compatible
et s’authentifier (n° OGE et mot de passe GéoFoncier).
Pour la métropole, si la projection du dessin est du type Lambert
Zone, un message avertit que les sommets créés ne pourront avoir la
classe de précision 1 (< 5 cm).
Si la projection est une Conique Conforme, une question est posée
pour savoir si le dessin est issu d’une reprojection. Si aucun dessin
n’est issu d’une reprojection (classe de précision 1 autorisée), il est
possible de désactiver l’apparition de cette fenêtre en modifiant le
fichier CovCadastre.ini comme suit (nécessite un redémarrage
d’AutoCAD) :
[RFU.Param]
RFU_Ask_Project=0
Si des objets RFU du dessin ont été modifiés (déplacement ou
modification d’attributs), ces derniers seront automatiquement pris
en compte (leur nombre est indiqué dans la fenêtre d’exportation).
Les objets RFU copiés seront ignorés. En effet, en copiant un objet
RFU, vous copiez également les données étendues (dont l’Identifiant
RFU). Le programme trouve alors deux objets ayant le même
identifiant.
Si un seul objet RFU n’a pas la dernière version, un message est
affiché et la commande s’interrompt. Un cercle de 3 mètres de rayon
est dessiné autours des sommets incriminés. Dans ce cas, il est
préférable d’effacer le calque « RFU_extraction » et de refaire un
import afin de disposer des objets RFU les plus récents.
La boite de dialogue ci-contre apparaît alors :
• Dossier :
Il est impératif d’indiquer une référence de dossier RFU que
vous aurez préalablement créé sur le portail GéoFoncier.
Vous pouvez également indiquer un commentaire pour la
modification en cours. Un contrôle de la validité de la
référence est effectué quand on quitte la zone d’édition.
284 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Export objets RFU-GéoFoncier
• Etiquettes et listing :
Ce groupe est identique à ce qui est décrit à l’étape 5 de l’assistant d’export GML.
• Le bouton est décrit au paragraphe traitant de l’export GML. Il permet d’associer un symbole à une
nature de sommet. S’il y a, parmi les nouveaux sommets RFU sélectionnés, un symbole non attribué à une nature, c’est la
nature par défaut qui sera attribuée au sommet. Les natures conseillées par le portail GéoFoncier pour la zone géographique
actuelle sont ajoutées à la liste des types COVADIS lors de l’importation des objets RFU.
Le bouton « OK » lance la mise à jour. S’il n’y a pas de modification à transmettre, un message est affiché. En cas de modifications,
le rechargement est automatiquement lancé, ce qui permet de vérifier le résultat de la mise à jour.
REMARQUES :
Les données RFU étant enregistrées en données étendues sur les objets, les limites RFU ne peuvent pas être composées de
plus de 350 points après discrétisation.
Le numéro de version des objets RFU est géré par le portail GéoFoncier afin que deux utilisateurs ne mettent à jour un même
objet RFU.
Le RFU a une tolérance de 1 cm sur la position. Donc si un sommet est à moins de 1 cm d’une limite, il sera considéré comme
étant sur la limite.
Le RFU étant topologique, la commande d’exportation gère automatiquement la coupure des limites anciennes par un nouveau
sommet ou une nouvelle limite (suppression de l’ancienne limite et création de deux nouvelles limites).
285 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Export objets RFU-GéoFoncier
Exemples de topologie :
286 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Déconnexion du portail GéoFoncier / Assistant
Le bouton permet de
passer à la première étape.
287 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Assistant
Le bouton ouvre la
fenêtre ci-contre qui affiche les types de
points prédéfinis auxquels il est possible
d’associer un bloc.
288 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Etape 1
Le message ci-contre apparait quand une étape n’est pas correctement paramétrée.
Typiquement, c’est le cas lorsque le numéro du géomètre n’est pas renseigné ou s’il
comporte plus de cinq caractères.
289 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Etapes 2 et 3
Le bouton tente de faire le changement de projection et revient à l’étape 2 en affichant un message s’il y a un problème.
Cela peut arriver si les zones de projection ne correspondent pas.
290 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Etape 4
Le bouton
permet de relancer le test si vous
avez modifié la tolérance.
Le bouton
dessine un cercle sur les sommets
proches et sort de l’assistant pour
vous permettre de corriger les
problèmes.
291 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Etape 5
A, 311054.11, 279856.64
B, 311052.07, 279850.31
C, 311067.56, 279840.77
D, 311056.28, 279827.79
E, 311074.40, 279848.64
F, 311087.49, 279840.39
G, 311085.75, 279837.63
H, 311086.91, 279836.91
292 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ Déconnexion du portail GéoFoncier
Ci-après, un exemple de listing des sommets avec les noms correspondant aux étiquettes placées sur le plan.
A, 311054.11, 279856.64
B, 311052.07, 279850.31
C, 311067.56, 279840.77
D, 311056.28, 279827.79
E, 311074.40, 279848.64
F, 311087.49, 279840.39
G, 311085.75, 279837.63
H, 311086.91, 279836.91
Le fichier GML de la dernière étape peut s’ouvrir avec un éditeur de texte mais il est préférable de l’ouvrir avec un éditeur de fichiers
XML pour plus de lisibilité. L’image suivante est obtenue avec le logiciel XML Notepad.
Il y a dans ce fichier deux types d’objets : les rfu_sommets (attributs des sommets) et les rfu_limites (coordonnées géographiques
des sommets en RGF 93).
293 COVADIS 2D
RÉFÉRENTIEL FONCIER UNIFIÉ
294 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR
295 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR
296 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Généralités
XII.1. GÉNÉRALITÉS
Le module LEVE D’INTERIEUR de COVADIS 2D propose des fonctions dédiées à la mise en place de
plans d’intérieur.
Les différentes commandes sont regroupées dans un sous-menu comme le montre l’image ci-contre :
297 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Calcul de la ligne moyenne
Cette fonction a pour but de calculer la ligne moyenne à partir d’un semis de points. Exemple type : lorsqu’un mur a été levé à l’aide
de plusieurs points (ouvertures de portes et fenêtres, etc.) au tachéomètre, les points obtenus ne sont en général pas parfaitement
alignés. La fonction décrite ici permet de déduire la ligne « idéale » à partir des points levés.
Sélectionnez les points topographiques
(symboles) ou les points AutoCAD® à
prendre en compte. La boîte de dialogue
ci-contre apparaît alors.
• Zone d’affichage : les points sélec-
tionnés sont référencés par leur nom
(<sans nom> pour les points
AutoCAD®) dans la zone de gauche.
L’icône qui les précède indique s’il
s’agit d’un point désactivé , de
passage ou ordinaire . Vous
pouvez changer l’état des points à
l’aide des deux cases à cocher des
colonnes Utilisé et Passage : un point
non utilisé est exclu du calcul
(point manifestement faux ou
sélectionné par erreur), tandis que la
ligne moyenne passe exactement par
les points de passage (le calcul de
ligne moyenne est alors effectué de
part et d’autre du point de passage).
La distance entre chaque point et son rabattement sur la ligne est affichée dans la colonne Écart et reflète en permanence l’écart
du point à la ligne, en rouge s’il est hors tolérance.
• « Tolérance de rabattement » : si « d’après l’écart moyen quadratique (valeur) » est coché, la tolérance est calculée automati-
quement d’après l’écart moyen quadratique1 résultant du calcul de régression linéaire. Sinon, vous pouvez imposer une tolérance
fixe pour tous les points.
• « Listing des écarts » : si coché, un résumé des points et des écarts sera listé dans le fichier indiqué plus bas.
• « Calque de création de la ligne moyenne » : spécifiez ici le nom et la couleur du calque de destination de la ligne calculée. Ce
calque sera créé s’il n’existe pas.
• « Points » : si « Déplacer les points originaux » n’est pas coché, vous pouvez
créer les points projetés sur la ligne, et/ou effacer les anciens points. Le bouton
« Paramètres » permet de spécifier le mode de création des nouveaux points et fait
apparaître la boîte de dialogue ci-contre.
« Type de point à créer » : « Point AutoCAD » pour créer des entités POINT
dans AutoCAD®, « Point topographique » pour insérer des points de type
COVADIS (insertion de bloc + attributs).
« Calque de création » : vous pouvez choisir de créer les points dans le
« Calque du point d’origine », auquel cas chaque point projeté sera dans le
même calque que le point ayant servi au calcul, ou bien paramétrer un nouveau
calque. « Vider le calque avant de créer les points » permet de détruire toutes
les entités du calque désigné (sans avertissement), avant de commencer la
création des points.
Cliquez sur « OK » pour valider vos choix. Des messages apparaîtront éventuellement pour signaler des points hors tolérance, ou un
fichier listing existant déjà : « OK » permettra alors de poursuivre le traitement, alors que « Annuler » provoquera le retour à la boîte
de dialogue.
Le programme procède à la création de la ligne moyenne, et aux modifications / créations / suppressions de points. Si vous avez
demandé la création de nouveaux points topographiques, la boîte de dialogue générale de paramétrage des points topographiques de
COVADIS apparaît pour le premier point, les points suivants conservant les paramètres indiqués. Si vous avez demandé un listing,
il est alors créé puis affiché.
1
L’EMQ est calculé par la formule , où n est le nombre de points, et e représente l’écart sur chaque point.
La tolérance utilisée est 2.7 EMQ.
298 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Calcul de points alignés
Pour reporter directement le long d’une ligne droite de base une série de cotes lues au ruban (par exemple), et compenser les
imprécisions de lecture.
Cette commande permet de mixer dans le même calcul les cotes prises en cumulé, et de créer des points pris en prolongement de la
droite de base (sans compensation toutefois). La boîte de dialogue se présente ainsi :
• Tableau des données : il comporte cinq
colonnes :
« N° » : numéro d’ordre de la mesure.
« Distance » : la cote mesurée sur le
terrain. Si elle est négative, en début
de liste, elle indique que le point est
sur le prolongement (avant le premier
point) de la droite d'alignement. Si
elle est positive, mais que sa valeur
fait que le cumul des cotes est supéri-
eur à la longueur totale de la droite
d’alignement (augmentée de la tolé-
rance sur cette longueur totale), elle
est automatiquement placée sur le
prolongement (après le dernier point)
de la droite d’alignement, ainsi que
toutes les cotes de numéro d’ordre
supérieur.
Dans ces deux cas, les colonnes
Tolérance et Compensation sont
grisées et contiennent respectivement
les valeurs / et <hors segment>.
« Cumulé » : indique, si la case est
cochée, que la cote correspondante est
cumulée par rapport à la précédente. Noter que la première mesure d’une série de cotes cumulées n’est pas en soi cumulée et
ne doit pas être cochée. Certaines impossibilités sont signalées par le programme (la première mesure ne peut être cumulée,
une cote cumulée ne peut être inférieure ni égale à la cote précédente, etc.).
« Tolérance » : elle est calculée d’après le niveau de Précision choisi (voir le paragraphe XII.16).
« Compensation » : l’éventuelle différence entre la longueur de la droite d’alignement et la somme des distances mesurées
est répartie proportionnellement sur chaque mesure. Elle apparaît en rouge si elle excède la tolérance.
• : insère une nouvelle ligne de mesure après la ligne courante.
• : efface la ligne courante.
• et : respectivement monte et descend la ligne courante d’une position.
• « Droite d’alignement » : sélection dans le dessin par deux points de la ligne de base sur laquelle seront créés et alignés les points.
La longueur de cette ligne est indiquée à droite du bouton de sélection.
• « Précision » : choix du niveau de précision pour ce calcul. Voir à ce sujet la rubrique « Tolérance » ci-dessus.
• « Écarts » : dans cette zone sont affichés la Distance cumulée, somme de toutes les distances non <hors segment> non
compensées, et l’écart par rapport à la longueur de la droite d’alignement.
• « Listing des écarts » : si coché, un résumé des points et des compensations sera listé dans le fichier indiqué plus bas.
• « Points » : les points seront créés si la case « Créer les points » est cochée. Pour paramétrer la création, référez-vous au
paramétrage similaire décrit au paragraphe précédent (sans la case à cocher « Calque du point d’origine »). Vous pouvez
décocher la case « Compenser les distances avant création » si vous désirez créer les points correspondant exactement à vos
mesures. Dans le cas contraire, les distances seront compensées avant toute création de points.
• Cliquez sur « OK » pour valider vos choix. Des messages apparaîtront éventuellement pour signaler des mesures hors tolérance,
ou un fichier listing existant déjà : « OK » permettra alors de poursuivre le traitement, alors que « Annuler » provoquera le retour
à la boîte de dialogue.
Le programme procède à la création des points. La boîte de dialogue générale de paramétrage des points topographiques de
COVADIS apparaît pour le premier point, les points suivants conservant les paramètres indiqués. Si vous avez demandé un listing,
il est alors créé puis affiché.
299 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ligne 2 points + 2 distances
Cette commande du menu Levé d’intérieur de COVADIS 2D permet de construire une ligne quasiment parallèle à un segment
existant en donnant deux valeurs de déport. Les paramètres de la construction sont saisis en ligne de commande.
REMARQUE :
Même si le segment droit de référence est en 3D (Polyligne 3D ou Ligne avec des sommets d’altitudes différentes), la ligne
construite demeure en 2D. Les valeurs d1 et d2 des déports sont également en 2D.
Le programme boucle sur la sélection d’objets seuils jusqu’à ce que vous frappiez la
touche <Entrée> ou <Echap>.
d2
d1
2
1
300 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Polyligne à angles droits
Cette commande du menu Levé d’intérieur de COVADIS 2D permet de construire une polyligne avec des segments formant un
angle droit.
2- Il affiche alors en surbrillance le dit segment et numérote ses deux extrémités pour
les différencier.
Point de départ de la construction ou [1/2] <1> :
d1
Indiquer le premier ou le second point (ici 2) ou tout autre point du segment.
REMARQUE :
Les options Perp et Clore n’ont de sens qu’à partir du deuxième segment construit.
301 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustement de polygone
Cette fonction est une aide à la construction de pièces. La géométrie d’une figure est calculée par la méthode des moindres carrés et
vise à minimiser les déformations dues aux cotes imprécises. C’est un outil d’ajustement, ce qui signifie que les éléments
géométriques de départ doivent être aussi proches que possible de la réalité pour que les calculs aient une chance d’aboutir à un
résultat correct.
Principe : à partir d’une géométrie de base sélectionnée dans le dessin, de cotes saisies par l’utilisateur, et de poids affectés à ces
cotes, le programme effectue une compensation en bloc pour trouver la nouvelle géométrie la plus adaptée. Les cotes non saisies
par l’utilisateur (qu’il n’a pas pu mesurer sur le terrain par exemple), appelées cotes par défaut, entrent, avec un poids faible, dans
le calcul global pour maintenir la géométrie de l’ensemble et donc éviter des déformations trop importantes.
La fonction demande en premier lieu de sélectionner la polyligne schéma, qui représente l’enveloppe extérieure de la pièce. C’est
elle qui sera modifiée à l’issue de la fonction. Puis vous pouvez spécifier des lignes de cotation secondaires (diagonales).
La boîte de dialogue ci-contre apparaît :
• Le schéma : il représente les éléments
sélectionnés dans le dessin. Les
couleurs utilisées sont paramétrables
dans l’encadré Légende des
couleurs de la boîte de dialogue, voir
ci-dessous pour une explication des
différents termes utilisés. Au départ,
tous les segments sont cotés par
défaut (longueur du segment dans
AutoCAD®). Vous pouvez ensuite
éditer chaque segment et modifier sa
longueur et/ou son poids.
La zone de schéma réagit aux
déplacements et aux clics droits et
gauches de la souris. Pour obtenir
des informations sur les données
d’un segment, placez le curseur
de la souris sur ce segment, de
manière à ce que ce curseur se
transforme en (segment en
pointillés rouges) : une info-bulle
affiche alors les données de
longueur, poids, tolérance et écart. Si plusieurs segments se trouvent sous le curseur, l’info bulle affiche les données de
chaque segment, avec une * pour celui qui sera édité si vous cliquez (en rouge pointillé, les autres en bleu pointillé).
Clic gauche : pour éditer le segment en pointillés sous le curseur, cliquez avec le bouton de gauche
de la souris. La petite boîte de dialogue ci-contre s’ouvre alors et vous pouvez modifier la cote et/ou
le poids du segment. Choisissez « OK » pour valider vos modifications.
Clic droit : le bouton droit de la souris fait apparaître un menu déroulant permettant d’Éditer la cote
(équivalent clic gauche) ou de jouer sur le caractère fixé (saisi) ou non fixé (par défaut) de la cote
sélectionnée ou de tous les segments. On retrouve l’équivalent des boutons
« Ajuste » et « Annule » de la boîte de dialogue.
Nota : le curseur normal circulaire indique la zone de sensibilité de la souris. Son rayon dépend de
la variable système d’AutoCAD® PICKBOX : si vous avez des problèmes pour sélectionner les
segments, augmentez la valeur de cette variable.
• « Précision » : choix du niveau de précision pour ce calcul (voir le paragraphe XII.16).
• « Ajuste » : effectue le calcul d’ajustement après une modification de l’utilisateur.
• « Annule (action à annuler) » : annule la dernière action indiquée entre parenthèses.
• « Listing des écarts » : si cette case est cochée, un résumé des points et des compensations sera listé dans le fichier indiqué plus
bas.
302 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
• « Légende des couleurs » : vous pouvez modifier ici les couleurs utilisées dans la zone schéma. Différents éléments sont ainsi
paramétrables :
« Segment principal » : côté de la polyligne schéma sélectionnée dans le dessin.
« Segment secondaire » : ligne de cotation secondaire (diagonale) sélectionnée dans le dessin.
« Cote par défaut » : longueur du segment telle qu’elle provient du dessin, sans modification de la part de l’utilisateur.
« Cote juste » : la longueur de ce segment correspond à la cote saisie, c’est-à-dire que l’écart éventuel entre la cote entrée et
la longueur calculée par le programme n’affecte pas l’affichage (nombre de décimales d’affichage). Par exemple, si les
distances sont affichées en millimètres (3 décimales), la cote sera considérée comme juste si elle est dans la tolérance et que
l’écart est inférieur ou égal à 1 millimètre.
« Cote hors tolérance » : compte tenu du niveau de précision sélectionné pour le calcul, l’écart entre cote calculée et cote
saisie est supérieur à la tolérance.
« Cote dans la tolérance » : l’écart entre cote calculée et cote saisie respecte la tolérance mais est supérieur à la précision
d’affichage (cf. « Cote juste »).
Cette commande du menu Levé d’intérieur de COVADIS 2D permet de saisir, contrôler et ajuster un levé de plusieurs pièces.
La méthode générale consiste, dans un premier temps, à saisir les cotes dans un croquis, puis à définir des contraintes (murs et axes
d’ouvertures). Il est ensuite possible de contrôler les chaînes de cotes de chaque côté des murs et de lancer un ajustement des cotes.
Finalement, le bouton <Dessiner> met à jour le croquis avec les cotes ajustées.
Un dessin ne doit comporter que les éléments (cotes et points) relatifs à un calcul. Ainsi, vous devrez avoir autant de dessins que
d’étages à calculer. Comme dans la commande d’ajustement d’une pièce, il faut ressaisir les cotes si vous fermez et rouvrez un
dessin.
303 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
REMARQUE :
Le nombre de décimales des cotes est donné par le paramétrage des longueurs de la commande DDUNITS d’AutoCAD®.
• « Calque » : Saisissez ici le nom du calque de dessin des polylignes matérialisant les cotes. Le bouton ouvre la boîte de
dialogue de sélection du calque.
• « Couleur » : Sélectionnez dans cette liste déroulante la couleur de création du calque. Si le calque existe déjà sa couleur ne sera
pas modifiée.
• « Calque courant » : Cochez cette case pour dessiner les cotes dans le calque courant.
• « Nouvelle » : Ce bouton bascule dans le dessin pour la création d’une nouvelle cote partielle ou cumulée en fonction du type de
cote actuellement sélectionné.
Dans le cas d’une cote partielle, le programme demande de cliquer deux points et demande la valeur mesurée entre les deux
points. La distance entre les deux points est proposée par défaut. Une polyligne à deux sommets est dessinée.
Dans le cas d’une cote cumulée, le programme demande en plus de saisir les distances intermédiaires. Vous pouvez saisir ces
dernières dans le désordre car le programme les remettra dans l’ordre. Une polyligne à plusieurs sommets est dessinée.
• « Sélectionner » : Permet de sélectionner des polylignes dans le dessin et de créer des cotes partielles entre chaque sommet
consécutif.
Il est donc possible de dessiner le croquis avant de lancer la commande et d’utiliser ce bouton pour créer les cotes.
2. Les textes de cotes
Les textes de cotes sont parallèles et au milieu de la ligne pour les cotes partielles et perpendiculaires au droit du point à coter pour
les cotes cumulées.
• « Écrire un texte » : cochez cette case si un texte doit être écrit à côté de la polyligne matérialisant la cote.
• « Choisir la position » : demandera de quel côté de la polyligne doivent être placés les textes de cotes.
• « Au-dessus » : les textes de cotes seront placés au-dessus de la polyligne.
• « Au-dessous » : les textes de cotes seront placés au-dessous de la polyligne.
• « Style » : Saisissez ou sélectionnez le style de texte avec le bouton .
• « Hauteur » : Saisissez ou sélectionnez la hauteur de texte avec le bouton . La valeur indiquée dépend de l’échelle du dessin.
REMARQUES :
Les modifications du paramétrage ne sont sauvegardées que si le bouton < Dessiner> est utilisé.
Vous pouvez modifier une cote mal saisie en éditant le texte de cote dans le dessin ou en double cliquant sur la valeur
correspondante dans l’onglet « Résultat ».
Pour effacer une cote, effacez simplement la polyligne correspondante dans le dessin. Effacer le texte n’est pas suffisant.
Le programme vérifie l’existence et la position des cotes et points déjà saisis à chaque lancement de la commande.
304 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
REMARQUES :
Si vous sélectionnez une ligne dans le tableau des murs, le programme met en surbrillance le mur correspondant en affectant
la couleur bleue à un côté du mur et la couleur rouge à l’autre côté.
Si les cotes n’apparaissent pas de la même couleur alors qu’elles sont du même côté du mur, il convient de supprimer cette
définition de mur, de modifier les polylignes matérialisant les cotes de façon à les aligner davantage et finalement redéfinir
le mur.
305 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
Ep
1
Exemple de mur fixe (points et cotes) Exemple de mur passant par un point (orientation ajustée)
2 2
Ep
1
1 1
Ep
1
Les éléments graphiques représentés plus épais font partie du mur dans ces illustrations.
306 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
Extrait de listing :
307 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
XII.7.4. L’ajustement
Le bouton <Ajuster> tente de faire un calcul par les moindres carrés.
Si le nombre d’équations n’est pas suffisant (pas assez de cotes ou de contraintes), le message ci-
contre est affiché. Entre parenthèses figurent le nombre d’équations suivi du nombre d’inconnues
(coordonnées des nœuds mobiles). Il faut au moins une équation de plus que d’inconnues.
Si le calcul est possible, COVADIS demande de
saisir un nom de listing et crée le fichier. Une
confirmation de l’écrasement est demandée au
besoin.
Suite à l’ajustement, le tableau des résultats est mis
à jour avec les cotes calculées, les écarts entre les
cotes mesurées et calculées. L’ajustement à pour
but de minimiser la somme des carrés de ces écarts
(principe des moindres carrés).
REMARQUES :
Si aucun point topographique ne sert comme point fixe lors de l’ajustement, le programme considèrera la plus grande cote
comme fixe et les nœuds qui la définissent seront invariants.
Vous pouvez modifier une cote mesurée directement dans le tableau résultat.
Vous pouvez pondérer différemment les cotes pour leur donner plus ou moins d’importance les unes par rapport aux autres.
308 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Ajustements multiples
XII.7.5. Le dessin
Le bouton <Dessiner> redessine les cotes compensées ainsi que les rectangles enveloppes de chaque mur.
REMARQUE :
Si vous fermez la fenêtre juste après l’ajustement (sans mettre à jour le dessin), il vous faudra redemander l’ajustement avant de
dessiner car la position des nœuds aura été récupérée des sommets des polylignes matérialisant les cotes.
309 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Création d’axes / Percement des murs
Cette fonction permet de créer l’axe (médiatrice) de deux points. Elle sert notamment à
créer les axes des fenêtres par lesquelles passeront les futures coupes d’un bâtiment.
Dans la boîte de dialogue ci-contre, choisissez simplement la « Longueur de l’axe », en
mètres terrain, le « Calque de création » des axes et la « Couleur » de ce calque. Puis
appuyez sur « OK » pour commencer la création des axes.
Le programme demande alors des séries de deux points (positions cliquées dans le
dessin). Appuyez sur <Entrée> ou <Echap> pour sortir de la fonction.
Utilisez cette fonction pour ouvrir des passages dans des murs.
La boîte de dialogue de percement des murs s’ouvre :
• « Rayon rech. autre côté du mur » : lorsque l’utilisateur sélectionne l’un des côtés
du mur à percer, le programme tente de déterminer l’autre côté automatiquement. La
valeur saisie ici permet de limiter la zone recherche de l’autre côté du mur, et doit
correspondre à l’épaisseur maximale des murs que vous traitez. Si elle est trop faible,
la recherche automatique ne fonctionnera pas. Si au contraire elle est trop forte, vous
risquez d’allonger inutilement les temps de traitement. Une valeur de 1.00 m à 1.50
m devrait convenir dans la majorité des cas.
• « Création du seuil (ou embrasure) » : le programme perce le mur en retirant, en
principe, les segments correspondant à l’ouverture. Cochez cette case si vous voulez que ces segments soient recréés dans le
calque spécifié et représentent les seuils de l’ouverture.
Appuyez sur « OK » pour valider vos choix et commencer les percements de murs.
Le reste de la procédure se déroule en trois étapes, sur la ligne de commandes d’AutoCAD ® (appuyez sur <Echap> pour sortir de
la fonction) :
1. Le programme demande d’abord le premier point de l’ouverture :
Sélectionnez un côté du mur à percer (premier point de l'ouverture) :
Il doit se trouver sur l’un des côtés du mur (pour les murs, les entités de type ligne, arc, polyligne 2D, 3D ou allégée, polyligne
lissée avec l’option « L » sont acceptées).
2. Si le programme a trouvé une entité pouvant correspondre à l’autre côté du mur, il propose ce choix :
Sélectionnez l'autre côté du mur (<Entrée> pour accepter le mur trouvé) :
et vous pouvez presser <Entrée> pour accepter cette valeur. Si rien n’est proposé :
Sélectionnez l'autre côté du mur :
ou si la proposition n’est pas correcte, vous devrez sélectionner manuellement l’autre côté.
3. Indiquez alors le second point de l’ouverture :
Sélectionnez le second point :
celui-ci devant se trouver sur la même entité que le premier.
Le percement s’effectue et le programme boucle sur l’étape 1 (appuyez sur <Echap> pour sortir de la fonction).
REMARQUES :
Cette fonction est utilisée en sous-main par d’autres fonctions du module (création des portes, etc.) ; c’est pourquoi les
messages cités ci-dessus peuvent différer suivant le contexte.
Une fois la fonction terminée, l’annulation, dans AutoCAD®, se fait percement par percement (et non pas sur l’ensemble des
percements).
310 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Nettoyage des intersections
Permet la création des intersections et jonctions de murs, l’ajustement des murs entre eux. En autorisant l’établissement de priorités
entre des calques ou groupes de calques, il est possible de gérer des types différents d’intersections, du genre :
mur/mur, priorités identiques, les intersections sont évidées.
mur/cloison, priorités différentes.
Le programme offre d’affecter
à tout calque l’une des priorités
suivantes :
: aucune priorité : les enti-
tés des calques de ce type ne
seront pas pris en compte lors
de la sélection.
: priorité la plus faible (par
exemple séparations légères).
: priorité moyenne (par
exemple pour les cloisons
classiques).
: priorité la plus forte (par
exemple pour les gros murs,
murs porteurs, etc.).
Le programme demande ensuite, de manière répétitive, de sélectionner la zone encadrant l’intersection que vous voulez nettoyer.
Les nombres d’entités à traiter, puis d’entités modifiées s’affichent à la fin de l’opération. Vous pouvez répondre par « U » au
message de sélection du premier point pour annuler l’opération précédente.
311 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Dessin des portes
Cette fonction permet de créer des portes dans le dessin, et de gérer une bibliothèque de modèles de portes réutilisables.
La boîte de dialogue se présente comme indiqué ci-dessous :
Elle comporte à gauche un aperçu, et sur la droite l’accès aux données des modèles de portes.
• Aperçu : offre la visualisation permanente du modèle de porte en cours (l’échelle n’est pas significative). Certaines zones sont
sensitives et permettent de modifier les caractéristiques de la porte directement à l’aide de la souris : l’angle d’ouverture et
l’emplacement des gonds (sens d’ouverture) sont dans ce cas. En ce qui concerne les autres éléments, il suffit en général de
double-cliquer sur la zone pour activer directement l’édition de la valeur associée. Une info-bulle, associée à chaque élément,
affiche les caractéristiques de cet élément. La flèche dessinée dans l’aperçu indique le premier point que vous devrez cliquer
après avoir quitté cette boîte de dialogue.
• « Modèle » : permet de choisir le modèle de porte à modifier ou à construire. Sur ce sujet, voir le paragraphe GESTION DES
MODELES DE PORTES ET FENETRES.
• « Ouverture » : dans ce cadre se trouvent les paramètres de création de l’ouverture.
« Sens » : vous pouvez modifier le nombre de battants de la porte (de zéro pour une ouverture libre à deux au maximum) et
leur sens d’ouverture, ainsi que l’emplacement des gonds.
« Angle » : de 90° à –90°, par pas de 30°.
« Calque » et « Couleur » du calque : le battant et l’arc d’ouverture seront créés dans ce calque.
• « Bâti » :
« Visible à cette échelle » : le bâti n’est en général pas dessiné au-delà des échelles 1/50 ou 1/100. Retirez la coche de cette
case si vous ne voulez pas dessiner de bâti.
« Matériau » : bâti en bois, métal, etc. Vous pouvez dessiner un hachurage par bâti en cochant la case à droite, et en
sélectionnant le motif au moyen du bouton Hachures…
« Dimensions » : l’épaisseur (dimension dans le sens de l’épaisseur du mur) et la largeur (dimension parallèle à l’ouverture).
« Calque » et « Couleur » du calque : calque de création du bâti.
312 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Dessin des portes
• « Par rapport au mur » : décrit la manière dont la porte est positionnée par rapport au mur :
Le « Retrait » indique le décalage du bâti (s’il est visible) ou de l’ouverture de la porte par rapport au premier côté du mur
que vous sélectionnerez : la porte sera créée parallèlement au mur, décalée de la valeur de Retrait perpendiculairement à ce
même mur. Le retrait est appliqué même si aucun mur n’est détecté sous les points choisis.
Le bouton « Percement mur… » fait apparaître la boîte de dialogue des paramètres de Percement du mur (voir le paragraphe
correspondant). Le programme utilise ces paramètres pour détecter automatiquement s’il existe un mur à percer sous la porte
que vous êtes en train de créer.
• « Unités pour l’affichage » : permet de changer l’unité d’affichage de l’angle d’ouverture (degrés, grades) et des champs
dimensionnels (mètres, centimètres ou millimètres).
Choisissez « OK » pour valider vos choix (le modèle de porte courant est modifié) et commencer la création de la porte dans le dessin.
La création s’effectue et le programme boucle sur l’étape 1 (appuyez sur <Echap> pour sortir de la fonction).
313 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Dessin des fenêtres
Cette fonction permet de créer des fenêtres dans le dessin, et de gérer une bibliothèque de modèles de fenêtres réutilisables. Son
fonctionnement est très proche de celui du dessin des portes vu précédemment.
La boîte de dialogue se présente comme indiqué ci-dessous :
Elle comporte à gauche un aperçu, et sur la droite l’accès aux données des modèles de fenêtres.
• Aperçu : offre la visualisation permanente du modèle de fenêtre en cours (l’échelle n’est pas significative). Certaines zones sont
sensitives et permettent de modifier les caractéristiques de la fenêtre directement à l’aide de la souris : l’angle d’ouverture et
l’emplacement des gonds (sens d’ouverture) sont dans ce cas. En ce qui concerne les autres éléments, il suffit en général de
double-cliquer sur la zone pour activer directement l’édition de la valeur associée. Une info-bulle, associée à chaque élément,
affiche les caractéristiques de cet élément. La flèche dessinée dans l’aperçu indique le premier point que vous devrez cliquer
après avoir quitté cette boîte de dialogue.
• « Modèle » : permet de choisir le modèle de fenêtre à modifier ou à construire. Sur ce sujet, voir le paragraphe GESTION DES
MODELES DE PORTES ET FENETRES.
• « Ouverture » : dans ce cadre se trouvent les paramètres de création de l’ouverture.
« Sens » : vous pouvez modifier le nombre de battants de la fenêtre (de zéro pour une ouverture libre à deux au maximum)
et leur sens d’ouverture, ainsi que l’emplacement des gonds.
« Angle » : de 90° à –90°, par pas de 30°.
« Calque » et « Couleur » du calque : le battant et l’arc d’ouverture seront créés dans ce calque.
• « Bâti » :
« Visible à cette échelle » : le bâti n’est en général pas dessiné au-delà des échelles 1/50 ou 1/100. Retirez la coche de cette
case si vous ne voulez pas dessiner de bâti.
« Matériau » : bâti en bois, métal, etc. Vous pouvez dessiner un hachurage par bâti en cochant la case à droite, et en
sélectionnant le motif au moyen du bouton Hachures…
« Dimensions » : l’épaisseur (dimension dans le sens de l’épaisseur du mur) et la largeur (dimension parallèle à l’ouverture).
« Calque » et « Couleur » du calque : calque de création du bâti.
314 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Dessin des fenêtres
• « Par rapport au mur » : décrit la manière dont la fenêtre est positionnée par rapport au mur :
Le « Retrait » indique le décalage du bâti (s’il est visible) ou de l’ouverture de la fenêtre par rapport au premier côté du mur
que vous sélectionnerez : la fenêtre sera créée parallèlement au mur, décalée de la valeur de Retrait perpendiculairement à ce
même mur. Le retrait est appliqué même si aucun mur n’est détecté sous les points choisis.
Le bouton « Percement mur… » fait apparaître la boîte de dialogue des paramètres de Percement du mur (voir le paragraphe
correspondant). Le programme utilise ces paramètres pour détecter automatiquement s’il existe un mur à percer sous la fenêtre
que vous êtes en train de créer.
• « Unités pour l’affichage » : permet de changer l’unité d’affichage de l’angle d’ouverture (degrés, grades) et des champs
dimensionnels (mètres, centimètres ou millimètres).
Choisissez « OK » pour valider vos choix (le modèle de fenêtre courant est modifié) et commencer la création de la fenêtre dans le
dessin.
La création s’effectue et le programme boucle sur l’étape 1 (appuyez sur <Echap> pour sortir de la fonction).
315 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Dessin des fenêtres
316 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Contours, surfaces et centroïdes
XII.14.1. Centroïdes
Les plans d’intérieur comportent généralement des indications de surfaces de pièces et de lots, de hauteurs sous plafond, de
désignation de pièces, etc. Les centroïdes sont utilisés pour stocker ces données, en permettre l’affichage dans le dessin, et réaliser
des listings de pièces ou de lots.
Un centroïde est un bloc AutoCAD® avec attributs. Si un exemple de centroïde est fourni avec le module de levé d’intérieur, vous
pouvez définir autant de centroïdes que vous le désirez, de votre propre conception. Le programme gère (au plus) six champs
prédéfinis sur les centroïdes (un centroïde peut comporter n’importe quel nombre d’attributs). Les six valeurs prises en compte par
le programme sont : un numéro, une surface, un texte (désignation de pièce par exemple), une hauteur sous plafond, une hauteur
sous faux plafond, et une hauteur plancher.
317 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Contours, surfaces et centroïdes
La fonction boucle sur elle-même, appuyez sur <Entrée> ou <Echap> pour en sortir.
318 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Contours, surfaces et centroïdes
XII.14.4. Contours
Les centroïdes représentent des objets surfaciques
(pièces, lots). Cette fonction permet, en constituant une
surface, de placer et valoriser le centroïde qui en décrira
les caractéristiques.
• « Centroïde à insérer » : il s’agit de choisir le bloc
centroïde que vous allez insérer dans le dessin. Ne
sont présents dans la liste que les blocs centroïdes
déjà définis en tant que tels. Pour paramétrer un
nouveau bloc centroïde, appuyez sur le bouton
« … » (cf. Gestion des Centroïdes). Notez que si
vous appelez cette fonction alors que le dessin ne
contient aucun centroïde défini, la boîte de dialogue
de Gestion des centroïdes apparaît
automatiquement.
• « Recherche du contour » :
« Dans le(s) calque(s) » : indiquez ici les
calques contenant les entités prises en compte
dans la recherche de contour (attention : les
calques gelés ou désactivés seront aussi pris en
compte).
« Dans le(s) thème(s) » : puisque vous pouvez gérer les calques au moyen de thèmes COVADIS, vous avez la possibilité de
spécifier ici, en lieu et place des calques, les thèmes choisis (par exemple thème « Carrez », etc.). Appuyez sur le bouton
« Thèmes… » pour accéder à la boîte de dialogue de sélection des thèmes.
« Tolérance de confusion des points » : si les entités de votre dessin ne sont pas parfaitement ajustées (extrémités), la
recherche de contour ne fonctionnera pas, à moins de spécifier ici la distance de proximité en dessous de laquelle deux points
sont considérés comme égaux, et donc deux extrémités de lignes jointes. Veillez à conserver une valeur raisonnablement
faible dans ce champ. Dans le cas contraire, vous risqueriez de provoquer la « fusion », par exemple, des deux côtés d’un
même mur.
« Création du contour » : si vous désirez conserver une trace (polyligne) du contour trouvé. Spécifiez le calque de destination.
« Création du coloriage » : si vous voulez générer un coloriage dans le contour reconstitué. Spécifiez le calque de destination.
La couleur indiquée dans cette boîte de dialogue n’est pas la couleur du coloriage (gérée dans la boîte de dialogue Edition
des Centroïdes) mais la couleur du calque des coloriages.
Au message ‘Choisissez un point intérieur’, cliquez à l’intérieur du contour que vous voulez reconstituer. Si la recherche
aboutit, un centroïde est créé, et la boîte de dialogue Edition des Centroïdes est affichée. Si la recherche est infructueuse (message
d’erreur), essayez une autre position pour le point intérieur ; si vous n’arrivez toujours pas à obtenir de contour, il faut probablement
relancer la fonction, en ayant soin d’augmenter le champ « Tolérance de confusion des points » de la boîte de dialogue.
REMARQUE :
Le point d’insertion du centroïde sera le point que vous avez cliqué dans le dessin, c’est-à-dire qu’aucun calcul du centre du
contour n’est effectué. Ceci vous laisse toute liberté pour positionner vos centroïdes.
319 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Contours, surfaces et centroïdes
Appuyez sur « OK » pour sélectionner le fichier listing, puis créer le listing proprement dit.
Suivant la configuration générale de COVADIS, le fichier produit sera au format texte ou RTF (Word), et sera ouvert
automatiquement une fois le listing terminé si l’option correspondante a été sélectionnée.
320 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Cotation linéaire
Cette fonction permet de coter de façon associative ou non des objets linéaires, sans utiliser les fonctions de cotation associative
d’AutoCAD®, mais en dessinant automatiquement des textes paramétrables le long des segments choisis.
La configuration de la cotation se fait à l’aide d’une boîte de
dialogue, celle-ci étant divisée en six groupes de paramètres.
(cf. § I.3.4.2 du manuel COVADIS 2D pour les options relatives
aux cotations linéaires et angulaires du levé d’intérieur.)
1. Type de cotation
Quatre types de cotation vous sont proposés :
« Entre 2 points » : permet d’effectuer une cotation de
distance, de gisement et/ou de pente entre deux points
quelconques. La ligne de cotation (entre les deux points)
peut également être créée.
« Segments » : permet de coter la longueur, le gisement et
la pente des segments de lignes, d’arcs ou de polylignes
indiqués.
« Polylignes » : permet de coter l’ensemble des segments
d’une polyligne et d’inscrire les distances entre sommets,
les gisements des segments droits, les pentes des segments
droits, ainsi que les angles entre les segments droits
consécutifs. Cette option peut toutefois être aussi utilisée
pour coter des lignes ou des arcs.
« polyGone » : permet d’effectuer les mêmes cotations que
pour une polyligne, mais en cliquant à l’intérieur d’une zone
délimitée par des lignes, arcs, cercles et polylignes, le
polygone étant automatiquement calculé à partir de ces
objets et du point interne.
2. Options
« Cotation Associative » : si cette case est cochée, les textes de cotation seront associatifs, ce qui signifie que si l’objet coté est
modifié (déplacé, tourné, étiré, …) le texte de cotation sera automatiquement mis à jour pour suivre l’élément coté ou pour
afficher la nouvelle longueur du segment.
REMARQUE :
L’associativité n’est activée que pour les cotations de segments et de polylignes et à condition que seules les distances
(longueurs de segments) soient demandées.
« Dessiner ligne de cotation » : cette option n’est disponible que pour la cotation entre deux points. Si elle est cochée, une ligne
sera automatiquement dessinée entre les deux points ayant servi à la cotation.
« Tiret de chaque côté » : cochez cette case si le texte de cotation doit être encadré par deux tirets. Par exemple -12.32 m- au lieu
de 12.32 m.
« Tenir compte de l’altitude » : si cette case est cochée, les altitudes des sommets des entités cotées seront prises en compte pour
le calcul des distances (longueur de segment) et des pentes, à condition que l’option « Polylignes » soit sélectionnée.
3. Données
Ce groupe de paramètres vous permet de sélectionner les données à prendre en compte pour la cotation :
« Distance » : cochez cette case pour que la distance entre les deux extrémités d’un segment coté soit inscrite le long de ce
segment. Vous pouvez en plus spécifier le nombre de décimales pour la cote ainsi que le suffixe pour l’unité (par exemple).
« Gisement » : cochez cette case pour inscrire le gisement des segments droits cotés. Le nombre de décimales ainsi que le suffixe
pour l’unité peuvent également être paramétrés.
« Pente » : si cette case est cochée, la pente des segments droits sera indiquée le long de ces segments. L’information dessinée
ne sera intéressante que si l’objet est en 3D (ligne ou polyligne 3D).
« Angle » : cochez cette case pour coter les angles des segments consécutifs sur les polylignes ou les polygones. Les cotations
angulaires sont effectuées à l’aide d’un style de cotation AutoCAD ® et des entités correspondantes. Le nombre de décimales et
l’unité pour les angles peuvent aussi être paramétrés grâce aux listes jaillissantes.
321 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Cotation linéaire
4. Texte de cotation
Ce groupe de paramètres vous permet de définir les caractéristiques des textes de cotation ainsi que leur positionnement par rapport
aux segments cotés.
• « Style » : indiquez le style de texte à utiliser pour les textes de cotation en le sélectionnant dans la liste jaillissante ou en le
choisissant grâce au dialogue de sélection des styles (cf. § I.8.4 du manuel COVADIS 2D) après avoir cliqué sur le bouton .
• « Hauteur » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur pour les textes de cotation. Le bouton vous permet de cliquer deux
points dans le dessin pour définir la hauteur des textes.
• « Décalage » : cette zone d’édition vous permet de spécifier la valeur du décalage entre les segments cotés et les textes de
cotation. La valeur peut aussi être indiquée graphiquement après avoir cliqué le bouton .
• « Format » : il s’agit d’une zone d’édition permettant d’effectuer un formatage étendu pour l’écriture des distances.
Vous pouvez ainsi indiquer un préfixe et/ou un suffixe ainsi que le nombre de décimales pour le texte de cotation.
La chaîne spécifiée doit être de la forme <préfixe>$(VAL,<décimales>)<suffixe>, soit par exemple : L = $(VAL, 3) m.
Lorsque cette zone est non vide, le suffixe pour les distances (voir le groupe de paramètres précédent) est désactivé.
• « Position » : il s’agit de la position des textes de cotation par rapport aux segments cotés. Différentes valeurs
vous sont proposées comme le montre l’image ci-contre.
« Manuelle » : la position des textes de cotes vous sera demandée pour chaque segment coté. Vous
devrez alors cliquer du côté d’écriture des textes.
« Au-dessus » : les textes seront automatiquement positionnés au-dessus des segments par rapport au système de coordonnées
générales.
« En dessous » : les textes seront automatiquement positionnés en dessous des segments par rapport au système de
coordonnées générales.
« Au milieu » : les textes des cotations de distances seront positionnés au milieu des segments cotés.
« A gauche (intérieur) » : les textes seront placés à gauche des segments en tenant compte du sens de description des objets
cotés, ou à l’intérieur pour les polylignes fermées.
« A droite (extérieur) » : les textes seront placés à droite des segments en tenant compte du sens de description des objets
cotés, ou à l’extérieur pour les polylignes fermées.
5. Calque
• « Nom » : indiquez dans la zone de saisie le nom du calque dans lequel doivent être dessinés les textes de cotation. Celui-ci peut
aussi être sélectionné dans la liste des calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton .
• « Couleur » : sélectionnez la couleur de création du calque de dessin à l’aide de cette liste jaillissante.
6. Levé d’intérieur
Ce groupe de paramètres permet de configurer les options particulières au levé d’intérieur.
« Cote < 1 m en centimètres » : cochez cette case si vous désirez que les cotes inférieures au mètre soient écrites en centimètres.
• « Echelle » : spécifiez le facteur d’échelle pour les blocs flèches dans cette zone de saisie.
« Flèche gauche » : cette case permet de valider le dessin des flèches à la gauche des cotations. Vous pouvez choisir le nom du
symbole dans la liste jaillissante ou le sélectionner en cliquant sur le bouton .
« Flèche droite » : cette case permet de valider le dessin des flèches à la droite des cotations. Même utilisation que pour l’option
précédente.
322 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR Gestion des niveaux de précision
Les niveaux de précision sont utilisés par les fonctions dans lesquelles interviennent des calculs et des compensations sur les mesures
issues du terrain.
Un niveau de précision est identifié par un nom fixé par l’utilisateur,
et contient deux éléments de calcul des tolérances : une partie fixe et
une partie proportionnelle (Précision = partie fixe + (partie
proportionnelle) / m). Ces deux valeurs sont entrées en mètres, et le
calcul de la tolérance sur une mesure est réalisé comme suit : tolérance
= partie fixe + mesure * partie proportionnelle.
REMARQUE :
Théoriquement, les valeurs entrées dans la boîte de dialogue ci-dessus sont destinées à calculer la précision d’une mesure, et la
tolérance admissible sur cette mesure s’obtient en multipliant la précision par le coefficient 2.7. Pratiquement, pour des raisons
de simplification, et parce que le module de levé d’intérieur n’utilise que les tolérances, les parties fixe et proportionnelle saisies
par l’utilisateur dans cette boîte de dialogue doivent inclure ce coefficient. Exemple : pour un niveau de précision théorique de
0.010 m + 0.005 m/m, les valeurs saisies seront 0.027 m + 0.014 m/m.
323 COVADIS 2D
LEVÉ D’INTÉRIEUR
324 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ
XIII. COPROPRIÉTÉ
325 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ
326 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Généralités
XIII.1. GÉNÉRALITÉS
La version 15 du module de COPROPRIÉTÉ de COVADIS est une évolution de la version précédente. Le principe reste le même.
Il est possible dans un dessin AutoCAD® de définir des lots de copropriété, de calculer leurs quotes-parts de parties communes
ainsi que leurs charges spéciales. L’Etat Descriptif de Division (EDD), le tableau récapitulatif de division, le tableau des charges
ainsi que les attestations de superficies CARREZ sont générés automatiquement en utilisant les informations saisies lors de la
division en lots de la copropriété. Il est désormais possible de gérer les modificatifs de copropriété grâce à un ensemble de
commandes regroupées dans un menu.
Les commandes de ce module sont toutes réunies dans une barre d’outils organisée en groupes de commandes.
Les étapes de la mise en copropriété sont les suivantes :
• Calcul des superficies pondérées en utilisant des coefficients de nature du lot, de forme du lot, de
hauteur sous plafond des pièces, de niveau du lot et d’ensoleillement.
• Calcul des quotes-parts de parties communes au prorata des superficies pondérées.
• Calcul des charges spéciales, en sélectionnant pour chacune d’elles les lots concernés et la base de
calcul.
Les coefficients de pondération ainsi que les charges sont stockés dans le dessin. De ce fait, vous pouvez enregistrer votre dessin
et y revenir ensuite pour modifier ces paramètres.
REMARQUE :
Il est impossible de copier un projet de copropriété d’un dessin vers un autre, ni de l’insérer en tant que XREF dans un autre
dessin.
327 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ La barre de menus
Toutes les commandes du module COPROPRIÉTÉ de COVADIS 2D sont accessibles dans une barre de menus spécialisée.
Il s’agit d’une boîte de dialogue particulière, contenant une liste jaillissante et des boutons faisant apparaître des menus.
Cette barre de menus doit être activée grâce à l’option « Afficher la barre d’outils » du sous-menu « Copropriété » du menu Covadis 2D.
Lors de l’ouverture d’un dessin existant, la barre de menus s’affichera automatiquement si COVADIS y détecte un projet de
copropriété.
L’option « Cacher la barre d’outils » permet de masquer la barre.
REMARQUES :
L’activation de la barre de menus se fait automatiquement lorsque le curseur passe au-dessus. Lorsque le curseur se trouve
en dehors de la barre, c’est alors AutoCAD® qui devient actif.
La position de la barre de menus est toujours automatiquement sauvegardée lors de sa fermeture ou de celle d’AutoCAD®.
328 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ La barre de menus
8. la zone des listings et documents, composée d’un unique bouton avec menu permettant de générer l’EDD, les tableaux
récapitulatifs et les certificats CARREZ,
9. la zone des modificatifs de copropriété, composée d’un unique bouton avec menu regroupant les commandes de modificatif
d’une copropriété.
1 2 3 4 5 6 7 8 9
329 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ La barre de menus
331 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ La barre de menus
REMARQUES :
Certaines commandes peuvent ne pas être disponibles dans certaines conditions. Vous ne pourrez pas, par exemple, éditer un
lot si le dessin n’en contient pas.
Dans le même ordre d’idées, après l’édition d’un lot ou d’une pièce par une commande du module, vous devrez recalculer
les superficies pondérées, puis les tantièmes généraux pour finalement calculer les charges et ressortir les documents.
Les trois calculs (superficies pondérées, tantièmes et charges) doivent être faits pour accéder aux commandes de listings.
332 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Paramétrage
XIII.3. PARAMÉTRAGE
Le paramétrage du module se compose tout d’abord des options de fonctionnement du module puis des
tables de coefficients personnalisables stockées dans un fichier d’extension xml.
Le groupe « Ensoleillement » :
• « Symbole d’ensoleillement » : nom du symbole maté-
rialisant l’ensoleillement.
• « Recherche des symboles » : calques de recherche des symboles d’ensoleillement.
333 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Paramétrage
Le groupe « Coefficients » :
• « Nombre de décimales pour arrondir et afficher les
coefficients » : Régler ici le nombre de décimale pour
l’affichage des coefficients. Cela vaut pour l’affichage des
tables de coefficients ainsi que pour les calculs de
superficies pondérées et autres quotes-parts.
Le groupe « Lots » :
• « Utiliser la superficie des pièces pour le calcul des
superficies pondérées » : lorsque vous ne connaissez pas
les superficies exactes des pièces (en VEFA par ex.), vous
pouvez utiliser celle des lots pour calculer les superficies
pondérées. Cette option est enregistrée dans le dessin.
Toutefois, si la case est cochée et que le lot ne contient
aucune pièce, c’est la surface du lot est prise en compte.
• « Mettre un aplat dans le lot » : si cette case est cochée le
lot sera hachuré en mode SOLID.
• « Préfixer les numéros dans le dessin » : si cette case est
cochée, les numéros de lots dessinés seront précédés du
texte indiqué dans la zone d’édition.
Avec le texte «Lot» on obtiendra «Lot 1», «Lot 2», etc.
• « Poursuivre la création du lot par celle des pièces » : si
cette case est cochée le programme lance la création des
pièces immédiatement après celle du lot. Une fois les pièces
créées, le programme reprend la création des lots et ainsi de
suite.
Le groupe « EDD et Récapitulatif EDD » :
• « Faire apparaître la référence du lot dans le récapitulatif de l’EDD » : fait figurer l’information Référence du lot dans le
listing récapitulatif de l’EDD. Pour les lots de nature appartement, ajoute également le nombre de pièces dites principales.
• « Afficher le descriptif du lot plutôt que sa nature dans le récapitulatif de l’EDD » : affiche le descriptif complet du lot en lieu
et place de sa nature dans le récapitulatif de l’EDD.
• « Jouissance exclusive » : saisir ici le texte qui précèdera les parties de lots dont la nature est en jouissance exclusive. Cela
donnera par exemple : « et le droit à la jouissance exclusive d’un balcon et d’une terrasse ». Il faut pour cela que les natures de
lot balcon et terrasse soient déclarées en jouissance exclusive dans la table des coefficients de nature du projet (cf. §
XIII.3.2.4).
Le groupe « Modificatifs de copropriété » :
• « Calculer la nouvelle répartition en changeant le total des tantièmes » : si cette option est cochée, le total des tantièmes
changera en cas de privatisation, annulation d’un lot ou changement d’affectation. Dans le cas contraire les lots inchangés
verront leur quote-part modifiée pour conserver le total.
• « Afficher tous les lots » : permet d’afficher ou de masquer les lots inchangés dans le calcul de tantièmes.
• « Calque situation anc. » : indiquez ici le calque dans lequel seront déplacés les lots annulés ou les parties communes
privatisées.
• « Colonnes pour les listings » : pour chacun des quatre listings de modificatifs dont le nom apparait dans la liste déroulante,
cochez les colonnes qui y seront présentes. Certaines colonnes ne sont pas disponibles pour tous les listings.
REMARQUE :
Si vous devez ouvrir un dessin contenant une copropriété sur un poste n’ayant pas COVADIS, il se peut que les lots et pièces
s’affichent mal ou pas (ce sont alors des ‘proxies’). Vérifier alors que la variable PROXYGRAPHICS vaut 1 avant d’enregistrer
le dessin sur le poste COVADIS et que la variable PROXYSHOW vaut 1 sur le poste sans COVADIS. Consultez l’aide
d’AutoCAD pour plus de détails sur ces deux variables du système.
334 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Paramétrage
Vous pouvez valider les modifications avec le bouton <OK> ou sortir par <Annuler> pour les abandonner.
REMARQUES :
Les symboles d’ensoleillements sont recherchés à la création d’un lot et avant le calcul des surfaces pondérées.
Si le programme trouve un nombre de symboles non prévu dans la table, le coefficient sera égal à 1.
Chaque lot principal, secondaire ou annexe recherche les symboles qu’il contient. Une terrasse (lot annexe) peut donc avoir
un coefficient plus important que l’appartement (lot principal) auquel elle est rattachée.
335 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Paramétrage
REMARQUES :
Un clic sur le titre des colonnes trie les lignes selon l’ordre croissant de la colonne. Un second clic inverse le sens de tri.
Il est préférable de ne pas mettre de majuscule à la désignation des pièces et à leur pluriel car ce sont ces textes qui seront
écrits dans le descriptif du lot (EDD).
336 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Paramétrage
337 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Le projet
XIII.4. LE PROJET
Un projet de copropriété regroupe tous les éléments graphiques (lots et pièces) et non graphiques (adresse,
référence cadastrale, tables de coefficients, charges) qui constituent la copropriété.
A un dessin correspond un projet et réciproquement.
REMARQUES :
Vous pouvez lancer cette commande dans le seul but de réinitialiser les coefficients des pièces et des lots (par exemple,
après les avoir modifiés dans le tableau de calcul des surfaces pondérées). Il suffit de répondre « Oui » pour la mise à jour
des lots et pièces.
Le fait de mettre à jour les lots et les pièces vous oblige à recalculer les superficies pondérées, les tantièmes généraux et les
charges spéciales.
338 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les lots
Le découpage d’une copropriété en lots est essentiel. Les lots sont des polygones éventuellement
percés de trous (les îlots).
Nous distinguerons trois types de lots :
• les lots principaux (par lesquels s’effectue l’accès).
• les lots secondaires (par exemple : duplex ou mezzanine) qui, en général, ne sont pas au même
niveau que le lot principal.
• les lots annexes (par exemple : terrasse, balcon) qui sont un usage privatif d’une partie commune.
Les lots secondaires et annexes auront le même numéro que le lot principal. Vous avez la possibilité de
ne pas dessiner le numéro pour ces lots. Une cave ou un emplacement de parking sont généralement
des lots principaux à part entière.
Si le bâtiment ne contient encore aucun lot principal, le programme demande de saisir le premier
numéro de lot pour ce bâtiment (voir ci-contre). Un contrôle de la valeur est effectué. En effet,
deux bâtiments ne peuvent avoir des plages de numéros qui se chevauchent.
Le programme passe ensuite à la définition graphique du lot. Il existe trois méthodes pour dessiner le contour du lot :
• Saisie du contour point par point comme si vous dessiniez une polyligne avec AutoCAD®.
• Sélection d’un contour existant (polyligne 2D fermée par l’option Clore) dont la géométrie deviendra celle du lot.
• Recherche d’un polygone en indiquant un point à l’intérieur du lot. La recherche de contour utilise les calques indiqués dans le
paramétrage général (cf. § XIII.3.I).
Exemple de saisie en dessinant le contour
SAISIE - Premier point du lot [séLectionner/Rechercher] <Entrée = terminé> :
SAISIE - Second point de la polyligne ou [Arc]:
SAISIE - Point suivant de la polyligne ou [Clore/Arc/annUler]: a
SAISIE - Point suivant de la polyligne ou [Clore/Ligne/Direction/Second-pt/annUler]:
Une fois le premier point donné (ne doit pas être sur un lot existant), vous ne pouvez plus changer de mode. Vous pouvez dessiner
des arcs en choisissant l’option « A ». En mode dessin d’arc, vous avez accès aux options Direction et Second-pt d’arc comme
la commande Polyligne d’AutoCAD®. Le retour au dessin de segments rectilignes s’effectue avec l’option Ligne.
L’option annUler permet d’annuler le dernier segment. La fermeture du contour s’effectue par l’option Clore ou la touche
<Entrée> du clavier. La touche <Echap> permet d’abandonner la saisie du contour et de sortir de la commande.
339 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les lots
Si le point fourni a permis la reconstitution d’un contour, ce dernier est mis en surbrillance et la
question ci-contre est posée. Appuyez sur <Oui> pour valider cette recherche ou <Non> pour
retenter une recherche.
Quel que soit le mode choisi et une fois la géométrie du lot fixée, la fenêtre contenant les caractéristiques du lot est affichée.
3 3 3 3
Aucun Carré Cercle Ellipse
• « Couleur du lot » : pour choisir la couleur du lot.
Le groupe « Autres informations » contient les données permettant la
pondération de la surface.
• « Superficie » : affiche la superficie du contour en m². Cette superficie est graphique mais il est possible de la saisir en
sélectionnant l’option « saisie ». Le programme vérifiera que la superficie est supérieure à la somme des superficies des
pièces.
340 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les lots
• « Bâtiment » : nom du bâtiment. A choisir dans la liste ou à saisir dans la zone d’édition.
• « Hall d’entrée », « Escalier » et « Ascenseur » : valeurs saisies précédemment mais néanmoins modifiables. Pour l’ascenseur,
vous pouvez indiquer s’il s’arrête au « demi-palier » en cochant la case correspondante. C’est alors le coefficient
correspondant de la table des niveaux qui sera utilisé pour le calcul des charges d’ascenseur.
• « Niveau » : rappel du niveau auquel le lot se situe. Possibilité de changer le niveau en cas d’erreur.
• « Numéro de porte » : pour information seulement.
• « HSP1 moyenne » et « HSP2 moyenne » : hauteurs sous plafond qui sont proposées par défaut lors de la création des pièces
et sont utilisées pour le calcul du coefficient de hauteur si le calcul des superficies pondérées est réalisé avec les superficies des
lots et non celles des pièces. Si les deux HSP sont différentes de zéro, le plafond sera en pente.
• « Nature du lot » : sélectionnez la nature dans la liste. La nature est associée à un coefficient de nature.
• « Forme du lot » : sélectionnez la forme dans la liste. La forme est associée à un coefficient de forme.
• « Situation » : situation du lot sur le palier. Indiquez par exemple : « première porte à droite ». La variable $SITUATION écrira
ce texte.
• « Référence » : Texte libre accessible avec la variable $REFERENCE dans l’EDD.
• Le bouton permet de zoomer dans le dessin et revenir dans la fenêtre du lot.
La validation par le bouton <OK> est suivie, au besoin, du positionnement du numéro dans le dessin.
REMARQUES :
Lorsque le programme demande la position du numéro, les touches < Entrée> ou <Echap> insèrent ce dernier à l’origine du
dessin. La position vous sera redemandée si vous éditez le lot.
Le numéro du prochain lot à créer est incrémenté de un. Il est possible que ce numéro empiète sur la numérotation d’un autre
bâtiment. Dans ce cas, une renumérotation sera effectuée afin de garantir l’unicité de la numérotation.
L’orientation du numéro est toujours celle du système de coordonnées (SCU ou SCG) courant. Si vous changez de système
de coordonnées, les numéros sont redessinés par la commande REGEN d’AutoCAD®.
REMARQUE :
Vous ne pouvez changer ni le numéro, ni le bâtiment d’un lot
principal avec cette commande. Il existe des commandes de
renumérotation décrites plus loin.
341 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les lots
Les lots du bâtiment sont renumérotés, en gardant l’ordre précédent, afin de combler le trou engendré par la suppression.
REMARQUE :
Si vous changez de système de coordonnées (SCU ou SCG) tous les numéros s’orienteront selon le nouveau système de
coordonnées.
REMARQUES :
Le lot à trouer est donné par le premier point que vous indiquez et devient courant. Un message est affiché si vous avez
cliqué à l’extérieur d’un lot.
La première méthode interdit de sortir du lot courant (le programme refusera de valider un point hors du lot courant).
Dans le mode recherche de contour, une confirmation du contour trouvé est demandée.
342 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les parties communes
Les parties communes d’une copropriété sont constituées de tout ce qui n’est pas privatif. Le gros-œuvre
des bâtiments, les halls d’entrée, les planchers, le sol, etc., en sont quelques exemples.
Sur les plans, elles sont généralement représentées par des aplats de couleur jaune pâle (numéro 51 pour
AutoCAD®).
Ensuite la méthode de construction est la même que pour les lots, c’est-à-dire que vous disposez des trois modes suivants :
• Saisie du contour point par point comme si vous dessiniez une polyligne avec AutoCAD ®.
• Sélection d’un contour (fermé par clore) existant dont la géométrie deviendra celle de la partie commune.
• Recherche d’un polygone en indiquant un point à l’intérieur de la partie commune. La recherche de contour utilise les calques
spécifiés dans le paramétrage général (cf. § XIII.3.I).
REMARQUE :
A un nom de partie commune est associé un texte de définition unique (cas d’une partie commune composée de plusieurs
contours).
343 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les parties communes
REMARQUE :
Si vous changez de système de coordonnées (SCU ou SCG) tous les numéros sont réorientés selon le nouveau système de
coordonnées.
REMARQUE :
Il n’y a pas de commande de suppression d’une partie commune car la commande Supprimer d’AutoCAD® suffit amplement.
En effet, une partie commune n’a pas d’objets imbriqués comme les lots et les pièces peuvent en avoir.
344 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les pièces
Une pièce est représentée par un polygone (éventuellement avec îlots) qui permet :
• de calculer les superficies Carrez,
• d’avoir des hauteurs sous plafond différentes dans un même lot,
• de créer la liste des désignations de pièces qui composent un lot.
La superficie des pièces peut être utilisée pour le calcul de la superficie pondérée du lot. En général, ces
pièces n’apparaissent pas sur le plan de découpage de la copropriété en lots.
Il existe trois catégories de pièces :
• les pièces principales (par exemple : une chambre, une cuisine),
• les pièces secondaires (par exemple une mezzanine qui vient se superposer à la pièce principale). En général, ces pièces ne
sont pas au même niveau que la pièce principale.
• les pièces annexes (partie d’une pièce principale qui ne doit pas être comptée dans les superficies Carrez).
Les pièces secondaires et annexes sont hachurées avec le motif ‘ANSI31’ et non ‘SOLID’ comme le sont les pièces principales.
Ceci permet de les différentier au premier coup d’œil.
Exemple :
Chambre
Les deux pièces portent la désignation « Chambre ». Une pièce est principale
HSP:1.70
HSP:2.50 tandis que l’autre est une pièce annexe (hachurée).
• Saisie du contour point par point comme si vous dessiniez une polyligne avec AutoCAD®.
• Sélection d’un contour existant dont la géométrie deviendra celle de la pièce.
• Recherche d’un polygone en indiquant un point à l’intérieur de la pièce. La recherche de contour utilise les calques indiqués
dans le paramétrage général (cf. § XIII.3.I).
• Lorsque le lot ne contient qu’une seule pièce (exemple : balcon) optez pour le mode Emprise pour créer une pièce qui occupera
tout le lot. Le message devient alors :
EMPRISE - Cliquez dans le lot qui donnera la pièce [séLectionner/Saisir/Rechercher] <Entrée = arrêt> :
Une fois la géométrie définie, COVADIS recherche les désignations parmi les textes des calques indiqués dans le paramétrage
général et dont le point de justification ou le point d’insertion est situé à l’intérieur du contour de la pièce. Le premier texte
correspondant à une désignation de la table des pièces sera proposé comme désignation de la pièce. Les désignations avec indice
(par exemple « Chambre 1 ») ou utilisant la forme abrégée de la désignation (par ex : « Ch 1 ») seront également reconnues.
Puis COVADIS recherche les textes indiquant une hauteur sous plafond ou une hauteur sous faux-plafond. Pour cela le texte doit
commencer par « HSP: », « HSP1: », « HSP2: », « HSFP: », « HSFP1: » ou « HSFP2: » suivi de la valeur en mètres. Si aucun texte
n’est trouvé pour la hauteur sous plafond, la dernière valeur saisie pour ce lot est proposée.
Enfin, parmi les textes ne contenant qu’une valeur numérique et présents dans le(s) calque(s) paramétré(s) pour les désignation et
hauteurs, celui qui aura sa valeur la plus proche de la superficie réelle sera pris comme superficie textuelle de la pièce.
345 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les pièces
REMARQUES :
Les textes de désignations abrégées sont reconnus même s’il y a un indice (par ex : Ch1).
Toute désignation non reconnue sera ajoutée à la table des pièces du projet. Le genre par défaut est le masculin. Il
convient de modifier la table du projet si la désignation est du genre féminin.
• « Couleur de la pièce » : vous pouvez choisir une même couleur pour toutes les pièces car en général, ce sont les lots qui
figurent sur le plan.
• « Observation » : ici vous saisirez un texte libre qui ne sera pas utilisé par la suite.
• « Superficie de la pièce » : la valeur indiquée est soit la superficie graphique (non modifiable) soit la superficie récupérée d’un
texte soit une superficie que vous saisissez. Les boutons radio indiquent de quel type de superficie il s’agit. Dans l’exemple
aucun texte ne correspondait à la superficie (le radio-bouton est grisé).
• « Hauteur 1 : » : Première valeur de hauteur, héritée du lot ou retrouvée par un texte dans le dessin.
• « Hauteur 2 : » : Deuxième valeur de hauteur, héritée du lot ou retrouvée par un texte dans le dessin. Une valeur non nulle
indique que le plafond est en pente.
• « Présence d’un faux plafond » : information pour mémoire seulement.
• Le bouton permet de zoomer dans le dessin puis de revenir dans la fenêtre de la pièce.
Validez la saisie des informations par le bouton <OK> ou abandonnez la création par « Annuler ».
Un contrôle de la somme des surfaces des pièces par rapport à la surface du lot est
réalisé et vous avertit en cas de dépassement (voir ci-contre).
Remarquez toutefois qu’il n’est pas possible de changer la désignation. Il faut, dans ce cas supprimer la pièce et la recréer avec la
nouvelle désignation.
La superficie graphique est mise à jour (en cas de modification du contour par exemple).
346 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les pièces
Ces données étendues indiquent le type de pièce (Master, S-, S-<1.80), la désignation, l’étage, les hauteurs sous plafond et les
superficies compensées à prendre en compte et à déduire. Vous pouvez visualiser ces données étendues avec les Express Tools
d’AutoCAD®.
S’il y a plusieurs étages, donc plusieurs dessins, vous devez les réunir dans un seul fichier car un projet de copropriété COVADIS
utilise un unique fichier. Une fois que vous aurez créé le projet et dessiné les lots, la commande d’importation de COVADIS
permet de convertir les contours fermés en pièces COVADIS. Les îlots et les pièces secondaires sont automatiquement traités.
Chaque pièce est rattachée au lot qui se trouve en dessous.
REMARQUES :
Les pièces créées à partir des contours de type Master ont des superficies de type « saisie » car la valeur contenue dans la
donnée étendue ne correspond pas forcément à la superficie graphique du contour.
Les pièces annexes quant à elles ont une superficie graphique car la superficie n’est pas stockée en donnée étendue.
Si vous lancez plusieurs fois la commande, COVADIS ne créera pas plusieurs pièces superposées car un test évite de créer
une pièce sur une autre.
Il ne vous reste plus qu’à faire les calculs de superficies pondérées, de tantièmes généraux et de charges spéciales.
347 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modifications
Ce groupe de commandes est surtout utile dans la phase de découpage de la copropriété en lots.
Si vous cliquez dans un lot annexe ou secondaire, le message ci-contre est affiché et
vous invite à recommencer.
Si le second lot n’est pas dans le même bâtiment que le premier lot, le message ci-
contre est affiché et vous invite à recommencer.
Si la réunion des deux lots n’est pas possible, un message est également affiché et sort de la
commande.
La géométrie du nouveau lot est la réunion des deux lots. Les îlots, les lots annexes, les lots secondaires et toutes les pièces sont
également réunis dans le lot résultant. Le nouveau lot a le même numéro que le premier lot cliqué. Si cela est nécessaire, le
programme renumérotera les lots du bâtiment afin de combler un éventuel trou dans la numérotation.
La commande boucle tant qu’un nouveau lot peut être extrait. Une renumérotation des lots du bâtiment est réalisée à la sortie de la
commande. Cette dernière peut, éventuellement, s’étendre aux bâtiments suivants s’il y a chevauchement dans les numéros de lots.
Les numéros des lots créés par cette commande sont positionnés au point indiqué lors de la recherche du contour. Si le lot avait
une superficie saisie, les lots découpés ont quant à eux une superficie graphique.
348 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modifications
REMARQUE :
Pour que la modification soit complète, vous devez déplacer physiquement la pièce à l’intérieur du lot de destination avec la
commande AutoCAD® DEPLACER. Si vous ne faites pas ce déplacement vous ne pourrez pas éditer la pièce. En effet, avant
d’éditer une pièce COVADIS vérifie qu’elle se situe bien dans le lot auquel elle appartient.
Un contrôle est réalisé pour vérifier le non chevauchement de la future numérotation (seulement s’il y a plusieurs bâtiments).
349 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modifications
La commande s’arrête une fois que vous avez cliqué l’avant-dernier lot principal du bâtiment ou du niveau. En effet, le dernier lot
à renuméroter est implicite à ce stade.
REMARQUE :
Vous ne pouvez pas cliquer dans un lot secondaire ou annexe, pour désigner un lot principal à renuméroter.
350 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les calculs
Ce menu permet d’accéder aux commandes de paramétrage et de calcul des superficies pondérées, des
tantièmes généraux ainsi que des charges spéciales.
La commande affiche un tableau dans lequel figurent les lots avec le détail des pièces qui le composent. Pour chaque pièce,
figurent la superficie et les cinq coefficients de pondération.
Ces coefficients sont actualisés en fonction d’éventuelles modifications intervenues sur les lots ou les pièces :
• Le coefficient de nature (Na) est repris dans la table des coefficients si la nature a changé.
• Le coefficient de forme (F) est repris dans la table si la forme du lot a changé.
• Le coefficient de hauteur (H) est systématiquement recalculé comme indiqué au-dessus.
• Le coefficient de niveau (N) n’est pas repris dans la table (un lot ne peut changer de niveau). Si vous modifiez la table des
coefficients du projet, vous pouvez mettre à jour les pièces et les lots. Les lots secondaires (duplex) auront le coefficient
correspondant au niveau où ils se trouvent.
• Le coefficient d’ensoleillement est repris dans la table si le nombre de symboles d’ensoleillement a changé pour un lot.
351 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les calculs
REMARQUES :
Une info-bulle donne des informations supplémentaires quand le pointeur survole les cellules des lots et des pièces.
Les coefficients sont arrondis au nombre de décimales indiqué dans le paramétrage.
Une formule de pondération est utilisée pour calculer le coefficient moyen. A l’installation du logiciel, quatre formules sont
proposées :
Dans les formules seules les variables correspondant
( Na F H N E ) à la superficie S et aux coefficients Na, F, H, N et E
• Arithmétique SP S * doivent être utilisées. Vous pouvez utiliser les quatre
5 opérateurs classiques et les parenthèses.
• Géométrique SP S * Na * F * H * E
(F H N E)
• Nature SP S * Na *
4
( N E)
• Consistance SP S * Na * F * H *
2
Vous pouvez créer vos propres formules avec le bouton . La boîte de dialogue ci-contre apparaît. Donnez un nom à la formule
et saisissez son contenu.
Le bouton permet de supprimer uniquement une formule personnalisée.
Chaque coefficient est modifiable individuellement. Les coefficients moyens sont recalculés automatiquement et les superficies
pondérées des lots (la somme des superficies pondérées des pièces) sont actualisées. Les valeurs modifiées sont affichées en rouge.
Le bouton crée le fichier XLS correspondant au tableau. Cette fonctionnalité est intéressante pour conserver une trace écrite
de la pondération utilisée pour le calcul des superficies pondérées. De plus les formules de sommation et du calcul du coefficient
moyen sont également écrites dans le fichier XLS.
352 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les calculs
REMARQUE :
Cette façon de procéder est également employée dans le calcul des charges spéciales abordé au paragraphe suivant.
353 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les calculs
La case à cocher de la colonne « Charges » indique que la charge figurera dans le récapitulatif des charges. S’il s’agit de charges
liées aux parties communes nommées (PC1, PC2, etc.), la case à cocher fera figurer la PC dans le listing des PC (Alsace-Moselle).
Pour le calcul de la charge, il est nécessaire de choisir une base de calcul. Les bases de calcul proposées sont :
• Les tantièmes généraux (repris du calcul précédent).
• Les superficies habitables (somme des superficies des pièces).
• Les superficies pondérées (calculées précédemment).
• Les surfaces pondérées par le coefficient de nature uniquement.
• Le nombre d’occupants (calculé en fonction de la superficie : 20m² pour les quatre premiers puis 15m² par occupant
supplémentaire). Le nombre d’occupants est recalculé à chaque lancement et nécessite donc un recalcul de la charge.
• Le volume de chauffe (calculé avec la superficie multipliée par la hauteur sous plafond).
• La surface de chauffe (superficie du lot).
• Occupation légale (définie par le nombre de pièces dites principales + 1).
Pour les charges de bâtiment, de hall, d’escalier ou d’ascenseur, seuls les lots concernés peuvent être choisis. Toutefois, une case
permet, pour les charges de bâtiment, d’afficher tous les lots.
354 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les calculs
355 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les listings
La commande qui génère ce document utilise un modèle. Un modèle est un fichier au format rtf contenant
des variables commençant par le caractère ‘$’. Ces variables seront remplacées par leur valeur, propre à
chaque lot, au moment de la création du document final. Ces modèles peuvent être modifiés avec
Microsoft® Word ou directement dans la boîte de dialogue affichée par la commande. Notez que les images
insérées ne sont pas conservées dans le document final.
356 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les listings
• Le bouton donne la liste des variables utilisables (voir ci-dessus) dans le modèle de l’Etat Descriptif de Division ainsi que
celui de l’attestation Carrez. Un double clic sur une des variables de la liste l’insère à la position du curseur ou remplace le
texte sélectionné dans le modèle. Vous pouvez utiliser des variables dans le titre et dans le contenu de l’EDD. Pour fermer la
liste des variables sans modifier le modèle, appuyez sur le bouton < OK>.
• « Ecrire un report tous les X lots » : cochez cette case pour faire insérer un report des tantièmes en début et fin de page. La
première page n’ayant bien sûr que la valeur à reporter comme dans l’exemple qui suit. Un saut de page est alors
automatiquement inséré tous les X lots (à sélectionner dans la liste déroulante).
• « Faire un saut de page entre le titre et le contenu » : cochez cette case pour séparer le titre du contenu. Cela est surtout
intéressant quand le titre doit remplir une page entière.
• Le bouton <OK> de la fenêtre principale génère l’Etat Descriptif de Division.
Le fichier produit est créé dans le même répertoire que le dessin. Son nom est Dessin_EDD.rtf, dans lequel Dessin est le nom du
dessin courant. Vous pouvez modifier le nom proposé avant de valider la fenêtre de sélection de fichier.
Exemple d’EDD :
Coproriété : Exemple
Date : 10.05.2010
A reporter : 714
REMARQUE :
Consultez l’annexe « Utilisation des variables » pour connaître leur fonctionnement détaillé.
357 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les listings
Ce tableau contient à peu près les mêmes informations que l’Etat Descriptif de Division (EDD) mais présentées différemment.
Selon que l’option « Faire apparaître la référence du lot dans le récapitulatif de l’EDD » (cf. § XIII.3.1) est cochée ou pas, la
colonne Nature sera différente. Quand l’option est activée, les lots de nature appartement sont suivis du nombre de pièces dites
principales et l’information Référence du lot est ajoutée en fin de cellule. Quand l’option n’est pas active, seule la nature du lot est
présente.
Si l’option « Afficher le descriptif du lot plutôt que sa nature dans le récapitulatif de l’EDD » (cf. § XIII.3.1) est cochée, alors ce
n’est plus la nature qui est affichée mais le descriptif complet du lot. Remarquez également que l’étage est remplacé par le niveau.
358 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les listings
• La zone de titre correspond au fichier CovTitre_PC.rtf présent dans le répertoire de recherche des modèles spécifié dans le
paramétrage. Toute modification du titre est enregistrée par le bouton <OK>.
• La liste « Modèle courant » contient les modèles correspondant aux fichiers dont le nom est de la forme Nom_Modele_PC.rtf
où Nom est le nom du modèle (Exemple dans l’exemple ci-dessus). Ces fichiers sont recherchés dans le répertoire spécifié
dans le paramétrage.
• Les boutons, quant à eux, sont identiques à ceux de l’EDD.
Le fichier produit est créé dans le même répertoire que le dessin. Son nom est Dessin_PC.rtf, dans lequel Dessin est le nom du
dessin courant. Vous pouvez modifier le nom proposé avant de valider la fenêtre de sélection de fichier.
Exemple de listing :
Section : AN
Parcelle : 251 COMMUNE: PENFELD
Date : 10.05.2010
Définitions Lots concernés
PC1 - sol bâti et non bâti inscrit au cadastre sous L’ensemble des copropriétaires des lots 1 à 6, en
Section: AN - Parcelle: 251 - les ouvrages indivision, pour un total de 1000 / 1000èmes.
d'aménagement de ce sol - les canalisations et
branchements de toute nature tant qu'ils
desservent cet immeuble
PC2 - le bâtiment annexe - les gaines techniques de L’ensemble des copropriétaires des lots 1 à 4, en
toute nature desservant ce bâtiment indivision, pour un total de 1000 / 1000èmes.
359 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les listings
Lot Propriétaires Situation, nature et descriptif Voie Bât. Esc. Niv. Loc. Superficie Tantièmes PC Tant.
du local (m²) PC01
1 Un appartement A - 0 51.6 253
comprenant:
une cuisine, une chambre,
un water-closet, un Placard,
un Cellier, un S.d.E., un
Séjour et un Couloir.
PC2 253
2 Un box comprenant: A - 0 52.7 128
une cuisine, une chambre,
un water-closet, un Cellier,
un S.d.E., un Placard, un
Séjour et un Couloir.
PC2 128
3 Un appartement A A 1 61.4 302
comprenant:
une cuisine, une chambre,
un water-closet, un Placard,
un Cellier, un S.d.E., un
Séjour et un Couloir
et le droit à la jouissance
exclusive d'une terrasse.
appartement 52.7
terrasse 8.8
PC2 302
PC3 488
4 Un appartement A A 1 64.7 317
comprenant:
une cuisine, une chambre,
un water-closet, un Placard,
un Cellier, un S.d.E., un
Séjour et un Couloir
et le droit à la jouissance
exclusive d'une terrasse.
appartement 56.0
terrasse 8.8
PC2 317
PC3 512
PC Total
PC1 1000
PC2 1000
PC3 1000
360 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les listings
361 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ L’attestation Carrez
Vous pouvez modifier des textes, comme le nom du propriétaire ou celui de l’opérateur sans modifier le modèle, avant d’appuyer
sur le bouton <OK>.
Le fichier produit est créé dans le même dossier que le dessin. Son nom est Dessin_CARREZ_Lot_Numero.rtf, dans lequel
Dessin est le nom du dessin et Numéro est le(s) numéro(s) de lot choisi(s). Un saut de page est inséré entre chaque attestation.
REMARQUES :
Les superficies indiquées par les variables $SCARREZ, $S<1.80, $SBALC, $STERR et $SAUTRES sont arrondies à la
valeur indiquée dans le bas de la fenêtre.
Il est également possible de remplacer le point décimal par une virgule en écrivant Utiliser_Virgule_Deci=1 dans le fichier
CovCopro.ini du répertoire Config de COVADIS.
Il est rappelé que sont exclues des superficies privatives : les surfaces occupées par les cloisons, correspondant aux ouvrants de
portes et fenêtres, les marches d’escalier quand elles ne peuvent être considérées comme un palier, les trémies et les dessous
d’escaliers dont la hauteur est inférieure à 1.80 m, les surfaces correspondant à des fruits de mur et dont la hauteur est inférieure à
1.80 m, toute surface de hauteur inférieure à 1.80 m, les mezzanines non inscrites dans l’EDD même si la hauteur sous plafond est
supérieure à 1.80 m, les placards avec marche même si la hauteur est supérieure à 1.80 m.
Cas particuliers de superficies comptées dans la superficie privative : les surfaces sous un ballon d’eau chaude si la hauteur (en
l’absence du ballon) est supérieure à 1.80 m et les surfaces occupées par les plinthes, la mesure se prenant de mur à mur.
Il est évident qu’il faut tenir compte de ces règles lors de la définition graphique des pièces qui fournissent les superficies.
362 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ L’attestation Carrez
Exemple :
363 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Fichier d’échange CSV
364 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Annexes
XIII.11. ANNEXES
Tantième généraux
Variable Description Exemples
$TANT_NUM Tantièmes généraux du lot sous forme numérique 37
$TANT_TXT Tantièmes généraux du lot sous forme de texte trente sept
$BASE_NUM Base des tantièmes généraux sous forme numérique 1000
$BASE_TXT Base des tantièmes généraux sous forme de texte millièmes
Parties communes
Variable Description Exemples
$PC_NOM Nom de la partie commune (Alsace-Moselle) PC2
$PC_DEF Définition de la partie commune (Alsace-Moselle) Les gros-oeuvres, toitures et infrastructures
du Bâtiment A, l'accès et le hall d'entrée.
$PC_LOTS Lots affectés par la PC (Alsace-Moselle) 1à7
$PC_TANT Tantièmes pour la PC (Alsace-Moselle) 1000 / 1000èmes
365 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Annexes
Surfaces Carrez
Variable Description Exemples
$SCARREZ Détail des superficies CARREZ des pièces Cuisine 10.30 m²
Chambre 1 8.30 m²
WC 1.20 m²
Séjour 16.20 m²
$S<1.80 Superficie des parties inférieures à 1.80 m 2.35
$SBALC Superficie des balcons du lot en m² 2.10
$STERR Superficie des terrasses du lot en m² 15.50
$SJARDIN Superficie des jardins du lot en m² 30.55
$SCOUR Superficie des cours du lot en m² 50.20
$SAUTRES Autres superficies annexes non comptées par ailleurs 10.35
$TAB_COEFF_NAT Insère un tableau des coefficients de nature utilisés (AM)
REMARQUES :
Les variables affichant des superficies carrez peuvent utiliser le séparateur décimal virgule en mettant la valeur
Utiliser_Virgule_Deci à 1 dans le fichier CovCopro.ini du répertoire Config de COVADIS.
Le nombre de décimales pour ces sept variables est le plus grand nombre entre celui de la configuration des listings du menu
Covadis 2D et l’arrondi Carrez courant. Par exemple, si la configuration des listings affiche 3 décimales et l’arrondi Carrez
est de 0.05 alors les surfaces seront affichées avec 3 décimales mais arrondies à 0.05.
366 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
Lorsqu’une copropriété est créée, la répartition des quotes-parts est fixée dans le règlement de
copropriété. Par la suite, les principales modifications pouvant intervenir sont : la division d’un lot,
la réunion de plusieurs lots, la privatisation d’une partie commune, l’annulation d’un lot
(transformation en partie commune) et le changement de nature d’un lot. L’état descriptif de la
copropriété doit être changé car les quotes-parts sont recalculées.
Les commandes de ce menu permettent de préparer un nouveau dessin en vue d’un modificatif,
d’effectuer les modifications, de recalculer les tantièmes et de produire des listings.
367 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
Dans un modificatif, il n’est pas possible de faire plusieurs modifications sur un même lot ou partie commune. Par exemple, le lot
20 issu de la division d’un lot ne pourra pas être transformé en partie commune dans le même dessin.
368 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
La commande boucle tant qu’un nouveau lot peut être extrait. Les
numéros des lots créés par cette commande sont positionnés au point
indiqué lors de la recherche du contour. Si le lot avait une superficie saisie, les lots découpés ont quant à eux une superficie
graphique.
L’ancien lot est transféré dans le calque correspondant à la situation ancienne indiqué dans paramétrage des modificatifs. Les
nouveaux lots sont créés dans le calque de création des lots.
Les tantièmes des nouveaux lots seront calculés par la commande « Calcul des tantièmes » du menu.
Ensuite, la boite de dialogue des propriétés d’un lot s’ouvre afin de modifiez les propriétés du nouveau lot.
Enfin, la boite de dialogue de sélection du(es) lot(s) de référence est affichée. Si vous ne cochez aucun lot, le coefficient QP/SP est
calculé sur l’ensemble de la copropriété.
La colonne QP/SP contient le rapport entre les tantièmes (Quotes-Parts) et la surface pondérée (SP) des lots. Si plusieurs lots sont
sélectionnés, le coefficient somme(QP)/somme(SP) est utilisé pour calculer les tantièmes du nouveau lot. Si aucun lot de référence
n’est sélectionné, le coefficient est calculé sur l’ensemble de la copropriété.
Le programme calcule la surface pondérée avec les coefficients et la formule de coefficient moyen du projet de copropriété.
369 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
La personnalisation du contenu de la colonne « Observation » est possible ponctuellement en modifiant le contenu de la cellule.
Pour modifier le texte des nouvelles modifications, il faut ouvrir le fichier CovCopro.ini du répertoire Config/ de COVADIS et
modifier les lignes suivantes :
TxtObservation0=Lot inchangé
TxtObservation1=Lot inchangé
TxtObservation2=Lot à diviser en %s
TxtObservation3=Lot créé issu de la division du lot %s
TxtObservation4=Lot à réunir pour former le lot %s
TxtObservation5=Lot créé, issu de la réunion des lots %s
TxtObservation6=Partie commune à privatiser
TxtObservation7=Lot créé issu de la privatisation d'une PC
TxtObservation8=Lot à annuler
TxtObservation9=Partie commune issue de l'annulation du lot %s
TxtObservation10=Changement d'affectation, devient le lot %s
TxtObservation11=Changement d'affectation du lot %s
370 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
Ces textes vont par paire. Par exemple, TxtObservation0 correspond au texte de la situation ancienne et TxtObservation1 à celui
de la situation nouvelle d’une modification de type « Lot Inchangé ». Pour certains textes, la chaîne de caractères « %s » sera
remplacée par le numéro de lot ou les numéros des lots à réunir. Pour que vos modifications soient effectives, enregistrez le fichier
et redémarrez COVADIS.
Pour retrouver les valeurs par défaut, supprimez ces douze lignes du fichier CovCopro.ini et validez (par le bouton <OK>) les
paramètres généraux du module Copropriété.
Quatre boutons permettent de créer des modifications non graphiques, c’est-à-dire s’effectuant sur les lots qui ne sont pas dessinés.
Le bouton imprime la liste des lots, le bouton ajoute une modification non graphique, le bouton supprime une
modification non graphique et le bouton permet de sélectionner des lots de référence pour le calcul des tantièmes lors d’une
privatisation de partie commune.
• Ajout d’une modification non graphique :
Vous devez choisir dans le dialogue ci-contre le type de modification à
ajouter. Par défaut, « Lot inchangé » est sélectionné (plus fréquent).
b) Pour une réunion, renseigner les lots anciens et le nouveau lot comme ci-dessous.
Si le numéro de lot à réunir existe déjà comme lot inchangé, les informations sont automatiquement remplies.
371 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
d) Pour l’annulation d’un lot, indiquer le numéro du lot à supprimer. Si le lot est présent dans la liste, ses propriétés sont
affichées automatiquement, sinon il convient de les renseigner.
e) Pour un changement d’affectation d’un lot, indiquez le numéro du lot à modifier. Si le lot est présent dans la liste, ses
propriétés sont affichées automatiquement, sinon il convient de les renseigner.
La colonne QP/SP contient le rapport entre les tantièmes et la surface pondérée des lots. Si plusieurs lots sont
sélectionnés, le coefficient somme(QP)/somme(SP) est utilisé pour calculer les tantièmes du nouveau lot. Si aucun lot
de référence n’est sélectionné, le coefficient est calculé sur l’ensemble de la copropriété.
1er Modificatif
Situation ancienne
372 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
1er Modificatif
Situation nouvelle
1er Modificatif
373 COVADIS 2D
COPROPRIÉTÉ Les modificatifs
1er Modificatif
Situation nouvelle
374 COVADIS 2D