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GROUPE DE TRAVAIL 11
Leçon 11.3.1
Fichier : L11-3-1.doc
OBJECTIF
PREREQUIS
Leçon 1B.1 : Le processus de conception
Leçon 2.4 : Nuances et qualités des aciers
Leçons 3.2.1, 3.2.2 & 3.2.3 : Montage
Leçon 11.1.2 : Introduction au dimensionnement des assemblages
LEÇONS CONNEXES
Leçons 11.3.2 & 11.3.3 : Autres leçons sur les assemblages boulonnés
Leçons 11.4 : Analyse des assemblages
Leçon 12.6 : Comportement en fatigue des assemblages boulonnés
RESUME
Cette leçon présente les propriétés géométriques et mécaniques des boulons ordinaires
et décrit leur comportement en cisaillement, traction ainsi qu'en cisaillement et traction
combinés.
L'effet de la position des boulons dans un assemblage et de leurs dimensions sur les
modes de ruine potentiels est également étudié.
Page 1
NOTATIONS
e1 Pince longitudinale
e2 Pince transversale
F Charge appliquée
Fv Force de cisaillement
Ft Force de traction
p1, p2 Entraxes
t Épaisseur de plat
Page 2
1. INTRODUCTION
Il est courant de recourir à une approche élastique linéaire lors du dimensionnement des
assemblages. Comme alternative, l'approche non linéaire peut être employée, pour
autant que soient prises en considération les caractéristiques charge-déformation de
chacune des composantes de l'assemblage. Des informations complémentaires sur les
méthodes d'analyse des assemblages sont fournies aux leçons 11.4.
La présente leçon aborde le type de boulon le plus habituel, le boulon non précontraint,
souvent appelé « boulon ordinaire ». Ce dernier est populaire en raison de son coût peu
élevé à l'achat et à l'installation. On dit de ces assemblages « qu'ils travaillent à la
pression diamétrale » pour les différencier des assemblages résistant au glissement pour
lesquels on a recours à des boulons précontraints.
Lorsqu'aucun glissement n'est permis dans un assemblage, parce qu'il est soumis à des
charges de cisaillement alternées (ou pour tout autre raison), des boulons précontraints
permettant à l'assemblage de résister au glissement, des boulons calibrés, des boulons
injectés ou d'autres boulons dont l'effet est similaire doivent être utilisés, voir leçons
11.3.2 et 11.3.3.
Pour les systèmes de contreventement qui assurent la reprise du vent ou la stabilité, des
boulons travaillant en pression diamétrale peuvent être employés.
Dans les assemblages de structures, les boulons sont utilisés pour transmettre des efforts
d'un plat à un autre. Les figures 1, 2 et 3 fournissent des exemples d'utilisation des
boulons.
Page 3
a. Cisaillement (figure 1)
La force est transmise au boulon et au-delà du boulon par pression diamétrale sur les
plats assemblés. Les efforts dans les boulons sont transmis par cisaillement dans un plan
perpendiculaire à l'axe du boulon.
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b. Traction (figure 2, M uniquement)
Dans le cas d'un chargement flexionnel seul (M), la composante de traction est
transmise par effort axial dans le boulon.
Lorsqu'un moment de flexion (M) et un effort tranchant (V) sont appliqués, les boulons
sont susceptibles de devoir transmettre un effort transversal de cisaillement et un effort
axial de traction.
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Les boulons qui ne sont pas précontraints à un niveau prédéfini sont qualifiés de « non
précontraints » ou « ordinaires ». Dans le cas d'un assemblage cisaillé (figure 1), on dit
des boulons « qu'ils travaillent à la pression diamétrale ».
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Si le plan de cisaillement se trouve en dehors de la zone filetée, l'aire à considérer est
celle du fût. Dans le cas contraire, l'aire de la section résistance, dans la partie filetée,
doit être utilisée. En pratique, à l'heure actuelle, il est courant de se référer à l'aire la
plus faible et, lorsque l'on fixe les détails d'assemblage, de ne pas expressément
s'arranger pour que le plan de cisaillement se trouve en dehors de la zone filetée.
Les boulons à tête hexagonale et les écrous sont disponibles dans une gamme de
dimensions allant jusqu'à un diamètre de fût de 68 mm.
Les dimensions des boulons sont désignées par la lettre m suivie d'un nombre multiplié
par un autre nombre ; par exemple, un boulon M20 60 correspond à un diamètre de fût
de 20 mm et une longueur de fût, y compris la zone filetée, de 60 mm. La lettre M
signifie « métrique ».
La longueur du boulon doit être telle que, en tenant compte des tolérances, la zone
filetée du fût ne dépasse pas de l'écrou de moins d'une hauteur de filet après serrage et
qu'au moins un filet (en plus du filet terminal) reste non utilisé entre l'écrou et la partie
non filetée du fût.
4. NUANCES D'ACIER
Les boulons et les écrous sont disponibles dans des aciers dont les résistances minimales
en traction vont jusqu'aux environs de 1370 MPa.
La nuance des boulons est désignée par deux nombres. Les nuances les plus habituelles
sont les suivantes : 4.6, 5.6, 6.5, 6.8, 8.8 et 10.9.
La valeur de calcul de la limite d'élasticité fyb et de la contrainte ultime fub des boulons
courants sont fournies au tableau 1, d'après l'Eurocode 3 [2].
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La valeur de calcul de la limite d'élasticité peut être déduite de la nuance en multipliant
le premier nombre par le second, fois 10. La contrainte ultime fub s'obtient en
multipliant le premier nombre par 100 (contraintes en MPa).
Un jeu entre le boulon et le trou de boulon est nécessaire (figure 4) en raison des
tolérances sur la position des trous et des tolérances sur le diamètre du boulon (d) et sur
le diamètre des trous (db).
Pour les assemblages travaillant en pression diamétrale, ce jeu peut être la cause de
glissements des plats lorsque le chargement est appliqué.
A l'exception des boulons calibrés ou des trous à jeu faible ou surdimensionnés, le jeu
normal, pour les trous standards, vaut :
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3 mm pour les boulons M27 et les boulons à diamètre plus élevé.
Un jeu de 2 mm peut également être demandé pour les boulons M12 et M14, à
condition que les exigences suivantes soient satisfaites lors du dimensionnement :
Pour les boulons de nuance 4.8, 5.8, 6.8 et 10.9, la résistance de calcul en
cisaillement Fv.Rd est prise égale à 0,85 fois la valeur fournie par les formules (3)
à (5) ;
Sauf spécification contraire, le poinçonnage est permis pour des épaisseurs allant
jusqu'à 25 mm à condition que le diamètre du trou ne soit pas inférieur à l'épaisseur du
matériau à poinçonner.
Les ébarbures doivent être ôtées des trous avant assemblage ; lorsque les trous sont
forés, en une opération, au travers des pièces à assembler et que les plats ne doivent pas
être séparés après forage, il n'est toutefois pas nécessaire d'ébarber.
Les boulons de construction métallique doivent être conformes à l'ISO 898/1 [1].
La figure 5 précise les différents diamètres à considérer pour de tels boulons. L'aire du
fût qui est utilisé dans les formules de calcul est désignée par A :
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A d2 / 4 (1)
As d s2 / 4 (2)
ds est la valeur moyenne entre le diamètre à fond de filet (dc) et le diamètre à flanc de
filet (df) ; le diamètre à flanc de filet se défini comme la moyenne entre le diamètre à
fond de filet et le diamètre nominal (d) :
d +d d + dc
df = c et ds = f
2 2
Page 10
Tableau 2 - Aire résistante des boulons
Diamètre nominal Aire nominale Aire résistante
db (mm) A (mm2) As (mm2)
8 50,3 36,6
10 78,5 58,0
12 113 84,3
14 154 115
16 201 157
18 254 192
20 314 245
22 380 303
24 452 353
27 573 459
30 707 561
7. RESISTANCE EN CISAILLEMENT
Page 11
La diminution de la résistance en cisaillement d'un boulon unique peut atteindre 10 %.
Les contraintes de flexion locales sous la tête et l'écrou dans l'assemblage à boulon
unique de la figure 6 induisent un mauvais comportement à la fatigue.
La résistance de calcul d'un boulon au cisaillement (Fv.Rd) vaut, dans des conditions
normales, par plan de cisaillement :
0,6 f ub A s
Fv, Rd (3)
Mb
0,5 f ub A s
Fv, Rd (4)
Mb
Le coefficient 0,5 découle d'une évaluation statique fondée sur un grand nombre de
résultats d'essais. Les boulons de ces nuances sont moins ductiles et leur ruine se produit
soudainement.
Page 12
(b) Pour un plan de cisaillement situé dans la partie non filetée du boulon :
0,6 f ub A
Fv, Rd (5)
Mb
La figure 7 illustre la distribution des efforts entre les boulons d'un assemblage long.
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Les efforts transmis au niveau des boulons extérieurs (boulons n°1 et n°9 de la figure 7)
sont supérieurs à ceux qui transitent par les boulons intérieurs. Si l'aire totale des plats
de recouvrement excède celle du plat central, la distribution ne sera pas symétrique et le
boulon 1 transférera plus d'effort que les autres.
Lorsque les éléments d'attache plastifient, leur flexibilité s'accroît, ce qui conduit à une
répartition plus uniforme des efforts (ligne interrompue à la figure 7). Toutefois, pour
des assemblages longs de proportions normales, cet effet est insuffisant pour conduire à
une équirépartition des efforts. Les boulons d'extrémité atteignent leur limite de
déformation et se ruinent donc avant que les autres n'aient pu être pleinement sollicités.
La ruine est donc progressive et survient pour une valeur moyenne de la résistance en
cisaillement inférieure à celle d'un boulon unique en cisaillement. Des essais ont
confirmé que, plus que le nombre de boulons, c'est la longueur de l'assemblage qui
constitue le paramètre prédominant [3].
Lorsque la distance Lj entre les axes des boulons d'extrémité, mesurée dans la direction
d'application des efforts (voir figure 8) est supérieure à 15 d (où d représente le diamètre
nominal des boulons), la résistance de calcul en cisaillement de tous les éléments
d'attache doit être réduite en la multipliant par un facteur de réduction Lf, donné par :
Page 14
L j 15d
Lf 1
200 d
Cette règle ne s'applique par lorsque la distribution des efforts appliqués est uniforme
sur la longueur de l'assemblage comme, par exemple, dans le cas de la transmission de
l'effort rasant de l'âme à la semelle d'un profilé.
L'aire sur laquelle s'exerce la pression diamétrale est supposée être définie comme le
produit de l'épaisseur du plat et du diamètre nominal du boulon.
La distance (e1) séparant le boulon de l'extrémité du plat doit être suffisante pour
procurer une résistance adéquate vis-à-vis du mode de ruine par arrachement décrit à la
figure 9 et qui est régi par l'aire des surfaces de rupture en cisaillement.
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La présence de filets dans la zone de contact n'influence pas de façon significative la
résistance à la pression diamétrale mais accroît la déformation.
Dans le cas contraire, lorsque la ruine est due au cisaillement des boulons, la capacité de
déformation de l'assemblage est très faible et son comportement est dit « fragile ».
La résistance de calcul à la pression diamétrale d'un boulon [4] est donnée par :
2,5 fu d t
Fb.Rd (6)
Mb
e1 p1 1 f ub
; ; ou 1,0
3 do 3d 4 fu
Ce coefficient réducteur est nécessaire car, lorsque la distance à l'extrémité du plat est
faible, la capacité de déformation est petite.
Si la section nette de la pièce assemblée est petite, la rupture peut s'y produire et ainsi
déterminer la charge de ruine de l'assemblage (figure 9).
Si e2 est réduit à 1,2 do et/ou p2 à 2,4 do, la résistance à la pression diamétrale Fb.Rd
doit être réduite à 2/3 de la valeur fournie par l'équation (6). Pour des valeurs
intermédiaires
1,2 do < e2 1,5 do et/ou 2,4 do 3 do, la valeur de Fb.Rd peut être déterminée par
interpolation linéaire.
9. RESISTANCE EN TRACTION
La résistance axiale à la traction d'un boulon est fonction de l'aire de la section résistante
As et est donnée par :
Ft = fu,b As
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Sur base d'une évaluation statistique de très nombreux essais, la formule suivante a été
adoptée :
Ft = 0,9 fu,b As
0,9 f ub A s
Ft.Rd (7)
Mb
Généralement, lorsque la ligne d'action de l'effort appliqué est excentrée par rapport à
l'axe du boulon, une traction additionnelle est induite dans le boulon par effet de levier.
Cet effet est illustré de manière fort simple à la figure 10 où un profilé en T est soumis à
un effort de traction 2F. Au niveau de la déformée flexionnelle des semelles, les boulons
jouent le rôle de pivot ce qui provoque, en réaction, l'apparition d'un effort de
compression (Q) aux bords extérieurs des semelles, appelé effort de levier. Par
équilibre, l'effort de traction dans les boulons vaut Fb = F + Q.
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Le rapport Q/F qui caractérise l'importance de l'effort de levier dépend de la géométrie
et de la rigidité des pièces assemblées et de la raideur des boulons. La quantification de
l'effort de levier, avec pleine prise en compte de tous les paramètres, va bien au-delà de
la portée de cette leçon. Ce problème sera traité dans les leçons 11.4.
Fv (cisaillement) et Ft (traction).
L'interaction entre ces deux efforts a été étudiée au moyen d'essais de laboratoire [5] et
de leurs résultats, la relation bilinéaire suivante, que doivent satisfaire les boulons
soumis à cisaillement et traction, a été établie :
Fv Ft
1,0
Fv.Rd 1,4 Ft , Rd
La pleine résistance en traction est donc disponible tant que les valeurs de l'effort de
cisaillement ne dépassent pas près de 30 % de la capacité en cisaillement Fv.Rd, comme
le montre la figure 11.
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Cette propriété est utile lorsque l'on envisage des situations telles que celles décrites à la
figure 2 (M et V) ou les boulons B de la figure 3.
L'emploi des formules d'évaluation des résistances de calcul Fv.Rd et Ft.Rd, pour des
efforts de cisaillement et traction appliqués au niveau de la partie filetée du boulon, est
limité à des boulons fabriqués en conformité avec les règles ISO [1,6]. Pour les autres
produits à filets taillés comme les tiges ou les barres d'ancrage fabriquées à partir de
barres en acier cylindriques et pour lesquelles les filets sont taillés par le constructeur
métallique et non par un fabricant de boulon spécialisé, les valeurs de résistance citées
ci-dessus doivent être réduites en les multipliant par un facteur 0,85.
En raison de la forme particulière de leur tête, les boulons à tête fraisée (figure 12) ont
une résistance de calcul à la traction et au cisaillement qui doit également être réduite.
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11. EXIGENCES EN MATIERE D'ENTRAXES
11.1 Base
Le positionnement des trous de boulons doit être réalisé de manière à éviter la corrosion
et le voilement local ainsi qu'à faciliter l'installation des boulons.
Le positionnement doit également être en conformité avec les limites de validité des
règles de calcul utilisées pour déterminer les résistances de calcul des boulons selon
l'Eurocode 3 [2].
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11.2.1 Pince longitudinale minimale
La pince e1 entre le centre d'un trou de boulon et le bord d'extrémité qui lui est adjacent,
mesurée dans la direction de l'effort appliqué (voir figure 12a), ne doit pas être
inférieure à 1,2 do où do désigne le diamètre du trou.
Cette pince doit être accrue, si nécessaire, si une résistance adéquate à la pression
diamétrale doit être obtenue, voir chapitre 8.
La pince e2 entre le centre d'un trou de boulon et le bord longitudinal qui lui est
adjacent, mesurée dans la direction perpendiculaire à celle de l'effort appliqué (voir
figure 13a), ne doit normalement pas être inférieure à 1,5 do.
Cette pince peut être réduite, mais pas au-delà de 1,2 do, à condition de réduire la
résistance de calcul à la pression diamétrale, comme indiqué au chapitre 8.
Dans les autres cas, ces pinces ne doivent pas excéder la plus grande des deux valeurs
suivantes : 12 t ou 150 mm.
La pince ne doit pas dépasser les valeurs maximales susdites afin de satisfaire
également les exigences en matière de voilement local qui sont d'application pour une
paroi en console.
La distance p1 entre les axes des éléments d'attache dans la direction de l'effort appliqué
(voir figure 13b) ne doit pas être inférieure à 2,2 do. Cette distance doit être accrue, si
nécessaire, pour procurer une résistance adéquate à la pression diamétrale, voir § 8.
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11.2.5 Entraxe maximum dans les membrures comprimées
Entraxe p1 dans chaque file et entraxe p2 entre les files ne doivent pas être supérieurs à
la plus faible des deux valeurs suivantes : 14 t ou 200 mm. Les rangées adjacentes
d'éléments d'attache peuvent être disposées symétriquement en quinconce, voir
figure 13b.
La distance entre axes des éléments d'attache ne doit également pas excéder les valeurs
maximales susdites afin de satisfaire les exigences en matière de voilement local pour
une paroi interne.
Dans les membrures tendues, la distance entre axes des éléments d'attache p1,i dans les
files intérieures peut être le double de celle prescrite au paragraphe 11.2.5 pour les
membrures comprimées, à condition que entraxe p1,o dans les files extérieures, le long
des bords du plat, ne soit pas supérieur à celle préconisée au § 11.2.5, voit figure 13c.
Ces deux valeurs peuvent être multipliées par 1,5 dans les membrures qui ne sont pas
exposées aux intempéries et aux atmosphères corrosives.
Les cornières assemblées par une file unique de boulons dans une des ailes, voir
figure 14, peuvent être néanmoins traitées, au niveau du calcul, comme si elles étaient
chargées sans excentricité et la résistance ultime de calcul de la section nette peut être
déterminée comme suit :
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2,0 e 2 0,5 d o t f u
avec 1 boulon : N u.Rd
M2
3 A net f u
avec 2 boulons : N u.Rd
M2
3 A net f u
avec 3 boulons ou plus : N u.Rd
M2
Page 23
où 2 et 3 désignent des coefficients réducteurs qui dépendent de entraxe p1
comme indiqué au Tableau 3. Pour des valeurs intermédiaires de p1,
la valeur de peut être déterminée par interpolation linéaire
12. CONCLUSION
La résistance en cisaillement d'un boulon est d'autant plus faible que le rapport
entre contrainte d'élasticité et contrainte ultime est grand.
Lorsqu'une cornière est attachée par une aile, de la flexion apparaît dans le profilé
et la section doit être réduite.
Page 24
12. BIBLIOGRAPHIE
[3] Kulak, G. L., Fisher, J. W. and Struik, J. H., A Guide to Design Criteria for
Bolted and Riveted Joints, 2nd ed, 1987, Wiley.
[5] Shakir-Khalil, H and Ho, C. m., Blacs Bolts under Combined Tension and
Shear, The Structural Engineer, 57B, N° 4 (1979).
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TRADUCTION DES FIGURES
Plan de cisaillement dans la partie filetée Plan de cisaillement dans la partie non filetée
Boulons A Boulons B
Note : - Ces contraintes sont dessinées pour le cas dans lequel l'aire totale des plats de
recouvrement est égale à celle du plat central.
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Figure 7 - Distribution des efforts de cisaillement dans un assemblage long (a) résultant de
l'incompatibilité des déformations en traction des éléments assemblés (b)
Cisaillement Traction
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