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SLSI - Guide Maintenance Et Entretien Des Batiments Publics
SLSI - Guide Maintenance Et Entretien Des Batiments Publics
MINISTERE DE L'EQUIPEMENT
ENTRETIEN PREVENTIF
SOMMAIRE
AVANT-PROPOS 1
PRESENTATION DU GUIDE 3
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AVANT-PROPOS
L'objectif attendu d'un équipement ou d'un bâtiment public ne se limite pas seulement aux
performances de coût-qualité-délai appréciées à l'achèvement de la réalisation, mais
réside manifestement dans la fiabilité, la sécurité, la durabilité, le coût global intégrant les
dépenses de maintenance et la régularité du service rendu. Ceci ne peut être atteint que si
une maintenance bien organisée, correctement planifiée et judicieusement programmée
est assurée. La Maintenance n'est donc pas, une opération à improviser, ni aléatoire, mais
plutôt un processus scientifique, lent, nécessitant une recherche appliquée permanente,
une participation volontaire de tous les intéressés, un engagement collectif qui vise à
préserver l'acquis.
La Maintenance est également, un état d'esprit, une mentalité qui prépose certaines
attitudes et certaines valeurs qui doivent être enracinées dans la façon de faire de tous les
agents responsables de cette activité.
Cette intériorisation consciente de la valeur économique et sociale du patrimoine, et le
sentiment constant de responsabilité à son égard conditionnent la pérennité des
investissements.
En effet, la maintenance ne doit pas naître une fois le projet réalisé, mais sa prise en
compte doit intervenir suffisamment en amont dès la conception du projet et doit constituer
une préoccupation constante non seulement des exploitants mais aussi des concepteurs
de ce projet, des planificateurs, des programmeurs de budget et des réalisateurs.
II est donc, nécessaire que les Maîtres d'Ouvrage et les professionnels déploient les
efforts nécessaires pour asseoir les bases de gestion et d'organisation de l'activité
maintenance et ce par :
• La rationalisation des coûts d'exploitation, les exigences sur la qualité des services,
conduisent ceux qui ont en charge l'outil de production à rechercher, sans
compromettre la sécurité des biens et des personnes, un optimum entre performances,
disponibilité, coût, etc.
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• assurer la disponibilité opérationnelle des biens pour les besoins requis, au coût
optimum ;
• assurer la sécurité opérationnelle tant pour les biens et les personnes que pour
l'environnement, dans le strict respect de la réglementation
Il parait évident que la fonction Maintenance est celle qui a notamment pour tâche de
mettre en œuvre en phase opérationnelle "l'ensemble des propriétés qui décrivent la
disponibilité et les facteurs qui la conditionnent : fiabilité, maintenabilité et logistique de
maintenance " tout en apportant l'assurance que les équipements seront en état de
répondre aux besoins requis ou en mesure d'assurer leur fonction requise.
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PRESENTATION DU GUIDE
Le présent guide est destiné à aider les gestionnaires des bâtiments publics dans la
détection des désordres, dans leur diagnostic et dans le choix d'une technique d'entretien
simple dans le cadre de la maintenance préventive.
L'objectif est de répondre aux besoins, en apportant sous une forme cohérente et
applicable, des informations jusqu'à présent ignorées ou inexploitées.
Pour chaque ouvrage étudié dans ce guide, le plan du texte se compose de trois parties :
• La deuxième partie traite des éléments à examiner pour l'entretien préventif. Elle
comporte pour les composants de l'ouvrage connus pour leur vulnérabilité, les
principaux symptômes de désordres visibles extérieurement. Dans chaque cas,
on précise les points d'observation et le cas échéant, les méthodes simples
susceptibles d'aider à cette vérification.
• La troisième partie est une liste récapitulative des vérifications à assurer au titre
du dépistage précoce. Et quelques solutions pratiques de maintenance
préventive.
• Electricité
• Installation solaire
• Ascenseurs
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1 - ENTRETIEN SIMPLE DE GROS ŒUVRES,
REVETEMENT ET ETANCHEITE
1-1- EGO1 : STRUCTURES ET MACONNERIE
I- DESCRIPTION ET TERMINOLOGIE SOMMAIRE DES OUVRAGES
Voir documents suivants élaborés par la DEP :
• Réduction de rigidité des poutres par fissuration du béton ou corrosion des armatures ;
• Dilatation thermique ;
Les déformations excessives génèrent surtout des désordres dans les éléments portés
tels que : cloisons, revêtement de sol.
Corrosion des armatures
• Enrobage défectueux ;
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• Visite et établissement des fiches techniques des désordres ;
• Analyse des fiches en vue de juger de l'impact des désordres sur la conservation des
ouvrages ;
• Suivi des désordres les moins évidents dans le temps (fissures liées à des
déformations, ouvertures de joints etc.) ;
Dans tous les cas il est nécessaire d'agir au niveau des points qui peuvent constituer des
dégradations accélérées telles que la corrosion, l'humidité, l'attaque des bétons par
déformations exagérées :
• Relever :
− l'attaque de l'étanchéité ;
• La peinture.
Dans le cas d'apparition de désordres, tels que fissures au niveau du béton, ou bien
d'autres symptômes difficiles à interpréter, dans ces conditions l'intervention d'un
spécialiste s'avère nécessaire pour éviter tout risque de nature à causer des catastrophes.
• Guide de peinture ;
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• CPC applicable aux travaux de revêtement de sol ;
• Déjections plus ou moins nocives des êtres vivants, oiseaux, mammifères, etc.
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• Vapeur d'eau engendrée par l'occupation des locaux ;
• Nettoyer régulièrement avec une éponge ou une serpillière humide, ne jamais utiliser
des produits acides ou abrasifs ;
• Des rayures et usures provoquées par la circulation et les déplacements éventuels des
mobiliers ;
Attention, le lavage doit être fait sans excès d'eau, par exemple avec une serpillière tordue
avant de la passer sur le dallage Ne jamais utiliser d'eau de Javel ou de détergent acide
ou abrasif.
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Le nettoyage doit être quotidien, par contre, la fréquence des lavages est fonction de
l'utilisation du local.
Pour maintenir son brillant à un dallage poli, on peut de temps à autre, mais sans excès,
l'encaustiquer avec une encaustique liquide de couleur blanche, composée de cire molle
saponifiée en milieu aqueux, ensuite frotter à la peau de mouton sans lustrer de façon à
ne pas rendre le dallage dangereusement glissant.
1-2--4- EGO2 : DALLAGES ET ESCALIERS EXTERIEURS
I- DESCRIPTION ET TERMINOLOGIE SOMMAIRE DES OUVRAGES
Se reporter aux documents cités au paragraphe 1 (2-1-1 EGO2).
II- INDICES ET MANIFESTATIONS PREALABLES A UN DESORDRE
Encrassement provoqué par :
• Remontée capillaire d'eau venant du sol, pouvant contenir des matières organiques
plus ou moins nocives ;
Pour bien se conserver, dallages et escaliers extérieurs doivent comporter des pentes
suffisantes et convenablement posées pour l'évacuation de l’eau, et des joints souples de
décompression d'autant plus nombreux que le matériau est sombre et que son coefficient
de dilatation thermique est plus élevé.
III- VERIFICATIONS OU INTERVENTIONS A ASSURER
Entretien courant
L'entretien courant des dallages et escaliers extérieurs consiste à les débarrasser
régulièrement des poussières, apports salissants ou abrasifs, déchets variés qui s'y
déposent. Le nettoyage peut se faire par balayage ou lavage, ou combinaison des deux
opérations.
Le nettoyage doit être quotidien, surtout au moment de la chute des feuilles si le dallage
ou l'escalier se trouve à proximité des parties boisées.
N.B.
Le nettoyage des revêtements du sol doit être fait en évitant l'humidification excessive de
la menuiserie des portes et des baies qui engendre la pourriture du bois.
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1-3- EGO3 : ETANCHEITE
I-DESCRIPTION ET TERMINOLOGIE SOMMAIRE DES OUVRAGES
Se reporter aux documents suivants élaborés par la DEP :
• Manuel d'étanchéité ;
• L'agression de ces terrasses peut résulter des matières solides telles que des solides
légers et apportés par le vent, objets divers ou encore jetés des étages surplombant la
terrasse ou encore des solides posés par des ouvriers, cas des poseurs des antennes
de télévision, etc.,
• Les agents d'agression les plus courants sont la pluie chargée des agents chimiques
résultant de la pollution de l'atmosphère et le rayonnement solaire.
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• Déposer les grilles amovibles des cuvettes, sonder les moignons ;
• Vérifier le serrage des colliers, les traces de corrosion des dispositifs de fixation des
garde-corps métalliques.
Les reliefs :
• Noter l'état de conservation des feuilles métalliques, les fissurations des costières.
Les pénétrations :
• Relever les fissurations des costières et sur les souches du bandeau saillant ;
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Se reporter aux documents suivants élaborés par la DEP :
• Guide menuiserie
• Les défauts des joints des vitrages et des feuillures mal conçues ;
• Les assemblages défectueux, l'absence ou le mauvais collage, les jeux excessifs dus
au retrait des bois ou à des usinages imprécis ;
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• L'état des matériaux constitutifs des menuiseries : état du bois, déformations,
humidité ;
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de contrôle et de vérification
• Un dispositif différentiel ;
Le choix de la méthode d'amélioration de la prise de terre dépend d'une étude qui résulte
de la résistance de la prise de terre mesurée à celle envisagée à obtenir ainsi que la
résistivité du sol.
Des études ont conduit à déterminer les tensions de contact tolérables par le corps
humain :
Ces valeurs conduisent à des intensités de courant traversant le corps humain, nettement
inférieures à 1A (un ampère).
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C'est pour cette raison qu'on fait appel à des dispositifs différentiels de courants
nominaux : 650 ma, 500 ma, 300 ma, 30 ma, Etc. (ma=milliampère).
Ces courants nominaux doivent être choisis en fonction des valeurs de la prise de terre
afin de limiter la tension de contact à la valeur définie par la norme NFC 15-100 et
résumée dans le tableau suivant.
Courant nominal du dispositif valeur maximale de la prise de
différentiel terre
650 ma 38 ohms
500 ma 50 ohms
300 ma 83 ohms
30 ma 830 ohms
• Soit par un câble en cuivre nu de section 25 mm² minimum, ce câble doit être enterré
en contact direct avec le sol.
• Soit par un câble en acier galvanisé de section 95 mm² minimum, ce câble doit être
noyé dans le béton de propreté des fondations du bâtiment enrobé sur tous ses cotés
d'une épaisseur de béton d'au moins 3 cm.
• Soit par un feuillard en acier d'au moins 100 mm2 et de 3 mm d'épaisseur, disposé de
préférence sur chant et noyé dans le béton de propreté de la même manière que le cas
précédent.
• Soit par des piquets en cuivre enfoncés verticalement à une hauteur de 2 mètres
environ.
• Soit par la mise en place de piquets de type coperweld, à enfoncer verticalement d'un
seul élément ou élément par élément, ceux-ci étant emboîtés ou vissés.
• Soit par l'emploi d'une tôle en acier galvanisé rectangulaire 0,5 m/1 m ou carrée de 1 m
de coté enfouie verticalement en sorte que le centre de la plaque soit à 1 m du sol. Ces
plaques devront avoir une épaisseur de 2mm ;
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équipotentielles. En effet la présence d'une prise de terre n'est pas suffisante pour assurer
la protection si toutes les masses métalliques ne sont pas reliées entre elles et raccordées
à cette prise ;
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• Des câbles, conduits et chemins de câbles ;
GROUPE ÉLECTROGÈNE
Ce sous-lot concerne le groupe de secours d'une alimentation électrique.
Nature de l'entretien :
• Vérification :
COURANTS FAIBLES
Définition :
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• Sous-lot : Détection d'incendie-réfection de l'installation
• Sous-lot : Sonorisation ;
• Un réseau d'évacuation d'eaux usées, vannes et pluviales en tube PVC et/ou de fonte ;
Les défaillances dans les équipements techniques et spécialisés sont classées en deux
familles :
Défaillance dans les réseaux ;
Défaillances dans les appareillages.
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• Mauvais raccordements de tuyauteries et de gaines mal rivetées ;
De toutes ces défaillances, nous remarquerons que particulièrement l'air et l'eau mal
utilisés sont de réels accélérateurs de défaillances.
L'AIR
L'air frais est sain, mais pour les installations thermiques c'est un véritable destructeur.
L'air et avec lui de l'oxygène, attaque et rouille toutes les parties métalliques.
Ceci signifie, le blocage des organes de réglage, la corrosion des chaudières et des
tuyauteries, la turbulence dans les circulateurs et les pompes de distribution.
En outre l'air introduit dans les installations s'agglutine dans les parties hautes des
installations et forme des poches d'air, qui par son importance interrompe la circulation de
l'eau au dernier niveau du bâtiment : donc plus de chauffage ou de climatisation.
L'air peut s'introduire de deux manières :
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L'EAU
Quand il y a de l'eau, il y a de la corrosion.
La corrosion résulte essentiellement de la réaction entre le métal et le milieu agressif, en
l'occurrence l'eau.
Or dans toutes nos installations "fluides’’ l'eau est omniprésente sous forme liquide ou
vapeur.
Les caractères de corrosion commencent par conséquent à se dessiner sur les parois et
augmentent la fragilité et la résistance du métal.
Ceci signifie : risque de fuite d'eau par les canalisations, chute de rendements de la
chaudière et des échangeurs, entraînement de particules rouillées dans les tuyauteries.
etc.
En parallèle les problèmes dus aux traitements des eaux et des sels minéraux entraînent
la formation de calcaire.
Conséquences directes :
Conséquences pratiques :
Les effets des défaillances ne tardent pas à surgir et leur conséquences se traduisent par :
• Des dégâts indirects dus à l'eau tels que les dégradations des revêtements, des
documents entreposés, et agencement intérieur. Celui-ci étant particulièrement
coûteux.
• Vérifier la stabilité des supports des appareils sanitaires. Une instabilité pourrait
engendrer la chute des appareils ou du moins la casse des tubes d'alimentation et
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d'évacuation.
• Vérifier l'état des robinetteries et chasses d'eau qui nécessitent parfois que des joints
d'étanchéité ou écrous de serrage,
• Eviter l'utilisation dans une même installation des tuyauteries en acier et en cuivre.
Particulièrement si ce dernier se trouve en amont ;
• Protéger les tubes froids par un revêtement anticorrosif, afin d'éviter les corrosions par
condensation.
• Protéger extérieurement les conduites froides de celles chaudes par revêtement anti-
corrosif. Les croisements entre les deux conduites favorisent la corrosion ; la plus
chaude jouera le rôle d'anode par rapport à la plus froide ;
• Renouveler la peinture antirouille sur tous les supports, pièces et chutes métalliques ;
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II- INDICES ET MANIFESTATIONS PREALABLES A UN
DESORDRE
Se reporter au paragraphe II (2-3- EP1)
• Vérifier l'état des bouches d'arrosage, du tuyau souple du robinet d'incendie armé et de
sa lance.
• Vérifier les assemblages et raccords entre les pièces filetées donnant lieu à des
aérations différentielles pouvant provoquer de la corrosion ;
• Eviter l'introduction excessive d'eau d'appoint qui vient renouveler l'oxygène de l'eau.
Utiliser à cet effet des vases d'expansion fermés limitant l'évaporation. En parallèle,
des remplissages nombreux risqueraient d'entartrer la chaudière ;
• Purger convenablement l'installation aux points hauts afin d'éliminer les poches d'air et
d'améliorer la circulation d'eau ;
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• Essayer d'éviter l'arrêt du chauffage pendant quelques heures sous prétexte
d'économiser du mazout. Sinon les appareils seront excessivement sollicités ;
• Nettoyer au moins une fois par an la chaudière et son conduit, après la période de
chauffage ;
• Contrôlez les pressions hydrauliques d'utilisation. Au besoin vérifier les purgeurs aux
points hauts, et éventuellement les réducteurs de pression à l'alimentation ;
La climatisation comprend :
• Une centrale de production d'air climatisé ou d'eau glacée par refroidisseur (ou pompe
à chaleur) ;
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• Un réseau de distribution aéraulique (air climatisé) et hydraulique (eau glacée) ;
• Les batteries thermiques et leurs ailettes sont à nettoyer pour augmenter le rendement
des transferts de chaleur. L'encrassement de la surface extérieure du condensateur fait
augmenter la température de liquéfaction. Pour 1° c de plus, la consommation de
compression augmente de 3 % ;
Les révisions seront accentuées sur, l'étanchéité des segments dans les cylindres,
l'étanchéité des soupapes et des dispositifs de sécurité ;
• Contrôler l'état des filtres, et au besoin les nettoyer ou les remplacer. Un filtre
encrassé. fait augmenter la chute de pression et fait diminuer le débit d'air à souffler ou
à extraire ;
• Contrôler et vérifier le fonctionnement des ventilateurs qui sont à la base d'un soufflage
d'air ou éventuellement d'un désenfumage en cas d'incendie ;
• Vérifier les circuits électriques, serrage des liaisons électriques, (un câble mal serré
engendre une chute de tension souvent néfaste pour le groupe), l'état des contacteur…
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ECL/4 : INSTALLATION SOLAIRE
I- DESCRIPTION ET TERMINOLOGIE SOMMAIRE DES
OUVRAGES
L'installation solaire comprend :
• Veiller à ce que l'orientation des capteurs soit plein sud avec une tolérance de plus ou
moins 15° ;
• Vérifier l'état des calorifuges des canalisations et des ballons de stockage. (Les pertes
thermiques pour un réseau correctement calorifugé se situent entre 25 à 35 % de
l'énergie produite par les capteurs) ;
• Vérifier l'état des joints surtout quand le fluide caloporteur est de l'eau glycolée. Celle-ci
étant plus fluide que l'eau. il y a lieu de prévoir des joints soudés ou brasés, et des
pompes sans presse étoupes.
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II- INDICES ET MANIFESTATIONS PREALABLES A UN
DESORDRE
L'intervention prévoit le remplacement d'appareils ou de parties d'appareils bénéficiant par
ailleurs d'un contrat d'entretien dit ‘complet '. Le remplacement des pièces mécaniques et
des dispositifs hors service par usure est donc supposé réalisé au "fil de l'eau" dans le
cadre du contrat (cf. guide technique sur lot ascenseurs).
Nature des travaux :
1- Entretien normal ou simple : Cabines :
• Bouton d'envoi ;
• Paumelles de porte ;
• Contact de porte ;
• Coulisseau de cabine ;
• Cellule photoélectrique.
Paliers :
• Serrures électromécaniques ;
• Impulseurs ;
• Orienteurs ;
• Parachute de sécurité.
Machinerie
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• Treuil (arbre â vis, engrenage, poulies palier, roulements, coussinets) ;
• Transformateurs ;
• Organes de sélection ;
• Contrôleur d'étages ;
• Régulateur de vitesse.
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