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MEMOIRE
PRESENTE EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLOME DE MASTER
INTITULE
CONCEPTION ET AUTOMATISATION D’UN SYSTEME
DE PALETTISATION DES BOUTEILLES
- UNITE LABELLE - ANNABA
DEVANT LE JURY
PRESIDENT :L. LAOUAR Grade: Pr UNIVERSITEANNABA
EXAMINATEURS :
-L.LAOUAR Grade: Pr UNIVERSITE ANNABA
-O.BOUSSAID Grade: MC–A UNIVERSITEANNABA
- R. YOUNES Grade: MA– B UNIVERSITE ANNABA
-A. DIB Grade: MC– A UNIVERSITE ANNABA
Dans le cadre du stage d’une durée d’un mois, effectué au niveau de l’Entreprise Spa CGS
Labelle sise à Annaba, il nous a été donné de constater, qu’au niveau de la ligne de
production, particulièrement au niveau du processus de palettisation, le travail se fait
manuellement ou partiellement mécanisé, engendrant ainsi, une faible productivité et un
risque majeur concernant la sécurité et la protection des personnes.
Ce constat a été la principale motivation du choix du thème de notre mémoire intitulé
« Conception et automatisation d’un système de palettisation ».
Un palettiseur est une machine qui permet d'empiler automatiquement des produits ou
marchandises sur une palette. En plaçant manuellement des boîtes sur des palettes peut
prendre beaucoup de temps; et tout cela dépends des travailleurs ce qui reste un facteur
inconnu dans le rondement.Les Palettiseurs Robotisés ont été introduits au début des années
80, et ont un bras d'outil (effecteur) pour saisir le produit à partir d'une table élévatrice ou un
convoyeur et le positionner sur une palette. Les palettiseurs conventionnels et robotiques
peuvent recevoir le produit à des hauteurs importantes (typiquement entre 2,13 m à 3,15 m)
ou très bas (au niveau du sol) (typiquement à 0.76m 0,91 m). [1]
L’évolution de cette technologie, apportera sans aucun doute, des solutions à notre
problématique qui se résume comme suit :
L’objectif à atteindre est de concevoir un système de palettisation automatique comprenant :
un distributeur de palettes, un robot cartésien de palettisation, un mécanisme d’alimentation
en feuilles de séparation des couches et un convoyeur a rouleaux.
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- Le choix des solutions de montage.
3éme chapitre : Dans le troisième chapitre, nous présentons l’automatisation du système de
palettisation, l’instrumentation nécessaire ainsi que le choix de l’automate régissant toutes les
opérations correspondantes aux différentes tâches de palettisation.
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Démucilagination :
Comme son nom l’indique l’opération consiste à retirer les mucilages de l’huile. Pour
cela l’eau est l’acide sont chauffés à 85°C et 80°C respectivement. L’acide phosphorique
s’ajoute à l’eau puis l’eau acidulée est mise en contact avec l’huile dans deux cuves de
contact pour parfaire la démucilagination en prolongeant le temps de contact.
Neutralisation :
La soude reste la méthode la plus employée pour séparer les acides gras libres. En plus de
son effet neutralisant, la soude permet de débarrasser l’huile de la quasi-totalité des
phospholipides restants, et d’éliminer les traces métalliques (fer et cuivre) qui sont des
catalyseurs d’oxydation.
Il est possible de coupler la démucilagination et la neutralisation, dans ce cas les
phospholipides et le savon sont séparés en une seule étape de centrifugation. Les deux
étapes sont effectuées en continu à 80° C environ.
Cristallisation :
Au cours de cette étape l’huile est refroidie dans un échangeur thermique, le rôle de cette
étape est de cristalliser les cires pour faciliter leur séparation dans la centrifugeuse.
Centrifugation :
Cette opération a pour buts de séparer les pates (mucilages et savons) et les cires, afin
d’obtenir une huile neutre, cela se fait par le biais d’un effet turbine qui sépare les
éléments de masse différentes (les pates se collent aux parois).
Lavage :
Le lavage consiste à éliminer les substances alcalines présentes dans l’huile après la
neutralisation (savon et soude en excès), donc l’huile doit subir un deuxième lavage avec
de l’eau chaude adoucie à une température inférieure à 95 ° C. après chaque lavage le
mélange huile/eau passe à travers un séparateur, l’huile se sépare de l’eau enrichie en
savon sous l’effet d’un « vide » réalise par une différence de pression de 8 bars.
Séchage :
Le but de cette opération est d’éliminer l’excès d’humidité dans l’huile lavée avant la
décoloration qui peut provoquer un colmatage rapide car la présence de l’humidité dans
l’huile augmente son acidité qui se traduit par sa dégradation. Le séchage est réalisé en
chauffant l’huile à une température de 80-90°C.
Décoloration :
La décoloration des huiles est obtenue par absorption des pigments qui sont responsables
de la couleur foncée de l’huile sur une terre décolorante (argile), maintenue en contact
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
avec l’huile dans l’agitateur environ 20 minutes sous vide à une pression de 1.06 bar et
une chaleur de 80° C. ce qui permet à l’huile et la terre d’être mélangé.
Filtration :
Le but de la filtration est la séparation de terre décolorant de l’huile. La filtration de
l’huile chargée de terre décolorante est réalisée dans des filtres NIAGARA à plaque
filtrantes en acier inoxydable qui amasse la terre décolorante à fur et à mesure.
La désodorisation :
Le but de ladésodorisation est d’éliminer les acides gras et les substances odoriférantes,
par entrainement à la vapeur sous vide et à température élevée. Cela commence par le
préchauffage de l’huile à 140°C puis elle passe dans le désodoriseur ou une vapeur est
injecte dans l’huile maintenue en état d’agitation permanente a températures variantes
entre 220-260°C durant 2 heures environs.
Refroidissement :
L’huile désodorisée passe dans un réservoir de refroidissement, il est sous le même vide
que le désodoriseur, de la vapeur est injectée pour éliminer les dernières traces d’acide
gras et de substances odoriférantes, l’huile est refroidi a une température de 65°C et elle
est envoyée vers les filtres de polissage.
polissage :
La brillance de l’huile est obtenue à l’issue de ce processus, ou l’élimination des dernières
traces de terre décolorante a lieu grâce à des filtres presses constitués de plateaux empilés
séparés par des papiers cellulose.
L’huile finie :
L’huile reste au niveau des réservoirs pendant 15 à 30 jours, le temps de la vérification de
la stabilité des caractères physicochimique, et ce afin d’assurer une garantie de la qualité
pour un an.
Stockage :
Le stockage de l’huile raffinée se fait dans des cuves spéciales en inox à une température
de 28°C, équipées d’un système d’injection d’azote. Cette injection se fait d’une façon
périodique, elle protège l’huile raffinée de l’oxydation, par la création d’une couche
empêchant la pénétration et le contact de l’air aux huiles.
L’huile reste au niveau des réservoirs pendant 15 à 30 jours, le temps de la vérification de
la stabilité des caractères physicochimique, et ce afin d’assurer une garantie de la qualité
pour un an.
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
préformes.
Figure I.2 : Insertion de éléments préformes
La Chauffe :
Etape qui repose sur l’élévation graduelle de la température des préformes à l’aide de deux
groupes de chauffage constitués de dix bobines lumineuses chacun (commandé
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
individuellement pour assurer une température de sortie parfaite), qui fonctionnent entre 200-
300°C afin de dilater le préforme en vue de l’étirage.
Etirage et soufflage:
Les deux opérations se font dans le même compartiment de la machine (Le moule) ou deux
bouteilles sont traitées en même temps comme suit :
Les préformes chauds entrent dans le moule d’étirage et de soufflage ou l’opération débute
par le positionnement d’une tige d’élongation qui donne à la bouteille sa hauteur prévue, puis
commence l’opération de soufflage avec une pression initial de 8 bars, ce processus sert à
étaler uniformément le PET dans le moule afin de donner à celui si la forme initiale de la
bouteille, puis un 2eme soufflage a une pression de 40 bars colle le PET au parois du moule,
l’échange thermique qui se produit lors de cette opération permet la stabilisation de la forme
de la bouteille définitive.
Figure I.3 : Souffleuse 2005 SIAPI EASP 20.200/2 PET Blow Mold
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Etiqueteuse :
le procédé d’étiquetage se fait sur les bouteilles à l’aide d’une étiqueteuse automatisée qui
sépare les bouteilles une par une à l’aide d’un vis sans fin qui a un pas aussi grand qu’une
seule bouteille, puis les bouteilles passent devant le point d’étiquetage ou une étiquette munie
de colle maintenue en place grâce à une aspiration sous vide vient se poser et se colle en
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Palettisation :
Regroupement manuel des fardeaux en palettes, chaque palette est composée de 04 étages de
42 bouteille chacun. Le nombre de bouteilles par palette est donc de 168 bouteilles
C’est une opération qui dure entre 7 à 10 min par palette, le nombre de palettes palettisées
manuellement est de 5 à 6 par heure.
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Cette opération consiste à recouvrir la palette d’un film transparent avec une banderoleuse
semi-automatique, à l’aide d’une base rotative ou vient un chariot élévateur poser la palette,
puis un ouvrier bloque une partie du film en dessous de la palette et l’enveloppement débute
après que l’ouvrier appuis sur le bouton marche, à la fin de l’opération il arrête la machine et
découpe le film. L’enveloppement sert entre autre à assurer la propreté des bouteilles à la
livraison en magasin, augmenter la rigidité de la palette lors du transport.
Figure I.9 : Banderoleuse semi- automatique
.
Stockage : Le stockage final de l’huile conditionné s’effectue à l’aide de chariots élévateurs
qui saisissent les palettes depuis l’enveloppeuse et les placent en zone de stockage, ce dernier
ce fait dans des conditions précises de lumière (faible lumière) et de température (inférieure à
28° C) avant d’être commercialiser.
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Productivité
16000
14400
14000
12000
10000
8000 6720
6000
4000
2000
0
Productivité
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Analyse des arrêts techniques de la ligne :Les arrêts sont dusà plusieurs machines, et
différentes causes.Dans le tableau si dessous un récapitulatif des arrêts par machine et leur
durées (Tableau I.1).
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
Placement des fardeaux sur les palettes : Ce processus est le facteur X de toute
l’opération de palettisation car il change au dépend de la vitesse et la fatigue des ouvriers,
et leur condition de santé, et cela en terme de rendement est très néfaste. Remplacer les
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CHAPITRE 1 CONTEXTE GENERALE DU PROJET
ouvriers par un robot cartésien a deux axes avec un préhenseur semble le choix le plus
adéquat, car cela va permettre de :
Stabiliser et accélérer la production.
Limité les risques de santé dus aux postures des ouvriers lors du soulèvement des
fardeaux
Eliminer les indemnisations pour cause d’accidents de travail du a la palettisation
I.7 Conclusion
Ce chapitre a permis de présenter l’entreprise ainsi que ses différentes unités mais aussi de
présenter la manière avec laquelle la palettisation est faite tout en exposant les problèmes liés
à chaque opération d’où en un rendement modeste de l’entreprise. Ce constat a été la
principale motivation du choix du thème de mon projet de fin d’études, qui vise à mettre en
place un système de palettisation automatique pour pallier aux problèmes rencontrés tout en
garantissant un faible cout, une solidité des pièces et équipements, et une manutention aisée
facile. Le chapitre qui suit concerne la partie conception du système.
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Tableau II.1 : La cadence maximale pour chaque machine dans la ligne de conditionnement [2]
III.2.2 Données des palettes qu’utilise l’entreprise
L’entreprise utilise 3 modèles de palettes de dimension : 1200 × 1000 × 146 mm mais
chaque model a son propre poids selon le type de leur bois : 18kg - 20 kg - 25 kg.
On en déduit que le poids à utiliser est le plus important des 3 c.-à-d. : 25 Kg
Le nombre de palette maximal qui utilise dans une heure :
Le nombre de bouteilles sur la palette est de 168 bouteilles (4 couches à raison de 42
bouteilles par couche).
Nombre de palette par heure= cadence maximal de la ligne/ nombre de bouteilles par
palette, soit : 1800 / 168 = 10.7 ≈ 11 palette/ heure
Pour des raisons de sécurité on va prendre un nombre supérieur à celui calculé de 3
palette ce qui augmente le total a 14 palettes / heur
Le nombre de palette porté avec le distributeur de palette :
Pour trouver le nombre maximal de palette porté avec le distributeur de palette il faut
respecter la hauteur maximale du chariot élévateur.
La hauteur maximum qu’un chariot élévateur peut atteindre est de 2.8 m (La norme ISO
11228), la hauteur de palette et 14.6 cm donc le nombre de palette qui peut être stocké
dans le distributeur est de StoPalmax= 280 / 14.6 ≈ 19 palettes, donc le distributeur sera
conçu pour dispenser 17 palettes pour avoir une marge de sécurité.
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
340000 𝐼𝑧
= 7234𝑚𝑚²7,23𝑚𝑚3 ≤ ( )
47 𝑉
En prenant compte de ces résultats et d’après l’annexe 1 on choisit les dimensions du
porteur : 1000x90x90 avec une épaisseur de 3mm (Figure II.3)
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Il est donc vérifié que la contrainte dans le taquet est inférieure à la contrainte maximale
admissible.
Figure II.5 : Flèche réelle de la poutre
La flèche réelle du taquet sera de 0,04mm (Figure II.5)
La flèche admissible pour le taquet est de 0,33 mm. Elle est donc vérifiée. (Tableau II.2)
Il est donc vérifié que la flèche est inférieure à la flèche maximale admissible.
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Il est donc vérifié que la flèche est inférieure à la flèche maximale admissible.
Figure II.7 : Contrainte maximale du taquet
La contrainte maximale dans le taquet sera de 1,4 daN/mm² (Figure II.7)
La contrainte admissible est de 4,70 daN/mm² (Tableau II.2)
Il est donc vérifié que la contrainte dans le taquet est inférieure à la contrainte maximale
admissible.
Le profil choisi est compatible pour cette application suivant les caractéristiques données.
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
𝑊× 𝐹×𝑙
𝐹𝑟 = − −
2𝐶 2𝐶
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
La charge dynamique maximale admissible pour le guidage à billes choisi est de 5800 N,
il est compatible avec notre application.
Avec :
L10 : durée de vie en millions de tours
C : charge dynamique de base (donné par les constructeurs)
P : charge équivalente exercée sur le roulement (voir paragraphe 2)
n = 3 pour les roulements à bille
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
D’après les 2 Forces et une pression de 8 bars. On recherche un diamètre de piston qui
nous offre une force plus élevé que F théorique. Après plusieurs recherches dans les
catalogues de fabricants de vérins pneumatiques, on choisit deux types devérinsde la
marque Festo :
x2 [CompactADN-50-250-A-P-A] d’un diamètre de 50 mm,et d’une course de
250mmqui sert à déplacer horizontalement les taquets. (Figure II.9) (Figure II.10)
x2 [Compact ADN-20-100-A-P-A] d’un diamètre de 50mm, et d’une course de
100mm qui sert à déplacer verticalement le système porte palettes. (Figure II.9)
(Figure II.10)
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Le préhenseur permet de porter deux rangées de bouteilles, la préhension est assuré par
une plaque porteuse actionnée pneumatiqement, et maintenu en place grâce au châssis.
II.4.1 Conception du mécanisme de préhension
Schéma cinématique(Figure II.12)
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Toutes ces données en main, on peut alors choisir les dimensions de la spatule, qui sont
comme suit : 1169 x 100 x 15 mm
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
qui controllent la spatule et leur fixations + son poid a lui-même,le total est de 140kg
c.a.d. 1373 N
le vérin n’assure que le chargement des 3 rangées inferieurs, il doit alors couvrir une
course de 950.5 mm en 10s en Sortie et 10s en entrée.
Calcul de F théorique duvérin principal avec un taux de charge de 75 %
F charge = charge × coefficient de frottement de guidage × nombre de guidage
F charge = 1373 × 0.02 + 1373 = 1401N
𝐹𝑐𝑎𝑟𝑔𝑒
𝐹𝑡é𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 =
𝑡
1401
𝐹𝑡é𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 = =1868 N
0,75
Selon nos résultats (Force et la course développée par le vérin) et d’après l’outil
d’ingénierie [7], on a choisi le vérin :DNC-100-950-PPV-A(Figure II.18)
Calcul des vitesses d’entrée et de sortie :
Les calculs sont faits à l’aide de l’outil d’ingénierie mis à disposition de la part du
fabricant Festo après simulation ils donnent les résultats suivants(Figure II.20), (Figure
II.21), (Figure II.22),(Figure II.23).
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Dimensionnement de la crémaillère
Figure II.27 : Schéma cinématique pignon-crémaillère
Le profil de la crémaillère de référence définit les caractéristiques communes à toutes les
roues cylindriques développante de cercle. Le module calculé par la formule :
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
𝐹𝑡
𝑚 = 2,3 [8]
𝐾×𝑅𝑝 𝑒
Ou :
𝑚 : Module de la crémaillère
𝐹𝑡 : Force tangentielle en newtons
𝐾 : Coefficient de largeur de denture, valeur choisie entre 6 et 10.
𝑅𝑝𝑒 : Résistance pratique à l’extension du matériau de la dent en méga pascales.
Calcul de la force tangentielle
D’âpre la Figure II.27
Ft = Nx0.02 × cos 20
Charge totalF = Réaction(1) = charge porteur + charge système de déplacement horizontal
Reaction N (1) = 140 + 110 = 250 kg
F charge = 2451.66 N
Ft = 2451.66× 0.02× 4 × cos 20 = 184,30 N
Le materiau du pignon etant XC38 et le coefficient de sécurité utilisé est S=2, alors la
résistance pratique est :
𝑅𝑒
𝑅𝑝𝑒 =
𝑠
340
𝑅𝑝𝑒 = = 170 Mpa
2
2303 .81
𝑚 = 2,34 = 2.71 𝑚 = 3 (module normalisé)
10×170
Dimensionnement du pignon[8]
Le diamètre du pignon ne peut avoir moins de 17 dents en raison des interférences de
denture. Nous avons proposé d’utilisé un pignon de nombre de dent Z = 20
Calcul du diamètre primitif : D = m × z
D = 3 × 20 = 60 mm
Calcul du diamètre de tête : Da = D + (2 × m)
Da = 60 + (2 × 3) = 66 mm
Calcul du diamètre de pied : Df = D – (2,5 × m)
Df = 60 – (2.5 × 3) = 52.5 mm
Calcul du pas de la denture : P = π × m
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
P = π × 3 = 9.42
Calcul de la largeur de denture : B = k * m
B = 10 * 3 = 30 mm
II.4.4 Choix du motoréducteur
Le choix du moteur d’un robot est une étape essentielle. Il faut dans un premier temps
déterminer avec suffisamment de précision, le couple, la puissance utile et la vitesse
angulaire qui sera accompli par le moteur.Évidemment, il nous faut calculer ces
spécifications,il est ensuite possible de trouver la gamme de moteurs, qui répondent à nos
besoins (Tableau II.6), (Figure II.28).
Le calcul de la puissance et du couple nécessaire que doit produire le moteur :
Afin de calculer la puissance nécessaire il nous faut certain paramètres, dont:
- la proposition de la vitesse V’
- le diamètre de pignon d
- la force Ft.
V’ = 30 m/min = 0.50 m /s
Dp = 60 mm => R = 0.03 m
Ft = 184,30N
D’après la Figure II.27 on observe que la vitesse V qui sera utilisé pour le calcul est égal
à deux fois la vitesse proposé V’V = 2 × V’ = 1 m/s
Calcul de la vitesse angulaire : ω = V/R
Avec R : le rayon du pignon
Donc ω = 1 / 0.03= 33,33 (rad/s)
nsortie accp = (ω × 30) / π
nsortie accp = (33,33 × 30) / π = 318,31 = 319 (tr/min)
Calcul du couple :
C = Ft × R
C = 184,30× 0.03 = 69.11= 5.53 Nm
Calcul de la puissance utile :
P=C×ω
P = 5.53 × 33,33 = 185 W = 0.2 KW
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Données produit
Vitesse nominale moteur
50/60Hz [rpm] 1456 / 1763
Vitesse de sortie 50/60Hz [rpm] 364 / 441
Rapport de réduction global 4,00
Couple de sortie 50/60Hz [N-m] 7 / 6
Facteur d'utilisation SEW fB
50/60Hz 0,95 / 0,9
Position de montage M1A
Sous-couche / couche finale CA16 Steel-Plus 316 Gris
Position connecteur / boîte à
bornes [°] 180
Entrée des câbles / Position des
connecteurs X
Arbre de sortie [mm] 30x60
Charge radiale de sortie adm.
pour n=1400 [Kg] 358,33
Qté. lubrifiant 1er réducteur
[litre(s)] 0,5
Puissance moteur [Kw] 0.3
Durée de fonctionnement S1-100%
Classe de rendement IE3
Marquage CE oui
Tension moteur 50Hz [V] 220-230D/380-400Y
Courant nominal 50Hz [A] 11,5 / 6,6
Tension moteur 60Hz [V] 254-266D/440-460Y
Courant nominal 60Hz [A] 10,1 / 5,8
Schéma de branchement R13
Fréquence [Hz] 50 / 60
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Accessoires et options
Arbre de sortie: 30x60 mm
Tension de freinage (230V AC
(220-277V))
Lubrifiant: CLP HC-460-NSF-
H1 (-10 / +40 °C): 0,5 litre(s)
Spécifications de construction
globales (CE, UR, CSA)
Multi tension 50/60Hz
Classe d'isolation 155(F)
Ventilation AL – Ventilateur
métallique
Frein BE5 – Frein simple
(exécution FS) (230 V, 40N-m)
Surveillance du frein Module de
diagnostic /DUE pour
surveillance de fonctionnalité et
d'usure
Protection moteur TF – 3 sondes
de température (sans dispositif
de coupure)
Mesure de température PT –
Mesure température par PT100
(1xPT100)
Deux bagues d'étanchéité
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Protection anticorrosion
Protection anticorrosion
Protection de surface OS4
(environnement très agressif)
Indice de protection IP 65
Commande de frein BST –
Module de freinage de sécurité
avec entrée de commande
Tableau II.6 : caractéristiques techniques du motoréducteur
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
C 26 mm
l 24 mm
d 25.6 mm
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Avec :
L10 : durée de vie en millions de tours
C : charge dynamique de base (donné par les constructeurs)
P : charge équivalente exercée sur le roulement (voir paragraphe 2)
n = 3 pour les roulements à bille
n = 10/3 pour les roulements à rouleaux
Application numérique :
3
5800
𝐿10 =
962
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Selon nos résultats (Force et la course développée par le vérin) et d’après l’outil
d’ingénierie [7], on a choisi le vérin : DSBC-125-400-PPVA-N3(Figure III.30)
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
𝑊 𝐹
𝐹𝑎 = −
4 4
Variable de la loi Valeur
W 34 mm
h 14 mm
C 26 mm
l 24 mm
d 25.6 mm
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Avec :
L10 : durée de vie en millions de tours
C : charge dynamique de base (donné par les constructeurs)
P : charge équivalente exercée sur le roulement
n = 3 pour les roulements à bille
n = 10/3 pour les roulements à rouleaux
Application numérique :
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
3
5800
𝐿10 =
1101
L10 = 146.2 million de tours
Calcul de la durée de vie des guidages a billes en heures
3
𝐿10 × 106
𝐿10 h =
60 N
Avec :
L10 : durée de vie en millions de tours
N : vitesse de rotation en tr/min
Calcul de la vitesse de rotation N :
On calcul la vitesse de déplacement : V = d/t = 0.4/4=0.1 m/s
On connait le diametre, donc on peut fair l’equivalence D= 7.5 N = 255 tr/min
Calcul d’e la durée de vie en heurs
L10h = [(219.16 x 106) / (60 x 255)]3= 0.29x1013 h ≈ 0.29 Billion d’heures.
II.5 Mécanisme d’alimentation en feuilles de séparation
Le role de se mécanisme est de prendre les feuilles de séparation et les placer entre les
couches des fardeau dans la palette. Pour se fair la tige fait une translation de 950 mm et
une rotation de 90°(Figure II.36)
II.5.1 Schéma cinématique(Figure II.36)
1_ bras du vérin
2_ tige
3_ ventouse
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
𝑚
D = 11,2
∆𝑝 × 𝑛 × 𝑠 × 𝜇
D = Diamètre de la ventouse mm
m : masse de produit à manipuler Kg
n : nombre de ventouses
μ : coefficient de frottement entre le matériau de la ventouse et le matériau de produit à
manipuler
s : Coefficient de sécurité
- 0,6 pour manutention d’une pièce horizontale.
- 0,4 pour manutention d’une pièce verticale.
∆P : Niveau de vide bar
2
D = 11,2
0,7 × 2 × 0,4 × 0,5
D =29,93 mm
On utiliser des ventouses 2.5 soufflets de diamètre nominal D = 30mm
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𝐼𝑚 = 𝑚. 𝑙²
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Vérin rotatif
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Rouleaux: acier zingué Ø89 épaisseur 3 mm, axe Ø20, équipé de pignons doubles à 17
dents pour chaîne au pas de 15,8 mm.
Groupe de commande:
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
• Motoréducteur à vitesse fixe placé sous l'appareil, 230/400 V TRI (IP 55).
• Vitesse fixe : 13 m/mn.
Dimensions :
Charge admissibles :
II.7 Calcul et dimensionnement du batis
Le batis doit supporter le poid total des equipements liée avec lui,il doit donc etre d’une
matiere résistante avce des propriétes elastiques et contraintes spécifique. (Tableau II.10)
(Figure.42),(Figure.43),(Figure.44),(Figure.45), (Figure.46),(Figure.47).
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
II.8 Conclusion :
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CHAPITRE 2 CONCEPTION DU SYSTEME DE PALETTISATION
Dans ce chapitre nous avons jugé utile, la conception d’un distributeur de palettes, d’un
mécanisme d’alimentation en feuilles de séparation des couches, et un convoyeur a
rouleaux et ce en plus du robot palettiseur afin de créer un système de paletisation
automatique. pour obtenir un fonctionnement a pleine capacité de la ligne de production,
l’amelioration des conditions de travail, la gestion des palettes etc…
Pour pouvoir réaliser l’ensemble des machines cités ci-dessus, il a été necesaire de
disposer d’un certain nombre d’elements et repondre a certaines exigences techniques,
dont essentiellement : la mise en situation, le choix des éléments constituants, le choix
des materiaux, le choix ,le calcul et le dimensionnement de chaque composant.
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la fidélité
le temps de réponse
prix
sa robustesse et son étanchéité
son gabarit
type de fixations
Démarche pour le choix des capteurs
Pour arriver à un choix, il faut passer par deux phases essentielles, qui ont pour but de
clarifier les solutions qu’on peut utiliser afin de palier à nos besoins
Phase n° 1 :Consiste à déterminer la famille de détecteurs adaptée à l’application :
L’identification de la famille recherchée s’effectue par un jeu de questions / réponses
chronologiquement posée, portant sur des critères généraux et fondamentaux s’énonçant en
amont du choix (figure III.4):
- Nature de l’objet à détecter : solide, liquide, gazeux, métallique ou non.
- Contact possible avec l’objet.
- Distance objet/détecteur, masse de l’objet.
- Vitesse de défilement.
- Cadences de manœuvres.
- Espace d’intégration du détecteur dans la machine.
Phase n° 2 :Vise à déterminer le type et la référence du détecteur recherché.
Cette deuxième phase tient compte de:
- L’environnement : température, humidité, poussières, projections diverses, etc.
- Source d’alimentation : alternative ou continue.
- Signal de sortie : électromécanique, statique.
- Type de raccordement : câble, bornier, connecteur.
L’organigramme illustre cette démarche qui conduit à faire la sélection d’une famille de
détecteurs sur la base de critères simples [14]:
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sa précision et temps de réponse. Son rôle est de détecter la position des vérins
Figure III.5 Capteur de proximitéSME-8-FM-DS-24V-K-1,0-OE
Capteurs optoélectroniques FESTP SOEG-RS/RT
Leurs rôle est de détecter la présence ou la position des objets à l’aide d’un laser, ils sont
précis, fiable, et très réactifs. Ils ont comme emplacements dans notre système :
- Distributeur de palettes : Détection de la présence de la palette sur le porteur.
- Convoyeur à rouleaux : Présence des palettes, et leurs positions.
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Le choix d'un automate va se faire suivant des critères différents, suivants lesquelles on
vajuger quelle automate répond le plus à notre cahier des charges. Ci-dessous est une liste de
quelques critères qu’on va prendre en compte
Le temps de cycle : certains automates ont des temps de cycle plus rapides face à
d'autres.
L'intuitivité de l'environnement de développement : certains automates ont des
logiciels de programmation plus aboutis, et intuitifs comparés à d'autres. Cela permet un
gain de temps énorme lors des développements
La pluridisciplinarité : l’API doit avoir la capacité de répondre à toutes les disciplines
d’automatisation : contrôle-commande, régulation, optimisation des réglages et des
procèdes, cinématique…etc.
La renommée de la marque et la qualité des services et la disponibilité des
composants de rechange : certaines marques d'automates sont plus connues et ont de
meilleurs services ou représentants ce qui leur permet d'offrir des services telle que le
suivit client mais aussi l’installation et configuration, et formation à l’achat, maintenance
prédictive et une bonne gestion des stocks de pièces de rechange.
Le coût : pour notre projet d'automatisation, il est préférable de choisir un automate
simple, dans le but d’économiser l’argent, et le temps de formation à son fonctionnement.
La Scalabilité : pouvoir utiliser la mêmeplate-forme logicielle d’une configuration
modeste de 20 E/S, jusqu’à une configuration imposante de 8000 E/S simplifiera
grandement la mise en place, l’exploitation, et une éventuelle extension.[17]
Notre choix se porte sur l’automate programmable de la marque SIEMENS S7-1200, qui est
la marque d’automates la plus utilisé à travers le monde pour les raisons suivants :
- L’API SIEMENS est un automate qui permet la programmationmulti-langages les mises
au point et les dépannages peuvent être assurés dans les meilleurs conditions puisque tout
le personnel de l’unité est bien familiarisé avec la technologie à relais ;
- Coût moins élevé que les autres ;
- Un jeu d’instruction puissant ;
- Il est installé dans tous les plus grands pays industrialisés ;
- Possibilité de contrôler jusqu’à 4096 points d’entrées et sorties ;
- Choix de multiples processeurs, réseaux et taille mémoire.
III.4.1 Automate programmable SIEMENS SIMATIC S7-1200
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industriels et des universitaires. Cette commission, créée le 26 juin 1975, a défini les bases du
grafcet dans son rapport final achevé en avril 1977. Le grafcet a été conçu comme un système
unifié d'expression qui n'est la propriété de personne.[18]
III.5.2 Les différents points de vue d’un Grafcet
La description du fonctionnement d'un système par un Grafcet peut prendre plusieurs
formes suivant le point de vue, c'est-à-dire suivant la partie que l'on regarde. On distingue
trois "points de vue" :
- GRAFCET du point de vue système.
- GRAFCET du point de vue partie opérative.
- GRAFCET du point de vue partie commande.
C'est un grafcet établi par un spécialiste, c'est la version qui lui permet d'établir les équations
et éventuellement les schémas de réalisation (électrique, pneumatique...).
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III.6 Conclusion
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Dans ce chapitre nous avons fait le choix des instruments et l’automate nécessaire pour
automatiser notre système de palettisation, et on a réalisé son programme « grafcet » de
fonctionnement du système de palettisation.
Ceci permettra de diminuer l’intervention humaine dans le système, d’où une augmentation
de la productivité et une nette diminution des risques d’accidents de travail.
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CONCLUSION GENERAL
Le travail que nous venons de présenter est l’aboutissement d’une réflexion
portant sur des aménagements au niveau de l’unité de conditionnement de la CGS
LaBelle Annaba, la conception d’un système de palettisation et son automatisation.
Dans le but d’apporter des améliorations telle que:
- l’augmentation de la productivité ;
- l’amélioration des conditions du travail et de sécurité ;
- Réduction des couts de main d’œuvre ;
- Flexibilité de la gestion des stocks.
Nous avons eu l’occasion d’utiliser tous nos connaissances acquis lors de notre cursus
d’études sur ce projet qui couvert plusieurs disciplines, allant de la conception
(Calcules cinématiques, statiques et dynamiques, choix des matériaux,
dimensionnement des différentes partie de notre système de palettisation) ; à
l’automatisation (le choix d’actionneurs, capteurs, et automate à employer)
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[1] Wikipedia, Palletizer [en ligne] (Page consulté le 10/03/2017 19:13).
https://en.wikipedia.org/wiki/Palletizer
[8] Poly Engrenages Techno 1TSI v2015 [en ligne](Page consulté le 7/04/2017
1:55)http://pedagogie.ac-toulouse.fr/lyc-riquet-
saintorens/CPGESII/Technologie/Engrenages/Poly%20Engr%20Techno.pdf
[9] Edseignlab, Roulement : Calcul de durée de vie et capacité de charge (Page consulté le
2/04/2017 20:16).http://edesignlab.fr/roulement-calcul-de-duree-de-vie/
[12] G. ASCH, Les capteurs en instrumentation industrielle (7e édition), Dunod, paris, juillet 2016
[15] Wikipedia, Automate programmable industrielle [en ligne] (Page consulté le 28/05/2017
3:35)https://fr.wikipedia.org/wiki/Automate_programmable_industriel
[16] Robert Cireduu free, Rappels sur le GRAFCET [en ligne] (Page consulté le 3/06/2017
2:41)http://robert.cireddu.free.fr/Ressources/AII/Rappels%20sur%20le%20GRAFCET/Rappels%20
sur%20le%20GRAFCET.pdf
[17] Automation-Sense, critères de choix d’un automate [en ligne] (Page consulté le 5/06/2017
4:56)http://www.automation-sense.com/blog/automatisme/les-criteres-de-choix-d-un-automate-
programmable.html