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BISKRA
ANNEXE : d’OULED DJELLAL
Thème :
LES INCIDENTS ET LES ACCIDENTS AU
COURS D’UNE SÉANCE DE DIALYSE
Réalisé par :
- BARI Abdelouahab.
- MOUNIB Mohammed.
Sous la direction de :
Promotion : 2009-2012
REMERCIEMENTS :
Nous tenons à exprimer notre gratitude à toutes les personnes qui nous ont
apporté leur soutien, leur compréhension et leur aide, pour la réalisation de ce mémoire.
Merci à tous.
SOMMAIRE :
- Introduction.
- Choix du thème.
- Objectifs.
- Problématique.
- Hypothèse.
- Cadre méthodologique.
Partie théorique.
1- Définition de dialyse.
2- Quand et pourquoi commencer la dialyse.
3- Principe de la dialyse.
4- Aspects pratiques de l’hémodialyse.
5- Accès vasculaire.
6- Dialyse péritonéale.
7- Déroulement des séances.
8- Surveillance clinique de la séance de dialyse.
9- Incidents et accidents techniques au cours des séances d’hémodialyse.
10- Rythme et durée de l’hémodialyse.
Partie pratique.
- Description du terrain et de la population d’étude.
- Lecture et analyse des donnés.
- Synthèse.
- Conclusion.
- Suggestions.
- Bibliographie.
- Annexes.
Introduction :
Les reins filtrent en moyenne 180 litres de sang par 24h et fabriquent environ 1.5litres d’urine
par jour. C’est grâce à eux que notre organisme élimine l’eau, les sels minéraux et les résidus du
métabolisme.
Lorsque les reins ne fonctionnent plus (insuffisance rénale), l’eau s’accumule dans notre corps
et stagne au niveau de nos membres inférieurs, mais lorsque les quantités sont importantes, elles
peuvent également envahir les poumons et provoquer un œdème aigu des poumons mettant en jeu
le pronostic vital de l’individu.
Les valeurs des sels minéraux tels que le potassium, le calcium, le phosphore, vont augmenter.
Il y a un risque d’hyperkaliémie et d’hyperphosphorémie.
Augmentations des valeurs des résidus du métabolisme (urée et créatinine) et sans
intervention immédiate pour épurer le sang ; le malade est exposer au danger de mort.
L’hémodialyse est l’épuration du sang en extra- rénale, traitement palliatif de l’insuffisance
rénale chronique ; néanmoins cette technique n’est épargnée d’un certains nombre d’incidents et
d’accidents qu’on va les détailler dans cette étude.
Notre mémoire se résume comme suit ;
• Une problématique d’identification du problème d'étude.
• Partie théorique, décrivant l’anatomie et la physiologie rénale ainsi que le concept de
dialyse (définition et description, différents composants, réalisation de la séance).
• Partie pratique, décrivant l’outil préconisé de l’étude ; la grille d’observation les résultats
obtenus, l’interprétation, l’analyse des résultats et enfin une conclusion et des suggestions.
CHOIX DU THEME :
Durant nos stages pratiques effectués à l’unité d’hémodialyse de l’établissement public
hospitalier d’Ouled Djellal, on a pu constater :
- Que les horaires de prise des paramètres sont insuffisamment respectés par les infirmiers du
service.
- Que des patients manifestent au cours des séances de dialyse des incidents, voire des accidents,
tels les malaises, les chutes tensorielles, les hypoglycémies sévères et dans certaines situations les
infirmiers (es) se trouvent dans des chambres plus au moins distantes des malades et parfois ils
sont débordés par le travail ; fait qui retarde relativement l’intervention immédiate de l’infirmier
pour juguler l’incident ou l’accident au moment opportun.
Après cette expérience amère vécue dans ce service ; mon ami et moi, nous avons voulu
analyser de prés le déroulement d’une séance de dialyse, ainsi que le rôle de l’infirmier(e) dans
la surveillance du patient au cours des séances d’épuration rénale.
Objectifs :
- Evaluer le niveau de la surveillance infirmière au niveau de service de l’hémodialyse.
- Démontrer, s’il y’a une surveillance incorrecte, les différents éléments qui sont insuffisamment
surveillés.
- Proposer des améliorations de la surveillance au cours des séances de dialyse.
PROBLEMATIQUE:
L'hémodialyse rénale correspond à une technique d'épuration sanguine extra rénale de
suppléance de la fonction rénale. Cette méthode permet, donc, de remplacer la fonction rénale
déficiente, soit de manière définitive (hémodialyse chronique), soit de manière transitoire,
dans l'attente d'une récupération de la fonction rénale (hémodialyse aiguë).
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HYPOTHESE:
La surveillance infirmière d’une séance de dialyse se réalise de façon incorrecte en
service d’hémodialyse de l’établissement public hospitalier ACHOUR ZIANE d’OULED
DJELLAL.
14
CADRE METHODOLOGIQUE :
15
PARTIE THEORIQUE
1- Définition de dialyse :
La dialyse chronique est l'un des traitements de suppléance de l'insuffisance rénale
chronique terminale. La transplantation rénale concerne les patients ne présentant pas de
contre-indication à la transplantation.
La dialyse permet d'éliminer les toxines qui s'accumulent dans l'organisme et de
maintenir l'équilibre de l'eau et la composition du sang. (1)
3-Principe de la dialyse:
Le sang est séparé d’un liquide de dialyse (dialysat) par une membrane semi-perméable,
et les électrolytes et les autres substances diffusent à travers la membrane jusqu’à ce qu’un
équilibre soit atteint.
Dans l’hémodialyse, une membrane synthétique ou cellulosique est utilisée alors que
dans la dialyse péritonéale, c’est la membrane péritonéale qui fait office de membrane semi-
perméable. Une dépression hydrostatique peut être générée dans le compartiment dialysat
pour mobiliser l’eau et les substances dissoutes à travers la membrane par ultrafiltration.
En hémodialyse, le sang circule d’un côté d’une membrane semi-perméable alors que
le dialysat circule du côté opposé et en sens inverse. La membrane de dialyse se présente
habituellement sous la forme de fibres creuses empotées dans une coque en polycarbonate. Le
dialysat est composé des principaux constituants du plasma : sodium, potassium, chlore,
calcium, magnésium, glucose et d’un tampon bicarbonate associé à de petites quantités
d’acétate. Le sang et le dialysat s’équilibrent à travers la membrane. La composition du
plasma peut donc être contrôlée en modifiant la composition du dialysat. La concentration de
potassium dans le dialysat est habituellement plus basse que celle du plasma pour favoriser la
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soustraction de potassium depuis le sang. L’héparine (habituellement HBPM) est
systématiquement injectée dans le circuit de dialyse pour prévenir la coagulation.
Le bicarbonate est actuellement la base la plus utilisée en hémodialyse et permet
d’éviter l’hypoxémie et l’hypoventilation observées autrefois avec les fortes concentrations de
lactate ou d’acétate. Le bicarbonate précipite avec le calcium ou le magnésium et doit donc
être fabriqué juste avant la dialyse. (3)
5) Accès vasculaire :
L’hémodialyse nécessite 2 points d’accès pour la circulation, un pour retirer le sang et
l’autre pour le retourner du dialyseur.
Dans les situations urgentes, l’accès vasculaire est un cathéter veineux central à double
lumière, éventuellement tunnèlisé pour diminuer les risques d’infection.
A long terme, une fistule artérioveineuse est créée, idéalement en position radio radiale
ou lorsque cela n’est pas possible au niveau du bras. Dans les semaines suivant sa mise en
place, la fistule se dilate et un débit sanguin élevé dans la veine de drainage permet la mise en
place d’aiguilles pour hémodialyse. La fistule peut être aussi élaborée à partir de matériel
prothétique sous forme de prothèse tissée en polytétrafluoroéthylène (PTFE) ou Goretex .
Chez les patients avec une insuffisance rénale et potentiellement susceptibles un jour
d’être dialysés, les prises de sang et les perfusions intraveineuses devraient toujours être
réalisées au dos de la main plutôt qu’au niveau des avant bras pour éviter les lésions veineuses
qui peuvent plus tard empêcher la confection d’une fistule artérioveineuse. Pour les mêmes
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raisons la pratique de gazométries artérielles radiales doit être rigoureusement évitée chez ces
patients. (5)
6)- Dialyse péritonéale :
La dialyse péritonéale est moins utilisée, cette technique est pratiquée à domicile et
donc moins coûteuse. Les principaux inconvénients sont l’épuration relativement peu
performante nécessitant une dialyse continue 24/7 et la perte de perméabilité du péritoine, en
moyenne après 3 ans, nécessitant le transfert du malade vers d’autres techniques.
La dialyse péritonéale est basée sur le mouvement d’eau et de soluté à travers la
membrane péritonéale semi-perméable. Cette membrane est composée de 3 couches, le
mésothélium, l’interstitium et la paroi capillaire péritonéale. L’eau est mobilisée par
ultrafiltration osmotique depuis le plasma vers la solution de dialyse contenant une
concentration élevée en glucose. Les solutés se déplacent avec l’eau et diffusent également
dans le dialysat.
La dialyse péritonéale est plus lente que l’hémodialyse, si bien que l’hypotension,
l’hypoxémie, les arythmies et le déséquilibre de dialyse sont peu fréquents. La dialyse
péritonéale peut éliminer certaines toxines urémiques mieux que l’hémodialyse et est associée
globalement à moins d’ostéopathie et d’anémie. (6)
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utilisée en cas d’impossibilité d’accéder à deux sites séparés de ponction, mais cette technique
entraîne un taux élevé de recirculation, diminuant ainsi l’efficacité de la dialyse et elle ne doit
être utilisée que comme un recours temporaire.
L’application d’une crème anesthésique (crème EMLA) permet d’éviter la douleur liée à
la pénétration des aiguilles à travers la peau.
Les ponctions de la fistule artérioveineuse doivent être effectuées dans des conditions
d’asepsie strictes, après lavage soigneux et large désinfection de la peau aux sites de ponction.
Le port de gants à usage unique est obligatoire au cours de cette manœuvre et les gants
doivent être changés entre chaque patient, afin de prévenir toute transmission bactérienne ou
virale d’un patient à un autre. (8)
7-2) Héparinisation :
Le sang circulant dans le dialyseur et dans les tubulures doit être rendu incoagulable
pendant la durée de la dialyse. L’héparinisation générale discontinue est encore largement
employée, avec injection de 5000 UI d’héparinate de sodium dans la ligne artérielle
immédiatement après son raccordement au dialyseur, suivie de l’injection de 2500 UI à la fin
de la deuxième heure de dialyse. L’héparinisation générale continue peut également être
utilisée, avec perfusion d’héparinate de sodium au débit de 1000 UI/h, avec ou sans injection
initiale de 5000 UI. En cas de risque hémorragique, il est préférable de recourir à des
héparines de faible poids moléculaire,. L’héparinisation peut même être totalement évitée, en
cas de risque hémorragique important, et remplacée par un simple rinçage du circuit
extracorporel toutes les 30 minutes avec environ 100 ml de soluté salé isotonique, cet apport
hydrosodé supplémentaire étant compensé par une augmentation appropriée du débit
d’ultrafiltration. (9)
7-3) Ultrafiltration :
La perte de poids souhaitée chez le patient doit être définie au début de la séance. La
quantité totale de liquide devant être soustraite par ultrafiltration est égale à la différence entre
le poids initial et le poids de base (poids sec) atteint à la fin des dialyses précédentes et pour
lequel le patient est normotendu. De plus, le volume extrait par ultrafiltration doit tenir
compte de la consommation de boissons pendant la durée de la dialyse et du volume de
liquide de rinçage utilisé pour la restitution du sang en fin de dialyse. Le gradient de pression
doit être ajusté de manière à atteindre la perte de poids désirée à un rythme compatible avec la
tolérance hémodynamique du patient. Les dispositifs de régulation automatique de
20
l’ultrafiltration actuellement disponibles permettent d’ajuster avec précision le débit de
l’ultrafiltration au but choisi. (10)
21
9 - Incidents et accidents au cours des séances d’hémodialyse :
9-1) Accidents techniques
Les accidents techniques sont signalés par les différents systèmes d'alarme mis en
place sur le circuit sanguin et sur le dialysat. Ces systèmes de contrôle sont actuellement
suffisamment efficaces pour immédiatement interrompre la dialyse et limiter les
conséquences qui pourraient être dramatiques :
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2 heures, peu performantes avec une ultrafilration faible, et répétées tous les jours pendant la
première semaine. On peut utiliser l'injection intraveineuse de solutés hypertoniques
(mannitol 10%, glucose 50%).
Ces épisodes sont favorisés par certains facteurs : âge, antécédents de cardiopathie,
diabète, hypertension artérielle rebelle et multitraitée, neuropathie autonome, prises
pondérales interdialytiques trop importantes. Certaines conditions techniques peuvent
intervenir : dialyseur à haute performance, surtout à l'acétate; débit d'ultrafiltration excessif;
taux de sodium insuffisant et absence de glucose dans le dialysat ; incompatibilité biologique.
- Crampes musculaires : surtout au niveau des jambes, elles peuvent être très douloureuses.
Elles sont dues à une déplétion extracellulaire trop importante, à une ultrafiltration trop
rapide, à un bain de dialyse pauvre en sodium. La dialyse au bicarbonate n'en prévient pas
l'apparition. Elles cèdent par une dialyse plus douce, par l'administration de solutés
hypertoniques. Elles sont soulagées par les benzodiazépines et la prescription de sulfate de
quinine peut en réduire la fréquence à titre prophylactique.
23
- Troubles du rythme cardiaque (extrasystoles supranodales ou auriculaires, fibrillation
auriculaire): ils sont fréquents, surtout chez les sujets atteints de cardiopathie, et sont favorisés
par les modifications trop brutales de la kaliémie ou de la calcémie. Le risque de fibrillation
auriculaire est augmenté chez les sujets digitalisés. Chez ces sujets il est recommandé
d'augmenter la concentration du potassium du dialysat jusqu'à 3 ou 4 mmol/l.
- Réactions fébriles : assez rares, elles sont dues soit au contact du sang avec des
substances pyrogènes (endotoxines) présentes dans le circuit sanguin, soit à des problèmes de
biocompatibilité. Si la fièvre survient plus tard, il faudra suspecter la contamination
bactérienne excessive du dialysat avec passage transmembranaire d'endotoxines.
24
PARTIE PRATIQUE:
-Description de lieu d'étude :
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I)- les éléments de surveillance au cours de dialyse :
- Vérification du débit de la pompe de sang.
- L’injection de l’anticoagulant.
- Contrôle du thrill par la palpation et recherche de tout signe d’infection.
- Prélèvement de sang pour les bilans prescrits.
- Assurer le bon fonctionnement de la fistule.
- Reconnaître et apprécier toute modification d’aspect de l’abord vasculaire.
- Surveiller l’état du patient :
(douleur -chaleur -couleur - œdème - écoulement au point de ponction) .
- Prise horaire de la tension artérielle et de la pulsation.
- Surveiller tous les paramètres de la machine.
- Interroger sur le ressenti du patient tout au long de la séance de dialyse.
- Assister sur la collation ou le repas du patient pendant les deux premières heures de dialyse.
1-Premier cas :
Après le branchement du patient au circuit de dialyse, on a observé les signes suivants:
- Hypotension artérielle. -Convulsion. -Vomissement. - Crampes musculaires.
- Tension artérielle chiffrée à: - 13/07mmHg avant le branchement.
- 06/04mmHg au moment d'accident.
27
Selon l'infirmier qui a procédé au branchement de ce patient, les causes d’apparition de ses
signes étaient: Hypocalcémie, hypoglycémie, hypo natrémie.
- La conduite tenue était:
- Sérum salé isotonique. - Un ampoule de ca+.
- 2 ampoules de primpéran. -sérum Glucosé 30%.
- La prise de la tension artérielle /5 mn, jusqu’ a normalisation des chiffres vers 11/09 mmHg.
2- Deuxième cas :
Après deux heures et demi de branchement du patient au système de dialyse, il tombe dans
un état d’hypoglycémie, on a observé les signes suivants:
-Hypoglycémie sévère. -Agitation. -Perte de conscience.
On a remarqué qu’en face cette situation critique ou se trouve le patient ; la surveillance
infirmière était presque absente.
On a demandé aux infirmiers de nous expliquer cet incident ; alors il nous ont dit que s’est
habituel chez ce patient de faire ce genre de malaises.
- La conduite tenue était :
Débranchement immédiat du patient.
3- Troisième cas :
Après trois heures de branchement du patient au système de dialyse, il tombe dans un état
d’hypotension, on a observé les signes suivants:
- Hypotension sévère. - Perte de conscience.
Après discussion avec le médecin du service, on a trouvé que c’est aussi habituel chez ce
patient de faire des hypotensions au cours de la séance de dialyse.
-La conduite tenue était :
- Débranchement immédiat du patient.
- Sérum salé isotonique.
- Stricte surveillance du patient jusqu'à normalisation des chiffres tensionels.
28
III)- lecture et analyse des donnés:
L’observation est fondée sur deux étapes :
-L’observation de la réalisation des éléments de surveillance au cours de dialyse.
-L’observation de rythme de la réalisation des éléments de surveillance.
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
- Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Contrôle du thrill) est
réalisé.
29
2-Vérification de débit:
-Présentation tabulaire :
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, ’élément (vérification de débit)
est réalisé.
Effectif 32 08
30
-Présentation graphique:
20% Non
Réalisé
80% Réalisé
Lecture :
Nous constatons que chez les 80% des grilles d’observation, l’élément (Prélèvements et
glycémie capillaire) est réalisé, par contre les 20% de celui-ci est non réalisé.
4-Injection de l‘anticoagulant:
Présentation tabulaire :
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
-Présentation graphique:
31
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Injection de
l‘anticoagulant) est réalisé.
Effectif 29 11
-Présentation graphique:
27,5% Non
Réalisée
72,5% Réalisée
Lecture :
Nous constatons que chez les 72.5% des grilles d’observation, l’élément
(Surveillance du faciès du patient) est réalisé, par contre les 27.5% de celui-ci est non réalisé.
32
6-Prise de la tension:
Présentation tabulaire :
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise de la tension)
est réalisé.
33
-Présentation graphique:
35%Réalisée
65%
Non Réalisée
Lecture :
Nous constatons que chez les 35% des grilles d’observation, l’élément
(Prise des pulsations) est réalisé, par contre les 65% de celui-ci est non réalisé.
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
-Présentation graphique:
34
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise des paramètres
de la machine) est réalisé.
9-Prise de collation:
Présentation tabulaire :
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise de la collation)
est réalisé.
35
10-Interrogation sur le ressenti du patient :
Présentation tabulaire :
Effectif 28 12
-Présentation graphique:
30% Non
Réalisée
70%Réalisée
Lecture :
Nous constatons que chez les70% des grilles d’observation, l’élément
(L’interrogation sur le ressenti de patient) est réalisée, par contre les 30% de celui-ci est non
réalisée.
36
III-2)- L’observation de rythme:
1-Contrôle du thrill :
-présentation tabulaire :
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Contrôle du thrill) est
respecté.
37
2-Vérification de débit:
-présentation tabulaire :
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
-Présentation graphique
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Vérification de débit)
est respecté.
Effectif 32 08
38
-Présentation graphique:
20% Non
Respecté
80% Respecté
Lecture :
Nous constatons que chez les80% des grilles d’observation, l’élément
(Prélèvements et glycémie capillaire) est respecté, par contre les 20% de celui-ci est non
respecté.
4-Injection de l‘anticoagulant:
-présentation tabulaire :
Effectif 40 0
Pourcentage 100% 0%
39
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Injection de
l‘anticoagulant) est respecté.
5-Surveillance du faciès du patient :
-présentation tabulaire :
Effectif 26 14
Pourcentage 65% 35%
-Présentation graphique:
35%Non
Respectée
65%
Respectée
40
Lecture :
Nous constatons que chez les 65% des grilles d’observation, l’élément
(Surveillance du faciès du patient) est respecté, par contre les 35% de celui-ci est non
respecté.
6-Prise de la tension artérielle:
-présentation tabulaire :
Effectif 0 40
Pourcentage 0% 100%
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise de tension) est
non respecté.
41
7-Prise des pulsations:
Présentation tabulaire :
Effectif 0 40
Pourcentage 0% 100%
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise des pulsations)
est non respecté.
Effectif 0 40
Pourcentage 0% 100%
42
-Présentation graphique:
Lecture :
Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Surveillance des
paramètres de la machine) est non respecté.
9-Prise de la collation:
Présentation tabulaire :
-Présentation graphique:
Prise de la collation
5%Non
Respectée
95%
Respectée
43
Lecture :
Nous constatons que chez les 95% des grilles d’observation, l’élément
(Prise de la collation) est respecté, par contre les 5% de celui-ci est non respecté.
-Présentation graphique:
35% non
respectée
65%
respectée
Lecture :
Nous constatons que chez les 65% des grilles d’observation, l’élément
(L’interrogation sur le ressenti de patient) est respecté, par contre les 35% de celui-ci est non
respecté.
44
Synthèse :
1- Concernant la réalisation des éléments de surveillance :
- Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Contrôle du thrill)
est réalisé.
- Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, ’élément (vérification de débit)
est réalisé.
- Nous constatons que chez les 80% des grilles d’observation, l’élément (Prélèvements et
glycémie capillaire) est réalisé, par contre les 20% de celui-ci est non réalisé.
- Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (Injection de
l‘anticoagulant) est réalisé.
- Nous constatons que chez les 72.5% des grilles d’observation, l’élément
(Surveillance du faciès du patient) est réalisé, par contre les 27.5% de celui-ci est non réalisé.
- Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise de la tension)
est réalisé.
- Nous constatons que chez les 35% des grilles d’observation, l’élément
(Prise des pulsations) est réalisé, par contre les 65% de celui-ci est non réalisé.
- Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise des
paramètres de la machine) est réalisé.
- Nous constatons que chez les 100% des grilles d’observation, l’élément (prise de la
collation) est réalisé.
- Nous constatons que chez les70% des grilles d’observation, l’élément
(L’interrogation sur le ressenti de patient) est réalisée, par contre les 30% de celui-ci est non
réalisée.
45
Après l’interprétation des résultats, il s’en suit que chez les grilles d’observation, les
éléments de surveillance sont insuffisamment réalisés ; c'est-à-dire que les personnels infirmiers
du service de l’hémodialyse sont réalisés la surveillance mais il y’a un manque concernant les
éléments suivants :
- Surveillance du faciès du patient.
- Prélèvements et glycémie capillaire.
- Prise des pulsations.
- L’interrogation sur le ressenti de patient.
46
(L’interrogation sur le ressenti de patient) est respecté, par contre les 35% de celui-ci est non
respecté.
Après l’interprétation des résultats, il s’en suit que chez les grilles d’observation ,les
éléments de surveillance sont insuffisamment respectés ; c'est-à-dire que les personnels
infirmiers du service de l’hémodialyse sont moins respectés le rythme de la surveillance
concernant les éléments suivants :
- Prélèvements et glycémie capillaire.
- Surveillance du faciès du patient.
- prise de la tension.
- Prise des pulsations.
- Surveillance des paramètres de la machine.
- L’interrogation sur le ressenti de patient.
47
CONCLUSION :
Nous concluons que il y’a une insuffisance révélée surtout en matière de respect du rythme
de prise de quelques paramètres (tension artérielle, pulsations, paramètres de la machine), c’est
qu’est ce qu’explique que la surveillance infirmière d’une séance de dialyse se réalise de façon
incorrecte en service d’hémodialyse.
48
SUGGESTIONS :
En vertu de l’étude menée au niveau du service d’hémodialyse de l’EPH d’Ouled Djellal ; il
s’avère que les insuffisances révélées en matière de respect du rythme de prise de quelques
paramètres (tension artérielle, pulsations, paramètres de la machine) peuvent être jugulées par la
prise en considération des suggestions suivantes :
- recyclage du personnel paramédical du service d’hémodialyse, sur l’application rigoureuse
de toutes les recommandations relatives à la surveillance des dialysés du début à la fin des
séances de dialyse ; notamment le respect du rythme de prise des constantes vitales et leur
transcription sur le registre de surveillance à chaque moment de prise.
- doter le service d’hémodialyse par des appareils de surveillance de paramètres vitaux
(Monitoring a 5 paramètres).
- renforcer le service par du personnel paramédical qualifié.
Table des matières
- Introduction.
- Objectif . Pages
- Problématique ………………………………………………………………… 13
- Hypothèse……………………………………………………………………... 14
- Cadre méthodologique………………………………………………………... 15
- Méthode : évaluative………………………………………………………….. 15
- Technique : observation………………………………………………………. 15
- Outil : grille d’observation……………………………………………………. 15
- Population (infirmières, en situation d’exercice professionnel)………………. 15
Partie pratique…………………………………………………………………... 25
1-Description de lieu d'étude.…………………………………………………... 26
2-Présentation des services…………………………………………………….. 26
I)-les éléments de surveillance au cours de dialyse ……………………………. 27
II--Enquête effectuée en vue de déterminer l’existence d’éventuels accidents
ou incidents :……………………………………………………………………. 27
III)- - Lecture et analyse des donnés……………………………………… 29
III-1) L’observation de la réalisation des éléments de surveillance……………. 29
-Présentations tabulaires………………………………………………………... 29
-Présentations graphiques………………………………………………………. 29
III-2)- L’observation de rythme………………………………………………… 37
-Présentations tabulaires………………………………………………………... 37
-Présentations graphiques………………………………………………………. 37
- Synthèse……………………………………………………………………….. 45
- Conclusion…………………………………………………………………….. 48
-Suggestions.
- Bibliographie.
- Annexes.
Bibliographie :
Prélèvements et glycémie 32 08
capillaire
Injection d‘anticoagulant 40 0
Vérification de débit 40 0
Prélèvements et glycémie 32 08
capillaire
Injection de l‘anticoagulant 40 0
Surveillance du faciès du 26 14
patient
Prise de tension 0 40
Prise de pulsation 0 40
Surveillance de paramètre
de la machine 0 40
La collation 38 02
L’interrogation sur le 26 14
ressenti de patient